Dictature macronienne

vania a écrit:

Le discours de notre cher président, à l'assemblée générale des Nations Unies, s'est tenu devant à peine 1/4 des participants alors que Biden a fait salle pleine...

Oui c'est pour voir comment Biden dort, c'est pour ça. Macron dort pas, ça n'intéresse pas.

naga a écrit:

Heu, non tu veux pas dire des choses sexuelles non !  c'est sale ça. C'est pas autorisé aux accords de Genève.

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C'est très, très méchant vis à vis de la première dame !...

C'est exactement ça.

Des dizaines de véhicules attendent devant une station-service à Arras.
La Police sur place pour éviter des débordements & contrôler que personne ne remplisse de bidons.
Elle Vérifie aussi la réserve des vehicules des automobilistes - ceux à plus de la moitié du plein doivent faire demi-tour.
@BFMTV

Elle vérifie les jauges des véhicules et ceux qui sont à plus de la moitié doivent repartir !
Mais 1/ rien n’oblige qui que ce soit à obéir : aucune disposition penale n’est violée
2/ et si je dois faire 500 km et que je veux être certain de pouvoir les faire ?

Pourtant Veran affirme qu il n y a pas de penurie en France...

Quand on voit à la télé les files d'attente ça veut bien dire qu'il y a pénurie ou ça commence sérieusement.

Oui, c'est compliqué en ce moment, mais comme à chaque fois, dès qu'il a de la tension sur les approvisionnements, même légère, tout le monde se jette sur ce qui risque de manquer, et forcément, ça vient à manquer...

vania a écrit:

Oui, c'est compliqué en ce moment, mais comme à chaque fois, dès qu'il a de la tension sur les approvisionnements, même légère, tout le monde se jette sur ce qui risque de manquer, et forcément, ça vient à manquer...

C'est aussi logique parfois même souvent les gens créent leur propre pénurie.

Même réflexions stupides, comme d'habitude on est habitué !
Pour résumer : c'est pas moi c'est l'autre.
Source : actu orange.
Condamnation de l'Etat pour inaction climatique : c'est "pas pour ma pomme" se défend Emmanuel Macron
Emmanuel Macron s'est dédouané dimanche 13 novembre de toute responsabilité dans la condamnation de l'Etat pour inaction climatique. C'est "pas pour ma pomme" mais pour la période 2015-2018, a affirmé le président dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, en défendant son bilan environnemental.

C'est "pas pour ma pomme" : Emmanuel Macron s'est dédouané dimanche 13 novembre de toute responsabilité dans la condamnation de l'Etat pour inaction climatique.

Pour le président, c'est la période 2015-2018 qui est concernée quand il n'était pas encore installé au pouvoir. Il a défendu son bilan environnemental dans une vidéo d'une douzaine de minutes postée sur les réseaux sociaux.
"Nous nous sommes faits condamner pour inaction climatique sur la période 2015-2018" quand "la France n'a pas été au rendez-vous des objectifs", s'est défendu le président Macron, assurant avoir commencé à mettre les "bouchées doubles" dès son élection en 2017. Le chef de l'Etat répondait à un anonyme @Melvak_ qui a repris un argument récurrent de l'opposition de gauche : "Comment peut-on se faire condamner 2 fois pour inaction climatique tout en ayant l'audace de faire croire qu'on peut se justifier sur Twitter?"

"Vous êtes très sympathique Melvak d'essayer de m'en coller une sur Twitter, mais la condamnation pour inaction climatique c'est plutôt pour la période d'avant, pas pour ma pomme", a répondu ensuite Emmanuel Macron, sur le ton offensif et direct qui caractérise toute la vidéo. "Evitons de dire des bêtises et nous accuser mutuellement".

Le Conseil d'Etat a une nouvelle fois sommé l'Etat en 2022

Emmanuel Macron, souvent critiqué par les militants écologistes qui jugent son action trop timide et en décalage avec un discours volontariste sur la scène internationale, s'était engagé il y a une semaine à répondre aux questions que lui adresseraient les Français sur le "défi écologique".

Ce dimanche, il assure qu'"on n'attend pas la catastrophe". "On est tous inquiets, on voit les conséquences du dérèglement", a-t-il affirmé, expliquant que "la planification écologique, déclinée secteur par secteur", permettra "dans les prochains mois" de "mettre plus d'argent" et "faire plus de réformes".

