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 "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique

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leclerc1944
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MessageSujet: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeJeu 22 Déc 2022, 18:16

Bonjour! Lorsque on lis une histoire, sur une opération qui de surcroît elle vas parler sur plus de six semaines de théâtre d'opération, moi par exemple, je ne comprendrais jamais les historiens, qui pense en écrivant un chapitre, ils auront raconté toute l'histoire, ou que uniquement cette partie décrite dans ce paragraphe, était celle qui était la clé de voute de l'opération.
Ben non, c'est comme si on regarde une vidéo sur l'opération sur le "Plan jaune" d'une durée de 1h30mn, ici est uniquement parlé pendant cinq à six minute de temps, de chaque phases sur le plan en lui même, et même, ici par la suite, le documentaire n'approfondira même pas telle les combats qui on été continuer en Belgique ou en Hollandes, non ici l'historien sautera rapidement en énumérant que le Roi Belges c'était rendu, et que la Reine Hollandaise avait réussi à quitté son pays pour arrivé en Angleterre sains et sauf.

C'est pour cette raison, que moi je créer ici des phases, ou seront intégré tout les textes sur l'historique des champs de bataille. Cette première phase parlera comme moi, j'aime connaitre la naissance d'un projet, jusqu'à  l'aboutissement, donc bien sûr en passant par l'entrainement mais qui dit une opération, dit aussi la planification de l'objectif, et entrer dans les entrailles pour retrouver la partie caché de l'iceberg, ici uniquement peut être dans les vieux livres, oui en raison que ses vieux ou premier auteur de l'après guerre, eux arriverons peut être dans leurs récits à apporté l'éclaircissement des plans.

Bien est étant sur un forum, vous m'excuserez mais ici je ne pourrait pas garder mes onglets de mes recherches sur une réponse,plus longuement ouverts, pour économisé ma mémoire de mon pc.
Ainsi je posterais une première partie, et au fur des réponses, ou de la suite, arrivera peut être la chronologie de toute l'opération.
Citation :
FORTERESSE MODERNE VUE DES AIRS

Contrairement à la plupart des commandants de la Luftwaffe, le général des parachutistes Student a en fait dirigé ses 4 500 hommes pendant les combats. Il dirigea personnellement les opérations visant à s'emparer des ponts de Rotterdam, Dordrecht et Moerdijk {43} et les tint contre toute attente jusqu'à ce que la principale force allemande approche. Ses pertes totales au cours de ces opérations étaient de 180 hommes, mais en même temps, Student lui-même était grièvement blessé à la tête.
Le résultat de la deuxième opération aérienne, encore plus fantastique, fut la capture - presque en un clin d'œil - de l'une des forteresses les plus modernes du monde, le fort belge Eben-Emael.
Cette opération, qui eut lieu le 10 mai 1940, fut sans aucun doute l'une des plus audacieuses et des plus réussies de toute la guerre. Fort Eben-Emael est à environ 16 kilomètres au nord de Liège, {44} où il bloque la route vers Bruxelles. Les experts la considéraient comme imprenable. Une fois de plus, ils se sont avérés faux, même si certainement le plan a été conçu avec beaucoup de soin. Le flanc nord-est du fort était protégé par le canal Albert, {45}dont les parois se détachaient jusqu'à l'eau d'une hauteur de 40 mètres. Au nord-est se trouvaient une plaine inondable et un autre canal aux berges abruptes. Dans d'autres directions, des fossés profonds ont été creusés et des murs en béton de plus de 6 mètres de haut ont été érigés. Et dans toute la zone se trouvaient des positions de mitrailleuses et d'artillerie avec des secteurs de tir croisés, des barbelés, des pièges à chars et de puissantes barrières, la garnison du fort était de 1200 militaires bien entraînés.

Il y avait trois ponts importants sur le canal Albert à proximité, chacun avec des explosifs intégrés qui pouvaient être explosés instantanément à la réception d'un signal. Le plus précieux d'entre eux était le pont de Froenhofen, {46}parce que l'autoroute d'Aix-la-Chapelle à Bruxelles passait par le canal. Les commandants allemands ont compris que s'ils voulaient atteindre rapidement la côte de la Manche, ces ponts devaient être capturés intacts et mettre hors de combat sans délai le Fort Eben-Emael. À première vue, la tâche semblait impossible, car les tactiques habituelles d'encerclement et de capture de positions fortement fortifiées étaient, bien sûr, trop lentes. Bien avant que de puissantes unités terrestres allemandes puissent atteindre les ponts, les Belges les feront sauter. Il était évident qu'une nouvelle tactique devait être utilisée, puis un nouveau mouvement est apparu sans précédent dans l'histoire militaire. Pour capturer les ponts intacts, les attaquants devaient se déplacer rapidement et silencieusement et détruire ou capturer les gardes belges avant qu'ils ne puissent faire sauter les ponts. Cela impliquait
Les unités d'assaut spécialement entraînées pour cette attaque devaient atteindre leur destination dans des planeurs remorqués à une altitude d'environ 2400 mètres tracté par des Junkers-52, puis se décrocher au-dessus du territoire allemand près de la frontière néerlandaise. Glissant isolément à environ 130 kilomètres à l'heure, ils traverseraient silencieusement le saillant du territoire néerlandais près de Maastricht et atteindraient leur cible avant que l'ennemi ne soit au courant de leur arrivée.

L '"unité d'assaut Koch", du nom du commandant, a été formée dans le plus grand secret par le personnel de la 7e division aérienne de Student. Il comprenait une compagnie sous le commandement de Hauptmann Koch, un groupe de parachutistes sapeur dirigé par le lieutenant Witzig et une compagnie de planeurs sous le lieutenant Kiss. {47} Ce dernier était responsable de la mise en œuvre réussie d'actions qui n'avaient jamais été réalisées auparavant, le décollage massif de planeurs dans l'obscurité, ce qui était vraiment difficile. Witzig avec 85 de ses hommes devait prendre le fort Eben-Emael, tandis que Koch et ses hommes devaient capturer les trois ponts intacts.
Le 3 novembre 1939, une mystérieuse activité a commencé sur l'aérodrome de Hildesheim. Les militaires sélectionnés pour cette opération étaient complètement isolés du monde extérieur, voire privés de leurs sortie de la base. Ils se sont entraînés pendant six mois, jusqu'à ce qu'à l'aide de maquettes soigneusement construites des défenses belges, ils étudient soigneusement, en paroles et en actes, leur objectif. Parallèlement, les pilotes de planeurs s'exercent à leur métier, perfectionnant les décollages de jour comme de nuit. Les sapeurs du lieutenant Witzig étaient également occupés à s'entraîner à l'utilisation de nouvelles armes, en particulier de nouveaux engins explosifs spécialement conçus pour cette opération et capables de pénétrer des blindages de 25 centimètres d'épaisseur. Toutes les personnes formées sur des modèles spécialement construits, pratiquant chaque action jusqu'à l'automatisme.
Lorsque tout était prêt à Hildesheim, les planeurs ont été démontés, chargés sur des camions et transportés à Cologne, où ils ont été remontés sur les aérodromes locaux, et dans un tel secret que même les commandants des aérodromes ne savaient pas ce qui se passait sous leur nez. Pendant six mois, le personnel de l'unité opérationnelle a vécu comme des moines ermites, mais maintenant la fin de leur isolement était proche. Enfin, le 9 mai, la commande était prête. Le soir même, tout le monde se retrouve sur les aérodromes d'Ostheim et de Butzweilerhof. {48}
La nuit, les planeurs sont alignés sur les plots en béton près des hangars, et les soldats prennent place : huit hommes avec équipement sont placées sur de longs bancs le long de chaque côté du planeur. Il était de la plus haute importance que les groupes d'attaque atteignent quatre de leurs cibles en même temps, dans l'espoir que les attaques sur les trois ponts et le fort lui-même commencent environ dix minutes avant le lever du soleil.

