Raciste ?

Je crois que le monde est devenu fou depuis quelques annees ,certains ne supportent plus rien...
On pourrait croire a de bonnes vieilles blagues a l approche du 1er Avril ,eh bien non.

Peta demande de ne plus boire de lait, symbole de suprémacisme blanc
L’association américaine de défense des animaux considère que le lait est utilisé comme symbole pour la pureté raciale.





L’organisation fait référence à des articles de presse relayés par des partisans de l’extrême droite qui utilisent un emoji d’un verre de lait sur leurs réseaux sociaux
ou déclarent fièrement qu’ils « tolèrent le lactose ». Un symbole pour la pureté raciale.

De plus, selon Peta, le lait est une boisson de tous les pouvoirs :
parce que l’industrie laitière fait usage d’une « violence extrême » pour le traitement des vaches. « Comme les autres mammifères, les vaches ne produisent du lait que pendant
et après la grossesse », explique-t-elle. « Ainsi, tous les neuf mois, les vaches des fermes laitières sont mises enceintes de force et continuent de donner du lait »,
cela semble simple. « Les veaux sont alors retirés le plus rapidement possible, de manière à ce que les vaches puissent rapidement retomber enceintes. »



source
lesoir.be

#sparadrapgate : les pansements sont-ils racistes ?

Depuis quelques jours, la couleur beige du sparadrap est au coeur d’une vive polémique.
La journaliste et militante Rokhaya Diallo a récemment expliqué l’exclusion qu’induit ce petit objet du quotidien envers les personnes non-blanches,
soulevant une volée de critiques.





En 1955 aux Etats-Unis, une publicité valorise l’invisibilité d’un pansement beige, sur une femme caucasienne…
Cinquante ans après, en France, la couleur des sparadraps n’a pas évolué.
La journaliste militante Rokhaya Diallo l’a rappelé dans sa tribune « #sparadrapgate », paru le 9 mai sur le site Buzzfeed.

Rhokaya Diallo explique que les blancs et les blanches ont le choix entre un pansement transparent, avec un coton blanc, moins visible sur leurs peaux, et un pansement beige.
Choix dont ne disposent pas les personnes non blanches en France.
« Je n’ignore pas que c’est la nécessité d’observer les émanations purulentes ou de sang d’une plaie infectée qui justifie la couleur blanche de la compresse.
Je souligne juste le fait qu’on a choisi de penser à limiter la visibilité de cette compresse sur une peau blanche en créant un adhésif rose pâle, sans penser à faire la même chose
sur une peau noire. »

L’historique de la polémique
Tout a commencé en janvier dernier, sur le plateau de « C politique », une émission de France 5.
Interrogée sur la question de la non mixité, Rokhaya Diallo explique:
“C’est un souci permanent, de vivre dans un pays qui nous donne le sentiment qu’on n’existe pas, parce que rien n’est pensé pour nous. Ni les pansements, ni les coiffeurs,
ni le fond de teint.”
Son intervention relayée sur les réseaux sociaux s’accompagne dès lors de réactions haineuses.


Quatre mois plus tard, toujours fâché par cette intervention, un internaute poste un commentaire s’adressant à Rokhyalla Diallo,
concernant l’existence des pansements transparents, adaptés, selon lui, à toutes les couleurs de peau.
La journaliste répond, en soulevant le problème de la couleur visible et blanche de la compresse sous les pansements transparents.
Un déferlement de commentaires haineux s’abat alors sur la journaliste, sous le hashtag #sparadrapgate.
La communauté noire accuse rapidement ces haters de faire du whitesplainig.
Plusieurs personnalités publiques réagissent aux propos de Rokhaya Diallo, en se moquant ouvertement de ses revendications.
A l’instar du maire de Béziers Robert Ménard: « Honnêtement on devient fou! Il ne faudrait plus dire le mot blanc"

Le 9 mai, Rokhaya Diallo, lasse de ce déferlement de haine, poste finalement une tribune sur Buzzfeed,
Dans cette tribune, la journaliste soulève le manque d’empathie des personnes blanches envers les personnes racisées.
“L’ampleur de la polémique que mon interrogation sur les sparadraps a déclenchée, l’acharnement qui s’en est suivi et le degré de violence absurde en réaction
à cette question légitime, portant sur un sujet du quotidien, révèlent une absence totale d’empathie pour ce que vivent les personnes noires.”

Aux Etats-unis, les pansements, et sparadraps adaptés aux différentes couleurs de peau existent depuis une quinzaine d’années.






source
neonmag.fr

Ca fait longtemps qu'on va dans le mur mais d'ici peu on va le traverser.

Faut vraiment avoir du temps à perdre pour vouloir pinailler sur ces conneries, dont d'ailleurs se fout la grande majorité de la population noire vivant en France.
Pour les autres, rentrez chez vous !?...

vania a écrit:

Faut vraiment avoir du temps à perdre pour vouloir pinailler sur ces conneries, dont d'ailleurs se fout la grande majorité de la population noire vivant en France.
Pour les autres, rentrez chez vous !?...

10.000.000 % d'accord.

Il n y a que des blancs en randonnees et autres activites en plein air aux USA !      

Tout au long de l’histoire américaine, les minorités ethniques ont ete si souvent sous-représentées ou intentionnellement exclues des sorties en plein air.
Aujourd’hui, la recherche du groupes industriels comme la Outdoor Foundation confirme que les groupes minoritaires ne sortent tout simplement pas.
Considérons ce point de données :
au cours d’une année donnée, moins de la moitié des adolescents afro-américains âgés de 13 à 17 ans participeront à une seule activité récréative en plein air.
Le problème n’est pas que les gens de couleur en Amérique ne se soucient pas de la nature ou des questions environnementales.
En fait les enquêtes auprès des minorités raciales montrent constamment qu’ils sont plus préoccupés que les Blancs par le changement climatique et plus favorables aux politiques
pour y remédier.





Alors, qu’est-ce qui empêche les gens de couleur de participer à des loisirs en plein air et de profiter de ses avantages?
En tant qu’activiste et auteur Glenn Nelson écrit:
« Parce que le plein air reste un domaine en grande partie blanc, c’est à l’Amérique blanche d’inviter des communautés de couleur, de nous enrôler comme alliés. »
Voici quelques stratégies éprouvées pour les dirigeants de sortie (et les blancs bien intentionnés) qui veulent faire partie de la solution:

Le dialogue est la première étape vers la promotion d’une véritable inclusion et d’une véritable diversité à un niveau beaucoup plus profond.
Nous devons aborder la question de la race de face et comprendre que nous vivons dans une société qui offre à un groupe de personnes des avantages basés sur la couleur
de leur peau, tout en opprimant systématiquement d’autres groupes.
Par exemple, bien que le système des parcs nationaux ait été à juste titre salué comme « la meilleure idée de l’Amérique », nous devons reconnaître que les parcs
excluaient à l’origine les Couleurs. Compte tenu de cette histoire, il devient plus facile de comprendre pourquoi les minorités peuvent continuer à se sentir mal à l’extérieur.
Il est également crucial de nous renseigner sur le racisme environnemental, ou le fardeau disproportionné de la pollution supportée par les personnes de couleur,
des noirs urbains pauvres aux travailleurs agricoles latinos.
L’appréciation de la justice environnementale nous permet d’offrir des programmes qui répondre aux préoccupations de ces collectivités.

