Photos navires insolites

La démesure !...

Le zeppelin US Navy 'Los Angeles' (construit par Zeppelin, en Allemagne, en dommage de guerre) amarré sur le pont du porte-avions USS Saratoga,
dans les années 1930.

C'était une belle construction, assez bien pensé sauf le gaz bien trop inflammable.
Une simple balle de fusil pouvait percer l'enveloppe et l'enflammer.

Volontaire ou pas?
Il y a quand meme beaucoup de monde qui regardent l action,ce qui est peut etre un larguage premedite

Pourquoi larguer un avion ?
Je pense à un problème on voit un Fenwick qui essaye de le tirer de là.
Le pilote de l'avion s'est éjecté car le cockpit .

Il y a toujours un mecano ou un pilote en cabine quand on tracte un avion au sol  et la on ne voit personne.
C est pour ca que je trouve ca bizarre ?
Ce n est pas la premiere fois qu en temps de guerre on balance des avions a la mer (en panne,apres un crash) qui emcombre le pont d envol notament
pour des appontages d urgence d avions prioritaires ou des decollages imperatifs style chasseurs lorsque le PA est attaque par des bombardiers enemis.

USS Enterprise (CVN-65)
Le 14 janvier 1969, le porte-avions USS Enterprise, effectuant des exercices de vol à environ 70 miles au sud-ouest de Pearl Harbor, avait un pont bondé de bombardiers F-4 Phantom
et A-7 Corsair II, chacun chargé de pods de fusée Zuni et de bombes Mk-82 de 500 livres.
À 8 h 18.m, un avion MD-3A « Huffer » demarre son moteur,il était stationné avec sa sortie d’échappement à seulement 60 cm d’une capsule de fusée sous l’aile d’un Phantom.
À cette courte distance, la chaleur d’échappement du Huffer – au moins 326 degrés et peut-être jusqu’à 590 degrés – présentait un risque d’incendie.
Les 15 livres de composition B dans une ogive de fusée Mk-32 Zuni explosent à 358 degrés.
Pas moins de quatre membres d’équipage ont reconnu la menace mais n’ont rien fait pendant la minute et les 18 secondes dont ils disposaient avant qu’une roquette Zuni n’explose.

La fusée qui explose a rompu les réservoirs de carburant externes en aluminium du Phantom qui la transportait, ainsi que les réservoirs de plusieurs avions stationnés
à proximité. Avec le PA se déplaçant à une vitesse de 10 nœuds dans un vent de face de 19 nœuds , le F4- Phantom a immédiatement pris feu.
Les 15 avions les plus proches avaient une charge totale de carburant de 5700 Litres. Ils avaient une charge d’armes combinée de 30 bombes de 500 livres et 40 roquettes Zuni,
qui ont commencé à chauffer lorsque le carburant brûlant a inondé le pont d envol.

Seulement 20 secondes après la première explosion, trois roquettes supplémentaires dans le pod de fusée du Phantom ont tiré sur le pont.
Après trois minutes dans une flamme nue, la première bombe a explosé et a fait sauter un trou de 2m 50 dans le pont blindé de 20 cm d’épaisseur.
Pire encore, l’explosion a detruit deux pompes alimentant un extincteur à mousse et coupé les tuyaux.

L’USSEnterprise a été secoué par 18 explosions successives, ratissant les membres d’équipage avec des éclats d’obus, faisant pleuvoir des débris et du feu,
et déchirant huit trous dans le pont d envol.
« C’est difficile d’expliquer la puissance », se souvient le chef d equipe de carburant, l’aviateur Mike Carlin.
« Le pouvoir... une violence incroyable a juste soufflé tout le monde comme de la poussière. »

Impressionnant les dégâts...

Canonnières fluviales CHIN YEN de la marine du Mandchoukouo (1935)

Allure aussi insolite qu'archaique !...

