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 allemands en antartique

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Daniel Laurent
naga
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vania
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeMer 18 Mar - 11:46

Du suspense, et de la fiction...
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeJeu 19 Mar - 2:46

Ah je vient de trouver après 1 journée de dure labeur, la réponse sur une vérification de l'histoire. Ainsi, vous ne me voyez pas, mais j'ai le sourire à mes lèvres!.
Mais, mais, mais, ici il existe 2 versions. Pour connaitre la bonne.
Bennnnn, :
1) En 1945, après la capitulation de l'Allemagne, comme les Russes, ont pris d'assaut Berlin, ils ont aussi eut droit aux documents, du moins à beaucoup d'entre eux, qui non pas pu être détruit. Et ce sont ses document classé hautement secret, dont il faut prendre conscience, en raison:
2) Ben, ont se trouve dans quoi comme sujet?
Voilà, vous y êtes, dans la catégorie, ou même les hauts gradés de l'armée n'ont surement ou rare était les élus, a prendre connaissance.
A ce tribunal de Nuremberg, il y'a eu combien de ses haut rang, d'après vous, qui ont eu connaissance, des bases secrète de la kriegsmarine dans l'Arctique? ou encore dans l'Antarctique? Il n'y en a pas 36!
L'ancien boureau Gauleitner de la Pologne, surement pas, Keitel??? Jodl???? Dönitz kif-kif. En raison, que il ne faut pas non plus oublié, que Hitler, avant de s'en fuir, il as nommé Dönitz en tant que son successeur. Et tout les autres, Streicher, von papen, et le reste, oui il y'avait aussi l'ancien ministre des affaires étrangère, Pour les anciens de l'Abwehr, ah ben là c'était certains, à eux, ont ne pouvait rien leurs caché, c'était les maîtres espions du IIIème Reich, je parle bien des anciens, qui ont été les bras gauche et droit de l'Amiral Canaris.

Donc en clair, il y'a la version officiel, qui as été publier par l'ancien commandant du navire, et qui est devenu Contre Amiral, et qui est devenu après la guerre, l'auteur des récits sur son navire. Soit Robert Eyssen.

Et il y'a eu la version officieuse, que justement personne, ne détenant pas les accréditations nécessaire, ne devait pas connaitre.
La version officiel, contient déjà certains éléments, mais d'autre, ont été caché volontairement.
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeJeu 19 Mar - 4:08

Citation :
NAVIGATION DU CORSAIRE "KOMET" SUR LA ROUTE DU NORD EST

Ainsi, en novembre 1940, le chasseur de transport impitoyable des pays de l'Union britannique apparut dans l'océan Pacifique, le croiseur auxiliaire allemand (Corsaire) «Komet», qui, avec le croiseur auxiliaire «Penguin», qui avait pénétré dans l'océan Pacifique en peu de temps, coula dans les eaux du Pacifique 16 transports, ont capturé le transporteur néerlandais "Trion" avec un chargement de caoutchouc naturel, des tirs d'artillerie ont détruit des installations de stockage de pétrole et une usine de phosphate sur l'île isolée de Nauru et ont causé bien d'autres problèmes.

Dans les années 1990, beaucoup a été écrit sur les actions des raids nazis selon le plan Fall Grün (Plan Vert). Par conséquent, il est inutile de raconter à nouveau en détail ce que le "Komet" a fait dans l'océan Pacifique. Mais si vous regardez cette histoire, pour ainsi dire, dès le début, vous pouvez souligner que même lors des réunions du 30 décembre 1939 et du 2 janvier 1940, le commandant en chef de la marine allemande, le grand amiral Erich Raeder a signalé à Hitler la nécessité de sauver 35 navires allemands coincés dans les ports des pays d'Asie du Sud-Est, emprunter la route de la mer du Nord, qui à cette époque était complètement fermée au passage des navires étrangers.

En outre, il s'est avéré que l'essentiel de la mise en œuvre du plan Vert était reconnu comme la nécessité pour un navire Corsaire allemand de passer le détroit pendant la période estivale de 1940 le long de la route maritime du Nord de Mourmansk au détroit de Béring.

La responsabilité de la mise en œuvre réussie de cette partie du plan incombait à un reconnaissance expérimenté de la Wehrmacht von Baumbach, qui était à l'époque l'attaché militaire de l'ambassade d'Allemagne à Moscou.

Mais pour décrire les activités de ce scout chevronné en URSS n'est pas inclus dans le plan de notre livre, bien que nous allons encore en partie concerner ses activités,

Mais le passage du navire Corsaire "Komet" le long de la route maritime du Nord et le rôle de son commandant dans la préparation de plusieurs bases secrètes qui ont assuré les opérations actives des sous-marins Kriegsmarine et des avions de la Luftwaffe dans notre arrière-fond de l'Arctique pendant les années de guerre méritent d'être mentionnés en particulier, mais nous commencerons presque par une introduction lyrique .


  1. Le soleil de juillet 1940 réchauffait à peine le sommet des falaises de Novaya Zemlya et l'étendue brillante de gljancevuju glad', le long de laquelle le chalutier RT-312 Abrek se dirigeait lentement vers la gorge de la mer Blanche.

    Sous la surveillance du capitaine, le copilote Valentin Dartau examine habituellement la mer du désert. Soudain, ses yeux tombèrent sur la silhouette grise d'un navire à deux mâts, s'élevant rapidement de l'horizon.

    L'étranger, accroché de façon prédatrice au «miroir» de la mer, comme s'il coupait un couteau dans la mer de Barents. En une demi-heure, la silhouette s'est transformée en un mystérieux navire sans drapeau national. Nouvelle demi-heure, et les navires se rencontrèrent se séparèrent. Lorsque le soleil a illuminé l'inscription sur la poupe de l'étrange navire Dartau a lu son nom - "Danube" et en dessous du port d'attache - Leningrad. (*)

    Le fantôme gris, sans lever le drapeau national, a rapidement disparu dans une brume légère près de l'île Kolguyev.


Oui, ouiv, vite mon astérix.
Alors oui, ici le "komet" comme c'était un navire Corsaire, identique comme le "Graf Spee" l'était en 1939. Ainsi, identiquement, ces navires Corsaires, ont utiliser des Camouflage, pour ne pas pouvoir être identifier trop vite, leurs laissant la possibilité, de fuire. Mais à 15 Noeuds, ont pouvait justes espérer ne pas a avoir rencontrer, un Destroyer, qui eux montèrent déjà à 25-30 noeuds.
Mais le navire corsaire, eux avait des 6 canons de 150 et les Destroyers que un voir deux de 76mm. C'est pour cela que ils appartenaient à la classe des Croiseurs auxiliaire.
Et pour le nom Danube, une fois c'était le nom d'un navire Russe, et une autre fois, c'était le Danube Allemand.

Et là je suis beaucoup trop fatigué pour continuer, donc bonne nuits à tous!
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeJeu 19 Mar - 13:48

Citation :
Le premier officier du«312» a ordonné d'inscrire cette rencontre inhabituelle du navire dans le journal de bord, avec nom du navire dont il n'avait jamais entendu dans les eaux polaires et qui pour une raison quelconque ne souhaitait pas montrer hisser son drapeau national lors de leurs rencontre. Quel genre d'étranger était t'il?, Dartau ne l'a découvert qu'après de nombreuses années. En attendant, souvenez-vous du nom - «Danube».

Quelques explications supplémentaires sont nécessaires ici. Le fait est qu'avec le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre de navires allemands semblaient se trouvé en dehors de la mer Baltique et de la mer du Nord, et qui avaient la nécessité de se cacher dans des ports neutres ou dans des ports de pays amis. Ce n'est que dans la baie de Kola à cette époque que plus de 30 transports allemands se sont rassemblés, qui ont finalement réussi à retourner en toute sécurité en Allemagne, déjà sous le couvert de la nuit polaire.

Mais comme nous l'avons écrit ci-dessus, de nombreux navires allemands et de précieuses cargaisons sont fermement bloqués dans les ports d'Asie du Sud-Est. Traverser l'océan Indien, et surtout traverser l'Atlantique, était extrêmement dangereux pour les transports marchand non armée et ayant à leurs bord une cargaison très précieuse pour le Reich. Dans le même temps, il était parfaitement clair pour les dirigeants du Reich que la route maritime du Nord était absolument sûre pour les navires nazis, car l'Union soviétique ne permettrait jamais à la marine britannique de pénétrer dans ces zones. Mais il était un fait important que les conditions de navigation dans les mers arctiques soviétiques par les nazis étaient pratiquement inconnus. Par conséquent, un navire de reconnaissance était nécessaire, capable de naviguer rapidement sur la route de la mer du Nord de Mourmansk à l'océan Pacifique et de fournir des informations complètes sur les conditions de ce voyage.

Initialement, le commandement de la Kriegsmarine a choisi un navire à grande vitesse, le bananier Iller, pour une telle distance de reconnaissance, qui, à l'automne 1939, a été enfermé dans la baie de Kola avec d'autres navires du Reich. Mais il a ensuite été décidé de transformer le navire cargo-passagers EMS appartenant à la société Norddeutsche Lloyd et ayant une coque plus solide, pour le lancé le long de la route maritime du Nord. Bien que, comme il s'est avéré plus tard, le blindage et sa coque "soit apparue seulement dans les négociations avec la partie soviétique, mais était loin d'être la principale raison de ce remplacement

En décembre 1939, l'Ems a été poser dans une cale sèche pour réparation urgente et remise à neuf à l'embarcadère de l'usine de Hambourg Hovaldtswerke. Après une conversion d'usine de six mois, l'Ems s'est transformé en tant que croiseur auxiliaire «Komet» (à l'avenir, il aura quelques noms de plus), conçu pour chasser activement les navires ennemis dans diverses parties de l'océan mondial. Le commandant de Fregatte, le capitaine Keptel, commandait le raider. (*)

Au cours du processus de conversion, six canons de 150 millimètres déguisés en boucliers articulés, dix tubes lance-torpilles (également sous boucliers de camouflage) et neuf canons antiaériens ont été installés sur l'Ems. Avant d'embarquer à bord, quatre cents mines d'ancrage ont été prises (beaucoup plus que les plus grands navires corsaires pouvait en charger), un navire à grande vitesse spécialement conçu pour les productions minières secrètes, et un grand stock d'obus d'artillerie et de torpilles.(**)


pfiiiiiiii, alors la, je ne sais pas d'ou sort ce nom, si le capitaine de frégate Keptel, était l'ancien commandant du "Ems" ou peut être, que c'est le commandant, qui as commander ce navire juste après ses transformations, jusqu'à Gottenhafen, et que après, à Gottenhafen, le kapitän zur see Eyssen a pris les commandes du navire.????
Mais je pense avoir trouvé une possibilité, Ce nom de Keptel, n'est mentionné dans aucun autre rapport dans la Kriegsmarine, et identiquement, le nom keptel, même du côté russe, il est inconnu, du moins que dans ce sujet sur ce croiseur auxiliaire, qu'il est uniquement mentionné. Je pense ainsi, que Eyssen lui même, il s'était fait passé avec le nom d'emprunt de "Fregattenkapitän Keptel" à un certain moment.
Ou alors, aussi une possibilité, que ce fameux Keptel, faisait partit de l'Abwehr, et qu'il était uniquement passager, et quelques part il a été débarquer, pour effectuer les préparatif....
Parce que le début du récit allemand, eux commence à partir de Gottenhafen le 3 juillet. Donc ici il existe la version Russe qui énumère que le commandant était le Fregattenkapitän Keptel, et une autre qui mentionne uniquement le nom du kapitän zur see Eyssen. Et toutes les deux, disposent du même récit de navigation. Mentionnant la Norvège en tant que point d'arrêt. Etc...