Les sports de plein air peuvent présenter des obstacles redoutables à l’entrée, Équipement et les compétences.
Les options, comme le covoiturage ou le partage d’équipement, peuvent réduire considérablement les coûts de participation.
Mais il y a une ligne fine entre abaisser les barrières et offrir une programmation moins valable.
Pour mieux faire cela, nous nous sommes tournés vers une source peu probable de conseils: l’armée américaine.
Ces dernières années, l’armée a fait un efforts concerté pour promouvoir la diversité et l’inclusion, malgré les repoussants importants de certains experts conservateurs.
En 2015, les premières femmes soldats ont obtenu leur diplôme de ranger School, un parcours notoirement difficile que près de 60% des soldats ne parviennent pas à terminer.
David Fivecoat, un colonel de l’Armée de terre qui a supervisé le programme d’entraînement des Rangers pendant l’intégration entre les sexes,
affirme que la clé pour obtenir l’accès était « l’uniformité et la transparence ».
« Tous les élèves ont été maintenus et ont respecté les mêmes normes, peu importe leur sexe », explique M. Fivecoat.
L’objectif des activités récréatives n’est pas de créer une atmosphère de camp d’entraînement, mais nous devrions nous attendre à un respect mutuel et à une responsabilisation
entre tous ceux que nous emmenons à l’extérieur.
En fait, dans tous les groupes démographiques, « développer ma confiance en moi » était une raison majeure de s’engager dans les loisirs de plein air,
selon l’étude de la Outdoor Foundation.

Le simple fait d’intégrer une dimension sociale dans vos sorties peut promouvoir la diversité.
Selon l’étude de la Outdoor Foundation, « parler à des gens nouveaux/variés » était une plus grande motivation pour les Hispaniques, les Afro-Américains et
les Américains d’origine asiatique à participer à des activités de plein air que pour les Blancs.
L’organisation d’un repas de groupe facultatif immédiatement après une course en eau vive ou une séance de rocher est un excellent moyen de structurer
une sortie plus inclusive. S’asseoir autour d’une table ensemble donne l’occasion de contribuer aux personnes qui se sont senties hors de leur zone de confort .
Comme glenn Nelson note,
« la course importe pour des raisons qui sont vraiment seulement profondes de peau, qui ne peuvent pas être discutées d’une autre manière,
et qui ne peuvent pas être souhaitées loin.
La race compte à cause des légères, des ricanements, des jugements silencieux qui renforcent cette pensée la plus paralysante : je n’ai pas ma place ici.
S’asseoir ensemble pour casser le pain peut aider à contrer ce sentiment subconscient d’aliénation et de s’assurer que tout le monde revient pour des sorties ultérieures
se sentant accueillis et affirmés.

L’établissement de larges coalitions représentatives des communautés dans lesquelles nous vivons est essentiel au succès de tout mouvement.
La théorie du changement est simple et éprouvée :
les gens qui font de la randonnée, du vélo, de l’escalade, du kayak ou du ski ont tendance à faire des choix de vie et à prendre des mesures politiques qui favorisent la conservation. Les gens de couleur sont déjà des leaders dans la lutte pour arrêter le changement climatique.
En cette ère de divisions idéologiques apparemment insurmontables, se réunir en tant que communautés pour faire l’expérience de la nature est peut-être l’une
des déclarations politiques les plus profondes que nous puissions faire. Pour citer Glenn Nelson,
« Ce n’est pas un remède pour ce monde malade. Ce n’est peut-être même pas une grâce salvatrice. Mais c’est quelque chose - quelque chose qui me fait croire
qu’il n’a pas d’importance si je ne suis pas blanc. Je compte toujours, et j’ai mon mot à dire.


source
sierraclub.org

Le changement climatique,c est a cause des blancs et ce sont les noirs qui vont encore souffrir ! --pas faux sur certains points de l article.

Mais qu’est-ce que Black Lives Matter a à voir avec le changement climatique? Tout.
Dans toute crise, ce sont les plus pauvres et les plus vulnérables qui subissent les plus grands impacts.

Cela a été démontré plus récemment par les statistiques révélatrices des décès causés par COVID-19, en particulier aux États-Unis où les Noirs et les Amérindiens meurent
à des taux disproportionnés. Les effets de la pandémie ont mis à nu l’inégalité frappante aux États-Unis et ses dimensions racistes.
Comme l’ont résumé Patrisse Cullors et Nyeusi Nguvu, membres du mouvement Black Lives Matter,
« le racisme est endémique aux inégalités mondiales. Cela signifie que les personnes les plus touchées – et tuées – par le changement climatique sont les Noirs et les pauvres ». C’est pour cette raison que des appels sont maintenant lancés pour centrer l’équité raciale et la justice dans la recherche de solutions significatives à la crise climatique.

Les liens directs entre la justice environnementale et la justice raciale sont depuis longtemps des domaines de recherche et d’activisme, et la relation entre la justice climatique
et la justice raciale s’appuie sur ces liens.
Les politiques et pratiques racistes de longue date – telles que la ségrégation résidentielle, les possibilités éducatives inégales et les perspectives limitées de progrès
économique – ont conduit à une vulnérabilité accrue des Noirs aux impacts du changement climatique et, par extension, à d’autres crises mondiales qui pourraient émerger.





Aux États-Unis, des pourcentages disproportionnés de personnes de couleur vivent dans des endroits pollués par des déchets toxiques,ce qui entraîne des effets négatifs
sur la santé tels que le cancer, l’asthme, la dégradation de la fonction cardiaque et l’hypertension artérielle.
La recherche a également mis en évidence que la race a une influence plus forte sur l’exposition aux polluants que la pauvreté.
Cela signifie qu’il est probable que les pollueurs non seulement site leurs activités dans les zones à faible revenu, mais dans certains cas choisissent activement des endroits
où il ya des pourcentages élevés de Noirs en particulier.

Le changement climatique intensifie les impacts de la pollution sur la santé dans ces communautés.
Par exemple, des températures de l’air plus élevées dues au réchauffement climatique emprisonnent les polluants atmosphériques près du sol, réduisant davantage la qualité de l’air
et exacerbant les problèmes de santé existants.
Une étude récente portant sur 32 millions de naissances aux États-Unis a révélé que les femmes exposées à des températures élevées ou à la pollution atmosphérique
sont plus susceptibles d’avoir des bébés prématurés, en insuffisance pondérale ou mort-nés et que les mères noires sont les plus touchées.

Les communautés noires sont également situées de façon disproportionnée dans des zones physiquement vulnérables aux risques climatiques,
tels que les ouragans et les inondations. En outre, ils reçoivent souvent des niveaux inégal de protection de la part du gouvernement par rapport à la protection offerte
à d’autres groupes. Par exemple, l’ouragan Katrina a mis en évidence l’héritage d’une protection inégale contre les inondations à la Nouvelle-Orléans,
où la distribution raciste du financement gouvernemental a donné lieu à une protection des sous-par-ves pour les quartiers noirs.

Plus de 80% des maisons qui ont été perdues appartenaient à des Noirs et les Noirs ont fait plus de la moitié du total des décès. Même après que
les Noirs ont été les plus durement touchés par Katrina, les plans initiaux de réaménagement des communautés blanches privilégiées de la Nouvelle-Orléans
ont été les plus importants. Les ouragans qui ont suivi ont illustré la disparité raciale dans l’émission et la hiérarchisation de l’aide au relèvement après sinistre,
les Noirs étant beaucoup moins susceptibles d’avoir accès à l’aide pour le relèvement des ménages ou des entreprises.





Tout comme le mouvement Black Lives Matter n’est pas seulement sur la brutalité policière, ce n’est pas seulement en Amérique où ces injustices climatiques et raciales jouent.
Les liens entre la justice raciale et la justice climatique sont visibles dans le monde entier.
Dans le domaine du changement climatique, il est bien entendu que ceux qui souffriront le plus des impacts du changement climatique
(petits États insulaires en développement et pays les moins avancés) ont le moins contribué à la crise mondiale.
Mais tout comme dans les pays développés, pour les pays en développement, cette inégalité dans la répartition des impacts est également pertinente au niveau communautaire.
Par exemple, en Amérique latine, la région la plus inégalitaire du monde,il est clair que la justice environnementale est certainement aussi une question de justice raciale.
Les questions relatives aux terres autochtones, aux droits des propriétaires fonciers ruraux et à l’expansion de l’énergie, de l’agro-industrie et d’autres industries
sont au cœur des luttes pour la justice raciale et environnementale.

