| | Ca craint!! | |
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naga Feldmarshall
Nombre de messages : 32563 Age : 58 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Ca craint!! Mar 1 Oct - 4:25 | |
| Deuxième défaite pour les opposants aux éoliennes en mer, au large des plages du Débarquement « C’est très décevant », se désole Hervé Texier, le président de l’association Belle Normandie Environnement. Jeudi 17 mai 2018, le conseil d’État a rejeté le pourvoi des cinq associations qui militaient contre l’installation de 75 éoliennes en mer, au large de Courseulles-sur-Mer et des plages du Débarquement dans le Calvados. Le Conseil d’État n’a pas examiné notre recours, déplore Hervé Texier. Notre demande a été jugée irrecevable, mais on ne sait même pas pour quelles raisons… Le pourvoi des opposants visait à faire annuler l’autorisation d’exploiter ce parc, délivrée par arrêté préfectoral le 8 juin 2016, et confirmée par la cour administrative d’appel de Nantes, qui avait rejeté un recours des opposants le 2 octobre 2017. Les opposants regrettent que la justice n’ait pas pris le temps d’étudier leurs arguments. « Nous avons beaucoup de craintes par rapport à l’installation de ces éoliennes, notamment par rapport au classement des plages du Débarquement à l’Unesco, mais aussi pour la faune, la flore, la pêche, la navigation loisir… », énumère Hervé Texier. Le président de l’association Belle Normandie Environnement pointe également du doigt « le prix exorbitant du rachat de l’électricité de ces éoliennes, cela va coûter une fortune à l’État. » Avec une quinzaine d’associations, Belle Normandie Environnement a par ailleurs déposé plainte auprès de la Commission européenne contre l’ensemble des projets éoliens normands. « Nous attendons des nouvelles de la commission européenne. Je ne sais pas si cela pourrait faire annuler le projet. Mais cela peut sans conteste le retarder. EDF Énergies nouvelles va attendre l’avis de la commission », souligne Hervé Texier. Et si tous les recours sont rejetés, les opposants annoncent d’ores et déjà des actions. « Nous ne lâcherons rien. » Les projets d’éoliennes en mer en Normandie – 75 éoliennes au large de Courseulles-sur-Mer et d’Arromanches-les-Bains (Calvados) devaient voir le jour à l’horizon 2021. – Au large de Fécamp (Seine-Maritime), 83 éoliennes en mer pourraient être construites, également à l’horizon 2021. – 62 éoliennes devraient émerger au large de Dieppe et du Tréport, toujours en 2021. Ces trois projets suscitent cependant de vives réactions et des associations d’opposants ont lancé des recours contre les éoliennes en mer. Des procédures sont actuellement encore en cours, au niveau du Conseil d’État et/ou la cour d’appel administrative de Nantes, mais aussi au niveau de la Commission européenne. Les décisions de la justice se font attendre. source actu.fr | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 32563 Age : 58 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Ca craint!! Mar 1 Oct - 4:31 | |
| Plusieurs associations opposées aux projets de parcs éoliens en mer à Courseulles-sur-Mer (Calvados) et Fécamp (Seine-Maritime) étaient devant le Conseil d’État, ce mercredi 3 juillet 2019. Huit associations continuent de batailler contre le projet de parc éolien de Courseulles-sur-Mer (Calvados), situé près des plages du Débarquement, et contre celui des Hautes Falaises, à proximité d’Étretat (Seine-Maritime). Les sociétés Éoliennes offshore du Calvados et Éoliennes offshore des hautes falaises ont obtenu leur autorisation d’exploitation. À Courseulles-sur-Mer, il s’agirait de 275 éoliennes de 180 m de haut sur 50 km, et d’un ensemble de 83 éoliennes de 75 m de haut, réparties sur 88 km, pour le parc situé entre Fécamp, Dieppe et Le Tréport. Les opposants, qui plaident pour la préservation de l’intégrité de ces paysages, attaquaient ce mercredi 3 juillet, devant le Conseil d’État, les conventions accordées par l’État, en 2017, aux deux filiales d’EDF-Energies Nouvelles (EDF-EN) pour la