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 allemands en antartique

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Daniel Laurent
naga
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MessageSujet: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeSam 23 Juin - 14:42


LES NAZIS EN ANTARTIQUE
Operation Highjump - Operation Deepfreeze


L'Opération Hightjump est certainement la face cachée de l'opération PAPERCLIP qui est
l'extripation des savants et dignitaires du régime nazis vers l'amérique via le Vatican.


Au début de l'année 1946, la situation mondiale semblait stabilisée après les horreurs et les morts de la seconde guerre mondiale. Cependant, il restait encore des Nazis en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de Neu-Schbenland, sur le territoire allemand du même nom, en antartique existait toujours et des Nazis l'occupait toujours après l'armistice.



Plusieurs missions furent organisées sur ce continent afin d'y déloger les derniers soldats du Reich, sans aucun succés. Les expéditions se sont soldées par beaucoup de morts et une perte de matériel énorme. Plusieurs avions espions ne revinrent jamais du secteur de la base de Neu-Schbenland.

Aussi En 1946, le commandemant allier confia la responsabilité d'une nouvelle et colossale opération à l'amiral Richard Byrd, l'homme le plus expérimenté pour mener cette opération à l'époque. L'Amiral Richard Byrd avait déjà effectué plusieurs vol de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud à la fin des années 20 et 30 organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.


L'Amiral Richard Byrd prépara l'invasion avec des forces spéciales américaines, anglaises et russes (et certainement d'autres nations) : "l'Operation Highjump".

Une opération militaire mais aussi à but scientifique selon les sources officiels, notament l'étude des pinguins. Le plan d'attaque était d'entrer dans la région opposée de la base de Neu-Schbenland et de traverser tout le territoire Antarctique, dans la direction de l' objectif final. L'opération militaire conbina des forces terrestres et navales de façon massive :


- 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
- 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
- 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
- 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
- 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
- 1 sous-marin : le USS SENNET
- 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
- 6500 hommes américains anglais et sovietiques, etc.

Crash de l'hydravion GEORGE ONE le 29/12/1946

Il n'est pas étonant de trouver des navires de guerre pour une expédition scientifique, en effet nombre de ces bateaux après la seconde guerre mondiale furent utilisés pour des expéditions par l'armée US quand il n'étaient pas vendus ou donnés à des organisations ou firmes non-gouvernementales, tranformés alors en navire de transports où autres... La Calypso du Ct Cousteau était un ancien démineur par exemple. Il est à noter que le porte-avions USS PHILIPPINE SEA était neuf.

L'expédition est décrite sur ce site officiel du pôle sud : South-pole.com (en anglais) mais relate uniquement les exploits scientifiques sur le territoire du sud. Officielement il n'y a pas eu de combats contre les Nazis en antartique.

Le résultat fût un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les alliers et une perte de matériel énorme. De retour aux USA par le chilie Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que "la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionantes !"


Aux USA il sera difficile de justifier à l'opinion publique et au congrès la mort de millier d'hommes en antartique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de GUERRE DES PINGUINS, une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il n'y avait uniquement que des pingouins et qu'ils n'y avait aucun nazis.

Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d'une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l'Operation Deepfreeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l'armée US quittera se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au pôle sud.


source : http://secretebase.free.fr/complots/nazis/antartique/antartique.htm
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naga
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeDim 24 Juin - 3:03

Ah,les legendaires OVNI du IIIe Reich.


La vrai histoire de l'operation Highjump est plutot celle la:

L'expédition met en scène la Task Force 68 et implique 4700 hommes, 13 navires (dont un sous-marin) et 26 avions. Ses buts officiels sont :

entraîner des hommes et tester du matériel dans des conditions polaires ;
assurer la souveraineté américaine sur une large zone "hospitalière" de l'Antarctique ;
étudier la faisabilité de l'établissement et du maintien de bases en Antarctique, chercher des sites potentiels d'implantation ;
développer des savoir-faire pour l'établissement et le maintien de bases aériennes en région polaire, notamment pour les appliquer au Groenland et à l'Arctique : on pensait alors que les conditions climatiques et physiques de l'Antarctique s'approchaient de celles de l'intérieur du Groenland. Il ne faut pas oublier le contexte de l'époque, le Groenland étant un point stratégique entre l'URSS et les Etats-Unis ;
améliorer la connaissance d'alors sur les conditions hydrographiques, géographiques, géologiques, météorologiques et magnétiques de la région.

Officieusement, l'opération Highjump se déroulait dans un contexte de réorganisation des forces armées américaines, où la Navy risquait de perdre ses moyens aériens au profit de l'US Army Air Force.

Highjump visait à démontrer l'efficacité de la marine dans les conditions les plus extrêmes et dans le cadre d'une opération combinée – puisque l'expédition comptait notamment un porte-avions d'escorte. Dans l'éventualité d'une guerre avec l'URSS où les Etats-Unis seraient amenés à défendre l'Arctique et le Groenland, il serait ainsi prouvé que la Navy était le corps de l'armée le mieux placé pour le faire.

Bilan

L'Opération Highjump a permis la construction de la base Little America IV (à proximité de la Grande Barrière de Ross).
En raison de la position proche du pôle Sud, les boussoles sont très perturbées, ce qui a rendu inutile le volet "exploration" de l'expédition... d'autant plus qu'un certain nombre de photographies se sont avérées inutilisables faute de points de repère.

Quatre hommes ont trouvé la mort au cours de l'opération. En effet, le 30 décembre, l'hydravion Mariner s'écrase et trois des neuf occupants trouvent la mort ; les six autres sont retrouvés vivants deux semaines plus tard. A la mi-janvier, un homme meurt accidentellement en participant au déchargement de matériel destiné à bâtir une piste d'atterrissage.



USS Sennet en Antartique

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Daniel Laurent
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Daniel Laurent


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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeDim 24 Juin - 8:13

Bonjour,
J'arrive trop tard, Naga a dégainé plus vite que moi sur ce coup-la :
naga a écrit:
Ah,les legendaires OVNI du IIIe Reich.


Il est vraiment intéressant de voir que plus de 67 ans après sa fin, le nazisme continue a alimenter des légendes toujours actives ici et la, la vie sexuelle du Führer, ou l'absence d'icelle, n’étant pas la moindre...
Laughing


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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeDim 24 Juin - 14:06

tout a fait daccord avec toi daniel laurent Smile
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeLun 25 Juin - 2:22


Il faut plutot voir une certaine logique pour voir qu il etait impossible a l epoque de construire une telle base en Antartique.



Comme beaucoup d'autres pays, l’Allemagne lança plusieurs expéditions dans la région antarctique à la fin du XIXe siècle. La première expédition fut menée par le professeur de géologie Erich Dagobert von Drygalski en 1901. L’expédition composée de 27 hommes durera plus de deux ans car le navire, le Gauß, resta bloqué plus de 14 mois dans la banquise. Ils étudièrent entre autres le climat, la géographie et le magnétisme et on leur doit la découverte de la terre Guillaume II.

La deuxième expédition officielle (1911-1912) fut menée par Wilhelm Filchner. Il veut vérifier que l’Antarctique est bien constitué d'une seule terre. Il n’atteint pas son objectif principal, mais son navire, le Deutschland, pénètre en mer de Weddell, qui était alors inexplorée.

La troisième expédition (1938-1939), menée par Alfred Ritscher, a pour principal objectif de sécuriser une zone en Antarctique pour la pêche à la baleine ; à cette époque, l'huile de baleine était la principale matière première pour la fabrication de margarine et de savon, et l’Allemagne en achetait 200 000 tonnes/an aux Norvégiens


allemands en antartique Nazi_b10




Le 17 décembre 1938, le navire Schwabenland part du port de Hambourg avec 33 personnes à bord. Le bateau accoste en janvier 1939 (4° 15´O-69° 10´S) et la reconnaissance du terrain commence. Les semaines suivantes, les 2 hydravions Dornier Do J du navire, le Passat et le Boreas effectuent un quinzaine de vols, quadrillant la zone et réalisant plus de
11 000 photographies aériennes. Une base temporaire est installée et trois drapeaux nazis sont plantés. Au mois de février, le bateau repart pour l’Allemagne.


Le Schwabenland et son Hydravion Dornier Do 10 t-Wal en 1934

allemands en antartique Nazi_s10


Hydravion Do 10 t-Wal "Passat"

allemands en antartique Nazi_d11


Zones survolles par les Hydravions

allemands en antartique Nazi_s11



allemands en antartique Nazi_a10

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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeLun 25 Juin - 2:45

Deux autres expéditions étaient planifiées pour les étés 1939-1940 et 1940-1941 ; mais elles furent annulées en raison du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. La deuxième expédition devait étudier la faisabilité de l’implantation de bases navales, probablement en vue de s'imposer sur le continent et de contrôler une partie de l’océan Indien et du passage de Drake.


Comment construire une base sous-marine a des To polaire oscillant entre -5 et -20 degres voir -60 pendant les tempetes d hiver?
Et surtout avec quels ouvriers?la quantite astronomique de materiaux(fers a beton,ciment etc..)a transporter par bateaux,en periode de guerre de surcroit...
La reponse viendrai du ciel... Rolling Eyes



allemands en antartique Nazi_l10


Aucun pays ne reconnut les revendications allemandes et le traité sur l'Antarctique suspend toujours toutes les revendications territoriales. Aujourd'hui, la base antarctique Neumayer est située sur la banquise, à proximité de cette zone.


article paru dans la revue allemande Deutsches Schiffahrtsmuseum, numéro 26-2003.

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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeLun 25 Juin - 22:45

j admire vos reponses Smile mais je ne comprends pas ce témoignage alors scratch

Le dernier survivant de la mission témoigne

Quand on nous annonça la victoire de l'Europe, mon unité était au repos dans une grotte de l'ex-Yougoslavie.

J'étais content que cette guerre soit finie, mais avec les combats qui continuaient dans le Pacifique et les tensions qui montaient en Palestine, nous savions bien que notre guerre à nous pourrait bien continuer. Grâce au Ciel, je fus dispensé de participer à la guerre contre le Japon, mais hélas, je fus envoyé en Palestine où l'afflux de Juifs, joint à une montée du terrorisme sioniste, angoissait non seulement les Palestiniens, mais aussi les forces britanniques chargées d'endiguer cet afflux et de réprimer les insurrections. On m'avertit que mon affectation en Palestine pouvait durer indéfiniment. Je vis mourir beaucoup de mes compagnons soldats. Heureusement, je reçus au début d'octobre 1945 l'ordre de me présenter à mon officier supérieur, car j'avais été choisi pour une mission secrète à Gibraltar (aucun de mes supérieurs ne connaissait la nature de cette mission). N'ayant reçu aucune explication, j'espérais qu'on me rendrait bientôt à la vie civile. Je me trompais lourdement ! J'allais passer un autre Noël sur le pied de guerre.

Une fois arrivé à Gibraltar, un Major me prit à part et m'informa que je serais muté aux Colonies des Îles Falkland pour instructions complémentaires et que plusieurs autres soldats d'autres corps d'élite britanniques allaient me rejoindre. Le mystère s'épaissit quand on nous envoya tous par avion aux Falklands en nous demandant un complet silence. Nous avions reçu ordre de ne même pas spéculer sur la raison pour laquelle nous avions été choisis et sur le lieu où nous nous rendions.

Un entraînement extrême

En atteignant les Îles Falkland désolées et sévères, nous fûmes présentés à l'officier qui commandait l'expédition et à un Norvégien qui avait servi dans la résistance norvégienne, un expert en combats hivernaux qui allait nous entraîner pour une mission dont nous n'avions pas la moindre idée. Aujourd'hui, on sait que les Falklands, considérées comme le secret le mieux gardé de l'Armée britannique, promettent quelques années difficiles à ceux qui y sont affectés, mais dans les années 40, personne ne les connaissaient et encore moins les soldats comme moi. Pendant un mois, nous fûmes soumis à un éreintant entraînement au combat par temps froid. Plonger dans l'Atlantique glacé, affronter les éléments dans une tente en Géorgie du Sud nous paraissait Quand d'autant plus fou que nous ne savions pas pourquoi nous étions là ! Cependant, après cette préparation, un major et un scientifique nous expliquèrent enfin la nature de notre mission, et là, nous réalisâmes tous qu'il y avait peu de chances pour que nous en sortions vivants, surtout si ce que l'on soupçonnait était exact.

Parés pour la « guerre secrète »

On nous expliqua que nous devions examiner des activités « anormales » dans les environs des Monts Mühlig-Hoffmann à partir de la base britannique de Maudheim. L'Antarctique, à ce que l'on nous dit, était "la guerre secrète de la Grande-Bretagne". On nous informa ensuite des activités britanniques au Pôle Sud pendant la guerre. Nous étions là, assis, intrigués par ce qui allait nous être divulgué ; aucun de nous n'avait rien entendu d'aussi fascinant ni d'aussi effrayant. Très peu de gens savaient que les nazis étaient venus dans l'Antarctique en 1938 et 1939, et plus rares encore étaient ceux qui avaient connaissance du fait que la Grande-Bretagne commençait, en réaction à établir des bases secrètes autour de l'Antarctique. Celle que nous devions'visiter, Maudheim, était la plus importante et la plus clandestine de toutes les bases antarctiques. En effet, elle n'était qu'à 300 kilomètres du lieu présumé de la base nazie.

On nous informa de l'activité allemande dans l'Atlantique Sud, autour de l'Antarctique. Un nombre impossible à estimer de sous-marins allemands étaient manquants et non signalés ; mais, pire, certains de ceux qui avaient fait leur reddition des mois après la fin de la guerre alimentaient encore davantage de spéculations.

L'armée britannique avait capturé trois des plus grands noms du parti nazi – Hess, Himmler et Ddnitz – et au moment de leur capture, la Grande-Bretagne avait obtenu des informations qu'elle ne partagea pas avec la Russie ou les États-Unis.

C'est sur la base de ces informations qu'agissait, seule, la Grande-Bretagne, et nous étions à la pointe de cette opération. On nous indiqua sans trop de précision ce que l'on attendait de nous et ce que nous étions susceptibles de trouver sur l'Antarctique. La Grande-Bretagne était convaincue que les Allemands avaient construit une base secrète, et qu'ils avaient fait sortir d'Europe, comme par magie, de nombreux Nazis dont on avait perdu la trace.

Hommes polaires, tunnel et nazis

Des révélations en cascade nous attendaient. L'été précédent, nous dit-on, les scientifiques et commandos d'origine avaient trouvé un "ancien tunnel". Des militaires envoyés sur place y auraient pénétré, mais seuls deux d'entre eux étaient revenus à leur base avant que l'hiver austral ne soit installé. Ensuite, les deux survivants avaient fait par radio des déclarations absurdes à propos "d'hommes polaires, d'anciens tunnels et des nazis". Le contact radio avait finalement été perdu en juillet 1945, après un message de très mauvais augure pour nous :

"... les hommes polaires nous ont trouvés !" Après nous avoir fait écouter cet enregistrement, le Major qui devait commander l'expédition essaya de nous encourager : "Nous allons nous rendre à la base de Maudheim, trouver le tunnel, élucider l'énigme des hommes polaires et des nazis et tout faire pour détruire cette menace."

Par bonheur, les réponses à nos questions, si nombreuses, furent honnêtes et directes.

On nous apprit que la Grande-Bretagne entendait prendre de vitesse les Américains et les Soviétiques qui préparaient leurs propres expéditions. Elle ne voulait pas prendre le risque que les États-Unis ou l'Union soviétique ne découvrent la base allemande et ne recueillent des technologies nazies. Ces deux pays avaient déjà une avance technologique sur la Grande-Bretagne grâce aux scientifiques et aux équipements récupérés sur les nazis. En outre, considérant l'Antarctique comme étant sous la juridiction de l'Empire britannique, elle entendait bien être la première et la seule à éradiquer la présence nazie sur son sol, refusant ainsi à la fois aux États-Unis et à l'Union Soviétique la gloire d'avoir livré le dernier combat de la Seconde Guerre mondiale.

Parachutés dans la neige

On nous emmena en avion jusqu'au point de largage prévu, situé à 30 kilomètres de la base de Maudheim. Des chasse-neige attendaient notre arrivée. Après le saut en parachute dans la solitude glacée, la peur au ventre, nous rejoignîmes les chasse-neige. A partir de cet instant, nous fûmes sur le pied de guerre. Nous devions opérer sous silence radio total. Nous étions seuls, sans appui ni chance de retraite si nos pires craintes se confirmaient.

Nous approchâmes de la base, sur nos gardes, mais elle nous apparut bientôt dépourvue de toute vie, une ville fantôme. Cela éveilla immédiatement notre méfiance, mais, comme dans toutes les campagnes précédentes, nous avions une mission à accomplir et nos peurs ne devaient pas paralyser notre jugement.

Première victime de l'expédition

Comme nous nous dispersions autour de la base, un fil déclencha une alarme et une sirène retentit, déchirant le silence et nous faisant sursauter. Une voix, impossible à localiser, nous cria de nous identifier. Nous levâmes nos fusils, le major nous présenta, et la voix prit corps.

Elle appartenait à un survivant isolé, et ce qu'il révéla ne fit que nous inquiéter davantage et nous faire regretter de ne pas être plus nombreux. Il nous expliqua que, dans le bunker numéro 1, se trouvait l'autre survivant de "l'expédition dans le tunnel", en compagnie de l'un des mystérieux hommes polaires dont nous avions entendu parler sur l'enregistrement radio.

Malgré les objections du survivant, ordre fut donné d'ouvrir ce bunker. Il essaya de s'y opposer avec une peur panique qui nous gagna instantanément : aucun de nous ne voulait être le premier à entrer dans le bunker.

Heureusement pour moi, je ne fus pas choisi. Cet honneur fut dévolu au plus jeune membre de notre unité désigné à la courte paille. Il entra, hésitant un peu, en se heurtant à la porte.

Une fois à l'intérieur, un silence s'abattit sur la base, suivi par deux coups de fusil. La porte s'ouvrit et l'homme polaire s'échappa en courant, nous prenant tous de cours et nous laissant juste le temps de tirer quelques coups de feu, pour la forme. C'est alors que nous pénétrâmes dans le bunker où gisaient deux cadavres : notre camarade, la gorge tranchée, et, plus atroce, le survivant, déchiqueté jusqu'aux os. Nous étions envahis de colère et d'interrogations après avoir vu mourir un membre de notre unité quelques heures seulement après notre atterrissage, et nous écoutâmes anxieusement les réponses du dernier survivant aux questions du Major. Il lui demanda d'abord ce qui avait bien pu arriver à l'autre survivant,et comment il s'était retrouvé piégé dans le bunker avec cet homme polaire. Mais l'homme préféra commencer par le début, c'est-à-dire le moment où ils avaient découvert le "tunnel". Le scientifique qui nous ccompagnait prenait des notes.

Une immense base souterraine

On apprit que la région où se trouvait le tunnel était l'une de ces vallées sèches particulières à l'Antarctique, ce qui explique la facilité avec laquelle les Britanniques avaient pu le trouver.

