Tentatives d’assassinat d’Adolf Hitler

Il s’agit d’une liste incomplète de tentatives documentées d’assassinat d’Adolf Hitler.
Toutes les tentatives ont eu lieu dans le Reich allemand, sauf indication contraire.
Toutes les tentatives impliquaient des citoyens du Reich allemand, sauf indication contraire.
Pas moins de 42 attentats ont été mises au jour par les historiens.
Cependant, le nombre réel ne peut pas être déterminé avec précision en raison d’un nombre inconnu de cas non documentés.

1932
Hitler et plusieurs membres de son personnel sont tombés malades après avoir dîné au vénéré hôtel Kaiserhof à Berlin.
Un empoisonnement a été suspecté, mais aucune arrestation n’a été effectuée.
Hitler lui-même semblait le moins touché par l’empoisonnement présumé, peut-être en raison de son régime végétarien.

Hôtel Kaiserhof (Berlin)





9 Février 1933 a Berlin
Ludwig Aßner, un homme politique allemand et membre du Parlement de l’État de Bavière, a envoyé une lettre empoisonnée à Hitler depuis la France.
Une connaissance d’Aßner a averti Hitler et la lettre a été interceptée.


1934
Beppo Römer, membre des Freikorps, a juré d’assassiner Hitler pour se venger de la Nuit des longs couteaux, mais a été remis à la Gestapo avant qu’un plan concret
ne puisse être élaboré. Il est emprisonné à Dachau jusqu’en 1939.
Römer est arrêté une fois de plus pour activités antinazies et finalement exécuté à la prison de Brandebourg-Görden en 1944.

Beppo Römer




1934
Le Dr Helmut Mylius, chef du Parti de droite de la classe moyenne radicale (Radikale Mittelstandspartei), a fait infiltrer la SS avec 160 hommes
et a commencé à recueillir des informations sur les mouvements d’Hitler.
La conspiration a été découverte par la Gestapo et les conspirateurs arrêtés.
Mylius échappa à l’arrestation grâce à l’aide d’amis influents, dont le maréchal Erich von Manstein et a fait son chemin vers l’armée en tant que quartier-maître.


1934
L’écrivain Edgar Jung, qui, en raison de son activité de rédacteur de discours du vice-chancelier conservateur d’Hitler, Franz von Papen, a eu l’occasion
de se rapprocher d’Hitler, au printemps 1934, a prévu de l’abattre comme première étape d’un plan envisagé par lui-même
et certains associés pour renverser le gouvernement nazi.
Cependant, certains des confidents de Jung le convainquirent de ne pas aller jusqu’au bout de son plan, craignant qu’être tué dans un assassinat
ne transforme Hitler en martyr et ne rende ainsi un Hitler mort encore plus dangereux qu’un vivant.

Discours de Marbourg
En 1934, Jung rédige le discours de Marbourg prononcé le 17 juin par Papen à l’université de Marbourg.
Le discours articulait la critique de l’establishment conservateur à l’égard de la violence du nazisme.
Le texte cherchait à réaffirmer le fondement chrétien de l’État et la nécessité d’éviter l’agitation et la propagande :
« Il est temps, déclarait le discours, de s’unir dans l’amitié fraternelle et le respect de tous nos compatriotes, pour éviter de perturber le travail des hommes sérieux
et pour faire taire les fanatiques ». Le NSDAP interdit l’impression dans la presse du discours.

Mort
Hitler a personnellement ordonné l’arrestation de Jung.
Il a été arrêté dans son appartement berlinois par la Gestapo ; il avait fait ses valises pour tenter de fuir en Suisse.
Jung a été transféré au siège de la Gestapo à Prinz-Albrecht-Straße.
Il a été assassiné par les SS peu de temps après, fusillé dans la cave du quartier général de la Gestapo.
Son corps a été retrouvé abandonné dans un fossé près de la ville d’Oranienburg, près de Berlin, le 1er juillet 1934.


Edgar Jung

Incroyable que ce personnage ait eu autant de chances.
Chances qu'il a mis sur le compte d'une protection divine et qui l'ont encouragé a tenté des coups de poker pendant toute sa "carrière" ...

Et c est pas fini...