À l’échelle mondiale, les liens entre le climat et la justice raciale n’ont pas acquis la reconnaissance qu’ils devraient avoir dans le mouvement plus large du changement climatique.
Au niveau des négociations internationales sur le climat, le rythme des progrès sur ces fronts est encore trop lent.
L’objectif des droits de l’homme sur le changement climatique dans la discussion mondiale n’a gagné qu’une traction limitée avec quelques progrès mineurs sur le front du genre
et du changement climatique.

En outre, le racisme systémique dans le mouvement climatique entraîne également la marginalisation de l’expertise noire, y compris les scientifiques et les praticiens,
car les perspectives européennes sont généralement soutenues, hiérarchiques et amplifiées.
Les experts noirs du climat sont confrontés aux fardeaux supplémentaires de l’exploitation au sein des structures racistes tout en essayant de lutter contre le changement climatique.
Le mouvement climatique n’a tout simplement pas une bonne expérience de la gestion des questions d’équité ou de compréhension du changement climatique
dans des dimensions au-delà strictement de l’environnement.
Toutefois, le mouvement Black Lives Matter attire l’attention dont il a tant besoin sur ces questions et, espérons-le, continuera d’encourager des changements positifs.
En raison de ce mouvement, les militants du climat du monde entier augmentent leur soutien à la justice climatique et à la justice raciale.

Ce sont des questions complexes et il n’y a pas de solutions simples.
La tâche de démanteler le racisme systémique et institutionnalisé exige plus que des gestes superficiels, mais implique plutôt d’évaluer, de changer et même d’éliminer
les systèmes de longue date qui conduisent à l’inégalité. Soutenir les organisations engagées en faveur de la justice raciale et climatique et éradiquer les politiques
qui marginalisent les Noirs et les communautés de couleur ne sont que quelques-uns des changements généralisés qui doivent se produire.
Le temps est venu pour la communauté du changement climatique de reconnaître et d’agir sur les injustices raciales qui augmentent les risques de changement climatique
pour les Noirs et d’autres communautés de couleur.


source
climateanalytics.org

Ouaip ! les States, envie d'y aller en vacances mais pas d'y habiter, de l'avis de plusieurs potes qui y ont fait des séjours.
Ces "posts" vont dans le même sens.

Il y a 40 ans j'avais envie d'y aller, l'envie m'est passé et n'est jamais revenue, tant mieux !

Peters annonce renommer les glaces Eskimo pour aider à atteindre « l’égalité raciale ».Alors que les interesses n ont rien demandes....  

Une entreprise australienne de crème glacée renommera l’une de ses marques phares, l’Eskimo Pie, pour aider à atteindre « l’égalité raciale ».
Peters a annoncé que la glace, qui a été introduite en Australie en 1923, sera re-marque comme la tarte polaire, citant les connotations coloniales et désobligeantes
du mot Esquimau.
Dans un communiqué, Peters a déclaré que l’entreprise était « engagée à faire partie de la solution sur l’égalité raciale et nous reconnaissons que le moment est maintenant
pour le changement ».






Elle intervient après que la société américaine Dreyer’s Grand Ice Cream a annoncé qu’elle changerait également le nom de son produit équivalent après avoir précédemment
concédé que le terme était « péjoratif ».
« Nous avons examiné notre entreprise Eskimo Pie depuis un certain temps et va changer le nom de la marque et le marketing », a déclaré la société américaine
dans un communiqué en Juin. En réponse, Donald Trump Jr a tweeté:« Les conneries ne s’terminent jamais. »

Le mot Esquimau est un terme colonial qui a été utilisé en Alaska pour désigner les Inuits et les Yupik. Lawrence Kaplan, du Native Language Centre de l’Université de l’Alaska,
a écrit que le terme est « maintenant considéré comme inacceptable par de nombreux autochtones de l’Alaska, voire par la plupart d’entre eux,
en grande partie parce qu’il s’agit d’un nom colonial imposé par des non-Autochtones ».

Norma Dunning, écrivaine inuite et universitaire d’Edmonton au Canada, a déclaré au Guardian en juin que le terme Esquimau avait pour effet de transformer
son groupe ethnique en caricature.
« Nous devons réfléchir à la façon dont ces rendus des peuples autochtones ont un effet subconscient sur l’imagination du public », a-t-elle déclaré.

La décision de Peters de renommer la crème glacée fait suite à une série de décisions très médiatisées prises par les entreprises d’en faire disparaître les marques racistes
ou insensibles.

En juillet, la société laitière Saputo a annoncé qu’elle changerait le nom de sa marque de fromage Coon plus de 20 ans après avoir fait l’objet de pressions
pour le faire pour la première fois. Elle faisait suite à l’annonce par la confiserie Nestlé qu’elle envisageait de renommer ses produits Allen’s Lollies Red Skins
et Chicos en raison de « connotations » qui, selon elle, étaient « en dehors » de ses valeurs.





Peters, qui a été vendu à une entreprise alimentaire européenne en 2014, a déclaré qu’il avait choisi le terme Polar Pie parce qu’il « conserve une forte association de retour
à la marque originale et l’idée de produit - une gâterie congelée que vous mangez un peu comme une tarte - avec vos mains et donc le nom Polar Pie ».


source
theguardian.com

USA-L’ex-députée Fiona Onasanya attaque la boîte à céréales Kellogg pour 'racisme'...

Fiona Onasanya, qui a été emprisonnée pour avoir menti à la police au sujet des excès de vitesse, a fait part de ses préoccupations sur Twitter.
« Je me demandais donc pourquoi Rice Krispies ont trois garçons blancs représentant la marque et Coco Pops ont un singe? », l’ancien député de Peterborough a écrit.

Kellogg’s a déclaré que l’entreprise « soutient la communauté noire ».
Mme Onasanya, qui a été expulsée du Parti travailliste et a perdu son siège au Parlement en 2019,a écrit sur Twitter qu’elle avait envoyé un courriel à Kellogg’s
au sujet de ses préoccupations, mais qu’elle n’avait pas eu de réponse.

Tweetant à @KelloggsUK [qui n’est pas le fil Twitter officiel de l’entreprise] elle a écrit:
« ... Comme vous n’avez pas encore répondu à mon e-mail - Coco Pops et Rice Krispies ont la même composition (sauf pour le fait CP sont bruns et chocolat aromatisés)...
alors je me demandais pourquoi Rice Krispies ont trois garçons blancs représentant la marque et Coco Pops ont un singe?





Son tweet a été largement ridiculisé, avec un certain nombre de personnes soulignant que les « trois garçons blancs » étaient des « elfes ».
Une personne a tweeté: « Les vies elfes comptent ».
Un autre a écrit: « J’ai grandi avec Coco Pops et Rice Krispies. Je ne me suis jamais demandé ça. Certains d’entre nous peuvent dire le monde réel à partir de l’imaginaire.