Et pour son armement, hummm, ici sur le côté ouest, toutes les données, informe que uniquement 6 tubes lance torpilles ont été monté, pas dix, mais encore une fois, ici, les russes en 1945, ils ont récolté une tonne de document, mais es ce que il était à présent armée de 6 ou de 10 tubes? et ainsi une nouvelle fois ont trouve une autre différence avec le nombre de canon anti-aérien, côté ouest, est uniquement mentionné 1x canon de 37mm jumelé flak et 4x 20mm Flak.
Et puis quoi 400 mines? alors que le standard était de 30 mines.
Et même en étant escorter depuis Gottenhafen, avec les deux mouilleurs de mine- démineurs. qui chacun d'entre eux, pouvait transporter autant une trentaine de mine, je vois assez mal, que un navires de 7000 tonnes, arrive avec une cargaison de 400 mines. 40 mines pourquoi pas, parce que ici, il ne faut pas oublié, que ses mines navales était assez corpulente, par rapport à une mine terrestre.

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leclerc1944
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeDim 22 Mar - 4:22

Citation :
Un hydravion du type Arado a également été placé dans un hangar spécial du navire. La présence à bord de l'avion a permis au corsaire d'effectuer des reconnaissances à longue distance en mer, y compris dans les glaces. Les communications radio et le renseignement radio sur le navire ont été fournis par six opérateurs radio de haut niveau parlant couramment le russe et l'anglais.

Officiellement, le croiseur avait à bord une grande quantité de carburant, ce qui lui a permis de faire la transition le long de la route de la mer du Nord vers l'océan Pacifique sans faire le plein. D'autres réserves ont assuré une activité autonome du corsaire dans les eaux de l'Arctique et du Pacifique. Soit dit en passant, ce qu'il y avait d'autre dans les cales du navire corsaire est généralement inconnu. Le chef de cette expédition responsable a été nommé capitaine Zur see Robert Eissen, qui, même pendant la Première Guerre mondiale, à bord du croiseur auxiliaire "Meteor", Et il a participé à plusieurs campagnes militaires sur les rives de Murman et, en juin 1915, il a posé des mines dans la gorge de la mer Blanche. Plus tard, R. Eissen a été déjà nommé commandant du nouveau "Meteor", spécialement construit pour la recherche dans l'Arctique. Il a bien étudié les caractéristiques de la navigation dans les eaux de l'arctiques lorsqu'il était engagé dans des travaux hydrologiques à la frontière de la glace du Groenland et de l'Islande,

Comme il s'est avéré après la guerre, le remplacement du navire-bananier "Iller" par le navire "Ems" a été associé non pas tant à des différences de résistance de la coque, mais à une différence significative du nombre d'équipages de ces navires.

Ainsi, sur le bateau bananier, l'équipage n'était composé que uniquement de 35 marins, et l'équipage du "Ems" se composait de 270 marins.

Par conséquent, ces "passagers spéciaux" qui devaient être débarqués secrètement quelque part dans l'Arctique, dans le cas du transport par "l'Iller", il était presque impossible de se cacher des pilotes soviétiques (sans parler des difficultés de leur tâches sur le navire). Une autre chose est un navire dans les locaux du navire qui peut accueillir jusqu'à 300 personnes. Ici, un nombre suffisamment important de «passagers spéciaux» pourrait facilement «se perdre» au sein de l'équipage, et au bon moment et au bon endroit disparaître imperceptiblement du navire corsaire et reprendre la route comme si rien ne c'était passé, ce qui était un sport pour l'Abwehr pour déterminer leur statut spécial!

Les employés de l'Abwehr maîtrisaient la pratique d'une telle livraison de «spécialistes» nazis dans l'Arctique en juin 1939, lorsque certains «passagers» (ne parlant qu'allemand entre les deux) arrivaient en mer de Kara à bord du Murmanets, un navire soviétique en y débarquant sur divers iles de l'arctiques. Dans les documents officiels, ces groupes étaient appelés «scientifiques de l'Institut arctique de Leningrad», bien qu'ils vivaient dans une pièce où l'équipage soviétique y était strictement interdit. Il n'y a pas lieu de deviner s'il y avait des officiers allemands du renseignement naval parmi ces «scientifiques», car tous ces «chercheurs» ont été débarqués sur les îles de l'archipel de Nordenskjöld et les archipelles de Minin. Malheureusement, ce n'est qu'après la fin de la guerre que nos autorités compétentes ont fait attention au fait que les zones de débarquement pour les groupes de ces «employés de l'institut scientifiques de l'Arctique» étaient presque toujours situées le long de l'itinéraire de vol du «Graf Zeppelin».

Mais même alors, il était bien évident que le fait même de la révision de "l'Ems", ainsi que sa préparation à la navigation dans l'Arctique, aurait déjà dû alerter les organes compétents de l'URSS », mais cela ne s'est pas produit. Et le croiseur auxiliaire Komet du 3 juillet 1940, accompagné de deux dragueurs de mines, quitta Gotenhafen (Gdynia) et se dirigea vers le port norvégien de Bergen.

Lorsque le corsaire a dépassé la traversée du phare de Rügen, il a été rattrapé par l'hydravion spécial Do-18, dont le but était de monter à bord du corsaire deux autres «passagers»: le lieutenant-chef Wilhelm Doberstein (nouveau commandant du groupe radio du navire) et le lieutenant Wilfried da Carsten (qui est arrivé au poste). deuxième navigateur). Cependant, ce n'est que le début de réunions apparemment imprévues, qui à l'époque n'étaient même pas suspectées par les autorités soviétiques compétentes.
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeDim 22 Mar - 12:13

haaaaaa! je vient de lire quelques chapitre en avant, et oui, bien sûr, les russes, n'avaient rien remarquer de cet base Allemandes, pas avant 1963, ou la mer a rejeter de vieux baril de pétrole contenant des symbole du III Reich. Et qui eux, ont été ramasser par les pêcheurs locaux.

Par exemple, en 1942 et 1943, il y'a bien eu des u-boot (U-601 U-451 et U-209 et d'autre encore) qui se trouvaient dans la baie, et qui ont été aperçus, par des anciens pêcheurs locaux, et qui lorsque les tribus de pêcheurs essayèrent de s'en approcher avec leurs kayak, les sous marins, allèrent en mer pendant quelques heures, et sont revenu après, et toujours il arrivèrent au début de la nuit, pour repartir au petit matin.

Même d'ancienne torpilles Allemandes ont été retrouvé.

une des Bases se trouvait dans la mer de Kara.
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeDim 22 Mar - 15:00

Citation :
En effet, le sous-marin U-56 et le pétrolier Esso étaient attendus au large des côtes norvégiennes en rendez vous avec le "Komet". Dans quel but cette réunion était nécessaire, elle n'est pas encore complètement claire. En effet, selon les données officielles, les moteurs du Corsaire étaient si économiques qu’ils avaient assez de mazout pour naviguer avec le navire jusque dans l’océan Pacifique sans ravitaillement supplémentaire. De plus, il y as eu le rendez vous avec un sous-marin, ce qui ne semblait rien avoir lieu avec sa mission dans l'Arctique.

Le 9 juillet, le Komet, portait déjà un tout autre nom en tant que navire Brise glace soviétique Semyon Dezhnev. Qui quitta Bergen et se dirigea vers l'est. En général, le nom du Corsaire, selon les zones de navigation, était en constante évolution. En fait, il avait à bord au moins cinq séries de documents de bord, y compris pour les navires soviétiques «Semyon Dezhnev» et «Danube», autant pour le navire allemand «Donau» et pour le navire japonais «Tokyo-Maru».

Conformément au plan approuvé, le convoyage du Komet à travers les mers arctiques devait être assurée par des brise-glaces de la Direction principale de la route maritime du Nord (GU NSR). Pour cela, le 15 juillet, dans la baie de Varneka (île Vaigach), le croiseur auxiliaire devait embarquer des pilotes de glace soviétiques.

Mais la date de début de la traversée de la route maritime du Nord a changé de façon inattendue. Cela était probablement dû au fait que la mission spéciale (EON-10 (Mission soviétique pour les sous marins)) comprenait notre sous-marin Shch-423, qui n'était  pas encore prêt pour la traverser dans l'Arctique.

Par conséquent, de retour dans la région du Cap Nord, Eissen a reçu un radiogramme du GU NSR sur le retard de l'accès à l'Arctique, le Komet a été invité à se rendre à Mourmansk, où il devrait attendre que le convoi se forme. Mais Eissen a catégoriquement refusé cette proposition, citant l'impossibilité de visiter le port soviétique de l'Arctique comme une violation du secret de la traversée de Komet le long de la route maritime du Nord.

Et, par conséquent, le «Komet» a «persisté» pendant environ deux semaines au large des côtes nord de la Norvège, où pendant ce temps il a réussi à rencontrer un autre Navire corsaire - le croiseur lourd «Admiral Hipper», puis a escorté le bateau à vapeur finlandais Esther Thorden jusqu'au port finlandais de Petsamo. (*)
La je ne connais pas la source pour l'entrée dans le port de Petsamo, mais le Esther Thorden, qui disposait d'un chargement d'or (violation) Le Admiral Hipper l'a escorter jusqu'au port de Tromsø, ou en Octobre 1940, le navire a été relâché avec toute sa cargaison, pour se rendre au USA.
Et en détenant un nom d'un navire a vapeur brise glace soviétique, se montrer en entrant dans un port en compagnie d'un croiseur lourd Allemands, cela aurais vite jasé.
Donc, oui en pleine haute mer, "l'Admiral hipper", a bien pu croiser le "Komet", ou ils ont échanger peut être quelques mots, mais après, ils ont du à nouveau se séparrer ou l'admiral hipper, a repris sa route pour Tromso. Et surrement le "Komet" plutot le "Semyon Dezhnev" en cet période, lui il as surement mis le cap sur Petsamo.


Citation :
Formellement, nous pouvons supposer que le refus d'entrer à Mourmansk était assez motivé, car une légende de couverture fiable a été initialement préparée pour la transition du Komet. Il prévoyait que lorsque le navire se trouvera dans les mers de Norvège et de Barents, le corsaire allemand, seraient camouflés en tant que brise-glace soviétique "Semyon Dezhnev".

Pour cela, certaines différences entre la silhouette du croiseur auxiliaire allemand et la silhouette du bateau à vapeur brise-glace soviétique ont été éliminées à l'aide de kits en toile et d'autres appareils spéciaux fabriqués au chantier naval de Hovalvdtswerke. D'autres ajouts à ce «kit» y ont été apportés, ce qui a permis de changer significativement la silhouette du raider en modifiant la hauteur des mâts, la forme et la hauteur de la cheminée, ainsi que le nombre de colonnes de flèches de chargement.

