Beute Panzer : une demande de Photo ...

Des membres du bataillon « Narwa » (bataillon estonien Narva) à bord d’un char T-34 capturé sur le front de l’Est au Dniepr en novembre 1943.

Bonne prise, mais grosses croix de marquage obligatoires...

KV-1

Pareil.
Avec ce genre de photo, on comprend encore mieux comment le KV 1 a fortement impressionné les allemands en 1941...

Sherman allemand renverse...

Beautepanzer Panzerkampfwagen T-34 747 (r) sortie d une riviere en 1999 en Estonie.

Une vidéo est sortie sur cette récupération.
L'engin avait toutes ses bastos et armes individuelles dedans...

Les principales unités qui ont utilisé des T-34 en service allemand (limitées à environ 20 chars ou plus) étaient les suivantes :

Entre février et août 1943, le SS-Pz.Gren.Div. Das Reich utilisa jusqu’à 27 appareils capturés lors de la troisième bataille de Kharkov et/ou assemblés à l’usine de Kharkov
après la prise de la ville.

"En 1943, grâce à un excellent commandement, à une coordination et à un courage exemplaire, les Allemands ont réussi à reprendre Kharkov,
la deuxième plus grande ville d’Ukraine, qui avait été forcée d’abandonner, à l’armée soviétique.
Après la fin de cette opération de contre-attaque, nom de code « Donetsk », la 2e division Panzer SS « Reich », qui a pris d’assaut la ville de Kharkov,
a été surprise de trouver un grand nombre de chars T-34 qui n’avaient pas encore eu le temps d’être emportés et réparés par les troupes soviétiques.
Ces « cadeaux » de Dieu deviendront également le soutien le plus puissant de la division lors de la bataille de Koursk qui a suivi, et c’est avec ces chars soviétiques
que la division a même joué un as des chars avec un record de 64 véhicules - Emil Seibold , qui est devenu célèbre sur le front de l’Est.
(Seibold a marqué de nombreuses attaques décisives avec un T-34/76 modele 1943 et est devenu l’un des as de chars les plus performants de la division.
Il a reçu l’un des derniers KC de Das Reich après avoir marqué sa 65e victoire).


Emil Seibold (premier à partir de la droite) et son équipage





L’usine de chars de Kharkov No 183 sous occupation allemande est également l’une des usines de chars les plus connues de l’ex-Union soviétique.
Après la victoire lors de la troisième contre-attaque de Kharkov, comme mentionné au début, les Allemands ont trouvé des lots de chars moyens T-34/76
qui n’avaient pas encore été assemblés. Par la suite, les techniciens logistiques de la division blindée « Das Reich » sont venus dans cette usine de locomotives presque
intacte et ont commencé à assembler ces « cadeaux » de l’armée ennemie et à les envoyer sur la ligne de front pour le combat.

Les techniciens de la Division Impériale testent le char T-34 qui vient de sortir de la chaîne de montage.
Une fois le test terminé et confirmé qu’ils ne sont pas endommagés, ces véhicules ennemis seront peints de la Croix allemande
et mis en service dans les régiments blindés de la division "Das Reich".




En 17 jours, près de 750 tonnes de matériaux ont été assemblées, auxquelles ont été consacrées environ 20 000 heures de travail.
La recherche des spécialistes russes de l’usine de chars a été menée simultanément.
La recherche a été menée à bien et environ 15 à 20 spécialistes de la production de chars T-34/76 ont été trouvés et ont pu être mis au travail par les allemands,
y compris une femme specialisee dans la grue d’atelier lourde (portique).