Les trente membres de la base de Maudheim avaient l'ordre de découvrir où conduisait le tunnel

Ils avaient parcouru le tunnel pendant des kilomètres, et finalement, étaient arrivés à une vaste caverne souterraine anormalement tiède ; certains parmi les scientifiques pensèrent qu'elle pouvait être chauffée par géothermie. L'immense grotte comportait des lacs souterrains, mais, beaucoup plus mystérieux, elle était éclairée artificiellement. Devant l'immensité de la grotte, l'expédition s'était divisée pour mieux l'explorer C'est alors qu'ils avaient découvert l'énorme base construite par les nazis,


avec des quais pour les sous-marins, dont l'un d'entre eux, semble-t-il, pût être identifié. Mais plus les britanniques avançaient, plus le spectacle était étrange. Le survivant parla notamment "de hangars pour d'étranges avions et de multiples excavations".

Cependant, leur présence n'était pas passée inaperçue et les deux survivants de la base de Maudheim avaient vu leurs camarades se faire capturer et exécuter un par un. Après avoir été témoins de six exécutions, ils s'étaient enfui par le tunnel, mais trop tard : "les hommes polaires arrivent !", avait alors hurlé le survivant. Les forces ennemies à leurs trousses, ils n'avaient pas eu d'autre choix que de retourner à leur base pour informer par radio leurs supérieurs de ce qu'ils avaient découvert. Ils avaient réussi à rentrer à la base, mais, comme l'hiver approchait et qu'il y avait peu de chances pour qu'on vienne les secourir, ils avaient décidé de se donner toutes les chances de pouvoir témoigner de leur découverte. Ils s'étaient donc séparé, chacun prenant un poste radio sans fil et attendant dans un bunker différent. L'un des survivants avait servi d'appât et lorsqu'une poignée d'hommes polaires l'avait découvert dans son bunker, ils avaient cru qu'il était le dernier survivant. Le plan avait fonctionné, mais au détriment de sa vie et de la radio, car le brave du bunker numéro un détenait le seul poste radio sans fil opérationnel qui fut détruit dans la bagarre. Le deuxième survivant n'avait plus eu d'autre choix que de s'asseoir, attendre, et essayer de ne pas devenir complètement fou.

Une source d’énergie inconnue

Sans explications satisfaisantes, l'homme nous parla ensuite des hommes polaires comme étant des produits de la science nazie. De la même manière, il tenta de nous expliquer la manière dont les Nazis se fournissaient en énergie : celle-ci provenait, d'après lui, de l'activité volcanique, qui, à travers sa vapeur, leur permettait de produire de l'électricité. Mais il semblerait que les nazis disposaient d'une source d'énergie inconnue, car le survivant déclara :

" ... d'après ce dont j'ai été témoin, la quantité d'électricité requise est supérieure à ce que pourrait produire, à mon avis, de la vapeur".

Les scientifiques de l'expédition rejetèrent la plupart des informations livrées par le survivant, lui reprochant même son manque de culture scientifique et objectant que ces données "ne pouvaient en aucun cas être véridiques". Le major, quant à lui, voulait en savoir plus : en savoir davantage sur l'ennemi que nous avions à affronter et sur ce qu'allait bien pouvoir faire l'homme polaire qui s'était échappé. La réponse ne fut pas pour nous réconforter et poussa le scientifique à annoncer que le survivant était "bon à enfermer". Il n'y a pas de mots pour exprimer ce que nous ressentîmes en entendant la réponse : "Il va attendre, nous épier en se demandant quel goût nous pouvons bien voir."

Un paysage saharien

En entendant cela, le Major ordonna qu'un tour de garde fut établi pendant que lui et le scientifique discuteraient, en privé, de la suite de la mission.

Le lendemain matin, on nous ordonna d"'inspecter le tunnel" et pendant les quarante-huit heures qui suivirent, nous progressâmes régulièrement vers la vallée sèche, lieu du supposé "ancien tunnel". En arrivant dans la vallée sèche, nous fûmes tous abasourdis, car on nous avait dit que l'Antarctique était totalement entouré de glaces et pourtant, nous étions dans un paysage qui rappelait le Sahara.

Nous avions l'interdiction d'approcher du tunnel avant que le camp de base provisoire n'eût été dressé. Pendant que les hommes construisaient la base, le scientifique et le major inspectaient le tunnel.

Au bout de quelques heures, ils revinrent au camp pour nous faire part de ce qu'ils avaient vu et de notre prochain plan d'action. Le tunnel n'était pas du tout ancien, d'après le scientifique. et le major ajouta que les murs de granit poli semblaient interminables. Nous pourrions le constater nous-mêmes le lendemain, après une bonne nuit.

Juste avant de nous assigner nos tours de garde, on nous confirma qu'il s'agissait de suivre le tunnel jusqu'au bout, "jusqu'au Führer, au besoin".

Il est difficile de dormir dans l'Antarctique pendant les mois d'été, à cause de la lumière du jour qui brille perpétuellement. Mais cette nuit-là, le sommeil fut encore plus long à venir...

Autopsie d'un homme polaire

Et cette nuit-là, l'homme polaire revint, effectivement. Mais cette fois-ci, il n'y eût pas de victime dans notre camp : l'homme polaire s'écroula sous nos balles. Le scientifique, après avoir examiné le cadavre, déclara que l'homme polaire était un "humain", certes plus poilu et mieux armé contre le froid. Après une autopsie rapide, le corps fut mis dans un sac afin d'être conservé jusqu'à un prochain examen plus minutieux.

Le lendemain matin, deux personnes restèrent à l'entrée du tunnel, avec le cadavre, les chasse-neige, l'équipement et, le plus important, la radio. En tête de l'expédition, le major était accompagné du Norvégien et du scientifique. Le survivant, lui aussi, était indispensable au succès de la mission. Nous voulions tous nous joindre à eux.

Je fus choisi avec quatre autres hommes tout joyeux : nous allions entreprendre l'une des expéditions les plus passionnantes, et peut-être les plus importantes, de l'histoire de l'humanité. Bien que leur rôle fût tout aussi essentiel pour le succès de la mission, les deux compagnons qui restaient à l'entrée du tunnel étaient déçus.

Une véritable ruche technologique

En nous préparant tous les neuf à entrer dans le tunnel, nous nous assurâmes que nous avions emporté suffisamment de munitions et d'explosifs pour mener un affrontement et peut-être détruire la base dans son intégralité, car telle était notre mission : non pas sauver, mais détruire. Nous marchâmes longtemps dans l'obscurité et, au bout de quatre heures,nous commençâmes à percevoir de la lumière au loin, à environ une heure de marche, une heure interminable, la tête pleine de questions. Finalement, nous arrivâmes dans la vaste caverne éclairée artificiellement. On se dirigea ensuite à l'endroit d'où les survivants avaient été témoins des exécutions. En observant d'en haut les galeries de la caverne, nous fûmes ébahis par le nombre d'ouvriers qui s'activaient ici et là, comme des fourmis.


Mais ce qui était le plus impressionnant, c'était l'énormité des constructions en cours. Tout semblait indiquer que les nazis étaient dans l'Antarctique depuis longtemps. Le scientifique notait tout ce qu'il pouvait, dessinait des diagrammes, prenait des échantillons de roche, et des photos. Le major, de son côté, s'intéressait davantage à la manière de détruire la base sans être pris par les nazis.

Au bout de deux jours de reconnaissance attentive, le scientifique et le major décidèrent des cibles pour les mines. Elles allaient devoir être placées tout autour du toit de la caverne.

D'autres cibles étaient également prévues, comme par exemple le générateur et les cuves d'essence ainsi que, si possible, les dépôts de munitions.

Trois survivants seulement

Pendant toute la journée, nous posâmes des mines et primes des photos de cette technologie très avancée ; nous prîmes aussi un otage, un "homme polaire".

Une fois les mines posées et les preuves substantielles de l'existence de la base rassemblées, nous nous dirigeâmes vers le tunnel.

C'est alors que nous fûmes découverts et poursuivis par des hommes polaires et des nazis.

En atteignant le tunnel, nous plaçâmes un obstacle sur le passage de sorte à ralentir nos ennemis assez longtemps pour que les mines explosent. Certaines mines avaient été placées à l'entrée du tunnel, et quand nous entendîmes les explosions, nous espérâmes que nos poursuivants avaient été atteints. Il n'en était rien.

Les mines avaient bien obstrué le tunnel, mais les nazis et les hommes polaires nous poursuivaient. Seulement trois d'entre nous en réchappèrent : le Norvégien, le scientifique et moi-même. Quand nous atteignîmes la vallée sèche, suffisamment de mines avaient été posées pour fermer le tunnel à jamais. Après que les mines eussent explosé, il ne subsista aucune trace de tunnel. Curieusement, il resta très peu de preuves de la mission. Qu'elles aient été perdues accidentellement ou à dessein importait peu, car le scientifique était déjà parvenu à ses conclusions et la mission avait été accomplie.

Retour aux Îles Falkland

Le camp fut démonté et nous rentrâmes à la base de Maudheim d'où l'on nous évacua. On nous transporta par avion jusqu'aux Colonies des Îles Falkland. En atteignant la Géorgie du Sud, on nous distribua une directive nous interdisant de révéler ce que nous avions vu, entendu, et rencontré. Le tunnel fut expliqué comme n'étant rien de plus qu'un accident naturel, "une érosion glaciaire". Les hommes polaires n'étaient autres que "des soldats débraillés devenus fous". La présence d'Allemands n'a jamais été mentionné dans le rapport, et toute idée de rendre publique la mission fut fermement rejetée.

La mission ne serait jamais rendue officielle, bien que certains éléments de celle-ci aient
déjà fait l'objet de fuites vers les Russes et les Américains.

Aucune reconnaissance

Ainsi mon dernier Noël de la Seconde Guerre mondiale se passa-t-il sur le continent Antarctique en 1945, à combattre les mêmes nazis que j'avais combattu tous les Noëls depuis 1940.

Le pire, c'est le fait que l'expédition n'ait jamais reçu aucune reconnaissance ni les survivants aucun honneur.

Au contraire, les survivants britanniques furent démobilisés, le rapport du scientifique disparut. Cette mission n'a jamais figuré dans les livres d'histoire, alors que s'y trouve la mission de 1950, menée par une expédition conjointe de Britanniques, de Suédois et de Norvégiens, et qui dura jusqu'en janvier 1952. Elle avait pour but de vérifier et d'enquêter sur certaines découvertes des expéditions nazies de 1938-1939 au Neuschwabenland.

Neuschwabendland revisité ensuite

Cinq ans après notre mission, Maudheim et Neuschwabenland furent revisités, et cette expédition avait tout à voir avec la campagne du Neuschwabenland, mais, plus important, avec ce que nous avions détruit. Pendant les années qui s'écoulèrent entre les deux missions, la Royal Air Force ne cessa de survoler le Neuschwabenland.

La raison officielle invoquée par la RAF pour ces vols intensifs était la recherche de lieux propices pour établir des camps de base. Toutefois, on ne peut s'empêcher de se poser des questions. »

(NDLR : ici finit le récit de l'officier du SAS).
Source : http://ufotopsecret.over-blog.com/pages/OVNI_nazis_La_base_secrete_allemande_en_Antartique-4190539.html
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 26 Juin - 0:22

Le dernier survivant n a pas de nom et ne cite aucune unite de combat.Une belle invention,pas du tout credible.


Sur le site,il parle de centaines de U-boot ayant disparus dans l antartique,c est du delire pur!

Quand aux soucoupes volantes des 1934...certains confondent les comix US de l epoque avec la realite.




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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 26 Juin - 6:16

Bonjour,

Je ne prendrais pas plus de gants que Naga.
Very Happy
Le blog cité en source est celui d'un groupe d'allumés qui délirent sur les OVNI.
En phase terminale de la maladie contagieuse "on nous cache tout, on nous dis-rien", ils publient des photos de soucoupes volantes provenant des soirs ou le fils du voisin joue avec son petit crayon laser et ou un chat, ayant absorbe par erreur un liquide phosphorescent, fait des pipis lumineux depuis un toit.
Ils sont presque tous américains, ayant la chance de vivre dans un pays ou l'internement psychiatrique s'applique très rarement.

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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 26 Juin - 13:10

Pure fantaisie
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 26 Juin - 15:17

d accord merci pour les informations Smile j étais un peu perdu avec cela .
[quote]Daniel Laurent Mar 26 Juin - 5:16 Bonjour,
Je ne prendrais pas plus de gants que Naga.

Le blog cité en source est celui d'un groupe d'allumés qui délirent sur les OVNI.
En phase terminale de la maladie contagieuse "on nous cache tout, on nous dis-rien", ils publient des photos de soucoupes volantes provenant des soirs ou le fils du voisin joue avec son petit crayon laser et ou un chat, ayant absorbe par erreur un liquide phosphorescent, fait des pipis lumineux depuis un toit.
Ils sont presque tous américains, ayant la chance de vivre dans un pays ou l'internement psychiatrique s'applique très rarement.

quesque tu m as fait rire avec cela Smile
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMer 12 Déc - 9:35


Comme pour Roswell, l'histoire des soucoupes volantes allemandes fait partie d'une suite sans fin de bobards répercutés, à la différence que ceux-là sont arrivés plus tard encore dans le monde médiatique. Comme le remarque Gildas Bourdais, dont je ne partage pourtant en rien les thèses sir Roswell (je tiens à le préciser à nouveau), en effet, la fameuse soucoupe intitulée bien entendu "V quelque chose" n'est en effet pas apparue immédiatement après la guerre, mais plus tard. "On ne trouve pas une seule trace du V7 dans les livres d’historiens de l’aéronautique : « …tout ce qui concerne les prétendues soucoupes volantes nazies, provient de la grande presse classique à partir de 1950 pour l’Allemagne, la terminologie V-7 apparaissant pour la première fois en 1952... dans un quotidien français ! » Le quotidien étant France-Soir dans ses deux éditions du 7 puis 14 juin 1952, selon lui. L'auteur de l'article citant les "recherches" d'un obscur chercheur, Rudolf Schriever, jusqu'ici jamais cité parmi les chercheurs allemands dignes d'intérêt, tels que ceux listés par Arnold et Karman.
Pas plus pour Paperclip que pour Lusty, nul part le nom de Schiever n'était apparu. D'où sortait cet olibrius, voilà bien le problème. Comment les américains auraient-ils copié des engins dont pas un rapport de l'époque ne mentionne la découverte est encore plus risible : nous avons vu que les américains on raflé "scientifiquement" une bonne centaine de V1 pour les expérimenter à Las Cruces (une soixantaine ont été tirés au total), qu'une majeure partie est retombée en petits morceaux (ou de plus gros !) dans les alentours, et qu'ils ont amené à Freeman Field un Horten IX qu'ils n'ont ni testé en vol ni remonté depuis (à moins peut-être de la venue d'une pilote expérimentée comme Anna Kriesling, aperçue semble-t-il à Edwards, mais sa personnalité mystérieuse - c'est elle qui aurait été à bord du Ju-390 arrivé devant New-York- n'a laissé que des bribes d'information à son sujet). Comment auraient-ils fait pour fabriquer cet appareil dont les moyens de propulsion fantomatiques seront tout d'abord décrits comme "par génération de courants magnétiques", puis au fil du temps par l'"anti-gravité" pour finir par la raccrocher à la fameuse "MHD" de notre fêlé national, j'ai cité J-P. Petit et son esbroufe pseudo-scientifique habituelle .


Si pour les Horten et les chasseurs à moteur-fusée ou à réaction, on connait désormais leur sort sur le sol US, là, à l'exemplaire près ou presque, aucun élément, aucun papier déclassifié n'a été découvert pour en révèler un semblant de boulon ou de rivet (vu que dans les représentations imaginaires, les artistes ufologues lui ont surtout donné le look d'une tourelle de cuirassé volant voire de tank dessiné par Leonard de Vinci, histoire de l'insérer dans le flux de l'histoire, sans doute). En lui faisant porter des noms à dormir debout (je fais l'impasse sur les modèles , ça me gonfle trop à énumérer, entre "Vril" et "Haunebu" !), et en les citant comme origine sur toutes les photos d'OVNIS des années 50, telle celle très connue du cavalier arrêté au bord d'une rue, où trône une lampe suspendue à un fil que la définition de l'appareil photographique de l'époque ne pouvait saisir en définition. En Chine, on avait déjà eu le même phénomène.



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L'un des noms qui apparaîtra assez vite chez les soucoupistes s'appelle Viktor Schauberger, un autrichien d'origine, plutôt farfelu, dont on présentera les projets de turbines à eau comme étant ceux de "soucoupes nazies". C'était à son propos commettre deux graves erreurs. L'homme n'avait aucun lien direct avec l'aéronautique et encore moins avec les nazis : "En réalité Viktor Schauberger (1885-1958) était un technicien un peu lunatique qui ne construisait aucune soucoupe volante mais s'était spécialisé dans les turbines à eau, lesquelles n'étaient aucunement des moyens de propulsion de soucoupes volantes, mais par exemple des turbines pour les centrales hydroélectriques ou d'arrosage de gazon. Sa participation technique à l'aéronautique militaire allemande s'est limitée à travailler aux systèmes de refroidissement à eau des moteurs d'avions chez Messerschmitt. Loin de se réjouir de travailler pour le régime nazi, il a été repéré par la Gestapo comme opposant au nazisme et s'est retrouvé au camp de concentration de Matthausen avant la guerre, n'en sortant que pour travailler chez Messerschmitt. Il est devenu maintenant le sujet de fantasmes, prétendument inventeur d'une soucoupe volante magnétique dite "la Répulsine", certains sites Internet allant jusqu'à montrer une de ses turbines à eau comme étant une soucoupe volante ! » "(P. Gross).
Il est vrai que sa turbine à eau à effet vortex avait toute l'apparence d'une soucoupe volante, une fois séparée de sa tuyauterie... son générateur familial était aussi impressionnant... une fois son capot enlevé, mais ça restait du domaine de la plomberie pure et simple et non de l'aviation.



