Y a t il des neo-nazi en Ukraine?

Va ensuite falloir démêler tout ça pour l'Histoire, bon courage à ceux qui vont s'y coller !...

vania a écrit:

Va ensuite falloir démêler tout ça pour l'Histoire, bon courage à ceux qui vont s'y coller !...

Inventer une histoire et mettre la réalité sous scellé durant plusieurs dizaines d'années, voilà !

naga a écrit:

Cause a effet...ca fini pas se savoir!
Explication bidon,l occident essait de cacher la boulette...

La photo de cette fillette armée, sucette dans la bouche fait le tour des réseaux, mais...

Dans l’encadrure d’une fenêtre d’une maison délabrée, une fillette avec des rubans bleus et jaunes -les couleurs de l’Ukraine-, une sucette dans la bouche, tient dans la main une arme. L’image, devenue virale, étonne et choc. Elle a notamment été retweetée par l’ex-président polonais du Conseil européen Donald Tusk.

Dans un texte publié ce dimanche 13 mars sur Facebook, le photographe est revenu sur l’histoire de cette photo.
L’auteur du cliché, Oleksii Kyrychenko, n’est autre que le père de la petite fille. Ingénieur dans une entreprise de Kiev avant l’invasion russe de l’Ukraine,
qui a débuté le 24 février, il est également passionné de photographie.





Il a pris la photo, mise en scène donc, le 22 février, alors que la tension ne cessait de monter “durant les semaines qui ont précédé la guerre”. “
Les renseignements des pays occidentaux nous avaient dit que la guerre était inévitable, mais ça ne nous semblait pas croyable, explique le père de trois enfants.
Dans le même temps, les Occidentaux ont fait part de leur “inquiétude” mais n’ont imposé aucune sanction à la Russie.

L’image de sa fille de 9 ans, qui pose comme si elle surveillait les alentours, fait partie d’une série de photos dont la première a été publiée dès le 22 février,
après avoir décidé “de faire des photos pour attirer l’attention sur la possible guerre”.

Oleksii Kyrychenko voulait montrer “ce à quoi pourrait ressembler l’Ukraine dans un futur proche”. “
C’est une photo de ma fille avec une sucette et une arme dans un immeuble abandonné”, explique l’homme, qui insiste sur le fait que son enfant ne sait pas utiliser des armes. “
Bien sûr, l’arme [qui appartient à Oleksii Kyrychenko] n’était pas chargée durant la séance photo”.





D’après son témoignage, la photo, qui est devenue virale depuis la guerre, a été interdite de quasiment tous les groupes Facebook dans lesquels il l’a postée,
notamment ceux dont les administrateurs étaient russes. Dans d’autres, c’est parce que l’image d’une fillette armée a choqué.
Faux-elle est visite sur son facebook aujourd hui!-


Après le début de la guerre, “j’ai publié la photo dans un groupe Facebook ukrainien de passionnés de cactus”, raconte Oleksii Kyrychenko.
“Et tout à coup, elle a fait le tour du monde et est devenue un mème.”
Le père de famille remercie également dans sa publication Facebook, Donald Tusk qui a partagé le cliché le 11 mars dernier.
Il note également que la réception de la photo de sa fille armée a changé, “le monde ayant vu le vrai visage de l’invasion russe”.


source
huffingtonpost.fr

Les vilains agresseurs contre les gentils opprimés, en fait on voit peu à peu que la situation est bien plus complexe...

Image seulement : elle tirera jamais, le recul de l'arme la fera tomber et elle recommencera jamais. Si déjà elle se luxe pas une épaule. Du 12 ça pousse.
A 9 ans ça marche pas.
Photo "connerie" pour amuser la galerie.
Tires donc avec un revolver de calibre 500 mag pour la première fois, on verra ta main.

C est bien ce que l on pensait! Salaud!      