Il a ete recherche sur le champ de bataille,tous les les chars  T-34 en bon état technique pour être transférés avec le groupe d’évacuation du régiment de chars
à l’usine de tracteurs.
Les travaux de réparation ont commencé à partir de la mi-avril 1943.
Sous la devise « de trois, faisons-en un », tous les chars ont été complètement démontés, tous les composants sont passé a une vérification approfondie
et les meilleurs ont été réutilisés.
Les agrégats en particulier ont été vérifiés avec l’équipement radio allemand, les bancs d’essai pour les moteurs (2 ou 3) ont fonctionné aussi bien de jour que de nuit.
Comme les Russes n’équipaient que les chars de commandement de stations radio, tous les chars restaurés étaient équipés de la radio allemande.
Certains chars T-34 ont ete également équipés de tourelles de commandement des chars allemands PzKpfw IV avec des optiques allemandes.
C’étaient probablement les meilleurs T -34/76 qui n ont jamais existe chez les sovietiques!






Les chars moyens T-34/76 qui sont entrés en service dans l’armée allemande avaient leur propre nom allemand - Pzkpfw T-34 747(r).
Les Allemands se sont creusé la tête lorsqu’ils ont réformé ces « monstres blindés » qu’ils étaient sans défense au début de la guerre.
Afin d’améliorer ses défenses, le T-34/76 a été équipé d’une station radio allemande Fu2/5 avec des jupes latérales d’environ 15 mm,
de compartiments de stockage supplémentaires.

Citation :

Ces « cadeaux » de Dieu deviendront également le soutien le plus puissant de la division lors de la bataille de Koursk qui a suivi, et c’est avec ces chars soviétiques que la division a même joué un as des chars avec un record de 64 véhicules - Emil Seibold , qui est devenu célèbre sur le front de l’Est.

Bel hommage rendu aux engins, on ne peut pas vraiment là parler de propagande mais plutôt de faits réels...

La division Brandebourg (forces spéciales allemandes) a créé une compagnie de 27 hommes à la fin de 1943, mais a été forcée de dissoudre l’unité à la fin de février 1944.
Certains des chars T-34 se sont retrouvés avec le Frontaufklärungsverband Jaguar » qui les a utilisés jusqu’en avril 1945
pour des opérations secrètes derrière les lignes soviétiques.


Kommandoverband Jaguar

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il y a eu des situations où leurs propres unités ont été envoyées au combat en uniforme ennemi et avec leur armement.
Parfois, elle a donné des résultats étonnamment bons, mais parfois la tactique du « cheval de Troie » a manqué l’essentiel et n’a pas apporté de succès.
Mais cette façon de se battre a toujours été un grand risque pour ses participants - en cas de capture, ils ne pouvaient compter sur aucun remords...

Les unités de diversion ont été utilisées par les Allemands dans une assez large mesure sur les fronts de l’Est et de l’Ouest.
Les exemples les plus célèbres sont peut-être la Panzer-Brigade 150 et l’unité spéciale « Brandenburg ».
La brigade blindée fondée par le SS-Standarteführer Otto Skorzeny a été utilisée, avec un certain succès, en décembre 1944 dans les Ardennes.
Ses membres utilisaient des équipements alliés capturés ou des machines qualifiées d'« alliées ». Les plus célèbres sont les chars Panther, qui prétendaient être
les M10 Wolverine américains. “Ersatz Panther” .





La Panzer-Brigade 150 n’était destinée qu’à une seule opération, mais l’histoire de l’unité « Brandebourg » était différente.

Il a été formé à la fin des années 1930 à l’initiative du Hauptmann Theodor von Hippel sous les auspices de l’Abwehr.
Ses soldats prennent part aux combats en Pologne en septembre 1939 et combattent lors de la campagne d’Europe occidentale au printemps de l’année suivante.
Plus tard, les « Brandebourgeois » ont combattu dans les Balkans, en URSS et en Afrique du Nord, où ils ont mené de nombreuses actions victorieuses en 1941-1944,
bien qu’ils aient également subi des défaites.
Au fil du temps, l’unité a atteint la taille d’une division et a eu des unités spéciales, y compris des unités blindées.
En 1944, la division est transformée d’abord en Infanterie-Division « Brandenburg » (mot) et à la fin de 1944 en Panzergrenadier-Division « Brandenburg ».
Au cours de cette période, beaucoup de leurs membres ont été transférés à la SS-Jagdeverbände individuelle sous la direction d’Otto Skorzeny.