1934–1939
Charlottenburger Chaussee, Berlin
Le lieutenant-colonel Noel Mason-Macfarlane, attaché militaire à l’ambassade britannique à Berlin, ne faisait pas confiance à Hitler et bricolait l’idée qu’il pourrait
être rentable d’organiser l’assassinat d’Hitler.
Cela aurait pu être réalisé par un tir de fusil de sniper depuis le salon de Mason-Macfarlane qui surplombait le Chaussée de Charlottenburger
où se trouvait un podium de base de salut d’où Hitler a reçu le salut des forces armées allemandes lors de son défilé d’anniversaire le 20 avril.
Lorsque Mason-Macfarlane proposa ce plan à ses supérieurs, il fut rejeté.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, Lord Halifax, a fait valoir que « nous n’avons pas atteint ce stade ... alors que nous devons utiliser l’assassinat
comme substitut à la diplomatie ».


Le lieutenant-colonel Noel Mason-Macfarlane





1935
Groupe Marwitz
Plusieurs responsables du ministère allemand des Affaires étrangères ont tenté d’inciter à un coup d’État militaire contre Hitler ; ils distribuèrent une lettre affirmant
que « le serment d’allégeance à Hitler a perdu son sens depuis qu’il est prêt à sacrifier l’Allemagne » et que « le moment était venu d’agir ».


1935
Le Dr Paul Joseph Stuermer dirigeait un groupe de résistance composé de plusieurs officiers, professeurs d’université, hommes d’affaires et fonctionnaires.
Le groupe a participé à plusieurs tentatives d’assassinat, dont celle de Beppo Römer.


1936
Helmut Hirsch, un juif allemand et membre du Front noir strassériste, a été chargé de poser deux valises remplies d’explosifs .
Les cibles suggérées étaient le siège du parti nazi et le bureau ou l’imprimerie de Der Stürmer a Nuremberg.
Le 21 décembre, des agents de la Gestapo l’ont arrêté dans sa chambre d’hôtel.
Bien qu’Hitler lui-meme n’ait jamais été la cible du complot, la réponse de Hirsch a donné lieu à des rumeurs publiées dans la presse internationale
selon lesquelles l’assassinat d’Hitler avait été l’objectif de Hirsch.
A son proces,Hirsch a été reconnu coupable et condamné à mort.
Son exécution par décapitation a eu lieu à 6h00 du matin, le 4 juin 1937.





1937
Le 26 novembre 1937, Josef Thomas, malade mental, qui s’était rendu d’Elberfeld à Berlin pour tirer sur Hitler et le commandant de l’armée de l’air Hermann Göring,
a été arrêté par la Gestapo après avoir avoué son intention.


1937
Un homme non identifié en uniforme SS aurait tenté de tuer Hitler lors d’un rassemblement au Sportpalast de Berlin.


28 Septembre 1938
Le major-général Hans Oster et d’autres conservateurs de haut rang de la Wehrmacht élaborèrent un plan pour renverser Hitler s’il déclarait la guerre à la Tchécoslovaquie.
Les forces contrôlées par les comploteurs prendraient d’assaut la chancellerie du Reich, arrêteraient ou assassineraient Hitler, prendraient le contrôle du gouvernement
et rétabliraient l’exilé Guillaume II en tant qu’empereur.
Le plan a été abandonné après que la Grande-Bretagne et la France ont accepté l’annexion allemande des Sudètes dans l’accord de Munich,
neutralisant ainsi le risque immédiat de guerre.

Le major-général Hans Oster




Plus tard, de nombreux conspirateurs prirent part au complot du 20 juillet 1944.
Oster a été arrêté le lendemain de l’échec du complot du 20 juillet visant à assassiner Hitler.
Le 4 avril 1945, les journaux intimes de l’amiral Canaris furent découverts et, furieux en les lisant, Hitler ordonna que tous les conspirateurs actuels et passés,
dont Oster, soient exécutés.
Le 8 avril 1945, Oster, Dietrich Bonhoeffer, Wilhelm Canaris et d’autres antinazis furent reconnus coupables et condamnés à mort par une cour martiale SS présidée
par Otto Thorbeck. Le lendemain, à l’aube, Oster, Bonhoeffer et Canaris sont pendus au camp de concentration de Flossenbürg.

Autant l'un a eu une incroyable succession de coups de bol, autant les autres ont joué de malchance ...

Combien y a t-il eu de tentatives ? 

carbone14 a écrit:

Combien y a t-il eu de tentatives ? 

42,c est indique sur la presentation au debut...

naga a écrit:

carbone14 a écrit:

Combien y a t-il eu de tentatives ? 

42,c est indique sur la presentation au debut...

Oui mais ce que j'ai écris n'était pas vraiment une question. Je savais.