Ce Normand reconstruit un immense bateau du XVIIe siècle, un « petit Puy du Fou sur notre Marine »
Christian Cardin s’apprête à céder la barre du Jean-Bart, reconstitution d’un vaisseau du XVIIe siècle en chantier à Gravelines (Hauts-de-France).





Christian Cardin a le XVIIe siècle dans la peau.1650. C’est l’année de naissance de Jean Bart.
Ce nom, des plus illustres marins de la Marine de Louis XIV, ne le quitte plus depuis l’adolescence. Il lui a consacré son temps et son énergie.
Il y a près de vingt ans, il s’est lancé un pari fou : reproduire à taille réelle l’une de leurs cathédrales maritimes.

La sienne sera le Jean-Bart et son berceau le port de Gravelines. « Si Louis XIV avait construit un vaisseau sur le littoral de Dunkerque, on suppose qu’il l’aurait dédié à Jean Bart,
son grand corsaire », explique Christian Cardin pour qui cette reconstitution est « l’aboutissement d’une vie ».

Le Jean Bart en maquette




Contrairement à l’Hermione, le double de la frégate de La Fayette, le Jean-Bart ne verra jamais le large.
« Il sera navigable, mais pas naviguant. Avoir 150 personnes uniquement pour la manœuvre, ça n’aurait pas de sens économiquement », observe le natif de Coutances.
Installé dans un bassin mais immobile, le voilier de près de 60 mètres constituera le cœur d’un « petit Puy du Fou sur notre Marine », soutenu par les collectivités
des Hauts-de-France.
Le chantier, qui dispose de son restaurant et de sa boutique, attire déjà une douzaine de milliers de visiteurs par an.
« Les gens apprécient. Ils voient les charpentiers travailler et la forge. Ils peuvent poser des questions », décrit Christian Cardin, qui peut compter sur une équipe de
quatre à cinq charpentiers de marine et sur le renfort régulier d’apprentis et de jeunes compagnons.
Pour présenter le vaisseau achevé, il faudra encore une dizaine d’années.








Le souvenir d’une bataille
Un travail de longue haleine qui prend racine à la pointe du Cotentin. L’épopée lève l’ancre à Saint-Vaast-la-Hougue, en 1982. Christian Cardin, géologue,
est en charge de mener des recherches minières. Le soir, il reste à l’hôtel et trouve le temps long. Face à la mer, il se souvient de ses cours d’histoire.
« J’avais un vieux prof qui, à chaque veille de vacances, nous parlait de la bataille de la Hougue, cette bataille qui aurait pu changer le cours de l’histoire », raconte-t-il.

Sa curiosité piquée, le plongeur amateur se met en tête de localiser les épaves des bateaux envoyés par le fond en 1692, lors de ce temps fort de la guerre
de la ligue d’Augsbourg. Très vite, il constate que la littérature est muette sur le sujet.
« Je me suis dit qu’il devait bien en rester quelque chose. Le soir, je descendais au café du port pour questionner les pêcheurs », se souvient-il.

Tuyauté par un marin qui avait repéré de grandes taches brunes, il décide d’en avoir le cœur net.
« J’ai organisé une plongée et j’ai commencé à mettre au jour de grandes pièces de bois. C’était trop gros pour être autre chose », se dit alors le chasseur d’épaves,
persuadé d’avoir déniché les embarcations du Comte de Tourville.

Les photos aériennes apportent la preuve
Son enthousiasme est cependant vite douché. Le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm) est sceptique.
Têtu, Christian Cardin se met en quête de nouvelles preuves, malgré une mutation au Sénégal. Il apprend qu’une étude d’impact, pour l’extension du port,
prévoit des survols de la zone, avec prise de clichés aériens. « Coup de chance, la mer était basse et le soleil au rendez-vous.
Sur la photo, je vois mes six taches. » Il tient là sa preuve.