Il faisait encore nuit noire lorsque les hélices du Ju-52 ont commencé à tourner. Le décollage a commencé à 4 h 25 sur chaque aérodrome. Quinze minutes plus tard, tous les avions et les planeurs qu'ils remorquaient étaient en vol. Tous les feux de navigation entre Cologne et le point près d'Aix-la-Chapelle, où les planeurs devaient être décrochés pour continuer à voler indépendamment, étaient allumés, le parcours était marqué par des signaux lumineux et des projecteurs, de sorte qu'il n'y avait aucune difficulté de navigation. Exactement 31 minutes plus tard, tous les avions et planeurs se trouvaient à une altitude de croisière d'environ 2400 mètres. Près d'Aix-la-Chapelle, les Ju-52 ont fait demi-tour, désaccouplant leurs planeurs et les laissant planer silencieusement au-dessus du saillant de Maastricht vers leurs cibles.
Mais l'opération ne s'est pas déroulée sans heurts. Le premier problème est survenu avec le planeur du lieutenant Witzig. Son mécanisme de remorquage est tombé en panne et le planeur a atterri dans un champ près de Cologne. Witzig était celui qui était censé capturer le Fort Eben-Emael. Il téléphona précipitamment à son aérodrome pour un Ju-52 de réserve, qui n'arriva à sa disposition qu'à 10 heures du matin. Jusque-là, ses hommes avait opéré sans lui.
Le deuxième accroc était plus dangereux et pouvait endommager toute l'opération. L'un des Ju-52 a dételé son planeur tardivement, ayant volé trop loin en territoire néerlandais. Le bruit de ses moteurs a alarmé les artilleurs anti-aériens hollandais près de Maastricht, et le feu qu'ils ont ouvert était suffisamment fort pour être entendu à plusieurs kilomètres de distance.
Cependant, juste au moment où l'aube se levait encore à l'est, les planeurs restants ont atterri en toute sécurité et sans bruit sur le toit de Eben-Emael, qui était exempt de barbelés et non miné. Ils ont été immédiatement accueillis par un feu nourri, et des hommes qui ont atteint leur objectif dans neuf planeurs, trente ont été arrêtés dans le saillant nord, ce qui signifie qu'il ne restait qu'une cinquantaine d'hommes pour une action décisive du côté sud.

Les alarmes sonnaient follement à l'intérieur du fort, et les artilleurs étaient déjà en place, prêts à tirer, mais ils n'avaient rien sur quoi tirer, et personne ne savait exactement ce qui s'était passé. Bien que la poignée d'hommes qui ont attaqué le fort n'aient plus de commandant, le lieutenant Witzig, ils sont si bien entraînés que chacun sait exactement ce qu'il a à faire et se met immédiatement au travail. Des actions destructrices ont été menées à la vitesse de l'éclair. Chacun des petits groupes impliqués a effectué son travail avec la plus grande précision - les gens l'avaient pratiqué plusieurs fois auparavant. Certains d'entre eux ont attaqué et réduit au silence les canons légers, d'autres se sont précipités vers les dômes blindés rotatifs des canons lourds. En dix minutes, l'incroyable se produisit : neuf structures défensives avec garnison furent supprimées. Dans ce court laps de temps, sept dômes ont été dynamités avec de nouvelles charges de démolition charge creuse. Neuf canons de 75 millimètres dans sept casemates ont échoué. Lorsque le blindage de l'un des dômes s'est avéré trop épais, les assaillants ont lancé de petites charges dans les canons pour les faire éclater avec des explosions. A l'extrémité nord du fort, les barrières de barbelés sont coupées, les embrasures des mitrailleuses sont attaquées au lance-flammes, leurs équipages sont tués.
Dans les dix minutes prescrites - à ce moment-là, il était 5 h 40 - le grand fort a été aveuglé et effectivement mis hors de combat. Des actions secondaires ont suivi. Les puits de ventilation ont été désactivés. Des charges de 100 kilogrammes de nouveaux explosifs ont été larguées dans des puits de 40 mètres de profondeurs et les explosions dans un espace confiné se sont avérées dévastatrices. La garnison belge a lancé des contre-attaques infructueuses, moment auquel le toit d'Eben-Emael a commencé à tirer avec les canons de Liège de loin, mais sans but. Seuls un ou deux des dômes blindés des canons sont restés intacts.

Le 11 mai à midi, le contact est établi avec les unités allemandes qui avancent et, après avoir bombardé les trois dernières positions survivantes, la garnison d'Eben-Emael, comptant plus d'un millier d'hommes, capitule. Seule une poignée de parachutistes allemands ont capturé le vaste fort et leurs pertes ont été négligeables.

9 mai Oberst Oster de l'Abwehr allemande {49}informa son ami personnel, le colonel Szasz, l'attaché militaire néerlandais à Berlin, que l'offensive allemande à l'ouest commencerait le lendemain matin. Le colonel Szasz a immédiatement transmis cet avertissement à son gouvernement, qui a immédiatement ordonné la mise en état d'alerte maximale de l'armée et annulé toutes les permissions de sorties. Le gouvernement belge a également été informé, qui a pris de telles mesures, dont le commandant des unités gardant les ponts sur le canal Albert, a spécifiquement indiqué qu'une vigilance particulière était nécessaire. Des barrières ont été placées devant les ponts, la population locale a été avertie et les habitants de tous les bâtiments situés à moins de 1 000 mètres des ponts ont été évacués. Il ne restait plus qu'à allumer les mèches qui actionneraient les charges placées à l'intérieur des ponts.
Les gardes des ponts avaient été alertés, mais les soldats considéraient la nouvelle panique soudaine comme la répétition habituelle de toutes les angoisses insensées qu'ils avaient éprouvées auparavant. Pendant huit mois, ils ont perdu leur temps dans des bunkers inconfortables, attendant un ennemi qui ne s'est jamais présenté malgré les avertissements. Chaque alarme s'est avérée fausse. Et maintenant une nouvelle - encore une fois avec une interdiction de tous les sorties. Les hommes n'étaient pas encouragés. Ils savaient qu'ils étaient loin. Entre eux et le canal Albert s'étendait une étendue de territoire néerlandais de 35 kilomètres de large. Si les Allemands attaquaient finalement, ils auraient de nombreux signaux.
Mais dans les premiers rayons pâles du petit matin du 10 mai, dix avions sont apparus silencieusement dans le ciel. Silencieux parce qu'il ne s'agissait pas du tout d'avions, mais de planeurs. L'un d'eux atterrit à une cinquantaine de mètres à peine du bunker belge. Même alors, les gardes belges n'étaient pas très alarmés : ils pensaient qu'il s'agissait d'un atterrissage forcé. Le gendarme a couru en avant pour faire prisonnier l'équipage, mais a été immédiatement tué par une rafale soudaine. Pendant ce temps, d'autres planeurs ont atterri. Des personnes armées en ont sauté et se sont enfuies vers le bunker, dont dépendait le sort du pont. À ce stade, les Belges ont réalisé que l'affaire était sérieuse et se sont retirés des positions extérieures sous la protection de leur bunker. La première lourde porte en acier claqua, puis une autre. Le bunker était solidement construit et les hommes à l'intérieur se sentaient en sécurité.