concession d’utilisation du domaine public maritime au large de Courseulles-sur-Mer et de Fécamp pour une durée de quarante ans. Elles notaient que les enquêtes publiques avaient été insuffisantes et que l’avis du commandant de la zone maritime avait manqué dans le dossier. « Il faut respecter l’intégrité et l’authenticité de ces lieux qui concernent aussi bien les plages que le cimetière marin, qui font l’objet d’une demande de classement au patrimoine mondial de l’Unesco », soulignait leur avocat, Denis de la Burgade. Les éoliennes en mer sont « comparables à plusieurs dizaines de tours Montparnasse », a concédé Stéphane Hoynck, le rapporteur public en charge du dossier, mais « elles se trouveront entre 10 et 18 km des côtes » et ne feront pas obstacle à la démarche de classement des plages du Débarquement. Il a donc proposé le rejet de leur pourvoi. source oust-france.fr | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 32563 Age : 58 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Ca craint!! Mar 1 Oct - 4:37 | |
| Vue simulee du parc eoliens a Courseulles-sur-Mer Dans son rapport sur l’intégrité visuelle de mars 2013, l’Unesco rappelle sa très grande sensibilité aux éoliennes à proximité des sites classés. Le précédent du Mont Saint-Michel en 2010 doit nous alerter : l’Unesco avait formellement enjoint à l’Etat français de suspendre les projets éoliens en covisibilité, pourtant hors de la zone tampon du Mont. Vouloir aujourd’hui créer le plus grand complexe éolien de France en plein milieu de la zone de classement est totalement suicidaire" selon Bernard LOING, président de D-Day Heritage et lui-même ancien haut responsable de l’Unesco. Rappelons enfin qu’en Allemagne, depuis 2017, les parcs éoliens en mer sont attribués sans subvention, à plus de 50 km des côtes et avec 30 à 40 mètres de profondeur. C’est possible ! Ajoutons enfin qu’en juin 2019, le parc éolien en mer a été attribué à 50 EUR / MWh (contre 160 EUR / MWh pour celui de Courseulles), et que le débat public de l’été 2019 porte sur des implantations très au large, invisibles des côtes et avec 50 m de profondeur. C’est donc bien possible ! En détail : L’implantation du champ des éoliennes est reportée au delà de la zone Unesco, sur des fonds de profondeur équivalente, donc sans surcoût significatifs. La distance supplémentaires du câble de liaison est compensée par un meilleur rendement, du fait d’une prise au vent supérieure à cette distance des côtes. A 40 km de la côte au lieu de 10, l’impact visuel est quasi nul : la hauteur apparente est divisée par plus de 4 (effet cumulé de la distance et de la rotondité de la terre), de même, la largeur du champ sur l’horizon subit une réduction similaire. Les routes maritimes au départ du Havre et de Ouistreham ne sont pas impactées. On redonne aux ports de Courseulles et de Port en Bessin leurs zones d’évolution inchangées pour la pêche et la plaisance. On ne compromet pas le classement Unesco, une chance pour le développement économique de notre territoire. Et surtout, on respecte ce lieu de mémoire ! Différentes simulations visuelles sont faites par EDF Energies Nouvelles Le rapport d’expertise On y lit notamment page 10, que les plages Gold et Juno sont dans une "zone critique" : les éoliennes sont vues "selon 60 minutes d’arc environ, soit environ la taille de deux pleines lunes, ou encore celle de l’ongle d’un doigt à bout de bras" L’expert à l’origine de ce rapport, Jean-Marc VEZIEN (Ingénieur de Recherche CNRS) faisait la comparaison suivante lors de la réunion du débat public à Arromanches le 12 juin 2013 : "C’est comme si vous preniez un petit bâtonnet de 1,5 cm, et vous le mettez à un mètre de vous. C’est ça la taille effective d’une éolienne vue depuis Arromanches ou Courseulles" NB : rappelons qu’il y en a 75... Le rapport d’expert précise : "A cette distance, les observations météorologiques montrent que les éoliennes les plus proches du rivage seront visibles 75% du temps, l’impact visuel est fort dans cette zone" source libre-horizon.com | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 24294 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Ca craint!! Mar 1 Oct - 10:00 | |