Kellogg’s a souligné que son fondateur était William Keith Kellogg, « qui a été un pionnier dans l’emploi des femmes sur le lieu de travail et d’atteindre au-delà
des frontières culturelles » .
Dans un communiqué, l’entreprise a déclaré : « Nous ne tolérons pas la discrimination. »

La mascotte singe a été créée dans les années 1980 « pour mettre en valeur la personnalité ludique de la marque », a déclaré un porte-parole,
ajoutant qu’elle avait aussi « des tigres, des girafes, des crocodiles, des elfes et un narval » sur ses boîtes de céréales.


source
bbc.com

Je résume et j'insiste :
ON SUPPRIME TOUTES LES COULEURS PARTOUT ET SUR TOUT, MEME SURTOUT D'AILLEURS, tout est d'une couleur adéquate correspondant au produit !
Le monde deviendra parfait, beau, immaculé, tout le monde s'aimera etc.…..
Je sors me suicider :

Et tout ce délire commence à prendre pied chez nous !...

vania a écrit:

Et tout ce délire commence à prendre pied chez nous !...

D'ici 100 ou 200 ans on inversera la vapeur et ainsi de suite.

"Je suis la femme dans l’annonce raciste Dove. Je ne suis pas une victime"
Lola Ogunyemi


Quand Dove m’a offert la chance d’être le visage d’une nouvelle campagne de lavage du corps, j’ai sauté le pas.
Je n’avais aucune idée que je deviendrait l’enfant de l’affiche involontaire pour la publicité raciste.

Au depart 7 femmes de toutes couleur de peau a la suite dans un clip,a l arrivee,les racistes ne voient que les images ci dessous...




Depuis un très jeune âge, on m’a dit: « Vous êtes si jolie ... pour une fille à la peau foncée. Je suis nigériane, née à Londres et élevée à Atlanta.
J’ai grandi très conscient de l’opinion de la société selon laquelle les personnes à la peau foncée, en particulier les femmes, auraient l’air mieux si notre peau était plus claire.
Je sais que l’industrie de la beauté a alimenté cette opinion avec sa longue histoire de présenter des modèles plus légers, métis ou blancs comme la norme de beauté. Historiquement, et dans de nombreux pays encore aujourd’hui, des modèles plus foncés sont même utilisés pour démontrer les qualités éclaircissantes de la peau
d’un produit pour aider les femmes à atteindre cette norme.
Ce récit répressif est celui que j’ai vu affecter les femmes de nombreuses communautés différentes dont j’ai fait partie.
Et c’est pourquoi, quand Dove m’a offert la chance d’être le visage d’une nouvelle campagne de lavage du corps.
Avoir l’occasion de représenter mes sœurs à la peau foncée dans une marque de beauté mondiale me semble être le moyen idéal pour moi de rappeler au monde
que nous sommes ici, que nous sommes belles et, plus important encore, que nous sommes valorisés.

Puis un matin, je me suis réveillé à un message d’un ami demandant si la femme dans une publicite qu’il avait vu était vraiment moi.
Je suis allé en ligne et j’ai découvert que j’étais devenu a l affiche involontaire pour la publicité raciste. Pas de mensonge.
Si vous tapez sur Google « annonce raciste » en ce moment, une photo de mon visage est le premier résultat. J’avais été heureux de faire partie de la publicité et
de promouvoir la force et la beauté de ma race, donc pour qu’il soit rencontré avec indignation généralisée a été bouleversant.
Des appels ont été lancés pour boycotter les produits Dove, et des amis de partout dans le monde vérifiaient sur moi pour voir si j’étais OK.
J’ai été submergé par la façon dont l’annonce était devenue controversée.

Si j’avais même la moindre inclination que je serais dépeint comme inférieur, ou comme le « avant » dans un avant et après coup, j’aurais été la premiere à dire
un emphatique « non ». C’est quelque chose qui va à l’encontre de tout ce que je défends.

Cependant, l’expérience que j’ai eue avec l’équipe dove a été positive. J’ai passé un moment incroyable sur le plateau. Toutes les femmes dans le tournage ont compris le concept
et l’objectif global - d’utiliser nos différences pour mettre en évidence le fait que toute la peau mérite la douceur.
Je me souviens que nous sommes tous excités à l’idée de porter des T-shirts nus et de se transformer les uns en autres.
Nous ne savions pas exactement à quoi ressemblerait le montage final, ni lequel d’entre nous y serait réellement présenté, mais tout le monde semblait être de bonne humeur
pendant le tournage, y compris moi.

Puis la première annonce Facebook a été publiée: un clip vidéo de 13 secondes me mettant en vedettei, une femme blanche, et une femme asiatique enlever nos hauts nus
et de changer les uns dans les autres. J’ai adoré. Mes amis et ma famille ont adoré. Les gens m’ont félicité d’être la premiere à apparaître, d’avoir l’air fabuleux,
et d’avoir représenté Black Girl Magic. J’étais fier.
Puis, la publicité télévisée complète de 30 secondes est sortie aux États-Unis, et j’étais de nouveau sur la lune. Nous étions sept dans la version complète,
de différentes races et âges, chacun d’entre nous répondant à la même question : « Si votre peau était une étiquette de lavage, que dirait-elle ? »
Encore une fois, j’ai été le premier modèle à apparaître dans l’annonce, décrivant ma peau comme « 20% sec, 80% brillant », et apparaissant à nouveau à la fin.
J’ai adoré, et tout le monde autour de moi semblait aussi. Je pense que l’édition tv complète fait un bien meilleur travail de faire le message de la campagne haut et fort.

Il y a certainement quelque chose à dire ici sur la façon dont les annonceurs doivent regarder au-delà de la surface et tenir compte de l’impact que leurs images peuvent avoir,
en particulier quand il s’agit de groupes marginalisés de femmes. Il est important d’examiner si votre contenu montre que la voix de votre consommateur
n’est pas seulement entendue, mais aussi appréciée.
Je peux voir comment les instantanés qui circulent sur le web ont été mal interprétés, compte tenu du fait que Dove a fait face à une réaction négative dans le passé
pour exactement le même problème. Il y a un manque de confiance ici, et je pense que le public était justifié par leur indignation initiale.
Cela dit, je vois aussi que beaucoup de choses ont été laissées de côté. Le récit a été écrit sans donner aux consommateurs un contexte sur lequel fonder une opinion éclairée.

Bien que je sois d’accord avec la réponse de Dove à s’excuser sans équivoque pour toute offense causée, ils auraient également pu défendre leur vision créative,
et leur choix de m’inclure, une femme noire à la peau claire sans équivoque, comme un visage de leur campagne.
Je ne suis pas seulement une victime silencieuse d’une campagne de beauté erronée. Je suis forte, je suis belle, et je ne serai pas effacée.

La publicite complete

https://www.facebook.com/watch/?v=10156039951371323


source
theguardian.com

Colgate va revoir la marque de dentifrice historiquement raciste Darlie





Colgate-Palmolive a déclaré à Reuters jeudi (18 Juin 2020) qu’il prévoit de « revoir et d’évoluer » sa marque de dentifrice populaire Darlie, qui était à l’origine connu
sous le nom Darkie jusqu’à ce qu’il change une lettre de son nom et les tons utilisés sur le visage de l’homme en vedette dans son logo en 1989.
La marque est populaire à travers l’Asie, en particulier en Chine, où son nom se traduit par « dentifrice personne noire ».

La décision de Colgate fait suite à celle de plusieurs autres entreprises, qui se sont empressées de s’éloigner de l’image de marque fondée sur les stéréotypes raciaux
au cours des dernières semaines. Land O' Lakes beurre enlevé une femme amérindiene de son logo en avril.

Et cette semaine, alors que les manifestations de Black Lives Matter continuent d’avoir un impact sur la politique et la culture, la tendance s’est accélérée.
PepsiCo a déclaré qu’il laisserait tomber tante Jemima de la marque quaker avoine sirop de crêpes, tandis que Mars a annoncé que le riz de son oncle Ben ferait évoluer
son identité visuelle , qui met en vedette un homme afro-américain dans les vêtements de serveur.

