l'histoire de Soljenitsyne

Il y a cinquante ans, L’Archipel du Goulag paraissait : Soljenitsyne a été exilé pendant vingt ans à cause de cela.

Il y a exactement cinquante ans, jour pour jour, le livre d’Alexandre Soljenitsyne, L’Archipel du Goulag, a été publié pour la première fois. L’œuvre historiquement significative a exposé le système de camps communistes de l’Union soviétique, brisant définitivement l’auto-illusion mensongère de l’intelligentsia occidentale de gauche. L’écrivain russe, lauréat du prix Nobel, a été exilé de son pays natal en 1974.
« Vers 1940, mes amis et moi sommes tombés sur des nouvelles remarquables dans la revue Nature de l’Académie des sciences. Il était écrit en petits caractères que des fouilles près de la rivière Kolima avaient en quelque sorte mis au jour une calotte glaciaire souterraine, une rivière préhistorique gelée – et y avaient congelé quelques spécimens d’animaux appartenant à une faune excavée (vieille de dizaines de milliers d’années). Ces poissons, ou tritons, d’après le savant correspondant, étaient conservés si frais et si intacts, que les assistants, les ayant mangés sur place, ayant mangé la glace, avec la plus grande habileté. Le journal a dû réussir à étonner son petit lectorat que la chair du poisson ait été conservée fraîche dans la glace pendant si longtemps, mais peu de gens auraient pu être éclairés par le contenu vraiment colossal de cette nouvelle téméraire. On a tout de suite compris. Nous voyions clairement devant nous, dans les moindres détails, toute la scène, avec quelle fièvre les assistants déchiraient la glace, foulaient aux pieds les intérêts supérieurs de l’ichtyologie, se poussaient les uns les autres avec leurs coudes, comment ils arrachaient des morceaux de viande millénaires, les portaient au feu, les faisaient fondre et en vivaient bien. Nous comprenions, car nous étions nous-mêmes au nombre de ceux qui étaient présents, cette vaste tribu de prisonniers comme il n’y en avait pas d’autres au monde, qui seuls pouvaient manger volontiers du triton. Kolima était l’île la plus grande et la plus tristement célèbre, l’Arctique de la cruauté dans cet étrange pays du Goulag, géographiquement dispersé comme un archipel, mais idéologiquement uni en un continent. C’est dans ce pays presque jamais vu et inconnu qu’habite le peuple des prisonniers.
Ces mots commencent le livre d’Alexandre Soljenitsyne (11 décembre 1918 – 3 août 2008) écrit dans un style magique, L’Archipel du Goulag, traduit par Imre Szente. (Le livre de Soljenitsyne a depuis été publié par la maison d’édition Europa sous le titre L’Archipel du Goulag ; traducteur : András Soproni – éd.)



L’œuvre est encore considérée comme une secte par ceux qui, avec des têtes mûres, se sont encore plongés dans le « socialisme existant ». Jusqu’à l’effondrement des dictatures de type bolchevique en 1989, la publication du livre de Soljenitsyne était hors de question, ni en Hongrie, ni dans aucun pays sous l’influence de Moscou.
Le soldat kidnappé
Le destin de Soljenitsyne est étroitement lié à l’une de ses œuvres principales, qui a également créé des concepts dans les études historiques : l’écrivain, le prisonnier le plus connu du Goulag, a lui-même été un « habitant » forcé de cet archipel, que l’on ne trouve nulle part dans les atlas géographiques, pendant près de dix ans, mais des dizaines de millions de personnes ont langui et des millions sont mortes.

Soljenitsyne, actuellement officier de l’armée

Il a été enlevé de Prusse-Orientale en février 1945 par le contre-espionnage militaire.
L’écrivain, qui était encore diplômé en mathématiques et en physique à l’époque, a écrit plusieurs lettres à un ami dans lesquelles il dénigrait Staline sans nommer le dictateur ni utiliser de pseudonymes, et suggérait qu’un autre système devrait remplacer le soviet.
A suivre.