- Tout bas ! il cria. — J'allume la mèche.
Les soldats ont trébuché dans les escaliers menant au sous-sol et un fusible a sifflé derrière eux. Un sergent belge, son nom était Crovels, se précipita après ses hommes. Au sous-sol, son caporal, après avoir réfléchi, eut une autre pensée.

« Sergent, il n'y en a qu'une poignée. Vous ne pouvez pas faire sauter le pont à cause d'eux.
Le sergent hésita.

« Peut-être avez-vous raison, dit-il. Vous pouvez toujours tout annuler.

Tous deux se sont précipités dans l'escalier, mais pendant qu'ils couraient, il y a eu une énorme explosion et le béton armé du bunker, d'une épaisseur de 50 centimètres, s'est effondré. Puis des grenades à main ont commencé à exploser, de longues rafales d'armes automatiques ont crépité. Le bunker était plein de feu et de fumée. Les munitions ont commencé à exploser, des cris de douleur ont été entendus. Les Belges survivants ont émergé un par un du bunker, les mains en l'air. Ils ont pu voir que le pont sur le canal était toujours intact - la première explosion qui a détruit les murs du bunker a dû éteindre la mèche. À midi, les Allemands contrôlaient fermement le pont et ses environs.
La même chose s'est produite sur le pont de Feldweselt. {50} Les planeurs atterrirent en silence, à l'improviste par les Belges, qui furent tués, à l'exception d'un grièvement blessé.
L'attaque du pont de Cannes {51} a échoué. Le pont a explosé et les Allemands attaquants ont été exterminés.
Mais les hommes du Hauptmann Koch ont capturé deux des trois ponts intacts, et c'étaient les deux plus importants. L'ensemble de l'opération a coûté 38 tués et 100 blessés. Des pertes pas si lourdes, mais aussi un gros prix ont dû être payés pour désactiver le puissant fort Eben-Emael. Désormais, il n'y avait plus d'obstacles significatifs sur le chemin entre l'armée allemande et la capitale belge.
L'expérience acquise dans ces opérations brillantes et réussies pourrait maintenant être utilisée en Angleterre, si le général Student en avait la permission. Les plans d'action étaient prêts et leur succès n'était pas plus incroyable que la prise d'Eben-Emael et les ponts sur le canal Albert. Alors que l'évacuation de Dunkerque était toujours en cours, Student a suggéré que la division de parachutistes soit lancée pour préparer le site pour l'atterrissage de la deuxième division transportée par avion. Avec 300 planeurs, chacun pouvant accueillir 10 soldats sélectionnés, Student s'attendait à ce qu'au cours d'une opération, il puisse débarquer 15 à 16 000 personnes, ce qui, à son avis, était suffisant pour capturer et tenir une tête de pont de 30 kilomètres de long et 16 kilomètres de large. Pendant que ce débarquement était en cours, d'autres unités pouvaient être larguées depuis les airs pour capturer des ports clés. Dans le même temps, les parachutistes étaient censés capturer des aérodromes dans les profondeurs du territoire et perturber le système de défense. Dès que ces aérodromes seraient aux mains des Allemands, un grand nombre d'unités de débarquement pourraient leur être transférées, dont certaines pourraient attaquer les défenses côtières par l'arrière, tandis que d'autres se déplaceraient sur Londres. Ce plan était bien réel, et personne ne le savait mieux que les membres de l'état-major impérial de Hitler- c'était exactement ce qu'ils craignaient le plus.

Le général Student a calculé que, compte tenu du transport continu, il pouvait débarquer une division d'infanterie complète en deux jours et réaliser ce que les Britanniques craignaient le plus : détruire complètement leur plan de défense.
Mais les responsables du sort de l'Allemagne ne partageait pas la confiance du général Student, et le plan a été rejeté. Qui peut dire aujourd'hui quelles étaient les chances de succès si le facteur surprise, qui fonctionnait si bien en Belgique et aux Pays-Bas, était également utilisé en Angleterre ? La rapidité et la soudaineté de l'action promettaient le succès. Mais les yeux des dirigeants allemands étaient fixés sur la soi-disant ligne Weygand. Elle décida qu'il fallait d'abord la percer et, ce faisant, viendrait le moment d'envisager la possibilité d'envahir l'Angleterre.
Cela a été fait, mais à ce moment-là, la chance avait été manquée.

Bien ce paragraphe provient bien sûr d'un livre, donc j'ai traduit avec un traducteur en ligne, mais les informations contenu dans cette partie de texte, provient bien d'un auteur Allemand, que son livre avait été publier déjà en 1955. Et lui même il est mort en 1956. En France le livre avait été publier en 1964.

Et la connaissance à l'information de l'histoire, ne devrait en aucun cas être payant.

Et l'oberst Hanz Oster, oui lui par de multiple fois, il a été énumérer dans les récits de l'Abwehr, comme il était un anti-nazi, il a bien fait fuité les informations.
Mais grâce à lui, quelques famille juif, eux on réussis aussi à fuir de l'Allemagne.
Mais aussi lui depuis 1943, Il avait reçus sa mise en demeure, pour rester emprisonné uniquement dans sa maison,et en 1945, c'était la potence qui l'a attendu.
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeJeu 22 Déc 2022, 22:23

Bien continuons à décortiquer les premières informations:
Juste pour les non connaisseurs, Une unité Abteilung, elle a été faussement traduite en français par Bataillon, or le nombre d'homme ou de compagnie que composait une Abteilung, est beaucoup plus importante que une unité Bataillon, ce n'est non plus une unité de régiment, puisque elle ne détient que environs la moitié de l'effectif d'un régiment, on peut dire, oui c'est un Bataillon Renforcé jusqu'à 150% de l'effectif d'un bataillon standard. Homme et matériel.