Colgate-Palmolive produit Darlie par le biais d’une joint-venture créée en 1985 avec Hawley & Hazel.
« Depuis plus de 35 ans, nous travaillons ensemble pour faire évoluer la marque, y compris des changements substantiels au nom, logo et l’emballage », a déclaré
un porte-parole, selon le rapport Reuters. « Nous travaillons actuellement avec notre partenaire pour examiner et faire évoluer tous les aspects de la marque, y compris
le nom de marque. »


Pourtant l evolution du logo et du nom a ete "brillante" quand on voit l ancien.
Le dentifrice vendu en Thailande dans les annees 80...






Euromonitor International affirme que Darlie a une part de 17 % du marché du dentifrice en Chine, 21 % à Singapour, 28 % en Malaisie et 45 % à Taïwan.
Dans le rapport des 1000 plus grandes marques de campagne Asie-Pacifique,la marque est tombée de la 15e position en 2006 à 233 en 2019.


source
campaignlive.co.uk

Oncle ben's, Banania...la liste serait longue.
Mais qu'en est-il dans les pays africains, métissés, l'Afrique du Sud par exemple, comment gèrent-ils ces pinailleries ?
Avez vous remarqué depuis qques mois, les acteurs dans les pubs sont mélangés, mais blancs/noirs uniquement ?
Quid des asiatiques et latinos alors ?
Ben parce que ce sont les noirs qui crient le plus fort !...

L’Oregon promeut un programme de formation des enseignants pour « démanteler le racisme dans les mathématiques »

Le service de l’éducation de l’Oregon promeut et encourage ses éducateurs à s’inscrire à un cours qui compare l’enseignement moderne des mathématiques
aux “caractéristiques toxiques de la culture de la suprématie blanche”.





Un bulletin d’information envoyé par l’organisme gouvernemental la semaine dernière mentionnait un cours intitulé “Un Chemin vers l’Équité dans l’Enseignement
des Mathématiques :
Démanteler le Racisme dans l’Enseignement des Mathématiques“, auquel les enseignants peuvent participer le 21 février.
Le programme cherche à inscrire les éducateurs sur la “voie vers l’équité en mathématiques” en explorant “les ethnomathématiques” avec “une pédagogie, des pratiques
et un programme d’études antiracistes et culturellement pertinents”.
“La culture de la suprématie blanche s’infiltre dans les salles de classe de mathématiques dans les actions quotidiennes des enseignants“, indique la description du cours.
“Couplée aux croyances qui sont à la base de ces actions, elle perpétue le préjudice éducatif sur les élèves noirs, latinx et multilingues, les privant d’un accès complet au monde
des mathématiques”.

Le cours continue avec une section sur la “culture de la suprématie blanche” dans les classes de mathématiques, disant :
“Cela renforce l’idée qu’il n’y a qu’une seule bonne façon de faire des mathématiques. L’histoire des mathématiques, de leur colonisation et de ce qui est considéré
comme un savoir “acceptable” est riche et complexe.
Par conséquent, la manière dont les mathématiques sont enseignées aux États-Unis doit être remise en question car elle est actuellement centrée sur les méthodes occidentales
et eurocentriques de traitement et de connaissance de l’information.
Lorsque les étudiants sont tenus d’apprendre de cette manière, soit ils doivent désapprendre les traditions autochtones qu’ils ont apprises pour répondre aux attentes
des enseignants, soit ils sont privés de l’apprentissage des mathématiques dans leur histoire ancestrale.
Pour les enseignants, le fait d’enseigner de la manière dont ils ont appris renforce également le droit au confort des enseignants, car il est plus facile de se conformer
que de se mettre au défi d’enseigner les mathématiques différemment”.

Le programme insiste pour que les éducateurs “identifient et remettent en question les façons dont les mathématiques sont utilisées pour soutenir les points de vue
capitalistes, impérialistes et racistes”. Il a ajouté qu’il est “sans le moindre doute faux” de supposer que les mathématiques sont une discipline “objective”.
“Le concept de mathématiques purement objectives est sans le moindre doute faux, et encore moins pour son enseignement”, a-t-il déclaré.
“Soutenir l’idée qu’il y a toujours des bonnes et des mauvaises réponses perpétue l’objectivité ainsi que la peur d’un conflit ouvert”.

Le cours a plutôt encouragé les enseignants à “trouver au moins deux réponses qui pourraient résoudre ce problème”.
Le cours est également truffé de conseils pour rejeter “l’individualisme” au profit du “collectivisme”.
“Bien qu’il y ait de l’intérêt à ce que les étudiants puissent travailler de manière indépendante, lorsque c’est la seule ou la plus courante des voies d’apprentissage
ou de pratique, cela renforce l’individualisme et l’idée que je suis seul”, peut-on lire dans le document.
“Cela ne valorise pas le collectivisme et la compréhension de la communauté, et favorise les conditions de concurrence et de réussite individuelle,
ce qui perpétue l’idée que si un étudiant échoue, c’est parce qu’il ne fait pas assez d’efforts ou qu’il s’en moque“.

La formulation comportait également une attaque apparente contre les pratiques capitalistes.
“Nous ne pouvons pas démanteler le racisme dans un système qui exploite les gens pour le profit privé”, a-t-il déclaré. “Si nous voulons démanteler le racisme,
alors nous devons construire un mouvement pour une justice économique.”

Le département de l’éducation de l’Oregon n’a pas répondu immédiatement à une demande de commentaires du Washington Examiner.


source
fr.theepochtimes.com

Pourquoi la natation n’invite pas les groupes minoritaires?

Maritza Correia McClendon n’était pas sûre de l’avoir bien entendu. Elle a envisagé de frapper rembobinage et d’écouter une fois de plus juste pour s’assurer.

Elle était chez sa cousine à Atlanta, à 12 ans d’un moment olympique historique, lorsque Simone Manuel est sortie de la piscine du Centre aquatique olympique de Rio de Janeiro
et a dit le nom de Maritza. Manuel venait de devenir la première Afro-Américaine à remporter une médaille d’or individuelle en natation, en retournant une performance inoubliable
au 100 mètres nage libre. Mais au lieu de se concentrer sur elle-même, elle a profité de l’instant pour reconnaître les autres.
« Je veux dire, cette médaille n’est pas seulement pour moi, a déclaré Manuel dans une interview d’après-course en larmes en 2016.
« C’est pour tout un tas de gens qui sont venus avant moi et ont été une source d’inspiration pour moi. Maritza, Cullen [Jones], et c’est pour tous les gens après moi.





Quatre ans plus tard, le geste signifie encore beaucoup pour McClendon, qui est devenu en 2004 la première femme noire à se qualifier pour l’équipe olympique américaine de natation.
« Au-delà des larmes, ma mâchoire a chuté quand elle a dit mon nom », a dit McClendon.
« L’entendre donner du crédit à ceux qui sont venus avant, c’est incroyable. J’avais des frissons, de l’excitation et ce sentiment de fierté. On est ensemble maintenant.
Il n’y a pas qu’elle qui porte le flambeau; nous y travaillons tous ensemble.

Avec sa percée en or à Rio, Manuel s’est joint à un groupe d’élite de meilleurs athlètes noirs en natation aux États-Unis, celui qui comprend les médaillés olympiques
Anthony Ervin, Lia Neal, Jones et McClendon. C’est un petit cercle, mais un athlète, des entraîneurs et des défenseurs ont l’intention de prendre de l’expansion.
Le leur est un effort collectif pour amener plus d’enfants de couleur dans l’eau et améliorer l’inclusivité dans un sport encore considéré comme principalement blanc.

Le rapport 2019 d’USA Swimming sur la démographie a mis à nu les écarts de participation qui existent.
Sur ses 327 337 athlètes toute l’année, seulement 1,4 %(4 841) se sont identifiés comme Noirs ou Afro-Américains, tandis que 3,5 % (11 597) ont été identifiés comme
hispaniques ou latinos. Trente-quatre pour cent n’ont pas répondu à la question de l’ethnicité.

