The Final Stand est un thriller captivant et percutant de la Seconde Guerre mondiale basé sur l’incroyable histoire vraie de la position militaire héroïque à l’extérieur
de Moscou en 1941. Cette épopée d’action historique suit un groupe de soldats russes qui ont été déployés sur la ligne de front, pour combattre
aux côtés d’unités de l’armée soviétique dans le but de défendre Moscou contre l’assaut de l’avance nazie.
Désespérément en infériorité numérique, des milliers de jeunes hommes ont courageusement mis leur vie en jeu dans une bataille qui a duré près de deux longues semaines.
Avec près de 3 500 personnes déployées pour tenir la dernière ligne de défense alors que l’assaut des soldats nazis s’installait, la plupart ne sont jamais revenus.
C’est l’histoire de leur honneur, de leur bravoure, de leur courage et de leur véritable camaraderie.
Video trailer-1
https://www.youtube.com/watch?v=enIkbBS_AAo
Video trailer-2
https://www.youtube.com/watch?v=gR3fbtXm1nA
Critiques
Le film de guerre "The last stand" s’ouvre en gris et sombre, froide en action avec de la pluie, de la boue partout et des hommes hurlants.
C’est un autre film de guerre qui tente de trouver un semblant d’humanité et de raison face au combat et aux effusions de sang.
Le long métrage documente la résistance brutale de l’Armée rouge contre l’invasion nazie en Russie en 1941.
Artyom Gubin joue Sashka Lavrov, imprégnant son personnage de toute l’audace et du méfait du monde contenus dans un sourire sourcileux.
Son meilleur ami est Igor Yudin dans le rôle de Dmitry Shemyakin, qui est sévère et direct. Marsha Grigorieva (comme Lubov Konstantinova) est la femme au milieu
du triangle amoureux, avec très peu de libre arbitre et restant fade tout au long. C’est une merveille que le personnage a capté son intérêt, avec si peu d’attrait.
Les petits extraits de scénario des autres acteurs, et les amitiés formées entre les personnages de fond, sont beaucoup plus intéressants que celui-ci.
Il y a un mouvement constant avec la caméra (des gros plans flous aux coupes rapides d’une scène à l’autre), ce qui reflète l’urgence de la guerre.
De nombreux films de ce genre utilisent un filtre bleu ou gris lourd pour souligner la morosité du champ de bataille, mais pas ici.
Au lieu de cela, la production permet aux couleurs ternes et neutres des uniformes, aux écrans de fumée et au ciel morne de créer une atmosphère.
L’effet est renforcé par le score calme et discret qui isole le bruit des coups de feu tirés, des balles qui sifflent et des craquements de saleté.
The Final Stand présente des plans vraiment accrocheurs au milieu d’une action médiocre et extrêmement tremblante, mais on ne peut voir que tant de séquences d’explosion
et de tirs avant qu’ils ne deviennent ternes. L’impact émotionnel de chaque mort est réduit à mesure que les spectateurs sont désensibilisé,
et bien que cela s’associe au thème du film,apres deux heures et demie, c’est épuisant.
source
critique -theupcoming.co.uk
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Dim 25 Juil - 11:35