14 mars 2022
BHL, qui se trouve à Odessa avec Maksim Martchenko, extrémiste notoire, ancien commandant du bataillon  Aidar ?
En tout cas,les combattants a brassard bleu,c est le Regiment Azov,c est sur!





source
tasnimnews.com



Voila une photo tire de leur site azov.org.ua d aujourd hui apres la capture d un blinde russe.(brassard bleu)

Ah BHL ça c'est un mec qui devrait être bien devant, même au devant du devant, là où ça tire bien, comme ça on l'aurait plus !
Ce mec connait tout, il dit tout, il discute sur tout et finalement il sait rien. Même pas ce qui se sait.
Comme on disait : heureusement qu'il dit ce qu'il sait pas et ce qu'il dit ce qu'il est supposé savoir plus ce qu'il pense est ce qu'il pense pas comme ca on sait en bref rien. Ca c'est un mec !
Un philosophe de mes deux !
La seule chose qu'il a de bien c'est sa nana.

Hitlerjugend du Regiment Azov







La montée dangereuse du nazisme et du fascisme en Ukraine est illustrée dans cette vidéo, où un grand groupe d’adolescents chante les lignes suivantes :
« Salut l’Ukraine, mort aux ennemis, salut l’Ukraine, pendez les Russes, l’Ukraine avant tout !, l’Ukraine avant tout ! »

LES ÉTATS-UNIS ARMENT ET AIDENT LES NÉO-NAZIS EN UKRAINE-2018

En novembre dernier, une équipe d’inspection militaire américaine a rendu visite au bataillon Azov sur les lignes de front de la guerre civile ukrainienne pour discuter de logistique
et d’approfondissement de la coopération. Les images de la rencontre ont montré des officiers de l’armée américaine regardant des cartes avec leurs homologues ukrainiens,
pâlissant et ignorant les écussons Wolfangel d’inspiration nazie gravés sur leurs manches.

Azov est une milice qui a été incorporée dans la Garde nationale ukrainienne et est considérée comme l’une des unités les plus efficaces sur le terrain contre les séparatistes
pro-russes. Mais il est également largement connu comme un bastion du néonazisme dans les rangs de l’armée ukrainienne qui a été critiqué par des groupes internationaux
de défense des droits de l’homme, liés à un réseau fasciste international et même à un complot terroriste majeur.


Gauche : Les membres du bataillon Azov font un salut sig heil.
Droite : Des conseillers militaires américains rencontrent les commandants d’Azov sur le terrain en novembre 2017.





Selon Lower Class Magazine, une publication allemande de gauche, Azov maintient une organisation semi-clandestine appelée la « Division misanthrope »
qui recrute massivement dans les rangs de la jeunesse néonazie en France, en Allemagne et en Scandinavie.
On promet aux combattants étrangers de s’entraîner avec des armes lourdes, y compris des chars, dans des camps ukrainiens remplis de compagnons de route fascistes.
Ils comprennent même des vétérans de l’armée comme Mikael Skillit, un ancien tireur d’élite de l’armée suédoise devenu volontaire néo-nazi pour Azov.
« Après la Seconde Guerre mondiale, les vainqueurs ont écrit leur histoire », a déclaré Skillit à la BBC. « Ils ont décidé que c’est toujours une mauvaise chose de dire que
je suis blanc et que je suis fier. »


Les volontaires étrangers d’Azov sont motivés par l’appel de la « Reconquista », ou la mission de placer les nations d’Europe de l’Est sous le contrôle d’une dictature
suprémaciste blanche sur le modèle de la dictature nazie du Reichskommissariat qui a gouverné l’Ukraine pendant la Seconde Guerre mondiale.
La mission est promue avec enthousiasme par l’idéologue en chef d’Azov, Andriy Biletsky, un organisateur fasciste chevronné qui dirige l’Assemblée nationale sociale
au parlement ukrainien. L’assemblée de Biletsky s’est engagée à interdire les contacts interraciaux et a promis « de préparer l’Ukraine à une nouvelle expansion
et de lutter pour la libération de toute la race blanche de la domination du capital spéculatif internationaliste ».