Si l’histoire des deux unités est bien connue, nous en savons beaucoup moins sur l’histoire du Kommandoverband « Jaguar »
(parfois appelé le Frontafklärungsverband « Jaguar »).
Cette unité spéciale a été créée dans la région de Cracovie à l’été 1944 et a été subordonnée au groupe d’armées Centre et, après sa dissolution,
au groupe d’armées « A ».
Les tâches supposées du « Jaguar » étaient des activités de reconnaissance à l’arrière des troupes soviétiques en utilisant l’équipement et l’armement de l’ennemi.
On peut supposer une activité similaire à celle de la Panzer-Brigade 150 dans les Ardennes.
La différence n’était que d’échelle, officiellement l’unité devait avoir une taille de 120 à 140 personnes.
En pratique, cependant, c’était un peu différent. Selon les informations du lieutenant Eugen Weyde, l’unité se composait d’un état-major, d’un peloton blindé
et d’un peloton de sécurité. Cependant, les chiffres n’ont jamais été complets.

La base de la formation de l’unité était un recrutement de soldats soigneusement préparé.
Tout d’abord, il s’agissait de trouver des gens qui parlaient russe, mais qui connaissaient aussi les réalités communes de l’Armée rouge.
Deuxièmement, il était essentiel que les soldats soient déjà préparés à une méthode de combat de diversion - il n’y avait tout simplement pas de temps
pour un long entraînement. Par conséquent, selon certaines sources, la base de l’unité a été formée par des vétérans de la division « Brandebourg »,
ce qui est tout à fait compréhensible.
En plus des Allemands, des Russes, des Ukrainiens et des Hongrois ont également servi dans le « Jaguar ».
L’unité était armée de chars soviétiques T-34/76 et T-34/85 (Panzerkampfwagen T-34 747(r)), qui provenaient d’unités allemandes utilisant du matériel capturé,
ainsi que de l’usine de réparation de Braunsberg, en Prusse orientale.


Kommandoverband « Jaguar » devant le T-34-747(r) capturé.
Photo probablement de Lamsdorf (Łambinowice). L’attention est attirée sur le nombre de croix peintes sur le char.




Combien de chars le Kommandoverband « Jaguar » avait-il ?
Il est difficile de répondre exactement, mais selon les souvenirs des soldats de cette unité, il s’agissait de quelque chose comme 12 à 14 chars T-34.

L’intention initiale était que les chars équipés du canon de 76 mm ne soient utilisés que pour l’entraînement et que les T-34/85 soient utilisées pour le combat.
Il est difficile de savoir quelle était la pratique, car peu d’informations fiables sur l’armement de l’unité allemande ont été conservées.
Sur la base de plusieurs photographies, on peut conclure qu’il y avait au moins 3 à 4 T-34/85.
C’est assez surprenant, car on pensait que les Allemands ne mettaient pas la main sur autant de machines de ce type.
En plus des chars, l’unité « Jaguar » a utilisé des camions capturées, y compris des camions GMC et Studebaker.

Citation :

L’attention est attirée sur le nombre de croix peintes sur le char.

Tu m'étonnes !...

À l’automne 1944, l’unité se déplaça vers une zone d’entraînement près de la ville silésienne de Lamsdorf (Łambinowice).
Les équipages de chars y étaient formés. Il y avait un camp de prisonniers de guerre (Stalag 344) près du terrain d’entraînement,
et c’est probablement d’ici que l’unité a été réapprovisionnée.
Encore une fois, il n’y a pas de sources fiables pour savoir si c’était vraiment le cas et si les Allemands ont vraiment réussi à recruter des prisonniers de guerre soviétiques
qui auraient été utiles dans des actions à l’arrière de l’Armée rouge.
Mais cela n’est pas à exclure...