Citation :
Le 2 novembre 1939, la "Versuchs-Abteilung Friedriechshaffen (Abteilung expérimental Friedrichshafen)" est créé à Hildesheim sous la direction du capitaine Koch. La 1ère compagnie du 1er régiment de parachutistes et le peloton du génie du 2e bataillon du 1er régiment de parachutistes et le  Commandement des transports planeur servaient de tronc. L'effectif de la compagnie était d'environ 500 hommes. La tâche du département était principalement la mise en œuvre d'opérations aéroportées avec des planeurs DFS 230. Peu de temps après sa formation, l'unité a été rebaptisée Sturm-Ababteilung Koch. Au début de la campagne de l'Ouest, le détachement d'assaut est séparé et déployé en Belgique et en Hollande :

Groupe d'assaut "Granit" au fort belge Eben Emael :
Le groupe a atterri sur le terrain désigner à 5 ​​h 20 et a combattu 10 ouvrages ennemis avec des explosifs en 10 minutes. Il était possible de maintenir la forteresse jusqu'à l'arrivée des unités de l'armée. Pertes : 6 morts, 20 blessés.

Groupe d'assaut "Beton" au pont-canal Albert près de Vroenhoeven :
Le groupe a atteint le pont de Vroenhoeven à 05 h 15 le 10 mai sous de violents tirs antiaériens et de mitrailleuses près de Maastricht. L'un des 11 planeurs qui se sont lancés a dû effectuer un atterrissage d'urgence près de Hottdorf (*), un second est tombé d'environ 15 m après avoir été touché par les batteries antiaérienne, blessant grièvement trois hommes. Il a été possible de sécuriser le pont et de le tenir jusqu'à 21h40. A cette époque, le groupe a été relevé par l'avancée des unités de l'armée, puis déplacé vers Maastricht. Pertes : 7 morts, 24 blessés.

Groupe d'assaut "Eisen (Fer)" au pont-canal Albert près de Canne :
Le groupe a atteint le pont à 5 h 35, qui avait été dynamité par une détonation à distance lors de l'approche du planeur vers l'atterrissage. Un marin a été abattu par des tirs directs de la flak, 6 hommes ont survécu au crash. Le groupe a maintenant commencé à se battre pour libérer la zone autour du pont et la sécuriser pour les unités de l'armée qui avançaient. Le lieutenant Schächter, chef du groupe, a reçu une balle dans la tête. Le lieutenant Meissner prend alors la relève du groupe. Au cours de la journée a réussi à repousser plusieurs contre-attaques. Vers 22h30, les premiers éléments du 151. Infanterie Regiment et du 51. Battalion Pionnier atteignent le pont. A 14h00 le 11 mai, le groupe s'est ensuite déplacé vers Maastricht. Pertes : 22 morts, 26 blessés.

Groupe d'assaut "Stahl (Acier)" au pont-canal Albert près de Veldwezel :
Le groupe a atteint le point de débarquement à 5 h 20 le 10 mai. Il a été possible de prendre le pont et de retirer les engins explosifs à 5h35 du matin. Les Belges ont esquivé 500 m au sud-ouest et ont bombardé le pont à partir de deux canons à tir rapide, qui ont été réduits au silence par les Stukas. Vers 21h30, le pont est tenu contre plusieurs contre-attaques. A cette époque, le groupe a été relevé par l'avancée des unités de l'armée, puis déplacé vers Maastricht. Pertes : 8 tués, 16 blessés graves et 16 légèrement blessés.
Ici la source sont les information du site Lexikon der Wehrmacht.

Citation :
Les « Brandebourgeois » devaient entreprendre la prise par la surprise de Maastricht. La saisie des ponts du canal Albert et du fort Eben-Emael était la tâche d'une " Abteilung d'assaut" composé de parachutistes sous le commandement du capitaine Walter Koch. En tant qu'avant-garde de la 4e division Panzer (Stever), le 151e régiment d'infanterie (Melzer) et le 51e bataillon du génie (Mikosch) devaient relever les groupes aéroportés.

À partir de novembre 1939, la « Sturmabteilung » est soumise à un entraînement intensif à la base aérienne de Hildesheim et dans les Altvargebirge (les montagnes Hrubý Jeseník en Czeckoslovaquie). L'aérodrome était hermétiquement isolé du monde extérieur et le courrier était censuré. Chaque soldat devait signer un revers :

    "Je sais que je serai puni de mort si j'informe sciemment ou par négligence une deuxième personne, verbalement ou par écrit, de ma fonction ou de sa tâche."

Cette mesure servait à assurer le secret. Car le coup de surprise ne pouvait réussir que si l'adversaire était complètement désemparé. Les soldats aéroportés connaissaient bientôt tous les recoins du fort qu'ils devaient capturer, mais pas le nom ni l'emplacement. Néanmoins, deux pionniers parachutiste ont été condamnés à mort pour négligence mineure (bien qu'ils aient été graciés plus tard).

Afin de surprendre les défenseurs belges, Student avait imaginé une nouvelle tactique et utilisé un équipement qui n'avait jamais été utilisé militairement auparavant. Ce faisant, il était guidé par le fait que ni l'espace près des ponts ni le plateau d'Eben-Emael ne permettaient un saut en parachute quasi à l'aveugle.

La "Sturmabteilung" devait atterrir trente minutes avant le lever du soleil, en utilisant des planeurs "DFS 230". Eux uniquement, ils pouvaient être remorqués dans l'obscurité par des engins à hélices au-dessus d'une route balisée près de la frontière et y être relâchés afin de parcourir silencieusement le dernier tronçon de la route en vol plané.

L'adversaire ne connaissait pas l'histoire antérieure des planeurs. Il y a huit ans, la société Rhön-Rossitten avait construit sur la Wasserkuppe un planeur de grande envergure, qui devait être remorqué à une plus grandes hauteurs et y prendre des mesures météorologiques. Après avoir été testé par l'Institut allemand de recherche sur le vol à voile à Darmstadt (DFS), une version militaire de cet avion a été créée en 1933. Il a été construit en série par la Gotha`er Waggonfabrik à partir de 1937 sous le nom de »DFS 230«.

Le »DFS 230« était une construction tubulaire en acier de 11,7 m de long avec des ailes d'une envergure de 20,37 m. Le poids à vide était de 860 kg, la charge utile maximale de 1000 kg (9-11 soldats aéroportés entièrement équipés assis à califourchon sur la poutre centrale). Les roues ont été larguées après le décollage. Un patin a été utilisé pour l'atterrissage. Comme l'ont montré les tests militaires, cet avion pouvait descendre assez précisément sur une cible ponctuelle.

Le "Sturmabteilung" était divisé en quatre groupes : "Granite" (Witzig), "Concrete" (Schacht), "Steel" (Altmann) et "Iron" (Schächter). Le premier groupe - 85 hommes avec 2,5 tonnes de munitions explosives dans 11 planeurs - devait combattre les ouvrages avancés du fort Eben-Emael et tenir sur sa surface, le plateau, jusqu'à la relève. Les trois autres groupes ont été chargés d'empêcher le dynamitage des ponts de Kanne, Verldvezelt et Vroenhoven par une action rapide.

(*) hummmm, là le planeur qui avait atterrit en urgence, n'était pas du groupe Granit, mais du Groupe Beton,donc pas du groupe du Lieutenant Witzig.
C'est pour cette raison, que moi j'aime lire le récit par plusieurs source.

