Raciste ?

Posons nous des questions, encore 1 mort (ça fait 2 de suite) dans le 9-3. Des jeunes de 14 ans !  Rixes etc... Il y a les prénoms (style Rachid) mais jamais les noms, logique. Que font des trop jeunes à trainer partout, que font le parents. Eh bien les parents : ils manifestent !
Par contre voyez la photo, on n'y voit qu'une blanche, une blonde.

Les japonais dans toutes leurs contradictions
C est quand meme degueulasse pour cette femme qui a ete naturalise en 2022,parlant parfaitement le japonais et a un beau-pere nippon....
qu est ce qu il faut de plus ????
En plus,elle a ete choisie par le public...


Harcelée, Miss Japon rend sa couronne
D’abord critiquée en raison de ses origines ukrainiennes, Carolina Shiino a démissionné après des révélations sur sa relation avec un homme marié.
Une «victoire» pour la presse à scandales, très puissante dans l’archipel.









Attaquée sur ses origines (elle est née de parents ukrainiens), Carolina Shiino a fini par renoncer à son titre de Miss Japon pour une autre raison :
la révélation par un magazine qu’elle entretenait une relation sentimentale avec un homme marié. Ce qu’elle a confirmé.
Sitôt élue, le 22 janvier, la mannequin de 26 ans avait fait l’objet de nombreux commentaires qui lui reprochaient de ne «pas être assez japonaise».
Beaucoup d’attaques étaient anonymes mais certaines émanaient de personnalités comme la dessinatrice de mangas Mayumi Kurata, qui avait réagi sur X :
«Carolina Shiino est très belle […] mais sa beauté ne représente pas le peuple japonais.»

Miss Japon avait répondu, dans un parfait japonais, que vivant dans l’archipel depuis l’âge de 5 ans et le remariage de sa mère avec un citoyen nippon (dont elle porte le nom),
elle avait adopté la mentalité et les valeurs du pays. «Je me sens japonaise, c’est un fait, personne n’a le droit d’affirmer le contraire», avait-elle plaidé
dans une interview au journal The Japan Times.

Alors que la polémique s’éteignait et qu’une partie de l’opinion avait pris fait et cause pour la jeune femme, une nouvelle attaque est venue le 31 janvier
de l’hebdomadaire Shukan Bunshun, spécialisé dans les scandales.
Le tabloïd indiquait assuré que Carolina Shiino entretenait une liaison avec un médecin marié.
Le comité Miss Japon avait défendu sa reine de beauté en affirmant qu’elle ignorait le statut marital de son compagnon, avant que l‘intéressée ne confirme le scoop.
«Je me suis tue, car j’étais dans un état de confusion et de peur», a-t-elle expliqué.

Lundi, l’organisation a annoncé que Miss Japon avait renoncé à son diadème, et précisé qu’aucune remplaçante ne serait nommée.
Désigner à sa place sa première dauphine aurait en effet donné raison aux xénophobes.
Le titre restera donc vacant en 2024, et l’archipel ne sera pas représenté dans les concours internationaux, dont le plus médiatique, Miss Univers, programmé pour la fin de l’année.





L’affaire illustre la toute-puissance du Shukan Shunbun, populairement appelé le «canon Shunbun» car il tire à boulets rouges sur ses cibles, personnalités politiques
ou célébrités du spectacle. Carolina Shiino rejoint un tableau de chasse bien garni, où figurent l’humoriste Ken Watabe, stigmatisé pour ses infidélités,
ou le girls band Onyako Club, contraint à la dissolution après la publication d’une photo où plusieurs membres du groupe avaient une cigarette aux lèvres.

L’addiction d’un procureur aux cercles de jeux clandestins ou la lettre laissée par un haut fonctionnaire des Finances avant son suicide ont alimenté la très rentable machine,
peut-on lire sur le site nipppon.com.
Selon une méthode bien rodée, le Shukan Shunbun publie ses révélations chaque jeudi, mais en offre la primeur la veille sur son site, en accès payant.
Un article «croustillant» peut ainsi rapporter en une journée des centaines de millions de yens (1 000 yens représentent 6,28 euros).


source
liberation.fr

La pauvre, mauvais pays, mauvais endroit et mauvaise élection en plus "mauvaise vie privée". Personnellement je vois rien de mal mais les gens sont souvent idiots. jalousie peut-être.

Surya Bonaly : que devient la patineuse artistique privée d'une médaille d'or en 1994 ?