9 novembre 1938
Munich
Maurice Bavaud, étudiant en théologie suisse, s’est fait passer pour un journaliste et a prévu de filmer Hitler depuis la tribune des revues alors qu’il traversait le défilé.
Sa vue sur Hitler a été bloquée par la foule involontaire et il a été contraint d’abandonner le plan.
Il a ensuite tenté de suivre Hitler mais a échoué.
Sur le chemin du retour à Paris, il est découvert par un conducteur de train et remis à la Gestapo.
Bavaud a été exécuté par guillotine à la prison de Plötzensee à Berlin le matin du 14 mai 1941.


Maurice Bavaud





5 octobre 1939
Varsovie
Le général Michał Karaszewicz-Tokarzewski
En Pologne occupée, le 27 septembre 1939, il fonde le mouvement de résistance « Służba Zwycięstwu Polski » (Service de la victoire polonaise)
Avec d’autres membres de l’armée polonaise,il a tenté de faire exploser des explosifs cachés lors du défilé de la victoire d’Hitler à Varsovie.
500 kg de TNT ont été dissimulés dans un fossé, prêts à être déclenchés par les sapeurs polonais.
Cependant, au dernier moment, le défilé a été détourné et les saboteurs ont raté leur cible.


Le général Michał Karaszewicz-Tokarzewski




En mars 1940, alors qu’il franchit la nouvelle frontière germano-soviétique, il est arrêté et emprisonné par le NKVD.
Après avoir été libéré de prison, Tokarzewski est nommé commandant de la 6e division d’infanterie de l’armée polonaise en Union soviétique (armée Anders) en août 1941.
De mars 1943 à 1944, il est commandant en second de l’armée polonaise à l’Est.
En 1944, il devient commandant du 3e corps polonais formé en Égypte.

Après la guerre, il resta en exil en Angleterre et s’installa à Londres. À partir de 1954, il est inspecteur général des forces armées des forces polonaises en exil.
Il meurt le 22 mai 1964 à Casablanca, au Maroc.

8 novembre 1939
Munich
Le charpentier allemand Georg Elser a placé une bombe à retardement dans un pillier au Bürgerbräukeller de Munich, où Hitler devait prononcer son discours annuel
en commémoration du putsch de la brasserie.
Hitler est parti plus tôt que prévu et la bombe a explosé, tuant huit personnes et en blessant soixante-deux autres.
À la suite de cette tentative, Elser a été retenu prisonnier pendant plus de cinq ans jusqu’à ce qu’il soit exécuté au camp de concentration de Dachau,
moins d’un mois avant la capitulation de l’Allemagne nazie.

Degats dans la brasserie




Georg Elser





1939
Berlin
Le diplomate et résistant allemand Erich Kordt a ourdi un complot d’assassinat avec l’officier Hasso von Etzdorf pour poser des explosifs,
mais le plan a été abandonné après que les restrictions de sécurité suite à la tentative de meurtre d’Hitler par Georg Elser aient rendu l’acquisition
et la dissimulation des explosifs nécessaires trop dangereuses.

Erich Kordt




1941-1943 (plusieurs attentats)
Berlin
Beppo Römer, ainsi que plusieurs co-conspirateurs du groupe de résistance Cercle Solf, complotèrent une fois de plus pour assassiner Hitler.
Il obtint des fonds du co-conspirateur Nikolaus von Halem et suivit les mouvements d’Hitler grâce à un contact au commandement de la ville de Berlin.
Cependant, avant qu’une opportunité ne se présente, le complot a été déjoué par la Gestapo.
Römer est condamné à mort le 16 juin 1944 et exécuté le 25 septembre de la même année à la prison de Brandebourg-Görden à Brandebourg-sur-la-Havel.
Von Halem fut également condamné à mort et exécuté par guillotine le 9 octobre 1944.


Nikolaus von Halem

Non seulement ces pauvres gars ratent leur coup, mais en plus finissent généralement bien mal ...

1943
Walki, Ukraine
Le général Hubert Lanz et les généraux Hans Speidel, Hyacinth Graf Strachwitz et Paul Loehning prévoyaient d’arrêter ou de tuer Hitler lors de sa visite au détachement
de l’armée Kempf en Ukraine.
Strachwitz devait encercler Hitler et ses escortes avec ses chars.
Lanz déclara qu’il aurait alors arrêté Hitler et qu’en cas de résistance, les chars de Strachwitz auraient tué tout le groupe.
Hitler a annulé la visite et le plan a été abandonné.
Lanz a raconté ce complot après la guerre.
Cependant, le cousin de Strachwitz, Rudolf Christoph Freiherr von Gersdorff, qui a tenté d’assassiner Hitler en 1943, a déclaré que Strachwitz lui avait exprimé
à plusieurs reprises la conviction que tuer Hitler aurait constitué un meurtre. C’est-à-dire que Strachwitz était trop un officier prussien pour envisager d’assassiner Hitler,
ce qui suggère que le complot n’a jamais existé.