Tout cela a permis au loup-garou de l'océan de changer complètement sa silhouette. De plus, afin de fournir une couverture fiable au "Semyon Dezhnev" dans les eaux soviétiques, la GU NSR a complètement retiré le vrai Dezhnev de la mer de Barents, changeant radicalement les plans pour l'opération estivale de ce navire. En effet, au lieu d'opérer sur la route maritime Murmansk-Spitsbergen dans l'intérêt de l'Union soviétique Arktique, le Dezhnev a été envoyé en mer de Kara pour livrer des fournitures aux stations polaires les plus éloignées de cette région.

Ainsi, une légende de couverture idéale a été créée pour le raider allemand, car, d'une part, le nouveau bateau à vapeur brise-glace soviétique quittait généralement la mer de Barents (par des «yeux» inutiles), et d'autre part, il allait dans les mêmes zones de la mer de Kara où son double allemand se trouvait.

Dans le contexte d'une légende si soigneusement élaborée, le refus du capitaine Zu See Robert Eissen d'entrer dans le port de Mourmansk est compréhensible. Mais il semble plus qu'étrange que l'escorte du navire finlandais «Esther Thorden» vers le port international de Petsamo, ce qui pourrait vraiment nuire au secret de tout le voyage, car à Petsamo, contrairement à Mourmansk, il y avait des bureaux de sociétés anglaises et américaines (Shell et Esso, respectivement).

Et parmi le personnel de ces bureaux, bien sûr, il y avait suffisamment de personnes attentives et vives directement liées aux services secrets britanniques, qui pouvaient prêter attention à l'appel plus qu'étrange du brise-glace soviétique au port finlandais. Mais cet appel a quand même eu lieu! Et il ne peut y avoir qu'une seule explication à cela: apparemment, déjà au croisement, Eissen a reçu de Berlin une sorte d'indication spéciale d'une visite à Petsamo ou Liinahamari, probablement en raison du fait qu'il y avait soit des documents extrêmement importants à bord du transport finlandais, soit un fonctionnaire arrivé du Reich, ou une cargaison très précieuse pour la future campagne du raider, dont le rechargement en mer s'est avéré impossible.

Et puis, après être entré à Petsamo, le raider nazi a complètement disparu de la vue des services de renseignement soviétiques.

Selon la version officielle, déclarée plus tard par R. Eissen à la partie soviétique, ces jours-ci, afin d'économiser du carburant, le "Komet" dérivait dans la partie orientale de la mer de Barents. Mais après la guerre, nous avons appris que tandis que dans la mer de Pechora, l'équipage du raider allemand, sous le couvert de la collecte des ailerons, censé être nécessaire pour renforcer les cales et les côtés en cas de compression de la coque du navire avec de la glace, était engagé dans des travaux hydrographiques au large de l'île Kolguyev. En outre, il a été révélé de manière fiable que les mêmes jours, le Komet est entré furtivement dans la Baie Nord, qui a été créé par le Troisième Reich sur Murman dans la baie de Bolshaya (Basis Nord de la Kriegsmarine) qui est devenu Zapadnaya Litsa une Base Navale Russe.

Cela a été décrit dans ses mémoires par le grand amiral Erich Raeder, bien qu'il appelle la base secrète "Polar", qui est très probablement une traduction déformée du mot "Nord". Ainsi, le refus des Allemands d'entrer à Mourmansk, ainsi que le rapport subséquent d'une dérive dans la partie orientale de la mer de Barents pour économiser du carburant, étaient de la pure désinformation destinée aux autorités officielles de l'URSS. Mais la croyance en une amitié sincère entre l'Allemagne fasciste et l'Union soviétique à cette époque était si forte que personne n'a commencé à vérifier ces histoires évidentes.

Outre les mémoires de l'amiral, une confirmation incontestable de l'appel du navire à "Basis Nord" a été l'apparition à bord du Komet du traducteur de l'ambassade d'Allemagne à Moscou, Kurt Krappsch, qui, avec l'attaché naval adjoint Allemand, le capitaine de corvette Wilhelm Storch, a vérifié l'état des lieux dans cette base secrète allemande . Dans le même temps, il convient de noter en particulier que Krappsh n'était guère un simple traducteur. Mais c'est la version officielle, en fait, tout était différent. Cela est confirmé par des informations de première main - la collecte de mémoires n'est plus un secret »sur le travail des agents de sécurité de Mourmansk à la veille et pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a été publiée en 1995 par le Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie pour la région de Mourmansk. L'une des histoires de cette collection («À la veille de la guerre» de V. Stenkin) était directement consacrée à une opération spéciale pour exposer les activités du capitaine d'espionnage allemand Wilhelm Storch, qui serait arrivé de Moscou pour vérifier la «Basis Nord». Voici comment le début de cette opération est décrit par V. Stenkin:

Dans les prochains jours, l'assistant de l'attaché naval allemand Korvetten Kapitän Wilhelm Storch, 42 ans, originaire de Chemnitz, arrivera à Mourmansk pour une période de 4 à 5 mois.

Il est connu de sources fiables que Storch est un officier du renseignement militaire et tentera sans aucun doute d'utiliser son séjour à Mourmansk à des fins hostiles. Nous proposons de prendre des mesures actives pour identifier et supprimer les activités de renseignement et autres actions subversives de sa part. Storch est arrivé à Mourmansk le 9 juillet et s'est installé à l'hôtel Arktika, où il avait réservé une suite de deux pièces, donnant sur la place pyati uglov.

Jeudi matin, il s'est rendu au port. Là, après avoir trouvé le bâtiment de gestion, il est entré dans le bureau de l'assistant du chef du capitaine de port du 2e rang (Capitaine de frégatte) Viktor Kudryashev. Il s'est présenté et a déclaré qu'il était arrivé à Mourmansk pour se familiariser avec la situation à la base de la baie de Zapadnaya Litsa (avec l'autorisation de l'administration soviétique, les Allemands y ont créé une base navale).

Plus loin dans la conversation, Storch a demandé de l'aide pour obtenir un bateau pour reprendre le train le 19 juillet pour West Litsa. Après s'être mis d'accord sur un voyage à Mourmansk, l'interprète de l'ambassade d'Allemagne à Moscou Kurt Krappsh est arrivé de façon inattendue, qui, en échange de l'arrangement précédent, Kudryashev a également dû être emmené à l'ouest de Lipa.

Pourquoi Wilhelm Storch, qui savait très bien parler le russe, avait-il un besoin urgent d'un traducteur de l'ambassade, surtout pour communiquer avec ses propres compatriotes?

Soit dit en passant, à l'avenir, Storch lui-même, tout en essayant de recruter le capitaine de 2e rang Viktor Kudryashev (en fait un officier de sécurité de Mourmansk et capitaine de la sécurité de l'État), a dans une certaine mesure répondu à cette question: « Mon ami Kurt et moi servons dans le même département ...», et dans un Parmi les chiffres diplomatiques envoyés déjà de l'Arctique, à bord du raider allemand, M. Krepsch était même appelé «Vertrauersmann (homme de confiance)», qui peut être commandé soit pour son statut actuel, soit pour appartenir au service de sécurité (SD) ou au renseignement étranger (Abwehr). Très probablement, le poste de traducteur de l'ambassade d'Allemagne à Moscou était une couverture pour Kurt Krepsch. De plus, il est fort possible que ce soit Krepsh qui ait possédé l'un des rôles principaux du Voyage du Komet le long de la route maritime du Nord, mais plus à ce sujet plus tard.

Une description détaillée de l'opération menée avec succès par les chekistes de Mourmansk dépasse naturellement le cadre de ce livre, mais les informations ci-dessus sont un excellent ajout au portrait du «traducteur» Kurt Krappsh et à la preuve documentaire de l'existence d'une base nazie à Murman.

Mais pour l'instant, remontons à bord du "Komet".
allemands en antartique - Page 2 Pered-10
Vous, vous rappelez de l'histoire du Graf Zeppelin qui as survolé l'artique.
Ben ça c'était sa route qu'il as survolé.

Et c'est dingue, lorsque ont effectue des recherche complémentaire, avec un moteur de recherche adéquat, et pas provenant de chez xmachin chose, donc ici je vous présente la "Basis Nord"

allemands en antartique - Page 2 Pered-11
image provenant du bundesarchiv et militärarchiv.
Et une autre source énumère encore cela. C'est juste, pour les personnes, qui ne souhaite pas faire confiance, aux auteurs Russes.

Citation :
Le ministre russe de la Défense, Sergei Shoigu, a déclaré que les plans de la Société géographique russe (dont il est président) comprennent une expédition en Franz Josef Land en 2019, où l'un des objectifs sera de rechercher une base secrète allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.

En 2018, il y a eu une expédition conjointe de la Flotte du Nord et de la Société géographique russe à Novaya Zemlya, au cours de laquelle une autre base allemande a été découverte.

Le commencement. "Graf Zeppelin"

En 1928, le dirigeable à passagers LZ-127 «Graf Zeppelin» a été construit en Allemagne. Ce géant avait une longueur de 236, une largeur de 30,5 et une hauteur de 35,5 mètres. Son volume contenait 105 000 mètres cubes d'hydrogène. le "Graf Zeppelin" avait cinq moteurs diesel d'une capacité totale de 2650 litres. s - C'est quatre fois plus que les dirigeables Nobile. À bord du "LZ-127" se trouvait sa propre centrale électrique, une station de radio et un téléphone. Les passagers du Zeppelin étaient logés dans des cabines doubles confortables.

Pour la première fois, ce géant de l'air est devenu célèbre en 1929. Le 15 août, «le Zeppelin» a fait un tour du monde le long de la route Friedrichshafen - Berlin - Koenigsberg - Vologda - Ust-Sysolsk - Yakutsk - Nikolaevsk-on-Amur - Tokyo - Los Angeles - Friedrichshafen. Le vol intercontinental s'est terminé le 4 septembre. Le navire est rentré en Allemagne, ne faisant que quatre arrêts sur toute la longueur et laissant 35 000 kilomètres derrière lui. Du 18 mai au 6 juin 1930, le "Graf Zeppelin" effectua un vol circulaire vers l'Amérique du Sud et l'Amérique du Nord. En 1931, le LZ 127 a commencé des vols réguliers vers le Brésil.

En 1931, la première expédition internationale dans l'Arctique du «Graf Zeppelin» a été conçue. L'itinéraire de vol a survolé le secteur soviétique de l'Arctique. Le 10 septembre 1930, le «Graf Zeppelin» s'envole pour Moscou et les 26 et 30 juillet 1931, avec des objectifs scientifiques, il survole une partie importante de l'Arctique soviétique, tout en réalisant des photographies aériennes détaillées.

À bord se trouvaient des spécialistes soviétiques. Au cours de ce vol, le dirigeable de la baie de l'île pacifique de Hooker (Franz Josef Land) a échangé du courrier avec le brise-glace soviétique "Malygin". Cela ressemble à une expédition scientifique régulière des années 30 pour étudier l'Arctique. Les bizarreries ont commencé immédiatement après sa fin.

Selon l'accord, la partie soviétique devait recevoir des copies de toutes les photographies prises pendant le vol. Mais ... Après la fin de l'expédition, la partie allemande a déclaré qu'aucune photo n'avait été obtenue. Il y a, comme on dit maintenant, un dysfonctionnement technique. Selon «l'action de rotation» du technicien-photographe allemand, tout le matériel cinématographique et photographique de l'expédition a été illuminé. Pas de photos.

