Ukraine / Russie

Impressionnantes photos, mais peut-être pas à leur place, il y a une rubrique pour ça...

vania a écrit:

Impressionnantes photos, mais peut-être pas à leur place, il y a une rubrique pour ça...

Vrai, je me suis trompé. Je réalise.

Vidéo du forum russe, "il semble que HIMARS ait des problèmes de précision".  C'est le texte.

Les Russes y ont trouvé des contre-mesures électroniques...

Une autre vidéo du forum russe.

Russie : Moscou visée par une attaque de drones.

Alors que Kiev a connu plusieurs attaques de drones pendant le week-end de la Pentecôte, Moscou en a, elle aussi, subi une de grande ampleur mardi 30 mai. Elle n’a pas fait de victimes.
Pas de victimes et des "dégâts mineurs" sur des bâtiments.
C’est en ces termes que Sergueï Sobianine, le maire de Moscou, a résumé le bilan d’une attaque de drones de grande ampleur ayant eu lieu mardi 30 mai à l’aube, indique BFMTV. "Tous les services d'urgence de la ville sont sur place (...). Personne n'a été sérieusement blessé jusqu'à présent”, précise l’édile de la capitale moscovite, dans son message posté sur la messagerie Telegram.
Un bilan provisoire qui aurait pu être pire, si l’on en croit la déclaration d’Andreï Vorobiov, le gouverneur de la capitale russe. Celui-ci explique : "Plusieurs drones ont été abattus à l'approche de Moscou par la défense antiaérienne”. Mais depuis le début de l'invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022, Moscou a très rarement été visée par des attaques de drones.
52 drones détruits en Ukraine
Pour mémoire, Moscou est située à 1 000 km de l’Ukraine. Cette fois, des images publiées sur les réseaux sociaux montrent de la fumée s’élevant dans le ciel, la fenêtre d’un immeuble cassée, décrit BFMTV. Cette attaque côté russe fait suite à celles ayant touché l’Ukraine dans la nuit de dimanche à lundi et la nuit dernière. Lors de la première, l’Ukraine indiquait avoir fait face à “l'attaque de drones la plus importante” sur Kiev depuis le début de la guerre. Elle a fait deux morts et l’armée affirme avoir détruit 52 des 54 drones explosifs lancés par Moscou sur tout le pays, chiffre Le Figaro. Mardi matin, Le Monde relayait une nouvelle attaque contre Kiev ayant fait un mort.

Source : actu orange.

Dernière nouvelle stupéfiante à la radio tchèque, aux infos ce jour :
Les camions biélorusses sont interdits sur tout le territoire de la Pologne.
Regardez la carte et vous verrez que s'ils sont en Europe c'est un détour énorme pour rentrer chez eux et s'ils veulent sortir livrer c'est pareil.
En bref les "embargos" puisque c'est en un détourné privent les populations de leurs produits et c'est tout ce que c'est bon à faire. Bel exemple Cuba, des enfants "actuellement" qui ont 61 ans n'ont connu que ça. Privations de tourtes sortes, bouffes, médicaments etc... Les palestiniens et Israël, les palestiniens sont dans un état lamentables, plus de boulot, plus de bouffe etc... Alors tuer des populations au nom d'une idéologie politique c'est totalement délirant. Je vois pas de quoi la Pologne se mêle.  Pourtant dans leur Ghetto ils ont su ce qu'était de manquer de tout, de sortie aussi.
J'aime bien le diction dans les camps "plus jamais ça" mais ça continue, simplement sous d'autres formes.
Autre détail que vont faire les touristes biélorusses ? Ca va leur pendre au nez aussi.

La Pologne est le petit caniche des States, et n'a rien à f..... dans l'U.E. ...

vania a écrit:

La Pologne est le petit caniche des States, et n'a rien à f..... dans l'U.E. ...

Dommage qu'ils jouent ce jeu car on a été plusieurs fois en Pologne et "que du bonheur". Paysages, gens etc... Tout parfait.

Tout frais, mais comment démêler le vrai du faut ?
Source : actu orange.



Russie : nouvelles frappes sur la région de Belgorod, l'armée dit avoir repoussé une tentative d'"invasion".