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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMer 12 Déc - 9:44



En réalité, les racontars et les inepties sur les prétendues soucoupes nazies sont apparus historiquement pour la première fois non pas aux USA mais... en Italie, en mars 1950. Et c'est l'œuvre, avant tout, d'un véritable fasciste : Giuseppe Belluzzo, disparu en1952, un ancien motoriste spécialiste des locomotives à vapeur, qui a été effectivement membre du parti fasciste italien, et même ministre trois ans sous Mussolini ! Les journaux Corriere della Sera", "La Nazione", la "Gazzetta del Popolo", le "Corriere d'Informazione" reprendront successivement ses affabulations comme quoi les fameuses soucoupes volantes avaient été inventées en Italie (qui avait pourtant raté avec brio l'avènement de la réaction avec le démonstrateur inutilisable Camproni-Campini), que les allemands les avaient "améliorées"' et qu'il n'y avait pas de pilote à bord car elles étaient "téléguidées".
A ceux qui ne pensent pas qu'idées fascisantes et soucoupisme pouvaient être liés, à eux d'étudier le sujet sur un angle historique seulement. Ils en reviendront peut-être, qui sait, ne désespérons pas de les voir un jour cesser de tout mélanger. Si aux Etats-Unis la peur de l'invasion extraterrestre des années 50, qui marque les médias et le cinéma notamment n'est que l'image projetée de la grande crainte russe de la guerre froide, la revendication patriotique de Belluzo est celle d'un politicien aigri ayant vu son parti favori dissous, et son maître tué, puis pendu à un croc de boucher. Résolu à une explication "terrestre", Belluzo ne pouvait qu'accorder en bon patriote la paternité de son invention... qu'aux ingénieurs italiens !



allemands en antartique A111




Le lien avec le fascisme se perpétuant bien après lui, avec les admirateurs du grand Reich de 1000 ans qui ne peuvent aujourd'hui encore en imaginer la fin en 1945. Alors pour ça, il leur faut entretenir l'idée d'une prétendue supériorité technologique, au-delà de ce qu'est capable l'être humain (leurs soucoupes "nazies" sont chez eux pilotées, bonjour les "g" encaissés ! ), leur adoration pour Hitler tournant à la déification pure et simple : comme il faut bien cacher tout cela, ils ne regardent surtout pas du côté de Bariloche (surtout pas, on l'a bien vu ici quand un individu est venu à plusieurs reprises nier l'existence même des photos du nazi Priebke faites en 2009 au Llao Lao !).
Bariloche, où, on l'a vu, les sommités nazies se sont pourtant réfugiées grâce à Péron (et à l'Eglise !) pour tenter de continuer ce qu'ils avaient entrepris, grâce aux monceaux d'or transférés dans leurs valises. Alors, pour se raccrocher à leur monde perdu, ils en ont recréé un autre de toutes pièces, aussi abracadabrantesque que leur vision des faits historiques : c'est simple, pourtant, bon sang : quant à mentir, autant mentir en grand ! Les nazis, selon eux, en 1945, se sont donc réfugiés en Antarctique car c'est là la porte d'entrée de la terre... creuse, et le pôle est sa porte d'entrée ! L'une des plus grotesques théories, remises au goût du jour dans les années soixante par le célèbre duo Pauwels et Bergier ! A pleurer de bétise (lire ici !), à faire retourner ensemble dans leurs tombes Haroun Tazieff...et Alfred Wegener ! Une thèse destinée avant tout pour éviter de parler de l'Argentine ! Et du noyau "dur" de Bariloche, qui n'avait pas que l'atome comme centre d'intérêt, mais bien une admiration sans borne perpétuée pour le Führer ! Et parmi ces admirateurs, l'un des pires, qui croit lui aussi qu'Hitler avait réussi à fuir, mais pas vraiment en Argentine :

« (Ernst) Zündel est un révisionniste qui nie l'Holocauste et a écrit plusieurs livres racontant que les nazis ont fait voler des soucoupes volantes, comme dans "UFO :
Nazi Secret Weapons", "The CIA-KGB UFO Cover-up". Sur son site Internet il avait annoncé une "expédition" pour dénicher les "bases secrètes" nazies en Antarctique, en exigeant de chaque personne qu'il souhaiterait participer à l'expédition le versement de 10 000 $. Il y écrit que les OVNIS sont nazis, que la Terre est creuse, et que les ufologues sont des "charlatans qui racontent des histoires de petits hommes verts". » (P. Gross). Les négationnistes savent-ils que leur héros croient aussi à ses thèses de fêlés ? Je n'en suis pas sûr, à les voir le suivre comme moutons de Panurge. Zündel a toujours vécu de la crédulité des gens et de leur manque de connaissances historiques, c'est une évidence. Comme la plupart des soucoupiens, et leur religion révélée du martien ou du vénusien les ayant "visités", comme l'Archange Gabriel dans un autre cas de figure de croyance manifeste. Zündel, tant admiré oar les belges néo-nazis, comme ceux de Blood and Honour, qui tiendront meeting de soutien en sa faveur le 19 mars 2005 près d’Anvers, meeting auquel participeront Siegfried Verbeke et Christian Worch mais aussi Vincent Reynouard. Le grand ami de Blanrue, l'homme qui sort tout juste de la prison de Valenciennes pour négationnisme à répétition. Et va sans doute y retourner très bientôt... continuant à tenir les mêmes propos outrageants.


Le mélange plus tardif des genres Adamski et théorie de soucoupe purement nazie est l'œuvre du français Charles Garreau, Journaliste à France-Soir auto-bombardé ufologue pour avoir écrit "Alerte dans le ciel !" (1954), premier récit sensationnaliste d'apparitions d'OVNIS et "d'enlèvements" , qui décrira en 1956 un appareil... Bien conventionnel (de propulsion), hormis sa forme : "Equipé. de douze turboréacteurs BMW 028, munis de compresseurs autonomes à six étages, il développerait 5500 chevaux (5400 CV en vol) et 2600 kg de pression additionnelle (2900 kg en vol).
La propulsion s'effectuerait par douze turbines à l'intérieur d'un anneau métallique tournant autour de la masse centrale. Ni flammes, ni fumées ne seraient visibles, les gaz de combustion étant récupérés par un système spécial mis au point en 1938 par un ingénieur britannique. » Ouah, quel engin : avouez que de réussir à faire décoller verticalement pareil bazar aurait effectivement constitué un exploit, au vu du manque de poussés chronique des BMW de l'époque ! Et je ne vous parle pas de la consommation de kérosène !




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A noter que l'auteur, qui visiblement ne comprend rien à l'aviation parle à demi-mot de post combustion, inconnue en 45 et même 46 (le premier avion a en être muni est le Starfire US sorti en 1951 seulement), et tente de faire dans la furtivité en masquant comme il peut le problème des fumées de réacteurs par une invention non référencée.
Si les allemands avaient effectivement des projets d'avions à six réacteurs ou davantage, on en connait aujourd'hui les formes, oscillant entre l'aile volante delta, façon Avron Vulcan, au premier modèle anglais de bombardier à réaction entré en service pour délivrer la première bombe atomique anglaise, le Valiant. Chez les allemands, c'était le Junkers Ju EF 132 testé en l'état de maquette dans la soufflerie de Dessau en 1945.



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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMer 12 Déc - 9:54



En fait, les légendes sur les soucoupes nazies sont comme par hasard apparues dans le grand public après les déclarations d'un des premiers et pires escrocs de l'ufologie :
George Adamski, prétendu "emporté" par des extraterrestres "venus de Vénus"... pas si "extras" que ça en fait : l'homme tiendra en effet à tout prix à les décrire comme des blonds aux yeux bleus, ses "visiteurs de l'espace" et pour mieux nous en convaincre montrera un jour une "empreinte de pas" (en plâtre) de ses fameux visiteurs : comme par hasard, ils possédaient des bottes dont la semelle comportait, vous n'allez pas le croire... une croix gammée (imprimée dans le bon sens, ils pensent à tout ces vénusiens) ! "Contacté" au milieu du Désert de Calfifornie pour aller faire un tour sur la face cachée de la Lune, bien sûr, puisqu'à l'époque Borman et Lovell n'y étaient pas encore allés. Au cas où le terrien moyen, doté on le sait du QI d'une huître, n'aurait pas d'où il était venu, ou plutôt par où il était passé auparavant, le "Vénusien". Adamski n'expliquant pas en tout cas le service de location de type Hertz géré par les ingénieurs nazis à ces vénusiens tombés en rade dans la banlieue terrestre, à coup sûr. Si c'est au détail qu'on évalue la supercherie, celui- là est gros, très gros !


Dans un numéros de LDLN, (n° 287-288, mai/juin 1988, p. 13-19). rappelle Bourdais, Franck Boitte, dans : "Eclaircissements possibles sur la signification des symboles figurant sur les moules de Desert Center, 20 novembre 1952" avait rappelé qu'Adamski adorait la mythologie tibétaine, chez qui la svastika est omniprésente. Un autre sinistre farceur, Claude Vorilhon, alias Raël, dira avoir vu le même signe cabalistique "gravé sur l'appareil et sur la combinaison" de l'extraterrestre qu'il prétend avoir rencontré". (Page 123 de son livre : "Le Livre qui dit la vérité".), rappelle non sans malice Bourdais (en nous rappelant d'autres propos, du même tonneau sur les mêmes sujets ; les mêmes qui reviennent en effet en cascade).
Les faux-gourous n'en ont pas encore fini de vider l'héritage douteux. Et quand ce n'est pas Adamski, c'est un autre grand agîté qui s'y colle : Bob Lazar, autre cas d'espèce, tout aussi atteint que Vorhilon, les relents de pédophilie (clairement revendiquée) en moins. Remarquez, chez Lazar, les soucoupes ne viennent pas d'Allemagne. Non, mais de... Roswell, ce qui, à tout bien compter, n'est guère plus crédible, avec ce que nous en savons aujourd'hui.




allemands en antartique A311



Adamski, Lazar sont sans aucun doute des escrocs. Mais il y en a d'autres encore. En premier donc, comme a pu le voir, est arrivé le polonais Witkowski et sa fable de centrale à soucoupes, en réalité les vestiges d'une tour réfrigérante industrielle classique. Un escroc de plus, mais chapeauté aujourd'hui par un autre larron, Nick Cook, ancien de chez Jane's, qui a regroupé ces informations récentes pour mixer le tout avec le vieux mystère de la Zone 51, dont il ne connaît que fort peu de choses à vrai dire pour un spécialiste de l'aviation, à voir ses reportages lénifiants. Car Cook va défendre les thèses de Witkowski dans ce qu'elles ont de plus farfelues, comme le précise Salon.com, qui raconte ici comment Cook a obtenu ses informations : "un "chercheur" appelé Igor Witkowski m'a montré une ancienne mine, où, selon lui des scientifiques SS avaient travaillé sur une machine appelée la Cloche, un engin en rotation qui utilisait beaucoup d'électricité sur place. "Ils ont cherché à tester une sorte de machine antigravitationnelle" ; affirme Witkowski. D'autres pensent que cela aurait pu être une machine à voyager dans le temps.
Puis Cook découvre encore un autre programme anti-gravité, une soucoupe volante appelée "répulsine". Cook conclut qu'un fonctionnaire nommé Hans Kammler SS possédait la technologie et amis cela en boîte et l'a transporté dans un endroit sûr, plus tard, aux USA". La "Répulsine" on l'a vu n'est qu'une des nombreuses inventions de Schauberger, une de ces turbines à eau et Klammer a été déclaré mort ou suicidé selon 4 témoignages différents, mais bon, c'est déjà tellement flou comme "informations" sur la question qu'on n'insiste pas. On assiste donc à un paradoxe phénoménal : un homme
qui jusqu'ici a fait carrière dans l'information sérieuse (les éditions Jane's sont crédités partout d'une réputation sans faille) s'est lancé il y a peu dans la rédaction d'ouvrages juteux, aux propos vagues, dans lequel il récupère des thèses infondées les plus diverses, pour en conclure que les soucoupes volantes ne sont pas extra-terrestres mais proviennent des recherches allemandes sur l'anti-gravité. Il y a de quoi écarquiller les yeux ou se boucher les oreilles !

Outre qu'on s'y enferme sec, à se balader en voiture avec l'auteur, la plupart du temps, on y apprend fort peu de choses à vrai dire, dans des séquences à la Paris Texas. On commence tout d'abord par la visite d'un salon de défense. Puis on y annonce la rencontre avec celui que je viens juste de décrire, Robert Widmer, auteur du projet Fish qui a été battu sur le fil par l'YF-12 (A-12, devenu SR-71) fabriqué par les gens des Skunkworks et dont j'ai salué aussi la disparition il y a peu. Widmer, qui raconte que son avion "était le plus ressemblant possible à une soucoupe".
Pour Cook, le programme SR-71 est devenu "white" à savoir qu'il a été rendu public alors que le Fish est resté un programme "black", Widmer lui expliquant qu'il n'a même pas pu garder de copie des plans de son appareil. Une fois construit, son avion a été "classé" dit-il, "ce qui signifie plus fort que secret". Et tous les plans ont été détruits ou brûlés, selon lui. "Comment expliquez-vous cela ?", demande alors Cook, à Widmer qui lui fait comprendre que c'était... la règle. Et que dans ces constructions, il n'y avait rien comme engin antigravitationnel, l'avion de Widmer ayant été décrit depuis, avec quelques rares photos égarées, même d'une maquette à taille 1/2 . Ce projet était plus loin que le projet Aurora, dont Cook a retrouvé un témoin "politique" : Dana Rohrarabacher, qui a enquêté sur la question et est tombé sur le même mur que celui qu'avait rencontré le constructeur du Fish. Le député avait demandé à Clinton de déclassifier le projet Aurora, et s'était fait renvoyer en beauté. Selon Cook, c'est le gouffre financier gigantesque du projet qui en était la preuve : des fonds secrets plus que conséquents lui avaient été consacrés en dehors de la connaissance des députés ou des sénateurs.

Mais des fonds tellement importants selon Cook que l'Aurora seul n'aurait pas pu les absorber à lui seul... il devait y avoir d'autres programmes, laisse-t-il entendre. Si bien qu'au bout de 15 minutes, après ce début pourtant bien "technologique", le reportage bascule avec la citation du nom "flying saucer" (soucoupe volante) ! Et c'est parti pour les soucoupes, et les platitudes habituelles, ou les Ufologues du même tonneau ! Nous voici à Houston, maintenant, pour un lancement de fusée, là encore que du bien classique : pour Cook, l'exemple ce ce qui n'a pas beaucoup changé depuis 1945, et là, il n'a pas vraiment tort en effet. Résultat, au plan suivant, nous voilà balancé dans des notions "d'espace courbe" de "3eme dimension", pour pouvoir "traverser l'univers". Comment peut-on passer de l'un à l'autre aussi brusquement, musique intrigante à l'appui, c'est toute la magie d'un reportage.. vite torché. On a bien affaire à un documentaire... foireux. Au bout de 25 minutes, on a bien basculé, comme il le dit lui-même dans le "tout est possible" ! C'est bien du flan complet, car Cook, à ce stade, a déjà choisi de nous entraîner ailleurs. On atterrit donc vite pour se faire "à l'endroit où la première bombe atomique a explosé, le...Nouveau-Mexique".




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Endroit où l'on rencontre bien sûr au plan suivant le couple Charlie et Elaine Bates, "ufologues" patentés. Bingo, on sait déjà où il va nous mener après, le Nick Cook : là où nous avons été confrontés à une visite extra-terrestre, clame Charlie. Roswell, bien entendu ! Et à "l'antigravité", bien sûr !!! Nous voilà déjà reparti en voiture, direction Ken Frye, archéologue, nous racontant une séquence à la Rencontre du 3eme type. On a définitivement quitté l'aviation pour les OVNIS. Bingo, la séquence suivante est sur les célèbres mutilations animales ! Racontées par un fermier ou un journaliste (David Perkins), avec le commentaire de Charlie revenu nous dire que le gouvernement "cachait quelque chose" avec ses mutilations (que j'ai expliqué ici-même, déjà). Retour à Bob Widmer, et ce qu'il avait dit sur la CIA qui lui avait pourri la vie, et celle de sa famille ; avec sa manie du secret. Mais toujours aussi peu de révélations à se mettre sous la dent, à part se balader en bagnole sur les routes de Californie ! Nous voici pourtant aux Skunkworks (avec son responsable, Jack Gordon), qui, on le sait, n'ont pourtant jamais rien eu à voir avec les soucoupes volantes. Mais là, c'est le journaliste à scandales Jim Marrs, "le théoricien du complot" qui intervient alors. Pour nous reparler... OVNIS et "matériel d'un autre monde", ou "provenant des recherches allemandes"... Bingo, on y est, après une heure pile de diffusion du document, nous y voici ! Une heure pour arriver à ce dont on se doutait au début !







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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMer 12 Déc - 10:03


Nous voici aux "soucoupes nazies", mais on déchante très vite avec le témoignage de Lyn Buchanan, retraité de l'armée, venu raconter une histoire à la Bob Lazar, son propre transport à bord d'un "vaisseau d'aliens". Une histoire "qu'il aurait oublié 25 ans, et qui lui serait revenue subitement". Superbe, le plan !
On passe alors à la séquence suivante, arrivée comme un cheveu sur la soupe : les armes laser. Celle présentée par J.Rich Garcia, le Boeing YAL-1 Airborne Laser (aujourd'hui abandonné comme arme depuis l'annonce du 6 avril 2009), une séquence "techno" vite remplacée par la visite un bar proche de la base 51, "The Little A"le"inn", tenu par Pat et Joe Travis, où trône une photo d'un alien de pacotille, façon fake de Roswell. L'auteur a fait plus de 8000 bornes pour atterrir au bistrot, en voilà un journaliste de terrain ! Les deux tenanciers lui décrivant une autre histoire façon "Rencontres" de Spielberg, la grande lumière blanche en cadeau Bonux. On y est à nouveau, avec rien de vraiment neuf. Mais avec Mark Farmer, le contact local de Cook.Auto bombardé "Black Projects Investigator". Suivent les plans photos connus de tous depuis des années, pris de loin bien sur de la base 51. Et... rien. Sauf Glen Campbell, autre Black World Investigator", qui raconte qu'un pays qui a un côté "sombre" à cacher n'est pas vraiment démocratique, ce en quoi il a entièrement raison. Et voila qu'apparaît enfin Helen Frost, veuve d'un employé de la base, mort d'un cancer, et qui raconte que la route qui mène à la base est surnommée "l'avenue des veuves", les morts étant imputés aux matériaux étranges qu'on y manipulerait. Son pauvre mari étant mort, en perdant sa peau par pans entiers, dit-elle. Une veuve qui n'a évidemment reçu aucune compensation, qui aurait été reconnaître la dangerosité du travail de son mari. On n'en saura pas plus : le B-2, on le sait, est peint d'une matière qui lui donne une grande partie de son invisibilité, et la composition de cette peinture n'a pas dû beaucoup aider à améliorer la santé de son défunt époux. Ce que n'a pas l'air de savoir notre spécialiste, qui préférerait sans doute nous entraîner vers une maladie due aux radiations ou a l'excès de magnétisme, sans aucun doute ! Et on va en rester là, le bec dans l'eau, après ce témoignage alarmant, ou plutôt en plein désert, sur une vision de vol d'un U-2... après être passé par les soucoupes, nazies ou capturées... avouez qu'il y a de quoi être frustré !!! Ce documentaire qui est destiné au grand public est décidément fait par dessus la jambe !!!






allemands en antartique A410



Mais on peut toujours faire pire. On n'avait encore rien vu semble-t-il, après ce flot de bêtises et d'âneries répétées, ou après ce voyage d'une grande inutilité.. Un dernier ouvrage allait faire plus fort encore que les précédents, celui d'un auteur bardé de diplômes, dans son cv, (ce qui ne signifie pas grand chose aux USA) et qui pourtant ressortait froid des thèses déjà bien déjantées déjà servies chaudes en y ajoutant une touche supplémentaire d'imbécillité manifeste : Annie Jacobsen, c'est son nom, dans son genre, a atteint des sommets de ridicule (Jon Stewart se fichera bien d'elle !), en mixant tous les ragots possibles pour en faire un brouet qui, comme les autres, s'est vendu à des milliers d'exemplaires, bien sûr, vu le sujet. Mail On Line, signale Bourdais en résume la quintessence. Accrochez-vous, c'est du lourd : "Une révélation explosive sur le crash de Roswell en1947 : un nouveau livre prétend que "l'engin alien" accidenté était une invention nazie et que les corps d'"aliens" supposés étaient ceux d'aviateurs mutants malformés, œuvre du Dr Joseph Mengele, l"ange de la mort" du Troisième Reich. Et c'était orchestré par le leader soviétique Josep Staline pour effrayer les Américains". Faire pire, ou plus débile, à ce stade, me paraît impossible ! L'entendre chez Stewart parler des frères Horten partis travailler chez Staline est d'un grotesque sidérant ! Remarquez, avoir réussi à donner comme explication aux peu d'éléments retrouvés sur place que des êtres atteints de nanisme provoqué sortis d'un clone soviétique du Horten IX crashé (c'est bien l'engin qu'elle décrit !) avaient été envoyés par Staline est une belle prouesse : moi-même, après avoir mis dans un chapeau tous les noms-types, roswell, UFO, etc...) je ne suis jamais arrivé à créer au sort pareil scénario débile. J'avais dû oublier Staline, ce doit être ça. A voir les publicités actuelles sur le film des Schtroumpfs, je me dis que son ouvrage est sorti trop tôt. Les petits hommes verts, depuis Fredric Brown, ça semblait pourtant devenu courant, les bleus, c'est plus rare... chez les américains, qui, il est vrai, découvrent seulement maintenant Peyo.