Hubert Lanz





13 Mars 1943
Vol au départ de Smolensk
Lors du vol de retour d’une visite sur le front, Hitler visita le quartier général du groupe d’armées Centre à Smolensk.
Au cours de la visite, il y a eu plusieurs tentatives d’assassinat :

Sous la direction du major Georg von Boeselager, plusieurs officiers devaient intercepter et assassiner Hitler dans un bosquet sur son chemin de l’aéroport
au quartier général. Hitler était gardé par une escorte SS armée ; Le plan a ensuite été abandonné.

À l’heure du déjeuner, Tresckow, Boeselager et d’autres avaient prévu de se lever à une pancarte et de tirer des pistolets sur Hitler.
Le commandant en chef du groupe d’armées, le maréchal Günther von Kluge, était au courant du plan mais décida de ne pas intervenir.
Cependant, le plan a été abandonné lorsqu’il est devenu clair qu’Hitler ne serait pas présent.
Kluge interdit l’attaque, invoquant sa crainte d’une éventuelle guerre civile entre les SS et l’armée.

Dans une dernière tentative, Fabian von Schlabrendorff (adjudant (Ordonnanzoffizier) du colonel Henning von Tresckow en janvier 1941)
a donné une bombe à retardement camouflée sous la forme d’un paquet de deux bouteilles de liqueur à un officier de l’entourage d’Hitler, comme cadeau supposé
à un ami en Allemagne.
La bombe était censée exploser lors du vol de retour au-dessus de la Pologne.
Le colis a été placé dans la soute de l’avion, où il a givré, ce qui a provoqué la défaillance du détonateur.
Se rendant compte de l’échec, Schlabrendorff s’est immédiatement envolé pour l’Allemagne et a récupéré le colis avant qu’il ne soit découvert.


Fabian von Schlabrendorff





21 Mars 1943
Berlin
Après être devenu un ami proche du colonel Henning von Tresckow, le principal conspirateur du groupe d’armées Centre (plus tard major-général),
le Generalmajor Gersdorff accepta de se joindre à la conspiration visant à tuer Hitler afin de sauver l’Allemagne.
Après l’échec du plan élaboré de Tresckow pour assassiner Hitler le 13 mars 1943, Gersdorff se déclara prêt à participer à une tentative d’assassinat
qui entraînerait sa propre mort.

Le 21 mars 1943, Hitler visita le Zeughaus Berlin, l’ancienne armurerie d’Unter den Linden, pour inspecter les armes soviétiques capturées.
Un groupe de hauts responsables nazis et militaires de premier plan – parmi lesquels Hermann Göring, Heinrich Himmler, le maréchal Wilhelm Keitel
et le grand amiral Karl Dönitz – étaient également présents.
En tant qu’expert, Gersdorff devait guider Hitler lors d’une visite de l’exposition.
Quelques instants après l’entrée d’Hitler dans le musée, Gersdorff a déclenché deux mèches retardées de dix minutes sur des engins explosifs cachés dans les poches
de son manteau. Son plan était de se jeter autour d’Hitler dans une étreinte mortelle.
Un plan détaillé pour un coup d’État avait été élaboré et était prêt à être mis en œuvre mais, contrairement aux attentes, Hitler a traversé le musée
en moins de dix minutes. Après qu’Hitler eut quitté le bâtiment, Gersdorff a pu désamorcer les appareils dans des toilettes publiques « à la dernière seconde ».
Après cette tentative, il a été transféré sur le front de l’Est, où il a réussi à échapper aux soupçons.


Rudolf Christoph von Gersdorff

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Avant le complot du 20 juillet 1944, Gersdorff avait également caché les explosifs et les mèches qu’un autre conspirateur, Wessel Freytag von Loringhoven,
avait réussi à obtenir dans la cache d’armes britanniques capturées par l’Abwehr et que Claus Schenk Graf von Stauffenberg devait utiliser dans sa tentative
de tuer Hitler.
Grâce au silence de ses co-conspirateurs emprisonnés et torturés, Gersdorff a pu échapper à l’arrestation et à une exécution certaine.
En conséquence, il a été l’un des rares résistants militaires allemands à survivre à la guerre (d’autres incluent Axel Freiherr von dem Bussche-Streithorst
et Eberhard von Breitenbuch).

je ne suis pas persuadé que s'il avait ét assassiné tout ce serait arrêté, un autre aurait la place "bien chaude". 