Peut-être le plus notoire de la jeunesse européenne raciste attirée par les camps d’entraînement militaires de l’Ukraine était un ouvrier agricole Français de 25 ans
nommé Grégoire Montaux.
En juin 2016, Moutaux a été arrêté à la frontière ukrainienne par les services de sécurité du SBU du pays avec un arsenal stupéfiant de fusils d’assaut, des milliers de cartouches
et 125 kg d’explosifs TNT. Il avait même réussi à prendre possession de deux lance-grenades antichars.








Poussé par l’idéologie néonazie hardcore, Moutaux prévoyait de faire sauter « une mosquée musulmane, une synagogue juive, des organisations de collecte d’impôts,
des unités de patrouille de police » et d’attaquer le championnat de football de l’Euro 2016.
Selon le SBU, le terroriste potentiel était en communication « avec des unités militaires combattant dans le Donbass » – la zone de l’est de l’Ukraine où Azov maintient
ses camps d’entraînement.

Tout en mobilisant la jeunesse raciste à travers l’Europe, la direction d’Azov a également réussi à favoriser une relation chaleureuse avec l’armée américaine.
Sur une photo publiée sur le site Web d’Azov en novembre dernier, on peut voir un officier militaire américain serrer la main d’un officier d’Azov dont l’uniforme était orné
de l’écusson Wolfsangel d’inspiration nazie qui sert de symbole à la milice.
Les images ont mis en évidence une relation naissante qui a été largement menée en secret, mais dont les détails troublants émergent lentement.

Bien que Washington ne se soit pas lancé dans quoi que ce soit en Ukraine comme le programme de formation et d’équipement d’un milliard de dollars qu’il a mis en œuvre
en Syrie pour promouvoir un changement de régime par le biais d’une force par procuration de soi-disant « rebelles modérés », il existe des similitudes claires et troublantes
entre les deux projets. Tout comme les armes lourdes apparemment destinées à l’Armée syrienne libre soutenue par la CIA sont allées directement aux mains
des forces insurgées salafistes-djihadistes, y compris l’Etat islamique, les armes américaines en Ukraine affluent directement vers les extrémistes d’Azov.
Et une fois de plus, dans sa détermination résolue à faire monter la pression sur la Russie, Washington semble prêt à ignorer les orientations politiques troublantes
de ses mandataires de première ligne.

Ces derniers mois, un large éventail d’observateurs de la guerre civile ukrainienne ont documenté le transfert d’armes lourdes fabriquées aux États-Unis au bataillon Azov,
et juste sous le nez du département d’État américain.

Fabriqué au Texas, testé par Azov

L’histoire de la façon dont les armes américaines ont commencé à affluer vers la milice d’inspiration nazie a commencé en octobre 2016, lorsque la société AirTronic basée au Texas
a annoncé un contrat pour livrer pour 5,5 millions de dollars de lance-grenades propulsés par fusée PSRL-1 à « un client militaire européen allié ».
En juin 2017, des photos sont apparues sur le site Web d’Azov montrant ses combattants testant des lance-grenades PSRL-1 sur le terrain.
Les images ont soulevé des questions quant à savoir si l’Ukraine était le « client » anonyme d’AirTronic.

Cette photo d’un soldat d’Azov testant un lance-grenades PSRL-1 de fabrication américaine publiée sur le site Web d’Azov en juin 2017 a récemment été retirée


Lance-grenades PSRL-1




Deux mois plus tard, le site d’analyse militaire pro-russe Southfront a publié un contrat divulgué indiquant que 100 lanceurs PSRL-1 d’une valeur de 554 575 dollars
– environ 1/10e de l’accord total – avaient été produits en partenariat avec une société d’armement ukrainienne pour être distribués aux unités combattantes du pays.
Dans une interview accordée en décembre dernier à Voice of America, soutenu par les États-Unis, Richard Vandiver, directeur de l’exploitation d’AirTronic,
a souligné que la vente de lance-grenades était autorisée grâce à « une coordination très étroite avec l’ambassade des États-Unis, le département d’État américain,
le Pentagone américain et le gouvernement ukrainien ».