Et comme tout se tient, tenez vous-bien, la dame possède aussi un autre pédigrée, que tout le monde semble avoir raté pourtant. Elle est celle qui avait commencé sa carrière internationale dans le... terrorisme, en affirmant avoir été la témoin de scènes du comportement "alarmant" de 13 musiciens syriens de retour d'un concert dans un casino sur le vol Northwest Airlines Flight 327 du 29 juin 2004, en pleine vague Bushiste anti-arabe. Elle y avait appris à surfer sur le buzz médiatique porteur, du temps de Bush, en ajoutant à la vague de suspicion qui tournait déjà à la paranoïa aigüe dont elle a fait preuve ce jour-là en dénonçant ses voisins de fauteuil à la police, à peine débarquée. A bord de l'avion il y avait bien en effet le chanteur Nour Mhanna (Nur Mahana), à la carrière internationale, reçu régulièrement aux USA, et sa troupe, qui le 1er juillet 2004 fera un concert au Sycuan Resort and Casino d'El Cajon, en Californie, réputé pour son parcours de golf. Dans une interview au Time ; le responsable de bord de l'avion avait avoué que "pas un seul instant lui-même ou son adjoint n'avaient perçu de danger à bord, vis à vis des passagers ou de l'avion". Selon lui, la fêlée avait ""sur-réagi" à la présence de citoyens du proche orient à bord"... laissant entrevoir une forme de racisme évident chez notre chère soucoupiste bushienne. Pour Gary Boettcher, president de là Coalition of Airline Pilots Associations, en revanche, "c'était bien la répétition d'un acte terroriste en préparation, les mêmes ayant déjà perturbés un vol au mois de janvier qui précédait" : voilà qui était fort étonnant. Pour ma part, c'est bien la première fois que j'entends parler de terroristes éméchés aussi bruyants et aussi voyants, se faisant aussi bruyamment repérer à deux reprises !

la conclusion ceci "En fait le seul fond de vérité qu’il y a dans cette affaire c’est ceci : les nazis ont sûrement effectué des recherches « avancées » sur l’antigravitation -"




sur JPPetit, un avis assuré d'internaute :

"J.P.Petit est un ingénieur de Supaéro sorti d'école au début des années 60. Il a travaillé quelques mois dans le privé pour la SEP (qui n'avait pas ce nom à l'époque) avant d'être licencié. Il a alors, et de façon tout à fait personnelle, "monté" un petit labo de recherche à Marseille (plutôt un atelier) dans lequel après avoir repris les travaux de Velikhov sur la MHD, il a reproduit quelques une de ses expériences sur des accélérateurs pariétaux, les régimes à effet Hall ... A cette époque, la MHD était encore "confidentielle", pas encore étudiée dans les écoles ....Elle paraissait très prometteuse et emprunte d'un certain "mystère" (un peu comme la relativité à ses débuts ou encore un peu, la mécanique quantique, maintenant). Il a très vite écrit et décrit "ses" expériences dans quelques revues grand-public (Science et Vie, Pour la science, Science et avenir...), ce qui l'a fait connaitre des médias et du grand-public.

C'est quelqu'un qui a su se médiatiser au travers de quelques articles dans des revues grand-publics sans fond scientifique réel, des bandes dessinées et des livres sur les Ovnis ... Il n'a jamais été doctorant, n'a jamais soutenu de thèse autre que sa thèse d'ingénieur (et encore avec bien du retard puisqu'il l'a soutenue au sein du CNRS) et n'a jamais été publié !

Au milieu des années 70, après un accident, il a arrêté son labo et la MHD pour se consacrer à la publication de bandes dessinées dans des journaux comme Spirou, sous différents pseudos (Lartie Shaw, Mylos, Julio...) et a commencé l'écriture de livres "accrocheurs" sur les Ovnis, sur un peuple extra-terrestre qui vit sur terre .... De là, il s'est lancé dans la cosmologie (sans formation d'astrophysicien) et a écrit des livres et des articles sur des théories "décalées" dont les sources venaient de contacts qu'il avait avec des visiteurs extra-terrestres .... comme la vitesse de la lumière variable, les univers parallèles ....

Pendant la même période et parallèlement, il organise des colloques et des conférences sur les mêmes thèmes (Ovni, fin du monde, armes secrètes, peuple extra-terrestre sur la terre .....) puis plus tard sur les théories de tous les complots, notamment :

- sur la comète SL3 qui a percuté Jupiter et qu'il présentait comme une collision provoquée par les militaires dans le cadre d'essais d'une arme de fin du monde.

- sur le 11 septembre, qui 'il voit comme un attentat extra-terrestre ...

- Les séismes ou éruptions volcaniques de ces dernières années présentés comme des faits provoqués par des militaires

- Le tsunami du 26 décembre 2004 qu'il attribue a un déclenchement volontairement du raz-de-marée par les Etats-Unis.


Conspirations diverses et variées ...

Ce ne sont pas de publications scientifiques. Ce sont des publications contributives dans un journal (comme on peut le faire dans Sciences et vie ou autre ...ou dans des internes d'universités.). Ca ne prouve absolument rien et ce n'est pas pour autant reconnu de la communauté scientifique ! Il y a des centaines ou des milliers d'articles de ce genre tous les ans et dans tous les domaines.


par morice

agoravox.fr



soucoupes volantes nazis

http://www.unmuseum.org/germufo.htm




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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMer 10 Avr - 20:43

....Merci pour ces informations hors normes

Ah les V 7 soucoupes volantes....

J'y retrouve les montagnes hallucinées de HP LOVECRAFT et les pulps d'AMAZING STORIES qui ont nourri le bestiaire américain.

Depuis des années je collectionne les gravures de ces pulps à savoir les couvertures sur internet et je précise que dès les années 30 les fanzines montrent des Jurassic parc, des pyramides volantes comme Bilal ou stargate , des portes des étoiles etc.....

Donc certains réalisateus n'ont fait que recycler le folklore SF américain

merci Hugo greenback et sa scientifiction.

Je rappelle aussi que pour certains la guerre ne pouvait être désespérée puisque Arthur n 'était pas venu se battre pour le pays et certains pensaient pareil de Barberousse......

Ile des bienheureux contre KYFHAUSSER....

Bon demain je reprends les vac c'est fini donc plutot les soirs et we pour les post...

Merci de votre accueil

Pierre
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 17 Mar - 13:32

Bien ici je vais réveiller un vieux sujet, en raison, que le titre, n'est pas spécifique aux objet volant allemands, comme je vous en avais déjà parler, mais ici le titre se consacre donc, aux allemands, qui mélanger a toutes les sauces du monde, pour des raisons, ou d'autre, ont rejoins l'Antartique.

Donc, merci en premier au anciens, Pierre Bascou, Naga et bien sur V2. qui ont tous trouvé des premières informations, et qui en 2013, ont pouvait trouvé déjà quelques informations à droite et à gauche, et aussi comme, l'empire de la voix internet, et aussi puissant que suprême, cela nous permet entre autre, aussi de lire, tout les autres auteurs, qui à un moment donné, avait trouvé des informations. Certes sur d'autre forum, si j'avais publier ce premier message, ont m'aurais déjà linché, en raison, que pour certains autres membres, d'autres forum, pour eux, ont dirait, que tant de temps, que un auteur n'est pas un auteur, soit anglo-saxon, ou Anglais, ou Français,
ou encore de quelques autres pays. Pour eux donc, c'est de l’ineptie totale, ou qui contient trop de (Rouge communisme) (trop de croix gammé) donc toujours en trouvant toutes les fausses excuses en y insérant le mot politique à l'intérieur, pour ne pas donner un crédit soit à l'auteur soit au texte.

Et tandis que moi, j'ai admirer, cette liberté de publication, dans notre forum.
Que l'auteur, détient des origines Du nord, du Sud, de l'Est ou de l'Ouest, ces publications, avec les traduction, non jamais été mise en doute, ou pire, non jamais été crucifié pour que surtout, personne lisent la publication.

Ainsi ici j'ai trouvé non pas un auteur, qui ont publier dans de petit magazine, spécifique soit aux histoire d'ovni, ou aux autres histoires, mais bel et bien des auteurs de livres.
Ah ben oui, il ne faut non plus être un gogol, pour savoir, que même actuellement, certaines informations, reste encore classé secret, par les états. Et que bien sûr, ont sait aussi bien, que aucun de nos politiciens, si il ne souhaite pas donnez de raison, il niera de tout son coeur ardent, pour sa conviction a son parti politique, et ainsi, jamais les raisons réelles, seront connu, par le grand publique. Mais houraaaaaaaaaa, vive internet et ses différents moteur de recherche, ce que l'un ne trouvera pas, ou ne détient pas de réponse, le suivant le trouvera...

Ainsi après mon laïus, donc pour une fois je ne vais pas commencer, mais approfondir le sujet, sur les Allemands dans l’Antarctique.
il y'aura bien sur des histoires sur le dirigeable Graf Zeppelin (Artique), mais aussi des navires de la Kriegsmarine, ainsi surement aussi sur la reconnaissance de la Luftwaffe. (Désolé, en raison, que je n'ai pas lu aussi loin en avant).
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 17 Mar - 14:09

L'arctiques secret du troisième Reich a écrit:
AVIS AUX LECTEURS

Voici un livre sur les secrets de l'Arctique hérités du IIIe Reich après la Seconde Guerre mondiale. Au cours de sa préparation (à partir des années 70 du siècle dernier), nous avons collecté des centaines de mémoires écrits et oraux de vétérans soviétiques et allemands participant à ces événements. Heureusement, à cette époque, beaucoup d'entre eux étaient encore en vie, et bien que parfois à contrecœur, ils pouvaient encore parler de leurs découvertes inattendues dans les confins de l'Arctique soviétique,

Cependant, en fait, la décision de publier le matériel préparé a été prise après avoir lu le livre «Swastika in the ice». Par Hans-Ulrich von Kranz, récemment publié par la maison d'édition Vector à Saint-Pétersbourg Base secrète des nazis dans l'Antarctique. " Naturellement, nous avons une question; "Pourquoi aujourd'hui, en Russie, ils publient des documents sur les secrets du Troisième Reich dans l'Antarctique lointain, et les Russes ignorent complètement de tels secrets de leurs propres côtes?"

Certes, nous n'avions pas à notre disposition des documents secrets relatant des événements secrets de la période de la Seconde Guerre mondiale et qui sont stockés dans les entrailles d'un coffre-fort familial dans la maison de von Kranz. Au lieu de cela, nous avons rassemblé tous les faits de découvertes inhabituelles dans l'Arctique et, avec leur aide, nous avons essayé (avec la plus grande objectivité possible) de combler le vide existant.

En préparant ce livre, nous n'avons pas regardé en arrière les jugements des historiens officiels de l'ère soviétique et de certains des historiens russes actuels, qui de nos jours continuent de considérer la plupart des mystères de l'Arctique du Troisième Reich comme un «tilleul à 100%». Et peu importe à quel point cela peut sembler fantastique à certains chercheurs de l'Arctique, il est vrai que ces secrets existent. De plus, pour assurer une sécurité fiable de la nouvelle Russie, il faut les divulguer!

Dans le même temps, nous déclarons de manière très responsable que notre sélection d'événements au moins extraordinaires de la période de la Seconde Guerre mondiale n'est pas encore définitive. Mais le travail accompli a déjà préparé une base solide pour une couverture étendue de loin de l'ensemble du vol scientifique du dirigeable Graf Zeppelin, de l'existence de la base secrète allemande Nord à Murmansk, de la mort du sous-marin Decembrist dans la mer du Nord et d'autres faits historiques peu connus en URSS. De plus, nous pensons que notre publication pourrait nous permettre de découvrir les secret de la base de base des loups gris {1} sur Alexandra Land Island, la base de carburant de la Kriegsmarine à l'embouchure de la rivière Lena et le «pont sous-marin» allemand reliant notre Taimyr à Base militaire allemande à Liinahamari.

Afin d'exclure certains faits d'un possible «malentendu», nous soulignons que les principales sources d'information dans la préparation de ce livre étaient les publications nationales et étrangères bien connues (mais souvent inconnues), ainsi que les souvenirs personnels des participants directs aux événements décrits.

Malheureusement, la plupart des témoins oculaires des mystérieuses découvertes dans l'Arctique soviétique ont catégoriquement refusé de donner leurs noms ou leurs postes, et l'argument principal de ce refus était le suivant: «Nous avons souscrit un document de confidentialité». Malheureusement, la plupart d'entre eux avec cette croyance nous ont déjà quittés pour toujours, et comment pouvons-nous être en désaccord avec le fait que dans la Russie d'aujourd'hui, il semblerait que l'État soit complètement différent de l'Union soviétique, un "système" de secret soviétique bien développé continue de fonctionner sans échecs.

Mais nous sommes très reconnaissants à ces gens courageux qui ont osé nous parler de quelque chose qu'ils ont vu en travaillant dans l'Arctique, lors d'expéditions, de vols et de campagnes scientifiques dans l'Arctique. Dans le même temps, nous espérons que la publication de ce livre nous permettra de retrouver de nouveaux témoins d'événements de longue date à la fois sur le territoire de la nouvelle Russie et, éventuellement, au-delà de ses frontières. Et peut-être même de découvrir, même auprès de proches, les nouveaux noms des héros décédés dans l'Arctique soviétique (en particulier dans des circonstances obscures), ce qui est extrêmement important pour étudier l'histoire fictive des jeunes Russes.

Et bien plus! Pendant le travail, nous sommes devenus fermement convaincus qu'à notre époque, on peut encore trouver des bases allemandes secrètes avec des entrepôts et des caches intacts sur les îles de l'Extrême-Arctique. Mais pour cela, il faudra mener des expéditions complexes avec la participation d'historiens militaires, de marins et de gardes-frontières. De tels voyages, bien sûr, nécessiteront des investissements financiers assez importants et un certain temps de préparation. Mais je voudrais souligner que de telles expéditions devraient être menées dans les années à venir.

En effet, sous l'influence d'un réchauffement notable sur terre, l'Arctique, qui n'avait pas encore partagé ses secrets avec les hommes, efface rapidement et inexorablement les traces des secrets arctiques du IIIe Reich.

Pour la Russie moderne, il est réaliste de trouver les moyens nécessaires pour mener des recherches dans l'Arctique. En outre, il est à espérer que cette publication attirera l'attention d'un large éventail d'historiens, de chercheurs et d'investisseurs nationaux et étrangers sur les énigmes de l'Arctique. Et c'est une aide sérieuse! Et donc - nous allons commencer notre histoire. Mais nous allons tout de même commencer par quelques ajouts des matériaux de H.U. von Kranz.

Ainsi ici, cela nous décris bien, déjà l'avis pour les lecteurs.

Donc oui,quelques part, cela arrange bien quelques uns, que le réchauffement climatique, gagne l'extrême nord et Sud de notre hémisphère, pour être sur, que les anciennes traces soit engloutit à tout jamais dans la profondeur du méandre.
Et quel nom je relève ici, ohooooooo, notre légendaire commandant jaques Yves Cousteau.


Citation :
AVANT-PROPOS

Tout d'abord, nous répétons que l'une des motivations de notre publication sur les mystères du Troisième Reich dans l'Arctique était le livre de H.-U. von Kranz. C'est pourquoi nous considérons qu'il convient de rappeler aux lecteurs certains épisodes de la vie de l'individus à l'échelle mondiale de cette époque et les véritables coupables de ces événements survenus au cours de la dernière guerre, tant en Antarctique qu'en Arctique; en cours de route, nous abordons également quelques informations sur les habitants mystérieux de l'Antarctique - Antarctique.

Le fait que ces derniers existent réellement et sont capables de ce dont les habitants de notre planète ne rêvent encore que dans les années 40-80 du siècle dernier, a d'abord convaincu les marins américains, l'amiral Richard Byrd, et ceux du célèbre sous-mariniers explorateur français J.-Y. Cousteau, puis des scientifiques et des experts militaires soviétiques.

Malheureusement, ces contacts en Antarctique avec quelque chose encore inconnu ne pouvaient se passer de victimes humaines. C'est peut-être la raison pour laquelle tous les résultats ont été immédiatement transférés dans la catégorie des informations classifiées et la communauté mondiale n'a pu rien savoir sur l'Antarctique. Afin de combler cette lacune dans une certaine mesure, nous avons considéré qu'il était possible, en plus du matériel de M. von Krantz, d'inclure dans ce livre les informations très curieuses dont dispose l'un des auteurs de ce livre.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 17 Mar - 15:14

ici le chapitre vas être assez long, c'est la raison, que je vais l'intégrer à part.

Citation :
L'effondrement du Troisième Reich et la fuite d'A. Hitler


En travaillant sur le livre, nous, en tant qu'auteurs, avions constamment trois compositions extrêmement intéressantes: un livre de Hans-Ulrich von Kranz «Swastika in the ice. Base secrète des nazis en Antarctique ", le livre d'Anton Joachimstaler" Mort d'Adolf Hitler. Légendes et documents »et le livre de Lev Bezymensky« Les mystères non résolus du Troisième Reich (1940-1945) ». Eh bien, naturellement, notre manuscrit.

Le premier raconte l'histoire de l'exploration nazie de l'Antarctique, la création de bases militaires ici et quelques contacts de nos contemporains avec une civilisation extraterrestre. En outre, le livre de von Krantz contient des révélations intéressantes des dirigeants du Troisième Reich et souligne les capacités psychiques d'Adolf Hitler,

Le deuxième livre, avec de nombreux détails de la vie d'Hitler et de son entourage, montre notamment le rôle des dirigeants de l'Allemagne et de l'Union soviétique, qui se tenaient non seulement à la tête des armées combattant entre eux, mais aussi de deux idéologies opposées.

Et le troisième livre est un conglomérat sérieux de recherches sur de nombreux documents nazis (auparavant cachés dans des entrailles de bâtiment spéciaux) et des observations personnelles de l'auteur, un participant direct à la commission d'enquête soviétique, qui a effectuer son travaille avec les interview des principaux criminels nazis au Tribunal militaire international de la ville de Nuremberg. C'est ce livre qui a donné une confirmation pratique à la plupart des sujets politico-militaires des deux premiers livres.