Ce n'est qu'à ce moment-là, après 1945, en analysant les archives capturées, qu'il a été possible de restaurer le documentaire avec les image réelle. L'officier de la kriegsmarine allemande, le capitaine zur see (c'est un analogue du grade de capitaine 1er rang dans la marine soviétique (Capitaine de Vaisseau)) P. Ebert a développé la théorie de la séparation de la "mer polaire européenne" en une région particulièrement importante pour la nouvelle Allemagne. Le vol du dirigeable était la première étape de ce plan. Des centaines de photographies ont été prises, ce qui a permis plus tard, après 10 ans, de choisir des emplacements pour des bases secrètes dans le secteur soviétique de l'Arctique.

Le début de la Traversées de l'Arctique

Les années 30 du siècle dernier en Europe sont une période alarmante, difficile et ambiguë. Tout le monde a joué contre tout le monde, essayant d'obtenir des avantages pour lui-même. La marine de l'Allemagne nazie avait un vieux problème, de l'époque de la Première Guerre mondiale. Comme le montre l'expérience de la Première Guerre mondiale, les sous-marins et les navires corsaires étaient une arme efficace de la flotte. Les Corsaires sont des navires civils redessinés, armés de canons, de mines, d'hydravions et même de torpilles. Ils jouissaient d'une autonomie considérable dans les réserves de carburant et pouvaient fonctionner de manière autonome pendant de nombreux mois dans n'importe quelle région des océans du monde, coulant les navires marchands ennemis et perturbant sa navigation.

Il y avait une flotte spéciale de pétroliers qui ravitaillait les Corsaires. Mais il y avait une chose ... L'Allemagne était une puissance continentale, et pour que ses navires de guerre entrent dans l'océan, il fallait percer les eaux contrôlées par l'Angleterre et la France. C'est pourquoi, jusqu'à ce qu'une décision soit prise sur la guerre avec l'URSS, il a été décidé de travailler sur le passage des navires allemands par la route maritime du Nord de l'Allemagne à l'océan Pacifique.
Le gouvernement soviétique, en général, n'était pas opposé. Glavsevmorput( GUSMP = Direction des affaires matitimes de la route du Nord) en la personne de notre célèbre explorateur polaire Ivan Papanin, a reçu une équipe de coopération. Le début de cette coopération a été nos expéditions polaires sur le navire Vologda et le navire hydrographique Murmanets. Des expéditions ont été effectuées avec la participation d'experts allemands. De 1933 à 1937, des pilotes soviétiques ont transporté des navires à vapeur allemands à travers la mer de Kara jusqu'aux ports de l'Ob et de Yenisei. Inutile de dire que les connaissances des Allemands sur l'Arctique soviétique ont augmenté avec chacune de ces croisières.

Le point culminant de cette coopération a été le pilotage du croiseur auxiliaire allemand Komet le long de la route maritime du Nord. Lors des réunions du 30 décembre 1939 et du 2 janvier 1940, le commandant en chef de la marine allemande, le grand amiral Erich Raeder, rendit compte à Hitler de la nécessité de sauver les 35 navires allemands coincés dans les ports d'Asie du Sud-Est, pour utiliser la route maritime du Nord, qui à cette époque était complètement fermée aux voyages des navires étrangés.
En outre, il s'est avéré que l'essentiel de la mise en œuvre du plan Green Case était reconnu comme la nécessité pour un raider allemand de passer à la navigation estivale de 1940 le long de la route maritime du Nord de Mourmansk au détroit de Béring.

D'autres réserves ont assuré une activité autonome du raider, tant dans les eaux arctiques que pacifiques. Ce qu'il y avait d'autre dans les cales du voleur est généralement inconnu. Le navire a reçu un nouveau nom - "Comet", les noms opérationnels sont HSK-7 et "Ship 45", dans la flotte britannique, le navire a reçu la désignation "Raider" B ".

Ici, il est nécessaire de faire une autre digression. Pendant les périodes de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, les pillards des campagnes militaires se sont déguisés. Ce ne sont pas seulement les noms écrits sur les côtés des navires et les ensembles de documents correspondants. Des navires marchands aux silhouettes similaires ont été spécialement sélectionnés. Les Raiders se sont déguisés en vaisseaux spécifiques similaires à lui. Il y avait plusieurs options de déguisement pour un voyage. Dans notre cas, ayant quitté le port norvégien de Bergen, le Komet s'est transformé en ... le navire soviétique Semyon Dezhnev et a continué à se déplacer vers l'est déjà à ce titre. Il avait à bord au moins cinq séries de documents de bord, notamment pour les navires soviétiques «Semyon Dezhnev» et «Danube», le navire allemand «Donau» et le navire japonais «Tokyo-Maru».

............

Bien qu'en général le secret et le secret de la transition du Komet vers l'océan Pacifique soient préservés, certaines informations parviennent néanmoins aux îles britanniques. Ainsi, avec l'aide de l'Union soviétique neutre, le raider allemand a fait irruption dans l'océan Pacifique, a coulé de nombreux navires marchands et, faisant un "tour du monde", est rentré en Allemagne.

Le début de la Basis "Nord"

Les Allemands voulaient tout sortir d'une situation précaire d'avant-guerre. C'était probablement le cas lorsque la main droite ne savait pas ce que faisait la gauche. Bien qu'en Allemagne nazie, il soit difficile d'y croire. Néanmoins ...

Le 23 août 1939, un traité de non-agression germano-soviétique a été conclu entre l'Allemagne et l'Union soviétique, connu sous le nom de «pacte Molotov-Ribbentrop», tout le monde connaît ce traité, le soi-disant une annexe secrète, mais peu de gens connaissent les autres parties au contrat. Les commissariats populaires à la défense, aux affaires étrangères et au commerce ont mené d'intenses négociations avec la partie allemande sur des questions d'intérêt mutuel. Et les questions étaient vraiment intéressantes.

30 avions équipés de moteurs de rechange (tels que Ju-88, He-100, Do-215, Me-109 et Me-110, Ju-207, Bu-131 et Bu-133) ont été livrés à l'Union soviétique. La littérature soviétique contient des informations assez détaillées sur les cinq premiers types d’avions, mais très peu sur les trois derniers. En outre, l'URSS a vendu le croiseur lourd inachevé Lutzov (A la flotte soviétique - Petropavlovsk), du matériel et des armes pour les croiseurs lourds du type Kronstadt en construction.
Une variante d'un croiseur avec des canons allemands de gros calibre a même été développée et des documents ont été signés sur la livraison d'autres équipements navales à l'URSS. En échange, les Allemands ont demandé ... l'approbation de pouvoir construire deux bases dans le nord et l'océan Pacifique. L'exigence de bases est le secret et la possibilité de réparation des navires. Ils ont refusé la base dans l'océan Pacifique (temporairement ou non - on ne sait pas), mais pour la base dans le Nord elle a été accepté.

Le choix d'un emplacement pour la base secrète n'a pas été fait immédiatement - le port de Mourmansk a dû être exclu. Au lieu de cela, les Allemands ont été invités, sur la base de concessions (colonie militaire), à ​​créer une base dans la baie de Teriber ou dans la baie de Bolshaya Zapadnaya Litsa.

Une évaluation professionnelle des baies proposées a été confiée à l'attaché naval allemand en Union soviétique - le capitaine Zur see von Baumbach. L'attaché navale a refusé la baie de Teriberskaya. Le rejet de la ferme collective de pêche de l'Armée rouge organisée à Teriberka au début des années 1930 n'est pas le moindre de ses motifs. À l'automne 1939, il est devenu la plus grande ferme de pêche de la péninsule de Kola. Les Finlandais et les Norvégiens russifiés y travaillaient, ainsi que les pêcheurs russes qui avaient des liens ethniques et familiaux avec les pêcheurs de la province norvégienne de Finmark, qui avaient récemment pêché librement sur les côtes de Kola.

Et cela en soi signifiait que tout, même les informations les plus secrètes sur la «Basis Nord» par les pêcheurs norvégiens de Finmark pouvaient facilement tomber entre les mains des analystes du centre de renseignement opérationnel (ORC) de l'Amirauté britannique. Mais la principale raison du refus d'utiliser la baie de Teriberskaya le jour de la création de la base secrète était très probablement le fait que seulement un mois avant l'arrivée de von Baumbach, le commandement de la Flotte du Nord avait organisé l'un des premiers postes de radiogoniométrie SF sur la péninsule de Teribersky. Et nommé cette baie pour l'inspection et le contrôle des navires étrangers arrivant dans la baie de Kola.

Conformément à l'ordre du commandant de la flotte du Nord, tout navire étranger en provenance de la mer de Barents était obligé d'entrer dans la baie de Teriberskaya pour inspection. Après son achèvement, l'invité d'outre-mer devait suivre le chenal désigné le long du détroit de Kildinsky, tout en étant constamment sous le contrôle des postes SNiS côtiers soviétiques, des navires sentinelles de la mer du Nord et des batteries de service de la défense côtière de la SF (sur l'île Kildin et sur le cap Set-Navolok).
Ainsi, pour le capitaine N. von Baumbach, en tant qu'officier de renseignement expérimenté, la baie de Teriberskaya s'est automatiquement transformée en base allemande, constamment surveillée par la partie soviétique. Tout est secret, mais rien n'est secret. Et il était peu probable que cela convienne à la fois au capitaine N. von Baumbach et au grand amiral E. Raeder.
Et à Zapadnaya Litsa, tous les pêcheurs de la ferme collective Komintern, qui vivaient dans les villages de Bolshaya Zapadnaya Litsa et Bolshaya Litsa depuis près de dix ans, ont été réinstallés en Carélie en une nuit. Seul le troisième village de fermes collectives est resté intact - Malaya Litsa, créé sur la rive de la baie du même nom, surplombant presque la côte de la baie de Motovsky
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeDim 22 Mar - 23:54

En effet, la Base nord se trouvant trop proche de la base russe de Mourmansk, les Allemends, l'ont juste utiliser pendant decembre 1939 jusqu'au mois de Mai 1940, et ici l'emplacement de la base nord, se trouvait effectivement dans une zone, ou en 1942, les Gebirgsjäger ont combattu, comme des acharnés, pour tenté de tenir la position de la presqu’île près de Pechenga en 1941 et 1942. veuillez regardez les photos de l'ancienne base nord d'après ce lien. Photo de 2015.

https://www.ar25.org/article/bazis-nord-tayemna-baza-krigsmarine-poblyzu-murmanska.html?page=0%2C0%2C0%2C0%2C1

et le lien suivant datent de 2007.
https://www.ar25.org/article/bazis-nord-tayemna-baza-krigsmarine-poblyzu-murmanska.html

c'est bien pour cette raison, que ils ont créer d'autre bases, autant pour ravitaillé et réarmé les navires et les u-boot.Les Russes, comme vous allez pouvoir le lire à la suite, ils ont bien noté, que certains u-boot, lorsque ils ont émit dans la région, ils ont reçus une réponse assez forte, laissant à penser, que une base Allemande était entrain d'opérer très proches.

