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 Les unités pénales des Allemands

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leclerc1944
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MessageSujet: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeMer 21 Déc - 15:16

Les unités pénales des Allemands!
Bonjours, alors que savez vous sur ses unités?

Déjà je vous rafraichis la mémoire.

Chez les SS, c'était les premiers qui l'ont créé, la première unité, était l'unité Commando des Braconniers Dirlewanger!

Et dans la Wehrmacht, le Bataillon 999, lui a été crée que en 1942.
Malgré que j'ai déjà lu, que dans les Armées qui se trouvait sur le front de l'Est; ils ont mis les personnes, en première ligne, etc… et bien avant 1942.

Puis encore du côté des SS, il existais le Bataillon de parachutiste 500.

Alors que savez-vous sur ses unités? En connaissez vous d'autre?

Déjà il faut savoir, que autant les soldats ayant servit dans la Kriegsmarine, autant ce de la Luftwaffe, eux ont été transférer soit le Bataillon 999, soit dans un des Bataillons des SS. Malgré le fait, que j'ai aussi lu, que sur la presqu'île de Hel. (en Pologne), il y avait une unité, qui avait intégré les marins.
Mais ici, rien n'est énumérer, si une unité du bataillon 999, était basée sur Hel.

Pour l'unité Dirlewanger, au début et ce jusqu'en 1943, l'unité détenait uniquement des Braconniers, et uniquement après, le commandant du camp de Oranienbourg des  SS totenkopf V, a choisis des voleurs, tueurs et violeurs, pour les transmettre dans l'unité Dirlewanger.

Alors maintenant je vous donne une fois la main, pour y répondre de votre connaissance sur ce sujet.
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeMer 21 Déc - 18:38

Citation :
Les informations suivantes, proviennent du livre "Les Antifascistes dans l'uniforme des SS" de Hans Peter Klausch.  La différence entre les braconniers honorables et les déshonorables. Elle n'est pas si inintéressante, point de vue historiquement parlant. Sous le titre "Hitler la chasse(*) et les Braconniers"  il est dit: "A la date du 23 Mars 1940, l'adjudant personnel de Himmler (**) à  appeler le ministère de la justice du Reich, et énuméra a voix haute d'après les enregistrements verbaux qui ont été inscrit: "Le Führer a l'intention de reporter aux honorables braconniers leurs sentences, et si au front ils se sont bien conduit, il les amnistiera…." D'autre documents écrit stipule en plus, que c'était suivant l'idée personnel d'Hitler, d'intégré les "braconniers" emprisonné dans le service de la guerre."

(*) Euh Hitler était un adorateur de la nature, ainsi il haïssait la chasse.  Et en plus il ne mangeait jamais de la Viande.
(**) L'adjudant personnel de Himmler était le SS gruppenführer Karl Wolf.

Mais poursuivons juste encore un peut!

Citation :
Suite  que l'adjudant personnel de Himmler, avait téléphoné au ministère, Himmler écrivit une lettre adressé au ministre de la justice du Reich (Hans Gürtner) daté du 29 Mars 1940: "Le Führer à ordonné, que les braconniers en particulier ce qui sont issus de la Bavière et de L'Ostmark (*), et qui non pas braconné avec des collets, mais ont violé la loi en chassant avec des armes  a feu", soient intégré dans une compagnie dans le "Commando des Braconnier d'Oranienbourg"  et qui elle est subordonné aux SS.

(*) Après l'annexion de l'Autriche, celle-ci a été renommé Ostmark

oui mais ici la lettre a été rapetisser!!!
Donc je vient de trouver l'originale dans un autre livre. (Russe)  
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeMer 21 Déc - 19:07

Bien allons y:

ancien_sujet_autre_forum a écrit:
En Novembre 2004, il y’a eu lieu dans les séries de télévision russe "Le bataillon pénal", qui a immédiatement pris la plus haute position dans le classement. Les créateurs de film de série, prouvant que, pendant la Seconde mondiale URSS "gagné, après avoir couvert la viande adversaire". Qui avait provoqué un débat houleux, non seulement parmi les amateurs de cinéma, mais aussi parmi les historiens.