Kommandoverband « Jaguar » en T-34/85 avec le numéro 140.
Au premier plan, une arme rarement vue - le MP 40 équipé d’un silencieux.




En décembre 1944, le Kommandoverband « Jaguar » a été affecté à l’unité de reconnaissance Frontafklärungstrupp 213, dont le commandant du « Jaguar »
était un soldat expérimenté et en même temps un personnage très coloré - le lieutenant Eugen Heinrich Simon Weyde (alias Pankoff),
un Allemand né en novembre 1921 à Rostov-sur-le-Don, où il a également vécu pendant un certain temps.

Grâce à cela, il parlait parfaitement le russe et connaissait la vie quotidienne en Union soviétique.
À partir du printemps 1940, il est membre de l’unité spéciale « Brandebourg », avec laquelle il prend part à de nombreuses actions.
En août 1942, il reçoit la Croix de fer de deuxième classe.
De novembre 1941 à septembre 1942, il sert au sein du Frontafklärungstrupp 212, une unité de reconnaissance en profondeur dans la région de Leningrad.
Il a ensuite travaillé comme instructeur à la Kampf und Abwerschule « Quenzgut » pendant plusieurs mois.
Au début du mois de juillet 1943, Weyde est transféré à la Frontafklärungstrupp 203 opérant au sein de la 1ère armée blindée.
En janvier 1944, il reçoit la Croix de fer de première classe pour ses mérites au combat, et enfin en août 1944, il est nommé commandant du Frontafklärungstrupp 213.


T-34/85, qui appartenait probablement au commandant de la Kommandoverband « Jaguar » Lt. Weyde - Lamsdorf (Łambinowice).
Sur la tourelle, vous pouvez voir les restes de l’inscription « Mort aux bolcheviks » - qui a été peinte à la craie ou à la chaux.




Leger camouflage

Kommandoverband « Jaguar » en T-34-85 avec le numéro 140.




Au tournant de 1944/45, une petite unité spéciale sur le T-34 n’a pas pu renverser la situation en Hongrie.
Mais la manière dont il a été déployé a certainement été un succès, même si ce n’est qu’au niveau local.
Les soldats du « Jaguar » ont reçu beaucoup d’informations précieuses sur le pouvoir soviétique dans la région de Székesfehérvár.
L’unité opérait dans une zone relativement petite, mais très « chaude », qui passait de main en main à plusieurs reprises entre décembre 1944 et mars 1945,
et il était difficile de déterminer qui était qui et où se trouvait la ligne de front.
Paradoxalement, cette situation confuse fait le jeu des Allemands.
De plus, le « Jaguar » mène ses actions à la jonction des 2e et 3e fronts ukrainiens, ce qui crée des conditions idéales pour leur anonymat.
Il convient de noter que le Kommandoverband « Jaguar » était parfaitement préparé pour combattre derrière les lignes ennemies
et que ses soldats avaient beaucoup d’expérience de la guerre de diversion.
Leur commandant, dans le rôle d’un capitaine soviétique, était littéralement dans son élément.
Mais il faut aussi admettre que les Allemands ont eu beaucoup de chance. Le lieutenant Weyde était sans aucun doute courageux, mais il osait aussi être insolent.
Non seulement il n’a pas évité les rencontres avec les soldats de l’Armée rouge, mais il les a même recherchés et a obtenu des informations précieuses
lors de « discussions » avec eux.


Le même char T-34/85 (indicatif d’appel « Paula »), les antennes ajoutées des radios allemandes peuvent être clairement reconnues. Hongrie 1944.




Troupe « Jaguar » avec deux T-34/85. Hongrie 1944/45.