En rapprochement du sujet et à lire aussi ce lien sur le forum :

https://ostfront.forumpro.fr/t5108-le-goulag?highlight=l+histoire+du+goulag

Ce sujet sera très long, diverses vidéos dont une de plus de 2 heures. Prévoyez du temps. personnellement j'ai parcouru en gros, faudra que j'y revienne. Mais c'est

Soljenitsyne a été accusé de propagande antisoviétique en vertu de l’article 58(10) du Code pénal soviétique et d’avoir fondé une organisation ennemie en vertu de l’article 11, quelques jours avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. (Le destinataire de sa lettre a été condamné à huit ans de prison et également déporté dans un camp.)
Un plus beau cadeau que celui des Habsbourg
Il a été interrogé dans la prison de la Loubianka à Moscou, où lui et ses codétenus ont regardé des feux d’artifice célébrant la fin de la guerre.
Outre le fait que quelque 800 000 personnes, pour la plupart rassemblées dans les rues ou rassemblées avec la promesse d’un soi-disant « robot Malenky » (petit travail), ont été conduites de la Hongrie occupée vers les camps de concentration soviétiques, où 200, selon certaines sources, 300 000 personnes sont mortes, l’histoire de Soljenitsyne rencontre celle de la nation hongroise à un autre moment.
János Esterházy a été emprisonné dans la même cellule que l’écrivain.
qui s’est tourné vers Gustav Husak en mai 1945 au motif de la privation complète du droit de vote des Hongrois. Le commissaire aux affaires intérieures (qui deviendra plus tard le premier homme de la Tchécoslovaquie) arrête l’homme politique hongrois de Haute-Hongrie et le livre aux occupants soviétiques.



C’était un moment poignant de l’époque du Goulag, lorsque Soljenitsyne, qui plus tard a fait connaître le système des camps au monde et a été persécuté par les dictatures stalinienne et brejnev, a offert à son codétenu, le comte János Esterházy, des boutons faits de boyaux de pain séché dans la prison de Lioubianka à Moscou afin qu’il puisse remplacer ceux arrachés. Esterházy répondit qu’il n’avait pas non plus reçu de plus beau cadeau de la part des Habsbourg.
Les années de marche infernale
Le 7 juillet 1945, le Conseil spécial du NKVD condamne Soljenitsyne par contumace à huit ans de camp de travail. Il a purgé la première partie de sa peine dans plusieurs camps de travail ; La « section centrale », comme il l’appellera plus tard, se trouvait dans une saraska (un institut de recherche scientifique dans le cadre d’un camp de travaux forcés).

Il a été envoyé dans un « camp spécial », où il a travaillé comme mineur, maçon et contremaître de fonderie. Là-bas, on lui a retiré une tumeur du corps, mais on lui a diagnostiqué par erreur qu’il n’avait pas de cancer.
Après la fin de sa peine, Soljenitsyne a été envoyé en exil intérieur en mars 1953 dans un village du sud du Kazakhstan. Son cancer, non diagnostiqué, a continué de se propager et, à la fin de l’année, il était proche de la mort. En 1954, il a été soigné dans un hôpital de Tachkent, où sa tumeur a régressé.
Plus tard, il a écrit son roman Cancer Department sur sa nouvelle lutte contre la mort.
Après avoir survécu à l’emprisonnement, à l’exil et au cancer, Soljenitsyne a commencé à voir sa vie dans l’esprit du christianisme orthodoxe qui prévalait auparavant en Russie. Il regrettait certaines de ses actions en tant que capitaine de l’Armée rouge, dont il parle dans la quatrième partie de L’Archipel du Goulag. (Des documents antérieurs montrent qu’il était scandalisé par les viols et la cruauté de la population commis par les soldats soviétiques dans les territoires occupés.)
Une autre « connexion hongroise »
Au cours de la dernière période de ses années de goulag, dans le camp d’Ekibastuz au Kazakhstan
Soljenitsyne rencontra un autre prisonnier hongrois : János Rózsás,
nous l’appelons le Soljenitsyne hongrois, qui a écrit plus tard le lexique du Goulag. Rózsás, qui s’est fait connaître plus tard en tant qu’écrivain et historien, a été emprisonné dans les camps de prisonniers de Gupvi pendant neuf ans, de 1944 à 1953.
A suivre.

