Otages du Hamas liberes

Alma et Noam, les adolescents

Alma (13 ans) et Noam (16 ans) ont tous les deux été enlevés au kibboutz Beeri en compagnie de leur père Dror Or (48 ans) et de leur cousin Liam (18 ans).
Samedi, seuls les deux plus jeunes ont donc été libérés.




La femme de Dror et mère des enfants, Yonat, a en revanche été tuée dans l’attaque du 7 octobre.
Une information dont les deux adolescents ne disposaient pas au moment de leur libération, comme le révèle la BBC.


On est surpris de la bonne ambiance qu il y a entre les soldats du hamas et les otages liberes (saluts amicaux)





source
dailymail.co.uk

Autre chose : dans les dits otages franco-israéliens les familles ne savent pas s'exprimer en français, juste dans leur langue ou en anglais !!!!!!!!!!!  
Je rappelle à ceux qui savent pas que pour avoir une nationalité (double ou pas) il faut soit être né dans l'un le (ou des pays) mais pour l'autre il faut parler la langue. Je comprend pas toujours.  Si aucuns parlent français je pige mal.   De plus si même il ont une double nationalité : dans quel but ????  Ils vivent là-bas et nous font c...r !  quand on gueule au scandale et qu'on n'est pas chez soit faut pas se plaindre.
Territoires occupés, colons etc... Ca veut dire quoi ?  Macron (le pauvre petit) qui veut que les "otages [français]" soient libérés, perso je m'en fout, ils peuvent les garder !  On choisis un pays dans ce cas, pas les deux, et surtout pas le beurre et l'argent du beurre.    Ca prend tout d'un coté comme de l'autre.  
C'était mon coup de gueule du dimanche après midi. qu'ils se démerdent avec leur Mengelnyahou !

Les bi-nationaux,c est souvent a cause des parents...l un est francais,l autre israelienne par exemple....ainsi,c est plutot facile
d avoir les 2 nationalites voir 3 si l enfant est ne en Iltalie ou autres ...
On en a des comme ca en Thailande notament des jeunes femmes qui sont tri-lingues voir plus...c est tres impressionnant

On pleure sur eux, faut les plaindre, les pauvres etc... 100 otages et 11.000 morts de l'autre coté, cherches l'erreur !

carbone14 a écrit:

On pleure sur eux, faut les plaindre, les pauvres etc... 100 otages et 11.000 morts de l'autre coté, cherches l'erreur !

On en est a plus de 15.000 morts et 7000 disparus sous les decombres a ce jour...

naga a écrit:

carbone14 a écrit:

On pleure sur eux, faut les plaindre, les pauvres etc... 100 otages et 11.000 morts de l'autre coté, cherches l'erreur !

On en est a plus de 15.000 morts et 7000 disparus sous les decombres a ce jour...

OK, je suis dépassé.
Revenons aux otages : ils ont l'air en pleine forme et correctement bien peignés, coiffés et habillés, voire bien propres.  Ils sortent pas de "captivité" comme a dit un reporter français.  Captivité on sait ce que c'est : c'est les camps allemands et japonais de la WWII.

Le Hamas a remis 17 autres otages à la Croix-Rouge
Au total, treize Israéliens, deux ressortissants thaïlandais et une personne originaire de Russie ont été libérés par le groupe militant,
dont une jeune orpheline israélo-américaine qui a eu quatre ans alors qu’elle était otage.
Tous les 13 otages israéliens, sauf un, ont été emmenés en Israël, tandis qu’une Israélienne âgée a été emmenée au poste-frontière de Rafah avec l’Égypte,
avec des ressortissants thaïlandais et russes qui ont été vus en train d’être conduits dans une camionnette de la Croix-Rouge.

Cela survient alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu’il s’engageait à restituer les quelque 200 otages détenus par le Hamas.


Sur la photo, de gauche à droite : Hagar Brodutch et ses enfants Ofri, Yuval et Oriya, Roni Krivoi ;
au milieu : Chen Almog Goldstein et ses enfants Agam, Gal et Tal ;
en bas : Abigail Idan, Elma Avraham, Aviva Siegel et ses sœurs Ela et Dafna Elyakim





Deux sœurs qui avaient été enlevées au domicile de leur père assassiné et retenues en otage par le Hamas ont été réunies avec leur mère après 51 jours de « désespoir ».
Ela Elyakim, 8 ans, et Dafna Elyakim, 15 ans, ont été kidnappées lors du massacre du 7 octobre après avoir été forcées de regarder les terroristes interroger leur père
avant sa mort.
Aujourd’hui, les sœurs ont été libérées et réunies avec leur mère Maayan Zin, qui les a serrées dans ses bras après avoir passé des semaines à vivre
dans « le désespoir et l’espoir, entre la douleur et l’optimisme ».




Mme Zin a serré Ela et Dafna dans ses bras peu après leur arrivée en Israël aujourd’hui.
Les deux filles ont été enlevées au domicile de leur père Noam Elyakim dans le kibboutz de Nahal Oz.
Le lendemain de l’attaque, Mme Zin a vu sur WhatsApp une photo de Dafna « assise en pyjama sur un matelas à Gaza avec le commentaire
« En tenue de prière, ce serait mieux » ».

