Tamara Volokhova, une femme russe du RN à Strasbourg
Tatiana, investie par le RN dans la première circo de Strasbourg.
Naturellement, cette Slave nationalisée, pardon, naturalisée française en 2016 est la cible des bien-pensants locaux, toujours les mêmes.
C’est le torchon 20 Minutes qui se dévoue pour salir la jolie patriote.
Ne lui parlez surtout pas de mannequinat. « Mais ce n’était que quelques petits défilés au niveau local, je ne suis pas une ex-top model ! Ni influenceuse ou œil de Moscou »,
s’exclame Tamara Volokhova. La représentante du Rassemblement national (RN) dans la première circonscription a quand même connu quelques aventures.
Débutées en 1990 à Rostov-sur-le-Don, sa ville natale en Russie. « Mes parents sont d’origine ukrainienne mais j’ai toujours été passionnée de culture française.
Elle m’inspirait énormément depuis toute petite, peut-être grâce aux auteurs comme Dumas. »
À 17 ans, son bac en poche, elle a donc franchi le pas pour s’installer à Strasbourg.
Des études à l’université Robert-Schuman et de communication politique ont suivi, jusqu’à un stage au Parlement européen, où elle travaille toujours.
Pour le groupe du RN, rejoint en 2014. « Je me suis engagée en politique car je trouve que l’état de la France se dégrade.
On n’est plus en sécurité et la fracture sociale est impressionnante », lance celle qui a obtenu la double nationalité en 2016.
« Je suis un exemple d’assimilation réussie », estime encore la trentenaire en réfutant le paradoxe de voir une candidate d’origine étrangère investie par un parti
qui prône la préférence nationale. « Marine Le Pen ne regarde pas les origines », assure Tamara Volokhova.
Tamara est une vraie brune, non transgenre, elle est ukrainienne d’origine mais russe de fait, adore la France, bref, une super migrante.
Ça change des faux mineurs qui passent leur temps à terroriser et agresser les Français... qui ont souvent voté Macron ou à gauche, donc pour l’invasion migratoire,
les tensions inter-ethniques, et les agressions en série...
Pendant qu’on s’intéressait aux petits candidats, on a découvert que Tamara avait fait 6,55 %, mais Strasbourg est une ville plus européenne que française désormais,
voire allemande, et c’est une transition toute trouvée pour Capucine !
Capucine Gautheron, et là vous allez sursauter, se présentait pour la liste Unser Land, non, c’est pas du fake, et ça veut dire Notre Pays (ou région) en allemand
ou patois alsacien, elsassisch devrait-on écrire.
Leur affiche fleure bon le… la… enfin des choses passées, mais visiblement, après étude de leur dossier, c’est pas l’objet de leur campagne. On se comprend, hein.
C’est vrai que la presse docile aurait pu hurler à l’amalgame avec le nazisme, genre Unser Land, Blut und Boden, des trucs comme ça.
D’ailleurs, l’affiche « Français, réveillez-vous ! » avec Marine n’a pas dû échapper à la police de la pensée, puisque c’est la reprise francophone de « Deutschland, erwache ! »
du célèbre NSDAP des années 20-30.
Source : E&R