Ukraine / Russie

Quelques jours après que Ramzan Kadyrov a critiqué le colonel général Lapin pour être loin des lignes de front pendant les combats à Lyman,
les chaînes russes partagent des photos de lui à la tête des troupes.
Clairement une bataille de relations publiques en cours entre les commandants russes.







Cet officier porte un patch de l aire sovietique...




Le general Lapin a fait du "gras"dans les bureaux loin du front dirait Kadyrov !





source
thedrive.com

Si en plus ils se chamaillent...
Mais c'est pareil de l'autre côté semble t-il, entre Zelensky, politicard corrompu et sa com, et ses militaires confrontés aux réalités du terrain ...

Ca !!...

Original le dessin, bien satirique.

Ukraine: Biden alerte sur un risque d'"apocalypse" nucléaire, Kiev regagne du terrain




Lunettes noires, cagoule, ça fait un peu EI


Le président américain Joe Biden a mis en garde jeudi contre un risque d'"apocalypse", pour la première fois depuis la guerre froide, en raison des menaces d'employer l'arme nucléaire par la Russie, dont les troupes sont mises sous pression par la contre-offensive ukrainienne.

M. Biden a dit s'interroger sur une porte de sortie pour son homologue russe Vladimir Poutine. "Comment peut-il s'en sortir? Comment peut-il se positionner de façon à ni perdre la face, ni perdre une portion significative de son pouvoir en Russie?" s'est questionné le président américain lors d'une collecte de fonds à New York.

Confronté à une résistance ukrainienne tenace alimentée par l'aide militaire occidentale, M. Poutine a fait une allusion à la bombe atomique dans un discours télévisé le 21 septembre.

Il s'était dit prêt à utiliser "tous les moyens" dans son arsenal face à l'Occident, qu'il avait accusé de vouloir "détruire" la Russie. "Ce n'est pas du bluff", avait-il assuré.

"Nous n'avons pas été confrontés à la perspective d'une apocalypse depuis Kennedy et la crise des missiles cubains" en 1962, a alerté jeudi le président américain.
Selon les experts, une attaque atomique emploierait probablement des armes nucléaires tactiques -- plus petites en charge explosive qu'une arme nucléaire stratégique.
Mais Washington considère que même une frappe nucléaire tactique pourrait déclencher une conflagration plus large.

Vladimir Poutine "ne plaisante pas quand il parle d'un usage potentiel d'armes nucléaires tactiques ou d'armes biologiques ou chimiques, car son armée, on pourrait le dire, est très peu performante", a encore jugé le président américain.

- Kiev chiffre ses gains -

Les troupes ukrainiennes sont à l'offensive sur tous les fronts depuis début septembre et ont déjà repris l'essentiel de la région de Kharkiv, dans le nord-est, et d'importants nœuds logistiques tels qu'Izioum, Koupiansk et Lyman (Est).

"Rien que depuis le 1er octobre et rien que dans la région de Kherson, plus de 500 km2 de territoire et des dizaines de localités ont été libérées", a déclaré jeudi soir le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

S'exprimant quelques heures plus tôt devant les dirigeants européens réunis en sommet, M. Zelensky a réclamé la poursuite de l'aide militaire à Kiev afin que "les chars russes n'avancent pas sur Varsovie ou encore sur Prague".

Signe de l'agacement du Kremlin, l'ambassadeur français à Moscou Pierre Lévy a été convoqué jeudi à cause des livraisons d'armes à l'Ukraine par Paris.

L'armée de Moscou a de son côté assuré dans son rapport quotidien avoir "repoussé l'ennemi" dans la même région de Kherson où Kiev revendique ses nouveaux succès.

Selon elle, les forces ukrainiennes ont déployé quatre bataillons tactiques sur ce front, soit plusieurs centaines d'hommes, et "tenté à plusieurs reprises de percer les défenses" russes près de Doudtchany, Soukhanové, Sadok et Brouskinskoïé.

- "Nouvelle guerre mondiale" -

Face aux revers de l'armée russe en Ukraine et à une mobilisation chaotique en Russie qui a poussé des centaines de milliers de ses compatriotes à l'exil, le président russe a assuré mercredi que la situation militaire allait se "stabiliser".