Enfin, en janvier dernier, le transfert des armes létales à Azov a été confirmé par le Digital Forensic Research Lab (DFRL) de l’Atlantic Council. Aric Toler, un chercheur du DFRL,
a affirmé que « l’ambassade des États-Unis a absolument aidé à faciliter ce transfert, et je ne suis pas sûr qu’ils savaient qu’Azov serait le premier à s’entraîner avec eux ».
En tant que lobbyiste de facto de l’OTAN à Washington et l’un des plus fervents défenseurs à Washington de l’armement de l’armée ukrainienne, le Conseil de l’Atlantique
était une source extrêmement improbable pour une telle divulgation. Alors que les motivations du groupe de réflexion pour exposer l’utilisation des armes américaines
par Azov restent floues, ses chercheurs ont fini par mettre en évidence un épisode vraiment scandaleux de soutien américain semi-secret aux néo-nazis.

Un jour après que le Conseil de l’Atlantique a rapporté l’acquisition d’armes américaines par Azov, la Garde nationale ukrainienne a insisté dans un communiqué officiel
sur le fait que les lance-grenades n’étaient plus en possession d’Azov. Pendant ce temps, la surveillance accrue a incité Azov à supprimer toutes les photos de ses soldats testant
les armes.

Lorsque la Chambre des représentants a adopté sa loi sur les crédits de la défense en septembre dernier, elle comprenait une disposition garantissant qu'«aucun des fonds
mis à disposition par cette loi ne peut être utilisé pour fournir des armes, une formation ou une autre assistance au bataillon Azov ».
Mais la disposition n’a pas encore été autorisée. En 2015, la pression du Pentagone a incité le Congrès à supprimer une restriction similaire, et des questions subsistent
quant à savoir si elle sera un jour appliquée.
Entre-temps, des officiers d’Azov comme le sergent Ivan Kharkiv ont révélé aux journalistes américains que « des formateurs américains et des volontaires américains »
ont travaillé en étroite collaboration avec son bataillon. Et comme l’indiquaient les photographies publiées en novembre sur le site Web d’Azov, les officiers américains
ont rencontré les commandants d’Azov pendant deux mois pour leur fournir une « formation ou une autre assistance » explicitement interdite par la disposition du Congrès.




La collaboration du gouvernement américain avec des idéologues nazis engagés pour saper les objectifs géopolitiques russes n’est pas nouvelle,
et n’a pas été un secret particulièrement bien gardé. Dans son livre de 1988, « Blowback », le journaliste d’investigation Christopher Simpson a retiré la couverture du programme
de la CIA de réhabilitation d’anciens actifs de l’Allemagne nazie, y compris des criminels de guerre documentés, et a révélé comment elle les employait pour lutter
contre la propagation du communisme en Europe.

Selon Simpson, la CIA a recruté Mykola Lebed, un chef de la milice ukrainienne OUN formé par la Gestapo qui a supervisé la torture et le massacre des Juifs à Cracovie,
pour aider à renforcer les services de renseignement de l’Allemagne de l’Ouest en 1947.
Deux ans plus tard, la CIA a introduit clandestinement Lebed aux États-Unis sous un faux nom. Il a été rapidement embauché par le Pentagone et envoyé sur des tournées
de conférences largement promues qui ont rallié le soutien à la guérilla ukrainienne.
Au cours des décennies suivantes, Lebed a fait avancer la cause anticommuniste par l’intermédiaire de la Prolog Research Corporation, une maison d’édition basée à New York
qui a finalement été révélée comme un front de la CIA.

Dans son livre de 1991, « Old Nazis, the New Right, and the Republican Party », le journaliste Russ Bellant a fourni une nouvelle couche de détails troublants à l’histoire
de la collaboration américaine avec d’anciens nazis ukrainiens.
Bellant a documenté comment la milice ukrainienne OUN-B s’est reconstituée sous la bannière du Comité du Congrès ukrainien d’Amérique (UCCA), une organisation faîtière
composée de « fronts COMPLETS DE L’OUN-B ». L’administration Reagan était en nid d’abeilles avec des membres de l’UCCA, avec le président du groupe,
Lev Dobriansky, ambassadeur aux Bahamas, et sa fille, Paula, siégeant au Conseil de sécurité nationale.
Reagan a même accueilli Jaroslav Stetsko, un dirigeant banderiste qui a supervisé le massacre de 7000 Juifs à Lviv, à la Maison Blanche en 1983.