Et qu'es ce que on nous apprend, "Brandebourgeois"!
Cela ne m’étonne que à moities, en raison que en Norvège, ici ils avaient aussi déjà sauté avec les autres parachutistes.Et en 1940 leurs dénomination de leurs unités, n'était pas encore regiment ZBV-800 mais Bau Leer Bat. ZbV-800.

Et identiquement sur les récits de l'abwehr, ici à un moment donné, j'avais lu une partie ou était mentionné, uniforme police et gendarmerie Belge et hollandais. Mais à l'époque je n'avais pas encore fait le rapprochement, puisque dans aucun récit n'était mentionné d'espions ou de saboteurs qui aurait opérer dans ses zones. Si tout de même mais que des rumeurs que ils auraient opérer près de St.With.
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vania
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeVen 23 Déc 2022, 08:39

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leclerc1944
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeVen 23 Déc 2022, 16:39

Et voilà à présent pour les Branderbourgeois, il n'y a plus aucun doute, j'ai retrouver un de mes anciens sujet que j'avais posté sur un autre forum il y'a quelques années.

Citation :
Introduction
L'utilisation de commandos pour les tentatives pour prendre des ponts à travers les fleuves néerlandais peut compter sur une familiarité assez commune. Néanmoins, ces actions ne sont pas non plus très connues.

Tout d'abord, il est clair que les actions - présupposées si elles étaient dues à leur origine directe de la plus haute instance de l' Abwehr allemande - étaient totalement en violation de la guerre. D'un autre côté, il est évident que tous les grands guerriers se sont retrouvés en temps de guerre - même au cours du 20ème siècle - et ont espionné et saboté. Un argument agressif sur l'illégalité des actions allemandes du 10 mai 1940 est donc sans signification. Il est donc omis.

Ces dernières années, des recherches ont été menées notamment sur les commandos brandebourgeois , l'unité qui a tiré la plupart des « opérations sous couvertures» au début de la seconde guerre mondiale. Cependant, les Brandenburger seront bientôt transformer d'une unité mystérieuse en une division des forces armées à part entière et régulière.

Ce n'est certainement pas l'intention de cette contribution qu'une discussion complète des Brandenburger soit donnée. L'accent est mis principalement sur le domaine d'intérêt - la marche et tout  particulièrement celle du 26.AK - les actions intéressantes et, bien sûr, l'implication de l' Abwehr dans la lutte sur le front Sud de la Hollande.

Les Brandenburger

En octobre 1939, le Hauptmann Dr. Von Hippel reçois l'ordre de l'amiral Canaris [commandant de l' Abwehr] de mettre en place une unité qui doit effectuer des actions commandos aux Pays-Bas, en Belgique et en France. Cette unité devait être formée sous la forme d'une compagnie de Sabotage et Eingriff (compagnie d'intervention). En outre, pour former une unité appropriée pour les « actions Handstreich»(jouer un mauvais tour à quelqu'un) , il a été exempté de recruter des personnes néerlandophones, flamandes et francophones dans l'unité, ce qui était en fait interdit en vertu du droit allemand.

L'unité a trouvé résidence à Brandenburg an der Havel. Dans une zone militarisée sur le lac de Quantz, lieu ou tous les candidats membres de l'unité ont suivi leur formation de base à Abwehr . Ils pratiquaient les techniques de sabotage, l'utilisation des moyens de communication, les explosifs, les manipulations d'armes étrangères et les méthodes de camouflage. Le bureau de l' Abwehr du major Marguerre a organisé le dispatching dans les unités spécifiques des uniformes étrangers et des vêtements civils ainsi que des documents et des armes. La formation génie - qui devait être complétée - a été dirigée par l'inspecteur technique Kutsche.

Au  courant du mois d'octobre 1939, l'unité a également reçu sa dénomination de « Baulehr Kompanie zur besondere Verwendung 800». Au mois de novembre, deux autres compagnies de Brandebourgeois ont été constituées avec des fonctions plus ou moins égales. Pendant les même mois, les premiers groupes de Brandebourgeois reçurent des ordres du plan de l'invasion Ouest (Jaune).

En décembre 1939, l'unité comprenait maintenant quatre compagnies avec un état major, et a été désigné comme Baulehr Bataillon zbV800 . au même moment, la mission de l'unité a changé dans un sens d'un plan plus ambitieux, ou dans le plan de développement a été intégré la prise de nombreux ponts en Belgique et aux Pays-Bas grâce à une «action Handstreich» . On a donc reçu une formation supplémentaire en manipulation manuscrite, montrant un comportement familier dans un uniforme étranger et, surtout, des méthodes pour passer inaperçues avec les objets.

Trois unités axées sur les tâches ont reçu des missions pour le territoire néerlandais. Cela concernait le I.Zug (unité de train) de la 4e KP sous Leutnant Witzel [l'adjoint était le Feldwebel Stöhr], Ou furent attribué 60 hommes qui ont été localisé dans le Reichswald près de Goch-Asperden. Leurs objectifs étaient quatre ponts à travers le canal Maas-Waal. En outre, le IIème Zug de la 4ème KP sous Leutnant Grabert qui ont été envoyé  à Arsbeck près de Reydt [th Venlo] avec 40 hommes. A l'Oberleutnant Walther - le chef de compagnie – on lui a confiée une tâche spéciale la direction du groupe. Leurs buts étaient quatres ponts sur la Meuse. De plus, un peloton - qui a reçu la  dénomination de « Baulehrzug 800 zbV» - sous la direction du Feldwebel Kürschner, avait pour tâche de prendre les quatre ponts [Stein, Urmond, Berg et Obbicht] sur le Canal Juliana.

Les hommes étaient vêtus presque partout en hommes portant un uniforme militaire hollandais. En vêtement  militaires ou civiles les hommes étaient armés de mitrailleuses, de pistolet ordinaires et de grenades à main. Les groupes étaient généralement composés de six à neuf hommes, dont au moins un parlait le néerlandais. Dans certains cas, comme à Roermond, un Néerlandais le V-Mann [ Vertrauensmann (homme de confiance)] a été utilisé comme couverture.

   Le Batallion zbV 100

   En plus des Brandenburgeois, pour l' Abwehr a servit  un second bataillon le ZbV  100 de Breslau. Cette unité était (au moins) censée prendre deux ponts, qui se trouvèrent à Westervoort et Nimègue. L'unité a été commandée par le Hauptmann Fleck.

   Le Sonderverband Hocke(*) , qui lui a été transmis dans Limbourg Sud, était composé d'hommes provenant du Bataillon Brandenburger et du Breslauer.

