Même interdiction pour les soviétiques, mais eux avaient tout sur place.
Pendant des années, dans la région du Don, on pouvait trouver dans les fermes des casques allemands et italiens reconvertis en mangeoires à poules, des caisses de mitrailleuses transformées en mangeoires pour les cochons, les gamins jouaient avec des décorations trouvées dans des dépôts abandonnés ..., bref des lots qui feraient aujourd'hui palir d'envie plus d'un collectionneur.
Mon beau-père, à la fin des années 50, a eu un copain qui s'est fait pêter deux dents en jouant avec un fusil antichar encore chargé (recul) retrouvé dans un bois.
L'engin fonctionnait donc encore et ce monsieur en a gardé un sourire "aéré".
D'autres se servent encore de bidons et jerrycans de la Wehrmacht.
Ils en sont très contents...