Tchernobyl

Vu la couleur et l'aspect des produits vaut mieux ne jamais s'en approcher.



C'est dans un état de délabrement épouvantable !

Dans tout ce bordel on voit même pas une toile d'araignée !
Il doit pas y avoir d'insecte.

Ce qui fait un peu peur c'est de voir encore des produits dans des bouteilles sans savoir ce que ça contient.
Depuis tout ce temps c'est forcément plus qu'hors d'usage et largement dépassé en date et c'est là, suintant, à la merci du temps et des gens (le pire).



Ce qui fait "sourire" (façon de parler") c'est qu'on a chez nous exactement les mêmes fenêtres doubles comme ici, avec aussi les mêmes systèmes de fermetures.  Enfin c'était l'époque.


Dehors la nature est là, plus forte que tout.

Le problème est que ça fuit toujours, peu mais ça fuit. Le pire est que ça se voit pas, ça se sent pas.  Par contre ça se ressent plus tard.



Les habitations, enfin ce qu'il en reste.

Trippant quand même !...

Oui dans un sens, je met les dernières photos que j'ai :






L'entrée de ???????????  C'est détruit.

Il me semble pourtant avoir d'autres photos, faudra que je cherche.

Voilà ce que je cherchais :

On est à Pripiat.
Oui, vu la tenue du gars, ça plaisante pas niveau radiations...

Par contre la faute vient d'où ?
Humaine, technique, mauvaise conception ?

Je viens de trouver une suite sur la page d'infos :

L'une des plus grandes tragédies nucléaires de l'Histoire a eu lieu en 1986. La centrale nucléaire de Tchernobyl était située dans la ville de Pripyat en Ukraine, qui à l'époque faisait partie de l'Union soviétique.

Tchernobyl: le site


Le The Daily Express rapporte que l'explosion a tué plus de 30 personnes et impliqué l'évacuation massive d'environ 50 000 personnes.

Tchernobyl: les conséquences

Selon une publication du site UN,
environ 8,4 millions de personnes ont été exposées aux radiations, y compris celles impliquées dans les interventions réalisées en réponse à la catastrophe.
La zone d'exclusion faisait auparavant 30 km de rayon autour de la centrale nucléaire, aujourd'hui elle s'étend sur plus de 200 km². En raison des niveaux radioactifs, même après toutes ces années, la zone d'habitat est très restreinte.
Tchernobyl: la population

Malgré les risques graves pour la santé, certaines personnes ont continué à vivre dans leurs villages près de Tchernobyl, selon le Daily Mail.

Certains touristes ignorent les avertissements et risquent leur vie en entrant, illégalement, dans la zone d'exclusion, comme le rapporte
National Geographic.

Citation :

Certains touristes ignorent les avertissements et risquent leur vie en entrant, illégalement, dans la zone d'exclusion, comme le rapporte National Geographic.

Les kékés, c'est pas faute d'être prévenu !...

vania a écrit:

Citation :

Certains touristes ignorent les avertissements et risquent leur vie en entrant, illégalement, dans la zone d'exclusion, comme le rapporte National Geographic.

Les kékés, c'est pas faute d'être prévenu !...

Mais les problèmes arrivent toujours qu'aux autres, c'est bien connu alors pourquoi les kékés en auraient -il ?

Une petite suite intéressante :