(*) Alors pour mon petit astérix, J'ai retrouvé un Leutnant Hanz Jochachim Hocke, qui lui est tombé le 10 Mai 1940. Et lui était bien née à Breslau. Donc provenait de Breslau avec le Bataillon ZbV-100 (pour le moment, j'ai retrouvé qu'il y avait 3 compagnie dans le ZbV-100.
Ainsi comme c'est énumérer, que c'était un bataillon Mixte,  sur les 10 autres hommes qui sont tombé ce jour là, il est uniquement mentionné, qu'ils ont appartenu soit à la 1ère; 2ème ou 3ème Compagnie du bataillon ZbV-100, pas de distinction à l'appartenance du bataillon ZbV-800., mais es ce que le jour de leurs combats, ils ont détenu les plaques du ZbV-800 ou -100?
Bien sûr ont trouve aussi les morts ayant appartenu au ZbV-800 nombre de 25.

Mais pour les hommes tombé et provenant de la ZbV-100, ils sont tous tombé dans la zone de Maastrich (entre roermond et Venlo).
Tandis que les hommes tombé et provenant de la ZbV-800 eux sont tombé plus dans la Zone de Nimègue plus au nord du Pont Gennep.

Bien après ces explications, la suite:

   
Citation :
Les missions de Certains groupes

   Les ponts sur le canal Juliana ont été pris avec succès par les petits groupes des Brandenburger , mais leur succès a été quelque peu minimisé par la perte du pont Maas (meuse).

   Ailleurs, les hommes réussissaient souvent moins bien. À Roermond par exemple, le commandant de peloton Leutnant Grabert a uni ses forces de 15 hommes et ainsi du dénommé V-Mann. Ils portaient des uniformes des forces armées néerlandaises. Cependant, l'unité a été arrêté par une patrouille néerlandaise, et par la suite ont été démasquée. La mission a échoué.

   A Buggenum le pont devait être pris par une formation de six hommes sous le commandement de l'Unteroffizier Hillmers. À l'exception de l'Unteroffizier qui avait été déjà blessé sur le pont, les hommes sont montés sur le pont au moment ou il a été détruit.


Ces trois là = Zbv 800 "Brandenburger"


 
Citation :
Le pont de Gennep a été pris par un groupe sto sous Oberleutnant Wilhelm Walther. L'adjoint de l' Oberleutnant était le Feldwebel Stöhr. Il y avait trois Hollandais (V-mann). Tous les trois étaient habillés en uniforme de la Maréchaussée. Neuf Allemands ont été capturés comme des soi-disant prisonniers. Le groupe comptait ainsi douze hommes dont le commandant. Sur le chemin, l'un des trois Néerlandais a refusé d'aller plus loin parce qu'il ne voulait pas entrer dans la seconde zone et ou il a été gardé par un des Allemands. Ainsi seulement dix hommes sont allés à Gennep. Ils ont réussi leurs intentions. L'Oberleutnant Walther a été légèrement blessé à sa joue pendant sa chirurgie, ou il a reçu la Ritterkreuz (croix de chevalier) le 24 juin 1940 pour l'action réussie.

   L'action des Brandenburger à Katwijk sur la Meuse (Mook) n'a pas abouti. La formation là-bas, où dans la littérature divers ordres ont été mentionnés et comme commandant ont été bloqués pour une raison quelconque. Le pont ferroviaire a été fait sauté à temps.

   A Heumen, la moitié de l'unité du Leutnant Witzel - 34 hommes - a été déployée. Quatre hommes déguisés en maréchaussées et trente prétendus déserteurs allemands. Witzel lui-même a mené l'opération. Au moins deux néerlandais (V-Mann) faisaient partie de l'unité. Parmi eux un Lucassen, qui était parti en avant. L'action a été achevée initialement, mais comme décrit ailleurs, cela a conduit à une impasse durable le long du canal.

   Les autres actions sur le canal ont échoué.

Engagement sur le front sud

Il n'y a aucune raison de supposer que des commandos "Brandenburger" ont été déployés sur le front sud de la forteresse-Hollande, mais tandis que l'Abwehr II (Cologne) elle a employé un nombre considérable d'experts hollandais et d'hommes parlant le Hollandais qui étaient auparavant pour l'Abwehr ont effectué des activités de renseignement louches aux Pays-Bas et en Belgique flamande.

Le Néerlandais Douwe de Vries était l'un d'entre eux. Sur ce site web, il a déjà été mentionné sans son nom explicite, mais maintenant son nom est explicitement inclus dans d'autres publications, il n'y existe donc plus d'obstacle à cela. De Vries a travers sa contribution – a été prétendument exclusivement utilisé en tant qu'interprète - en 1947 (lui-même la affirmer) au cours d'un interrogatoire pour le rapport d'enquête à des policiers.

D'autres noms sont issus des études remarquables belges. De l'historien belge Etiënne Verhoeyen qui a écrit un ouvrage très intéressant "Spionnen aan de achterdeur - De Duitse Abwehr in België 1936-1945" (traduit cela donne "les Espions de l'arrière - L'Abwehr allemande en Belgique 1936-1945 "). Ou un nombre d'agents belges de l' Abwehr ont été liés au Front Sud des Pays-Bas. Deux hommes d'Eupen, la célèbre ville germano-belge qui a été attribuée aux Belges après le traité de Versailles et, bien sûr, c'était une zone agréable pour l' Abwehr . Les deux hommes étaient des socialistes nationaux connus par l'armée belge, déserteur et recrutés par l' Abwehr Sondergruppe, qui organisait toutes sortes de tâches louches sur le territoire hollandais. Ce furent  Willy Kalscheuer et Jules Delhaes. Les archives de la guerre de Liège [Dossier No. 2346/47 sur Delhaes] ont montré que les deux hommes étaient déployés sur le front sud.

Explicitement Verhoeyen la relié à Waalhaven en mai 1940 dans le groupe il y avait Meert, Klingenburg et Walter Keilholz. Et peut-être aussi Striefler. Walter Keilholz est originaire de Rheydt (à Mönchengladbach), ville natale de Goebbels. Il était un entrepreneur textile, formé académiquement. Maurits Meert, était un homme du textile, et il connaissait aussi et peut-être la firme de Keilholz. Le Belge Meert provenait de St Niklaas, est il est arrivé à Abwehrstelle II en 1939 ou il a donné des cours de néerlandais. Meert semble avoir dirigé le Sondergruppe , composé de 24 membres, tous destinés à la Flandre et aux Pays-Bas. Ernest Klingenburg avait été envoyé à Leiden, mais c'était un historien Allemand. Il a travaillé au Westdeutsches Forschungsinstitut (Institut national des sciences socialistes). Ce dernier a également connu Frits Striefler, qui était actif dans la politique dans les années 1930 à Leuven pour promouvoir la germanisation.

On sait que la plupart des hommes mentionnés ci-dessus appartenaient au groupe qui se consacrait à l'économie, au commerce et à la finance. Seuls Striefler et Klingenburg étaient impliqués dans la culture et l'éducation, ce qui semble logique dans leur contexte scientifique (nazi). Avant la guerre, ils étaient principalement actifs en tant que informateur pour le groupe d'armées B et - pour les Pays-Bas - la 18ème Armée. Ils ont donné des conseils pratiques aux unités qui allaient opérer dans les zones. Dans ce contexte, il est donc possible qu'ils aient été déployés en mai 1940 pour, par exemple, la sécurisation de l'or néerlandaise dans la banque de la DNB à Rotterdam. C'est une pure suggestion bien sûr.

