Pour ce genre d'exercice comme pour d'autres (les tirs à balles de guerre où on ne baisse pas la tête assez vite par exemple...), il y a toujours eu des accidents.
Guy Sajer en parle justement, côté allemand cette fois-ci, d'exercices du même genre (poser une mine magnétique sur un char en mouvement, rouler sur le côté et éviter si possible de se faire écraser), avec en fin de journée des gars qu'on enterre en chantant "Ich hatte ein kamerad" (désolé si j'ai écorché la langue de Goethe) ...
Les belligérants devant former des recrues dans les délais les plus brefs, s'accordaient des taux de pertes à l'entrainement inimaginables en temps de paix.