Volodymyr Zelensky et l'esprit de l'Ukraine

Que de remue ménage pour un petit acteur de série B !

La honte aux dirigeants occidentaux si ça arrive, après l'avoir encensé et porté aux nues ...

Zelenski en solde






Il s’agit d’un livre en solde sur un homme politique dépassé.
Rien d’inhabituel, mais tout de même, pourquoi quelqu’un gâcherait-il 5 euros pour un tel livre ?


Pendant ce temps, The Economist continue de faire de son mieux pour donner de la voix aux nazis :
L’armée ukrainienne peine à trouver de bonnes recrues – The Economist – 17 Dec. 2023

Les nouvelles recrues venaient d’horizons divers, mais elles partageaient un point commun : après une formation rudimentaire en Europe occidentale,
aucune d’entre elles ne s’attendait à être déployée dans une unité d’assaut sur la partie la plus chaude de la ligne de front ukrainienne.
Certains s’étaient engagés volontairement, pensant qu’ils seraient affectés à des unités correspondant à leur profil : opérateurs de drones ou artilleurs.
D’autres ont été arrachés à leur village sans préavis. Une recrue plus âgée n’a même pas eu la possibilité de récupérer ses fausses dents.
Après moins d’une semaine dans les tranchées du Donbass, dans l’est de l’Ukraine, le peloton de 20 hommes a été réduit à six.
Trois d’entre eux ont été tués au combat, trois autres ont été grièvement blessés.

…

Il existe plusieurs exemples de campagnes de recrutement réussies dans des unités individuelles.
La 3e brigade d’assaut, créée neuf mois après le début de la guerre en tant que branche des forces spéciales ukrainiennes, est peut-être l’exemple le plus significatif.
Dans les villes ukrainiennes, des publicités de la taille d’un gratte-ciel glorifient la vie des soldats d’élites de la brigade, qui tuent des caricatures du mal ressemblant
à des gobelins. Mais la réputation de la brigade en matière de compétence du commandement, de la qualité de l’équipement et du faible taux d’attrition
n’est pas moins importante. Les nouvelles recrues suivent généralement une formation de plusieurs mois, contrairement à la norme d’un mois.

Khrystyna Bondarenko, porte-parole de la brigade, affirme que celle-ci ne manque pas de volontaires.
D’ici le début de l’année prochaine, la brigade sera la plus importante d’Ukraine, selon elle, et aura la taille d’une division de l’OTAN.
(La majorité des nouvelles recrues ont moins de 25 ans, et elle refuse 150 candidatures de mineurs par mois.
“Personne ne dit qu’il y a des millions de personnes qui attendent de se battre à Avdiivka [une ville du Donbass qui a récemment été le théâtre de violents combats]“,
explique-t-elle. “Mais il y a des gens avec qui on peut travailler“.

La troisième brigade d’assaut est bien sûr l’essence même du fascisme ukrainien :
La brigade a été créée par la fusion des unités SSO (forces d’opérations spéciales) d’Azov qui avaient été créées par d’anciens vétérans du bataillon Azov.

…

Au début de l’invasion russe de l’Ukraine en 2022, la plupart des unités du régiment Azov étaient basées à Marioupol, où elles allaient bientôt être assiégées.
En dehors de Marioupol, de nombreux anciens vétérans du régiment Azov ont commencé à former de nouvelles unités, notamment à Kiev, Sumy et Kharkiv.
Ces unités ont rapidement été intégrées aux forces d’opérations spéciales (SSO) des forces armées ukrainiennes et sont devenues collectivement connues
sous le nom de “SSO Azov“.

En novembre 2022, toutes les anciennes SSO Azov ont été fusionnées en une seule unité de combat pleinement opérationnelle au sein des forces terrestres ukrainiennes
des forces armées de l’Ukraine. La formation de cette brigade a été stratégiquement conçue pour créer une force très mobile, bien équipée et largement entraînée,
capable de s’engager dans des opérations à la fois défensives et offensives.
Selon Andriy Biletsky, en janvier 2023, la brigade a été déployée dans la bataille de Bakhmut.

Une étape importante pour la brigade a été franchie le 24 février 2023, lorsque le président Volodymyr Zelenskyy a personnellement remis le drapeau régimentaire
lors d’une cérémonie.