En automne 2004 est venue la lumière sur le thème des bataillons pénal allemand. Cette question immédiatement envahi, des tas de légendes et de la spéculation. Et rappelle les soldats allemands, enchaînés à une mitrailleuse et punitive étouffé, mais on ne parlait pas un mot sur les campements de la région le long de la rivière Ems (Frontière le long avec la Hollande), à partir de laquelle sont à l'origine des bataillons allemands. Cependant, tout d'abord.

Après la prise du pouvoir par les nazis, qui a eu lieu le 30 Janvier 1933, le nouveau gouvernement impérial, ont utilisé l'incendie du Reichstag comme un prétexte pour repousser l’impérial président Hindenburg, à décrétés d'urgence l'adoption "pour la protection des personnes et de l'Etat", qui a mis effectivement fin aux droits et libertés démocratiques. Maintenant, tous les adversaires politiques des nazis sur des accusations de menace à l'ordre public pourraient être arrêtés pour une période indéterminée. Au cours de Mars et Avril 1933 rien que sur le territoire de la Prussie, avait été arrêté plus de 25 mille personnes. Il ya d'abord les communistes, puis les sociaux-démocrates. Puis ce fut le tour des syndicalistes et d'autres personnes indésirables.

Après les arrestations massives, le gouvernement impérial (Reich = Empire) a été confronté à un problème très important- la surpopulation carcérale. Puis a été commencé la recherche sur les possibilités pour l'organisation d'installations spéciales de détention où les détenus pouvaient «revenir» et «se joindre en tant que membres à part entière dans la communauté nationale." Un exemple à suivre déposé Reichsführer SS Heinrich Himmler, qui comme le chef de la police bavaroise a ordonné 20 Mars, 1933 la mise en place du camp de concentration de Dachau.

En ces jours là, entre Himmler et Hermann Goering, qui a dirigé le ministère de l'Intérieur de la Prussie, il existait une lutte secrète pour l'influence dans l'appareil policier. Goering ne voulait pas faire traîne jusqu’à la fin de Mars, à devoir adressée à la direction de la ville d'Osnabrück des demandes pour allouer des terrains pour la construction de casernes, et qui devait pouvoir accueillir 250-300 prisonniers. Le nouveau camp devait répondre aux exigences suivantes: "Il doit être construit sur un emplacement bien visible, qui devait aussi autant que possible être retiré du centre industriel, mais en même temps, prévoit l'utilisation de prisonniers à un travail socialement utile, tel pour épurer des marais, dessouchage des arbres et ainsi de suite. Et le transport des prisonniers ne doivent pas arrivé à des coûts financiers importants. "

A Osnabrück a été exprimé un vif intérêt dans cette entreprise. Goering a suggéré que, pour créer un plus logique d'utiliser le voisinage du camp Ems, qui en 1924 a commencé à utiliser le travail pénitentiaire. Omettant les vicissitudes du système de camp, nous notons que dans le quartier Ems a surgi un réseau de camps où les dirigeants nazis considérée comme exemplaire. Alors que là, les prisonniers devaient participer à la construction de la région de remise en état de la "Ligne Siegfried", la construction d'un barrage sur l'Elbe, la construction de la route impériale sur le segment Kaiserlautern - Saarbrüken……

Donc ici ont sait déjà, que bien avant le début de la guerre, il existait des camps pour la punition ou pour redresser les personnes détenant…..

Et ici d'après la loi militaire allemande, il était spécifié:

Citation :
1. Befehlsverweigerung (refus d’obéir a un ordre) suivant le cas de gravité, cela pouvait aller jusqu’à la potence, ou peloton d’exécution.
2. Desertion (Potence)
3. Mord an einem Kameraden/Vorgesetzten (Meutre à l’encontre d’un de ses camarades/ Supérieur) Potence sans aucune exception.

Mais pour le refus d'obéissance, euh, sur le front Russe, il existe des faits qui corroborent que certains officiers SS, eux n'ont pas été inquiété malgré le fait établie.
Mais pour cela, il faudrait déjà revoir toute les informations sur ces personnes….
Dans un des camps en Norvège, il y avait un, qui a eu droit à la potence.


Citation :
Donc, oui, chez les SS et la Police, les punis eurent de la prison, mais pas dans les prisons ordinaires, mais dans les camps.