La natation, a dit McClendon, n’est pas aussi invitante pour la communauté afro-américaine qu’elle devrait l’être.
C’est quelque chose sur quoi nous travaillons. ... On voit Simone et Lia, mais qui sont les autres ? Qui s’en sort aux nationales ?
Je vois le changement, mais nous sommes encore si peu nombreux au niveau national. Le changement continue de gagner du terrain.


La première étape consiste à amener les enfants dans la piscine — non pas pour des visions du matériel olympique, mais pour la sécurité elle-même.

Une enquête menée en 2017 par l’Université de Memphis et la USA Swimming Foundation a révélé que 64 %des enfants noirs et 45 % des enfants hispaniques/latinos
ont peu ou pas de capacité de nager, contre 40 % des enfants blancs.
Si un parent ne sait pas nager, un enfant n’a que 13 % de chances d’apprendre, selon la recherche. La relation négative avec l’eau peut créer un fossé générationnel
avec des conséquences potentiellement mortelles.
Selon les Centers for Disease Control and Prevention, les enfants noirs âgés de 5 à 19 ans sont 5,5 fois plus susceptibles de se noyer dans une piscine
que les enfants blancs.
« Nous avons tous l’histoire de connaître quelqu’un qui s’est noyé dans notre communauté », a déclaré Miriam Lynch, directrice générale de Diversity in Aquatics,
un organisme qui s’est tourné vers la sensibilisation à la sécurité aquatique et la prévention de la noyade dans les collectivités historiquement sous-représentées.
« Il ya donc une peur. Si tu restes loin de ça, tu seras en sécurité. C’est l’idée.

Cette peur est un facteur indéniable dans un problème complexe de longue date. Lynch, dont la mère a perdu son frère aîné à cause de la noyade, en pointe trois autres :
le financement, l’accès à la piscine et la façon dont l’eau est perçue comme le résultat de siècles de répression.
En effet, il est impossible de tenir compte des disparités qui existent aujourd’hui sans tenir compte de l’histoire.





Le racisme à la piscine

L’historien Jeff Wiltse, auteur de « Contested Waters: A Social History of Swimming Pools in America », soutient que « la discrimination passée dans la fourniture
et l’accès aux piscines et aux leçons est la principale cause des disparités contemporaines en matière de natation et de noyade ».
Il souligne deux périodes spécifiques du XXe siècle pour expliquer pourquoi.

Dans les années 1920 et 1930, la natation a gagné en popularité à mesure que des milliers de grandes piscines publiques surgient dans les villes à travers les États-Unis.
Une véritable « folie de construction de piscines », a dit Wiltse , mais un seul Américain blanc pouvait en profiter.
Les normes sociales qui, dans certaines villes, ont maintenu les hommes et les femmes relégués à des piscines séparées ont commencé à changer, laissant plutôt place
à des craintes racistes. En conséquence, la grande majorité de ces piscines massives, avec des pelouses herbeuses, des terrasses ensoleillées et des plages artificielles,
étaient interdites aux Noirs.

« La plupart des Blancs s’opposaient à ce que les hommes noirs ont la possibilité d’interagir avec des femmes blanches dans des espaces publics aussi intimes », a écrit Wiltse
dans « The Black-White Swimming Disparity in America: A Deadly Legacy of Swimming Pool Discrimination ».

La discrimination raciale s’est normalisée à travers le pays, les villes du sud utilisant les lois jim crow pour empêcher les nageurs noirs d’entrer. Ceux qui osaient entrer dans les piscines du nord étaient parfois refoulés par la force. Ce fut le cas en août 1931 lorsque la ville de Pittsburgh ouvrit une nouvelle piscine à Highland Park.

Le deuxième jour de l’ouverture de l’établissement, une cinquantaine d’hommes noirs se sont joints à près de 8 000 fêtards à la piscine.
Un article de la Pittsburgh Post Gazette, qui a couru le 6 août 1931, sous le titre « Police Unable to Prevent Highland Pool Race Clashes », décrit ce qui s’est passé ensuite.
Chaque nageur noir a été « immédiatement entouré de blancs et slugged ou tenu sous l’eau jusqu’à ce qu’il abandonne ses tentatives de nager et a quitté la piscine. »

La déségrégation progressive des piscines après la Seconde Guerre mondiale a donné lieu à une série d’événements, conduisant les Blancs à abandonner les piscines municipales
pour les piscines privées de clubs ou résidentielles dans les banlieues. Quand ils sont partis, l’argent des contribuables est allé avec eux.
La fréquentation des piscines de la ville a chuté et beaucoup sont tombés en désuétude et fermés.

Dans les banlieues, cependant, la natation a de nouveau augmenté en popularité.
Près de 23 000 clubs de natation privés ont surgi en 1962, donnant aux Américains blancs de la classe moyenne et supérieure un accès facile et abondant à l’eau.
Ces piscines, nota Wiltse, représentaient les « foyers de l’explosion de la natation en tant que sport participatif ».
Mais encore une fois, les Noirs américains ont été presque entièrement exclus.

« La natation est devenue une partie intégrante de la culture récréative de l’Amérique blanche », a déclaré Wiltse. « Les parents emmènent leurs enfants dans ces piscines,
et une génération d’Américains blancs apprend à nager.
En revanche, il n’existe pas de culture de natation semblable et auto-perpétuée développée dans les communautés noires américaines.

« Si vous regardez en arrière à travers l’histoire, la ségrégation a été l’une des choses qui ont gardé beaucoup de gens hors du sport », James Washington,
directeur des sports aquatiques pour le département d.C. D. des parcs et des loisirs, a déclaré.
« L’histoire a changé et on nous a permis d’y accéder, mais à ce moment-là, beaucoup avaient grandi pour faire d’autres sports. Ils se sont déplacés vers les sports
qui permettaient aux gens de couleur.


source
sports.yahoo.com

Sinon, si vraiment ça va pas, il y a le Liberia, pays peuplé par la re-migration de descendants d'esclaves U.S., et autres, retournés dans leur Afrique d'origine.  
Exemple à suivre.

Toujours tres fort

Le jogging est trop blanc. Ça ne doit pas à l’être.
Nous devons rendre la course accessible — et sûre — pour les Américains non blancs.
Article de Ryan Fan qui est noir!

Merci à la pandémie, je n’ai pas rencontré de gens pour les courses avec mon équipe de cross-country ces derniers temps.
Mais quand nous étions tous dans le même vestiaire,mon coup d’oeil a été clair : à l’exception d’un ou deux coéquipiers, tout le monde était blanc.
Comme c’est le reste du monde de la course à pied.

Bien sûr, certains des coureurs les plus talentueux dans le monde ne sont pas blancs; les athlètes éthiopiens et kényans règnent en maître lors d’épreuves au-delà de 400 mètres
sur la piste et ont tendance à dominer le monde de la course de fond. En athlétisme, tout événement de 800 mètres et moins n’est pas aussi blanc et plus accessible et représentatif
de la démographie américaine.
Le monde de la course à pied étant « trop blanc » se rapporte en particulier à l’Ouest et principalement dans la course récréative.
C’est le monde dans lequel j’ai grandi et le monde que je connais actuellement. Un rapide coup d’oeil à travers les forums populaires de LetsRun constate que la confrontation
avec la blancheur de la course en cours d’exécution engendre beaucoup d’hostilité.

