Totalement en relation avec les cas cites plus haut.
Voyez ce que rapporte cet article dans Circulation, journal scientifique numéro 1 des cardiologues :
« Nous concluons que les vaccins ARNm augmentent considérablement l'inflammation sur l'endothélium et l'infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque
et peuvent expliquer les observations de thrombose accrue, de cardiomyopathie et d'autres événements vasculaires après la vaccination »
Étrangement, le lien vers ce journal scientifique irréprochable est considéré comme dangereux par Twitter, ce qui témoigne du niveau de corruption et de propagande organisée.
Nous allons aborder maintenant le problème de la toxicité sous un angle original, par une enquête chez les thanatopracteurs (professionnels chargés notamment du soin
de conservation des personnes décédées).
En effet, tous les acteurs de la société doivent contribuer à l'émergence de la vérité.
Qui de mieux placé que les thanatopracteurs pour observer des effets indésirables mortels ?
Ces derniers ont-ils noté une différence dans leur activité ces derniers mois où le vaccin a été administré de manière massive ?
Y aurait-il une surmortalité, des évènements surprenants ? Les soins sont-ils modifiés ? C'est ce que nous allons voir.
Nous sommes allés interviewer un thanatopracteur qui travaille dans une ville du Sud de la France :
En quoi consiste le métier de thanatopracteur ?
Il consiste à effectuer des soins de conservation en vue de retarder la thanatomorphose (décomposition du corps), puis à donner au défunt un air apaisé,
afin de faciliter le processus de deuil pour la famille et les proches.
Quelle est votre formation ?
Durant la première année, on prépare le concours national théorique. Si l'on est reçu on peut commencer la partie pratique, ensuite on passe l’examen pratique
quand on a réalisé le nombre de soins de conservation imposé (il y a un minimum de 100 soins).
Depuis combien de temps faites-vous ce métier ?
Depuis plusieurs années.
Quel est l'intérêt que vous trouvez à ce métier ?
On parle souvent de l’importance de la dernière image, dont le thanatopracteur est le garant. Les soins d'hygiène et de présentations consistent à effacer les stigmates de la mort,
et sont essentiels pour permettre aux proches d’avoir une dernière vision dédramatisée de leur défunt, et ainsi favoriser leur deuil.
Comment effectuez-vous les soins ?
Cela consiste en une injection intra-artérielle de produits conservateurs et antiseptiques (exemple : le formol).
Ceux-ci permettent d'assurer une bonne asepsie du corps. Ensuite, on ponctionne les liquides biologiques. La finalité du soin consiste à l'habillage du défunt
avec les vêtements choisis par la famille, un maquillage très discret et naturel, puis la présentation en salon.
Qu'observez-vous actuellement ?
On observe de plus en plus d’AVC, d’infarctus et de morts inexpliquées chez des sujets âgés de 40 à 60 ans.
Est-ce que cela se produit dans votre région ou est-ce observé ailleurs ?
À ma connaissance dans plusieurs régions.
Qu’observez-vous chez de tels patients vaccinés et décédés ?
Le sang est très épais, le produit conservateur diffuse très bien dans les artères au début, mais il y a un problème de retour veineux, donc cela met les vaisseaux en pression.
Le formol finit pas être bloqué et l'on ne récupère pas autant de sang qu’habituellement. Il y a beaucoup de caillots qui bouchent le trocart.
Le sang des défunts est comment habituellement ?
Fluide.
Quelles conséquences sur le soin ?
Le soin devient difficile, parfois impossible. Il y a un an, on n’observait pas de telles difficultés.
Avez-vous observé de tels cas auparavant ? Depuis combien de temps observez-vous cela ? Est-ce que cela empire ?
Non, pas comme ça, je n’ai pas observé de tels cas avant.
Depuis plusieurs mois, depuis mars/avril 2021. Je ne pense pas que ça empire, mais c'est régulier. Il y a d’autres endroits en France où l’on observe les mêmes difficultés
et d’autres endroits moins touchés.
Combien de temps après l’injection ? Quels vaccins ?
D'après les retours, les jours qui suivent l’injection, pas de précisions sur le type de vaccin.
Que disent les familles ?
Cela suscite des interrogations.
Les cas sont-ils déclarés à l'ANSM ?
Je l'ignore.
En parlez-vous entre vous ?
Oui avec certains collègues. Certains sont confrontés au même problème.
Y a-t-il des menaces à l'égard de ceux qui en parlent ?
Certains se seraient fait menacer, je ne sais pas par qui. Le sujet est tabou. C'est un sujet brûlant, comme beaucoup de sujets ces derniers temps.
Nous avons discuté au téléphone avec le chef d'une entreprise de thanatopraxie d'une autre ville qui confirme ce que nous relate ce thanatopracteur,
et avoue n'avoir "jamais vu ça" en 15 ans de métier, ni sur l'augmentation des cas d’infarctus et d’AVC chez de jeunes personnes, ni sur la problématique du soin
que nous venons d’évoquer.
Ces effets secondaires, très probablement liés au vaccin, ne sont pas étonnants quand on connaît l'action (publiée) pro-inflammatoire, pro-coagulante
et d'agression des parois vasculaires de la protéine Spike générée par les vaccins.
À l'heure de la préconisation de la troisième dose, il serait impensable d'occulter ces éléments, d'une exceptionnelle gravité, et de ne pas diligenter, en toute clarté,
une enquête approfondie.
source
francesoir.fr