| Sûr qu'on peut se gratter, si ça aboutit, pour voir les plages du débarquement reconnues patrimoine mondial par l'UNESCO. Déjà qu'ils les ont bien massacrées en tolérant des constructions privées tous azimut, et ce dès l'après guerre... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 32563 Age : 58 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Ca craint!! Mar 1 Oct - 14:24 | |
| Les matériaux et mécanismes d'une éolienne, exposés aux vents et aux intempéries, subissent de fortes contraintes physiques. Les pièces finissent par s'user et se fragiliser, ce qui réduit les performances et la sécurité des machines. Selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), la durée de vie d'un parc éolien est estimée à 20 ans. Au-delà, la fiabilité technique et l'efficacité des éoliennes deviennent insuffisantes. La durée de vie d’une éolienne varie entre 20 et 30 ans selon les constructeurs. Le démantèlement et la remise en état du site sont à la charge de l'exploitant du parc éolien. Le (polluant) recyclage des vieilles éoliennes allemandes De nombreux sites, subventionnés pendant des années, ne sont plus compétitifs au prix actuel de l'électricité. Leur démantèlement implique des investissements que n'ont pas prévus les exploitants, et risque de poser de vrais problèmes écologiques. Les Allemands ont-ils calculé toutes les conséquences de leur politique d'énergie «renouvelable»? Le pays, qui n'atteint pas ses objectifs de réduction d'émissions de CO², pollue déjà plus que ses voisins européens, en raison de l'utilisation de centrales à charbon classiques. Mais alors qu'une commission a rendu ses conclusions vendredi et préconise la sortie du charbon d'ici 2038, un autre problème se profile à l'horizon, et celui-là bien visible dans le paysage: celui des vieilles éoliennes à recycler. Selon un article du quotidien suisse Basler Zeitung, sur les 29.000 éoliennes allemandes, 5700 verront leur financement public expirer en 2020. Et d'après la fédération allemande de l'énergie éolienne, plus d'un quart de la production terrestre va disparaître d'ici 2023. À la clé, un démantèlement massif, qui s'annonce particulièrement difficile et coûteux. Des pales en fibre de verre qui posent problème Initiés à la fin des années 1990, de nombreux sites d'exploitation d'éoliennes bénéficiaient en effet de tarifs de rachat garantis pendant une vingtaine d'années, avant de devoir vendre leur électricité à son tarif de marché. Ces machines, techniquement obsolètes, ne sont plus du tout compétitives au regard des prix actuels, et dès l'arrêt du subventionnement, leur intérêt économique devient inexistant. Une première solution consiste, comme c'est déjà le cas, à les revendre pour des projets publics dans des régions moins développées (Afrique, Maghreb, Europe de l'Est), mais d'ores et déjà, le nombre d'éoliennes d'occasion disponibles a excédé la demande et les débouchés possibles. Le recyclage va donc s'imposer, et avec lui, quelques ennuis. Une bonne partie des éoliennes est faite d'acier, facilement réutilisable industriellement, tout comme les branchements et tuyauteries en cuivre. Mais les pales sont faites de multiples couches de fibre de verre collées avec des résines de polyester, et sont très difficilement recyclables. Selon Veolia, qui mène actuellement des recherches sur le sujet, on peut s'attendre à 50.000 tonnes de pales d'éoliennes à recycler d'ici l'année prochaine. Le groupe industriel indique qu'elles peuvent quand même fournir un «excellent combustible solide», mais les résidus de matériaux sont souvent trop fins et endommagent les filtres des incinérateurs. «Nous sommes confrontés à un énorme problème», avouait en 2017 un porte-parole d'une grande entreprise de recyclage allemande au quotidien économique Handelsblatt. Le recyclage des pales n'est cependant pas la dernière difficulté financière - et écologique- à prévoir pour les industriels allemands du secteur. L'enlèvement complet des bases en béton des éoliennes peut rapidement coûter plusieurs centaines de milliers d'euros supplémentaires, une somme que la plupart des opérateurs n'ont pas intégrée à leur plan d'affaires. Pour chaque mât planté, 250 à 400 mètres cube de béton armé sont coulés dans le sol, soit l'équivalent en volume d'une petite maison. En fin de vie, l'opération d'enlèvement constitue un investissement écologique primordial, dans la mesure où les fondations traversent différentes strates géologiques, et peuvent perturber les aquifères du sous-sol, et leurs nappes phréatiques. En dépit de ces impératifs, les premiers déplantages ont souvent donné lieu à des négociations entre sociétés et propriétaires fonciers pour n'enlever qu'une partie superficielle du béton. Le reste est ensuite recouvert de terre. Enfin, la question des chemins d'accès et des circuits de raccordement, parfois remblayés, peut également poser problème. Ne pas polluer en produisant de l'électricité est une chose, être une source réellement «écologique» d'énergie en semble une autre. En France, le code de l'environnement prévoit que la société d'exploitation d'une éolienne en fin de vie doit conduire la remise en état du site. Elle est tenue d'épargner une certaine somme sur la durée de vie du projet, mais celle-ci est souvent inférieure au coût d'un démantèlement dans les règles de l'art. Le Plan Pluriannuel de l'Énergie récemment dévoilé par le gouvernement prévoit de rendre obligatoire d'ici 2023 le recyclage des matériaux constitutifs des éoliennes lors de leur démantèlement, et de favoriser la réutilisation des sites éoliens en fin de vie pour y réimplanter des machines plus performantes. source lefigaro.fr | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 24294 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Ca craint!! Mer 2 Oct - 9:55 | |
| 20/30 ans c'est peu. Suis sûr que cette source d'énergie ne durera pas, du moins en mer... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 32563 Age : 58 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Ca craint!! Jeu 3 Oct - 2:50 | |
| Recycler des éoliennes en mobilier urbain Les éoliennes et surtout leurs pales sont fabriquées en matériaux composites de façon à être légères et résistantes mais il faut quand même les remplacer au bout d’une durée qui peut varier de 10 à 30 ans suivant les technologies et leur exposition. On estime que 250 000 éoliennes vont devoir être remplacées d’ici 2030. Le problème est que ces matériaux composites sont très dur, quand ce n’est pas impossible, à recycler. La firme danoise Superuse Studios a trouvé une solution originale à ce problème en réutilisant des vieilles éoliennes comme mobilier urbain avec des bancs ou une aire de jeu pour enfants réalisée à partir de morceaux d’éoliennes obsolètes. source laboiteverte.fr | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 24294 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Ca craint!! Jeu 3 Oct - 9:50 | |
| Va falloir beaucoup d'aires de jeu pour enfants pour recycler le parc... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 32563 Age : 58 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Ca craint!! Jeu 3 Oct - 14:21 | |
| L'armée rogne ses zones de vol pour laisser la place à de futures éoliennes Le gouvernement a tranché en faveur de la libération de 9000km² de zones de survol sur tout le territoire, pour y lancer des projets de parcs éoliens. Les éoliennes posent en effet des dangers pour les vols à basse altitude, mais perturbent aussi les détections radar. À l'issue d'une réunion interministérielle entre le ministère de la Transition écologique et le ministère des Armées le 18 janvier, ce dernier s'est vu libérer plus de 9000 kilomètres carrés dans ses zones de vol en France, afin de laisser la place à de futures implantations d'éoliennes. Après une première réduction de 14% des zones de survol en 2014, la décision interministérielle