Tant de gens ont voulu croire au miracle !
Pfizer,une vrai mafia..
Pfizergate : le malaise des médias mainstream devant la falsification des données.
C’est avec moult acrobaties verbales que la presse mainstream s’empare, du bout des doigts, du dernier scandale Pfizer en date.
Nous allons résumer le propos, factuellement, puis évaluer la réaction des médias mainstream, qui n’ont pas très envie que le grand public sache.
Mais c’est un peu tard : ça diffuse à mort sur les réseaux sociaux. Pour autant, le grand public se méfiant de tout ce qui n’est pas officiel, nous dirons l’axe Véran–BFM,
la multinationale qui fait un profit insensé sur la santé des innocents a encore de la marge, avant de tomber.
Un thread résume bien l’affaire. Partons des faits, c’est l’AFP qui nous l’a appris, ce qui n’a pas empêché l’agence française de tomber dans son propre piège,
nous verrons cela ensuite.
« 1/ #Pfizergate "...l’entreprise a falsifié des données, a supprimé la procédure d’aveuglement des patients, a employé des vaccinateurs insuffisamment formés
et a tardé à assurer le suivi des effets indésirables."
2/ "Le personnel chargé des contrôles de qualité était submergé par le nombre de problèmes qu’il découvrait. Après avoir signalé à plusieurs reprises ces problèmes à Ventavia,
la directrice régionale, Brook Jackson, a envoyé une plainte par courriel à la FDA américaine..."
3/ "Ventavia l’a licenciée plus tard le jour même." "Mme Jackson a déclaré au BMJ que c’était la première fois qu’elle était licenciée en 20 ans de carrière dans la recherche."
"Elle a ensuite énuméré une douzaine de problèmes dont elle a été témoin, notamment :"
4/ "- Des participants placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique.
- Absence de suivi en temps utile des patients ayant subi des événements indésirables
- Les écarts par rapport au protocole ne sont pas signalés"
5/ "- des vaccins qui ne sont pas conservés à la bonne température
- des spécimens de laboratoire mal étiquetés, et
- le harcèlement du personnel de Ventavia pour avoir signalé ce type de problèmes."
6/ "Quelques heures plus tard, Mme Jackson a reçu un courriel de la FDA la remerciant de ses observations et l’informant que la FDA ne pouvait faire aucun commentaire
sur une éventuelle enquête."
7/ "Quelques jours plus tard, Jackson a reçu un appel d’un inspecteur de la FDA pour discuter de son rapport, mais on lui a dit qu’aucune autre information
ne pouvait être fournie. Elle n’a plus entendu parler de son rapport."
8/ "En août de cette année, après l’approbation complète du vaccin de Pfizer, la FDA a publié un résumé de ses inspections de l’essai pivot de la société.
Neuf des 153 sites de l’essai ont été inspectés."
9/ "Les sites de Ventavia ne figuraient pas parmi les neuf, et aucune inspection des sites où des adultes ont été recrutés n’a eu lieu dans les huit mois
qui ont suivi l’autorisation d’urgence de décembre 2020."
10/ "Deux anciens employés de Ventavia ont parlé au BMJ sous le couvert de l’anonymat par crainte de représailles et de la perte de perspectives d’emploi
dans le milieu très fermé de la recherche. Tous deux ont confirmé de larges aspects de la plainte de Jackson."
11/ "Depuis que Jackson a signalé à la FDA les problèmes rencontrés avec Ventavia en septembre 2020, Pfizer a engagé Ventavia comme sous-traitant de recherche
pour quatre autres essais cliniques de vaccins (le vaccin covid-19 chez les enfants et les jeunes adultes, entre autres)"
12/ Je suis curieux de voir, après le scandale monumental de Maddie de Garay et d’autres irrégularités signalées pendant les auditions publiques de le FDA (et ignorées),
si cette fois-ci nos médias complaisants vont se réveiller. Ou pas. @RTSinfo ? @LeTemps ? On se réveille ?