En avril 1945, le lieutenant Weyde a reçu la Croix d’or allemande pour ses services en Hongrie.
Weyde a réussi à survivre à la guerre et, après sa fin, il a continué à être actif dans les services de renseignement.
Il a travaillé à l’Office fédéral de protection de la Constitution (Bundesamt für Verfassungsschutz – BfV) – le contre-espionnage civil allemand.
En 1958, il est affecté au Service fédéral de renseignement (Bundesnachrichtendienst), où il atteint le grade de major.
Il était apprécié comme un expert des opérations spéciales.

En 1965, il publie le livre "Trojan Cunning. Théorie et pratique de la guerre non conventionnelle » et décrit les opérations derrière la ligne de front.
Dans ce livre, il a appelé son unité « Jaguar » pendant son séjour en Hongrie en tant que dernier cheval de Troie de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.
Eugen Weyde est décédé le 15 octobre 1966 à l’âge de 45 ans.

L’histoire du Kommandoverband « Jaguar » cache encore de nombreux secrets.
Il y a un manque d’informations sur la formation de l’unité et son armement, ainsi que sur les opérations elles-mêmes.
Les matériaux disponibles sont très modestes et n’aident pas à résoudre tous les doutes.
Peut-être que de nouvelles informations émergeront à l’avenir qui nous rapprocheront encore plus des détails de cette unité inhabituelle.


Source :
Kommandoverband « Jaguar » – Przemysław Skulski (Technika wojskowa 2/2021)
Kommandoverband Jaguar (Batailles Blindes 4/2019)


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Citation :

Eugen Weyde est décédé le 15 octobre 1966 à l’âge de 45 ans.

Pas vieux...

Le 4. (Panzer) Kompanie de la Ski-Jäger-Division était équipé de 22 T-34/76, et à l’origine était le 2. / Panz.Abt. z.b.V. 66.

La I sI Ski-]ager-Brigade, qui a été élargie à la I sI Ski-]iiger-Division au printemps 1944, avait dans chacun de ses deux régiments,
une 9e compagnie,qui a ensuite été rebaptisée d’après l’approvisionnement de la III. bataillon en tant que 13e compagnie,
et a été nommé compagnie Panzerjiiger-Flak.

Ceux-ci contenaient deux pelotons de 2 cm FlaK 38 sur le véhicule semi-chenillé I-ton Sd.Kfz.10/5, deux pelotons de 7,5 cmPaK 40/4 sur Pz.]ager RSO
et un peloton d’escorte d’infanterie.
La 13e compagnie du 2e régime n’avait qu’un peloton de chacun de ces trois types.
L’équipement d’un peloton Pzager tel qu’expliqué par l’ancien chef de compagnie Premier lieutenant Dr. von Cramm était de 3 SP7.5 cm RSO, un vehicule pour les munitions,
un Kubelwagen pour le commandant de peloton et 1 Kettenkrad (Cette compagnie disposait d’un autre véhicule de construction de fortune, appelé « Gazelle »,
Le. un 4,7 cm PaK(r) sur une construction de 1 tonne de moteur Sd.Kfz. 10).


Bataillon de ski Schwere 1 :
1. kp : Marder
2.Kp : Grille
3.Kp : AA half-track
4.Kp : T-34/76 et 85

Et la compagnie 13 de chaque régiment avait six Pak -40 sur RSO et trois 4,7 cm sur sd.kfz10





Par conséquent, le nombre total de RSO SP dans ces deux unites était de 9.
Au moins un SP RSO du 9th / 1 sI Ski-}iiger-Regiment (commandant Obltn. Freiherr von Cramm) a survécu aux dures batailles de cette unité
et au retrait des marais de Pripet jusqu’à Oberschlesien en 1945.
Son commandant,l’Oberjiiger Helmut Kramm, décrit le retrait de G. Gunter et les derniers jours de son unité en avril et mai 1945.