Et vous, vous rappeler du Convoi PQ17. Oui celui même, qui as été coulé par les Allemands.
Ben, comment autrement, le groupe de navire, a eu tellement de chance, pour pouvoir intercepter le convoi, sur une mer si immense, autre, que celui de recevoir des informations de mouvements et de repérage du convoi.
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naga
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 1:18

On est a l oppose du titre du post initial --Antartique-- Rolling Eyes Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 3:10

Et là, il faut, que je vous donne encore les dernières informations, ou vous remarquerez, que ici, il s'agit de document officiel. Sans quoi, il y'aurais eu encore d'autre personne, qui aurais stipuler, ou qui stipulerons, que ce ne sont ni plus que des théories foireuses, si si, j'en connais quelques uns, qui eux, ne croient que ce que les auteurs anglo-saxon, publies, et tant de temps, que un auteur anglo-saxon, ou même allemand, n'auras pas publier, un récit qui en parle, ben il n'y croierons pas le moins du monde.

Citation :
Comment les Allemands ont-ils vu les buts de la base?

Ils sont présentés dans l'ordre du Haut Commandement de la Marine (OKM) 569/39 gKdos (Geheime komando sache = Affaire de commandement document secret, normalement c'est accompagner du texte, que le document doit uniquement être manipuler.....)du 31/10/1939:

«A) La marine allemande, à la suggestion du gouvernement soviétique, est complètement satisfaite que le gouvernement soviétique à lui avoir mis à disposition la baie des faces occidentales aux coordonnées de 69,25° N - 32,26° est Il est prévu de l'utiliser comme «Base Nord» par les navires militaires et marchands aux fins suivantes: 1) une base d'approvisionnement, 2) un havre de paix, 3) un lieu de réparation (dès que les ateliers seront prêts).

b) évitez les noms de cette baie dans la circulation des documents ministérielle, utilisez plutôt la désignation «Base Nord». (*)

c) pour le moment, il est possible, grâce à une délocalisation à court terme des navires situés à Mourmansk, d'organiser un approvisionnement temporaire en carburant des pétroliers et des navires marchands, ainsi que dans une mesure limitée avec des denrées alimentaires et des produits achetés à Mourmansk. La préparation du carburant diesel et des fournitures pour les U-boot sera envoyée depuis la patrie, ainsi que la fourniture / l'équipement d'un navire de ravitaillement pendant 3 mois, avec l'approvisionnement en eau dans la Base Nord.

d) il n'y a aucun moyen naturel ou artificiel pour son utilisation future à la Base Nord elle-même. Pour la préparation des fournitures, voir le paragraphe c). Un navire adapté à un navire flottant (CORDILLERA) est situé à Mourmansk. Pour effectuer les réparations prévues à l'avenir, un atelier est nécessaire, sa préparation est demandée.

e) BdU (le commandant des U-boot (Doenitz)) s'est vu proposer d'utiliser la "Base Nord" pour approvisionner les U-boot et de donner une réponse sur le type et le volume de services pour ces options:

1) pour s'approvisionner dans la "BN" elle-même;

2) s'approvisionner en mer à partir de la base - avec la proposition de la zone de la mer prévue à cet effet. »

Le 17 septembre 1939, sans attendre une décision définitive sur la création d'une base secrète, les transports allemands Cordillera et San-Louis avec cargaison et équipement arrivent à Mourmansk. Fin novembre 1939, trente-six (!!!) transports allemands s'étaient rassemblés sur les routes de Mourmansk (dont X Leonard, New York, Pollyne, Tobingen). Puis un événement extraordinaire s'est produit - le légendaire transatlantique est arrivé au port de Mourmansk, l'ancien propriétaire du «Ruban bleu de l'Atlantique» (titre officieux du navire civil le plus rapide du monde) «Bremen». Il a été officiellement annoncé qu'il était sorti de New York. Bien sûr, cela est possible. Pour tromper les croiseurs britanniques, vous pouvez faire un tel «crochet», mais son long Mouillage à Mourmansk suggère que le Bremen était censé devenir un navire flottant sur la base du Nord.

Très probablement, le 18 octobre 1939 peut être considéré comme «l'anniversaire» de la base secrète de Murman. Parmi les autres navires nazis qui sont venus lors du raid de Mourmansk, le transport de San Luis présente un intérêt particulier. On suppose qu'il s'agit d'un nom complètement camouflé pour le transport militaire nazi et la base U-boot «Santa Lewis», qui a été identifié en 1938 comme l'un des navires de réparation des bases d'outre-mer de Kriegsmarine. Si cette hypothèse est correcte, alors déjà en septembre 1939, une base flottante est apparue sur le raid de Mourmansk, sur laquelle les équipages d'un groupe de U-boot nazis censés être basés sur la base Nord devraient être stationnés.
En effet, le 25 novembre 1939, deux d'entre eux (U-36 et U-38) sont même venus sur la pointe du grand coté Ouest. Mais quelque chose a changé dans les plans du commandement allemand. Peut-être que la nouvelle décision a été facilitée en reportant d’abord le début de l’opération de débarquement dans les îles britanniques, puis le choix finale pris par Hitler de l’option terrestre de mener une nouvelle campagne militaire pour 1940.
Avec le début de la nuit polaire, la plupart des navires nazis ont quitté l'hospitalité de Mourmansk. Le 6 décembre, le Bremen est également partie. Seule la "Cordillera" n'a pas quitté l'Arctique, et s'est tenue sur la pointe des lèvres de la Grande baie Ouest. Ce fut le début pratique de la base secrète des navires de la Kriegsmarine sur la péninsule de Kola.

Ce que l'on sait de manière fiable sur la base Nord :

1. Selon des sources allemandes, l'emplacement de la base était indiqué par les coordonnées 69 degrés 25 minutes de latitude nord et 32 ​​degrés 26 minutes de longitude Est.

2. De décembre 1939 à avril 1940, le commandant en chef de la marine de la base était Kapiten Zur See Nischlag. Il commandait auparavant la division Allemande se trouvant à l'arrière à Istanbul et a été affecté à Basis Nord à la lumière des préparatifs de l'opération norvégienne. En juillet 1940, le commandant du navire de ravitaillement spécial Venezia Korvetten-Kapitän Haushofer est devenu le commandant naval principal de la base. La gestion générale de Basis Nord a été confiée à la Kriegsmarine.

3. Jusqu'en mai 1940, des navires météorologiques nazis étaient affectés à la base secrète: Viking 5, Sachsenwald, Kedigen, les navires ravitailleurs Cordillera et Venice, ainsi que le pétrolier Jan Bellem.

4. Jusqu'en décembre 1939, la base était affrêter par un navire transporteur banannier à grande vitesse l'Iller (appartenant officiellement à la société Norddeutscher Lloyd, qui empruntait auparavant la ligne Açores - Brême). Au départ, c'est ce navire qui a été désigné pour la transition vers l'océan Pacifique le long de la route maritime du Nord. Mais plus tard, il a été remplacé par le transport Ems (Komet), qui n'était pas si rapide, mais avec une coque plus robuste et un équipage plus important.

5. En novembre 1939, les nazis U-38 (type IX, commandant - lieutenant-commandant Heinrich Liebe) et U-36 (type VIIA, commandant - lieutenant-commandant Wilhelm Frölich) entrent dans la base, qui opère depuis plus d'un mois maintenant contre les transporteurs de bois anglais transportant du bois de Sibérie vers les îles britanniques. Selon la collection "Revue Maritime" n ° 6 daté de l'année 1966, ils sont entrés pour la première fois le 25 novembre 1939.
Les raisons de ne pas utiliser la première base "étrangère" pour les U-boot allemands ne trouvent toujours pas d'explication claire. Après tout, même un an avant le début de la guerre, Karl Doenitz, le Commodore, a clairement exprimé la nécessité de créer une telle base. Un plan spécial a même été élaboré, selon lequel les sous-mariniers allemands devaient être formés sur un cycle de trois ans: la première année - formation individuelle, la deuxième - formation et manœuvres en groupe et la troisième - service à l'étranger. Deux navires de réparation allemands ont même été convertis pour de telles bases.

6. Le 2 décembre 1939, les navires ravitailleurs nazis Cordillera et Dtytwbz étaient ancrés dans la baie de Bolshaya Zapadnaya Litsa. Le navire le plus rapide de la base était le baleinier Sachsenwald, souvent utilisé comme messager pour communiquer avec le Reich.

7. En avril 1940, dans une base secrète, ils attendaient l'arrivée de trois pétroliers de «l'escadron d'avant-garde», censés fournir du carburant aux destroyers nazis, qui amenaient les troupes à Narvik. Mais seul le Jan Bellem a participé au ravitaillement.

8. Venise, avec San Luis, pourrait non seulement servir de base à des équipages de sous-marins censés être basés sur Basis Nord, mais aussi de navire de débarquement.

Jusqu'à présent, et toutes les informations connues sur la base nazie dans la baie de Bolshaya Zapadnaya Litsa, on sait peu de choses sur le sort des navires et des navires qui lui ont été attribués en 1939 et 1940.

Par la suite, la haute politique est intervenue. Hitler a refusé d'envahir l'Angleterre (opération Seelöwe), et le plan Barbarossa de renommée mondiale a été élaboré. Ce qu'il mènera dans l'Arctique soviétique sera décrit dans la suite.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 3:13

naga a écrit:
On est a l oppose du titre du post initial  --Antartique-- Rolling Eyes Rolling Eyes
Salut Naga, oui, je sait, je vais lire un peut en avant, pour voir ce qu'il vont ennumérer.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 3:58

Oui, en fait, il m'a fallut carrément passé à l'auteur Kranz.

Citation :
Dans la série des Labyrinthes de la vérités, nous présentons le deuxième livre de Hans-Ulrich von Kranz, chercheur spécialisé dans les aspects les plus secrets de l'histoire du Troisième Reich. Kranz est un Allemand de souche dont le père, en tant qu'officier SS, s'est enfui en Argentine après la guerre pour éviter d'être poursuivi. Ce n'est qu'après la mort de son père qu'il a appris qu'il était impliqué dans les activités de l'organisation la plus mystérieuse de l'Allemagne nazie - l'Institut Ahnenerbe. Et à partir de ce moment, le bourgeois respectable s'est transformé en un chercheur infatigable et talentueux, un véritable harceleur, un chasseur de secrets sensationnels.

Donc, pensé que maintenant, arrivé à une autre histoire, sans que la société Ahnenerbe soit intégré. Vous ne trouverez jamais de récit, pour la simple raison, que l'institut, avait reçus le feu vert de Adolf et de Himmler, pour tout les domaines relatant aux mysticisme. Donc les indiana jones version Allemande.

Après moi je vous traduit juste les paragraphes écrit, moi je ne suis pas là, pour essayer de vous persuader d'y croire, la croyance, elle vous appartient.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 5:04

Citation :
Comme j'ai déjà parlé de ma vie dans la préface de mon premier livre, je ne m'y attarderai pas en détail. Mais je vais clarifier certains points, afin que les lecteurs qui ne connaissent pas le patrimoine des ancêtres comprennent tout.