Alors que Moscou ne contrôle que partiellement ces zones et y est en difficulté sur le plan militaire, M. Poutine a signé mercredi une loi consacrant l'annexion de quatre régions ukrainiennes après la tenue de "référendums" d'autodétermination sans "aucune valeur légale" aux yeux de l'ONU, et dénoncés comme des "simulacres" par Kiev et ses alliés.

Autre point de friction, Moscou a fustigé jeudi des propos de M. Zelensky qui a évoqué lors d'une interview des "frappes préventives" de l'Otan contre la Russie, poussant le Kremlin à dénoncer un "appel à débuter une nouvelle guerre mondiale avec des conséquences monstrueuses et imprévisibles".

La présidence ukrainienne s'est fendue d'un message expliquant que les propos de M. Zelensky ont été mal compris et qu'il parlait de sanctions et non de frappes nucléaires.

Sur le front, des soldats ukrainiens interrogés par l'AFP ont assuré voir enfin "la lumière au bout du tunnel", grâce à leurs récents succès, après plus de sept mois d'une guerre éreintante.

- Risque à Zaporijjia -

Les bombardements se sont poursuivi, notamment à Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, l'une des régions que Moscou affirme avoir annexé, où une frappe a fait au moins sept morts et cinq disparus, selon le gouverneur local Oleksandr Starukh.

Dans la région de Donetsk (est), autre territoire annexé par Moscou, au moins 14 personnes ont été tuées et 3 blessées ces dernières 24 heures dans les zones sous contrôle de Kiev, selon la présidence ukrainienne.

Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, était a Kiev jeudi pour discuter l'établissement "d'une zone de protection" autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia, visée régulièrement par des tirs dont Russes et Ukrainiens se renvoient mutuellement la responsabilité.

"Nous continuons à dire ce qu'il faut faire, c'est-à-dire essentiellement éviter un accident nucléaire à la centrale, ce qui reste une possibilité très, très claire", a-t-il fait valoir.

Moscou a déployé ses chasseurs furtifs Su-57 pour détruire les défenses aériennes de l’Ukraine.
Selon le Kremlin, ces aéronefs n’ont jamais été détectés par les radars de l’OTAN.





La Russie a déployé pour la première fois son redoutable avion de chasse furtif en Ukraine.
Cet aéronef de cinquième génération, baptisé le Su-57, a eu un développement compliqué qui a duré près de 20 ans et n’avait jamais encore été utilisé lors d’un conflit réel.
Il est maintenant devenu le fleuron de l’armée de l’air russe. Selon le site russe Aviapro, une source proche du Kremlin a précisé qu’au moins quatre de ces engins
ont mené des missions pour identifier et détruire les systèmes de défense aérienne ukrainiens.

“La technologie furtive implémentée lors du développement des avions de chasse de cinquième génération s'est avérée tout à fait efficace.
Nous savons que les Su-57 n'ont jamais été repérés par les radars et les installations de défense aérienne de l'OTAN pendant leurs missions”, a encore affirmé
la source anonyme. Toujours selon le site Aviapro, les matériaux utilisés pour rendre les appareils furtifs sont totalement différents de ceux utilisés par leurs rivaux américains.
Ainsi, les capacités de détection des États-Unis et de leurs alliés seraient peu efficaces pour dénicher la présence des Su-57.

Selon le constructeur, la maniabilité en vol du Su-57 est exceptionnelle.
Avec ses deux turboréacteurs, le Su-57 affiche une vitesse de pointe autour des 2.600 kilomètres par heure, une vitesse ascensionnelle de 21.000 mètres par minute
et un rayon d’action de 1.750 kilomètres. Selon le constructeur sa maniabilité en vol est exceptionnelle. Autre particularité de cet aéronef :
sa puissance de feu. Bien qu'il soit principalement destiné aux missions purement aériennes, l’avion de chasse possède également une capacité de frappe au sol.
Il peut aussi transporter une version du missile hypersonique Kinjal.


source
capital.fr

Je peux juste dire qu'il a une très belle ligne.

Guerre Ukraine-Russie : le pont de Crimée en feu, revers symbolique et stratégique pour l'armée russe



Inauguré en 2018, le gigantesque pont avait été l'un des grands chantiers de Vladimir Poutine pour rattacher la péninsule de Crimée à la Russie, après l'annexion en 2014.