Une vidéo a également émergé montrant le couple assis avec M. Elyakim, qui saignait de sa jambe, sa compagne Dikla et son fils de 17 ans, Tomer,
alors que les terroristes les interrogeaient.
Les corps de M. Elyakim, Dikla et Tomer ont été retrouvés criblés de balles dans un terrain vague. Ela et Dafna ont été prises en otage.
Avant d’être abattu, des militants lui avaient dit de faire du porte-à-porte et de parler en hébreu pour convaincre ses voisins de quitter leurs abris.

Aujourd’hui, après avoir retrouvé ses filles, Mme Zim a déclaré au New York Times :
« Après une longue période au cours de laquelle j’ai vécu dans une terrible incertitude, mes filles sont enfin avec moi.
« Ce furent 51 jours pendant lesquels j’ai vécu entre le désespoir et l’espoir, entre la douleur et l’optimisme. »
Elle a déclaré que la famille connaîtra une « période de récupération » qui, elle le sait, « prendra du temps ».

Ela et Dafna ont également la nationalité hongroise, selon les médias.

Les autres enfants, détenus par le Hamas depuis sept semaines dans les tunnels souterrains de Gaza, ont été nommés comme suit :
Ofri Brodutch, 10 ans, Yuval Brodutch, 17 ans, Oriya Brodutch, 11 ans, Agam Goldstein, 7 ans, Tal Goldstein, Gal Goldstein.

Abigail Idan, une Américaine d’origine israélienne de quatre ans (photo), est maintenant orpheline, après que ses parents ont été tués lors de l’incursion meurtrière
du Hamas le 7 octobre.




Parmi les autres otages libérés aujourd’hui, dans le cadre de l’accord entre le Hamas et Israël qui verra la libération d’une cinquantaine de femmes et d’enfants détenus
par le groupe terroriste en échange d’un bref cessez-le-feu, figurent :
Hagar Brodutch, 50 ans, Chen Goldstein, 39 ans, Alma Avraham, 48 ans, et Adrian Aviva Siegel, 84 ans.

L’otage russo-israélien Ron Krivoi, 25 ans, a également été nommé et photographié.
Il a été kidnappé par le Hamas au festival de transe Nova, où il travaillait comme ingénieur du son.
Il a d’abord réussi à s’échapper et à se cacher dans un fossé, a déclaré sa sœur Julia aux médias israéliens, mais à midi, une personne arabophone
répondait à son téléphone.
Cadet d’une fratrie de trois enfants, Krivoy est né en Israël et, selon son père, a survécu à deux accidents de voiture et à une chute dans un égout.

Le Hamas a déclaré qu’il était libéré en dehors de l’accord de trêve avec Israël, et « en réponse aux efforts du président russe Vladimir Poutine
et en appréciation de la position russe en faveur de la cause palestinienne ».





Les otages israéliens ont été emmenés à l’hôpital Schneider de Petah Tikva, près de Tel-Aviv, qui était encerclé par des citoyens israéliens qui attendaient désespérément de voir
les otages à leur retour de captivité.

Le ministère qatari des Affaires étrangères a déclaré que 39 otages palestiniens, composés de femmes et d’enfants, seraient libérés en échange de la libération
des 13 civils israéliens et des quatre autres ressortissants étrangers, mais n’a pas donné plus de détails sur la manière ou le moment où cela se produirait.

L’attention du monde entier s’est portée sur Abigail Idan, une jeune otage israélo-américaine de quatre ans dont le président américain Joe Biden a confirmé
qu’elle était en sécurité en Israël.
« Aujourd’hui, [Abigail] est libre, et Jilly et moi, ainsi que tant d’Américains, prions pour le fait qu’elle va bien », a déclaré Biden aujourd’hui lors d’une conférence de presse tenue
à Nantucket, dans le Massachusetts, en référence à son épouse Jill Biden.
Il a déclaré qu’il croyait que l’accord de libération échelonnée des otages fonctionnait, mais qu’il était prudent d’être plus élogieux dans ses éloges.
« Rien n’est garanti et rien n’est acquis si ce n’est la preuve que cela fonctionne... est dans chaque sourire et chaque grande larme que nous voyons sur les visages
de ces familles qui se réunissent enfin.
« La preuve, c’est la petite Abigaïl. Plus de 20 autres enfants, âgés de 18 ans et moins, ont été libérés.
« Ils ont enduré une terrible épreuve. Ils peuvent maintenant commencer un long voyage », a-t-il ajouté.



Une otage dans un etat critique...

Alma Avraham, 84 ans, a été enlevée de son domicile à Nir Oz parce qu’elle n’a pas pu verrouiller la lourde porte de la pièce sécurisée de sa maison.
L’artiste était au téléphone avec une voisine le 7 octobre lorsque des hommes armés ont fait irruption chez elle vers 11 heures du matin.
« Il y a un terroriste dans ma maison ! » dit-elle au voisin.