"L'ennemi n'a pas pénétré sur le territoire de la région de Belgorod", a assuré le gouverneur local, démentant des rumeurs d'incursions ennemies.

Des "frappes ininterrompues" pendant plusieurs heures une ville de la région russe de Belgorod, frontalière de l'Ukraine, a indiqué jeudi 1er juin le gouverneur local, Viatcheslav Gladkov. Il a évoqué un bilan de huit blessés.
De son côté, l'armée russe a affirmé avoir repoussé avec son aviation et son artillerie une tentative ukrainienne d'"invasion" impliquant plusieurs dizaines de militaires et des chars.
"Après d'intenses bombardements d'installations civiles dans la région de Belgorod, des groupes terroristes ukrainiens comptant jusqu'à deux compagnies d'infanterie motorisée renforcées par des chars ont tenté d'envahir le territoire russe", a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.
"C'est une mauvaise matinée dans la région de Belgorod", a lancé Viatcheslav Gladkov sur Telegram. "Chebekino fait face à des frappes ininterrompues" aux lance-roquettes, a-t-il poursuivi, en accusant les forces ukrainiennes de bombarder "le centre et les périphéries" de la ville. "Huit personnes ont été blessées. Il n'y a pas de morts", a-t-il précisé. Le bilan initial dévoilé par le gouverneur faisait état de cinq blessés, parmi lesquels un policier.
"Bien sûr, la vie des civils, de la population est menacée. Avant tout, à Chebekino et dans les villages avoisinants", a souligné Viatcheslav Gladkov, en précisant que des évacuations allaient être organisées dès que "la situation se sera calmée". "L'administration des districts et des villes s'occupe de l'évacuation des gens. Mais on ne peut pas le faire sous les bombardements", a-t-il expliqué.
Selon Viatcheslav Gladkov, "l'ennemi n'a pas pénétré sur le territoire de la région de Belgorod", mais "des frappes en masse sont en cours". Il a ainsi démenti les informations diffusées jeudi matin par certaines chaînes Telegram affirmant que les forces ukrainiennes auraient réalisée une "percée" présumée dans la région de Belgorod.
"La situation à Chebekino est difficile en ce moment, il y a des frappes, on entend le bruit des affrontements. Les forces armées russes font leur travail, mais il n'y a aucune percée des forces ukrainiennes", a assuré pour sa part une cellule de crise mise en place dans la région par les autorités.
La région de Belgorod a été le théâtre la semaine dernière d'une spectaculaire incursion d'hommes armés venus d'Ukraine qui a suscité un choc en Russie. Depuis, plusieurs zones de la région situées à proximité immédiate de la frontière subissent des tirs nourris de mortier et d'artillerie, ainsi que des attaques de drones, selon les autorités locales.
Mercredi, les autorités ont annoncé avoir commencé l'évacuation des enfants de certaines zones frontalières de l'Ukraine intensivement bombardées depuis plusieurs jours, s'alarmant d'une "détérioration de la situation". Selon Viatcheslav Gladkov, 200 personnes, parmi lesquelles des mères avec des enfants en bas âge, devaient quitter jeudi la région de Belgorod et 600 personnes vont être évacuées samedi pour s'installer dans un logement temporaire dans d'autres villes russes.
Les bombardements et incursions se sont multipliés ces dernières semaines en Russie alors que Kiev dit préparer une contre-offensive d'ampleur destinée à repousser les forces russes des territoires qu'elles occupent en Ukraine.

Je connais Bielgorod.
Zone de départ il y a bientôt 80 ans de la pince sud de l'offensive nazie sur Koursk.
Une région donc déjà dévastée, traumatrisée, et qu'on aurait logiquement pensé sanctuarisée pour toujours...

prit sur le forum russe, les premières images sont pour le moins "surprenantes" vous jugerez !

Pays dévasté, ruiné, 80 ans après la campagne de Stalingrad, bientôt celle de Koursk, avec toujours cet ennemi qui vient de l'Ouest... ...

Si ce lien (vidéo) vous parle, j'ai reçu ça d'un pote en Belgique, c'est long, environ 1 heure et demi de plus je l'ai parcouru rapidement et je ne sais pas de quand il date :
https://www.youtube.com/watch?v=mT9rLSnMR7k&ab_channel=D1ST1OFFICIELRAP

Un homme d'état.