-

T-34/76 du 4. (Panzer) Kompanie schweres Ski-Batallion 1 - 1944





Au 1er Janvier 1945.
4/schw. Ski-Btl 1,est compose de 4 chars T-34/76 et 5 chars T-34/85.

Beute Panzerkampfwagen T-34-85(r) de la 1ère division Ski Jager.
Le signe de division est visible sur le camion devant le char au 9 mai 1945.





Source
feldgrau.net

Curieuse unité...

Dans toute les unites qui ont eu des T-34 Beute,les chiffres de 22 chars jusqu a 29 sont en fait plus en moins en bon etat.
On peut penser qu il fallait 3 chars T-34 pour en faire un correct pour le combat- fuel et munitions compris.
Donc sur 29 chars seulement 9 sont oprationnels d apres la documentation.


T-34/76 Modele 1941 capture - Patins de chenille sur la tourelle




Le marquage de grande croix allemande sur la tourelle n offre pas une protection certaines contre des tirs amis...loin de la...
Surtout en ce qui concerne l aviation allemande qui regarde le profil du char plus que le marquage qui est bien souvent
peu visible du ciel a cause de la vitesse,de la meteo,de l eblouissement des pilotes lorsque le ciel est tres ensolleille...
Idem pour les chars et canons antichars allemands

Pour ce qui est des sovietiques,ils se faisaient avoir quand le T-34 Beute arrivait de face pensant qu un des leur revenait a la maison en retard....

En 1941-1943, l’armée allemande captura un nombre important de T-34/76.
Selon la numérotation des véhicules capturés par la Wehrmacht, le trente-quatre était indexé Pz.Kpfw.747 T-34(r).




Les modifications de différentes années dans la documentation officielle allemande portaient les désignations suivantes :
A (1940), B (1941), C (1942), D / E / F (1943).
Le T-34(r) Ausf D (en fait le T-34 Model 42) était surnommé « Mickey Mouse », deux trappes d’atterrissage rondes dans la tourelle lorsqu’elles étaient ouvertes.






À l’été 1941, les premiers chars T-34(r) capturés entrèrent dans les 1re, 8e et 11e divisions de chars.
Mais le ils n’ont pas osé les utiliser en première ligne - les artilleurs étaient guidés principalement par la silhouette du char, et non par les marques d’identification,
qui pouvaient conduire au bombardement du T-34(r) par leur propre artillerie ou chars.





À l’avenir, afin d’éviter de tels cas, de grandes marques d’identification ou une croix gammée ont été appliquées sur les côtés et le couvercle du compartiment moteur
du châssis, les parois et le toit de la tourelle.
Il était également courant d’utiliser le T-34(r) dans les formations de combat des unités d’infanterie, ce qui éliminait le risque que le char soit attaqué
par sa propre artillerie.

Les gars ont tous un sourire mitigé, pas convainquant...

Au total, environ 300 T-34/76 ont été utilisés dans la Wehrmacht et la Waffen-SS, à la fois dans des unités de combat et d’occupation.
On peut citer :
le 1er régiment de chars de la 1ère division de chars (le 15 octobre 1941 - 6 T-34),
la 2e SS Panzer division ,
le 33e régiment de panzer
la 9e Panzer division,
le 7e régiment de panzer,
la 10e Panzer division ,
la 11e Panzer division ,
le 21e régiment de panzer,
la 20e Panzer division ,
la 23e Panzer division .

Formé en mai 1942, le Pz.Abt.zBV.66, destiné à l’invasion de Malte, reçut des chars KV-1, KV-2 et T-34 capturés dans le cadre de la 2e compagnie.
Après la dissolution du bataillon, les T-34 ont été transférés à la 1st Ski Jager Division, qui a combattu dans le cadre du groupe d’armées Center.


Char T-34/76 en service allemand dans la Wehrmacht (4. (Panzer) Kompanie schw. Bataillon de ski 1)




Les forces chars d’élite du Reich n’ont pas non plus dédaigné les trente-quatre capturés.
Le régiment de chars Grobdeutschland a utilisé le T-34(r) jusqu’en 1945.