En 1986 le Drassm ordonne une mission de reconnaissance qui s’avère convaincante.
En 1990, commencent les fouilles archéologiques qui ont abouti à la création, en 1992, du musée de l’île de Tatihou.
« J’avais achevé ma mission. Les épaves avaient ressurgi », estime le Manchois.

Pour sa retraite, Christian Cardin rénove une maison à Heugueville-sur-Sienne, près de Coutances.




Sa carrière se poursuivant dans le Nord, Christian Cardin ne passe pas pour autant à autre chose.
Les vestiges découverts offrent enfin une vision 3D de ces navires du XVIIe siècle. Jusqu’ici, seuls les dessins de l’album de Colbert, ministre de Louis XIV,
permettaient de se faire une idée. En croisant les deux, la reconstitution devient possible.

L’idée l’obsède. « Le soir je quittais le boulot, à Lille, avec des photos, un rétroprojecteur et un écran. Je faisais les cafés de Dunkerque et je racontais mon histoire »,
se remémore-t-il. Le projet fait des émules. L’association Tourville compte aujourd’hui autour de 4 000 membres.

Elle aura 30 ans en 2022. « Il est temps que je m’arrête. C’est un projet intergénérationnel.
Maintenant que mon fils est prêt, je peux me retirer dans ma Normandie et commencer à vivre un peu pour moi », juge l’inventeur des épaves de la Hougue,
estimant que le Jean-Bart est une ambition qui le dépasse.
« J’aurai passé plus de la moitié de ma vie à construire un vaisseau qui ne sera jamais à moi », s’en amuse-t-il.





source
ouest-france.fr

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les moteurs de propulsion de torpilles MK14 et MK10 de l’US Navy utilisaient de l’alcool de grain résistant à 180
(éthanol , qui est brassé à partir de céréales comme carburant).
L alcool etait interdit dans la Navy depuis 1914 à bord de tout navire de guerre, ou à l’intérieur d’un chantier naval ou d’une base.
Mais,certains marins n ont pas abandonnes l idee de boire de l alcool et ont ete capable de détourner une partie du "carburant" vers - un usage personnel.
Sauf bien sûr, que la Marine US n’était pas stupide. Elle a modifié l’alcool avec un additif - certains suggèrent que c’était quelque chose appelé « dame rose »
et d’autres pense que c etait de l’huile de croton. L’huile de croton n’est pas agréable a boire

Certains marins américains mélangeaient l’alcool de propulsion des torpilles avec du jus d’ananas pour faire une boisson alcoolisée à bord des sous-marins,
ce qui est devenu connu sous le nom de « jus de torpille ».





Selon ce site, les rapports selon lesquels l’additif pourrait être filtré hors du carburant en le filtrant à travers une miche de pain comprimée est un mythe.
Dans le livre Find 'em, chase 'em, sink 'em de Mike Ostlund, la technique de filtrage consistait à mettre en place un alambic, à faire bouillir l’alcool et à le condenser à nouveau
sans additif. Presque tout le monde s’accorde à dire que l’alcool a été mélangé avec du jus de fruit pour le rendre appétissant.(dans le pacifique,c etait du jus d ananas).


Dans certains cas, il semble que certains équipages se soient trop enivres :
Le 5 décembre 1943, un groupe intrépide de compagnons de bord de l USS THORN décida d’organiser une célébration de Noël anticipée dans les quartiers de l’arrière-équipage.
À la suite de ces « hi-jinks », HIRAM W. JONES, JR., JOSEPH W. KISER, ERVIN MABRY, JAMES M. NEALE et JOSE A. PENALVER ont été accusés d etre « sous l’influence d’alcool enivrant » et d’autres infractions.
Ils ont été punis.