Surya Bonaly a marqué l'histoire du sport français, avec ses performances exceptionnelles en patinage artistique.
Que devient celle qui estime que c'est le racisme dans le patinage qui l'a privée d'un titre de championne du monde ?

Yannick Noah, Soprano, le comédien et réalisateur Jean-Pascal Zadi, mais aussi Laetitia Hélouet, directrice générale des Hautes études internationales et politiques...
plusieurs personnalités se sont succédé pour raconter leur quotidien dans le documentaire Noirs en France.
Un passage de cette production a particulièrement ému les internautes puisqu'il s'attardait sur le destin de la patineuse Surya Bonaly, invraisemblablement privée
de la médaille d'or aux championnats du monde de Chiba au Japon en 1994.

Surya Bonaly avait d'abord refusé la médaille d'argent, humiliée par cette deuxième place, alors même qu'elle s'était montrée en tous points techniquement supérieure
à sa rivale Yuka Sato. Maboula Soumahoro, Maître de conférences à l'université de Tours, racontait ce qui avait été un tournant dans la carrière de la toute jeune fille :
"Elle comprend qu'elle ne pourra pas gagner avec les règles actuelles (...) en tant que corps noir féminin, c'est pas elle, ça ne peut pas être elle, quoi qu'elle fasse. "

Née le 15 décembre 1973 à Nice (Alpes-Maritimes), Surya Bonaly a été adoptée. Ses parents sont Suzanne et Georges Bonaly, qui ne pouvaient avoir d'enfants naturellement.
Tous deux avaient d'abord prévu de recueillir un enfant venu d'Inde. Mais un coup de fil de l'orphelinat de Nice, leur annonce qu'ils peuvent adopter la petite fille
alors âgée de huit mois, dont la mère biologique est originaire de La Réunion et le père de la Côte d'Ivoire.
Tous deux acceptent et décident alors de lui donner le nom Surya qui signifie "Soleil" en hindi.
C'est sa mère qui lui transmet la passion du sport, elle qui a pratiqué de nombreuses activités.
Suzanne a en parallèle été professeure de sport au collège Paul-Langevin à Carros, avant d'intégrer le collège Albert-Schweitzer de Créteil.

C'est également sa mère qui lui transmet la passion du patinage artistique, pratique qu'elle lui fait découvrir pour la première fois à l'âge de 3 ans.
Jusqu'à ses 12 ans, Surya Bonaly grandit dans l'arrière-pays niçois, surprotégée par sa mère, qui lui dispense les cours à la maison.
En 1985, la famille Bonaly déménage à Champigny-sur-Marne, en banlieue parisienne, et rencontre l’entraîneur Didier Gailhaguet, qui permet à la jeune femme
de faire décoller sa carrière. En 1991, elle devient championne du monde junior pour la première fois.

Depuis plusieurs années, Surya Bonaly vit une belle histoire d'amour avec Peter Biver, qui est coach de patinage artistique, tout comme elle.
Il était tout naturellement à ses côtés en décembre 2019, lorsqu'elle a été décorée de l'insigne de chevalier dans l'Ordre de la Légion d'honneur.
Celle qui a décroché neuf titres de championne de France, cinq de championne d'Europe et quatre médailles d'argent en championnat du monde a été honorée
pour l'ensemble de sa carrière, après les nombreuses injustices vécues au cours de son ascension dans le patinage artistique.

Où vit Surya Bonaly aujourd'hui ?
Aujourd'hui âgée de 50 ans, Surya Bonaly n'a pas renoncé au patinage puisqu'elle est désormais coach.
Elle participe également à de nombreux galas à travers le monde. Elle a revanche arrêté les compétitions depuis 1998 et vit maintenant à Las Vegas.
Elle a d'ailleurs pris la nationalité américaine.

Le 15 novembre 2022, il a été annoncé que la réalisatrice Audrey Estrougo allait réaliser un biopic tiré de sa vie.
Son parcours incroyable lui a aussi valu l’intérêt de Netflix, qui a sorti un documentaire sur la beauté de l’échec des champions, intitulé Losers.
Une revanche pour cette patineuse qui n'a pas connu le destin qu'elle méritait.






source
actu.voici.fr


C est sur qu a l epoque les jury etait compose essentielement de blancs...

