Nemmersdorf automne 1944

Humnnnnnnnn!!!! le mieux je vous laisse lire par vos propre yeux!
Attention aux personnes qui ont le cœur fragile.

Citation :

À l’automne 1944, le district de Gumbinnen (actuellement region de Kaliningrad)attendait les attaques des Russes. Cela comprenait les tentatives de reprise de Nemmersdorf lorsque le massacre de Nemmersdorf avait pour la première fois débuté, la brutalité de l'armée rouge sur le sol allemand était connue. Des femmes, des personnes âgées et des enfants ont été tués de manière bestiale et partiellement crucifiés devant les rideaux des fenêtre, la tête baissée. Les vieillards avec la langue ont été cloués sur la table, alors qu'ils devait observer comment leurs proches avaient été violés, puis assassinés, tandis que les nourrissons et les jeunes enfants se sont fait casser la tête. Pendant la visite à Nemmersdorf d'une commission internationale tout ceci à été observer( ici bien sûr c'était une commission de la croix rouge international).

Hummmn, es ce que le fait, que ici beaucoup des Armées russes, ont combattu lors du Siège de Leningrad, et qui les ont transformer ici en état d'animaux?
Je pense aussi, que cela provient, que dans ce district se trouvait quoi? aller je vous le donne en mille, (Rastenburg).
Et que peut être, des rumeurs ont propagé jusqu'à arrivé en 1945 dans la région de Berlin, ce qui en as fait que des milliers de femmes et enfants ont préférée se suicidé dans les rivières.

Mais petit hic, d'après les informations que vous pourrez lire. De ce village, il n'y a eu aucun survivant blessé qui as survécu.
Donc comment cela aurait pu venir aux oreilles des Berlinois?
Peut être par des villageois voisin, ou qui sont passé après.
Et ici si cela n'a jamais été énumérer, comment alors la croix rouge international en est arrivé à visité ce village.

Donc voici une fois la version, qui avait pendant des années durant été classifié et caché par le gouvernement Russe.

Citation :

Dans ce sujet, je voudrais parler des événements peu connus de la Seconde Guerre mondiale survenus sur le territoire de la région de Kaliningrad actuelle. On peut dire qu’ils sont peu connus avec beaucoup d'égard, ces événements sont largement connus dans l’ouest et excitent encore beaucoup de monde.
Malheureusement, pendant de nombreuses décennies, ils ont été fermés à l’étude des chercheurs russes et ce n’est qu’au cours des dernières années que nous avons commencé modestement et timidement à en parler dans les pages de quelques publications historiques.

Je propose, avec les participants du forum (source un forum), d'essayer d'étudier les documents existants et, sur leur base, d'évaluer les événements tragiques qui se sont produits sans aucun doute. Commençons par la préhistoire:

le 18 octobre 1944, des troupes du 3e front biélorusse entrèrent sur le territoire de la Prusse-Orientale pour vaincre le groupe Allemands Tilsit-Insterburg et s'emparer de la ville de Königsberg, commandée par le général du Front Chernyakhovsky. Nous n'entrerons pas dans les détails de l'opération, disons brièvement que l'opération a échoué. Les troupes allemandes, malgré l'avantage écrasant de l'Armée rouge, réussirent dans les conditions les plus difficiles à contrer les assaillants et à les expulser d'Allemagne. L'offensive échouer, il n'était pas possible de pénétrer en Prusse orientale en mouvement. Les deux parties ont subi de lourdes pertes, en particulier la technologie des troupes soviétiques - jusqu'à 1000 chars ont été perdus (sources allemandes, probablement pas plus de 800) et plus de 300 canons (K.Tippelskirkh "Histoire de la Seconde Guerre mondiale"). Les résultats de ces combats ont été utilisés de différentes manières par les forces opposées. J'ai été surpris de lire dans les travaux d'une équipe respectée d'auteurs de la publication Essais sur l'histoire de la Prusse orientale, que cette opération: "... est devenue, par la force des choses, essentiellement l'intelligence". Étrangement, les auteurs avaient précédemment écrit: «le commandement a décidé de mener une opération visant à détruire le groupe d'Allemands Tilsit-Insterburg et à s'emparer de la région de Königsberg», et à travers le paragraphe - «reconnaissance», est-ce étrange? Il semble que les auteurs du prestigieux compendium n’aient pas encore pris de décision. Espérons que la prochaine édition déterminera ... à Moscou, ils ont vraiment prétendu que c’était le but recherché: "... les troupes du 3ème front biélorusse auraient dû priver le commandement allemand de la possibilité de les transférer ... à sections de ces fronts qui avançaient vers la Baltique. Le quartier général était également important pour établir la nature du comportement de l'ennemi sur son territoire. " (AA Shapirov, «Le destin du commandant» 1988), écrit ceci dans son ouvrage S. Golchikov «Le champ de bataille - Prusse». Cependant, les objectifs préliminaires, la composition des forces et les résultats de l'opération indiquent sans équivoque que cet échec a échoué, en raison des circonstances dans lesquelles l'opération n'a pas été couronnée de succès. Je pense qu'il ne peut y avoir d'autres opinions. Nous passons maintenant directement au sujet du forum -

