Le Stug III

Bien continuons

Citation :

Le châssis était équipé  d'un moteur de 12-cylindres en V accouplé  à un carburateur; son refroidissement était liquide et le moteur était un Maybach HL 108TR d'une puissance de 250 ch (184 kw) à 3 000 tr/min Couple transmissible à une boite cinq  vitesse mécanique synchronisé, la boite de vitesse a été créer par la société Zahnradfabrik  modèle ZF SFG75(**) via l'arbre de transmission, qui a été fixer au-dessus du plancher du compartiment de l'équipage, et fermer par un boitier séparé. Compte tenu de la nature expérimentale des premières machines, leur châssis  n'on pas été créer à partir d'un acier blindé, mais a partir de plaque d'acier normale.  Les boulons coupés aux chalumeaux ont été soudé au corps du châssis. Deux trappes ont été intégrées sur son toit, pour faire entrer des membres de l'équipage et deux autres trappes pour installer l'appareil stéréoscopique  et de visée panoramique.

Une des caractéristiques du nouveau canon automoteur était;  que les quatre membres de l'équipage, y compris le mécanicien-conducteur, s'installaient dans la timonerie Machine. Il a été équipé d'un canon 75 mm StuK 37 avec une longueur de canon de 24 calibres. L'angle d'ajustement  horizontal était de 24° (12° à gauche et à droite), et celui pour  le verticale est de -10° à +20°. En plus a l'intérieur du compartiment de combat on été intégré une mitrailleuse de 7.92mm MG34 et pour l'équipage, des pistolets-mitrailleurs MP40.  Le canon a été fabriqué par Friedrich Krupp und Sohn AG à Essen.

En 1938, les prototypes ont été testés sur le terrain d'entraînement à Döberitzer Heide, puis à Kummersdorf et jusqu'à l'automne 1941, dans l'école d'artillerie de Jueterborg-Dam. Mais aucun d'entre eux non participer aux combats.(*)

Les résultats des premiers essais du nouveau Canon automoteur a ramenée les débats auprès du haut commandement militaire allemand. D'une part, l'infanterie a reçu les véhicules blindés, qui pourraient fournir un moyen opérationnel d'appui de feu ; de l'autre, le canon d'assaut, ne semblait n'avoir eu aucun avantage par rapport au char Pz. IV, armé d'un canon similaire. Cependant, le char, selon la plupart des généraux allemands, en particulier heinz Guderian, voyait le char beaucoup plus utile que le canon automoteur qui lui disposait d'un angle horizontal de visée limité. Ou les opinions sur l'opportunité de la création des canons d'assaut ont a nouveau été divisé, et il est difficile de dire, comment a évolué leur sort, si ce n'est la persistance d'Erich von Manstein et l'avancé dans la campagne  polonaise, au cours de laquelle la Wehrmacht a vivement ressentit  le manque de mobilité de l'artillerie de campagne.

Donc ici, pour que celà soit bien clair, tout ce récit, discute uniquement sur la "Pré série" ou série "0"
la raison, que aucun de ses cinq modèles de la pré série n'a été envoyé sur le champs de bataille est, en raison, que ils ne détenait aucun blindage. mais uniquement de l'acier normale.

Mais la source suivante, elle comme elle la faite, donc son paragraphe le dit clairement en utilisant les bonnes dénominations.

A Döberitz Heide, il existe encore quelques vieux bunker!!
c'est juste pour les amateurs de bunkerarcheologie.

Et pour mon second asterix:
ZF = Zahnradfabrik de friedrichshafen donc Modèle Athos SFG75.

Bien la nouvelle source dit ceci:

Citation :

Canons automoteurs "série-0"

Les cinq premiers canons d'assaut de la "série-0" ont été fabriqués à partir d'acier de construction normal sur la base du châssis du "Panzer III Auf. B"

Un compte exact de la production de l'armement jusqu'en décembre 1938, n'a pas été effectué, il est donc très difficile de déterminer la période au cours de laquelle ont été construits les canons automoteurs de la série-0. On sait, que leurs fabrication a été faite a travers différentes entreprises, en particulier, de Daimler-Benz qui a fournis le châssis et pour le canon c'était l'entreprise Krupp. Les trois premières machines ont été assemblées au mois de décembre 1937, cela on le sait en raison que le quatrième châssis et celui de la cinquième machines ont été transférés à partir du 1er régiment de Panzer étant basé à Erfurt, suivant les données daté du 6 décembre 1937 de l'entré de la machine. Pour les donnés quand la firme Daimler-Benz ont reçus le canon. Il existe un document daté du 30 septembre 1936. qui dit: "quatre châssis de chars Panzer III. Des maquettes en bois, du canons d'assaut doivent être préparé pour des modèles expérimentale pour les essais en avril-mai 1937"

Cinq machines "série-0" que l'armée a reçu à sa disposition, en septembre 1939, comme les canons d'assaut automoteur ont été fabriqués à partir d'acier normale, l'utilisation des prototypes des canons d'assaut excluait de les inclure dans les combats, ils ont été utilisés pour les fins de formation des équipages. Les cinq engins expérimentales, finalement, se sont retrouvés à l'école d'artillerie d'assaut de Juetergborg, où ils ont été utilisé, au moins jusqu'à la fin de 1941.