Son fils Uri Rawitz, avec qui elle avait également parlé plus tôt, a déclaré qu’Elma n’avait pas réussi à verrouiller la porte de la pièce sécurisée de sa maison.
Plus tard, Uri a reçu une photo de sa mère emmenée à moto par des combattants armés avec un autre otage.
Le deuxième fils d’Avraham, qui vit également à Nahal Oz, a échappé à l’attaque.

Dimanche, Avraham a été transférée au centre médical Soroka à Beersheba, dans le sud d’Israël, où le directeur Shlomi Kodesh a déclaré qu’elle était «
dans un état potentiellement mortel ».
L’octogénaire « est prise en charge par le système de sauvetage du service des urgences et sera transférée à l’unité de soins intensifs
où elle continuera à recevoir un traitement stabilisateur afin d’améliorer son état », a déclaré Kodesh.

Kodesh a ajouté qu’Avraham « n’a apparemment pas été traité correctement » en captivité.


L’identité des trois ressortissants thaïlandais libérés aujourd’hui n’est pas connue à l’heure actuelle.



Dans un communiqué, le groupe terroriste a déclaré qu’il « cherchait à prolonger la trêve après la fin des quatre jours en essayant sérieusement d’augmenter
le nombre d’otages libérés comme stipulé dans l’accord de trêve humanitaire ».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré aujourd’hui lors d’un appel avec Joe Biden qu’il était ouvert à cette offre, mais a déclaré
que l’armée israélienne chercherait toujours à reprendre sa campagne offensive à Gaza.

S’adressant aux forces de sécurité israéliennes dans la bande de Gaza avant son appel avec Biden, il a déclaré :
« Nous faisons tout notre possible pour rendre nos otages, et nous finirons par tous les rendre.
« Nous avons trois objectifs pour cette guerre : éliminer le Hamas, rendre tous nos otages et faire en sorte que Gaza ne redevienne pas une menace pour l’État d’Israël.
« Nous continuerons jusqu’à la fin, jusqu’à la victoire. Rien ne nous arrêtera, et nous sommes convaincus que nous avons le pouvoir, la force,
la volonté et la détermination d’atteindre tous les objectifs de la guerre, et nous le ferons.

Plus tôt dans la journée, des membres des familles des otages israéliens ont décrit comment leurs proches ont mangé du riz et des pitas et dormi sur des sièges en plastique
après avoir été enlevés par le Hamas.
Ils ont également dit qu’ils frappaient à la porte lorsqu’ils avaient besoin d’aller aux toilettes, mais qu’ils devaient parfois attendre une heure et demie avant de pouvoir y aller.


source
dailymail.co.uk

Nous avons trois objectifs pour cette guerre : éliminer le Hamas, rendre tous nos otages et faire en sorte que Gaza ne redevienne pas une menace pour l’État d’Israël

Faut être gonflé de sortir une connerie pareil !!!!!!!!!!!!!! "La bande de Gaza" une menace pour Israël C'est franchement le contraire oui. Changer moi ce vieux qui dit que des conneries.

Il y a eu des prisonniers liberes qui auraient du rester en prison comme cette femme ex-kamikaze au visage a demi brulee
qui avait loupe son attentat.
A peine libre qu elle dit encore vouloir tuer des juifs et preter allegence au Hamas voir au Front islamique




source
telegraph.co.uk

Sait on ce qu'elle a enduré en prison ? Ceci explique cela, sa vie est foutue alors un peu plus !!!!

Le Hamas et le groupe Djihad islamique ont libéré ce mardi 28 novembre douze nouveaux otages, jusque-là retenus dans la bande de Gaza.
Parmi les otages libérés figurent dix femmes israéliennes et deux Thaïlandais.

Mia Leimberg (17 ans), sa mère Gabriela (59 ans) et sa tante Clara (62 ans)

Comme le rappelle l’AFP, Mia Leimberg, âgée de 17 ans, est la plus jeune otage libérée ce mardi. 




Elle a été relâchée avec sa mère Gabriela Leimberg, 59 ans et sa tante Clara Marman, 62 ans.
L’adolescente apparaît sur des images de sa libération avec son chien Bella dans les bras.
Originaires de Jérusalem, Mia et Gabriela rendaient visite, à Nir Yitzhak, à Clara et à son compagnon Luis Har, ainsi qu’à Fernando Marman, le frère de Clara et Gabriela.
Les deux hommes sont toujours retenus en otage.


Clara Rosa Marman, 63 ans.




Ditza Heiman, 84 ans
L’enlèvement à bord d’une voiture de Ditza Heiman, 84 ans, qui a été filmé, constituait jusqu’à présent la seule preuve de vie à laquelle se raccrochait sa famille,
avec le récit d’un voisin témoin de son rapt.
Vivant seule à Nir Oz, cette veuve et ancienne travailleuse sociale s’était pourtant réfugiée dans son mamad, la pièce sécurisée de sa maison.
Son téléphone sonnait dans le vide depuis le milieu de la matinée, jusqu’à ce qu’une voix réponde en arabe à un appel vers 16h.