C'est du hongrois, comme ça vous pourrez savoir ce que c'est.

Rien n’est plus caractéristique du cynisme de la dictature communiste que le fait que, sous le régime de Kádár, la maison d’édition Kossuth voulait faire écrire à Rózsás une sorte de contre-goulag.
L’âme et les barbelés
Le titre de cette section, L’âme et le fil de fer barbelé, est presque exactement le même que le titre du volume récemment publié par László Domonkos, Soljenitsyne (L’âme et le fil de fer barbelé. Soljenitsyne, avec un pinceau hongrois). L’ouvrage rapproche la biographie de l’écrivain et l’enrichit de nombreux détails inconnus du lecteur domestique.
Après le discours secret de Khrouchtchev en 1956, Soljenitsyne a pu revenir d’exil et être acquitté de toute autre peine. Pendant la journée, il enseignait dans un lycée, mais à partir de ce moment-là, il passait les nuits à écrire en secret. En 1960, à l’âge de 42 ans, il rend visite au poète Alexandre Tvardovski, rédacteur en chef de la revue Novi Mir
avec le manuscrit de son roman Un jour dans la journée d’Ivan Denissovitch. L’ouvrage a été publié en 1962
avec l’approbation de Nikita Khrouchtchev, qui cherchait à se libérer de son passé stalinien.



Le livre s’est vendu rapidement et a connu un succès immédiat. Cependant, Khrouchtchev a été renversé en 1964, et le processus de réforme politique, déjà faible, s’est enlisé en Union soviétique, où l’ère rigide et dictatoriale de Brejnev a commencé.
Lauréat du prix Nobel disqualifié
Soljenitsyne tenta donc sans succès avec Tvardovski, qui le soutenait, de publier son prochain grand roman, La Paroisse du cancer.
A suivre

Citation :

Cependant, Khrouchtchev a été renversé en 1964, et le processus de réforme politique, déjà faible, s’est enlisé en Union soviétique, où l’ère rigide et dictatoriale de Brejnev a commencé

L'histoire de l'URSS reste à écrire, car selon certains historiens, c'est justement juste après Krouchtchev que le pays a fait un bond dans tous les domaines, mais sur une durée assez faible...

Oui mais tu sais je met le reportage tel qu'il est. De plus c'est en hongrois, il y a une traduction Google, des erreurs peuvent se glisser.

En 1965, le KGB a également commencé à le harceler, saisissant ses manuscrits. Entre-temps, il travaille secrètement et fiévreusement à son œuvre la plus connue, L’Archipel du Goulag.
Alors qu’il se cachait dans les maisons de ses amis en Estonie, il a édité l’œuvre pour en faire un manuscrit prêt à être imprimé.