Les événements autour du village de Nemmersdorf. Voici ce qui est écrit dans les "Essais sur l’histoire de la Prusse orientale": "Lorsque les troupes soviétiques ont finalement percé les positions avancées des Allemands et ont commencé à se déplacer rapidement vers Gumbinen (Gusev actuellement), le chaos sur les routes s’est encore intensifié. Et les troupes allemandes en retraite, les réfugiés allemands et les troupes soviétiques dans la région de Gumbinen devaient tous traverser la rivière Angerepp (voir cartes), et cela ne pouvait se faire que sur un pont, à Nemmersdorf. Bien sûr, il n'y a pas eu de victimes civiles. En outre, une partie de la population civile a tenté d’opposer une résistance à l’avancée des troupes soviétiques par des moyens armés. Il convient de rappeler que cette opération n’avait pas le caractère de libération, mais avait des objectifs spécifiquement agressifs définis par la Conférence de Téhéran, puis par la Conférence de Yalta. En conséquence, personne n'est venu vers nous avec des fleurs. Continuons: «Nemmersdorf s’est avéré être la première colonie et une tête de pont exceptionnellement importante, qui a été prise par l’Armée rouge pendant les combats puis laissée par elle. Situé sur la rive supérieure de la rivière Angerap, le village, un pont en béton armé a contribué au développement de l'offensive ou de la défense, en fonction de son appartenance. La capture de Nemmersdorf était si inattendue pour le commandement allemand qu'il n'a pas eu le temps d'évacuer la population locale et a également souffert des combats. Cette circonstance a ensuite été utilisée par la propagande de Goebbels pour accuser les soldats russes de génocide contre des civils, de "massacre", etc. "Regardons le rapport allemand du 23 octobre 1944:

" Les Bolcheviks ont réussi à pénétrer profondément dans notre défense entre Zudauen et Goldap. Après de lourds combats de rue, Goldap était aux mains de l'ennemi. À l'arrière des Russes qui avaient percé, au sud de Gumbinen, les fantassins coupèrent l'artère de transport. Une tentative des bolcheviks de percer de part et d'autre d'Ebenrode a été étouffée par le sang. À ce jour, 616 chars ennemis ont été détruits et capturés dans cette zone d'opérations militaires au cours des batailles de sept jours ... "Passons à l'ouvrage" Essais sur l'histoire de VP ":" 16 octobre 1944. le colonel Bulygin, commandant de la 25e Brigade de gardes Yelninskaya ordre de la Bannière rouge et de l'ordre de la brigade Suvorov, a reçu une mission de combat: il agit dans le premier échelon de la colonne de gauche du 2e corps de la garde, Tatsinskogo tank Corps. deux directions. Le premier est Cattenau, Brakupen et plus loin de Gumbinen, pour s'emparer de la partie orientale de la ville et occuper le front de la défense au sud et au sud-est; la seconde consiste à pénétrer dans la région de Walterkemen, à saisir le franchissement de la rivière Rominte, à poursuivre sur la route: Maigunishken, Budveitshen, à saisir le pont sur la rivière Angerepp et à prendre Nemersdorf. La saisie d'un important point stratégique sur la rive ouest de la rivière Angerepp a été spécifiquement attribuée au 2e bataillon de chars conjointement avec le bataillon mécanisé de mitrailleurs. Dans un rapport écrit sur les chars de combat du 11.10 au 10.25.1944g. Le colonel Bulygin, commandant de la brigade des gardes, a déclaré à ce sujet: «Le 2e bataillon de chars, en coopération avec le bataillon mécanisé, a capturé Nemersdorf à 9 h30 et a franchis la rivière Angerepp, détruisant jusqu'à 60 soldats et officiers, mettant en déroute le train sortant avec des munitions .... Après avoir débarrassé Nemersdorf de l’infanterie et des civils ennemis, les unités ont occupé une défense polyvalente prête à repousser d'éventuelles contre-attaques ennemies. ” La phrase du rapport sur le "nettoyage de Nemersdorf" de la population civile a embarrassé certains historiens allemands modernes. En particulier, le Dr. B.Fish y a vu la confirmation d'une éventuelle répression soviétique des soldats soviétiques contre la population civile du village et a proposé, pour établir la vérité, de procéder à des fouilles sur les lieux des combats. En fait, le mot dans le rapport du commandant de brigade est un terme commun utilisé pendant la guerre. Cela signifie des actions liées à l'évacuation de la population civile qui est tombée dans la zone de combats particulièrement violents. Dans de tels cas, la population était avertie de la menace qui pesait sur leur vie et recevait l'ordre de quitter immédiatement la zone de danger. Tout aussi important était le fait que, sous l'apparence de civils à l'arrière des troupes soviétiques, ils pouvaient et étaient généralement des officiers du renseignement et des saboteurs allemands. " Je pense que les craintes de sabotage sont tout à fait raisonnables, car les actions des partisans sont dangereuses, l’armée rouge le savait bien, mais le temps ne permettait pas de prendre la décision d’identifier ces personnes. L’expérience acquise lors de nouvelles actions de l’armée soviétique dans le territoire occupé permet de conclure que la population masculine a souvent été simplement abattue sur place ou entraînée en esclavage. Vérifiez maintenant que la fiabilité des épisodes individuels est impossible, mais il est incontestable que les "faits individuels" étaient énormes.

Le 19 janvier 1945, I. Staline a rendu une ordonnance exigeant des mesures d'urgence pour prévenir les atrocités, dont le contenu a été présenté à chaque soldat. Cependant, les événements en question se sont produits deux mois avant cette ordonnance. Voici ce que S.Golchikov écrit dans son livre «Le champ de bataille en - Prusse»: «Pour la première fois, le thème de l'attitude de l'Armée rouge à l'égard de la population allemande est apparu lors de l'opération offensive Gumbinen-Goldap du 3e front biélorusse en octobre 1944. Après le retrait des unités de la 11ème gv.Armée. des personnes mortes ont été retrouvées dans les zones peuplées laissées par eux de la rivière Angerap. La partie allemande a accusé les troupes soviétiques de destruction massive de la population civile, ce qui a été confirmé par les représentants de la Croix-Rouge internationale. Le cas le plus célèbre a été le cas du village de Nemmersdorf, où 60 résidents décédés ont été retrouvés, bien que 95 aient été découverts à Schulzenwalde (Dubrava actuellement), une localité voisine. Ces cas ne sont pas mentionnés dans la littérature soviétique. On peut supposer que pour le commandement soviétique, ils sont restés inaperçus et que les déclarations de la partie allemande de ses adversaires à la fin de la guerre ne l’ont pas inquiété. Les chercheurs russes modernes sont enclins à considérer les habitants tués comme des victimes accidentelles d'actions militaires, mais le PLEIN ABSENCE des blessés rend cette version peu convaincante. ” Plusieurs cartes et photos sur le sujet …………….

donc oui, ce qu'ils ont pratiqué ou pas, avec des informations qui sont resté caché, et aussi pourquoi, Staline aurait du emmètre un ordre spéciale pour ses soldats, deux mois après????

Aussi tragiques qu'elles aient pu être, pour une exaction commise par des troupes soviétiques ivres de vengeance, il y a eu 1000 précédents en U.R.S.S., gratuitement et souvent sans raison, si ce n'est l'idéologie nazie.
Il ne fallait pas s'attendre à ce que les soldats russes, ayant traversé des contrées, leurs contrées, dévastées par une Wehrmacht arrogante et sûre de sa force, pénètrent à leur tour sur le territoire du Reich avec la fleur au fusil...