Face à une personne lui demandant quelle mesure "réelle, forte, déterminante, qui ne soit pas juste de la com'", il mène pour l'écologie, le président a énuméré le bilan de son premier quinquennat: "22.000 km de pistes cyclables" "ça fait six tours de France"; "plus d'un million de logements" rénovés d'un point de vue thermique" "c'est l'équivalent des émissions de la ville de Lyon chaque année qu'on a supprimé grâce à tout ça"; "plus d'un million de véhicules qu'on a accompagnés pour être changés"...

"J'en ai plein d'autres", a-t-il dit en souriant, avant de lister aussi certaines des 146 propositions de la Convention citoyenne sur le climat sur 150 auxquelles il a dit "oui". "On avance", "les choses se mettent en place".

Néanmoins, le Conseil d'Etat a une nouvelle fois sommé l'Etat "d'agir davantage pour respecter ses engagements contre le réchauffement climatique" en juillet dernier.

Effet inattendu, le réchauffement climatique incite davantage à faire du vélo...

vania a écrit:

Effet inattendu, le réchauffement climatique incite davantage à faire du vélo...

Lui étant de la pédale ça va, pas moi.

On comprend pourquoi macron l a vire il y a quelques annees...

La fin de l'abondance ? Pas pour certains !
Le budget de l’Élysée en progression en 2023 de 5,5 millions d’euros par rapport à 2022.
La rémunération du chef de l’État passe quant à elle à 15 737 euros.

La fin de l'abondance ? Pas pour certains !
Le budget de l’Élysée en progression en 2023 de 5,5 millions d’euros par rapport à 2022.
La rémunération du chef de l’État passe quant à elle à 15 737 euros.

Le budget de l'Elysée est déjà énorme et a évolué beaucoup ces derniers temps. Recevoir est une chose dépenser outrageusement en est une autre.
Sa paye je m'en fout aussi, c'est pas le plus gros morceau mais dire aux gens de se serrer la ceinture là ça passe pas du tout.

Citation :

La rémunération du chef de l’État passe quant à elle à 15 737 euros.

Sans oublier qu'il n'a à priori pas trop de frais ...

vania a écrit:

Citation :

La rémunération du chef de l’État passe quant à elle à 15 737 euros.

Sans oublier qu'il n'a à priori pas trop de frais ...

Il touche une très grosse enveloppe pour ses frais mais beaucoup passent sur le budget de l'état, c'est pas lui qui paye. En bref tout bénef !

Celui qui occupe le fauteuil de président et qui accueille des migrants partout a encore eu une surprise, 24 mineurs (enfin supposés mineurs) se sont échappés d'un centre d'accueil ! Bravo, ça c'est du boulot.
Par ailleurs aux infos hier en Hongrie, des flics arrêtaient un fourgon avec des migrants, les mecs descendaient et foutaient le camp, pas de chance 3 flics ont ferraillé, 2 avec des pistolets et un avec un pompe. Ca a fait mouche sur 1 ou 2 migrants, c'était pas trop visible. Ici tu t'arrêtes pas t'es ferraillé, en France le flic est emmerdé car il a fait son boulot on lui fonçait dessus.