« Votre lutte est notre lutte », a déclaré Reagan à l’ancien collaborateur nazi. « Votre rêve est notre rêve. »

La boucle est bouclée après que le président ukrainien corrompu mais démocratiquement élu Viktor Ianoukovitch a été évincé lors du coup d’État de 2014
connu sous le nom d’Euro-Maidan. Issu des rangs des durs de la rue néofascistes qui ont mené une bataille rangée contre la police anti-émeute nationale sur la place Maïdan de Kiev,
le bataillon Azov a été formé pour lutter contre les séparatistes pro-russes dans l’est du pays. Le commandant de la milice, Andriy Biletsky, avait gagné ses galons
en tant que chef du groupe fasciste Patriot of Ukraine. Et il ne cachait pas son nazisme, proclamant que sa mission était de « mener les races blanches du monde
dans une dernière croisade pour leur survie... contre l’Untermenschen dirigé par les Sémites.

À l’époque, les partisans du coup d’État inspiré par l’OTAN ont dépeint tous les rapports sur la présence de néo-nazis dans l’Ukraine post-Maïdan comme de la propagande
du Kremlin. Jamie Kirchick, un agent néoconservateur, a fait la tentative la plus obtuse de faire tourner la poussée fasciste en Ukraine, effaçant des milices comme Azov
comme « les nazis imaginaires de Poutine ».
L’historien libéral Timothy Snyder a également rejeté le problème du néonazisme en Ukraine, défendant le putsch de Maïdan comme « une révolution populaire classique ».

Mais il ne fallut pas longtemps avant que la vague de nostalgie nazie et d’antisémitisme qui balayait le pays ne devienne impossible à nier.
Au parlement ukrainien, le vétéran fasciste fondateur du Parti social-national Andriy Parubiy a accédé au rôle de président. Vadym Troyan, un dirigeant de l’organisation
néo-nazie Patriote of Ukraine de Biletsky qui a servi comme commandant adjoint d’Azov, a été nommé chef de la police de la province de Kiev.


Les rassemblements aux flambeaux célébrant les collaborateurs nazis comme Stepan Bandera sont devenus un rituel à Kiev.







Des rassemblements massifs aux flambeaux se déversent régulièrement dans les rues de Kiev, mettant en vedette des colonnes de membres d’Azov marchant
sous la bannière Wolfsangel d’inspiration nazie qui sert de symbole à la milice. L’auteur et chroniqueur Lev Golinkin a noté que les néo-nazis qui ont violemment défilé
à Charlottesville, en Virginie, l’année dernière portaient des drapeaux ornés de l’autre symbole affiché par Azov: le Sonnengrad, ou soleil noir d’inspiration SS nazie.

Dans toute l’Ukraine, des collaborateurs nazis comme Stepan Bandera ont été célébrés avec des mémoriaux et des rassemblements les proclamant
comme des héros nationaux. Bandera était le commandant de la milice de guerre de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN-B),
qui a combattu aux côtés de l’Allemagne nazie contre l’Union soviétique. Malgré le rôle de sa milice OUN-B dans le massacre des Juifs et des Polonais de souche pendant la guerre,
y compris un pogrom qui a fait 7 000 morts juifs à Lviv, un boulevard majeur de Kiev a été nommé en l’honneur de Bandera.
Dans l’Ukraine d’aujourd’hui, même les nationalistes traditionnels vénèrent Bandera comme un combattant de la liberté.

En mai dernier, les partisans d’Azov ont organisé un rassemblement aux flambeaux à Lviv, en l’honneur du général Roman Shukhevych, le défunt commandant
de la milice insurrectionnelle de l’UPA qui a aidé à massacrer des milliers de Juifs à Lviv. (Ironiquement, le massacre a été documenté en détail par Timothy Snyder,
l’historien devenu apologiste du gouvernement ukrainien).