« Pourquoi quelque chose autre que blanc est une mauvaise chose? »
Les commentaires font rapidement état de posts racistes autour de la criminalité, de l’aide sociale,de la paresse, du chômage, et bien pire encore.
Bien sûr, l’anonymat de LetsRun (et de l’Internet dans son ensemble) donne aux intimidateurs clavier la licence de faire des commentaires plus fanatiques,
mais la lecture à travers ne fait que renforcer l’idée que la course à distance n’est pas accessible - ou n’est pas perçu comme tel - à une partie importante de notre population.
Et nous n’aurons pas beaucoup de gens de couleur sur les routes et les sentiers s’ils ne se sentent pas en sécurité.

Omniprésent dans notre conscience nationale au cours des deux dernières semaines a été la mort d’Ahmaud Arbery, un homme noir de 25 ans qui en Février a été tué
par deux hommes blancs alors qu’il faisait du jogging à travers un quartier résidentiel à l’extérieur de Savannah, en Géorgie.
Une vidéo virale de l’attaque montre Gregory McMichael et son fils, Trevor McMichael, s’engageant dans une confrontation avec Arbery, et tirant finalement un fusil de chasse
sur l’homme.
Le monde entier a été témoin des derniers moments de la vie d’Arbery. La vidéo poignante a été condamnée à travers l’éventail politique,
même par des personnalités archi-conservatrices comme Donald Trump et le gouverneur de Géorgie Brian Kemp. Le père d’Arbery l’a appelé un lynchage moderne.

Idéalement, la course devrait être une sorte d’égaliseur. Ce n’est pas un sport très restrictif financièrement pour entrer dans - la seule chose dont vous avez besoin
est une paire fiable de chaussures de course. Mais ce n’est pas si simple. Pour être un coureur, vous avez besoin d’un endroit sûr pour courir, le temps libre nécessaire pour courir,
et la nourriture adéquate dans le réfrigérateur.
Courir a fait beaucoup pour moi. La plupart de mes amis, à ce jour, sont des coureurs. Je sais que les coureurs sont les personnes les plus coriaces, les plus accueillantes,
les plus loyales et les plus gentilles que j’ai jamais rencontrées, non seulement en course et en performance, mais aussi dans leur dévouement envers mes coéquipiers.
Je ne serais pas la personne que je suis sans courir . Pourtant, tous mes amis coureurs, sauf quelques-uns, sont blancs.
La solution consiste à rendre le monde de la course à distance plus accessible à tous.
Je ne peux parler que par expérience personnelle, mais les endroits avec de grandes communautés de course ont tendance à centrer dans les banlieues ou les zones gentrifiées
des villes. Je ne lis pas seulement sur la ségrégation résidentielle dans le milieu universitaire: je vis et le vois tous les jours, l’enseignement dans une école du centre-ville
avec un seul enfant blanc dans un corps étudiant d’environ 350. Je ne peux pas tout à fait mettre le doigt sur ce qui ne va pas avec le fait que la ségrégation
se produit d’une manière beaucoup plus secrète, mais je peux dire qu’il n’est pas approprié pour rendre la course accessible - et sûr - pour les Américains non-Blancs.
Le vrai succès vient d’une manière de base. Les entraîneurs de partout au pays peuvent encourager un plus grand nombre d’étudiants de couleur à essayer
des épreuves à distance, pas seulement des événements de moyenne ou courte distance.





J’ai soulevé cette question avec mes amis, des mentors de confiance et des vieux coéquipiers. Ils disent surtout que si la course récréative est un sport blanc,
son inaccessibilité n’est pas aussi flagrante que beaucoup d’autres sports qui nécessitent des équipements coûteux ou des zones dédiées, comme le golf, le tennis, le cyclisme
ou le ski. Mais ce n’est pas parce que la course à pied est plus facile à faire en tant que sport que la communauté de la course à pied ne peut pas faire plus pour étendre
ses avantages — qu’il s’agisse de santé physique et mentale ou d’une communauté de soutien — à tous.

Le sport a tellement de bien à offrir qu’il devrait briser les barrières raciales et socioéconomiques. Pourquoi ça ne l’est pas ?
Il y a près de dix ans, dans Runners World, le journaliste Jay Jennings rapportait les stéréotypes enracinés, la complaisance institutionnelle et la résistance culturelle
qui aident la course à pied a rester si blanche.
Quand Carey a décidé de commencer à courir, dit-elle, sa mère lui a dit: « Eh bien, les Noirs ne courent pas » .

En tant que coureurs individuels, nous pouvons faire le travail. Invitez des amis et des collègues non blancs à commencer à courir avec vous.
Et si le fait que tout votre vestiaire est blanc ou la plupart de vos amis coureurs blancs vous déstabilise, ne vous asseyez pas seulement sur ce sentiment.
Fais quelque chose.
Si l’effort de diversification de la course à pied est quelque chose comme courir un marathon lui-même, ce ne sera pas facile.
Il sera salissant, douloureux, et exigera du grain et de la détermination. Mais chaque étape compte — parce que sinon, il n’y a pas de fin au statu quo.


source
evel.medium.com

Le conseil scolaire de San Francisco a voté pour retirer les noms de George Washington, Abraham Lincoln et d’autres des écoles publiques après que les fonctionnaires
les ont jugés indignes de l’honneur a cause le leur passe raciste.  

SAN FRANCISCO -- Les noms d’Abraham Lincoln, George Washington et d’autres personnalités de premier plan, dont la sénatrice de Californie Dianne Feinstein,
seront retirés de 44 écoles publiques de San Francisco, une décision qui a suscité un débat mercredi sur la question de savoir si la célèbre ville libérale a pris le compte national
sur le passé raciste de l’Amérique .
La décision du San Francisco Board of Education par 6-1 vote mardi soir affecte un tiers des écoles de la ville et est venu près de trois ans après que le conseil a commencé
à examiner l’idée. La résolution approuvée appelle à supprimer les noms qui honorent les personnages historiques ayant des liens directs ou larges avec l’esclavage,
l’oppression, le racisme ou l'«assujettissement » des êtres humains.
Outre Washington et Thomas Jefferson , anciens présidents propriétaires d’esclaves, la liste comprend le naturaliste John Muir, le prêtre espagnol Junipero Serra,
le patriote de la Révolution américaine Paul Revere et Francis Scott Key, compositeur de la « Bannière étoilée ».





Changer le nom de l’école primaire Dianne Feinstein, nommé en l honneur du sénateur démocrate et ancien maire de San Francisco, a soulevé des sourcils.
L’étoile pionnière de 87 ans s’est assombrie ces dernières années avec les libéraux consternés se joignant aux appels à sa retraite l’année dernière
après qu’elle a embrassé le sénateur républicain Lindsey Graham à la fin des audiences de confirmation chauffées pour la juge de la Cour suprême des États-Unis
Amy Coney Barrett.

Le porte-parole de Feinstein, Tom Mentzer, a déclaré que le sénateur n’avait aucun commentaire à faire.