Comme nous avions à notre disposition certains faits directement liés à l'exploration nazie des déserts glacés, au sort d'A. Hitler et d'autres dirigeants du Reich, qui ont probablement encore échappé à la peine de Nuremberg, nous avons considéré qu'il était possible de contribuer à une certaine expansion du cadre, bien sûr, un livre très digne c'est celui de Hans-Ulrich von Kranz.

Mais d'abord, nous serons transportés jusqu'en juillet 1944, lorsque l'un des auteurs de ce livre (V. S. Zlobin) était dans la cabine du train, qui se déplaçait lentement vers Odessa.

À la jonction près de Lysychansk, notre train s'est arrêté, alors que les Allemands bombardaient les voies ferrées.

Lors d'un long arrêt, nous avons commencé à examiner plusieurs géants blindés allemands brûlés - des chars «tigres», debout sur un long champ de bataille mélangé à nos T-34. L'impression de la taille et de la puissance des "tigres" était, pour le dire légèrement, incroyable, mais mon attention a été attirée par un tout autre.

Les canons de certains des "tigres" étaient sensiblement pliés, et leurs tours massives fondaient de sorte que même de l'acier coulait. Certes, j'avais 17 ans à l'époque, et donc je n'ai ressenti aucune surprise, mais je me suis souvenu de ce que j'ai vu, et je m'en suis souvenu plus tard lorsque je me trouvais à côté de deux vétérans tankistes, participants aux batailles du saillant de Kursk, qui parlaient de cette terrible bataille:

- ... Vous ne croyez pas à l'aide d'en haut, alors écoutez. (provenant du ciel)

L'attaque de l'armada de chars allemands était inattendue pour nous lorsque nous nous trouvions dans la réserve de front au sud-ouest de Prokhorovka. Dès le 12 juillet, nous nous sommes précipités en avant, les observateurs ont constaté qu'une puissante armada blindée allemande se dirigeait vers nous. Contre chacun des «trente-quatre» de notre bataillon, il y avait jusqu'à cinq «tigres», «panthères» et Pz.-IV.

Les forces étaient inégales, mais l'ordre c'était l'ordre, et donc nous passons à l'attaque. Plusieurs "trente-quatre" ont pris feu, mais nous nous rapprochons obstinément. Enfin, un Allemand a éclaté, suivi d'un autre ... Nous revenons autant que possible, tirons presque (emphase, mais les lacunes naissantes étaient remplies de nouveaux et nouveaux chars allemands. Et si vous voulez - le-croire, vous que vous, ne vouliez - ne pas le croire, mais un MIRACLE s'est produit.

Pendant l'attaque, nous avons volé directement dans l' épaisseur des chars fascistes. Soudain, sans raison, deux «tigres» ont explosé à droite et à gauche de nous à la fois. Le feu bleu au-dessus de leurs tours était si fort qu'il a brûlé dans notre char. Nous regardons, et de tels "feux de joie" sur le terrain sont pleins. Plus tard, au moins deux douzaines de chars allemands ont été comptés avec des tours fondues et des troncs pliés.

Et tu dis pas de miracles! Le miracle est que je suis toujours en vie!

C'était la première fois que l'un de nous était confronté à quelque chose qui ne relevait pas du cadre du concept de bon sens. Et après quelques années, une autre chose est apparue ,

C'était un chaud septembre 1949. Sur la mer Baltique, le paquebot allemand Hansa a été déplacé avec un déplacement de plus de 30 000 tonnes. En Union soviétique, de tels navires n'étaient pas encore construits.

L'histoire de la mort de ce navire est la suivante. En janvier 1945, il devait partir en convoi avec le paquebot Wilhelm Gustlov, coulé près de la rive de Stolpe par le sous-marin soviétique le S-13, mais il a été retardé et parti.

Puis, le 5 mai 1945, dans le cadre d'un détachement de navires, il se rend dans la péninsule de Hel et emmène à Copenhague 12 000 soldats et officiers du groupe de la Prusse orientale. Le même soir, le Hansa a été envoyé à Warnemünde (aujourd'hui c'est le port de Rostock) pour un nouveau groupe de troupes évacuées. À son retour, il y avait une surcharge importante à bord - 15151 passagers avec une norme d'au plus 5500 passagers.

Presque immédiatement après avoir quitté le port, une panique inexplicable a commencé à bord du Hansa, de plus, on ne savait pas par les ordres de qui, mais le côté bâbord a été ouvert et le paquebot a commencé à couler. Les passagers et l'équipage ont été retirés du paquebot naufragé et retournés à Warnemunde, qui à l'époque comprenait déjà des chars soviétiques.

Le Hansa a coulé douloureusement pendant une longue période (presque un jour), se couchant progressivement du côté bâbord. Et puis pendant encore trois ans, elle gisait à une profondeur de 17 mètres, dominant son côté droit au-dessus des vagues de la mer Baltique.

Pendant le renflouage du navire, les sauveteurs soviétiques ont mis l'ancien paquebot allemand sur une quille régulière et le 20 septembre 1948, il l'a remorqué dans les eaux peu profondes des routes extérieures de Warnemunde. Les ponts supérieurs et la plupart des espaces intérieurs étaient accessibles pour inspection, et deux puissants coffres-forts ont été trouvés dans l'une des cabines de service. Naturellement, ils ont immédiatement signalé à Moscou où l'ordre était venu: «N'ouvrez pas les coffres-forts, attendez le représentant» - Après l'arrivée de personnes silencieuses dans des imperméables en cuir, les serrures des coffres-forts, ainsi que les serrures de leurs cellules intérieures, ont été découpées avec des autogènes.

Dans le premier coffre-fort le plus puissant, une douzaine de pièces ont été trouvées - Reichspfennig et un canif pliant. Mais dans le second - Beaucoup de lettres détrempées?

Mais le représentant déçu du MGB ne voulait même pas les voir, d'autant plus que la plupart d'entre eux souffraient beaucoup de l'eau de mer et étaient écrits en allemand. Agitant sa main, il nous a permis de regarder cette «poubelle».

Pendant tout le mois de ma veille sur la Hansa, j'ai pris connaissance des papiers que j'avais trouvés. Et la «poubelle» était très intéressante, car il y avait des lettres dans la cellule qui sont directement liées à l'histoire d'aujourd'hui.

Il y avait donc des frères nés dans la bonne vieille Allemagne. Mais plus tard, la vie les a dispersés: l'un s'est installé à New York, l'autre à Hambourg. Mais ils avaient une "petite cause commune" - seulement quatre paquebots du type "Hansa". Cependant, la guerre est la guerre et leurs biens ont «légèrement» souffert. Ainsi, le deuxième - «Hambourg» - avec un chargement de cuir et de produits finis froissés a coulé près de Stralsund. Le troisième en 1943 a été coulé par les alliés de la coalition anti-hitlérienne en mer du Nord. Et le quatrième navire à l'époque était à New York.

Nous notons la merveilleuse coutume qui existe en Occident: certaines familles échangent des enfants pendant un certain temps pour apprendre une langue étrangère.

Un oncle qui vivait à Hambourg a adopté la fille de son frère et l'a envoyée à New York. C'était la lettre de cette fille américaine (qui devenait déjà plus allemande) et tomba entre mes mains. Il date de 1929 et a clairement «persisté» quelque part en Allemagne. Félicitant son père pour les vacances, elle a également écrit:

Papa, le temps est horrible - neige ou pluie, les magasins sont vides. Des rassemblements ont lieu sur chaque place, des émeutes ouvrières, des coups de feu sont entendus. Chaos ... Mais il y a de l'espoir que dans 3 ans un "homme fort" arrivera au pouvoir et, je l'espère, il rétablira l'ordre.

La lettre a également évalué l'enseignement à l'Université de Hambourg. La critique est très défavorable:

Il y a très peu d'esprits brillants, et tous sont engagés dans la chimie ou la technologie ...

Cette lettre s'est avérée contenir une phrase très intéressante, prédit que Hitler arriverait au pouvoir en 1933. Ainsi, il s'avère que son arrivée au pouvoir était connue plus tôt, en tout cas, en 1929.

La deuxième lettre était très intéressante pour moi, car elle comportait souvent les mots Esprit (esprit) et Âme (âme) en combinaison avec les noms de deux dirigeants mondiaux I. Staline et A. Hitler. Puis dans la lettre un certain magicien allemand a détaillé les détails de ses recherches, menée par rapport à ces dirigeants et a en fait prédéterminé la victoire de I. Staline dans la guerre germano-russe. Ce prévisionniste a apparemment écrit à un collègue du métier:

... Quand le Mal conquiert le sort du Monde, les Forces des Ténèbres décident. Au début de la guerre germano-russe, une Conférence des Hiérarques Noirs s'est tenue, qui a décidé à qui décerner la Victoire.

Les qualités spirituelles d'Hitler et de Staline étaient pesées pour la cruauté et la cruauté. Il s'est avéré que les deux dirigeants possèdent ces qualités également, mais Hitler, du point de vue des Forces des Ténèbres, avait un inconvénient important - il aimait les enfants. Ils ont décidé d'attribuer la victoire à son adversaire.

Les Forces Légères étaient satisfaites d'une telle décision et leur aide à I. Staline pendant la guerre a été décisive. {2}

Après des victoires dans les premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, Hitler croyait en son génie militaire, oubliant complètement la trahison des Forces obscures. Le résultat de cette erreur a été une guerre sur deux fronts, c'est-à-dire avec l'URSS, dans laquelle, à partir de Stalingrad, l'Allemagne a subi défaite après défaite. Staline, au contraire, a reçu pendant les séances de communication les informations correctes dans la direction à prendre, qui se sont concrétisées lors des frappes de l'Armée rouge, qui ont déterminé le sort de l'Allemagne.

Staline a répondu aux attentes des forces obscures. Après la fin de la guerre, environ deux millions de soviétiques sont tombés dans les camps du Goulag, beaucoup d'entre eux sont restés pour toujours dans des «endroits pas si éloignés». Et comme vous le savez, la mort est le prana des forces obscures.

I. Staline, comme A, Hitler, a reçu des informations par le biais de certains canaux spatiaux. Cependant, I. Staline a considéré ces "idées" comme ses propres décisions. Cela seul peut expliquer toute l'hostilité d'après-guerre du généralissime de l'Union soviétique Joseph Staline au maréchal Georgy Zhukov, qui aurait tenté par tous les moyens de "prendre" la gloire militaire du commandant en chef suprême.

Selon des témoins oculaires, les séances de communication de Joseph Staline avec Cosmos, comme l'astrologue français Michel Nostradamus, ressemblaient à une «maladie des nausées» et étaient accompagnées d'une «vision» d' images en couleurs de l' avenir. Environ un jour après l'achèvement d'une telle session, Staline, plein de vitalité (énergisant), a commencé à mettre en œuvre le «cirage» dans des plans spécifiques pour les opérations militaires.

Et qu'est-ce que Hitler a obtenu de l'espace?

Probablement rien de bon, si presque depuis 1942 il a commencé à chercher des opportunités pour créer des "armes de représailles". Par conséquent, l'histoire du général Ferdinand Jodl (le frère cadet du chef d'état-major de la direction opérationnelle de la Wehrmacht Supreme Command. - Auteur) qu'il a entendu une fois de son frère aîné "le plus grand secret du Reich" - comme si, à la fin de 1942, Hitler s'est rendu compte que l'Allemagne avait perdu la guerre et, disent-ils, il est temps de penser à créer le Quatrième Reich, - aujourd'hui, cela semble assez crédible. Nous pouvons supposer que le dernier jour du séjour d'A. Hitler dans le Reich mourant était le jour de son 56e anniversaire.

Malgré la situation désastreuse du Reich, cette journée dans le bureau d'Hitler a transmis un rituel établi de longue date. Comme de coutume au Reich, vers minuit, du 19 au 20 avril, le quartier général d'Hitler lui est venu avec des félicitations. Cette fois, Hitler a prévenu à l'avance qu'il n'accepterait pas les félicitations. Et avec ceux qui sont néanmoins venus, il a tenu une courte réunion. Au cours de cette réunion, Hitler s'est redressé, a jeté des crayons de couleur, son visage était injecté de sang, ses yeux étaient écarquillés. Reculant d'un pas de la table, il s'écria d'une voix frustrée:

"Ça ne ressemble à rien!" Dans ces conditions, je ne peux plus commander! La guerre est perdue! Mais si vous, messieurs, pensez que je quitterai Berlin, alors vous vous trompez profondément! Je préfère me tirer une balle dans le front!

Et puis il s'est rapidement retiré dans son appartement. Le matin du 20 avril, vers 9 heures, par la porte, il a ordonné de se réveiller à deux heures de l'après-midi - disent-ils, il n'a pas dormi toute la nuit.

La réception officielle de l’élite national-socialiste à l’occasion de l’anniversaire du Fuhrer a commencé vers 15 heures et ne pouvait pas être qualifiée de jour férié. Les dirigeants réunis du IIIe Reich ont bien compris qu'il s'agissait de leur dernière rencontre avec le Fuhrer.

«Personne ne savait quoi dire», a rappelé le ministre impérial des Armements et des Munitions Albert Speer, «Hitler a reçu des félicitations froidement et presque avec hostilité. Nous attendions nerveusement sa décision de quitter Berlin.

Comme indiqué dans le livre de L. Bezymensky, Hitler a passé une partie de la réception devant le bunker. Il en est sorti vêtu d'un pardessus gris, le col relevé, a averti qu'il ne pouvait pas parler fort et s'est limité à quelques phrases stéréotypées. Et traînant ses jambes comme un vieil homme, il retourna à l'abri anti-bombes.

Certes, dans l'actualité documentaire, cet épisode est décrit différemment - comme la récompense des garçons de la compagnie de la jeunesse hitlérienne avec les ordres de la Croix de fer pour la destruction des chars soviétiques par les Panzerfaust.

Puis, déjà dans son bureau du bunker de la chancellerie du Reich, A. Hitler a entendu des suggestions pour maintenir les chars soviétiques en route pour Berlin. Et en quittant le bureau, il a personnellement traité des questions de relocalisation urgente en Allemagne du Sud.

Les participants à cette réunion se sont rendus perplexes dans leurs bureaux. Hitler, si c'était vraiment lui, était laissé seul ...

L'hypothèse selon laquelle il s'agissait d'Adolf Hitler n'était pas accidentelle, puisque la production de la pièce «Mort d'Adolf Hitler et Eva Braun», conçue par le chef du Parti national des travailleurs socialistes d'Allemagne (NSDAP), Martin Bormann, a déjà commencé. Et les principaux "artistes", c'est-à-dire les premiers sosie de A. Hitler et de E. Braun, étaient non seulement quelque part dans le bunker du Fuhrer, mais avaient également déjà reçu 1 million et 500 000 Reichsmarks pour leurs rôles et une promesse - à la fin de la "performance" quitter la trémie librement. Il est possible qu'ils aient même participé à certaines mises en scène. De plus, quelque part à proximité se trouvaient leurs doubles, qui ont reçu l'ordre de jouer les scènes de la scène finale.

L'idée principale de cette performance monstrueuse était de préserver l'image du chef aux yeux de toute l'Allemagne, qui partagerait complètement le sort amer de son pays mourant et tomberait dans l'oubli la tête haute.

Pendant ce temps, alors que la réception était organisée à l’occasion de l’anniversaire du Fuhrer, une unité spéciale SS avait déjà bloqué et dégagé la route vers le sud-ouest de l’empire des véhicules. C'est le long de celle-ci que le 20 avril au soir, un convoi de quatre voitures s'est précipité à grande vitesse vers un aérodrome déserté près de Munich. Les vrais A. Hitler et E. Braun sont montés dans la voiture blindée au centre de la colonne.

Ils étaient un peu plus de trois heures sur la route, Hitler connaissait et croyait à la recherche et aux conclusions numérologiques et était très préoccupé par le retard possible d'un départ, qui devait avoir lieu à 00 heures 20 minutes le 21 avril 1945 et ne pouvait pas être retardé d'une minute. Donc, selon la numérologie, ces jours-ci, la somme de seulement ces nombres était 1. Et l'unité est la plus puissante de tous les nombres fatidiques {3} .

Deux avions géants Ju-390A (transport militaire Junkers) et trois chasseurs à longue portée Me-110 attendaient Hitler à l'aérodrome.

Il convient de noter que le JU-390A à six moteurs a été développé en 1942 sous la supervision personnelle du même Martin Bormann. Dans une atmosphère de secret extrême, seuls trois de ces géants de l'air ont été achevés à l'usine d'avions Letov à Prague. Ce super-avion avait une portée de vol de 12 500 kilomètres.

Les capacités de ces supergéantes aériennes ont été testées à l'été 1943, lorsque la paire JU-390A a réussi à atteindre la côte américaine et à revenir.

À exactement 00 heures et 20 minutes, les Junkers et les chasseurs d'escorte ont grimpé en l'air et se sont dirigés vers la frontière Espagnole.

Dans les montagnes des Pyrénées, le ME-110, ayant terminé la tâche, ont effectuer un demi-tour vers la route opposée, et les géants de l'air se sont dirigés vers la partie nord-ouest de l'Afrique.

Soudain, quelque part dans la région désertique d'Erg-Igidi, le deuxième JU-390A a explosé, et son épave se trouve toujours quelque part dans les sables du Sahara occidental. Qui a volé dans le deuxième avion? Inconnu Le désert, comme l'océan, sait garder ses secrets.

Un avion avec Hitler à bord a atterri pour faire le plein à l'aérodrome de Rio de Janeiro. Ce débarquement a été soigneusement planifié et a eu lieu malgré le fait que le Brésil, l'Argentine et le Chili étaient à cette époque déjà inclus dans la coalition anti-hitlérienne.

Mais après tout, les solides contributions financières du Troisième Reich à l'industrie d'un certain nombre de pays d'Amérique latine, même au printemps 1945, ont permis d'utiliser de grands aéroports sud-américains séparés.Il n'est pas surprenant que le ravitaillement se soit bien déroulé, bien que les passagers mystérieux (juste au cas où) n'aient pas quitté la cabine.

Bientôt, le géant "Junkere" a décollé à nouveau et s'est dirigé vers la Nouvelle Souabe. Cependant, il a atterri dans un endroit complètement différent. Cela a également été fourni à l'avance.

Parmi les îles de la Terre de Feu, il y a une grande île déserte, presque dépourvue de végétation. Auparavant, elle appartenait au Chili, mais avant même la Seconde Guerre mondiale, l'île a été achetée au gouvernement chilien par un certain particulier. Ce n'est qu'après la guerre qu'il a réussi à établir que cet «acheteur» privé était l'un des associés les plus proches du fondateur du «Fonds M» financier spécial du IIIe Reich. * Martin Bormann,

Une base secrète allemande a été créée ici et un aérodrome a été construit, capable de recevoir même des géants aériens tels que le Ju-390A.

Ainsi, Hitler et Eva Braun sont sortis de Berlin en toute sécurité dans la soirée du 20 avril 1945.

Le 26 avril 1945, un message radio a été envoyé à Martin Bormann depuis la «Nouvelle Souabe», qui était située sur le continent Antarctique, à propos de l'arrivée en toute sécurité d'Adolf Hitler. Après avoir reçu le cryptage, Bormann a procédé à la dernière partie de la performance susmentionnée.

ici je suis désolé, en raison, que ma chienne me commande pour vouloir sortir. Donc je reprendrait après.