Deux mois plus tard, à l’occasion de l’anniversaire du pogrom, la ville de Lviv a organisé le « Shukhevychfest », célébrant le général taché de sang comme un « musicien à succès,
un athlète, un homme d’affaires ».
Pendant le festival, les néo-nazis ont jeté un cocktail molotov dans une synagogue locale et ont vandalisé le lieu de culte juif avec des graffitis sur lesquels on pouvait lire :
« Yids, souvenez-vous du 1er juillet [la date du massacre de Lviv] ».

L’explosion des mémoriaux pro-nazis à travers l’Ukraine a provoqué une condamnation sévère du Congrès juif mondial et a incité le militant anti-nazi Efraim Zuroff
à se plaindre ouvertement que « l’Ukraine a plus de statues pour les tueurs de Juifs que tout autre pays ».
Mais alors même que la communauté juive d’Ukraine se remet des développements dans l’horreur, le gouvernement américain est resté pour la plupart silencieux.



Les journalistes américains qui ont rendu visite à Azov sur le terrain ont eu beaucoup plus de mal à nier la réalité inconfortable de la mobilisation nazie.
Lorsque Oren Dorell de USA Today a visité un camp d’entraînement d’Azov, il a rencontré un sergent instructeur nommé Alex qui « a admis qu’il était nazi et a dit en riant que
pas plus de la moitié de ses camarades sont des camarades nazis ».
Le soldat Azov a également déclaré à Dorell qu’il « soutient un leadership fort pour l’Ukraine, comme l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale ».

« [Alex] a juré qu’à la fin de la guerre, ses camarades marcheront sur la capitale, Kiev, pour renverser un gouvernement qu’ils considèrent comme corrompu », a rapporté Dorell.
Un autre volontaire d’Azov a déclaré au Guardian que l’Ukraine avait besoin « d’une junte qui restreindra les droits civils pendant un certain temps,
mais qui aidera à ramener l’ordre et à unir le pays ».

Alors que le malheureux gouvernement libéral-oligarchique de Kiev lutte pour sa légitimité, les néo-nazis d’Azov aspirent à la « Reconquista ».
Jusqu’à ce que leur rêve se réalise, cependant, la milice risque de s’enliser dans un conflit insoluble avec les forces pro-russes et d’espérer qu’un afflux d’armes américaines
puisse inverser la tendance.



source
/therealnews.com-2018

Encore un "gentil garcon"

Le néo-nazi Artyom Bonov a quitté l'Ukraine pour la Pologne, après avoir proféré des menaces contre les combattants tchétchènes (en affirmant vouloir jouer au football
avec leur tête). Le régime de Zelensky en avait fait un policier à Kiev...

Bataillon ukrainien Aidar avec un ecusson faisant reference a une unité pro-nazie « SS Dirlewanger »

Je comprend toujours pas la raison de ça !
Combatte oui mais comme ça non !
Ca n'a pas de sens sauf se ridiculiser. C'est vieux, ça n'a plus sa raison d'être.

Citation :

Bataillon ukrainien Aidar avec un ecusson faisant reference a une unité pro-nazie « SS Dirlewanger

Unité qui s'est conduite de telle manière, en particulier lors de l'insurrection de Varsovie, que son chef a été traduit devant un tribunal militaire...S.S. !!...

Une amie de mon épouse, qu'elle voit de temps à autre, née à Lviv dit qu'elle a toujours connu les néonazis là-bas. Elle a environ 60 ans.
Incroyable mais l'info des néonazis est bien réelle.

Nous sommes le 16 février 2019 en Ukraine et l'escalier du centre commercial « Horodok » à Kiev — dans une rue portant le nom d’un collaborateur nazi Stepan Bandera
— s'est illuminé d'une croix gammée géante. Personne ne semble réagir ! Incroyable !







Observers.france24.com affirme que ce sont des images décontextualisées prétendent montrer des symboles nazis en Ukraine  
Ils ne savent pas quoi inventer pour supporter le regime ukrainien.