Verhoeyen trouve également des preuves d'au moins une partie des tâches d'occupation des hommes de l' Abwehr qu'il met en question. Cette partie est tellement excitante qu'elle est citée ci-dessous. Cela est mentionné a la pg. 300 de son livre mentionné ci-dessus:

" En mars 1940, le groupe est envoyé pour une formation de pionnier au camp de Wahnerheide à Cologne. Les membres du groupe ont reçu l'ordre de se rendre à la Fliegerhorst Gütersloh le 6 mai 1940. Là, ils ont été divisés en groupes. Meert, Klingenburg, Delhaes, Kalscheuer, Keilhoz et peut-être Striefler qui ont été parachuté le 10 mai 1940 au matin à l'aéroport de Waalhaven à Rotterdam où ils devaient se connecter avec le l'état major du 1er Fallschirmjägerregiment. Meert reçut l'ordre d'interroger des prisonniers et des officiers néerlandais. Après l'arrivée de General Student à Rotterdam, il a demandé au groupe d'aller au pont de Moerdijk, où ils ont rempli le même rôle. Pour cet effort, ils ont reçu la Croix de fer 2. klasse le 25 mai 1940. Cependant, la plupart des membres du Sondergruppe n'ont pas été envoyés le 10 mai 1940 avec la 7e division Flieger mais envoyés directement de Cologne à l'endroit où ils allaient travailler dans le bureau d'occupation ou pour l'Abwehr."

Ce qui précède donne une image d'un groupe spécifique d'hommes de l'Abwehr , mais pas tous tous les autres personnes qui sont devenus actifs sur le front Sud. Par exemple, Douwe de Vries n'a pas été mentionné et n'a probablement pas apparu via ce Sondergruppe dans le Front Sud, mais via l'organisation zbV, avec un autre objectif opérationnel. La "formation Génie" mentionnée ci-dessus a été une couverture. Dans ces camps, on ne recevait généralement qu'une formation d'infanterie de base. La plupart d'entre eux n'étaient que des civils sans formation militaire.

Donc comme on le comprend, ici cinq minute de parlotte, dans un documentaire, c'est réellement pas beaucoup d'information qui on été offertes, et ici devoir acheter à chaque fois 5 ou 6 livres, ou uniquement une petite partie est mentionné, et que dans le nouveau livre d'après figure encore d'autre information nouvelle, moi j'appelle ça rendre les personnes dépendante de l'achat des livres.

Tandis que ce sujet, il vas réellement devenir intéressant, puisque non seulement il parlera de Student en Hollandes, mais aussi des opérations de l'Abwehr avec la ZbV-800 et bien sûr le Groupe du capitaine Koch.
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeVen 23 Déc 2022, 17:06

Etienne Verhoeyen a écrit:

En Belgique, Gruppe I a réussi à recruter une centaine d'agents avant mai 1940, qui ont parfois fourni des informations importantes sur, par exemple, la défense belge. La plupart de ces agents l'ont fait pour l'argent.

Les employés du Gruppe II avaient des motivations politiques et idéologiques. L'Abwehr II a soutenu le Vlaams Nationaal Verbond (VNV) avec l'intention de saper la résilience de l'armée belge. Il soutient également le Front Heimattreue, qui veut reconnecter les Cantons de l'Est à l'Allemagne. Environ 150 personnes mobilisées ont déserté en Allemagne de cette organisation. Un certain nombre d'entre eux ont servi de guides aux troupes d'invasion allemandes dans leur propre région.

Gruppe III était principalement actif en Belgique pendant l'occupation dans le but de combattre la résistance. À cette fin, des agents infiltrèrent les groupes de résistance, ce qui, au bout d'un certain temps, conduisit à des arrestations plus ou moins massives. Près de 300 de ces agents ont été identifiés ; vingt pour cent d'entre eux sont des femmes.
Avec les groupes, ici ce sont les divers groupes de l'Abwehr bien sûr qui gérait les opérations, et qui payait.
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeVen 23 Déc 2022, 17:58

Bien premier agent de l'abwehr et faisant partie de la ZbV-800 avec les opérations en Belgique et en Hollandes..

Citation :
German Kirchner ( Kurschner ; 1910 - après 1977) - Officier du renseignement militaire allemand, capitaine, saboteur, titulaire de la Croix de fer 1re et 2e classe [1]

Biographie

Né en 1910 dans la ville du Main sur le Rhin. Dans l'armée allemande depuis le 1er novembre 1929. En décembre 1939, il reçut une lettre d'une de ses connaissances, un employé de l'Abwehr 2 du quartier général principal des forces armées allemandes Hoffmann, Josef, lui proposant de rejoindre une unité militaire engagée dans des missions spéciales. Dans une lettre de réponse, Kirchner a écrit à Hoffman que, par conséquent, ils devaient se rencontrer en personne. Le 1er janvier 1940, lors d'une réunion, Hoffmann lui explique que le bataillon dans lequel il l'invite à le rejoindre est l'une des parties de l'Abwehr 2 et que cette unité, sur ordre de l'état-major des forces armées allemandes, effectue tâches spéciales derrière les lignes ennemies.

Après avoir accepte et rejoint le Brandenburg Battalion 800, Kirchner le 20 janvier 1940 est envoyé à la disposition de ce bataillon. À son arrivée au bataillon le 23 janvier 1940, Kirchner a signé à commandant de bataillon Theodor von Hippel le document sur la non-divulgation de son service dans la formation Brandebourg 800, qui s'appelait conventionnellement le bataillon de construction et d'entraînement (Baulehr Bat.).

Alors qu'il servait dans ce bataillon en février-mars 1940, Kirchner fut envoyé deux fois à des cours de reconnaissance et de sabotage à Brandebourg 800 dans le domaine de Quenz, près de la ville de Brandebourg, où il s'entraîna à chaque fois pendant 15 jours. Lors de ces cours, il a reçu une formation de saboteur et a également appris les méthodes de travail de renseignement et de contre-espionnage dans le cadre des travaux de l'Abwehr 2.

Après avoir suivi des cours au domaine de Quenz, le capitaine Theodor von Hippel confie à Kirchner la formation du peloton de choc "West-Zug" parmi les soldats de l'armée allemande connaissant la langue néerlandaise pour les opérations en Hollande. Durant février-mars 1940, Kirchner est engagé dans la formation de ce peloton et à son entraînement à la reconnaissance et au sabotage. Fin mars 1940, Kirchner fut convoqué à l'OKW allemand à Berlin par le colonel Stolze, qui l'informa du plan Unternemen "Tante", dont la tâche était de capturer les ponts sur le canal Juliana à la frontière belgo-néerlandaise, et ordonna à Kirchner , en collaboration avec le personnel du peloton "West Zug", de mettre en œuvre le plan.