Dernière édition par leclerc1944 le Mar 17 Mar - 17:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 17 Mar - 17:30

Ouf, mais ici c'est la vrai, de chez vrai frénésie, ont entend que Corona virus, et hop, tout les personnes, se ru dans les supermarché, pour se faire un stock. Hier soir déjà, je n'avais plus trouvé de pain, aujourd'hui 14h. Devinez, tout le stock de pain autant chez le boulanger de ma supérette, que la supérette elle même, plus de pain. Et aussi, toutes les rues était désertes.

Enfin passons. et je continue à vous donné la suite de ce chapitre.


Citation :
Il a brillamment interprété la finale, et les acteurs sosies ont été généreusement récompensés, pendant de nombreuses années ils ont semé la confusion dans les questions sur l'histoire du suicide des premières personnes du Troisième Reich.

Les premiers sosies jusqu'au 30 avril opèrent avec succès dans le bunker de la Chancellerie impériale. Et en même temps ils ont été resté méconnu. Et les cadavres des seconds, vraisemblablement Gustav Weller (sosie officiel d'Adolf Hitler. - Auth) et une certaine autres sosies pour le rôle - «Eva Braun», qui ont été enveloppés dans des couvertures, ont été emmenés dans le jardin de la Chancellerie impériale dans la seconde moitié du 30 avril, jetés dans l'entonnoir et qui ont été brûlés.

Cependant, le premier sosie d'A. Hitler après la guerre n'a pas eu de chance - il est mort dans des circonstances obscures. Son cadavre a été exhumé en 1972 et une fois de plus (après "l'identifié" de Hitler en 1945) a été identifié comme le cadavre d'Adolf Hitler. Le premier sosie d'Eva Braun a eu plus de chance - en 1981, elle est décédée en Allemagne.

Le même jour, après l'incendie des cadavres du «chancelier du Reich» et de sa «femme», un avion de sport a décollé d'un petit aérodrome près de Berlin, qui a livré trois passagers à Hambourg: Martin Bormann et deux personnes qui l'accompagnaient. Ici, conformément à un certain plan «Navigation pour les mers du Sud», un sous-marin attendait le chef du NSDAP, qui est immédiatement parti en mer. À propos, ce fut le dernier sous-marin qui a réussi à quitter le port nazi de Hambourg, dès que les chars britanniques ont atteint ses postes d'amarrage.

A cette époque, un sosie est entré dans le jeu à la Chancellerie impériale ... Martin Bormann,

Le premier mai, il a réussi à franchir la ligne de front. Puis il a été vu dans l'un des monastères en Italie, puis au Brésil, puis en Argentine ...

Le maquillage, la ressemblance, les vêtements et autres petites choses savamment imposés ont complètement caché tous les changements. Il faut admettre que l'art de faire des doubles dans les échelons supérieurs du IIIe Reich était organisé avec beaucoup d'habileté. Et surtout, les doubles ont pu garder le silence, ce qui a été pleinement confirmé dans l'histoire de Rudolf Hess.

Pendant ce temps, le message radio concernant l'arrivée réussie d'A. Hitler à destination, envoyé de la Nouvelle Souabe le 26 avril 1945, a été intercepté par les services de renseignement radio naval soviétique, décrypté et transmis par commande: d'abord au commandant en chef de la marine, l'amiral N. Kuznetsov, puis sans délai - L. Beria et I. Staline.

Il n'est pas surprenant que le 2 mai 1945, la mort d'A. Hitler ait même été qualifiée de tromperie sur les pages de l'un des médias fermés de l'Agence centrale d'information de l'URSS (TASS).

Il y a une remarque très intéressante sur la réaction de Staline au message de la mort d'Hitler dans le livre A, Joachimstaler, qui confirme que Joseph Vissarionovich ne doutait pas de la disparition d'Hitler. (Après tout, il connaissait déjà le texte intercepté par l'intelligence du cryptage!)

Ici , il écrit A. Joachimstaler à cette occasion:

Le 26 mai 1945, les politiciens américains Harry Hopkins, Averell Harriman et Charles Bohlen se sont rencontrés au Kremlin avec Staline. Au cours de cette conversation, la question de la mort d'Hitler a également été soulevée. Staline, ayant des informations suffisamment précises sur la situation réelle avec la mort d'Hitler, a déclaré qu'il ne pensait pas qu'Hitler était mort, mais qu'il se cachait quelque part: "Tout ce discours sur les enterrements me semble douteux."

Dans ses doutes, I. Staline avait raison: Adolf Hitler n'est parti dans un autre monde que le 27 novembre 1986, Eva Braun est décédée le 5 mai 1995 et Rudolf Hess le 19 novembre 1989. Le vrai Martin Bormann s'est avéré être devenu centenaire et est décédé le 26 septembre 2000 à l'âge de 100 ans.

Des monuments aux anciens «purs Aryens» ont été érigés à partir de granit local dans différents endroits de l'Antarctique et de la Terre de Feu. Aujourd'hui, ces monuments montrent seulement que tout le monde n'est pas au pouvoir de l'homme. Il y a un jugement de Dieu, et en particulier sur ceux qui sont devenus responsables de la mort de millions de personnes sur Terre et, par la volonté du destin, se sont reposés sur un continent lointain sous la Croix du Sud et la sinistre étoile Fomalhaut.

Pendant ce temps, deux bases allemandes situées dans des grottes avec des entrées sous-marines continuent de fonctionner en Antarctique aujourd'hui.

L'un d'entre elle - «Nouvelle Souabe» - est situé dans le secteur Pacifique de l'Antarctique (sur la côte d'Ellsworth Land), et le second - sur la côte de la terre Queen Maud (secteur Atlantique de l'Antarctique). La population de l'ensemble de la Nouvelle-Souabe ne dépasse pas 20 000 personnes. En outre, plus de 7 000 colons allemands vivent sur l'une des îles de la Terre de Feu. Mais la plupart des colons du IIIe Reich et leurs descendants vivent en Argentine, au Chili et en Uruguay. Leur nombre dépasse 160 mille personnes,

Le rêve d'Adolf Hitler de créer le Quatrième Reich sur les rives de l'Antarctique ne s'est pas réalisé. Il connaissait peu l'histoire des civilisations et les lois de la dégénérescence des contingents isolés de personnes. Les bases militaires, les lieux de séjour temporaire des militaires, les déplacés fuyant les inévitables représailles, sont une chose. Personne n'a encore abrogé les lois de la société. Ils ont agi, agissent et continueront d'agir indépendamment de la volonté des dirigeants, des tyrans et des bienfaiteurs. Bien qu'il y ait des exceptions!

Donc en clair, cela ne m'aurais pas étonné, en raison, que vous, vous souvenez surement, lorsque le professeur Français à reçu l'autorisation de Moscou, pour l'identification de la reste de la cervelle, que les Russes ont gardé provenant du bunker.
Mais ici, ont ne lui as jamais permis, de prendre un échantillon, ou même de faire des test dessus, donc l'identification, a été habillement manipulé par les russes, pour justement, que les français ont des preuves, que Adolf avait bel et bien réussis à fuir de l'Allemagne en 1945. Je me rappelle juste que cela a été filmé pendant les dernières années avant l'effondrement soviétique, soit dans les années 1980.

Et qui sait, peut être, que pour les second sosies, qui eux ont été brûlée, qui sait, peut être, que eux, ont été sortie du Camp de la région de Berlin, et qui nétait pas encore sous le contrôle ni des Russes ni des Américains, et que ces deux personnes, avait beaucoup de similitude avec Adolf et Eva, du moins la taille et la corpulence, après il y'a eu encore les machinations sur les travaux de chevelure, et tout le reste, et qui une fois l'heure arrivé, un des membre, a appuyé sur la gâchette du revolver, et le reste c'était le maquillage. Pour ce qui est des 7 enfants et la famille Goebels, pour cela il n'y a aucun doute possible.
Lui même n'a jamais du être informer, que Hitler avait planifier de sa fuite, avec l'aides des sosies.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 17 Mar - 18:54

Comme au début du sujet, l'un de nos anciens membres, avait parler sur l'opération High Jump et deep freeze.
Alors ce chapitre va nous faire découvrir d'avantage, l'opération.
Byrd lui même, a été interner pendant 5 ans dans un asile, après l'opération.
Donc d'après vous, pour que un Amiral perçois des séquelles, pour être interner, ohhhhhh, la il y'a déjà quelques chose qui se cache derrière, qui ne sente mais vraiment pas bon, moi je me rappelle, que certains membre d'équipage d'avion, avec le fait, des atrocités qu'ils ont vue, que les japonais ont effectuer, ou ceux des bombardiers, après que la tête de leurs voisins était décapité, etc.... donc eux déjà, leurs esprits, vagabondais avec la folie. Mais pour un Amiral!!!!!! Oui, ont est d'accord, un Amiral, reste ni plus ni moins que un être humain. Mais, un Amiral, est censé détenir un morale inébranlable. Mais poursuivons une fois ce nouveau chapitre.


Citation :
ANTARCTIQUES. Qui sont-ils?

Grand, blond, aux traits nobles, extérieurement semblable aux gens. Leur vaisseau spatial s'est écrasé dans l'espace proche de la Terre il y a plus de 60 000 ans. Sur des vaisseau spatiaux, des interruptions ont atterri en Antarctique, où ils ont fondé cinq villes souterraines à la fois (aujourd'hui seulement trois d'entre elles fonctionnent), pour le chauffage desquelles elles utilisent la chaleur des sources géothermiques. Ils utilisent d'autres types d'énergie, y compris l'énergie psi.

Avec l'avènement des "invités" du Troisième Reich, l'Antarctique a dû se réconcilier. De plus, en 1944, ils ont été contraints de conclure avec eux un traité selon lequel les habitants de l'Antarctique ont cédé aux Allemands une partie des grottes karstiques {4} avec des entrées sous-marines et souterraines. Il est vrai que l'Antarctique en même temps limitait l'accès du côté allemand aux villes abandonnées.

L'une des premières preuves de l'existence de l'Antarctique est l'histoire de l'expédition de l'amiral américain Richard Byrd. Tout a commencé avec le fait que Byrd a convaincu le Congrès américain de la nécessité de fouiller la base des sous-marins allemands en Antarctique.
What? qu'es ce qui est énumérer là? fouiller la base sous marine Allemande en Antarctique.
Donc, ici les ricains, avait déjà connaissance, que les Allemands, détenait une base sous marine dans l'antarctique.
Ainsi ce n'était donc pas de la fiction, mais déjà de la réalité.


Citation :
Bientôt, l'autorisation a été obtenue et les préparatifs pour l'expédition militaire (!) High Jump ont commencé.

Pour mener à bien cette expédition, un escadron spécial a été formé de 14 navires et navires auxiliaires américains, dont le dernier porte-avions de mer philippin, à bord duquel se trouvaient jusqu'à 40 avions et hélicoptères. L'expédition comprenait également le sous-marin Sennet. En décembre 1946, plus de 4 000 marins sont montés à bord des navires et navires américains lors de cette expédition. Le contre-amiral Richard G. Krausen a pris le commandement des navires de l’escadron et l’amiral Byrd a été nommé conseiller principal de l’expédition.

Avec l'avènement des eaux antarctiques, l'escadron a été divisé en trois groupes opérationnels.

Déjà les 30 et 31 décembre, le groupe central sous le commandement de Byrd lui-même, accompagné de deux brise-glaces et d'un sous-marin, a tenté de pénétrer dans la région de l'île Scott. Mais le Sennet (selon la version officielle) a subi des dommages à la coque, et il a dû être remorquée de toute urgence jusqu'au port de Wellington (Nouvelle-Zélande). Une nouvelle tentative d'exploration de la côte de l'Antarctique a été faite seulement un mois plus tard, mais déjà dans la région de Queen Maud Land. Ici, des avions du porte-avions ont effectué plus de 30 sorties en deux semaines pour effectuer des photographies aériennes en profondeur de diverses régions du continent. Dans le même temps, la partie côtière a mené une étude approfondie de la côte.

Le fait le plus inexplicable de l'histoire de l'expédition de high Jump était que la nourriture était chargée à bord de ses navires pendant sept mois de navigation. Mais de façon inattendue (seulement 60% du territoire prévu a été examiné), seulement deux mois après le début de l'expédition (23 février 1947, ~ Auth.), Les recherches ont été rapidement interrompues et l'escadron américain est retourné sur les côtes de la Nouvelle-Zélande.

Dès son arrivée au port, le porte-avions de l'escadron a été placé sur le quai de l'usine pour des réparations majeures, et tous les résultats obtenus pendant l'expédition étaient entourés d'un rideau dense de secret. Est-ce une coïncidence?

Mais encore plus étrange était le fait que l'honorable amiral Byrd a été immédiatement caché à son arrivée à la base dans une maison de fous, où il a passé environ 5 ans!

Depuis le dépôt des magazines de vulgarisation scientifique - le Frey belge et le Brizant ouest-allemand - il est devenu connu en 1948 que pendant l'expédition, les Américains ont subi des pertes irrévocables; aux États-Unis ne sont pas revenus de l'expédition: l'un des navires de guerre, une douzaine d'avions et d'hélicoptères et un groupe spécial de 40 personnes. De plus, à la mémoire des pilotes américains décédés le 30 décembre 1946, le mont Caldwell est apparu sur la péninsule antarctique de Thurston et l'île de William est à proximité.

Il est également très intéressant de constater que lorsque l'amiral Byrd a terminé son «traitement» dans la maison des fous, il a immédiatement ... reçu une offre pour devenir un participant honoraire et consultant de toutes les futures expéditions américaines en Antarctique.

Déjà après la mort de Byrd, qui a suivi le 31 juillet 1956, certaines des notes de ses carnets de voyage ont été publiées. En conséquence, il est devenu public que le groupe de raiders américains morts dans le high jump (du bataillon spécial du Marine Corps) a d'abord été dispersé par des tirs de canon des avions de chasse allemands Schwalbe Me-262. Ensuite, les quelques survivants ont été achevés par un groupe de skieurs ... dans un camouflage beige, sous lequel des oeillets noirs avec un double "éclair" runique apparaissaient. Seuls quelques commandos américains ont alors réussi à sortir des gorges de la montagne, qui sont devenues un piège mortel pour les pillards,

Comment les skieurs allemands des forces spéciales des SS se sont retrouvés dans cette gorge montagneuse de l'Antarctique et où les avions de chasse Schwable, qui n'ont été adoptés par le IIIe Reich qu'à la fin de la guerre, auraient pu arrivé jusque là!

En outre, une photographie étrange, mais unique, prise de toute évidence dans l'espace, aurait été trouvée parmi les papiers personnels de Byrd, qui aurait été reçue par l'amiral américain résponsable de l'Antarctique en 1947.

Cette photo a été publiée pour la première fois en 1956, mais jusqu'en 2007, elle restait un mystère non résolu (voir fig. 1, annexe).

Cette année seulement, un groupe de scientifiques russes (V. Zlobin, E. Borovkov, V. Kovalenok, L. Kizim et A. Ardebarsky) a expliqué pourquoi un point sombre mystérieux était dû à l'absorption de photons de lumière visible par les flux de vortex de particules spéciales émises par le noyau terrestre. Les particules éteignent les photons et la photo montre un effet de gradation.

Je voudrais souligner une fois de plus qu'une telle photographie du globe, avec une tache sombre dans la région du pôle Nord, ne peut être obtenue que depuis l'espace. Mais il a été transféré à Richard Byrd 10 ans avant que l'humanité lance son premier satellite Terre en orbite spatiale!

Il s'avère que l'Antarctique s'est délibérément déclaré lui-même et ses capacités dès la première rencontre avec les terriens!

La tache se liant au pôle Nord est représentée sur la deuxième figure (voir Fig.2, annexe). La taille du spot, qui est de 805 à 838 kilomètres de diamètre, correspond étonnamment à

le diamètre du noyau terrestre est de 803 kilomètres. Une description plus détaillée de ce phénomène cosmique peut être trouvée dans l'article des auteurs du «Spot d'information au pôle Nord?» Susmentionné, publié à Saint-Pétersbourg sur les pages du magazine International Academy dans le numéro 22 pour 2007.

Cependant, l'histoire des expéditions de l'amiral Byrd en Antarctique et de ses rencontres avec les mystérieux habitants de l'Antarctique dépasse le cadre de notre livre.

Par conséquent, nous reviendrons sur les étendues de l'Arctique russe et parlerons autant que possible des régions arctiques de l'Union soviétique de l'époque », où les pilotes, les marins et les explorateurs polaires du Troisième Reich ont pénétré assez profondément dans les temps d'avant-guerre et pendant la Grande Guerre patriotique. Il est possible que cette description attire enfin l'attention de nos structures étatiques et les encourage à révéler ces vieux secrets.

Commençons donc! Mais d'abord, un peu d'histoire. Rappelez-vous comment tout a commencé.
He ben, en voici en voilà des sujets et des discussion, qui peuvent être faite.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 17 Mar - 20:14

Citation :
RECHERCHE DE L'ALLEMAGNE SORTIE LIBRES DANS L'OCÉAN ARCTIQUE

Dès les premiers jours de sa formation, l'Allemagne impériale était entourée d'adversaires potentiels: à l'ouest - la France, au sud - l'Autriche, à l'est - la Russie. Seul le nord de sa côte était libre et ouvert aux eaux de la mer Baltique et de la mer du Nord. Mais ici, sur le chemin des navires allemands et de navires essayant de se rendre en haute mer, se trouvaient des navires de la Royal Navy de Grande-Bretagne qui leurs ont barré l'accès.

La pire situation a été lorsque l'Allemagne est entrée en guerre sur deux fronts - elle est immédiatement tombée dans un blocus serré, car la flotte allemande avait peu de chances de passer avec succès les îles britanniques et le passage du Nord en mer du Nord entre les îles Shetland et la côte norvégienne. Dans la Manche étroite, la probabilité d'une telle percée était généralement proche de zéro.

Sans aucun doute, tout cela: la famine dans le pays, l'effondrement de l'industrie allemande, la défaite de l'armée et de la marine, une catastrophe nationale - sont connus des Allemands depuis 1918.

Mais l'île de Grande-Bretagne, pas moins que l'Allemagne, dépendait de l'approvisionnement outre-mer en matières premières stratégiques, en céréales et en nourriture. De plus, tout le commerce maritime anglais n'était fermé que dans les plus grands ports des îles britanniques: Londres, Southampton, Hall, Glasgow, Liverpool et Manchester.

Les trois premiers, fournissant un tiers du commerce extérieur du pays et un quart de son cabotage, étaient situés sur la côte de la mer du Nord et de la Manche et étaient constamment menacés d'attaques par des avions de la Luftwaffe et les forces de la Kriegsmarine. Les trois autres étaient situés à l'ouest de la Grande-Bretagne.

L'apparition de navires allemands ici n'était possible qu'en cas de franchissement réussi de la ligne invisible (et bien gardée) Scapa Flow-Bergen ou après avoir franchi la Manche. Si une telle percée était un succès, le fier Albion deviendrait très serré.

La France a également reçu l'essentiel de ses importations et fournitures militaires via les ports de la côte atlantique qui (d'un point de vue économique) en ont également fait une île,

Il n'est pas surprenant que l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la France, en tant que rivaux éternels, alors que les canons étaient silencieux, se préparaient toujours activement à une nouvelle guerre dans l'Atlantique. Et surtout les Allemands qui ont perdu la Première Guerre mondiale.