Racisme dans le patinage artistique
Dans une interview accordée à la BBC, lorsqu’on lui a demandé si elle avait déjà eu l’impression que les choses étaient plus difficiles pour elle
en tant que l’une des premières patineuses artistiques noires, Bonaly a répondu :
« C’était un mélange de tellement de choses. D’abord, parce que j’étais noir, c’est sûr, et que je n’essayais pas de copier qui que ce soit.
Deuxièmement, parce que je viens d’un petit pays. Troisièmement, parce que j’ai eu une coiffure et un look différents et aussi parce que ma mère a fabriqué mes costumes
de patinage pendant tant d’années.
Toutes ces choses réunies étaient tout simplement trop difficiles à gérer pour certaines personnes.

Dans une interview avec The Root, Bonaly a déclaré : « ... La race est importante, c’est sûr, parce que je sais que si j’avais été blanche, j’aurais eu plus de contrats [de sponsoring]
et j’aurais été plus riche.

Bonaly s’est penché sur la question lors d’une interview accordée à Mathieu Méranville pour son livre Sport, malédiction des Noirs ? (2007) :

« Il n’y a pas beaucoup de patineurs artistiques noirs dans le monde.
En France, ça commence à aller mieux. Si j’avais été blanche, j’aurais été médaillé d’or il y a longtemps.
Ma devise était de me dire qu’il y avait cet obstacle mais qu’il fallait que j’aille au-delà et que je travaille plus parce que je savais que ce serait plus difficile pour moi.
Je me suis dit que si mon rival faisait cinq triples, je devais en faire sept. J’ai essayé de ne pas penser à la race, même si c’était une réalité.
Mais quelle a été l’influence de la race sur mes notes ? Deux pour cent ? Plus? Je ne sais pas.
Si j’avais eu la peau claire, cela aurait probablement été plus facile. J’ai préféré être philosophe à ce sujet, car j’évoluais avec des parents blancs.


source
en.wikipedia.org

Je comprends parfaitement le malaise des Japs devant leur "miss Ukro-Jap".
Dès la mesure où on juge surtout par le physique, à l'évidence elle fait "hors cadre"...

Hier aux infos françaises :
Cérémonie sur les 40 israélo-français morts par les terroristes, lâchement assassinés !!!!!!!!
Il a été dit que c'est le pire crime antisémite de ce siècle.
Par contre parlons de vrai racisme : rien sur les 25.000 morts lâchement assassinés par les juifs !
Cherchez l'erreur.
40 contre 25.000

On est qu au debut du 21e siecle,des massacres d ampleur il y en aura d autres....
J ai lu qu en ce moment,il y a avait 79 guerres en cours dans le monde...

Pas très sympa

Miss Allemagne 2024 ...une iranienne de 39 ans

Samedi 24 février 2024 avait lieu le concours de Miss Germany.
C’est Aparneh Schönauer, une vieille Allemande d’origine iranienne de 39 ans, qui a gagné.
Cependant, elle n’est pas très jolie, donc la beauté n’as pas été le seul critère de sélection.
Quelle peut bien être cette autre chose qui permet à une brune quelconque, au pays des jolies blondes, de rafler la mise ?






Le mot d’ordre : tout sauf une blonde !
Ben c’est l’antiracisme, qui fait partie de la panoplie woke, à quoi on peut ajouter l’occidentisme, pour reprendre l’expression de Zinoviev
(et pas Zinonev, le coreligionnaire de Kamenev lors des procès de Moscou).

L’occidentisme consiste à manifester un penchant – ou une préférence – pour l’Occident par rapport au reste du monde, surtout contre l’axe du mal, défini il y a 20 ans
par cet abruti de fils Bush. Et dedans, à côté de la Corée du Nord, de la Chine et de la Russie, figure le pays des mollahs, qui a bouté le Yankee hors de chez lui (et de son pétrole).

Les bons pays sont, par ordre d’importance : les USA, la perfide Albion, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Ce sont les fameux Five eyes qui se sont ligués, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, pour surveiller le monde communiste, et aujourd’hui le monde non aligné.

La gagnante du concours des miss a donc bénéficié du double avantage antiraciste et occidentiste.
Elle est passée devant de vrais canons.
Malheureusement, aujourd’hui, la blondeur renvoie trop aux années hitlériennes (1933-1945), avec les superméchants SS, les tresses dorées, le Lebensborn,
les pondeuses de futurs guerriers pour 1000 ans, tout ça...