Début avril 1940, Herman part avec un peloton pour Erkelenz, à 40 kilomètres de la frontière germano-néerlandaise. À son arrivée à Erkelenz, Kirchner a contacté le chef du département IA de la 6e armée, le major Palzo, et le chef du département IA de la 7e division, le lieutenant-colonel Reicheldot, dont il a reçu des photographies de la zone où l'opération devait avoir lieu, des informations de renseignement sur la protection des ponts et leur état, et pris connaissance du plan opérationnel de cette opération.

Opérations en Belgique et en Hollande

Pour revérifier les matériaux, le département IC IA, Kirchner, avec le lieutenant Klein, il a traversé la frontière hollandaise-allemande à trois reprises pour clarifier les informations des données des départements et étudier la zone où lui et son peloton étaient pour mener l'opération Unternemen "Tante". Dans la nuit du 10 mai 1940, Herman, avec son peloton en ayant vêtu l'uniforme de Soldat de l'armée néerlandaise et de la gendarmerie néerlandaise, il franchit illégalement la frontière et le matin du 10 mai 1940 captura quatre ponts à la frontière belgo-néerlandaise et a fourni aux troupes allemandes un passage vers la Belgique. Au cours de cette opération, la garnison hollandaise qui gardait ces installations stratégiques a été tuée et blessée, et environ 180 soldats et officiers ont été faits prisonniers.

Comme ce sujet n’aborde pas le Front de l'Est, donc je vous épargnes la partie du récit de ses opérations, en URSS. ou en 1949, il as été arrêter et emprisonné.

IA = Chef d'état major d'une division ou d'un corps ou d'une Armée.
Et le IC = Service de Renseignement, Division, Corps ou d'une Armée.
le IC était toujours raccordé au chef d'état major, qui était apte a recevoir et à lire les renseignements classé. En russie, ici le IA demandais directement de recevoir des renseignements des Espions, et ce en utilisant leurs propres IC ou Ic, puisque passé par les canaux de l'Abwehr, ici ce n'était même pas certain, que leurs questions qui se sont posé, aurait une réponse.


Dernière édition par leclerc1944 le Ven 23 Déc 2022, 21:40, édité 1 fois (Raison : rectification)
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeVen 23 Déc 2022, 21:32

oh punaise, dès le moment ou on entre dans les documents de l'Abwehr, avec des mots clés, qui auparavant n'aboutissait pas, on trouve encore et encore des réponses. Le bouquin de Franz Kurowski, lui ne raconte que du blabla du moins pour le côté Ouest, et pour 1940. Tandis que oui, ce Belge Etienne Verhoeyen, avec son Bouquin, oui c'est la référence je dirais pour les opérations sur le territoire Belges et Hollandais en 1940.

Du moins, les Belges et les Hollandais, on bien écrit beaucoup plus de détail croustillant, que les Français on pu écrire sur la bataille de France.

Puisque avant que l'armée arrive, bien sûr il y'a le service de renseignement qui fait des opérations, et renseigne ainsi l'armée si le secteur est envisageable ou pas.

Donc là pour plus de sureté, je suis entrain de visionné les tué 10 mai 1940; et leurs emplacements. Ainsi je vais une fois commencer avec les tués et leurs lieu de la Zbv-800.
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeSam 24 Déc 2022, 08:34

Citation :
le 10 Mai 1940. Btl. Zbv-800
Un pionier mort à Grave
Ici normalement, je n'ai pas vérifier encore, peut être si l'un de vous pourra le vérifier, il y'avait dans le film "un pont trop loin" le pont Grave que les Américains, on essayer de prendre, mais que les allemands on fait exploser, es ce celui ci que lui et sa compagnie on souhaité prendre ?
Mais il y'a aussi la Ligne Hollandaise Brabant. Peut être un bunker ???
C'est avant Nimègue, ou le fleuve Meuse ou Maas se trouve.

Un Stabsfeldwebel mort à Kuilemburg ou Culembourg. Le 10 Mai 1940.
Ici bien sûr il y avait un pont ferroviaire. Mais il est encore énnumérer :
Blessé près de la casemate 50 du Groupe Betuwe. Décédé des suites. Il était affecté aux équipes de prise des ponts sur le canal Maas-Waal.
Et lui à l'origine, il était subordonné à la 1/Grz.Wa.36. (Garde frontière 36ème Etat major.).

Un Pionier Mort près du canal Maas-Waal.
Après avoir été intérogé par le capitaine Boer, il était vêtu de vêtement civile. Il a été ordonné de passé par un peloton pour être exécuté.

Un autre Pionier, toujours dans le secteur identique près du Canal Maas-Waal, ici c'était la commune de Heumen.
Et pour la commune identique, on trouve un autre lui avais le rang de Gefreiter (caporal).
Toujours la commune identique de Heumen un Soldat mort. Suite après interrogatoire, il est passé par les Armes du bataillon des Gardes frontière, il était vêtu de vêtement de la marée chaussés.
Commune identique, inconnu mort le jours identique et après interrogatoire, qui ont rapporté dans le rapport ayant appartenu à l'unité Bat, ZbV. 800, on été passé par les armes du bataillon des gardes frontière. Selon les sources Allemandes, ici 3 hommes qui devait prendre le pont secteur Betuwe, 2 hommes on été identifier.

Un Gefreiter (Caporal) mort à Malden toujours en direction de Nimègue. 4/Btl.zbV 800
Un second Gefreiter mort à Malden, identiquement même unité de la 4ème compagnie.
Un 3ème Gefreiter mort à Malden, identiquement même unité.

Un Gefreiter , mort à Buggenum (au Nord Est de Maastricht et à l'Est de Eindhoven).
Un autre Gefreiter identifié, mort à Buggenum(Selon Helmuth Spaether dans "Die Brandenburger" -eine deutsche Kommandotruppe", page 62, 3 ont été tués en sautant du pont de Buggenum. Dont 1 seulement le nom est connu). Avec 2 autres inconnu.

1 inconnu mort à Hatert, il était vêtu de vêtement civile noir, et allongé près du pont, as été passé après interrogatoire, passé par les armes du bataillon des gardes frontière.
1 inconnu Allemand déguisé en civil, surpris en train d'observer les positions des défenseur Néerlandais sur le canal Meuse-Waal.Source : article De Gelderlander-Pers samedi 8 mai 1965 : 'l'observateur a dû être exécuter avec la peine de mort' (Ici il s’agissait sûrement d'un des agents "V" qui on aidé l'abwehr, par motivation politique.) Commune de Neerbosh.
4 inconnu mort, d'après les rapports du 15/05.1940 du 2.Zug 4.Kompanie
Bau-Lehrbatl.zbV 800, ils avaient pour mission la prise du pont de la meuse, à Roosteren (ville Frontière Hollandaise avec la Belgique. Séparer par la meuse).

Et voilà une fois.
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitimeSam 24 Déc 2022, 08:51

Détaillé et prenant comme texte, mais quid des Brandebourg sur le front de l'Est ?! Smile
A moins qu'on ait déjà eu un sujet là dessus... scratch
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MessageSujet: Re: "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique   "FALL GELB" phase1A les Paras de Student Belgique Icon_minitime

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