Après les batailles pour Kharkov au printemps 1943 (contre-offensive de Manstein près de Kharkov), le 2e corps de Panzer SS captura environ 50 T-34 des modèles 41-42,
25 chars furent reçus par la 2e Panzerdivision SS das Reich, 22 - par la 3e Panzerdivision SS Totenkopf.

À l’été 1943, le T-34(r) a été utilisé principalement dans les unités de chasseurs de chars.
Dans le 3e bataillon de chasseurs de chars de la division de chars SS Reich (3 Panzer Jager Abteilung) - 25 chars.
Selon le rapport, le 4 juillet, le SS Reich TD disposait de 18 T-34(r) en état de service et 9 étaient en réparation, et le SS Totenkopf avait 22 véhicules.

Une Wehrmacht qui a toujours fait flèche de tout bois, qui plus est quand il s'agit de bons matériels...
Curieuse avant-dernière photo.

vania a écrit:

Une Wehrmacht qui a toujours fait flèche de tout bois, qui plus est quand il s'agit de bons matériels...
Curieuse avant-dernière photo.

Oups,boulette a la copie...les abrams n existant pas a l epoque

Pendant la bataille de Koursk, en plus des troupes SS, le 11e régiment de chars de la 6e division de chars disposait de 4 chars T-34(r) le 10 juillet,
et de plusieurs chars du 128e bataillon de chasseurs de chars (128 Pz.Jg.Abt) de la 23e division de chars.
Au total, selon le rapport de l’OKH, en juillet 1943, 22 chars T-34(r) ont été utilisés dans le groupe d’armées Centre, et 28 dans la GrA Sud.






Dans la 23e Panzerdivision, trente-quatre chars capturés ont été utilisés jusqu’à la fin de la guerre, en Slovaquie et en Prusse orientale,
à l’été 1943, plusieurs T-34(r) avaient des équipages italiens, en septembre 1943, 24 chars faisant partie de la brigade Mieczysław Kaminsky ont été utilisés en Biélorussie
pour combattre les partisans.
À la fin de 1943, la compagnie T-34/76 fait partie de la ROA du général Vlasov.

Un certain nombre de trente-quatre avec un châssis ou une transmission considérablement endommagés ont été installés sur les plates-formes de trains blindés
comme supports d’artillerie, par exemple, sur les trains Michael et Blücher.
Certains chars avec des tourelles retirées ont été utilisés comme tracteurs d’artillerie, munitions et transporteurs de munitions, ou ARV.

Dans les batailles de 1944-45, l’armée allemande a capturé un petit nombre de T-34/85.
Au cours des batailles acharnées près de Varsovie, la 5e Panzerdivision SS Wiking a réussi à capturer plusieurs chars et à les utiliser contre l’Armée rouge.
La 252e division d’infanterie captura un T-34/85 lors des combats en Prusse orientale et l’adopta.






Au printemps 1945, la 5e brigade de chars de la Garde (18e armée tchécoslovaque) reprend le T-34/85 aux Allemands.
À cette époque, la brigade était armée de chars moyens T-34/76 modèle 43, de T-70 légers et captura le Toldi hongrois.
Le « Twice Trophy » est devenu le premier T-34 avec un canon de 85 mm dans la brigade.

Officiellement, en décembre 1944, 39 T-34(r) ont été utilisés dans les unités de combat de la Wehrmacht, dont 29 dans la 1ère division Ski Jäger, en janvier 1945
- 49 T-34(r) et T-34(r)/85.

Comment les Allemands ont-ils eu le gasoil nécessaire ?
On sait que Tiger et Panther ont été motorisés à l'essence, car le Reich avait des difficultés à fabriquer du gasoil, faute d'approvisionnements suffisants en pétrole brut...