Tamar Metzger, 78 ans
Tamar Metzger a été enlevée à son domicile de Nir Oz en compagnie de son mari Yoram, 80 ans, toujours retenu à Gaza.
« Jusqu’ici, tout va bien », avait écrit le grand-père à l’une de ses petites-filles le 7 octobre à 8 h 50, avant un long silence.
C’est Yocheved Lifshitz, otage libérée le 23 octobre, qui apportera une preuve de vie à la famille, affirmant avoir aperçu le couple à Gaza.
Grande lectrice, Tamar, dont la famille est originaire du Yemen, est la mère de trois enfants.






Ofelia Roitman, 77 ans
Le 7 octobre, la famille d’Ofelia Roitman a perdu contact avec elle peu avant 10h, alors qu’elle se trouvait dans sa pièce sécurisée.
L’AFP rappelle que, le soir, lorsque des soldats inspectèrent sa maison, ils n’y trouvèrent aucun trace de lutte, laissant penser qu’elle avait été enlevée.
De nationalité argentine, Ofelia Roitman avait immigré en Israël en 1985 et vivait à Nir Oz depuis. Elle y a enseigné en école primaire pendant vingt ans.


Ada Sagi, 75 ans
Ada Sagi, qui vit seule à Nir Oz depuis la mort de son mari des suites d’un cancer, a été enlevée alors qu’elle s’était réfugiée dans sa pièce sécurisée.
Sans nouvelles de sa mère, son fils Noam Sagi, qui vit à Londres, a réalisé sa disparition en voyant une vidéo en ligne d’un inconnu dans le jardin de sa mère.
Fille de rescapés polonais de la Shoah, Ada Sagi a appris l’arabe et l’a ensuite enseigné afin d’améliorer la communication avec ses voisins palestiniens.

Noralin Agojo, 60 ans
Originaire des Philippines, Noralin Agojo a été enlevée à Nirim, où elle rendait visite à des amis avec son compagnon Gideon Babani, tué dans l’attaque.
Avant d’être capturée, Noralin avait appelé son frère Exo pour lui annoncer qu’il ne la reverrait peut-être pas.
La sexagénaire, qui possède la nationalité israélienne, vit à Yehud, près de Tel-Aviv, où elle aime cultiver des cactus et des fleurs.
Elle est le second otage philippin libéré, après Gelienor Pacheco (33 ans), relâché vendredi hors du cadre de l’accord entre Israël et le Hamas.






Meirav Tal, 53 ans
Meirav Tal a été libérée dans la foulée des deux enfants de son compagnon Yair Yaakov, Yagil et Or relâchés lundi.
Meirav et Yair (toujours captif) avaient été enlevés séparément des adolescents, qui étaient seuls chez leur mère.
Le couple s’était lui réfugié dans la pièce sécurisée de sa maison de Nir Oz.
A 9H20, Meirav avait envoyé un message vocal au frère de son conjoint, le prévenant que des hommes armés avaient pénétré chez eux.





Rimon Kirsht, 36 ans
Rimon Kirsht et son compagnon Yagev Buchstab (34 ans), toujours captif, ont été enlevés à leur domicile de Nirim le 7 octobre.
La jeune femme, terrorisée, avait envoyé un dernier message vocal à sa mère à 8H30, a raconté à la presse Moran Betzer Tayar, la tante de son compagnon.
Un message qui s’achevait par les cris des assaillants et des coups de feu.
Quelques heures plus tard, lorsque les forces israéliennes demandèrent aux habitants de se réunir au centre du kibboutz, ils ne se présentèrent pas. Leur maison était vide.





Deux ressortissants thaïlandais
Les deux derniers otages libérés ce mardi sont de nationalité thaïlandaise. Leur libération ne rentre pas dans le cadre de l’accord conclu entre Israël et le Hamas.
Elle n’aboutira donc pas à la libération de prisonniers palestiniens.
Plusieurs ressortissants thaïlandais avaient déjà été libérés par le Hamas ces derniers jours.

Ce que l'on sait des conditions de détention des otages à Gaza

Avec les premières libérations d'otages, les détails de leur captivité commencent à filtrer. Pita, houmus, beaucoup de riz et de conserves et de l’eau polluée...
C’est le régime alimentaire auquel ils ont été soumis, comme apparemment le reste de la population de Gaza, raconte notre correspondant permanent à Jérusalem, Michel Paul.
Ils ont été détenus en petits groupes, pour la majorité semble-t-il dans des tunnels, et dans des conditions sanitaires plutôt difficiles.
Les personnes âgées, 80 ans et plus, n’ont pas reçu de médicaments. Et bien sûr pas de visites de la Croix-Rouge.

Roni Kriboy, 25 ans, un Russo-Israélien, détenu par une famille Gazaoui, raconte qu’il a réussi à s’enfuir après l’effondrement de l’immeuble ou il se trouvait.
Après avoir erré pendant trois jours dans Gaza sous les bombardements, il est recapturé.