Symbole de l'annexion russe de 2014, le pont de Crimée, qui relie la vaste péninsule à la Russie par le détroit de Kertch, a été endommagé par un incendie, samedi 8 octobre. Les autorités russes ont indiqué qu'un feu important a pris sur le vaste pont automobile et ferroviaire reliant la Crimée ukrainienne annexée par la Russie et le territoire russe forçant l’arrêt du trafic, selon les autorités russes. "Une citerne de carburant a pris feu en queue d'un train", ont affirmé les chemins de fer de Crimée. Les agences russes affirment que l'incendie a été provoqué par une voiture piégée.
Ce pont, construit à grand frais sur ordre de Vladimir Poutine, sert notamment au transport d'équipements militaires russes pour l'armée russe combattant en Ukraine.
Source : actu orange.

C'est pas très fin comme ça les gens peuvent plus se déplacer et les bateaux passent plus ! bravo.

Selon le Financial Times, les forces ukrainiennes ont dû faire face à des problèmes de connectivité de Starlink ces dernières semaines dans des zones proches
des unités ukrainiennes
Aujourd'hui Starlink serait HS en Ukraine
Le système laser russe Peresvet serait donc peut-être opérationnel pour brouiller les signaux des satelites. L’information reste toutefois à confirmer.





Autre explication, l’analyste Rybar affirme que le brouilleur de satellite Tirada-2 russe a été testé cette semaine sur le front ukrainien :
il est conçu pour supprimer les lignes de communication satellitaires ennemies, ce qui pourrait être la raison du blackout de Starlink.


source
Karl Hauffen

Russie : la Douma considère l'incident du pont de Crimée comme une "déclaration de guerre"

On serait tenter de dire...ET alors ?
On attendait la sortie des gros bombardiers strategiques a Liman ...rien...
Il est dit que 800 avions russes chasseurs et bombardiers ont ete deploye sur les bases aeriennes au sud est de Moscou pret a intervenir....

Il paraît que les amerloques sont étonnés du manque de réaction Russe sur les noeuds ferroviaires, les lignes de communication, les centraux électriques..
On pense que c'est à priori pour épargner la population civile (avis U.S.)...

Ca me surprend aussi mais je me méfie beaucoup de l'eau qui dort.

Info toute fraiche :
Source : actu orange.
Guerre en Ukraine : trois puissantes explosions à Kiev
La dernière frappe sur Kiev avait eu lieu le 26 juin.
Trois puissantes explosions ont été entendues lundi 10 octobre à Kiev, En Ukraine, selon des journalistes de l'AFP.
Les sirènes d'alerte avaient retenti plusieurs dizaines de minutes avant les détonations. Les explosions se sont produites vers 8h15, heure locale (5h15 GMT).
Plusieurs gros panaches de fumée noire étaient visibles à plusieurs endroits de la ville sur des vidéos postées sur les réseaux sociaux. Un journalistes de l'AFP a vu de nombreuses ambulances dans le centre-ville se diriger vers les lieux des explosions.
La dernière frappe sur Kiev avait eu lieu le 26 juin.
L'armée russe a annoncé samedi la nomination d'un nouveau commandant de son "opération militaire spéciale" en Ukraine après une série de revers cuisants sur le terrain et de signes de mécontentement croissant au sein des élites sur la conduite du conflit.
"Le général d'armée Sergueï Sourovikine a été nommé commandant du groupement combiné de troupes dans la zone de l'opération militaire spéciale" en Ukraine, a annoncé le ministère russe de la Défense sur Telegram. Sergueï Sourovikine, 55 ans, est un vétéran de la guerre civile au Tadjikistan dans les années 1990, de la deuxième guerre de Tchétchénie dans les années 2000 et de l'intervention russe en Syrie lancée en 2015.
Il dirigeait jusque-là le groupement de forces "Sud" en Ukraine, selon un rapport du ministère russe datant de juillet.

On en serait à 47 explosions de missiles vers Nikolaev,
60 comptées à Kiev,
15 à Lvov,
27 dans la région de Vinnitsa,
20 à Kharkov,
15 vers Odessa... et ce n'est pas fini...

La capitale ukrainienne, Kiev, et d’autres villes ont été attaquées par des barrages de missiles russes à longue portée tôt ce matin.
Les rapports initiaux indiquent qu’au moins 12 missiles ont frappé Kiev seule, dans ce qui porte les marques d’une frappe de « vengeance » en réponse à l’attaque du pont russe
du détroit de Kertch samedi matin, un incident que vous pouvez tout lire ici et ici.