 Très impressionnante somme de connaissance trouvée et regroupée au sein de de post.

Merci à nos chers membres qui commencent l'année avec des recherches pointues et un travail d'équipe entre Leclerc1944 et Naga qui nous démontrent une fois de plus que l'union fait la force.

Amitiés à tous et merci pour ce travail une fois de plus remarquable.

PS : Le contenu du forum du front de l'est est devenu une véritable banque de données au sujet de la 2GM, pour moi ce forum est en train de devenir une référence.
Je suis extrêmement fier de côtoyer à travers ces posts des gens tels que vous tous qui partagez avec moi cette passion pour la 2GM en général et le front de l'est en particuliers.
Encore une fois, tous mes voeux pour cette année et mes amitiés les plus sincères.

Le 18 novembre 1941, près du village de Strokovo près de Volokolamsk, un groupe de chasseurs de chars du 1077e régiment de fusiliers de la 316e division de fusiliers,
commandé par le général I. Panfilov, repousse une attaque d’un bataillon d’infanterie motorisée ennemi.
11 sapeurs, dirigés par l’instructeur politique junior de la compagnie, A. Pavlov, et le commandant de peloton, le sous-lieutenant P. Firstov, ont tenu leur ligne de défense
pendant près de deux jours, qui a été attaquée par 20 chars allemands.
Les forces étaient inégales, mais les sapeurs se sont battus héroïquement, détruisant sept chars ennemis et des dizaines de fascistes.
Cela a permis aux forces principales du régiment de se replier sur une nouvelle ligne défensive et d’y prendre pied.

La victoire a eu un prix élevé : les 11 soldats sont morts, conformément à l’ordre du commandement.
Le Conseil militaire du front occidental a remis le prix aux héros-sapeurs - l’Ordre de Lénine à titre posthume.
C’est le seul cas de la Grande Guerre patriotique où un peloton entier de sapeurs a reçu une haute distinction sovietique.

Une rue du village de Nakhabino, dans le district de Krasnogorsk, porte leurs noms.
Dans le village de Strokovo, il y a un lieu de sépulture des héros.
À l’occasion du 40e anniversaire de la bataille de Moscou le 31 octobre 1981, le monument « Explosion » a été dévoilé sur le 114e kilomètre de l’autoroute de Volokolamsk.

Un canon automoteur ennemi Stug III explose près de la tranchée de nos défenses.
Ses chenilles sont brisés. L’explosion est véhiculée par trois éléments architecturaux en acier inoxydable.
Le monument est bordé de granit rouge de l’Oural.
Au centre de la dalle de granit, la Flamme éternelle est allumée les jours solennels.
Les tranchées et les voies de communication sont en béton.
En face de chaque cellule se trouve un piédestal en granit, où les noms des héros-sapeurs sont écrits en lettres d’or.
L’auteur du monument est l’architecte A. Veselovsky.


2015




Le Stug III restaure

À la fin des années 1970, les autorités ont signalé qu’un Stug III Ausf D allemand avait été trouvé sur un ancien champ de bataille.
Il a été récupéré et il a été décider qu’il servirait de monument commémoratif de guerre à la mémoire de ceux qui ont perdu la vie siège de Moscou en 1941.
Il s’agissait d’une version très précoce du StuG III.
Un seul autre avait été restauré à l’époque et était conservé au Musée suédois des blindés. C’était très précieux.
En 2010, le Le monument aux morts a été reconstruit et le StuG III a été envoyé pour restauration.

Un voleur a volé de nombreuses pièces du véhicule pendant le processus de restauration et les a vendues sur le marché noir.
Ces pièces ont été remplacées par des pièces provenant d’autres épaves de StuG III de la Seconde Guerre mondiale, plus modernes et moins précieuses,
ou nouvellement fabriquées.
Le voleur a été capturé, mais après trois ans de traque, il n’y avait pas assez de preuves pour obtenir une condamnation.


upload pic


Emplacement

La ville russe de Volokolamsk se trouve à 120 km à l’ouest de Moscou.
Le Mémorial est situé à l’est de la ville sur la route qui mène à la ville d’Anino.
Il s’agit d’une route locale parallèle et juste au nord de la route principale M-9 E22. Il se trouve à environ 5 km du centre-ville de Volokolamsk.


Des photos recentes montrent que le char a ete repeint dans une couleur proche de l origine.
Le monument  a ete renove aussi.














source
http://tank-photographs.s3-website-eu-west-1.amazonaws.com

Engin dans le jus, sauf la tête de mort.
Lire le livre de K.Simonov, "La chaussée de Volokolamsk".

StuG III Ausf. D - Sonderverband 288

Le passionné de l’armée Jon 'Welderbeast' Phillips, qui vit dans le Kent, a eu la tâche colossale de restaurer un châssis d’un StuG III Ausf D rouille qui a servit
de cible pour l armee britannique dans le passe.