La famille Bibas, Kfir 10 mois, son frère Ariel 4 ans et leur mère Shira, se trouverait quant à elle aux mains d’un autre groupe, le Front populaire à Khan Younès,
dans le sud de la bande de Gaza.

Selon le quotidien Haaretz, enfin, il s’avère que Yahyia Sinouar, le chef du Hamas à Gaza, a rendu visite à certains des otages durant leur captivité.
Et il leur a parlé en hébreu. « Vous ne craignez rien ici », aurait-il affirmé


J avais oublie ceux-ci..
Qui sont les otages libérés dans la nuit de lundi à mardi ?

Onze otages – neuf enfants et deux mères – ont été libérés cette nuit.
Ils sont tous binationaux, certains ont aussi un passeport allemand ou argentin, précise notre correspondant permanent à Jérusalem, Michel Paul.
Et pour trois d’entre eux français :
Erez Kalderon, 12 ans, sa sœur Sahar Kalderon, 16 ans, et Eitan Yahalomi, 12 ans.
Les trois Franco-Israéliens libérés hier soir sont originaires du kibboutz Nir Oz tout comme les huit autres otages qui ont recouvré la liberté lors de cette quatrième vague
de l’échange otages-prisonniers.

Le président français Emmanuel Macron s'est dit « extrêmement heureux » de ces libérations. « Immense joie », a-t-il précisé, mais « incomplète ».
Ofer Kalderon, le père d’Erez et Sahar est toujours aux mains du Hamas.
Quant à Ohad Yahalomi, le père d’Eitan, il est lui porté disparu. Il avait été blessé lors de l'attaque du 7 octobre.





Selon ce que l'on sait, deux autres franco-israéliens sont toujours retenus à Gaza : Elya Toledano et Mia Shem.
Parmi les autres otages libérés hier, deux jumelles de 3 ans, Yuli et Emma Cunio, en compagnie de leur mère Sharon. Leur père David est toujours à Gaza.
Six ouvriers thaïlandais ont aussi été libérés sans contrepartie.


source
rfi.fr

Le Hamas a forcé un garçon de 12 ans à prendre en otage les images de l’attaque du 7 octobre et a menacé des enfants, dont Emily Hand, avec des fusils s’ils pleuraient,
révèle un proche alors qu’ils sont libérés...

Deborah Cohen a déclaré à BFMTV qu’Eitan Yahalomi, qui a la nationalité française et israélienne et qui a été libéré lundi, a vécu des « horreurs » en captivité.
« Ce sont des monstres. Quand il est arrivé à Gaza, tous les Gazaouis l’ont tous battu. Nous parlons d’un garçon de 12 ans ! », a-t-elle déclaré à la chaîne de télévision française.

Elle a également déclaré que des hommes armés menaçaient les enfants, y compris la fillette israélienne irlandaise de neuf ans Emily Hand, avec des fusils « pour les faire taire »
s’ils pleuraient.
« Il a vécu des horreurs », a-t-elle déclaré, ajoutant qu’elle avait été horrifiée d’apprendre que son neveu avait été forcé de regarder des images GoPro
du massacre du Hamas, au cours duquel les terroristes ont tué environ 1 200 personnes dans le sud d’Israël le 7 octobre.
« Les terroristes du Hamas l’ont forcé à regarder des films d’horreur, le genre que personne ne veut voir, ils l’ont forcé à les regarder », a-t-elle déclaré.
« Nous étions très heureux hier, mais maintenant que je suis au courant, je suis inquiet. C’est inconcevable, je ne sais pas qui pourrait faire de telles choses.





Les images des attaques ont été largement partagées en ligne et montrent des actes de violence extrêmes, y compris des attaques contre des civils innocents dans leurs maisons.

Des images diffusées par l’armée israélienne ont montré Eitan retrouvant sa mère, qui l’a serré fermement contre elle.
Eitan était en pyjama, caché avec sa famille, lorsqu’ils ont été enlevés.
La porte de leur coffre-fort ne se fermait pas, alors le père d’Eitan, Ohad Yahalomi, s’est tenu à l’extérieur avec une arme à feu.
Ohad a été blessé lors d’un échange de tirs et toute la famille, y compris la mère d’Eitan, Batsheva, et ses deux sœurs, ont été capturées.
Sa mère et ses sœurs ont ensuite réussi à s’échapper.

La grand-mère d’Eitan, Esther, a également pris la parole après sa libération. Elle a déclaré que pendant les 16 premiers jours où il a été détenu en captivité,
il a été gardé seul dans une pièce fermée.
« C’était des jours très, très difficiles... Imaginez ce qu’il a vécu là-bas. C’est difficile pour moi d’en parler », a déclaré Esther.
Elle a déclaré qu’il avait été transféré à un groupe d’otages qui avaient été traînés hors de leurs maisons dans le kibboutz Nir Oz lors de l’attaque terroriste du 7 octobre.
« C’était beaucoup plus facile pour lui là-bas, sa nounou de maternelle était là... il a vu un visage familier », a déclaré Yahalomi.
Cohen a déclaré à BFMTV qu’Eitan était un « garçon réservé » et qu’il lui « faudrait du temps pour exprimer ses sentiments » sur le calvaire de 50 jours qu’il a enduré.