Ukraine : le barrage de Kakhovka partiellement détruit, Moscou et Kiev s'accusent mutuellement.


Image satellite du barrage de Kakhovka, le 28 mai 2022. (illustration)
Satellite image 2023 Maxar Technologies / AFP

L'Ukraine a annoncé avoir commencé l'évacuation de milliers d'habitants le long du fleuve Dniepr.
Le barrage hydroélectrique de Kakhovka, l'un des plus grands d'Ukraine, a été partiellement détruit mardi 6 juin. Moscou et Kiev s'accusent mutuellement d'être responsables des dégâts occasionnés à cette infrastructure située dans les zones de la région de Kherson occupées par la Russie dans le Sud du pays.
Les forces ukrainiennes ont effectué de "multiples frappes" sur le barrage de Kakhovka dans la nuit de lundi à mardi, a déclaré sur Telegram le maire de la ville de Nova Kakhovka, Vladimir Leontiev, en affirmant qu'elles avaient détruit les robinets-vannes du barrage et provoqué un "rejet d'eau incontrôlable". "Le barrage n'est pas détruit et c'est un bonheur immense", a-t-il toutefois assuré.
Pour sa part, l'armée ukrainienne a accusé dans un communiqué la Russie d'avoir organisé une explosion sur le barrage. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a convoqué d'urgence son conseil de sécurité, a annoncé le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak, sur Telegram, en dénonçant un "crime de guerre".
La montée d'eau a été constatée dans plusieurs localités situées à proximité du barrage sans que la situation ne devienne critique, selon l'administration de la région de Kherson, installée par la Russie. De son côté, l'Ukraine a annoncé avoir commencé l'évacuation d'habitants, quelque 16.000 personnes se trouvant en "zone critique". Plusieurs villages ont été inondés par la rivière Dniepr, a-t-il été précisé.
"S'il le faut, nous sommes prêts à évacuer les habitants des villages riverains", a déclaré dans un communiqué sur Telegram le chef du gouvernement de la région de Kherson, Andreï Alekseïenko, en soulignant toutefois que leur vie n'est pas menacée et appelant à "ne pas céder à la panique".
Le barrage de Kakhovka, pris dès le début de l'offensive russe en Ukraine, permet notamment d'alimenter en eau la péninsule de Crimée, annexée en 2014 par Moscou. Aménagé sur le fleuve Dniepr en 1956, pendant la période soviétique, l'ouvrage est construit en partie en béton et en terre.

Une photo du forum russe bien plus précise où l'on voit la route et ensuite la route détruite, ça date de l'automne 2022.
Ensuite (maintenant, vrai ou faux) ça aurait lâché.

D'autres "photos" prises sur le forum russe, vous jugerez car il y a du russe d'écrit.



Un peu d'humour, faut bien.



Et la suite que je ne sais absolument pas analyser.

Si ce barrage sert à approvisionner la Crimée, on voit mal les Russes le détruire, d'autant qu'une offensive Ukrainienne dans ce secteur devrait nécessairement passer le Dniepr, ce qui est facile à interdire sans forcément péter un barrage...

L'eau qui se déverse va partout, des deux cotés, de plus même si c'est les russes qui l'ont fait péter c'est eux qui l'avaient construit.

Une remarque qui me parait très judicieuse du forum russe par in internaute qui doit connaitre ou aovir au moisn une idée :

"Regardez la conception du barrage, pour détruire au moins un support il faudrait une charge de 500 kg d'explosif et même avec un seul pilier le barrage ne cèdera pas".

Le barrage a semble t-il été fragilisé lors des combats de l'automne dernier.
Les pluies et la fonte des neiges a augmenté le volume/pression de l'eau, et la structure n'est plus assez costaud pour le supporter.
Analyse d'un experts sur une chaine indépendante...

vania a écrit:

Le barrage a semble t-il été fragilisé lors des combats de l'automne dernier.
Les pluies et la fonte des neiges a augmenté le volume/pression de l'eau, et la structure n'est plus assez costaud pour le supporter.
Analyse d'un experts sur une chaine indépendante...

Ca parait logique, de plus au vue de la pression de tant d'eau "ça pousse". Saura t-on un jour la vérité ?

Du forum russe il y a quelques instants :