enlève cette fois aux aviateurs 13,3% de la surface des secteurs d'entraînement, qui couvrent eux-mêmes 20% de l'hexagone. Une nouvelle victoire pour la filière éolienne, dénoncée par ses opposants, et qui pose quelques questions en matière de sécurité nationale. Les nouvelles zones propices au développement de l'éolien sont présentées dans un document du 29 janvier, mis en ligne sur le site du Ministère des Armées. Deux types de secteur aérien ont été passés au crible: les Secteurs d'Entraînement Très Basse Altitude ou SETBA (vols à moins de 500 pieds), et les secteurs de Vol Tactique (VOLTAC), qui concernent les hélicoptères de combat, à des altitudes allant de la surface à 500 pieds. SETBA VOLTAC Sur les différentes cartes sont signalés en vert les nouveaux «espaces où les contraintes opérationnelles tactiques des forces armées ne seront pas opposées aux projets éoliens, qui resteront étudiés au cas par cas au regard des autres contraintes». Les nombreuses zones ainsi «optimisées» sont situées dans la Manche, l'Aube, le Morvan, la Creuse, l'Ardèche, la Drôme, l'Eure-et-Loir, dans le Sud, etc. Chaque carte est accompagnée d'une liste de coordonnées géographiques précisant les contours précis des superficies identifiées. Cette nouvelle réduction des zones de survol fait suite à des négociations commencées il y a plusieurs années entre militaires et fonctionnaires de l'écologie. Ces dernières années, l'armée a vu d'un mauvais œil la multiplication des éoliennes sur les territoires qu'elle était habituée à survoler, au point d'exercer plusieurs vétos sur des projets d'implantation. En 2014, un général de l'armée de l'air soulignait sur France télévision les «impacts sur la sécurité de plus en plus importants» des éoliennes, toujours plus hautes et nombreuses, et source de danger lors des vols à basse altitude. Plus grave, elles pourraient perturber la couverture radar, avec de possibles problèmes pour la détection d'aéronefs. En 2014, la Direction générale de l'Armement avait ainsi demandé à l'ONERA, le centre de recherche aérospatiale français, un démonstrateur de perturbations des éoliennes sur les radars électromagnétiques, pour «trancher objectivement sur les implantations futures».
Dernière édition par naga le Jeu 3 Oct - 14:28, édité 1 fois | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 32563 Age : 58 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Ca craint!! Jeu 3 Oct - 14:27 | |
| Le 27 décembre dernier, une question était d'ailleurs posée par le sénateur Alain Fouché à la ministre des Armées Florence Parly, demandant la publication des travaux de l'ONERA. Sans effet sur la volonté du gouvernement: dans un communiqué publié hier jeudi, la ministre «salue» le rapport sur la réduction des zones de survol, «qui favorise une politique environnementale ambitieuse et cohérente avec les besoins opérationnels des forces armées françaises».
Pour les opposants, le ministère est aux mains d'un lobby éolien Les opposants à la multiplication des éoliennes pointent de leur côté l'enfermement du ministère de la Transition écologique, et la domination du «lobby éolien» en interne. Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable, trouve la décision «catastrophique» pour la sécurité nationale, mais n'est pas surpris outre mesure, et constate que malgré les alertes écologiques, économiques et industrielles, le développement de la filière semble «gravé dans le marbre» au ministère.
source aip-drones.fr
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| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 24294 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Ca craint!! Ven 4 Oct - 9:55 | |
| Bon, mais la question reste: est ce rentable, ou plutôt, quel va être l'apport en énergie de tout ça, ou encore, est-ce que "énergétiquement parlant", le jeu en vaut la chandelle ?... Des chiffres, des comparaisons ... | |
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| | | | Ca craint!! | |
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