Pour commencer, ils ont installé de puissants moteurs d'artillerie et diesel sur de petites coques de cuirassés traité de Versailles autorisés. C'est ainsi que les célèbres cuirassés allemands «de poche» sont nés. De plus, au début illégalement, et depuis 1935, les nazis avaient déjà légalement commencé à construire les vrais cuirassés (comme le Gneisenau et le Bismarck).

Et à la fin des années 30 du XXe siècle, le commandement principal de la Kriegsmarine (Obercommando der Marine, ou simplement OKM) a reçu des constructeurs navals allemands deux derniers cuirassés et trois cuirassés «de poche», sept croiseurs, plus de 20 destroyers et près de 60 sous-marins. En plus d'eux, deux super-cuirassés de type Bismarck et le porte-avions Graf Zeppelin ont été posés sur des chantiers navals allemands.

Certes, même avec une telle flotte, les marins du Troisième Reich avaient peu de chances de vaincre la Royal Navy de Grande-Bretagne et encore plus sur la flotte anglo-française combinée (dans le cas de l'alliance militaire de l'Angleterre et de la France). Cependant, il y avait une réelle opportunité d'infliger de sérieux dommages à l'ennemi dans l'Atlantique Sud et l'océan Pacifique. Autrement dit, menez avec succès une guerre de croisière (raider).

Les mots "cruiser" (croiseur) et "raider" (Corsaire) sont connus des marins du monde entier. Depuis longtemps (probablement depuis le XVIe siècle), ils ont appelé différents navires de guerre qui opèrent indépendamment sur les voies maritimes ennemies. Très probablement, ils viennent du mot néerlandais «kreutz» («cross») et de l'anglais «raider» («flying»). Au cours de ces années, presque tous les navires marchands et leur équipage ont rencontré des corsaires de mer et n'ont pas réussi à s'en détacher, il a été possible d'y mettre un terme avec confiance.

L'histoire des raids océaniques allemands commence à la fin du XIXe siècle.

Le tout premier sur les actions indépendantes des raiders allemands dans les coins reculés de l'océan mondial a parlé en 1898, de l'officier de transmissions du cuirassé "Deutschland", le lieutenant subalterne Erich Raeder.

À cette époque, le cuirassé "Deutschland", où Raeder servait, dans le cadre de l'escadron de croiseur du contre-amiral Prince Heinrich de Prusse (ou, comme on l'appelait, le prince-marin) est venu dans l'océan Pacifique et est entré dans le groupe des navires Allemands stationner en Chine.

Ici, le prince Heinrich de Prusse a eu plusieurs visions d'état-major avec des officiers de l'escadron d'Extrême-Orient au cas où ses navires dans les eaux du Pacifique seraient soudainement pris dans une guerre inattendue avec les Britanniques.

Au cours de l'un des jeux tactiques, Erich Raeder a proposé au début de la guerre que tous les hôpitaux allemands soient rassemblés près des îles Mariannes, puis «fondus» dans le Pacifique, à eux seuls, infligeant des coups mortels d'embuscades à l'ennemi.

Le prince-marin aimait l'idée du jeune officier, il le soutenait en tout et étudiait attentivement tous les officiers de l'escadron,

Et ce n'est pas un hasard si après 15 ans, comme ça, les croiseurs du comte Maximilian von Spee ont commencé à agir, et après un autre quart de siècle, plusieurs «vagues» de Corsaire à la fois, bien que déjà grand amiral Erich Raeder était.

Même après avoir perdu la Première Guerre mondiale, les marins impériaux ont acquis une grande expérience de la croisière dans le Pacifique et l'Atlantique Sud.

De plus, les amiraux impériaux Otto Gross et Wolfgang Wegener, ainsi que le futur grand amiral Kriegsmarine Erich Raeder, ont calculé la possibilité de victoire du Reich dans une future guerre en haute mer, même si l'Allemagne n'avait pas une marine aussi forte que la marine britannique. Et l'idée principale de ces calculs était que si l'ennemi est l'île d'Angleterre, alors pourquoi couler ses cuirassés?

Ces géants blindés peuvent simplement être laissés sans carburant. En effet, les îles britanniques n'ont pas leurs propres réserves de pétrole: des centaines de pétroliers le transportent à travers les océans. Attrapez la flotte de pétroliers Anglais (et ceux qui ont réussi à dépasser le blocus allemand, à les inonder ou à les enfermer dans des ports étrangers), et les cuirassés britanniques resteront a quai à leurs propres postes d'amarrage, et la flotte marchande de l'Union britannique dans diverses parties de l'océan mondial deviendra simplement un savoureux butin pour les corsaires Allemands.

Cependant, l'infâme traité de Versailles a continué à se rappeler constamment. Et à la fin, il a forcé les constructeurs navals du nouveau Reich à trouver une solution révolutionnaire. Ainsi sont nés les croiseurs légers allemands de type Koenigsberg.

La particularité des «Konigsbergs» était que sans augmenter le déplacement autorisé du traité de «Versailles» (uniquement grâce à l'utilisation de moteurs diesel du navire), la portée des corsaires océaniques était considérablement augmentée. L'étape suivante a été l'installation de moteurs diesel pour navires sur des cuirassés "de poche" tels que "Deutschland", qui se sont immédiatement transformés en navires uniques.

Au cours de ces années, les cuirassés «de poche» ont dépassé tous les cuirassés disponibles pour les adversaires du nouveau Reich (à l'exception de trois croiseurs de bataille anglais, que les Allemands ont évités de toutes les manières), et en armement étaient plus forts que tous les croiseurs ennemis et les destroyer leader.

Le moteur principal des cuirassés "de poche" se composait de huit diesels et en peu de temps leur a permis non seulement de rattraper tout navire marchand, mais aussi de se détacher d'un ennemi plus fort. Et surtout, la présence d'un blindage léger a non seulement augmenté la vitesse des corsaires, mais leur a également permis d'avoir un approvisionnement en carburant accru à bord, ce qui, à son tour, a fourni aux Deutschlands une énorme plage de navigation allant jusqu'à 18 mille milles.

Les cuirassés Sharnhorst et Gneisenau construits dans les chantiers navals allemands après les cuirassés "de poche" ont reçu des turbines à vapeur à haute température comme moteurs principaux, mais ils ont été laissés avec des moteurs de réserve .-, tous les mêmes moteurs diesel de navire.

Wegener et Raeder étaient fermement convaincus qu'à l'avenir, la Kriegsmarine serait en mesure de mener une lutte fructueuse dans les océans avec la Royal Navy. Certes, pour six des cuirassés de type Bismarck, quatre porte-avions de type Graf Zeppelin et 12 Deutschlands, plusieurs escadrons de Corsaires devront être créés.

Cependant, le manque du nombre nécessaire de moteurs diesel puissants à la disposition des constructeurs navals nazis et le début précoce d'une nouvelle guerre mondiale n'ont même pas partiellement réalisé ce plan.

Mais les «corsaires des Océans» d'Hitler ont reçu le coup le plus dur dans une perspective complètement différente, quand il s'est avéré que le carburant des pétroliers de l'Union britannique capturés n'était pas adapté aux moteurs des croiseurs allemands. Ainsi, en termes de carburant, l'autonomie réelle de l'activité de combat du Corsaires a été immédiatement réduite à 2-3 semaines. Ensuite, le «Corsaire» a dû soit retourner à la base (le long de la côte des îles Britanniques), soit chercher du carburant quelque part à proximité. Mais avant le début de la Seconde Guerre mondiale, personne n'avait pensé à ce problème.

Les problèmes d'approvisionnement en carburant pour les navires allemands ST051LI sont si aigus que l'OKM a dû de toute urgence commander la conception et la construction de pétroliers spéciaux du type Trossschiff (pétrolier et navire de ravitaillement combinés).

Et pourtant, principalement dans le succès de la guerre des Corsaires, le grand amiral Erich Raeder ne s'est pas trompé. Au moins dans les premières années de la Seconde Guerre mondiale. En effet, s'appuyant sur l'expérience acquise précédemment dans la conduite d'opérations de raideurs dans l'océan Pacifique et l'Atlantique Sud, il a réussi à organiser des actions actives de plusieurs groupes de raiders nazis sur les principales communications océaniques des adversaires du IIIe Reich.

Cependant, immédiatement le commandant en chef de la marine nazie a eu un nouveau problème, qui était lié au fait que déjà à l'automne 1939, les navires Kriegsmarine avaient besoin d'un accès libre en dehors de la mer du Nord et de la Manche, et encore mieux - des bases navales étrangères. Cependant, ni le premier ni le second parmi les marins allemands à ce moment ne l'étaient pas. Et de toute urgence, ils devaient chercher un allié qui aiderait vraiment Kriegsmarine à diriger librement les navires et navires allemands vers les étendues de l'océan Atlantique et au-delà. L'Union soviétique est devenue un tel allié pour le Troisième Reich.

Faites immédiatement une réservation - dans notre livre, il n'y aura pas d'examen complet des relations germano-soviétiques d'avant-guerre. Nous n'aborderons que la "composante" marine de ces relations, qui se rapportent directement aux secrets arctiques du Troisième Reich.

Comme vous le savez, en août-septembre 1939 entre l'URSS et l'Allemagne, un accord de commerce et de crédit a été signé à Berlin (19 août 1939), le traité de non-agression et le protocole secret (23 août 1939), et le traité d'amitié et de frontière (28 septembre 1939).

Au cours de ces années, la pratique de conclure des accords secrets entre l'Allemagne et l'URSS n'était plus nouvelle. Cela avait bien fonctionné vingt ans plus tôt, lorsque, selon le traité de Versailles, l'Allemagne était interdite d'avoir sa propre armée et sa propre marine. Cependant, déjà en 1922, les Allemands contournèrent très habilement cette interdiction. Ainsi, conformément à l'accord soviéto-allemand, signé le 16 avril 1922 dans la ville italienne de Rapallo, les futurs officiers de la Wehrmacht et de la Luftwaffe ont commencé à être formés dans des centres de formation conjoints soviéto-allemands. Ce sont par exemple: l'école de chars Kama à Kazan, l'école d'aviation de Lipetsk, la participation de chimistes militaires allemands aux travaux sur le site d'essai secret de Tomka près de Saratov.

De plus, les accords de 1939 ont renforcé la croyance d'Hitler dans la réalité de la rupture du blocus naval et dans la possibilité de causer de graves dommages à l'économie des îles britanniques.

Mais surtout, les nazis ont eu un accès Libre à l'océan mondial le long de la route de la mer du Nord (reliant prochainement les océans Atlantique et Pacifique), ce qui a permis de fournir de manière fiable à l'industrie du Reich du minerai, du bois, de la pâte de l'Union soviétique et diverses matières premières stratégiques des pays des mers du Sud.

Même avec le déclenchement de la guerre avec l'URSS, l'OKM allemand n'a pas abandonné l'idée d'utiliser la route maritime du Nord pour transférer des navires allemands dans l'océan Pacifique, car il pensait que:

La Kriegsmarine et la Luftwaffe doivent constamment et pleinement influencer les forces de la marine du nord et de la direction principale de la route maritime du nord (GU NSR) dans les mers arctiques, ce qui permettra aux navires marchands germano-japonais de voyager d'Allemagne vers les îles japonaises et de revenir sans interférence.

À première vue, cela semble être un mépris très imprudent pour les capacités de la marine de la flotte du Nord, et même avec le mouvement des navires dans l'arrière-plan militaire profond de l'URSS. Cependant, les nazis savaient très bien ce qu'ils faisaient, et afin de mieux comprendre les origines de leur confiance en soi similaire dans l'Arctique soviétique, nous reviendrons à l'été 1931, lorsqu'une expédition scientifique internationale a volé ici sur le dirigeable allemand "Graf Zeppelin". Alors ...
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMar 17 Mar - 20:58

Oh mon dieu, déjà au chapitre cinq, et sans le traducteur, je ne serais pas arrivé aussi loin, mais ici il faut aussi que je relise tout les paragraphes, pour être sur, que il n'y a pas d'erreur!

Citation :
CENT ET TRENTE-QUATRE HEURES DE VOL DU DIRIGEABLE "GRAF ZEPPELIN"

Cependant, tout d'abord, il faut souligner que l'Allemagne a toujours étudié en profondeur l'Arctique. Le début de cet intérêt remonte à 1895, lorsque le VIe Congrès géographique international s'est tenu à Londres, où tous les géographes du monde ont été invités à accorder leurs plus grande attention et à l'étude de l'Antarctique et de l'Arctique.

Suite à cette proposition, les pays les plus développés du monde dans les premières années du nouveau siècle ont envoyé leurs expéditions en Antarctique. Mais un nombre encore plus grand de navires de recherche ont navigué dans l'océan Arctique. Très vite, l'Allemagne impériale nouveau-née est devenue l'un des interprètes les plus actifs des recommandations du Congrès de Londres, en particulier en ce qui concerne l'étude de l'Arctique. Ainsi, si de 1900 à 1945, 1214 articles scientifiques sur l'Arctique ont été publiés dans le monde, alors 921 d'entre eux appartenaient à la plume de chercheurs allemands. Mais une place particulière dans l'étude allemande de l'Arctique est bien sûr occupée par le vol arctique du dirigeable Graf Zeppelin, largement connu dans les années 30 du siècle dernier, qui a été oublié immédiatement avec le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Et ne parlez pas de lui a l'ancien opérateur radio de l'expédition Ernst Krenkel dans son livre "RAEM - mes indicatifs d'appel", les lecteurs soviétiques n'auraient probablement pas la moindre idée de cet événement historique.

Les études soviéto-allemandes sur les mers de Barents et de Kara en 1927 et les travaux scientifiques conjoints durant la IIe année polaire internationale (1932-1933) ont également joué un rôle important dans l'étude du secteur soviétique de l'Arctique. Certes, pour une raison quelconque, les historiens pour une raison quelconque ont essayé de ne pas se rappeler la participation active des scientifiques allemands à ces études.

Sans surprise, une analyse détaillée de cette intelligence plutôt que des études scientifiques attend toujours dans les coulisses. Il s'agit d'un matériel très complet et, bien sûr, intéressant. Mais ici, nous allons essayer de décrire un seul épisode qui est directement lié au thème de ce livre.

La décision d'effectuer un vol scientifique vers l'Arctique dans un dirigeable a été prise lors du IIe Congrès international par la Société aéroarctique, qui a eu lieu à Leningrad en 1928.

À cette époque, la société était dirigée par le célèbre voyageur polaire et un partisan sincère de l'étude scientifique des déserts arctiques Fridtjof Nansen.

Il est également tout à fait approprié de rappeler ici que pendant ces années, OSSOAVIACHIM était engagé dans la construction de dirigeables en URSS - l'organisation est quelque peu étrange dans sa structure et ses responsabilités. {5} De plus, la Terre des Soviets ne disposait pas d'un seul dirigeable suffisamment moderne, et l'étude de l'Arctique devenait déjà pertinente.

Par conséquent, la participation de l'URSS à un projet international, et même à l'un des dirigeables les plus modernes d'Allemagne, a été très tentante et assez prestigieuse. De plus, l'apparition de dirigeables allemands dans l'espace aérien de l'Union soviétique devenait familière. Ainsi, par exemple, le dirigeable LZ-127 est apparu pour la première fois dans l'Arctique soviétique en août 1929, lorsqu'il a effectué son célèbre vol autour du monde de 20 jours. On sait également le vol vers Tokyo, qui a eu lieu sur le territoire de l'URSS. Il y avait probablement d'autres vols que nous ne connaissions tout simplement pas encore.

Le 26 mars 1930, le journal Poljarnaja pravda (de Mourmansk)a écrit sur la préparation de cette expédition dans l'Arctique:

... Un mât d'amarrage pour le Zeppelin sera construit près de Leningrad, ainsi qu'une installation de stockage de carburant et des ateliers de réparation. Des scientifiques soviétiques participeront au vol. Les stations de radio soviétiques situées dans le nord du pays maintiendront une communication continue avec le Zeppelin ...

Cependant, il se trouve qu'en 1930, la société internationale aéroarctique, au lieu du norvégien F. Nansen, était dirigée par un spécialiste de l'aéronautique, le colonel allemand Walter Bruns. Comme si, dans la continuité de la mise en œuvre des plans scientifiques de F. Nansen et de la mise en œuvre des décisions du deuxième Congrès international de la société, il avait prévu le vol du dirigeable allemand pour une raison quelconque uniquement sur le secteur soviétique de l'Arctique! Pour mener à bien ces études, V. Bruns a proposé d'utiliser le LZ-127 susmentionné comme le plus récent (construit en 1927) et le dirigeable le plus fiable d'Allemagne, ce qui est clairement illustré par ses spécifications techniques:

La longueur du dirigeable "Graf Zeppelin" était de 236,6 mètres, la largeur - 30,5 mètres et la hauteur - 35,5 mètres. Cinq moteur pour dirigeables de type Maybach ont permis de livrer 40 tonnes de fret (soit 20 passagers et 15 tonnes de courrier ou autre fret) sur une distance de 14 mille kilomètres avec une vitesse de croisière de 117 kilomètres par heure.

Trois opérateurs de radio allemands simultanément sur trois récepteurs étaient prêts à recevoir les plus longs rapports météorologiques 24 heures sur 24 de toutes les principales stations de radio du monde. La composition de l'expédition, son plan et son itinéraire ont été proposés par B, Brooks et approuvés par la direction soviétique. Le Dr Hugo Eckener a été nommé directeur de vol et le professeur Rudolf Samoilovich était le chef scientifique de l'expédition. L'équipage du dirigeable comprenait 15 scientifiques de divers pays, dont 3 Américains, 1 Suédois, 1 Suisse et 6 Allemands. Outre R. Samoilovich, il y avait à bord des représentants soviétiques: le professeur-aérologue Pavel Molchanov, l'ingénieur - concepteur de dirigeables Fedor Assberg et l'opérateur radio Ernst Krenkel.

Avec le personnel de l'équipage, le journaliste allemand Wiegand, spécialement invité par le colonel Walter Bruns, s'est envolé pour l'Arctique soviétique. De plus, le directeur de vol, le Dr Eckener, a ajouté 4 autres personnes à l’équipage du navire. Jusqu'à présent, il n'a pas été possible de savoir qui étaient ces «aérostiers». (tsssss aujourd'hui, il est facile de le deviné Abwehr.)

Il semble également intéressant d'ajouter les caractéristiques que E. Krenkel a données à certains membres d'équipage. Ainsi, par exemple, il a écrit à propos du Dr G. Eckener: "Il porte un costume civil, mais il est probablement un officier." Soit dit en passant, l’équipage du «Zeppelin» comprenait le fils d’Eckener, que E. Krenkel a décrit comme «une personne purement militaire». Il peut également être précisé que le deuxième opérateur radio du LZ-127 n'était pas Rolf Kluge, comme indiqué dans certaines publications sur ce vol.