En fait, pour qui connaît un peu l’Allemagne, il y avait déjà des brunes, et de très jolies (comme au Danemark), avant l’invasion moyen-orientale des années 2015-2020,
quand des millions d’Irakiens et de Syriens ont fui la guerre (occidentale) contre la Syrie, pour venir bosser en Allemagne.
Le pays de Merkel en a alors accueilli plusieurs millions, c’est pas une paille.
Avant cela, il y a bien sûr eu les Turcs. Le Rassenschande n’ayant plus lieu d’être, des mélanges ont changé un peu la physionomie du pays.

L’Iranienne élue n’est évidemment pas une pro-Khomeiny, elle est là pour envoyer un message de liberté aux Iraniennes de là-bas,
qui ne peuvent pas être libres ni heureuses puisque BHL et Glucksmann l’ont décrété.

À ce propos, pourquoi BHL, Hanouna et compagnie se choisissent toujours des blondes, et pas des Iraniennes ?
Les blondes, c’est bon pour l’oligarchie, et les brunes pour le populo ?

"L'Allemagne c'est une race, la France une culture" disait un responsable politique, et pas forcément de droite.
C'était vrai jusqu'en 2015 en effet.

vania a écrit:

"L'Allemagne c'est une race, la France une culture" disait un responsable politique, et pas forcément de droite.
C'était vrai jusqu'en 2015 en effet.

Oui mais là on ferait mieux de devenir une race. Virer Macron et ses migrants, par exemple en Ukraine. Tu parles d'une culture, la France ! Même pas capable de planter de stomates françaises, faut acheter ailleurs ! S'il y en a on les refuse ! C'est vrai que le poulet ukrainien est à la mode. Juste mortel. Mauvais jeu de mot ?

Euh...Beziers c est en Afrique ?

Oui, le pays a glissé.

Decidement ,la France est devenue un pays d afrique noire...

Au début du mois de février, on apprenait qu’Aya Nakamura était sacrée artiste féminine de l’année 2024 dans le cadre des Victoires de la musique.
Il apparaît qu’en effet, grâce à elle, la France rayonne partout dans le monde.





Rayonner n’est pas trop fort puisqu’on parle ici d’une artiste dont on nous explique qu’elle est l’artiste francophone la plus écoutée de la planète,
et qui permet donc à toute la francophonie de découvrir un nouveau vocabulaire porté en rythme (qui ne manque pas) par une mélodie particulièrement épurée
et un ou deux couples d’accords pour une harmonie tout à fait symbolique.

La performance est intéressante, en ce qu’elle contraste assez fortement avec les références d’antan, et parce qu’elle permet de fixer les idées sur une tendance générale
qu’on pouvait déjà appréhender avec les artistes des années précédentes : pas de doute, la médiocrité s’installe confortablement dans le pays,
tous les jours un peu plus et dans de nouveaux domaines.

Est-ce vraiment utile de revenir sur la trajectoire globale du cinéma français qui, ces cinquante dernières années, est passé de succès autant intellectuels que populaires
à cette avalanche de blobs insipides ou parfaitement nuls dont les scénarios semblent écrits à la chaîne par un algorithme cochant toutes les cases
de la bien-pensance officielle ?


Paris tiers-monde...

Au passage et puisqu’on évoque ces manifestations douteuses sponsorisées par Riposte Alimentaire, notons que cette association est (pas assez discrètement)
hébergée par la Mairie de Paris. Eh oui : le contribuable parisien, sans le vouloir ni le savoir, participe aux exactions culinaires de ces écervelées.

Doit-on s’étonner que des sagouins au potage agressif bénéficient des indulgences de l’équipe municipale qui aura enlaidi la capitale française
comme jamais auparavant ?
Probablement pas : depuis l’arrivée d’Annie Dingo à la mairie de Paris, la ville peut s’enorgueillir d’avoir exploré à peu près tout le champ des possibles
en matière de travaux inachevés, d’art de rue moche, d’idées dégueulasses et de sabotages créatifs maintenant amplement documentés sur des sites
comme SaccageParis qui permettent de mesurer, très concrètement, l’ampleur de l’extension actuelle de la médiocrité dans la capitale.