Sûr que si, seul lui avait le charisme nécessaire pour galvaniser encore le peuple, du moins jusqu'en 1944.
Sans oublier que la plupart des chefs militaires savaient, dès 1943, que la guerre était perdue de toute façon.
Donc son remplaçant aurait été à l'évidence moins belliqueux, ou plus pragmatique...

Ou un remplaçant bien pire encore. 

Ca n'aurait pas suivi derrière...

16 novembre 1943
L’antre du loup
Encouragé par Claus Stauffenberg, le major Axel von dem Bussche accepte de commettre un attentat-suicide afin de tuer Hitler.
Bussche, qui mesurait plus de deux mètres, était blond et avait les yeux bleus, incarnait « l’idéal nordique » nazi et a donc été choisi pour modeler personnellement
le nouvel uniforme d’hiver de l’armée devant Hitler.
Dans son sac à dos, Bussche a dissimulé une mine terrestre, qu’il prévoyait de faire exploser en embrassant Hitler.
Cependant, la visite a été annulée après que le wagon contenant les nouveaux uniformes a été détruit lors d’un raid aérien allié sur Berlin.



Le major Axel von dem Bussche





Février 1944
L’antre du loup
Ewald von Kleist a tenté un plan similaire à celui de Von dem Bussche.
Cependant, l’inspection de l’uniforme a été une fois de plus reportée, et finalement annulée par Hitler.






11 Mars 1944
Berghof
Le 9 mars 1944, le membre secret de la résistance allemande Busch et ses assistants ont été convoqués pour informer Hitler au Berghof en Bavière le 11 mars.
Lors d’une discussion avec Tresckow, Breitenbuch a refusé de faire une tentative d’attentat-suicide.
Au lieu de cela, il essaierait de tirer sur Hitler à la tête avec un pistolet Browning de 7,65 mm dissimulé dans la poche de son pantalon.
Busch et Breitenbuch ont voyagé à bord d’un avion Condor jusqu’en Bavière et ont été autorisés à entrer dans le Berghof.
Mais les gardes SS avaient reçu l’ordre – plus tôt dans la journée – de ne pas permettre à leurs assistants d’entrer dans la salle de conférence avec Hitler,
empêchant ainsi la tentative de Breitenbuch.

Eberhard von Breitenbuch





20 Juillet 1944
L’antre du loup
Claus von Stauffenberg a tenté de tuer Hitler en faisant exploser un explosif caché dans une mallette, mais a échoué en raison de l’emplacement de la bombe
au moment de la détonation, l’explosion n’infligeant que des blessures mineures à Hitler.


Claus von Stauffenberg




Mussolini et Hitler inspectent les debris de la salle de conférence après lexplosion de la bombe.

carbone14 a écrit:

Ou un remplaçant bien pire encore. 

Hermann Göring n aurait laisse personne lui prendre sa place pour remplacer Hitler.
Il aurait certainement fait un serieux menage chez les officiers superieurs ensuite....

naga a écrit:

carbone14 a écrit:

Ou un remplaçant bien pire encore. 

Hermann Göring n aurait laisse personne lui prendre sa place pour remplacer Hitler.
Il aurait certainement fait un serieux menage chez les officiers superieurs ensuite....

Lui ou un autre, mais il y aurait eu un successeur, au moins une tentative.

C'est où ?

vania a écrit:

C'est où ?

En Allemagne, c'est écrit en allemand mais où ??? Là je sais pas.

AH AH.....
là ou il a commencé son service engagé volontaire:
17e régiment de cavalerie de Bamberg où il est incorporé comme Fahnenjunker , à noter que chaque année il y à une commémoration sous ce porche du moins avant la covid19 !
superbe ville ou j'ai séjourné plusieurs été et que je conseille d'aller.....cordialement

En effet, c'est beau et touristique aussi.

Bemberg donc.
Très "Alsacien" comme ambiance, ou l'inverse...

vania a écrit:

Bemberg donc.
Très "Alsacien" comme ambiance, ou l'inverse...

C'est souvent en Allemagne, particulièrement dans le sud.