Avec « beaucoup d’amour, beaucoup de câlins et le fait qu’il soit maintenant entouré de sa famille » ainsi qu’un traitement psychologique,
elle espère qu’il surmontera l’expérience.

Les commentaires de la famille d’Eitan sont les derniers en date à brosser un tableau de ce qu’a été la vie sous la captivité du Hamas pour les quelque 240 personnes emmenées
à Gaza.
Alors que certains otages ont déclaré qu’ils avaient été mieux traités que ce à quoi le Hamas s’attendait - ils ont été nourris et soignés - les conditions semblent toujours sombres.

Le jeune Ohad a fêté son neuvième anniversaire en captivité.

Son récit, diffusé lundi, s’ajoute au filet d’informations sur l’expérience des prisonniers détenus à Gaza.
Munder a été enlevée le 7 octobre à son domicile de Nir Oz, un kibboutz du sud d’Israël. Son mari, Avraham, également âgé de 78 ans, a également été pris en otage
et se trouve toujours à Gaza. Son fils a été tué dans l’attaque.
Au début, ils mangeaient « du poulet avec du riz, toutes sortes de conserves et du fromage », a déclaré Munder à Channel 13, dans une interview audio. « Nous étions bien. »
On leur donnait du thé le matin et le soir, et les enfants recevaient des bonbons.
Mais le menu a changé lorsque « la situation économique n’était pas bonne et que les gens avaient faim ».

Israël a maintenu un siège serré sur Gaza depuis le début de la guerre, entraînant des pénuries de nourriture, de carburant et d’autres articles de base.
Munder, qui a été libéré vendredi, est revenu en bonne condition physique, comme la plupart des autres prisonniers.

Mais l’une des otages libérées, une femme de 84 ans, a été hospitalisée dans un état mettant sa vie en danger après n’avoir pas reçu les soins appropriés en captivité,
ont indiqué les médecins.
Un autre prisonnier libéré a dû être opéré.

Munder, confirmant les récits des proches d’autres captifs libérés, a déclaré qu’ils dormaient sur des chaises en plastique.
Elle a dit qu’elle s’était couverte d’un drap, mais que tous les captifs n’en avaient pas.
Les garçons qui étaient là restaient éveillés tard pour bavarder, tandis que certaines filles pleuraient, a-t-elle dit. Certains garçons dormaient à même le sol.

Elle a dit qu’elle se réveillait tard pour passer le temps. La pièce où elle était détenue était « étouffante » et les captifs ont été empêchés d’ouvrir les stores,
mais elle a réussi à ouvrir une fenêtre. « C’était très difficile », a-t-elle dit.

source
dailymail.co.uk


Au dernier temoignage,on voit que tous n etait pas dans les tunnels...
Difficile de parler et dire du mal du hamas quand on sait qu il y a encore tellement d otages en captivite et que des terribles recits pourraient les mettre en danger...

La plupart des enfants otages sont de retour en Israël.
Kfir et Ariel Bibas, 10 mois et 4 ans, sont toujours otages à Gaza.

Entourés de dizaines de ballons orange représentant les enfants Bibas roux retenus en otage à Gaza depuis 53 jours, leur tante Ofri Bibas s’est adressée à leurs ravisseurs à Gaza.
« C’est votre ennemi ? Kfir, un bébé de 9 à 10 mois ? Ariel, un garçon de 4 ans ? demanda-t-elle, ajustant l’âge de Kfir pour refléter l’étape
qu’il a franchie en tant qu’otage.
« L’enlèvement d’enfants est-il conforme aux valeurs islamiques ? »






Kfir et Ariel sont devenus l’un des premiers visages de la crise des otages le matin du 7 octobre, lorsque le Hamas a publié un clip vidéo les montrant enlevés au kibboutz Nir Oz
avec leur mère Shiri, dont la terreur était visible.
Leur père, Yarden Bibas, serait également un otage à Gaza. Aujourd’hui, après cinq jours de libération d’otages dans le cadre d’un accord de trêve
qui a renvoyé des dizaines d’autres enfants en Israël, les frères Bibas sont les enfants les plus jeunes et peut-être les plus éminents encore en captivité.

Ofri Bibas, la sœur de Yarden, s’exprimait sur la « place des otages », un espace public situé à l’extérieur du quartier général de l’armée de Kirya,
qui est devenu un lieu de rassemblement pour les familles des otages et leurs partisans.
Des dizaines de milliers d’Israéliens ont envahi l’espace la semaine dernière avant l’accord de trêve et à nouveau samedi lorsque le Hamas a retardé la libération
d’un groupe d’otages.

source
jta.org


Oui mais ce n est pas le Hamas qui a les deux enfants...


Qu’est-ce que le FPLP, accusé de détenir Kfir, le plus jeune otage israélien âgé de 10 mois ?
Front Populaire de Libération de la Palestine.
Le nom de ce mouvement politique et militaire, étroitement lié depuis près de 60 ans à l’évocation du conflit au Proche-Orient, revient avec insistance
sur toutes les lèvres en Israël depuis ce mardi.