Les chiens mutants de Tchernobyl
Article de Xavier Martinage



Moins de quarante ans après la catastrophe touchant les réacteurs 4 et 5 de la centrale, des scientifiques ont étudié les effets de la radioactivité sur les chiens errants.
Le 26 avril 1986, le plus gros incident affectant une centrale nucléaire se jouait à Tchernobyl, en Ukraine, à trois kilomètres de Pripiat. La catastrophe est telle que les conséquences sanitaires et écologiques sont énormes : plus de 200.000 personnes sont évacuées et de nombreuses autres perdent la vie. Les rejets radioactifs se feront ressentir aux portes de la France et dans toute l'Europe, témoignant de l'importance de l'explosion du réacteur. Aux alentours, les cultures et les zones touchées ont été profondément touchées, avec une zone d'exclusion de 2.600 km². Aujourd'hui, comme le rappelle Science et Avenir, la zone a été désertée des occupants mais la faune et la flore a repris ses droits avec des effets non négligeables.
Mais des études n'avaient été menées aujourd'hui que sur des souris, jamais sur des gros mammifères. Cette nouvelle étude vient de donner davantage d'informations sur la radioactivité qui a affecté la faune. Menée par plusieurs chercheurs des universités de la Caroline du Sud et du National Institutes of Health (NIH), elle a analysé la génétique des chiens errants autour de la zone. Le 3 mars dernier, ils ont publié leurs résultats dans la revue Science Advances. Dès 2017, les scientifiques ont prélevé des échantillons sanguins des chiens de la zone. En trois ans, 301 échantillons ont été collectés par trois cliniques : une à côté de la centrale où travaillent seulement les ouvriers, une autre à quinze kilomètres et une dernière à quarante-cinq kilomètres.
Des chiens beaucoup plus irradiés que les autres
Si tous les animaux errants devaient être abattus à l'époque, rappelle Science et Avenir, certains ont survécu et se sont reproduits par la suite. Plusieurs enseignements ont été tirés de l'étude de ces échantillons, en fonction évidemment du lieu où ils errent (au niveau de la centrale ou plus loin). Ainsi, plus ils sont près, plus ils portent des traces d'irradiation (césium-137). Le taux est 200 fois plus élevé pour ceux vivant près de la centrale que pour ceux situés à 45 kilomètres. L'autre conclusion est que les trois "populations" de chiens sont génétiquement différentes. Cela concerne la totalité des chiens errants, mais aussi chaque population.
Selon Christophe Hitte, de l'équipe Génétique du chien (IGDR, Rennes), interrogé par nos confrères, l'étude est intéressante et n'en est qu'à ses prémices. Pour lui, l'équipe de chercheurs américains pourrait aller plus loin désormais en "analysant sur ces populations l'effet des radiations sur une trentaine d'années" et notamment pour comprendre comment ils ont pu résister dans le temps. "Personnellement, je pense que les gènes impliqués dans la réparation de leur ADN devaient être plus efficaces en situation hostile que chez un chien lambda qui n'aura pas survécu", ajoute Christophe Hitte.

Tchernobyl est devenu un vaste champ d'investigation scientifique.

vania a écrit:

Tchernobyl est devenu un vaste champ d'investigation scientifique.

Disons qu'il y a de quoi se poser des questions, sans moi, j'irai jamais.

Quelques photos de trouvées, comme touojurs le lieu se visite mais très encadré. Ca attirait des touristes sauf qu'avec la guerre !!!  c'est un peu à l'arrêt.


C'est ancien, ça fonctionne plus.
Le réacteur 3 se visite, c'est le seul.

Un guide qui fait visiter et qui explique.

Une salle de contrôle qui n'est plus en état de fonctionner. A l'arrêt. C'est resté dans l'état.

Ce serait actuel. Un peu vieillot !

Le sarcophage et un bus qui amène les gens pour travailler.

L'arrosage fréquent en extérieur pour coller la poussière radioactive au sol et ensuite nettoyer.

Visite en intérieur.

Des endroits très pollués où peu de gens vont.

Les endroits les plus abandonnés.

Dans anciens capteurs pour mesurer la radioactivité, bien s=désuets à ce jour.

Les journalistes à l'écoute.

Des couloirs interdits.

Des animaux qui se sont habitués à ce nouvel environnement mais pas sans conséquence, des mutations génétiques ont été observées.

Les loups se sont très bien habitués et n'ont pas ou peu subit des conséquences.



Les animaux domestiques ont eu beaucoup de séquelles, déformations en tous genres, impropres à la consommation etc...

Des chiens errants qui sont comme ils sont, parfois douteux !

Certains oiseaux sont devenus albinos !



Personnellement si je chassais ce sanglier ce ne serait certainement pas pour le manger, son allure trahit sa santé !

Maitre goupil aussi traine là-bas.

Désertique" !
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Retour dans le temps, dans une zone de non-droit...

Ca fait penser aux dessins "post-apocalyptiques" de naga.