Le comité qui a choisi les noms comprenait Feinstein sur la liste parce qu’en tant que maire en 1984, elle a remplacé un drapeau confédéré vandalisé qui faisait partie
d’un drapeau de longue date devant l’hôtel de ville. Lorsque le drapeau a été retiré une deuxième fois, elle ne l’a pas remplacé.
« Je veux m’assurer que les gens que cela n’annule en aucune façon ou efface l’histoire », a Gabriela Lopez,commentant spécifiquement sur Feinstein et le groupe plus large ainsi.
« Mais il ne s’agit pas de les défendre et de les honorer, et ces possibilités sont un excellent moyen d’avoir cette conversation sur notre passé et d’avoir l’occasion d’élever
de nouvelles voix. »
Lopez a déclaré que la décision est opportune et importante et envoie un message fort qui va au-delà du racisme lié à l’esclavage et condamne plus large « symboles racistes
et la culture de suprématie blanche que nous voyons dans notre pays. »

Pour certains parents de San Francisco, le coup de pinceau était trop large.
« C’est un peu une blague. C’est presque comme une parodie de l’activisme de gauche », a déclaré Gerald Kanapathy, un père de deux jeunes enfants, y compris un enfant
de maternelle dans une école de San Francisco pas sur la liste.
« Cela ne me dérange pas particulièrement l’idée que certaines écoles doivent être renommées. Il y a beaucoup de choix discutables là-bas », a-t-il dit.
« Mais ils ont en quelque sorte décidé de cela et l’ont fait passer sans beaucoup d’apport de la communauté. »

Un groupe appelé Families for San Francisco s’est opposé au vote pour des raisons similaires, le qualifiant de « processus descendant » dans lequel un petit groupe de personnes
a pris la décision sans consulter les experts et l’ensemble de la communauté scolaire.
« Nous pensons qu’il est très important que la communauté dans son ensemble s’engage à déterminer qui devrait être honoré par les noms des écoles publiques »,
a déclaré Seeyew Mo, directeur exécutif du groupe.
« Nous aimerions avoir des experts historiques pour fournir un contexte historique que nous évaluons les gens du passé avec les sensibilités d’aujourd’hui, at-il dit.

Le maire de San Francisco, London Breed, qui est noire, a qualifié le mouvement de mal venu compte tenu de la pandémie de coronavirus qui a maintenu les écoles
de la ville fermées depuis mars.
« Nos élèves souffrent, et nous devrions parler de les faire entrer dans les salles de classe, de leur obtenir un soutien en santé mentale et de leur obtenir les ressources
dont ils ont besoin en cette période difficile », a déclaré Mme Breed, ajoutant qu’elle appuie la discussion sur le changement de nom des écoles,
mais qu’elle estime qu’elle devrait inclure les parents, les élèves et d’autres personnes et avoir lieu lorsque les salles de classe rouvriront leurs portes.

Le processus de changement de nom a été mené par un comité créé en 2018 pour étudier les noms des écoles de district au milieu d’un décompte national sur l’injustice raciale
qui a suivi un affrontement meurtrier lors d’un rassemblement suprémaciste blanc à Charlottesville, en Virginie.

L’historien Harold Holzer a mis en garde contre ce qu’il a appelé « un danger d’excès » si le pays prend une boule de démolition à son passé.
« Je pense qu’il y a un danger à appliquer les normes morales du XXIe siècle aux personnages historiques d’il y a un ou deux siècles », a-t-il déclaré.
« Nous nous attendons à ce que tout le monde soit parfait. Nous nous attendons à ce que tout le monde soit éclairé.
Mais une personne éclairée de 1865 n’est pas la même qu’une personne éclairée de 2021.

Holzer n’est pas d’accord avec le changement de nom d’Abraham Lincoln High School, qui, selon le comité de San Francisco, était dû au traitement des Amérindiens
pendant son administration.
Au milieu de la guerre civile en 1863, Lincoln a publié la Proclamation d’émancipation qui a libéré les esclaves dans la Confédération.
« Personne ne mérite plus de crédit pour la destruction de l’esclavage », a déclaré Holzer, boursier Lincoln et directeur du Roosevelt House of Public Policy Institute
du Hunter College. « Lincoln est beaucoup plus libérateur que lui est un abuseur sur le sujet de la justice raciale. »


source
abcnews.go.com

Les amerloques sont en plein délire, laissons les imploser petit à petit.
le problème, c'est que ça déteint chez nous.
Chez nous, où d'ailleurs les joggings sont déjà en noir, ou en foncé, pour rester discret le soir lors des habituelles violations du couvre-feu !!...

Un grand délire en effet !

Le racisme des robots ? Oui, dit une étude montrant les préjugés des humains s’étendent aux robots

Avez-vous déjà remarqué la popularité des robots blancs?

Vous les voyez dans des films comme « I, Robot » de Will Smith et Eve de « Wall-E ». Les exemples réels incluent Asimode Honda, Walkerd’UBTECH, Atlasde Boston Dynamics,
et même le robot Valkyrie de la NASA. Le tout fait de matière blanche brillante. Et certains robots humanoïdes de la vie réelle sont calqués sur des célébrités blanches,
telles que Audrey Hepburn et Scarlett Johansson.





La raison de ces nuances de blanc technologique peut être le racisme, selon de nouvelles recherches.
« Robots and Racism », une étude menée par le Human Interface Technology Laboratory en Nouvelle-Zélande (HIT Lab NZ) et publiée par l’Université de Canterbury,
suggère que les gens perçoivent physiquement des robots humains comme ayant une race et appliquent donc des stéréotypes raciaux aux robots blancs et noirs.
Ces couleurs ont été trouvés pour déclencher des indices sociaux qui déterminent comment les humains réagissent et se comportent envers les autres et aussi,
apparemment, les robots.
« Le parti pris contre les robots noirs est le résultat d’un parti pris contre les Afro-Américains », a expliqué le chercheur principal Christoph Bartneck à The Next Web.
Il a déclaré à CNN: « Il est étonnant de voir comment les gens qui n’avaient aucune interaction antérieure avec les robots montrent des préjugés raciaux envers eux. »

Les chercheurs pensent qu’il s’agit d’une question qui doit être abordée. « Si les robots sont censés fonctionner comme enseignants, amis ou soignants, par exemple,
alors ce sera un grave problème si tous ces rôles ne sont jamais occupés par des robots qui sont racialisés comme blanc », selon l’étude.

Les robots utilisés dans l’étude sont clairement des robots, mais ont des membres humains et une tête, avec des teints extérieurs qui sont blancs -- c’est-à-dire rosés --
ou noirs -- vraiment, un brun profond. Dans le test du « parti pris du tireur », des personnes et des robots noirs et blancs sont apparus sur un écran pendant moins d’une seconde,
et on a dit aux participants de « tirer » sur ceux qui tenaient une arme. Les robots noirs qui ne tenaient pas d’armes ont été abattus plus que les blancs
qui ne portaient pas d’armes.


Exécutez une simple recherche Google Image sur le terme « robot ». Vous ne verrez pas beaucoup de couleur, comme indiqué dans l’étude.
Les chercheurs considèrent cette surreprésentation des robots blancs comme potentiellement nuisible à la perception d’autres races.


WowWee-MiP-2-Personal-Robot- possede 2 couleurs dans son catalogue




Les concepteurs de robots viennent de tous les coins du monde, a souligné Bartneck, mais ils idéalisent encore les robots blancs.
« Les robots en forme d’homme devraient représenter la diversité des humains », a déclaré Bartneck à The Next Web.
« Imaginez un monde dans lequel toutes les poupées Barbie sont blanches. Imaginez un monde dans lequel tous les robots travaillant en Afrique ou en Inde sont blancs.
Imaginez en outre que ces robots prennent en charge des rôles qui impliquent l’autorité. De toute évidence, cela soulèverait des préoccupations au sujet de l’impérialisme
et de la suprématie blanche », a déclaré Bartneck à CNN. « Les robots ne sont pas seulement des machines, mais ils représentent des humains. »

Dans une deuxième étude, l’équipe hit lab NZ a ajouté des robots bruns plus légers, constatant qu’à mesure qu’ils augmentaient la diversité raciale,
les préjugés raciaux des participants envers les robots ont complètement disparu. Cela « signifie potentiellement que la diversification des robots pourrait conduire à une réduction
des préjugés raciaux à leur égard », selon cette étude.
« Cela m’amène à croire que nous avons tout à gagner en offrant des options raciales et rien à perdre », a déclaré Bartneck à CNN.
« De la même manière que nous voulons poupées Barbie dans toutes les couleurs et formes, nous voulons aussi des robots en plus que juste blanc. »


source
edition.cnn.com