À l’heure de la libération par le Hamas de plusieurs dizaines d’otages israéliens dans le cadre de la trêve entre Israël et l’organisation terroriste,
Tsahal a en effet assuré que les membres de la famille Bibas seraient aux mains d’un autre groupe armé.
Kfir (10 mois) et Ariel (4 ans) ainsi que leurs parents Shiri et Jordan seraient détenus par cette « faction palestinienne » de la région de Khan Yunis,
après avoir été kidnappés par le Hamas au kibboutz Nir Oz, selon le lieutenant-colonel Avichay Adraee, qui s’est exprimé en arabe en ce sens sur X.
Le média israélien de référence Yediot Aharonot estime que le groupe en question serait le FPLP, après l’affirmation du porte-parole de Tsahal.

Tweet de @FaresSaeb
#Diplomat #Druze Directeur de la Diplomatie Publique
@IsraelenFrance

La famille Bibas, y compris Kfir, âgé de 10 mois, a été donnée par le #Hamas au FPLP en tant que prise de guerre.
Oui, c'est l'organisation que de nombreux Européens progressistes d'extrême gauche soutiennent !
Le FPLP est une organisation terroriste qui a participé au massacre du #7Octobre et qui a reçu un bébé comme prise de guerre!!
Et les dirigeants et les membres de cette organisation terroriste (comme Mariam Abu Daqqa) sont invités dans certains parlements et loués
en tant que "combattants de la liberté".


« Le FPLP existe encore, la preuve, c’est qu’ils ont continué à perpétrer des attentats ces 15 dernières années.
Ce sont des groupes qui développent des syndromes paranoïdes vis-à-vis du Mossad notamment et donc ils communiquent peu, mais s’ils prennent des otages,
c’est pour échanger avec leurs propres prisonniers historiques. C’est leur seul intérêt dans ce conflit », conclut l’auteur de « Atlas géopolitique d’Israël ».

En effet, Israël a condamné Ahmad Saadat, le principal dirigeant du FPLP, à 30 ans de prison en 2008.
Détenu depuis 2006, il avait été reconnu coupable de toutes les actions menées par son organisation à compter d’octobre 2001.
Le FPLP a reconnu au moins treize attentats durant cette période, dont plusieurs attentats suicides mortels et l’attaque d’un kibboutz, ayant fait quatre morts et sept blessés.

Ahmad Saadat était sous le coup de 19 chefs d’inculpation notamment pour atteinte à la sécurité d’Israël dans le cadre de ses activités au sein du FPLP.
Nul doute que dans un tel contexte, son cas particulier pourrait ressurgir dans les négociations entre belligérants, comme celui d’autres leaders emblématiques
de la cause palestinienne.


source
msn.com

« L’enlèvement d’enfants est-il conforme aux valeurs islamiques ? »

Les tueries de masses enfants compris c'est conforme chez les juifs ???

Que penser de ça, prit sur le forum russe ?

Ce doit etre les ecrits de la Torah....le peuple elu,Dieu leur a donne la terre...bla...bla...bla
heureusement que tous les juifs ne sont pas comme lui...mais depuis le 7 octobre,on s apercoit qu en France,il y a pas mal
de gens comme lui qui n en ont pas l air...

On pouvait s en doute qu a cet age,un bebe ne pourrait pas survivre en captivite


Bébé otage déclaré mort par le Hamas : l’angoisse de la famille du petit Kfir Bibas

Le Hamas affirme qu’un bébé israélien de dix mois pris en otage, aurait perdu la vie ce mercredi 29 novembre lors de sa captivité.
Une information que l’armée israélienne dit encore vérifier.
Incertitude autour de la vie du plus jeune otage enlevé le 7 octobre. L’armée israélienne a déclaré mercredi « vérifier » l’annonce par le mouvement islamiste palestinien Hamas,
de la mort du petit Kfir Bibas, un bébé de dix mois, de sa mère et de son frère de 4 ans.

L’armée « vérifie la véracité de l’information » et ses représentants ont « parlé avec la famille Bibas », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
« La responsabilité de la sécurité de tous les otages dans la bande de Gaza incombe au Hamas qui met en danger la vie des otages dont neuf enfants.
Le Hamas doit les rendre immédiatement », a ajouté l’armée.

Les proches patientent dans « l’espoir d’un démenti »

Les brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du Hamas, ont annoncé mercredi la mort de Shiri, Ariel et Kfir Bibas, « tués dans un bombardement de la bande de Gaza »
par les forces israéliennes. La famille Bibas a annoncé dans un communiqué « attendre que ces informations soient vérifiées dans l’espoir qu’elles soient démenties par l’armée ».
« Nous remercions le peuple d’Israël pour leur soutien chaleureux », ajoute la famille.