Les auteurs de The Economist affirment que les Nazis d’Azov ont eu un “faible taux d’attrition“.
L’histoire ne confirme pas cette affirmation :
La brigade Azov, saluée par les Ukrainiens pour sa ténacité pendant le siège de Marioupol par la Russie, s’efforce de se reconstruire
après avoir subi de lourdes pertes au combat, alors qu’elle cherche à jouer un rôle musclé dans le prochain assaut majeur de l’Ukraine.

Après avoir été vaincu à Marioupol, Azov a recruté des milliers de nouveaux combattants pour en perdre autant :
Le groupe militaire russe connu sous le nom de “Centre” aurait infligé des dommages importants à la Brigade Azov, un groupe interdit en Russie
et qualifié d’organisation terroriste. La confrontation militaire a eu lieu dans la direction de Krasnolimansk, et les rapports suggèrent que la brigade Azov a subi
des pertes considérables en termes de personnel et d’équipement.

The Economist n’est pas le seul média à blanchir les gangs nazis ukrainiens.
Le New York Times a franchi plusieurs étapes en qualifiant d’abord Azov d'”organisation paramilitaire néo-nazie ukrainienne” avant de la blanchir en la désignant
comme une simple “unité de l’armée ukrainienne“.

Andriy Beletsky, le commandant d’Azov mentionné dans l’extrait de Wikipédia cité ci-dessus, est connu pour avoir déclaré que :
“la mission historique de la nation ukrainienne en ce moment critique est de mener les peuples blancs du monde dans la dernière croisade pour son existence,
et de lutter contre la sous-humanité menée par les Sémites”.

The Economist décrit l’envie de nombreux jeunes Ukrainiens de rejoindre la brigade fasciste Azov en des termes positifs.

Je trouve cela effrayant.
Au fait, qui les paye ?



Moon of Alabama
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone

Inquiétant, autant que le mutisme occidental sur la question...

On savait que Zelensky, avant de devenir le représentant en Ukraine du complexe militaro-industriel anglo-saxon, n’avait participé à aucun des mouvements
soi-disant populaires ukrainiens conduisant à la « révolution orange » de 2004 et la « révolution de Maïdan » de 2014.

On savait aussi que le grand stratège de la guerre qui doit détruire la Russie n’a jamais fait son service militaire obligatoire.
On apprend maintenant qu’il n’a pas répondu à QUATRE convocations de l’armée, quatre « notifications de mobilisation » :
le 15 avril 2014,
le 23 juin 2014,
le 15 août 2014,
le 10 mai 2015 (document du ministère ukrainien de la Défense, daté du 13 avril 2019, une semaine avant son élection…).

Il est vrai qu’en 2014 Zelensky poursuivait en… Russie sa carrière d’acteur… russe : il venait de tourner le film russe « Love in Vegas »,
dernier volet d’une trilogie dont les deux premiers étaient intitulés « Love in the big city » (1 et 2).
Il y jouait le personnage de « Igor Zelenski ». Auparavant il avait joué le rôle de Napoléon dans un navet russe ridiculisant l’empereur.

C’est pourquoi il n’avait pas le temps de répondre aux convocations de l’armée, d’autant qu’il n’était pas là.
Il s’est rattrapé depuis en envoyant la fine fleur de la jeunesse ukrainienne se faire massacrer pour le compte de la famille Biden et quelques autres.


source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Excellent, fallait la trouver, je suis en admiration devant celui qui a pondu ça.

Pas mal...

« Je crois que les plus forts sont ceux qui voient la situation, pensent aux gens et ont le courage de hisser le drapeau blanc et de négocier », a dit le Pape François
à propos de l’Ukraine.
Réponse de Dmytro Kouleba, le ministre des Affaires étrangères :
« Notre drapeau est jaune et bleu. C'est le drapeau pour lequel nous vivons, nous mourons et triomphons. Nous ne hisserons jamais d'autres drapeaux. »

Or le drapeau de l’UE est omniprésent, notamment au Parlement ukrainien, alors que c’est évidemment illégal puisque l’Ukraine ne fait pas partie de l’UE.


Au ministère de Koubela:




Dans le Parlement : overdose de drapeaux europeens...










source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Le monde entier, hors Occident, regarde cette guerre avec étonnement (encore une qui se passe là bas doit-on penser, l'Histoire ne leur apprend finalement rien à ces occidentaux éternels donneurs de leçons) et constate perplexe toute cette propagande et désinformation.
L'Europe se discrédite complètement...