Je suis né en Argentine en 1950. Mon père a émigré (ou plutôt, a fui) ici d'Allemagne après la défaite de la Seconde Guerre mondiale. Le fait est qu'il était officier des SS. Mais pas à ceux qui se tenaient sur les tours de guet de nombreux camps de concentration. Et pas ceux qui ont combattu au front dans le cadre des unités d'élite. Lorsque les nazis sont arrivés au pouvoir, mon père était un jeune scientifique prometteur, impliqué dans l'histoire et les traditions des anciens Allemands. Assez rapidement, toutes ces études ont été prises sous sa protection par le SS omnipotent Heinrich Himmler. Mon père a été confronté à un choix très difficile: soit devenir SS, soit refuser d'étudier son sujet favori. Il a choisi le premier. L'histoire a montré que ce n'était pas le bon choix, mais peut-on en blâmer le père aujourd'hui?

Père parlait peu et à contrecœur de son passé. Avec des amis qui ont fui avec lui en Argentine, il a parlé, comme on dit, à huis clos. Parfois, il avait d'étranges visiteurs avec lesquels il s'enfermait dans son bureau. Nous, les enfants, ne savions rien de cet aspect de sa vie, d'autant plus que de telles choses arrivaient très rarement.

C'est peut-être précisément la réticence de mon père à parler du Troisième Reich qui a suscité mon intérêt pour cette partie de l'histoire allemande. Depuis mes années d'études, j'ai lu avec enthousiasme des livres sur l'Allemagne nazie et la Seconde Guerre mondiale. Cependant, dans aucun d'eux, je n'ai pu lire ce qu'ils m'ont dit les documents trouvés après la mort de mon père dans un simple coffre en métal, stocké depuis des temps immémoriaux dans le grenier de notre maison.

Ces articles, consacrés aux aspects les plus mystérieux de l'histoire du Troisième Reich, m'ont fait entreprendre des recherches. J'y lis des choses choquantes qui m'étaient inconnues plus tôt: sur le mystérieux projet "Anenerbe" ("Patrimoine ancestral"), sur les liens entre les dirigeants nazis et les forces occultes, sur une base secrète antarctique, sur des recherches scientifiques de pointe, dont les résultats n'ont pas été dépassés même pendant 20 ans après la fin de la guerre ... Ils ont été tenus secrets tant par les vaincus que par les vainqueurs. Parce que ces secrets ont pu faire exploser complètement nos idées sur l'empire nazi. Après tout, pendant longtemps, les historiens nous ont inspiré l'image du régime nazi comme un failli complet qui s'est écrasé dans tous ses efforts. Peut-être qu'à un moment donné, c'était vrai, mais vous ne pouvez pas nourrir les gens le même conte de fées pendant des décennies d'affilée! Parce qu'en réalité, ce régime criminel monstrueux et démoniaque a obtenu dans certains domaines des succès tels que le reste de l'humanité n'a pas rêvé. On en parlait clairement, criant littéralement des documents hérités de moi.

Et j'ai commencé une enquête qui a duré douze ans. Pendant ce temps, j'ai risqué ma réputation et même ma vie à plusieurs reprises, j'ai subi diverses altérations, perdu et retrouvé les extrémités de fils fins conduisant à la vérité cachée dans l'obscurité. Mais en y repensant, je ne regrette pas d'avoir choisi cette voie. Et de tout mon cœur, j'espère que les fruits de mes efforts ne disparaîtront pas sans laisser de trace.

Alors, ouvrons ensemble la verrière du mystère, derrière laquelle se trouve l'histoire des bases nazies du sixième continent de la Terre.

Chapitre 1. Le continent mystérieux

C'était une chaude journée d'été. Il semble que ce soit un dimanche. De rares nuages ​​blancs flottaient dans le ciel au-dessus de la plaine sans fin qui était visible depuis la fenêtre de notre maison. Le soleil brillait avec éclat. La vie dans le village pendant ces heures s'est figée - pendant un demi-siècle, les Allemands ont pu apprécier et adopter la coutume des Argentins de la sieste de l'après-midi.

Je m'assis dans le grenier et triai les documents extraits du coffre-fort de mon père. Cette fois, je tenais entre mes mains un tas de lettres. Tout en haut, une enveloppe bleuâtre sans adresse de retour. Le nom de mon père, ainsi que son adresse, ont été dactylographiés. La machine à écrire était également imprimée et la lettre était très concise et peu informative. Quelqu'un a demandé à mon père des données concernant ses recherches scientifiques antérieures. J'ai tout de suite été frappé par le ton de la lettre - à la fois poli et impérieux, comme si le compositeur savait qu'elle énorme pouvoir ce trouvait derrière elle, et que il avait aussi l'habitude de donner des ordres.

Et puis j'ai regardé la signature. Et vécu un vrai choc. Sous le texte de la lettre était écrit: "Rudolph Hess".

Cependant, assez rapidement, le choc a fait place à la spéculation. En fin de compte, Hess est un nom de famille assez courant. Et, probablement, de nombreux Hesses sont prénommés Rudolphs. Il pourrait simplement s'agir de l'homonyme de l'assistant d'Hitler, qui était un vieil ami de mon père. Cependant, pour une raison quelconque, je n'ai pas entendu parler de ses connaissances. Pour tester mon hypothèse, j'ai commencé à feuilleter fiévreusement les livres sur mes étagères dédiées au Troisième Reich. Dans l'un d'eux, j'ai finalement trouvé la signature de Rudolf Hess, Fuhrer adjoint. Je l'ai comparé avec la signature sur la lettre - et j'ai été étonné: elle coïncidaient exactement!

Au cas où, je vérifierais à nouveau la date de la lettre. Septembre 1956 Rudolf Hess croupit dans la prison de Spandau depuis plusieurs années et a été condamné à perpétuité par le Tribunal international de Nuremberg. En principe, si la lettre était envoyée de Berlin, elle serait encore plus ou moins explicable. Cependant, comment Hess, qui s'est envolé en 1941 de sa propre initiative en Angleterre pour des pourparlers de paix, a-t-il pu connaître mon père, à l'époque un jeune scientifique - un employé de l'Institut Ahnenerbe?

Cependant, la lettre n'a pas été envoyée de Berlin. Un cachet de la poste indiquait qu'elle avait été envoyé de Rio de Janeiro. Envoyer une lettre de Spandau pour qu'elle soit jeté dans une boîte aux lettres à Rio était absolument insensé. De plus, dans ce cas, la raison de l'absence d'adresse de retour n'était pas entièrement claire. De toute évidence, on supposait que mon père savait où écrire ou qu'il communiquerait les informations d'une autre manière.

Bientôt, cela est devenu clair pour moi: la personne qui a envoyé la lettre ne se trouvait pas à Spandau. Cela signifie que Hess (supposons que c'était le Hess réel) il était en fuite et se cachait à la justice. L'absence d'adresse de retour sur la lettre est alors devenue compréhensible.

En fait, même avant moi, certains chercheurs ont suggéré que ce n'était pas Hess qui avait comparu devant le Tribunal de Nuremberg, mais son double. De nombreux chercheurs ont souligné un certain nombre de circonstances étranges qui ont accompagné la fuite de Hess en Angleterre. Par exemple, un avion a décollé de l'aérodrome d'Augsbourg, où le Nazi n° 3 a commencé, et en Angleterre il a atterri (ou plutôt s'est écrasé) complètement différent. Le comportement de Hess lors des procès de Nuremberg semblait inadéquat. Dans le même temps, un examen médical a montré que les anciennes cicatrices qu'il avait reçues dans sa jeunesse avaient miraculeusement disparu du corps de Hess. En général, il y avait suffisamment de preuves indirectes.

Mais où serait donc le vrai Hess? La première réponse qui m'est venue à l'esprit - oui, n'importe où! - a été rejeté immédiatement. Presque tous les habitants de la planète connaissaient le visage du nazi n ° 3, et Hess ne pouvait pas se cacher facilement n'importe où.

Peut-être s'agissait-il d'une colonie allemande située sur le territoire des États d'Amérique du Sud? Mais les membres de ces colonies se connaissaient assez bien et communiquaient constamment. Des rumeurs sur la présence de Hess - et si l'ancien nazi n ° 3 envoyait lui-même ses messages, alors il n'aurait pas pu se sauver incognito pendant longtemps - sa fuite se seraient vite propagées. Cette option a donc également disparu.

Où donc Hess pourrait-il se réfugier? Évidemment, pas si loin de l'Argentine - sinon la lettre (qu'il n'a bien sûr pas envoyée lui-même) était plus facile et plus pratique à déposer dans une boîte aux lettres dans un autre pays. Ou si vous deviez faire un long voyage, alors elle aurais été transmise personnellement à mon père.

Quels coins sont disponibles près de l'Argentine? La première chose qui m'est venue à l'esprit est que ce pourrait être une sorte d'île inhabitée. Mais les eaux méridionales de l'Atlantique sont assez désertes. Les îles Falkland, bien qu'elles n'aient pratiquement pas de population permanente, sont néanmoins sous le contrôle et la supervision constants du personnel de la base militaire qui s'y trouve. Seul le sud de l'Argentine est un grand groupe d'îles inhabitées - cependant, elles sont déjà proches de l'Antarctique et sont donc initialement exclues de l'examen ...
Je sais, cela tarde à commencé, pour les personnes, qui souhaite de suite sentir leurs palpitant décolé, mais ici je vous l'insère, pour que par la suite, vous ne serez pas perdu, lorsque x ou y entre dans l'histoire.
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vania
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 9:20

Impressionnantes photos de cette base du Nord, où subsistent encore moult vestiges... Shocked
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 11:23

http://neuschwabenland.onlc.fr/14-Detranges-faits-relatifs-a-lexpedition-de-1938.html
Ce qui est inscrit dans ce lien?????
alors relaté les fait sur un site, alors la bravo Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad
en raison, que pour ici, pouvoir vérifier toutes ses choses invraisemblable, ici, je ne sais pas quoi en pensé, puisque là, trouvé les sources de ses affirmation intégrant le frère du président américain, enfin toute la famille Roosvelt, non mais là réellement, je ne sais pour le moment quoi y pensé, es ce que Himmler était derrière, oui en une quelques manière, puisque les SS, était intégré!
Oui, bien sûr, au bundesarchiv, il doit bien existé des documents sur l'expédition du navire Schwabenland, ou bien es ce que les Américains, ont eux aussi encore des document non rendu, et qu'il garderait classé?
Et von Kranz qu'es ce que ses propres documents vont révéler?
Ah ben pour cela, il n'y as pas trente six chemins, il faut une fois suivre le récit. Et c'est ce que nous allons faire.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 11:49

vania a écrit:
Impressionnantes photos de cette base du Nord, où subsistent encore moult vestiges... Shocked
Salut Vania, en fait, il y'a une photo, celle avec les navires, euhhhhhhh, qui à présent, après mes nouvelles recherche, certains énnumère, que la photo elle montre une base navale Norvégienne de Narvik, et pas la base "Nord".(et elle était réellement dénommé Bases "Nord", pas "Base du Nord", ce qui pour les Allemand, pouvait prêté un mauvais caractère, pour ne pas pouvoir localiser exactement la base).
Ce qui me parait logique, en raison, que tout les navires avait quitté la base, la laissant vide. Et pour les canons???
Ben, attention ici je ne reconnaît aucun modèle Allemand!.
Et à l'endroit de l'embouchure du fleuve Litza se jetant dans la mer, cette zone, en 1941-1942, les Gebirgsjäger et les russes se sont acharnée a des attaques et contre attaques.