Le décès d’une otage, Hanna Katzir, 76 ans, avait précédemment été annoncé par le Jihad islamique, autre mouvement palestinien qui détient certains otages à Gaza,
mais celle-ci avait finalement été libérée le 24 novembre, au 1er jour de la trêve des combats accompagnée d’un accord d’échange d’otages israéliens
contre des détenus palestiniens des prisons israéliennes.

« Le Hamas les a pris et le Hamas est tenu de les ramener maintenant, ils sont responsables de leur santé et leur liberté est directement entre les mains du Hamas »,
avait affirmé Ofri Bibas-Levy, sœur de Yarden, mardi à l’AFP. « Chaque jour qui passe les met en danger », avait dit à l’AFP la sœur de Shiri, Dana Siton.
Le kibboutz Nir Oz comptait environ 400 habitants : 35 ont été assassinés et 80 enlevés le 7 octobre dont 31 libérés depuis.


source
parismatch.com

L'image d'une juive :
Autant de tendresse pour le gamin que pour l'arme.

La Franco-Israélienne Mia Shem (21 ans) a été libérée ce jeudi soir par le Hamas, près de deux mois après avoir prise en otage.
Un soulagement pour ses proches, mais la jeune femme est apparue affaiblie, notamment en raison de sa blessure à un bras.

Une quatrième otage franco-israélienne à être libérée. La jeune Mia Shem, 21 ans, est de retour en Israël, après avoir passé 54 jours aux mains du Hamas.
Elle est arrivée ce jeudi à l’hôpital Sheba, en banlieue de Tel Aviv, peu après 20h30, où elle est désormais prise en charge médicalement et psychologiquement.
C’est la seule otage française dont on avait une preuve de vie, une vidéo publiée par le Hamas peu après le début de sa captivité,
où elle apparaissait blessée et où elle expliquait avoir subi une opération.






Il reste donc désormais quatre Franco-Israéliens probablement aux mains du Hamas, quatre hommes, dont l’ami avec qui Mia était lors du festival de musique.
"Mia Shem est libre. C'est une grande joie que je partage avec sa famille et tous les Français.
J'exprime aussi ma solidarité avec tous ceux qui restent otages du Hamas. La France agit avec ses partenaires pour obtenir leur libération dès que possible"
a tweeté Emmanuel Macron.

Des retrouvailles poignantes avec sa mère
Sa famille l’attendait avec impatience et les retrouvailles ont été fortes et poignantes. Avec le cri d’une mère, Keren, quand enfin elle aperçoit la silhouette frêle de sa fille.
S’en suivent des pleurs et un câlin interminable, sous les yeux du frère de Mia, lui aussi très ému.

Après ces retrouvailles en petit comité, Mia a quitté une base militaire au sud du pays pour rejoindre l’hôpital Sheba en hélicoptère,
où l’attendaient d’autres membres de sa famille.
Viviane Adar, sa tante, savoure: "Enfin, elle est avec nous. Elle a vécu un traumatisme, elle a maigri, elle est faible. C’est un vétérinaire qui lui a fait l’opération du bras…
Elle n’a pas eu de kinésithérapeute, elle a fait elle-même sa rééducation. On est contents qu’elle soit avec nous. C’est très difficile de la voir dans cette situation."

Après une nuit au 8e étage de cet immense hôpital, Mia est en charge psychologiquement et médicalement, notamment pour soigner son bras.


source
msn.com

Guerre à Gaza : qui sont les huit otages libérés ce jeudi par le Hamas ?

Au septième jour de cette trêve conclue entre Israël et le Hamas, huit nouveaux otages israéliens ont été libérés par le mouvement islamiste.
Ce septième groupe d’otages est une fois encore composé uniquement de femmes et de jeunes garçons.

Deux premières femmes ont été libérées en fin d’après-midi.
Il s’agit de la Franco-Israélienne Mia Schem (21 ans), kidnappée par les terroristes sur le site du festival « Tribe of Nova »,
et d’Amit Soussana (40 ans), originaire du kibboutz de Kfar Aza où elle avait été enlevée.

Dans la soirée, les terroristes ont également relâché six autres otages.
Il s’agit de Nili Margalit (41 ans), Sapir Cohen (29 ans), Shani Goren (29 ans), Ilana Gritzewsky (30 ans), Bilal Alziadana (18 ans) et Aisha Alziadana (17 ans).

Plusieurs doubles nationalités
Parmi ces otages figurent plusieurs doubles nationalités selon le porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères, le Dr. Majed al-Ansari :
un ou une Mexicaine, un ou une Russe et un ou une Uruguayenne.

Alors que le Hamas avait initialement indiqué qu’il libérerait dix otages jeudi, ce sont finalement huit personnes qui quittent l’enfer de Gaza.
Le Dr. Majed al-Ansari, a expliqué que les deux femmes israélo-russes libérées mercredi figuraient en fait sur la liste du lendemain.


source
msn.com

Dans le même temps, et comme prévu dans l’accord entre Tel-Aviv et le Hamas, trente prisonniers palestiniens ont été libérés par Israël en échange des otages.

Ta franco-israélienne elle est incapable de jacter un mot de français, la mère non plus ! "franco" de quoi ? La France a encore payé ?