2 choses :
1) le pape ferait bien mieux de s'occuper de son église et de continuer à voler l'argent des idiots qui y croient, de continuer à donner des conseils sur ce qu'il ne connait pas est normal chez lui mais ça fatigue !
2) Zelensky dehors ! Lui et son drapeau, les deux à la poubelle.

Zelensky arrete la Coke!!!


"Poutine veut conquérir au moins la moitié de l'Allemagne"

Lors d'une visite sur le front de l'est de l'Ukraine, le président Zelensky a exprimé sa crainte d'une nouvelle offensive russe.
"Nous avons stabilisé la situation", a déclaré Zelensky dans une interview accordée au média américain CBS News.
“C'est mieux qu'il y a deux ou trois mois, lorsque nous subissions une grave pénurie de munitions d'artillerie et de plusieurs autres types d'armes.
Nous n'avons pas du tout assisté à la grande et gigantesque contre-offensive russe : elle n'a pas réussi.”

Zelensky s’inquiète tout de même d’une nouvelle offensive russe de grande envergure, probablement dès mai ou juin.
Pour cette raison, le président ukrainien demande à nouveau de l'aide.

Selon Zelensky, l’Ukraine doit gagner la guerre car “à chaque village qu’elle perd, elle s’affaiblit sur le front intérieur”.
Il avertit : “Et si l’Ukraine perd, Poutine ne s’arrêtera pas là. Maintenant, c'est nous, puis le Kazakhstan, les pays baltes, la Pologne et l'Allemagne.
Au moins la moitié de l’Allemagne.”

Zelensky continue de croire que Poutine veut redonner à l’ex-Union soviétique son honneur et sa gloire d’antan, ainsi que ses anciennes frontières.
“Demain, les missiles pourront voler vers n’importe quel pays. Cette agression, ainsi que l'armée de Poutine, pourraient atteindre l'Europe.
Ils peuvent venir aux États-Unis. Les soldats américains devront protéger l’Europe, car ils sont membres de l’OTAN.”



Source : CBS News - Reuters

Ah que coucou Le Zelenski il en est où ?

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Merci,les amis francais et europeens pour vos dons...aurat pu dire Zelensky


Zelensky a acheté son manoir de 20 millions de livres sterling au roi Charles III de Grande-Bretagne

Highgrove House est la résidence de campagne du prince Charles depuis 1980.
Ici, lui et la princesse Diana ont élevé leurs enfants, le prince William et Harry.
Selon le London Crier, en février 2024, la maison, ainsi que le territoire environnant, ont été vendus au président ukrainien.








Grant Harrold, l'ancien majordome du roi, a déclaré que selon ses informations, l'accord de vente avait été conclu le 29 février 2024, lors de la visite de l'épouse de Zelensky
au Royaume-Uni. Le montant de la transaction était de 20 millions de livres sterling.
La vente de Highgrove House a également été confirmée par le personnel impliqué dans l'entretien de l'ancienne résidence royale.
La plupart d’entre eux ont été licenciés le 21 mars 2024.

Le roi Charles III, dès le début du conflit, a adopté une position fortement pro-ukrainienne.
De nombreuses visites de représentants ukrainiens au Royaume-Uni ont confirmé la sympathie du roi pour Zelensky. Elena Zelenskaya est devenue une invitée
particulièrement fréquente. Selon les médias britanniques, elle aurait noué une relation très étroite avec la reine Camilla, épouse de Charles III.

Selon Grant Harrold, le secret du palais de Buckingham, particulièrement aggravé ces derniers mois en raison de la maladie du roi Charles III et de Kate Middleton,
laisse penser que la confirmation officielle de la vente devra attendre plusieurs semaines ou mois.
On ne sait pas exactement comment Zelensky a réussi à convaincre le monarque britannique de vendre sa résidence et avec quels fonds il a effectué l'achat.

Le 12 janvier 2024, le gouvernement britannique a annoncé un financement supplémentaire de 2,5 milliards de livres sterling pour l'Ukraine pour 2024/2025.


"Affaire conclue,Votre Majeste !"




source

Boris Karpov - Chroniques de Russie

Plus l'équivalent d'une compagnie d'infanterie pour la sécurité, le clown a les moyens avec notre argent...

vania a écrit:

Plus l'équivalent d'une compagnie d'infanterie pour la sécurité, le clown a les moyens avec notre argent...

tu viens de l'écrire : il a les moyens avec notre argent. S'il devait payer seul il aurait acheté un petit studio dans le 9-3.