Le nombre de victimes des attaques contre la capitale n’a pas encore été publié, mais un porte-parole du service d’urgence de Kiev a déclaré à AP que des personnes
avaient été tuées et blessées. La plupart des cibles à Kiev, au moins, semblent avoir été de nature civile, y compris le pont piétonnier populaire
vu sur l’image de la caméra de sécurité en haut de cette histoire.





En plus de cibler Kiev, il y a des rapports selon lesquels d’autres missiles ont explosé à Lviv, dans la ville portuaire de Mykolaïv, dans le centre de Dnipro,
ainsi qu’à Zaporizhzhia, qui a maintenant été attaqué pendant trois nuits consécutives.
À Dnipro, des journalistes de l’Associated Press ont déclaré avoir vu plusieurs corps sur un site industriel à la périphérie de la ville.
Les médias ukrainiens ont rapporté d’autres explosions à Ternopil, Khmelnytskyi, Jytomyr et Kropyvnytskyi.

Une frappe aérienne signalée sur Lviv a laissé certaines parties de cette ville occidentale sans électricité ni eau chaude, selon le maire local Andriy Sadovyi.
Dans un communiqué publié sur Telegram, il a déclaré que « des générateurs de secours dans plusieurs stations de pompage ont été mis en place
pour rétablir l’approvisionnement en eau » et qu'"un tiers des feux de circulation ne fonctionnent pas ».
Des problèmes similaires d’approvisionnement en eau et en électricité ont été signalés par le gouverneur régional de la région de Sumy, dans le nord-est du pays,
Dmytro Zhyvytskyi.

Une vidéo de Kiev montre des dégâts importants, notamment des voitures accidentées, des vitres détruites par l’explosion et des incendies dans la rue.
Le maire de Kiev, Vitali Klitschko, a déclaré que certains des missiles avaient explosé dans le quartier de Shevchenko, dans le centre de Kiev, qui comprend la vieille ville historique
et les bureaux du gouvernement.
L’Université nationale de Kiev, dans le centre de Kiev, a également été le théâtre d’une explosion, selon Lesia Vasylenko, membre du parlement ukrainien.
D’autres photos et vidéos indiquent qu’un parc et une aire de jeux pour enfants figuraient parmi les zones touchées.


Dans l’ensemble, l’attaque de Kiev semble différer des raids précédents sur la ville en ce qu’elle était apparemment dirigée vers le centre de la capitale.
Cela semble soutenir l’idée que cela soit conçu comme une réponse directe à l’attaque du pont du détroit de Kertch samedi.
Peu de temps après cet incident, le sénateur russe Alexander Bashkin a déclaré à RIA Novosti qu'« il ne fait aucun doute que la Fédération de Russie apportera
une réponse adéquate, consciente et, peut-être, asymétrique à l’urgence sur le pont de Crimée ».


Kiev,apres la joie du WE de l attaque du pont de Kertch,la stupeur du lundi...

Des civils blessés sont aidés par des médecins après plusieurs explosions qui ont secoué le district de Shevchenkivskyi de la capitale ukrainienne, Kiev, le 10 octobre 2022.




Le président russe Vladimir Poutine a décrit l’attaque du pont du détroit de Kertch comme un acte terroriste perpétré par les services spéciaux ukrainiens.
Le dirigeant russe a également déclaré que l’attaque du pont était « dirigée contre la destruction d’infrastructures civiles d’importance critique ».

Différents rapports indiquent que des missiles de croisière Kalibr (qui peuvent être tirés à partir de lanceurs au sol, ainsi que de navires de guerre et de sous-marins)
ou des missiles de croisière lancés par voie aérienne ont été utilisés dans les dernières attaques sur Kiev, au moins.
Lors de précédents raids de ce type, une combinaison de ces missiles de croisière a été déployée. Il y a également eu des rapports non confirmés d’une augmentation de l’activité
des bombardiers russes, y compris des missiles prétendument tirés depuis la mer Caspienne.
Cela aussi correspond aux frappes précédentes de l’aviation russe à long rayon d’action.


Selon un communiqué des forces armées ukrainiennes, les défenses aériennes locales ont réussi à intercepter et à abattre 41 des 75 missiles lancés par la Russie.
Cela ne peut pas être vérifié de manière indépendante et il semble que les attaques de missiles (et d’éventuels drones) se soient également poursuivies après cette évaluation.
Une fois de plus, cependant, les événements d’aujourd’hui soulignent la nécessité de mettre à jour et d’étendre les défenses aériennes ukrainiennes,
avec de nouveaux systèmes de défense aérienne au sol et des avions de combat.