Il s est avere que c etait un véhicule rare.
L’homme a des compétences incroyables en génie mécanique . Il a ramené à la vie un morceau de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale.
Le projet de Jon a démarré le 1er mai 2013.

Jon avait déjà restauré un Schwimmwagen original de l’armée allemande de la Seconde Guerre mondiale qui etait aussi une epave.
Ce châssis d’un canon d’assaut automoteur Sturmgeschutz III Ausf D était presque impossible à identifier et se trouvait pres d une maison abandonnée de Kevin Wheatcroft.
Une cour ou il y avait des véhicules militaires dans le Kent.
Il n’y avait que huit tonnes de rouille œil inculte d apparence. Mais pour Jon qui connait l histoire des blindes, c’était beaucoup plus rare que un trèfle à quatre feuilles.
Il n’y avait que deux autres StuG III Ausf. D automoteurs restants dans le monde.
L’un appartient au Musée suédois des blindés et l’autre était à moitié encastré dans du béton dans un mémorial de la Seconde Guerre mondiale au bord de la route
le long de l’autoroute de Volokolamsk,Oblast de Moscou en Russie


Le StuG III Ausf D de Jon a été expédié en Afrique du Nord en 1941 pour équiper l’Afrika Korps allemand.
Il a été capturé par les Britanniques près d’El Alamein en Égypte et mis sur un navire et envoyé en Angleterre pour des évaluations et des tests.
L’armée l’a ensuite utilisé comme cible sur le champ de tir de Pirbright où il a été secouru par Kevin Wheatcroft.
Il porte le numéro de série 90678


Historique

Unité spéciale 288
Le Sonderverband 288 a été mis en service le 1er juillet 1941 à Potsdam (près de Berlin). Il était composé d’unités de toute l’Allemagne.
L’unité spéciale 288 ou z.b.V.288, était également connue sous le nom de groupe de combat de Menton, du nom de son commandant.
À l’origine, il contenait des unités d’élite de toutes les branches de l’armée allemande : des antichars, des troupes alpines, des ingénieurs
et finalement 3 des nouveaux canons d’assaut StuG.III.
Il y avait aussi une compagnie de Brandebourgeois, entraînés pour les opérations spéciales derrière les lignes ennemies.
Ces unités étaient destinées à préparer la voie à la DAK alors qu’elle traversait le Nil, se dirigeait vers le Moyen-Orient et l’Inde.
Leur élément le plus important était un groupe d’interprètes avec leurs propres presses à imprimer. Ces hommes connaissaient toutes les langues nécessaires,
de l’arabe et des dialectes persans à l’hindi, à l’ourdi et au sanskrit.
Il y avait aussi un groupe spécialisé qui avait été formé pour saisir et reconstruire les champs pétrolifères de la région.

Lorsqu’il devint évident que la ruée de Rommel vers le Nil n’allait pas être une partie de plaisir, le 288e, sans ses interprètes et ses techniciens,
fut envoyé en Afrique en renfort spécial.
Au cours des batailles de la ligne Gazala, le 288th a participé à des combats de soutien à l’Ariete italien contre les forces françaises défendant Bir Hacheim
à la pointe sud des défenses britanniques.
Ils ont également participé aux batailles d’El Alamein, et le dernier de leur StuG.III a été laissé derrière pour que les Britanniques puissent le contempler.  
Le 31 octobre, le Sonderverband 288 est réorganisé et rebaptisé Panzer-Grenadier-Regiment Afrika.


Superbe travail de Jon







Les deux tubes ronds sont un rajout par rapport aux autres Stug europeen en rapport le durete du desert.
Ce sont des filtres a air specials monte haut sur le chassis du vehicule au dessus des chenilles pour
filtrer la projection de sable lors des deplacements.
Il s’agissait d’une modification « tropicalisée » pour faire face à la poussière et au sable du désert.
Il y avait le meme systeme sur les Tigre I en Tunisie en 1943.






source
http://tank-photographs.s3-website-eu-west-1.amazonaws.com/

Le char en meeting en 2017

Restes d’un char Stug III à l’aérodrome de Karup au Danemark 1946-47
On ne sait pas ce qu il est devenu...




Decouverte d un Stug III en 1984

Stug III premier modèle, avec canon court de 7,5cm.
Pour le premier, la couleur est curieuse, en jaune alors qu'il devrait logiquement être en gris panzer.
Le 2ème, curieux camouflage aussi, à la place du gris panzer, et des plaques de protection qu'il n'est pas/plus censé porter...
Toujours étonnant de voir déterrer un engin...

L’armée finlandaise défile avec son Sturmgeschutz III nouvellement acquis à Enso le 4 juin 1944.

Stug III dans les Ardennes.

Citation :

L’armée finlandaise défile avec son Sturmgeschutz III nouvellement acquis à Enso le 4 juin 1944.

Leur ont pas donné les plus récents ...
Combien de Stug III engagés dans les Ardennes ?

Stug III de la Panzerbrigade 150 dans les Ardennes-1944

Péniblement camouflé/transformé en engin U.S.