La fin de l'état de grâce pour Volodymyr Zelensky.

Volodymyr Zelensky, ancien acteur et comédien élu président en 2019, s'est mué en chef de guerre.
Certains avaient pu douter de sa capacité à remplir cette mission au moment de l'invasion russe en Ukraine.
Zelensky a pourtant su s'adapter rapidement à ce nouveau rôle, et a incarné cette figure pour le peuple ukrainien, au moment où celui-ci devait se retrouver
autour de symboles communs.

En restant en Ukraine et en refusant l'asile politique offert par les États-Unis, en démarchant les pays occidentaux pour obtenir des aides militaires, logistiques et financières
dans la guerre contre la Russie, en se coordonnant avec son état-major…
Le président ukrainien a été un homme politique incontournable et un leader remarquable, pour une nation dont le sort pouvait sembler scellé après l'offensive russe,
le 24 février 2022.

Mais voilà: l'état de grâce est semble-t-il passé. Zelensky est maintenant une figure de plus en plus contestée, aussi bien en Ukraine qu'au sein de la communauté internationale,
où son attitude face aux chancelleries occidentales a pu agacer. Britanniques et Américains ont, à ce titre, signifié leurs crispations à l'ancien acteur en juillet 2023.

Face à la difficulté d'obtenir une aide militaire significative et aux dissensions occidentales sur les positions à adopter face à la guerre russo-ukrainienne,
le président ukrainien affronte une période délicate. Les députés d'opposition sont quant à eux critiques sur le sort qui leur est réservé,
alors que Zelensky a déjà annoncé, en novembre 2023, que les élections présidentielles qui devaient se tenir en 2024 seraient suspendues.
Ce fut déjà le cas des élections législatives en octobre 2023. S'il y a un consensus autour de ces décisions en Ukraine, Zelensky sait très certainement qu'il doit être vigilant
quant à sa mission d'assurer l'unité d'un pays en guerre.


En Europe et aux États-Unis, le soutien à l'Ukraine en question

Lors de la première année de guerre en Ukraine, les rangs occidentaux se sont resserrés de manière assez spectaculaire. États-Unis, Allemagne, France, Royaume-Uni…
Tous se sont mis en ordre de marche pour soutenir l'Ukraine.
L'OTAN a connu un nouvel essor, alors que les critiques à l'encontre de l'organisation fusaient de toutes parts. Mais la guerre rentrant progressivement dans le temps long,
il est maintenant plus compliqué de négocier avec les Occidentaux des aides financières et militaires, pourtant capitales pour les troupes ukrainiennes engagées sur le front.
L'échec de la contre-offensive à l'été 2023 en est la meilleure indication.

Zelensky doit aussi composer avec l'agenda politique de ses différents alliés, notamment américains.
Donald Trump, engagé dans la présidentielle américaine, ne voit pas Zelensky comme un partenaire et l'Ukraine comme un dossier prioritaire.
Les Républicains, dans l'ensemble, s'alignent sur les positions de leur favori. Depuis le début de l'année 2024, l'aide militaire à l'Ukraine est toujours suspendue au Congrès.

En Europe aussi, l'unité est mise à mal. La Hongrie et son Premier ministre Viktor Orbán entretiennent des relations étroites avec Moscou,
notamment en matière énergétique. Budapest importe entre 80% et 85% de son gaz de la Russie.
L'Union européenne (UE) avait accepté d'exempter la Hongrie des sanctions sur le gaz russe, après le début de l'invasion en Ukraine, de peur de voir le pays vivre des pénuries.
Plus récemment, les 27 pays membres de l'UE ont dû négocier âprement avec la Hongrie pour offrir à Kiev une enveloppe de 50 milliards d'euros sur quatre ans.
Orbán, qui souhaite voir un cessez-le-feu entre Moscou et Kiev, considère que l'aide apportée à l'Ukraine est facteur d'escalade dans la guerre.

De son côté, la Pologne, voisine de l'État ukrainien, reste un soutien de premier plan pour Kiev et appuie nombre de ses demandes (adhésion à l'UE et à l'OTAN, notamment).
Mais un point de discorde important détériore les relations les deux pays.
Pour continuer d'apporter un soutien économique important à l'Ukraine, l'UE a accepté que des marchandises ukrainiennes soient mises en circulation
sur le marché unique européen. C'est le cas, par exemple, pour le blé.