La FDA américaine, qui fait figure d’autorité en matière de santé, passe l’éponge, évidemment. Elle conserve sa confiance dans le vaccin Pfizer et dans la multinationale.
Aucune surprise quand on sait le lien entre les grands labos et le pouvoir fédéral sous Biden.
La justification avancée, c’est que les 1 000 personnes vaccino-testées ne suffisent pas à faire du vaccin un produit dangereux, ou du moins pas suffisamment sûr.
On sait que le Big Pharma a une idée en tête, qui prime sur le reste : le profit. Un médicament pas au point pourra être lancé sur le marché alors qu’on en connaît
les effets secondaires, qui seront cachés aux médias par les commerciaux et les agences de la multinationale.
Confirmation avec un exemple du constructeur Ford, là encore sous forme de thread :
« Dans les années 1970, la Ford Motor Company s’aperçut d’un grave défaut de fabrication sur le réservoir de carburant de la Ford Pinto avec un risque d’explosion.
Elle calcula qu’il lui serait plus rentable d’indemniser les familles des victimes plutôt que de rappeler les voitures
La Ford Motor Company estima qu’en moyenne 180 personnes décèderaient chaque année en raison de ce défaut de fabrication.
Son estimation d’indemnisation pour chaque victime se montait à 200 000 dollars soit environ 36 millions. Loin des 137 millions que lui aurait coûtés le rappel
"Ce genre de calcul est parfaitement logique dans un marché capitaliste qui vise la maximisation du profit.
La seule façon de calculer ’rationnellement’ le compromis coûts/bénéfices était d’estimer la ’valeur marchande’ d’une vie humaine." (Erik Olin Wright, Utopies réelles)
C’est le journaliste Mark Dowie qui enquêta et révéla la dangerosité de la voiture mais aussi la note secrète montrant que Ford savait
(dans de tels accidents les occupants mouraient brulés). Il signa en 1977 un article intitulé "Pinto Madness".
Il y a eu de nombreuses poursuites criminelles contre Ford, pour homicide involontaire, notamment après la mort de trois jeunes filles en août 1978, bloquées dans leur voiture
tandis qu’elle prenait feu. Mais le coût de ces procès n’a pas démenti le calcul initial pour Ford.
"J’étais technicien de rappel en usine. Mon travail consistait à appliquer une formule mathématique […] Le différentiel arrière se bloque. La voiture se crashe & prend feu,
toute la famille à bord. Question : faut-il déclencher un rappel de ce modèle ?"/...
On rappelle, à toutes fins utiles, que Pfizer n’en est pas à son premier scandale. Voici une question posée au Parlement européen lors de l’énorme deal avec la multinationale :
L’Agence européenne des médicaments a octroyé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour le vaccin de Pfizer/BioNTech sur la foi des données transmises
par Pfizer. La Commission a négocié une option d’achat pour 2,3 milliards de doses de plusieurs candidats vaccins, mais seuls ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna
ont été autorisés sur le marché européen à ce jour.
Or, Pfizer a été condamné à de multiples reprises aux États-Unis pour falsification de données, corruption active et versement de commissions occultes.
En 2016, le laboratoire a été également condamné en Angleterre à une amende de 84,2 millions de livres pour la surfacturation du prix de son traitement contre l’épilepsie.
En 1996, Pfizer avait aussi été accusé d’avoir provoqué au Nigeria la mort de 11 enfants et des dommages physiologiques sur beaucoup d’autres en testant sur eux
un antibiotique.
Wikileaks a révélé en 2010 que Pfizer aurait essayé de trouver des preuves de corruption contre le ministre de la Justice nigérian pour le contraindre à abandonner ses poursuites.
Ce passif et les méthodes de Pfizer ont-ils été pris en compte par la Commission lors des négociations ?
Quandf Sanofi a annoncé au printemps , qu’"il abandonnait son vaccin anti covid, car peu efficace, d’après les expérimentations menées,
je me suis posé la question pourquoi Sanofi était si mauvais ...En fait surtout honnête scientifiquement et donc trés mauvais en business .
sources
Dépêche AFP
British medical journal
4-4-2