En effet, E. Krenkel a écrit à propos de ses collègues opérateurs radio que Dumke était l'opérateur radio principal, et Leo Freind était le deuxième. De plus, dans le livre d'E. Krenkel «RAEM - mon indicatif», il est indiqué qu'il y avait un passager à bord du «Graf Zeppelin». C'est le célèbre multimillionnaire américain Lincoln Eleworth, qui a payé 5 000 $ pour participer à ce vol, c'est-à-dire que le montant à l'époque était énorme! {6}

Les plans des expéditions comprenaient la vérification des capacités techniques de l'utilisation de dirigeables dans l'Arctique à haute latitude et la réalisation de diverses études le long de l'itinéraire de vol. En outre, il était prévu de faire une longue escale sur l'île de Domashny (au large de la côte Nord de Zemlya), où l'année dernière déjà une expédition scientifique soviétique dirigée par Georgy Ushakov a travaillé dans des conditions de glace sévères. Et puis, le «Graf Zeppelin» était censé inspecter les zones le long de la côte nord-est de la Sibérie jusqu'aux îles de Novossibirsk, inclusivement.

Sur le chemin du retour, lors de l'atterrissage à Leningrad, il était prévu de décharger le matériel scientifique obtenu lors du vol, puis d'embarquer à bord du dirigeable des stagiaires-aéronautes soviétiques,

Il était également prévu de réaliser des photographies aériennes détaillées d'îles et archipels arctiques peu explorés. Surtout pour cela, le dernier équipement de cinéma et photo Zeiss a été installé à bord du dirigeable. Voici comment Rudolf Samoilovich a écrit à ce sujet:

Nous voulions utiliser la méthode la plus avancée pour produire des levés aériens. Notre navire était équipé d'appareils appropriés. Un appareil a été fixé verticalement, l'autre à un angle de 20 degrés. Ainsi, nous avons reçu les contours de la côte et de toute la zone adjacente.

Cependant, les scientifiques soviétiques n'ont pas découvert les possibilités réelles de l'équipement de photo et de film embarqué, car tous les documents photographiques reçus pendant le vol étaient censés être développé en Allemagne. (je rigole ici, parce que la société hansa à cette époque travaillait pour l'Abwehr.)

Le premier et le seul atterrissage sur le sol soviétique, «Graf Zeppelin», effectué le 25 juillet 1931 à l'aérodrome du commandant de Leningrad, où les réserves d'hydrogène, de glisentine (ballast antigel) et d'eau potable ont été reconstituées.

Il convient de noter que la réunion du LZ-127 à Leningrad s'est tenue dans une atmosphère extrêmement solennelle. L'ambassadeur d'Allemagne auprès de l'URSS von Dirksen, président de l'Académie des sciences de l'URSS, académicien A.P. Karpinsky, O, L. Schmidt, et d'autres fonctionnaires ont assisté à la réunion.

Au départ de Leningrad, le dirigeable a survolé la Carélie et Arkhangelsk, la mer Blanche et la mer de Barents et s'est dirigé vers la terre Franz Josef. Dans l'une des baies de l'archipel - la baie de Tikhaya - le «Graf Zeppelin» a fait une brève éclaboussure pour rencontrer les passagers du brise-glace «Malygin», dont le célèbre explorateur arctique d'Italie, le général Umberto Nobile. Parmi ceux qui souhaitaient voir le Zeppelin dans l'Arctique se trouvait un autre passager «étrange», que E. Krenkel a décrit comme «la millionnaire américaine Mme Weiss, connue à l'époque pour ses caprices.

De plus, lors de cette rencontre, le destin a préparé une autre surprise. Le fait est que le principal "facteur" de "Malygin" en tant que chef du bureau de poste international spécial était Ivan Dmitrievich Papanin. Oui, ce même Papanin, qui dans quelques années deviendra le principal explorateur polaire de l'Union soviétique et tentera en 1940 de renvoyer le raider nazi Komet de la mer de Sibérie orientale. Cependant, plus à ce sujet plus tard. Malheureusement, la réunion a été de très courte durée (pas plus de 15 minutes), car de puissants glaçons ont commencé à apparaître dans la baie, ce qui pourrait endommager la coque du dirigeable.

Comme mentionné précédemment, l'itinéraire de vol du dirigeable dans l'Arctique soviétique a été élaboré et convenu avec la partie soviétique par V. Bruns et G. Eckener. Il était très curieux en lui-même: archipel de Franz Josef Land - archipel Nord de Zemlya - île Wardroper - île Dickson - pointe nord de l'archipel Novaya Zemlya - île Kolguyev.

Partant des îles de Franz Josef Land, le vol a été officiellement dirigé par R. Samoilovich, qui, en tant que scientifique de grande envergure, a cherché à utiliser n'importe quelle occasion, même la plus légère, pour mener des recherches scientifiques. Tout d'abord, il voulait que l'expédition ait autant que possible peu de zones explorées de l'Arctique soviétique.

Ah cela n'en fini pas, ce chapitre est réellement long.

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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMer 18 Mar - 10:52

he ben, ce n'était que la moitié du chapitre.

Citation :
Comme il s'est avéré plus tard, la même chose, mais pour une raison complètement différente, et a cherché des scientifiques allemands.

Le Dr Eckener et ses pilotes se sont facilement conformés à toutes les exigences de Samoilovich, et le dirigeable, changeant constamment de cap, a survolé lentement les coins les plus reculés de l'Arctique soviétique, survolant périodiquement les zones les plus intéressantes.

La vraie sensation pour les chercheurs a été qu'entre les deux îles de l'archipel Severnaya Zemlya (la révolution d'octobre et les bolcheviks), il n'y a pas le golfe Shokalsky, mais un large détroit.

En général, à cette époque, de nombreuses recherches scientifiques précieuses ont été menées. En fait, en seulement trois jours de vol, une base fondamentale a été obtenue pour compiler des cartes géographiques précises des régions arctiques inaccessibles. La quantité de travaux scientifiques effectués était colossale. En effet, selon les experts, les voyageurs et les marins ordinaires passeraient des années, voire des décennies à le faire. Mais même dans ce cas, ils ne mettaient que quelques touches sur la carte de l'Arctique à partir de ce qui avait été montré dans l'Arctique par Samoilovich et ont réussi à capturer les aéronautes d'Eckener sur film et film. Soit dit en passant, tout cela a été très utile pendant les années de guerre aux marins de la Kriegsmarine et aux pilotes de la Luftwaffe.

De plus, un événement d'importance mondiale s'est produit pendant l'expédition. Lors du survol de Severnaya Zemlya, Novaya Zemlya et de la mer Blanche, des sondes radio (inventées par le professeur P. Molchanov) ont été lancées, ce qui a permis de mesurer la pression, la température et l'humidité de l'air en atmosphère libre. Dans le même temps, des informations sur le régime météorologique de la stratosphère ont été reçues à la "base", c'est-à-dire à bord du dirigeable, où des équipements spéciaux de réception radio ont été installés. Pour la première fois dans l'histoire de la météorologie mondiale, la stratosphère polaire a été sondée en peu de temps dans plusieurs régions arctiques assez éloignées. En plus des enquêtes uniques qui ont été menées pendant le vol et que le sort maléfique du Troisième Reich a clairement placé dans la catégorie des maîtres espions, une autre découverte intéressante a été faite, évidemment j'ai; sa relation avec notre temps actuel est des problèmes environnementaux continus.

Voici comment cette expérience a été décrite par E. Krenkel:

Le professeur allemand Wyckman a étudié la pollution de l'air. Les résultats des mesures à différents tronçons de l'itinéraire se sont révélés intéressants: dans un centimètre cube d'air repris au-dessus de Leningrad, il y avait 52 mille particules de poussière, au-dessus d'Arkhangelsk - 26 mille et au-dessus de Severnaya Zemlya leur nombre a été réduit à 200-300. Si l'on se souvient qu'à Yalta, où les malades de la tuberculose étaient alors transportés, le nombre de particules de poussière était de 4 000 par centimètre cube, alors la pureté de l'air arctique ne pouvait que faire impression.

Tout cela, sans aucun doute, confirme que la signification scientifique du vol était vraiment inestimable.

Mais il y avait des «flash blancs» les premiers dans l'histoire du vol,

Ainsi, immédiatement après le départ du dirigeable vers l'archipel de Severnaya Zemlya avec des voyageurs, toute les connexion radio a été inopinément perdue. Et cela en présence des équipements radio les plus modernes à bord! Quelle route dans ces heures ils ont volé reste inconnue!

De plus, il s'est avéré que le retour du "Graf Zeppelin" n'apparaissait pas du tout sur l'île. Mais les hivernants de Georgy Ouchakov attendaient que le dirigeable apparaisse avec une impatience compréhensible. De plus, cette visite était prévue dans le plan de vol, convenu par la partie soviétique, car le programme comprenait l'embarquement du géologue Urvantsev avec le LZ-127  et sa livraison à Leningrad, mais après tout, il est très probable qu'Eckener n'allait pas atterrir à Leningrad du tout !

Expliquant le changement de plan de vol, le Dr Eckener a mentionné le fait que le ciel au-dessus de la partie nord-ouest de l'archipel était couvert de nuages ​​lourds et d'un brouillard dense.

Pendant ce temps, R. Samoilovich dans son récit sur le vol cité dans les pages de la presse soviétique (en 1931), ne fait directement référence qu'à la perte totale des communications radio, et pas du tout au mauvais temps:

Nous approchions des îles Kamenev, où se trouve notre radio, mais nous n'avons malheureusement pas eu à communiquer avec eux pour des raisons inconnues. Nous les avons rappelés de Franz Josef Land, puis de Severnaya Zemlya, mais probablement à cause du bruit du moteur nous n'avons pas pu accepter leur réponse avec notre récepteur. En tout cas, il n'y a pas eu de réponse.

Nous n'avions pas d'autre choix que de voler plus loin, car le dirigeable ne pouvait pas rester plus longtemps ici.

Cela soulève immédiatement au moins deux questions. Pourquoi le dirigeable ne pouvait-il pas rester dans la région? Après tout, les réserves de carburant ne limitaient pas du tout le temps de vol! Et pourtant, avoir à bord l'équipement radio le plus récent pour l'époque, perdre (ou ne pas rétablir) la communication avec un objet à proximité est très invraisemblable!

Cent trente-quatre heures ont duré tout le vol du «Graf Zeppelin», dont cent seize heures au-dessus de l'Arctique soviétique. Le dirigeable a parcouru près de 13 mille kilomètres (au lieu des 10 500 kilomètres prévus) et a été simple (sans atterrir à Leningrad), en violation de tous les accords initiaux, il est retourné en Allemagne.

Mais avant le début de l'expédition, il a été spécifiquement convenu que, au retour du dirigeable de l'Arctique, un deuxième atterrissage devrait définitivement avoir lieu à l'aérodrome du commandant.

Le Dr Eckener a refusé d'atterrir à Leningrad en raison du fait qu'il aurait reçu un bulletin météo défavorable.

Aujourd'hui, la véracité de recevoir de telles prévisions météorologiques soulève certains doutes. Cependant, si nous partons du fait que la décision de ne pas transmettre le matériel cinématographique unique du côté soviétique et de remettre les documents photographiques obtenus lors de cette expédition a été prise à l'avance, alors le radiogramme transmis par Eckener au gouvernement soviétique du dirigeable en l'air l'espace sur Leningrad, provoque un certain sentiment de dégoût.

Voici le texte intégral de ce radiogramme:

AU GOUVERNEMENT SOVIÉTIQUE, KREMLIN, MOSCOU

De retour d'un vol vers l'Arctique et de quitter le pays qui nous a fourni une aide précieuse, je ne voudrais pas manquer l'occasion de remercier de tout cœur et en même temps d'exprimer ma vive satisfaction que le premier travail conjoint de la science russe et allemande sur l'étude de l'Arctique ait donné d'excellents résultats. . À mon grand regret, avec le vent soufflant en rafales et le temps instable, il n'était pas sûr de descendre à Leningrad. Nous avons cependant réussi à accueillir la ville, après avoir décrit plusieurs cercles au-dessus d'elle. Eckener.

De plus, quelques jours seulement après le retour du LZ-127 à Berlin, la partie soviétique s'est officiellement excusée du manque de professionnalisme d'un certain technicien qui a pu simultanément (?) Illuminer tous les films et films filmés des régions des archipels arctiques et de la péninsule de Taimyr.

Par conséquent, nous n'avons obtenu que très peu d'informations qui ont été conservées dans les journaux de travail de F.Assberg et P. Molchanov et dans une courte note finale sur le vol, que R. Samoilovich et son courrier personnel ont réussi à jeter le 30 juillet lors d'un vol au-dessus de Leningrad. Dans cette note, il a écrit:

Dans des zones précédemment découvertes, des changements de surface ont été révélés. Travailler avec des ballons-radiosondes du système du professeur Molchanov a donné des résultats de classe mondiale qui sont importants pour le super-rayonnement, la super-artillerie et l'astrophysique. Plusieurs nouvelles îles ont été découvertes au large des côtes de la côte nord-est de la Sibérie et du pays de Lénine. Un certain nombre de découvertes ont été faites dans le domaine de la géophysique.

En analysant les résultats de la recherche, le professeur Samoilovich a fait une conclusion très intéressante que pour une couverture plus approfondie par des observations régulières, la reconnaissance des glaces et la photographie aérienne de toutes les régions de l'océan Arctique, la science aura besoin de base avec des mâts d'amarrage, des réserves d'hydrogène, de l'équipement et de la nourriture: sur Franz Josef Land, en estuaires des Yenisei, Lena et Alaska.

Comme on le verra dans l'histoire suivante, à l'exception du dernier paragraphe, les plans du professeur soviétique ont été entièrement mis en œuvre par des subordonnés ... Reichsmarshal Herman Goering, ainsi que par les grands amiraux Erich Raeder et Karl Dönitz. Mais pas pour la recherche scientifique!

Ce n'est qu'après la fin de la Seconde Guerre mondiale que nous avons appris que le film "perdu" et le film tourné pendant le vol du "Graf Zeppelin" avaient été retrouvés immédiatement après l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hitler en Allemagne. Et l'un des principaux théoriciens navals du Troisième Reich - P. Ebert, utilisant ces données, a même identifié l'Arctique soviétique dans la région marine la plus importante de la nouvelle Allemagne. Dans ce cas, les éléments suivants étaient particulièrement importants: les archipels de la terre Franz Josef, la terre septentrionale de Nordenskjöld, les skerries Minin, l'île Kolguev et les zones adjacentes à l'île Dikson.

En général, dans la période d'avant-guerre, les scientifiques allemands (mais il est très probable que les renseignements militaires) aient étudié de manière intensive le secteur soviétique de l'Arctique. De plus, la direction soviétique, en réponse aux souhaits de la partie allemande sur la question (Au moins une restauration partielle des matériaux scientifiques perdus, "a permis aux" chercheurs "allemands de mener plusieurs expéditions scientifiques dans l'Arctique (y compris à bord de navires soviétiques). Par exemple, déjà au cours de l'été 1932, le brise-glace soviétique "Malygin" est venu deux fois d'Arkhangelsk à Franz Josef Land, dans un premier temps, pour le débarquement du déplacement de nos explorateurs polaires dirigés par I. Papanin, dans la baie de Tikhaya. Janius Joachim Scholz, qui y a travaillé pendant la deuxième année polaire internationale.

Puis le secrétaire de l'Aeroarctic International Society, le professeur susmentionné Walter Vrune, est arrivé sur l'archipel avec une tâche spéciale pour étudier les conditions d'atterrissage des dirigeables sur les îles de l'Arctique.

Sur le même vol, mais déjà sur Novaya Zemlya, une expédition conjointe soviéto-allemande a été effectuée, effectuant des recherches scientifiques utilisant des sources explosives dans le cadre du programme de la IIe Année polaire internationale,

En 1937, les participants du 17e Congrès géologique international, dont 17 étrangers, ont visité les baies et les lèvres de Novaya Zemlya sur le navire Vologda. Au cours de ce vol, des scientifiques étrangers ont eu l'occasion de se familiariser en détail sur Novaya Zemlya avec le détroit de Matochkin Shar, les baies de bien-être et le port russe, l'embouchure de Chernaya et Belushya, Maly Karmakuly, Arkhangelskaya et Mityushikha, ainsi que l'organisation d'observations météorologiques à la station polaire du cap Zhelaniya.

Au cours de ces mêmes années (pendant les navigations estivales de 1933-1937), des navires marchands allemands ont commencé à venir chaque année dans les ports d'Ob et de Yenisei, et des pêcheurs allemands sont apparus dans la mer de Barents censément pour les protéger, bien qu'il ne soit toujours pas clair de qui (?) , en 1936, le croiseur «Koenigsberg» est venu ici, et un an plus tard - dans le même but le croiseur «Köln»,

Il ne fait aucun doute que nombre de ces «scientifiques» et «pêcheurs» seront rencontrés par leurs collègues soviétiques dans quelques années dans les mers de Barents et de Kara. Mais cette fois, ils seront vêtus de vestes à double boutonnage coupe-vent de chasseurs de montagne ou des imperméables caoutchoutés des marins Kriegsmarine.

Le plus souvent, les recherches allemandes dans notre Arctique se sont déroulées sans aucune difficulté de la part des autorités compétentes de l'Union soviétique. Une seule fois, en avril 1940, quelque chose d'inhabituel s'est produit: les gardes-frontières soviétiques ont détenu 5 chalutiers allemands à la fois dans la baie de Porchnichy. Cependant, aucun détail n'a été trouvé sur cet incident et ses conséquences dans les archives accessibles.

Comme la triste expérience de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que les décennies qui se sont écoulées depuis lors, 116 heures de vol du dirigeable allemand se sont avérées utiles pour les "scientifiques" allemands non pas tant pour augmenter le potentiel scientifique dans le développement des connaissances fondamentales sur l'Arctique, mais pour jeter les bases des fondements des secrets de l'Arctique Le Troisième Reich, dont beaucoup n'ont pas été révélés à ce jour.

Pendant ce temps, la présence constante de collègues soviétiques à bord du dirigeable Graf Zeppelin et à bord de navires de diverses expéditions scientifiques a parfois gravement perturbé le travail des "chercheurs" nazis dans une étude détaillée des côtes arctiques et des archipels du secteur arctique soviétique.

Mais les éclaireurs de Kriegsmarine avaient besoin d'informations détaillées sur la route maritime du Nord, qui était complètement inaccessible aux navires étrangers à cette époque. Et ils ont trouvé une issue.

À la demande de la direction du Troisième Reich, la transition de l'Arctique du Komet Ocean Raider vers l'océan Pacifique a été officiellement organisée et autorisée.

Il est vrai que c'est une autre histoire de notre myopie à la veille de la Grande Guerre patriotique et des astuces des services spéciaux de l'Allemagne fasciste.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique Icon_minitimeMer 18 Mar - 11:41

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Donc ici, je vous met le passage océan Atlantique --> Pacifique, via le détroit de Béring. Soit en partant de Hambourg, Passage Nordost = Nord Est = 13000 km.
Et le passage Nordwest = Nord Ouest = 14000
Et là les deux points se rejoignent quelques part près de la Mer de Bering -D'okotzk.

Et en couleur Blanc = la couche de Glace en été.
et Bleu clair= Couche de glace en hiver.

Donc c'es à partir de là, que Les Allemands, ont rejoint l'océan Pacifique, soit le chemin le plus court. Ici je vous parle toujours par voie navigable, pas par la voie aéronautique.

Et ce chapitre, vas donc en discuter de ce passage. que le "Komet" et le "Pinguin" croiseur auxilaire ont utiliser pendant la seconde guerre mondiale.
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