Cette médiocrité aura d’ailleurs l’occasion de s’exprimer avec toute sa sirupeuse insistance pendant les Jeux Olympiques (s’ils ont lieu) dont on devine
qu’ils vont être saupoudrés d’improvisations et de bricolages probablement honteux.
Et avant ces Jeux, on la retrouve dans la gestion catastrophique de la ville lumière, maintenant envahie par les rats et dont l’emblême même, la Tour Eiffel,
subit d’inquiétants préjudices : il apparaît que la dernière campagne de peinture de l’édifice, destinée à le protéger de la corrosion et qui avait été annoncée courant 2017
pour 2018, n’a toujours pas commencé six ans plus tard.


source
h16free.com

Je pense pas qu'Hidalgo va réussir les JO comme elle le voudrait. Saleté partout et pour le moment il reste encore à faire. J'ai rien contre la petite black (tout contre même) sauf qu'il en faut pour tout le monde, calmement serait mieux, là on inverse un peu trop la vapeur rapidement.

Citation :

Et avant ces Jeux, on la retrouve dans la gestion catastrophique de la ville lumière, maintenant envahie par les rats et dont l’emblême même, la Tour Eiffel,

Ridicule discrimination positive.
Quant à Paris, j'y étais mardi dernier, près des Invalides c'est dégueu.

vania a écrit:

Citation :

Et avant ces Jeux, on la retrouve dans la gestion catastrophique de la ville lumière, maintenant envahie par les rats et dont l’emblême même, la Tour Eiffel,

Ridicule discrimination positive.
Quant à Paris, j'y étais mardi dernier, près des Invalides c'est dégueu.

Quelle idée d'aller trainer dans des endroits aussi dégueu ! Tu sais qu'il y a plus propre en France ? Paris ! Du grand n'importe quoi. prends un égout en sortie de ville c'est mieux.

Aya Nakamura au JO : est-on raciste si on n’aime pas ?

@saxeliebig
"Aujourd'hui tout est stigmatisé, on ne peut plus parler de rien sans que ce soit jugé à l'aune des origines ethniques !"

Mon Dieu,il y a des blancs qui se rebiffent....

photo net


Reponse de la concernee (fots d ortograf comprises)

Aya Nakamura
@AyaNakamuraa
Vous pouvez être raciste mais pas sourd 🧏.. C’est sa qui vous fait mal ! Je deviens un sujet d’état numéro 1 en débats ect mais je vous dois quoi en vrai ? Kedal


En vérité, si Aya était blanche, comme dirait Aurélien Marq (disciple de Causeur) sur X :

« Si Aya Nakamura était Blanche, tout le monde reconnaîtrait volontiers que ses textes sont d’une pauvreté affligeante, et qu’elle se ridiculise à force d’accumuler les fautes
dans ses tweets. Mais là, ce constat factuel devient une affaire d’état. C’est le privilège Noir. »


Source : E&R

Si elle était blanche, oui si ! mais elle ne l'est pas. Je suis pas certain qu'elle ait aussi l'envergure pour le "boulot" qu'on lui propose.
Bref c'est une macronisation toujours et encore.

La honte...
En ce moment, le Ramadan.
Provocation et communautarisme décomplexés.

vania a écrit:

La honte...
En ce moment, le Ramadan.
Provocation et communautarisme décomplexés.

Il serait temps de dénoncer ce racisme !  Il fut un temps où c'était l'inverse, on a rectifié mais là ça bascule fortement de l'autre coté, pourquoi ?

Blackfaces...

Lors du carnaval à l’institution Sainte-Céline de la Ferté-sous-Jouarre, trois élèves se sont déguisés en « noirs avec de longues robes et des lances en bois ».
C’était le 7 mars. L’affaire sort tout à coup dans les gazettes.
Comme la direction de cet établissement catholique n’a pas bougé, l’académie de Créteil a saisi le procureur.
Et c’est la ministre de l’Education nationale elle-même qui a demandé à la « rectrice » de « faire immédiatement toute la lumière sur cette affaire et de prendre,
sans délai, toutes les mesures nécessaires ».

Et l’organisation ouvertement raciste intitulée Conseil représentatif des associations noires a porté plainte.

Les gazettes en rajoutent, certaines allant jusqu’à mettre dans le titre que ces affreux racistes « poussaient des cris de singe », parce qu’un élève, un seul, l’a dit
(parce qu’il regarde trop de matches de foot, sans doute), alors que c’est vigoureusement démenti par les autres (et par le diocèse et par le maire),
et démenti par l’attitude des « coupables » qui voulaient rendre « hommage aux guerriers Massaï ».






...............



Depuis 150 ans, à Bruxelles, les « Noirauds » faisaient une collecte pour les enfants défavorisés pendant le carême.
Elle est désormais interdite. « S’ils veulent venir, qu’ils changent de maquillage », dit le maire. Tant pis pour les enfants.






source
yvesdaoudal.hautetfort.com