Écrivant ce matin sur Telegram, le gouverneur de Kiev, Oleksiy Kuleba, a fourni une mise à jour indiquant que les raids étaient toujours en cours:
« L’attaque aérienne continue. Je demande à tout le monde de rester calme et de rester dans des abris. La défense aérienne fonctionne dans la région.
Il existe des informations sur les objets abattus. J’insiste sur le fait que l’alerte aérienne est toujours en cours. Ne l’ignorez pas et restez à l’abri.
Ne photographiez pas ou ne filmez pas les sites d’atterrissage ou les infrastructures endommagées. La vie des gens en dépend. Attendons.

« Ils essaient de nous détruire et de nous effacer de la surface de la terre », a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans un message sur Telegram.
« Détruisez notre peuple qui dort chez lui à Zaporizhzhia. Tuez les gens qui vont travailler à Dnipro et à Kiev. L’alarme d’air ne s’apaise pas dans toute l’Ukraine.
Il y a des missiles qui frappent. Malheureusement, il y a des morts et des blessés. Veuillez ne pas quitter les refuges.
Prenez soin de vous et de vos proches. Accrochons-nous et soyons forts.



La condamnation est également venue des États-Unis, l’ambassadrice des États-Unis en Ukraine, Bridget A Brink, accusant la Russie d’intensifier
« son barrage d’attaques contre les civils ukrainiens ».

Les frappes russes de ce matin interviennent juste avant une réunion prévue entre le président russe Vladimir Poutine et son conseil de sécurité,
au cours de laquelle l’attaque du pont du détroit de Kertch devrait être un sujet de discussion clé.


source
thedrive.com

On appelle ça des représailles, elles vont être fortes.
Je suis surpris par le mec sur la dernière photo côté gauche qui regarde impassible, c'est un spectacle sans doute !
Mains dans les poches, son petit sac à dos, même pas capable d'aider.

carbone14 a écrit:

On appelle ça des représailles, elles vont être fortes.
Je suis surpris par le mec sur la dernière photo côté gauche qui regarde impassible, c'est un spectacle sans doute !
Mains dans les poches, son petit sac à dos, même pas capable d'aider.

Beaucoup de personnes sont en etat de choc,ils pensaient que l Ukraine etait en train de gagner la guerre mais la realite
est bien differente aujourd hui...

naga a écrit:

carbone14 a écrit:

On appelle ça des représailles, elles vont être fortes.
Je suis surpris par le mec sur la dernière photo côté gauche qui regarde impassible, c'est un spectacle sans doute !
Mains dans les poches, son petit sac à dos, même pas capable d'aider.

Beaucoup de personnes sont en etat de choc,ils pensaient que l Ukraine etait en train de gagner la guerre mais la realite
est bien differente aujourd hui...

Comme j'ai dit : "il faut toujours se méfier de l'eau qui dort".

Precisions

Plusieurs rapports indiquent que certaines des attaques ont été poursuivies par des drones suicides émanant de Biélorussie, mais il n’est pas clair sur quoi cette conclusion
est basée. Ces drones à longue portée peuvent emprunter des routes indirectes pour aider à se faufiler dans leur zone cible.
Pourtant, il est possible que certains aient été lancés à partir de là.

Au moins 5 personnes ont été tuées et 12 blessées par les multiples frappes de missiles de la Russie sur Kiev le matin du 10 octobre, selon la police nationale ukrainienne.











Lviv, à l’extrême ouest de l’Ukraine, a également vu sa centrale thermique touchée et Kharkiv a apparemment également ciblé son infrastructure énergétique.
Les dommages causés à ces installations peuvent prendre du temps à réparer et, dans certains cas, très longtemps.
En tant que tel, nous ne connaissons vraiment pas l’impact à long terme de ces attaques pour le moment, mais si de graves dommages étaient causés,
cela pourrait être un problème, surtout pendant les mois d’hiver glaciaux.

Centrale thermique de Lviv après une attaque de missiles

C'est peut-être maintenant que la guerre va commencer.