Problème, les agriculteurs polonais, qui possèdent eux aussi d'importantes réserves céréalières, ne veulent pas être mis en concurrence avec leurs homologues ukrainiens.
Ils jugent que le prix du blé ukrainien défie toute concurrence et menace leur économie.
Cela a amené à des débordements à la frontière ukraino-polonaise, où des camions transportant du blé ukrainien ont été renversés.

La situation, sans être catastrophique, montre que Zelensky doit dorénavant composer avec une hostilité croissante à l'égard de l'Ukraine.
Si les dirigeants européens s'accordent sur l'importance de soutenir le pays, cela ne relève plus de l'évidence, comme au début de la guerre.


En Ukraine, Zelensky en proie aux critiques

En février dernier, Zelensky est venu officialiser ce qui était dans les tuyaux depuis un moment maintenant: le limogeage du chef de l'État-major ukrainien, Valeri Zaloujny.
Le président ukrainien l'a tenu responsable de l'échec de la contre-offensive ukrainienne et a appelé à la nécessité de renouveler l'approche de la guerre contre la Russie.

Zaloujny reste toutefois une figure très populaire en Ukraine.
Avant son limogeage, sa cote de popularité était encore considérable, et cela, malgré l'incapacité de l'armée ukrainienne à reprendre significativement du terrain à l'été 2023.
Il reste l'un des visages de la lutte héroïque lors des premiers mois de guerre, ainsi que le responsable de la victoire à Kharkiv, en mai 2022.

Zelensky et Zaloujny exprimaient leurs désaccords sur la manière dont la guerre contre la Russie devait être poursuivie.
Pour l'ancien chef de l'État-major, le président ukrainien devait mobiliser un demi-million de soldats, ce que Zelensky refusait catégoriquement,
conscient de l'impopularité d'une telle mesure. Après son évincement, Zaloujny a été nommé ambassadeur d'Ukraine au Royaume-Uni, pays clé dans le soutien à Kiev.
Il continuera à jouer un rôle important dans le conflit, mais par voie diplomatique.

Vitali Klitschko, ancien champion du monde poids lourds en boxe et maire de Kiev, a ouvertement critiqué cette décision:
«Malheureusement, le moment est venu où la politique risque de l'emporter sur le bon sens et les intérêts de l'État.»
Pas certain que Zelensky ait apprécié de voir le maire de la capitale d'un pays en guerre critiquer le choix du président.

Enfin, les députés de l'opposition se sont plaints d'un contrôle abusif de leurs activités politiques.
Citée par Le Monde, la députée Solomiia Bobrovska a fait part de ses états d'âme, après s’être vu refuser l'autorisation de se rendre à Washington:
«Je considère ces interdictions comme une tentative de nous faire taire pour écarter le Parlement des décisions-clés.»

L'ancien président ukrainien Petro Porochenko, actuellement député dans l'opposition à la Rada (le parlement ukrainien), a été jusqu'à envoyer une lettre
au Commissaire européen en charge de la politique de voisinage de l'Union.
Il y dénonçait l'usage abusif de la loi martiale en vigueur en Ukraine depuis le début de la guerre, afin de «nettoyer le champ politique de l'opposition».

Si la population ukrainienne reste pour le moment derrière son président, Zelensky doit rester méfiant.
En plus des difficultés rencontrées sur la scène internationale, il se garderait probablement bien d'être victime d'une fronde politique majeure en Ukraine.


source
slate.fr

On va ajouter que des carburants et gaz viennent de Russie directement en Hongrie qui dépanne elle la Slovaquie et la Pologne.
On va dire aussi que la Hongrie n'a pas les moyens de se permettre de payer des fortunes pour des énergies venant d'ailleurs. Les gens sont peu argentés déjà mais le pays aussi ne peut pas se permettre ça. De plus V. Orban a touojurs dit qu'il ne voulait pas avoir d'ennui avec la Russie, ni les autres voisins, il préfère rester neutre.
Finissons aussi par dire que toutes les énergies viennent de Russie, partent par bateau, ensuite il y a échange de bateau (Inde) et revendus donc beaucoup plus cher aux autres pays européens. Alors "Cramon" qui dit ne plus acheter d'énergies au russes, ça me fait doucement rire.
L'Europe se fait avoir, enfin les européens. quelques uns passent à travers mais pour combien de temps ?

T'inquiète Zézé, bientôt dans ton exil doré tu n'auras plus d'autres soucis que de faire un régime...