Pour les bunkers, alors là aucun doute, ce sont des modèles allemands.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 12:30

Bien revenons à nos moutons de l’Antarctique.

Citation :
Mais pourquoi? Je me suis immédiatement souvenu d'un fait intéressant, évoqué avec désinvolture par l'auteur d'une des biographies de Hess. En 1938-1939, une importante expédition scientifique a été envoyée en Antarctique et Hess en était le principal conservateur. Il a montré un intérêt particulier pour le continent des glaces, a encouragé ses recherches. De plus, l'institut "Ahnenerben" a été impliqué dans ces études.

Encore une fois, j'ai déplié la lettre adressée à mon père. Et j'ai découvert quelque chose auquel je n'avait pas prêté attention lors de ma première lecture: les questions posées dans la lettre concernaient l'Antarctique, à savoir les légendes sur ses anciens habitants.

Donc, la seule piste mince m'a conduit au pôle Sud. Bien sûr, ce fil était très mince, mais je n'en avais tout simplement pas d'autre. Et j'ai décidé de le suivre.
Ah ben encore un autre qui suit les fils très minces, pour tout ce, qui ont regarder le film La bataille de Midway, vous vous rappeler, de la scène, ou le commandant du Service secret, demande à Nimitz, de faire envoyer un faux message pour être sur, que Midway, est bien la cible, et que Nimitz lui répond, que c'est vraiment un fait imperceptible.... Mais ici lui aussi ils ont suivit leurs instincts. Un autre, lui si il n'aurait pas suivit sont instinct, ben la foutu, la toute l'attaque Japonaise sur Midway aurais réussis.

Citation :
Terre de glace

Je ne vais pas cacher, au début, l'idée de l'existence d'une colonie nazie en Antarctique m'a paru absurde. Mais ce ne sont pas des pingouins, en fait, pour traverser des plateaux de glace sans fin! Mais quand même, j'ai cru nécessaire de tester mon hypothèse. Et la première chose que j'ai découverte est que nos croyances communes sur l'Antarctique sont peu vraies.

Comment imaginons-nous ce continent? Champs blancs sans fin, falaises glacées, froid monstrueux. Ça l'est vraiment. Mais seulement dans les régions profondes du continent, plus près du pôle Sud. L'Antarctique est très vaste et sa côte est partiellement en dehors du cercle polaire sud. À titre de comparaison: dans le cercle polaire arctique, il y a une bonne moitié de la Norvège, de vastes régions de la Russie et du Canada, où la population permanente est de plus de cent personnes. Bien sûr, en Antarctique, même sur la côte, il fait un peu plus froid qu'à Tromso, Mourmansk ou Clyde. Mais pas grand chose. Par exemple, sur la péninsule antarctique, qui s'étend vers l'Amérique du Sud, la température en été atteint plus de 5 à 10 degrés, et en hiver, elle descend rarement en dessous de moins 20. Il n'y a pas de «glace éternelle» dans la nature; sur le sol le plus ordinaire, des mousses, des lichens, des fougères et même certaines herbes poussent. Les phoques se trouvent sur la côte, l'air est rempli de nombreux oiseaux. Même un homme primitif, sans aucune technologie moderne, pourrait survivre en toute sécurité dans cette région.

Au fait, il y a des minéraux en Antarctique. À ce jour, on trouve du charbon, du minerai de fer, du mica, du cuivre, du plomb, du zinc, du graphite. Autrement dit, si quelqu'un veut vraiment ouvrir une usine métallurgique en Antarctique, il peut le faire sans problème, en se basant uniquement sur les matières premières locales. Dans le même temps, le volume de travail sur l'exploration géologique, comme vous le savez, était assez faible, de sorte que la plupart des minéraux n'ont probablement pas encore été trouvés. Il a été suggéré qu'il existe des gisements de pétrole et de gaz assez importants dans la mer au large des côtes de l'Antarctique. Mais en tout cas, une convention internationale interdit l'exploitation des entrailles de l'Antarctique.

Après avoir appris tout cela, je me suis plongé dans l'histoire de la découverte. Et ici, j'ai rencontré beaucoup de mystères.

On pense que l'Antarctique a été découvert en 1820 par les navigateurs russes Bellingshausen et Lazarev. C'est vrai, mais pas tout à fait. Le fait est que l'Antarctique est le seul continent que les géographes ont appliqué aux cartes bien avant sa découverte. La Grande Terre du Sud y est apparue dans les temps anciens, contrairement à la même Amérique, dont l'existence était mise en doute même après les voyages de Colomb. Fait intéressant, les historiens ne trouvent toujours pas d'explication à ce fait mystérieux. Ils font généralement référence à une sorte d '"intuition" des géographes. Je suis d'accord que parfois des terres étranges apparaissent sur des cartes médiévales qui n'ont jamais existé dans la nature. Mais ce sont des épisodes, pas une tendance générale. L'intuition est-elle vraiment entrée en jeu, et non les connaissances anciennes à moitié oubliées?

En tout cas, les expéditions vers les mers du Sud n'ont commencé qu'au XVIIIe siècle. En 1739, une expédition française sous le commandement de Bouvet de Lozier découvre une île nommée Bouvet dans l'Atlantique Sud. En 1772, un autre marin français, Kerguelen, a examiné l'océan Pacifique sud et a découvert un groupe d'îles portant son nom. Au sud des expéditions, la glace dérivante n'était pas autorisée à percer, d'où les voiliers de l'époque ne pouvaient pas esquiver avec une garantie absolue. Pour la même raison, l'expédition du célèbre amiral Cook (oui, celle-là même qui, selon la légende, était mangée par les indigènes) a échoué. Il a été le premier des marins à traverser le cercle polaire, mais n'a pas pu se rendre en Antarctique et a déclaré que le continent sud ne pouvait pas être trouvé du tout, car l'océan était littéralement plein d'icebergs.

Cette déclaration a été réfutée par les marins russes en moins d'un demi-siècle. Le 28 janvier 1820, leur expédition composée de deux navires sous le commandement de Bellingshausen a d'abord approché les côtes de l'Antarctique. Le continent sud a finalement été découvert.

Et ici les énigmes ont commencé ...

Chronique d'événements étranges

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De nombreux livres ont été écrits sur l'expédition de Bellingshausen, des films ont été tournés. Les navires Vostok et Mirny ont passé près de 50 mille milles, leur navigation a duré 751 jours, dont 100 jours dans la zone de glace. Les informations les plus précieuses ont été recueillies sur la nature de l'hémisphère sud, en outre, les Russes ont fait un certain nombre de découvertes géographiques dans d'autres parties de l'océan. Neuf fois, ils se sont approchés du continent de glace, définissant - en termes généraux - ses frontières. 29 nouvelles îles ont été découvertes ...

Cependant, pourquoi je parle de deux navires? Le fait est qu'un seul d'entre eux, Vostok, est revenu en Russie. Mirny a été tellement endommagé pendant l'une des tempêtes que l'équipe l'a quitté et est passé à un navire intact. Et puis le véritable mysticisme de l'action a commencé.

Le matin après la tempête, l'équipe de l'Est a vu que Mirny les suivait toujours. Avec des voiles déchirées, tourmenté par une tempête, le navire a obstinément suivi «l'Est». Et cela a donc duré plusieurs jours. Comme le légendaire Flying Dutchman, Mirny a pourchassé l'équipage qui l'avait quitté et a même essayé plusieurs fois de battre le Vostok. L'équipe a été saisie d'une horreur mystique. Seulement une semaine plus tard, a finalement réussi à se détacher du poursuivant. Par la suite, tout a été attribué au vent et au courant, mais ceux qui ont vu le vaisseau fantôme de leurs propres yeux ont juré qu'il agissait comme une créature rationnelle.

Cependant, le voile du secret de l'Antarctique a déjà été déchiré. Au cours des décennies suivantes, plusieurs expéditions se sont rendues sur ses côtes. Certes, ils ne pouvaient pas se vanter d'un succès particulier. Dans le meilleur des cas, ils ont pu s'approcher de la terre et l'examiner à l'aide de télescopes à n'importe quel endroit. Ainsi, par exemple, la péninsule antarctique, la rive Kemp, la terre Adele, la terre Wilkes et d'autres zones côtières ont été découvertes. Cependant, plusieurs expéditions ont disparu dans des circonstances mystérieuses. Cependant, il n'y avait pas de radio à cette époque, les navires restaient très imparfaits et leur mort pouvait bien s'expliquer par des causes naturelles. Même si l'on considère que ce sont précisément ces expéditions qui se sont fixé pour mission de débarquer à tout prix sur le continent mystérieux.

En 1840, l'expédition Ross se rendit en Antarctique sur deux navires - Erebus et Terror. De la mer, elle a observé deux hautes montagnes en forme de cône, au-dessus desquelles des bouffées de fumée s'enroulaient. Ross a suggéré que ce sont deux volcans, dont l'un est actif, et les a appelés les noms de leurs navires. Mais si les volcans agissent en Antarctique, cela signifie qu'il devrait y avoir des terres libres de terre de glace, une sorte d'oasis chaudes, dans lesquelles il y a des plantes et des animaux. Les hypothèses les plus audacieuses peintes au centre du continent, derrière un mur de glace, une vaste terre chaude, un vrai paradis. Et, selon certains rapports, ils avaient raison - au moins, un tel paradis existait vraiment là-bas, et relativement récemment. Mais ne prenons pas de l'avance sur nous-mêmes ............
la je coupe, en raison, que ici ont ne souhaite pas connaitre l'histoire remontant à mathusalem, donc ici ont as juste une partie, pour allonger son récit, pour que cela devienne un Livre plus gros, et pas un simple chapitre.
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 14:12

Mais le chapitre suivant il faut que je vous l'insère, en raison, comme j'ai déjà parcouru en avant, il y'a des noms qui vont sortir, se rapportant à ce chapitre.

Citation :
Les gens en Antarctique. L'hypothèse de Gott


Otto Gott est né à Brême en 1897. Son père était biologiste et sur les étagères de la maison, il y avait une masse de littérature pertinente. Une fois, Otto, déjà au lycée et sérieusement intéressé par les mêmes problèmes que son père, a trouvé le livre de Weber's Pyramid Builders sur la fenêtre d'une librairie. Il l'a lu en une nuit. Et puis il a repris le travail restant de Weber. Père, comme presque tout le monde scientifique, était contre Weber. Par conséquent, Gott Jr. a dû faire face sérieusement aux problèmes liés à l'Antarctique afin de protéger sérieusement son idole.

Il rêvait de rencontrer Weber personnellement, mais n'y parvint pas - la guerre qui avait commencé, n'empêchait pas Gott a été enrôlé dans l'armée, il a combattu dans une compagnie d'infanterie pendant quelques mois, puis il a été transféré à l'aviation. Pendant plusieurs années de la guerre, le jeune observateur (il n'est jamais devenu pilote) a développé une excellente vision, la capacité de remarquer tous les moindres détails visibles d'un avion de reconnaissance. Les artilleurs allemands ont souvent spécifiquement demandé que ce soit Gott qui corrige le tir de leurs batteries; il y avait même un dicton parmi eux: "Que Gott nous aide aujourd'hui!" (Traduit de l'allemand, "Gott" signifie "Dieu").