Des marins de l aeronavale en poste a Guadalcanal ont temoignes:
Les torpilles fonctionnaient avec de l’alcool et la Navy avait l’habitude d’y mettre ce qu’ils appelaient "une dame rose", pour vous rendre malade si vous le buviez.
Si les avions n’utilisaient pas les torpilles, nous étions censés déverser le liquide en mer. Nous l’avons jeté, mais pas dans un baril.
Nous avons fait du jus de torpille à la place. Nous avions des tubes en cuivre et des gars du Tennessee savaient quoi faire pour distiller l alcool.
La nuit, dans les trous de renard, nous faisions passer le liquide à travers un alambic et en supprimions la dame rose.





À au moins une occasion, le « jus de torpille » s’est avéré utile - lorsqu’un pharmacien de sous-marin a dû effectuer une appendicectomie d’urgence
sur un sous-marin submergé:
Des gants en caoutchouc trempés dans de l’alcool de torpille ont été utilisés pendant l operation par le docteur pour desinfecter ».

Je n’ai jamais goûté de « jus de torpille » - mais je me souviens des jours où nous travaillions sous la pluie froide et où le Cdt disait au médecin de fournir à l’équipage
de l’alcool médicinal (c’était sous la forme de ces mini-bouteilles de compagnie aérienne) ».
J’entends maintenant que les marins prennent parfois de la bière lors d’occasions spéciales.





source
eaglespeak.us/

Bref, y a pas que les soviets qui avaient la descente facile, en consommant des substances liquides prohibées !...

En Slovaquie et en Ukraine (ailleurs je sais pas) il est toujours possible d'acheter de la "copie" de vodka totalement frelatée à base de je ne sais quoi mais souvent du dégivrant pour voiture, liquide de refroidissement et / ou lave-glace avec un mélange de ???????????? bref c'est un poison mais l'alcoolique achète, c'est pas cher et ça soule pareil, voire plus rapidement.
Une fois j'ai gouté à ça, l'odeur m'a surprise et en trempant la langue dedans on recrache de suite. C'est violent comme goût.

La production et la vente de Vodka en Russie sont très contrôlées aujourd'hui, il y a eu trop d'empoisonnements...

vania a écrit:

La production et la vente de Vodka en Russie sont très contrôlées aujourd'hui, il y a eu trop d'empoisonnements...

Il y a 20 ans voire plus il y a eu de la fausse vodka en Slovaquie.
Autrefois à Kosice il y avait un grand marché où tu trouvait pas mal de choses, ils ont fermés ce marché à cause de trop de trafic, cigarettes ukrainiennes aussi. Infumables mais 5 fois moins chères environ. La copie de vodka était faite pour les alcooliques. Tout se vendait. on avait trouvé il y a 25 / 30 ans des boites de 90 gr de caviar russe pour, à l'époque, 15 Francs !!!!!!!!! excellent, très frais et le gars t'expliquait que c'était sorti d'usine de production en fraude.

Le Cuauhtemoc , navire école de la marine mexicaine

Superbe.

L'art du camouflage, allez donc savoir vers où va ce bateau, déjà où se trouve l'avant !!!!

Et à peine le camouflage en place: "Bon les gars, vous m'enlevez tout ça on appareille !...".

Quelques nouvelle du Titanic 110 après, source : orange info.
Je recopie car mon expérience dans ce domaine est nulle.



110 ans après, Météo France lève le voile sur le naufrage du Titanic

L'hypothèse avancée par une étude de Météo France fait part d'un effet d’optique lié aux températures ayant dupé l'équipage du paquebot en 1912. Un phénomène que l'on appelle la "brumée de fée".

A-t-on résolu le mystère autour du tristement célèbre naufrage du Titanic ? Un travail d'enquête mené par Météo France, basé sur des archives et différents travaux scientifiques, permet de donner, à l’occasion de l’anniversaire du triste événement, quelques éclaircissements sur les interrogations autour de cette tragédie survenue le 14 avril 1912. C'était il y a exactement 110 ans : sur les 2200 passagers que comptait le navire, 1500 ont péri cette nuit-là.
Une première conclusion de cette recherche, relayée par France Inter, indique qu'il n'y avait pas de brouillard autour du Titanic au moment de la collision avec un iceberg. Selon les cartes météo analysées par l'équipe de Météo France, la nuit du drame, un anticyclone centré sur la zone du naufrage était présent. Aucune vague, pas de brume, ni de vent. Si le problème de visibilité est bien à l'origine de l'impact contre un iceberg, les conditions météorologiques n'y seraient pour rien.