A force de taper sur tous les autres partis politiques qu'il considère comme des concurrents voilà ce qui pourrait arriver, pas maintenant mais dans pas si longtemps :
Source : actu orange.
Souvenez-vous bien d'un truc : plus on est haut, plus on tombe de haut.
Emmanuel Macron rattrapé par le "sparadrap" McKinsey
McKinsey. Le nom du célèbre cabinet de conseil avait fait irruption dans la campagne mi-mars, et parasité la course à sa réélection. Voilà qu'il vient, par voie judiciaire, rattraper un Emmanuel Macron déjà fragilisé par une configuration politique complexe.
Le parquet national financier (PNF) a annoncé jeudi avoir confié à des juges d'instruction, fin octobre, deux enquêtes sur l'intervention des cabinets de conseil dans les campagnes électorales de 2017 et 2022. L'une porte sur des soupçons de "tenue non conforme de comptes de campagne et minoration d'éléments comptables dans un compte de campagne", l'autre vise "des chefs de favoritisme et recel de favoritisme".
En clair, la justice cherche à savoir si des cabinets de conseil n'auraient pas indûment participé au financement des campagnes du candidat Macron, avant de bénéficier en retour de juteux contrats publics.
Le chef de l'Etat est protégé par son immunité pénale, prévue à l'article 67 de la Constitution.
et son nom ne figure pas dans le communiqué très technique du PNF sur ce point, mais c'est bien l'affaire du printemps qui ressurgit. D'autant que le PNF réagissait aux révélations du Parisien, qui venait de faire état de ces investigations pour financement illégal de sa campagne.
Pour l'instant, l'Élysée, qui a "pris connaissance de la communication du parquet", a choisi de faire le dos rond. "Il appartient à la justice de conduire ces investigations en toute indépendance", s'est bornée à réagir la présidence jeudi soir.
En déplacement vendredi à Dijon pour la journée internationale de la violence à l'égard des femmes, le chef de l'État en dira-t-il plus?
C'est dans la ville de Côte-d'Or, déjà, que le président-candidat avait tenté d'évacuer les premiers soupçons, fin mars, balayant les "bêtises" relayées, selon lui, par ses adversaires.
"Quand on veut aller très vite et très fort sur une politique, il faut parfois avoir recours à des prestataires extérieurs à l'État", avait-il insisté.
Il s'agissait de justifier le recours intensif par l'exécutif à ces cabinets privés, épinglé dans un rapport sénatorial qui avait fait l'effet d'une petite bombe pendant la campagne. L'opposition avait réclamé immédiatement une enquête sur l'éventuel favoritisme dont la puissante société américaine McKinsey aurait bénéficié de la part de la majorité macroniste.
"On a l'impression qu'il y a des combines, c'est faux. S'il y a des preuves de manipulation, que ça aille au pénal", s'était aussi agacé Emmanuel Macron.
Voilà qui est fait. L'Élysée n'a pas manqué de relever que les deux informations judiciaires ont été ouvertes "à la suite notamment de plaintes d'élus et d'associations".
- Connivence malsaine -
"Cette affaire passe pour l'instant complètement au-dessus des Français, obnubilés par les questions économiques, énergétiques et sociales", a relevé Frédéric Dabi, directeur de l'institut Ifop. "Reste à savoir si elle peut devenir un poison lent pour la Macronie si les rebondissements judiciaires se multiplient".
Le camp présidentiel réagissait peu pour le moment. "Arrêtons de penser, parce qu'il y a une ouverture d'enquête, que c'est infamant", a relevé vendredi sur Europe 1 le président par intérim du groupe Renaissance à l'Assemblée Sylvain Maillard, appelant à laisser la justice "enquêter sereinement".
Le "McKinseyGate" a été érigé par l'opposition pendant la campagne en symbole d'une connivence malsaine avec les milieux d'affaires.
Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, n'a pas manqué vendredi d'accuser Emmanuel Macron d'avoir "confié la France à des liquidateurs". Les cabinets de conseils mis en cause "ne travaillent pas dans l'intérêt de la nation française et du peuple français", a-t-il lancé, regrettant une politique de "renvoi d'ascenseur".
Pendant la campagne présidentielle, les adversaires du chef de l'État n'avaient déjà eu de cesse de lui demander des comptes, dénonçant une "dérive totale", une bienveillance à l'égard des "lobbies" et de "l'évasion fiscale" supposée de certains cabinets, et même une "République McKinsey".
La Macronie s'était retrouvée sur la défensive. "Les oppositions ont réussi à en faire un sparadrap pour nous", s'alarmait alors un responsable de la majorité.
L'affaire n'a in fine pas empêché la réélection en avril du président sortant.
Mais les résultats des législatives de juin ont été bien en-deçà des espoirs de son camp, qui se retrouve privé de majorité absolue et aux prises avec des oppositions ragaillardies.

Incroyable !
Pire que la Chine,il ne reste plus que la Coree du nord devant(bien non car ils n ont pas acces a Internet ...

Et oui, je suis (tristement) au courant. C'est la trouille visiblement.

La honte !...

vania a écrit:

La honte !...

Non, penses-tu si peu !!!