De retour du front, Gott n'a pas pu trouver de travail pendant longtemps. Ce n'est qu'en 1920 qu'il entra à l'université et seulement dix ans plus tard, il publia son ouvrage «Antarctic Civilization». À cette époque, les résultats de la première "reconnaissance aérienne" au-dessus de l'Antarctique étaient déjà connus et les données sur les mystérieuses oasis se multipliaient. C'est sur eux que Gott a construit sa théorie. Dans la préface de son livre, il a écrit ceci:

En étudiant l'histoire de la recherche sur le sud du continent, il est impossible de se débarrasser de la pensée que les courageux pionniers devaient faire face à une force inconnue. Une force qui ne voulait pas se retrouver, mais dans la mesure du possible, a empêché le développement de l'Antarctique, et tout à fait consciemment et délibérément. Pour comprendre la nature de ce pouvoir, il faut plonger dans le passé à ce jour qu'aucune preuve écrite n'en ait été conservée. Au moins avec nous.

En général, Gott s'est éloigné de l'hypothèse de Weber, la jugeant assez juste. Le chercheur pensait qu'une seule chose était que son prédécesseur s'était trompé: qu'il n'y avait plus de personnes en Antarctique.

En effet, Gott a demandé, si les anciens habitants du continent sud avaient de gros navires, il est impossible d'imaginer qu'ils n'avaient pas de langue écrite! C'était une civilisation à un niveau assez élevé de son développement, nettement en avance sur toutes les autres. Par conséquent, si l'Antarctique - comme Gott appelait les prétendus habitants du continent - s'était déplacé vers l'Afrique ou l'Amérique dans son ensemble, leur noyau civilisationnel aurait survécu et, très probablement, survécu jusqu'à nos jours. Par conséquent, nous devrions parler de petites expéditions de recherche qui pourraient facilement se dissoudre dans le reste de nos ancêtres, ayant déjà considérablement augmenté le niveau culturel de ces derniers.

De toute évidence, les contacts entre l'Antarctique et le reste de l'humanité n'étaient pas un épisode isolé. L'ancienne légende des Atlantes leur doit leur origine. Platon a placé par erreur Atlantis dans l'océan Atlantique - peut-être parce que de cette façon les navires de l'Antarctique sont entrés dans la Méditerranée. Et puis les contacts ont été interrompus pour une raison peu claire.

Une chose est évidente: la civilisation, qui en était à un stade de développement aussi élevé, ne pouvait pas simplement geler! Ne serait-ce que parce qu'en Antarctique il y avait une abondance d'oasis chaudes (rappelez-vous les résultats des premiers vols au-dessus du sud du continent). Les vastes espaces profonds du continent n'ont pas encore été explorés, ce qui signifie que les oasis peuvent atteindre des tailles très impressionnantes, jusqu'à la superficie d'un petit État européen. Conclusion: si l'Antarctique a vraiment existé, cela signifie qu'ils ont survécu jusqu'à nos jours!

Mais quel devrait alors être le niveau de développement de leur civilisation? Gott a supposé le plus haut. Bien sûr, il se pourrait que, comme les Esquimaux, ils se soient arrêtés dans leur développement en raison de conditions naturelles trop difficiles; mais alors Gott n'a pas trouvé d'explication aux nombreux événements étranges qui ont accompagné l'exploration de l'Antarctique. Très probablement, la civilisation de l'Antarctique a atteint des sommets inaccessibles. Pour une raison quelconque, ils ne veulent pas nous contacter, mais peut-être quelque temps plus tard, l'opinion des habitants du continent sud sur l'humanité va changer - et une véritable rencontre des civilisations aura lieu.

Gott aurait probablement attendu le sort de Weber. Si un des jours d'automne de 1930 son livre n'était pas apparu sur la table chez Rudolf Hess.

Nazis et l'Antarctique


Je dois dire qu'à ce moment-là, les nazis avaient leur propre théorie raciale bien développée. Tous les précurseurs d'Hitler ont fait valoir qu'il n'y a pas si longtemps sur Terre, il y avait une pure race aryenne, qui n'a perdu sa grandeur qu'à la suite de la confusion avec le «Untermensch (Sous-homme)».

Où chercher la patrie des Aryens? Elle a été placée à divers endroits - dans la mystérieuse Atlantide, la Lémurie mythique, le Tibet lointain. Et certains - même à Arctogaia. Selon ces scientifiques, cette immense île (ou plutôt, tout le continent) était densément peuplée de personnes avant le début de la période glaciaire. C'était une terre de soleil, de raison, d'ordre, d'instincts équilibrés et de vraie foi. C'est ici qu'est né le proto-langage, base de la civilisation humaine. Les restes de cette ancienne civilisation sont maintenant enterrés sous les vagues de la mer et une couche de glace. Un des restes d'Arctogeia est le Groenland; Pas étonnant que les Vikings, les descendants des anciens Allemands, la considèrent comme une terre sacrée. Après qu'Arktogey se soit d'abord caché sous la glace, puis sous l'eau, les ancêtres des Aryens ont été contraints d'émigrer en Eurasie.

La chose la plus intéressante est que toutes ces hypothèses n'étaient pas en conflit, mais s'entendaient bien. Par conséquent, la théorie de Weber - Gott est tombée beaucoup dans la cour. Il n'en fallait pas beaucoup pour cela: il suffisait d'identifier les Aryens avec l'Antarctique, et tout se mettrait en place.

En effet, ce sont eux qui ont navigué il y a plusieurs milliers d'années sur leurs navires qui se sont installés sur les continents «chauds» et ont fondé leur civilisation. Dans le même temps, les Aryens se mêlent bon gré mal gré aux anciens qui vivaient alors sur ces continents - en fait, des semi-singes - tout en gâtant leur sang pur. Et puis le facteur géographique est entré en jeu. Là où il y avait beaucoup de ces semi-singes - en Afrique et en Méditerranée, régions au climat exceptionnellement doux - les Aryens ont presque complètement disparu dans leurs rangs. Et en Europe du Nord (Allemagne, Scandinavie), où il faisait trop froid pour les semi-singes, la race aryenne a été préservée dans sa forme quasi originale.

Mais s'il en est ainsi, alors les vrais Aryens, surhumains, demi-dieux vivent toujours en Antarctique! Hess a contacté Gott et a organisé une audience avec Hitler. Le jeune scientifique a pu faire une impression profonde sur le futur Fuehrer de la nation allemande, qui a pu apprécier les mêmes personnes convaincues et fanatiques que lui même en était un. En conséquence, le NSDAP n'a plus gardé les yeux sur Gott. Et à son tour, il a volontairement rejoint le parti en 1931, se réjouissant qu'au moins quelqu'un le comprenne et l'apprécie.

En 1933, presque immédiatement après l'arrivée au pouvoir des nazis, un institut spécial, strictement classé, Ahnenerbe, Héritage des ancêtres, a été formé. J'en ai parlé en détail dans mon livre précédent, alors ici je me limiterai à quelques mots.

La tâche officielle de l'institut est d'étudier tout ce qui est lié à l'histoire, la culture, la langue, les traditions des anciens Allemands. La première chose "Ahnenerbe" a pris le monopole sur les études des anciens allemand. Au cours de plusieurs mois, ils ont intégré dans leurs composition tous les groupes scientifiques traitant de problèmes similaires. En 1937, Ahnenerbe comptait près de cinquante instituts. C'est à ce moment-là que Himmler l'a pris sous sa seule direction, y compris dans la structure des SS. À ce stade, Ahnenerbe a commencé à s'éloigner de plus en plus de la recherche strictement scientifique. Le parti pris dans le domaine de l'esprit, dans le domaine du mysticisme et de la magie a augmenté. Malgré le fait que, dans ses documents de programme, Patrimoine des Ancêtres a déclaré la pleine nature scientifique de toutes ses recherches, les pratiques occultes en tant que nouvelle branche de la connaissance étaient assez fermement ancrées dans sa structure. D'énormes sommes d'argent ont été dépensées pour Ahnenerbe - plus que les États-Unis ont dépensé pour leurs projet Manhattan (qui - en dévoilant le voile du secret - s'est soldé par un échec honteux). La recherche a été menée à une échelle colossale et a été gardée en toute confidentialité.

On sait que les scientifiques SS ont traité de nombreux problèmes historiques et culturels graves. Par exemple, l'histoire du Saint Graal, débat qui n'a pas cessé jusqu'à ce jour. Ils ont soigneusement étudié tous les mouvements hérétiques et les écoles occultes, y compris la société des alchimistes et l'ordre des Rose-Croix. De plus, ils ont organisé des expéditions tibétaines pour rejoindre l'intelligence extraterrestre et étudié les prophéties de Nostradamus. Avec le déclenchement de la guerre, les spécialistes d'Ahnenerbe ont suivi la Wehrmacht victorieuse, prenant sous leur "tutelle" les trésors des musées et bibliothèques européens. De plus, au fil du temps, des études sur une direction complètement non humanitaire ont commencé à être menées ici. Par exemple, associé à la création d'armes psychophysiques ou aux capacités du corps humain.

Gott avait également  intégré Ahnenerbe en 1933. De plus, à un poste assez élevé - la division Antarctique a été spécialement créée pour lui, et il relevait directement du chef de l'institut - Herman Wihrt. A partir de ce moment, Gott se chargea de préparer une expédition spéciale en Antarctique.

Cependant, c'est une histoire complètement différente ...
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeLun 23 Mar - 14:26

Et maintenant comme je vient de trouver des document d'Ahnenerbe, il me faut en premier le temps de les consulter, mais j'ai déjà bien vue, le cachet et la signature de Heinrich Himmler figurant sur certaines lettres.
Donc oui, Heinrich Himmler était bel et bien le supérieur hiérarchique. A qui ils devaient rendre compte.

Et ce n'est non plus étonnant, puisque Heinrich Himmler, était un grand adorateurs de l'époque des Runes et des Chevaliers Teutons.Il suffit juste de le comprendre avec son châteaux qu'il a mis à disposition des Officier et Officier supérieur SS.
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vania
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitimeMar 24 Mar - 11:18

Citation :
n sait que les scientifiques SS ont traité de nombreux problèmes historiques et culturels graves. Par exemple, l'histoire du Saint Graal, débat qui n'a pas cessé jusqu'à ce jour. Ils ont soigneusement étudié tous les mouvements hérétiques et les écoles occultes, y compris la société des alchimistes et l'ordre des Rose-Croix. De plus, ils ont organisé des expéditions tibétaines pour rejoindre l'intelligence extraterrestre et étudié les prophéties de Nostradamus. Avec le déclenchement de la guerre, les spécialistes d'Ahnenerbe ont suivi la Wehrmacht victorieuse, prenant sous leur "tutelle" les trésors des musées et bibliothèques européens. De plus, au fil du temps, des études sur une direction complètement non humanitaire ont commencé à être menées ici. Par exemple, associé à la création d'armes psychophysiques ou aux capacités du corps humain.
Ils n'ont pas "traité", ils s'y sont intéressés, de manière irrationnelle, Himmler en premier lieu, mais leurs recherches n'ont semble t-il rien découvert ni fait avancer quoique ce soit... Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: allemands en antartique   allemands en antartique - Page 2 Icon_minitime

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