"La brumée de fée", un mirage à l'origine du drame

L'hypothèse avancée par l'étude fait part d'un effet d’optique lié aux températures ayant pu duper l'équipage. On appelle ce phénomène la "fata bromosa", ou "brume de fée". C'est une sorte de mirage qui peut intervenir dans cette zone de l'Atlantique, précise Marie-Hélène Pépin, responsable du service de documentation scientifique et technique de Météo France à Franceinfo. Cet effet se produit lorsque l'eau très froide à proximité d'un iceberg rencontre un air plus chaud juste au-dessus de la surface. Ce choc thermique peut troubler la vision de l'horizon.

Cette illusion d’optique a sans doute été une circonstance aggravante dans le cas du naufrage du Titanic. Malgré la hauteur à laquelle se situait la vigie lors de cette nuit du 14 au 15 avril 1912 sur le paquebot, à 23 mètres de haut, elle n’a pas vu l’iceberg qui se dressait à quelque 500 mètres en avant. Cependant, des erreurs humaines ont également été commises selon différentes enquêtes. Elles mettent en cause notamment la vitesse trop excessive à laquelle voguait alors le navire. De plus, comme le rappelle nos confrères, avant l'excursion, il n'était pas prévu que le Titanic croise des icebergs. Mais les secours, sur place, avaient alors dénombré près d'une vingtaine d’icebergs de plus de 60 mètres de haut.

Le navire-musée USS The Sullivans coule a quai ..

L’USS The Sullivans (DD-537) a été partiellement coulé mercredi à son quai du Buffalo Naval Park à Buffalo, dans l’État de New York.
La cause directe du naufrage est encore inconnue, car l’étendue des dommages n’a pas encore été entièrement examinée.
Ce que l’on sait, c’est que plus de 3 millions de gallons d’eau se sont remplis à l’intérieur du navire en seulement 24 heures après que les générateurs électriques à bord
ont cessé de fonctionner.





Tôt mercredi, des plongeurs ont été envoyés à l’eau pour déterminer l’ampleur de la brèche.
Cependant, ils ont été retirés en raison d’une mauvaise visibilité et de conditions dangereuses. Les spécialistes sur les lieux estiment que la « brèche grave » se trouve du côté tribord
du navire. Un naufrage complet est impossible car le lac n’a que 5 pieds de profondeur à cet endroit.

Plus tard dans la journée, le destroyer a commencé à se redresser progressivement à mesure que plus d’eau était pompée .
Environ 13 000 gallons par minute étaient drainés et d’autres équipements de taille industrielle sont arrivés sur les lieux pour aider a pomper l’eau.





Service
L’USS The Sullivans (DD-537) a été mis en service en 1943, puis envoyé sur le théâtre du Pacifique pour lutter contre la marine impériale japonaise.
C’était l’un des 175 destroyers de classe Fletcher construits par l’US Navy pendant la guerre.
Au cours des deux dernières années du conflit, The Sullivans a gagné neuf étoiles de combat et deux autres pendant la guerre de Corée.





En 1965, le destroyer a été désarmé après 20 ans de service. Après une décennie de pause, il a été transformé en musée et mémorial en 1977.
Seuls quatre navires de sa classe ont perduré à ce jour – trois sont convertis en navires-musées aux États-Unis et un en Grèce.


2013





source
warhistoryonline.com

Vénérable vétéran.
A espérer qu'il va recevoir les réparations qu'il mérite.

Vu l'âge il a dû manquer d'entretien à un moment et voilà.
Pensée personnelle.