"Le centre commercial Gorodok a publié des excuses le 18 février 2019 sur sa page Facebook, expliquant que leur système avait été hacké “par un pirate informatique”  :
“L’administration et le personnel n’ont rien à voir avec l’information qui a été placée sur l’escalier en LED, et ne soutiennent en aucun cas de telles actions.
Nous recherchons actuellement activement des personnes impliquées dans cette attaque” peut-on lire.

Mais a part ca,ils nous jurent qu il n y a pas de nazi en Ukraine.....

Les medias occidentaux denoncaient les nazis en Ukraine avant le 24 fevrier 2022,il n y avait aucune ambiguite....




Apres l invasion russe,il n y a pas de nazi en Ukraine...

Plusieurs vidéos et photos circulent en ligne, donnant de la crédibilité aux affirmations russes d’un grave problème néo-nazi en Ukraine.
Le problème ici est que les images et les vidéos sont une distorsion de la réalité et, dans certains cas, complètement fictives.
Nous y regardons de plus près dans cette édition de Truth or Fake.(France 24)

Le régiment Azov fonctionnent maintenant comme les autres régiments « mais avec de meilleures relations publiques »,
« Il n’a plus la connotation d’être une sorte de symbole fasciste »a déclaré Vyacheslav Likhachev, analyste de recherche au Centre ZMINA pour les droits de l’homme à Kiev.
(RFI)

Les cr..... !
Ils oublient ou ignorent ce que l'Ukraine a subi pendante la guerre.
Et vouloir faire la comparaison avec les années soviétiques est ridicule...

La maison du tortionnaire ukrainien Viktor Plotnikov : un musée à la gloire d’Hitler

A la recherche du chef de la branche du secteur droit de la ville de Berdiansk, Viktor Plotnikov — surnommé « Bacha » — reste introuvable, et pour cause, le courageux combattant
de « Aïdar » s’est enfui en laissant derrière lui, sa sœur et ses deux enfants.





À 56 ans, L’homme a un gros palmarès à son actif :
70 épisodes criminels, dont des meurtres, des viols, la torture… Il est connu pour ses atrocités contre des civils et des militaires captifs.
Viktor est sur la liste de Vladimir Poutine. Il a la réputation d’être un combattant cruel, il a sévi dans le Donbass et jouit d’une autorité parmi les nazis ukrainiens.

Lors des investigations au domicile du nazi Viktor Ivanovich Plotnikov dans le village de Primorsk, les soldats russes pensaient entrer dans une maison ordinaire
mais l’endroit ressemble plutôt à un musée à la gloire du Troisième Reich, d’Hitler, du nazisme et de Stepan Bandera.
Uniformes SS, photographies nazies, affiches de la division SS ukrainienne « Galicia », littérature extrémiste, croix gammées, photographies de militants Bandera des années 40,
armes en tous genres… La vie du fugitif bandériste était imprégnée par le nazisme, toutes les traces d’un monstre sont là.
Seuls les médias occidentaux ne veulent pas voir ces horreurs — on se demande bien pourquoi…




Un petit rafraichissement de memoire pour les indecis...
2015,Pravi Sector(Secteur Droit) dans le Donbass.





source
lemediaen442.fr

De braves gens !...

Ce qui est le plus surprenant c'est de continuer ce thème hitlérien mais écrit en ukrainien.
Ce type n'a pas évolué du tout.
Son musée pourquoi pas mais faut pas copier dessus, ça n'a aucun sens.
Je comprend pas : faire une guerre ou commettre des meurtres avec des emblèmes ou insignes nazis !

La dénazification se poursuit en Ukraine : nouvelle planche des néonazis liquidés
Pas mal de femmes dans le Regiment Azov ...

Les derniers représentants de cette bande sont retranchés à Marioupol dans une usine semble t-il, encerclés par les barbus Tchétchènes de Khadirov.
Vaut mieux pas être dans le coin en ce moment...

vania a écrit:

Les derniers représentants de cette bande sont retranchés à Marioupol dans une usine semble t-il, encerclés par les barbus Tchétchènes de Khadirov.
Vaut mieux pas être dans le coin en ce moment...  

Ca sent les gorges tranchées.