Cette photo me choque : encore un coup de pub et ou politique avec ce petit drapeau bien en vue ?
Il ne devait y avoir personne dedans car le verre est sur le siège, conducteur et passager.
Regardez bien le siège conducteur !!!! rien ne vous choque ? Si bien sûr il est fortement avancé, là personne ne peut monter dans la voiture. Bien en évidence on a un pare soleil ! une porte ouverte du côté "prise de la photo". Ca fait "mise en scène".

C est sur que la propagande va etre tres soutenue...




Les attaques des forces aérospatiales russes ont commencé à l'aube et à 10h20 près de 200 frappes avaient déjà été enregistrées.
Le nombre de missiles russes tirés en même temps est constant pour toutes les vagues de bombardements, afin d'infliger le maximum de dégâts aux objectifs visés
mais aussi, pour y parvenir, saturer les systèmes de défense anti-aérienne ukro-atlantistes.

Déconnexion internet dans la plupart des grandes villes ukrainiennes




Le premier bilan provisoire :
Kiev et région : la tension électrique est tombée. Internet et de téléphonie mobile en panne.
Vinnitsa et la région : un coup sur l'infrastructure ferroviaire.
Ivano-Frankivsk et la région : bombardements sur les infrastructures.
Lvov et la région : l'électricité et les communications mobiles ont partiellement disparu.
Ternopil et la région : interruptions des lumières.
Khmelnitsky et la région : bombardements sur les objets d'infrastructure.
Dniepropavlosk et la région : bombardements sur les infrastructures.
Jitomir et la région : infrastructure énergétique endommagée.
Poltava et la région : plus d'électricité.
Kharkov : plus d'électricité.
Région de Tcherkassy : pannes d'électricité.

Les cibles visées par les forces russes en Ukraine ont été élargies aux administrations des services de sécurité, aux centres énergétiques, aux carrefours ferroviaires,
aux stations électriques, aux ponts sur le Dniepr etc....

source
alawata-rebellion.blogspot.com

Guerre en Ukraine : "Si les tentatives d'attentats terroristes sur notre territoire se poursuivent, les réponses de la Russie seront sévères", prévient Vladimir Poutine

Le président russe Vladimir Poutine, s'exprimant en ouverture d'une réunion télévisée du Conseil de sécurité lundi 10 octobre, a confirmé "des frappes massives" en Ukraine, en réplique à l'attaque "terroriste" du pont de Crimée.
"Personne ne doit avoir le moindre doute". Alors que plusieurs villes ukrainiennes, dont Kiev, étaient la cible de frappes russes lundi 10 octobre, Vladimir Poutine s'est exprimé à la télévision à la mi-journée. "Si les tentatives d'attentats terroristes sur notre territoire se poursuivent, les réponses de la Russie seront sévères et leur ampleur correspondra au niveau des menaces posées", a déclaré le chef du Kremlin en ouverture d'une réunion télévisée du Conseil de sécurité russe. "Personne ne doit avoir le moindre doute", a-t-il averti.
Le président russe a notamment indiqué lundi que la Russie avait lancé une campagne "massive" de bombardements de l'Ukraine en réplique à l'attaque "terroriste" ukrainienne qui a partiellement détruit samedi le pont de Crimée. "Sur proposition du ministère de la Défense et en conformité avec le plan de l'état-major, des frappes massives avec des armes de haute précision de longue portée ont été menées contre l'infrastructure énergétique, militaire et de communication de l'Ukraine", a précisé Vladimir lors d'une réunion de son Conseil de sécurité retransmise à la télévision.
"L'objectif des frappes a été atteint. Toutes les cibles ont été touchées", s'est félicité le ministère russe de la Défense dans un communiqué, quelques instants après que le président Vladimir Poutine a confirmé des frappes massives
L'Ukraine "au même niveau que les terroristes les plus odieux"
Kiev n'avait plus été la cible de frappes depuis le 26 juin dernier. Selon Vladimir Poutine, en visant le pont de Crimée samedi, l'Ukraine "s'est mise au même niveau que les terroristes les plus odieux". "Il n'était pas possible de ne pas (y) répondre", a-t-il dit face aux dirigeants russes responsables de la sécurité. Vladimir Poutine a par ailleurs affirmé que l'armée ukrainienne avait attaqué dans le passé "à trois reprises" la centrale nucléaire russe de Koursk (sud-ouest), située à 85 kilomètres de la frontière avec l'Ukraine, et aussi tenté de s'en prendre au gazoduc TurkStream qui relie la Russie à la Turquie à travers la mer Noire.
Source : actu orange