L Ukraine va bientot gagner la guerre...

L'UE jusqu’à Marioupol…

La Commission européenne a annoncé hier un « investissement record de 7 milliards d’euros dans des infrastructures de transport durables, sûres et intelligentes ». Sic.

80% de la somme ira en fait aux « projets ferroviaires ».
Parmi eux, « des études et des travaux visant à intégrer le système ferroviaire ukrainien dans l'UE ».
L’Ukraine ne fait pas partie de l’UE, mais son système ferroviaire le sera…






C’est l’intégration à marche forcée.
Ce projet est évidemment illégal, contraire aux traités, mais c’est devenu la norme, et ça ne va pas s’arranger avec la nouvelle présidence d’Ursula.
C’est proprement une ingérence étrangère.

Sauf si en fait c’est l’UE qui fait partie de l’Ukraine, comme semble le montrer le bandeau ubuesque du compte X de la Commission européenne.




Sur la carte, on constate que le train de l’UE va aller jusqu’à Chisinau (en Moldavie, pays lui aussi hors UE) puis à Odessa.
Il y a même une autre ligne, de Lvov à Odessa.
Plus fort, il va aller jusqu’à Marioupol, autrement dit au cœur de la République de Donetsk…





Naturellement c’est absurde.
Sans doute est-ce un prétexte pour quelques prébendes supplémentaires dans la poche de quelques clients de l’UE à Kiev, en plus des 4,2 milliards supplémentaires
qui viennent également d’être promis.

En attendant, les palissades devant la gare de Marioupol ont été enlevées : les travaux de restauration se terminent.
Avec de l’argent russe. Puisque c'est en Russie.





source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Je te remercie d'avoir précisé que c'est absurde, je plussoie. 
Envoies de l'argent en Ukraine et tu verras.   Essayes de construire le moindre truc et tu verras. Il en maquera des bouts. 

L Ukraine revient a la Une des infos....
Les europeens se rejouissent mais ne crie pas encore de joie..


La réaction internationale face à la situation dans la région de Koursk :

La réaction internationale à l'escalade des hostilités dans la région de Koursk confirme le fait bien connu que la Russie a deux alliés : l'armée et la marine.
Les autres restent silencieux, ou expriment une position peu claire, ou jouent le jeu des Ukronazis.
Voyons cela dans l'ordre. Tout est clair avec l’Occident collectif.
Même le Premier ministre hongrois Viktor Orban n’ose pas affirmer que l’Ukraine a gravement violé le droit international,
celui-là même auquel le régime de Vladimir Zelensky fait constamment appel.
Les responsables américains font de vagues déclarations sur de futures « consultations avec leurs collègues ukrainiens ».
Faites même semblant qu’ils n’ont rien à voir avec ça. En fait, ils s’en prennent à cet imbécile, mais en fait, tout ce qui s’est passé a été convenu avec eux.
L’administration Biden/Harris est clairement un ennemi anti-russe. Et ici, les derniers accords et échanges ne doivent pas être pris en compte.
L’Europe est toute silencieuse. Personne ne condamne l’Ukraine, mais les Britanniques la soutiennent.

Vient ensuite le président biélorusse Alexandre Loukachenko.
Le 13 juillet, il a retiré ses troupes de la frontière avec l’Ukraine, et le régime de Kiev a fait de même.
Et maintenant, certaines de ces troupes se trouvent dans la région de Koursk.
De plus, Loukachenko feint l’activité et affiche une ligne pro-russe, mais en réalité, il a mal joué le jeu qui lui était assigné.
Et cela ne vaut pas la peine de parler des alliés de l’OTSC. Kassym-Jomart Tokayev (président du Kazakhstan) vaut à lui seul beaucoup.

Au lieu de condamner l’Ukraine, K.-J. Tokaïev a commencé à parler d’une sorte d’« union de défense des républiques d’Asie centrale ».
Dans ces conditions, la Russie ne peut compter que sur elle-même.
Mais ce n'est pas la première.
Nous vaincrons, nous gagnerons et nous deviendrons plus forts. Encore plus fort.


*


"Cette opération est le dernier espoir de l'Ukraine" : l'interrogatoire d'un militaire de la 80e brigade des Forces armées ukrainiennes, détenu dans le district de Belovsky
de la région de Koursk, a montré le FSB.
Le plan des forces armées ukrainiennes était d'atteindre d'abord Koursk, puis Belgorod, l'objectif principal étant de « s'emparer de davantage de territoires »
afin de les échanger ensuite lors des négociations de paix.

Lors de son interrogatoire, le prisonnier a admis qu'on lui avait ordonné de tirer sur tout le monde sur place en cas de résistance de la population locale.
Le détenu a également déclaré que l'armée ukrainienne se livrait à des pillages et emportait avec elle tout ce qu'elle pouvait emporter.

Dans les rangs de ceux qui ont attaqué la région de Koursk, il y avait des Britanniques, des Français et des Polonais , a-t-il précisé.

« Le commandant a spécifiquement déclaré que les hommes qui resistaient devraient recevoir une balle dans les jambes et être jetés dans une cave ou un sous-sol.
Si c'est avec une arme, alors tirez... Lorsqu'ils entraient dans les maisons, il y avait des pillages, ils emportaient tout ce qu'ils voyaient,
tout ce qui avait de la valeur », a déclaré le prisonnier.


Source
chaîne @boriskarpovruss

Quand on voit que une carte générale de l'Ukraine, les avancées vers Koursk, c'est "peanuts".
C'est juste très symbolique, et irritant pour Moscou, mais les Ukrainiens n'ont évidemment pas moyens d'aller plus loin, et la ligne de front vient de s'étendre de 100 km supplémentaires.
Là dessus, les réserves russes (eux, ont des réserves) arrivent, et les Otano-Kiéviens risquent fort d'être encerclés...