En 1969, il a été expulsé de l’Union des écrivains soviétiques, ce qui a rendu encore plus pervers le fait qu’il ait reçu le prix Nobel de littérature en 1970. Il n’a pas pu se rendre à Stockholm pour recevoir le prix de peur de ne pas être autorisé à retourner dans son pays d’origine.
(Les créateurs exceptionnels des dictatures communistes ont été confrontés en masse et régulièrement au fait que, pour diverses raisons, ils ne pouvaient pas recevoir leurs prix les plus prestigieux du monde :
par exemple, le régime de Kádár n’a pas seulement empêché le premier lauréat hongrois d’un Oscar, Ferenc Rofusz, de recevoir la petite statuette en 1981 ;
Mais au lieu de cela, le prix a été arraché au gala par un apparatchik communiste, à qui les organisateurs de l’événement l’ont récupéré par des moyens policiers.
Nouvelle bombe nucléaire
Bien que le manuscrit de L’Archipel du Goulag ait été exporté avec succès en Europe occidentale, l’écrivain a insisté pour que l’ouvrage soit publié en Russie. Cependant, en septembre 1973, le KGB saisit l’un des manuscrits de l’ouvrage. Avant cela, afin d’en extraire l’endroit où se trouvait le manuscrit,
Pendant cinq jours, l’assistante de l’écrivain, Elizaveta Voronanskaya, a été interrogée et retrouvée pendue
On ne sait toujours pas si la femme s’est suicidée ou si elle a été assassinée.
Soljenitsyne indiqua alors, par l’intermédiaire de ses contacts, qu’il autoriserait la publication de son œuvre.
L’archipel du Goulag a d’abord été commercialisé par les Éditions du Seuil à Paris, en russe. Après sa publication, l’ouvrage a explosé comme une bombe nucléaire dans la conscience publique d’Europe occidentale : l’intelligentsia de gauche sympathisant massivement avec l’Union soviétique et l’opinion publique du monde entier ont compris quelles conditions caractérisaient le fleuron du communisme.
Comme l’a dit le fils de l’auteur, le célèbre chef d’orchestre et musicien Ignat Soljenitsyne, qui vit à New York, le livre a explosé comme une bombe, détruisant tous les arguments restants en faveur du marxisme, qui a détruit la vie de millions de personnes après la révolution bolchevique en Russie en 1917. Selon Ignat, s’exprimant à l’occasion du cinquantième anniversaire de la publication du livre, l’archipel du Goulag est depuis lors pleinement d’actualité, ainsi que la réflexion sur le mal et la vraie nature du marxisme et du communisme.
En janvier 1974, l’écrivain l’a publié dans un samizdat (journal clandestin et illégal, ndlr).
« propositions non sollicitées et non officielles d’un compatriote pour éviter une catastrophe nationale ».
Le manifeste adressé aux dirigeants de l’Union soviétique réclamait un système multipartite, de vraies élections, le pluralisme.
D’après les documents qui nous sont parvenus, nous concluons que les dirigeants de Moscou ont alors décidé de prendre des mesures immédiates ; ce qui était en jeu dans la question dite de Soljenitsyne, c’était que l’écrivain indomptable soit emprisonné, banni, expulsé ou victime d’un « accident accidentel ». Cette dernière version aurait été une situation embarrassante pour Brejnev dans le cas d’un récent lauréat du prix Nobel.
Comme le chancelier ouest-allemand Willy Brandt a publié une déclaration selon laquelle Soljenitsyne était libre de vivre et de travailler en Allemagne de l’Ouest, cela s’est avéré utile pour les autorités :
Il a été arrêté le 12 février 1974 et déporté de l’Union soviétique à Francfort en Allemagne de l’Ouest le lendemain.
et déchu de sa nationalité soviétique.
Lénine a commencé
Pour l’écrivain, l’archipel du Goulag, c’est près de vingt ans d’exil
Plusieurs critiques le comparent à l’Enfer de Dante :
Entre autres choses, il fait des reportages sur les camps pénitentiaires où les condamnés travaillent dans la boue jusqu’aux genoux dans des zones marécageuses avec des mouches couvrant leur visage ; Il couvre également les camps pour enfants et femmes.
A suivre

La grande vertu de l’archipel du Goulag est que, bien que ce message n’ait pas été suffisamment connu depuis lors, et que les illégalités, c’est-à-dire la dictature totale et le génocide, les meurtres de masse de centaines de milliers de personnes ne soient attribuées à tort qu’au seul nom de Staline, Soljenitsyne décrit clairement que les arrestations massives, les exécutions ou les déportations d’innocents vers des camps de prisonniers ont commencé déjà après le coup d’État armé de Lénine en Union soviétique en 1917.



Cette énorme loco ressemble beaucoup à un projet de loco allemande durant la WWII !  100% même.

Bien que Soljenitsyne ait été assassiné par le KGB dès 1971, dans des circonstances encore floues, l’expansion de l’archipel du Goulag n’a pas pu être empêchée :
À ce jour, le livre a été vendu en trente-cinq langues et à plus de trente millions d’exemplaires.
La mauvaise opposition
En 1974, l’écrivain
il a enfin pu recevoir son prix Nobel.
Même à l’époque, il n’a pas oublié ses anciens codétenus : dans son discours lors de la réception du prix



Malgré ses succès, Soljenitsyne n’est pas devenu la « bonne opposition » chérie par les intellectuels occidentaux, pour la plupart de gauche : dans de nombreux discours, il a mis en garde contre l’affaiblissement moral de l’Occident. Ces idées n’ont été accueillies avec sympathie que par les cercles conservateurs américains.
A suivre

Citation :

Malgré ses succès, Soljenitsyne n’est pas devenu la « bonne opposition » chérie par les intellectuels occidentaux

Comme Navalny par exemple.

À partir de ses innombrables conférences, déclarations et écrits, nous pouvons documenter tout cela ici en quelques lignes seulement, en nous basant sur le livre de László Domonkos cité ci-dessus.
« Le plus dangereux, c’est que l’Occident a perdu le sens du danger, il ne se rend même pas compte d’où vient la menace, ils l’imaginent de l’autre côté de la planète et pointent les flèches de leurs édredons de fantaisie sur elle », a-t-il prédit en février 1976 dans une déclaration à la BBC.
Ignorant le courant dominant à la mode de l’Occident, qui s’était déjà spectaculairement détourné du christianisme, il soulignait dans un article de 1983 (résumant ses conférences données en Angleterre) : « Si je devais nommer succinctement la principale caractéristique de l’ensemble du XXe siècle, je ne pourrais pas trouver une expression plus précise et plus significative que « les hommes ont oublié Dieu » (souligné dans le livre de D.L. – ndlr).
La citoyenneté de l’écrivain exilé a été rétablie en 1990 avec la chute de l’Union soviétique ;
Soljenitsyne est retourné en Russie avec sa femme en 1994.
Ses capacités visionnaires se manifestent dans plusieurs déclarations : il appelle la Russie à renoncer à tous les fantasmes fous de conquête étrangère.
« L’Ukraine ? Des mensonges...
Soljenitsyne, cependant, était un farouche opposant à l’indépendance de l’Ukraine, préférant créer un nouvel État slave avec la Russie, l’Ukraine, la Biélorussie et certaines parties du Kazakhstan qu’il considérait comme russifiées.
En ce qui concerne l’Ukraine, il a écrit : « Tous les discours sur la façon dont depuis le 9ème siècle
il y a un peuple ukrainien séparé avec sa propre langue, non russe, un mensonge récemment inventé »,
et « nous sommes tous de la précieuse Kiev ». L’auteur a critiqué l’expansion de l’OTAN vers l’est en direction des frontières de la Russie et a soupçonné que derrière les « révolutions de couleur », l’imposition des intérêts de l’Atlantique Nord a été imposée.
Alexandre Soljenitsyne Soljenitsyne est un écrivain russe et lauréat du prix Nobel. La date exacte du tournage est inconnue (Photo : MTI/CP)

Fin du dossier.

Ces dernières lignes montrent clairement que Soljenitsyne était un visionnaire...

vania a écrit:

Ces dernières lignes montrent clairement que Soljenitsyne était un visionnaire...

J'ai parcouru rapidement, il me reste tout à lire en détail et à voir les vidéos. Ca va être long.
j'espère simplement que ce sujet a plu. Je suis comme tout le monde, je connais un peu.