Ainsi ont retrouve aussi cette nouvelle information sur la création de la Division SS Dirlewanger:
Citation :

La division à commencé sa formation à partir du 15 Juin 1940 en tant que «Commandement des braconniers d’Oranienburg» Wilddiebkommando Orienburg, pour mener des actions anti-guérilla et l'exécution des actions punitives, et pour leurs performance, dans sa composition ont été recruté d'anciens braconniers et prisonnier SS disciplinaire, de sorte que au 1 Juillet 1940, 84 personnes ont été recruté. Plus tard, avec le début de la guerre sur le Front de l'est, la division a commencé à attirer des soldats volontaires de la partie orientale des Osttruppen. Pour améliorer la composition originale en utilisant des prisonniers militaires et civils, pour la plupart des bénévoles dans les camps de concentration de prisonniers politiques, parmi lesquels il y avait aussi d'anciens communistes et les anarchistes, qui ont fait grandir le nombre des forces spéciales au début du mois de Septembre 1940 à 300 combattants. S'il vous plaît noter, que dans les rangs des forces spéciales, se trouvèrent uniquement les personnes qui avaient commis des crimes les plus graves, et de l'armée "SB-Soldaten", mais pour les infractions militaires (dormir pendant son tour de garde, ne pas sêtre se conformer à suivre un ordre donné, etc.) cette classe de prisonnier n’on pas été recruté pour servir au sein du bataillon.

La première application

En automne 1940, le Sonderkommando est arrivé en Pologne. L'unité du gouvernement général de la Pologne, a été utilisée pour verrouiller les colonies juives et des ghettos dans Dzikow, Lublin et Cracovie. Dans le même temps, le Sonderkommando à participé à des opérations anti-guérilla, montrant ainsi sa grande efficacité. Ou l'équipe a attiré son attention au chef de la SS et de la police du district de Lublin Globocnik (SSPHF). Ou il a commencé à utiliser de plus en plus les "braconniers" pour combattre les guérilleros, en référant à Berlin les plus hautes distinctions au Sonderkommando.

Contrôle au sein du service

Dans le même temps chez Berger et chez Himmler, entrèrent d'innommables lettres d'atrocités de l'unité. Pour vérifier cela, à son entrée à Lublin le Untersturmführer SS Konrad Morgen, a relevé lors de la vérification de nombreux cas de passages à tabac, d'extorsion, de vols, de viols, de meurtres commis par des membres de l'unité. Dans son message final Morgen lui-même a jugé, qu’il était nécessaire d'arrêter les membres de l'équipe, pour les faires retourné au camp. Même du point de vue des juristes de la Division SS, ils ne virent pas tant qu’une unité militaire, mais plus comme des gangs.
Et comment pensez-vous quel fut la décision, qui a été prise par la direction des SS? Oskar Dirlewanger a été nommé Sturmbannfuhrer, et son kommando a été subordonnée directement au siège du Reichsführer SS et en Janvier 1942 elle a été envoyée en Biélorussie.
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeMer 21 Déc - 19:24

Citation :
Donc voici les sources, que l’auteur a utiliser pour décrire son sujet.
Absolon, Rudolf. Die Sondereinheiten in der früheren deutschen Wehrmacht (Straf-, Bewahrungs und Erziehimgseinrichtungen). Kornelimunster, 1952.

(Trad.. Les unités spéciales dans l’ancienne Wehrmacht allemande (pénitence, Repentissions et établissement de redressement).

Klausch, Hans-Peter. Die 999er. Von der Brigade «Z» zur Afrika- Division 999. Die Bewahrungsbataillone und ihr Anteil am antifaschistischen Widerstand. Frankfurt am Main: Roderberg, 1986.

(Trad. La 999ème de la Brigade “Z” à la 999ème division Afrika. Les bataillions de repentissions et leurs parts à la résistance antifasciste).

Klausch, Hans-Peter. Antifaschisten in SS-Uniform. Schicksal und Widerstand der deutschen politischen KZ~ Haftlinge, Zuchthaus- und Wehrmachtstrafgefangenen in der SS-Sonderformation Dirlewanger (DIZSchriften, Bd. 6) Bremen: Edition Temme, 1993.

(Trad. Les antifascistes dans les uniformes des SS. Destin et résistance des prisonniers des camps de concentration politique allemands, établissement d’éducation ainsi que les prisonniers de la Wehrmacht dans les formations spéciales de la SS Dirlewanger).

Klausch, Hans-Peter. Weitgehend imerforscht: Die Konzentrationslager der Wehrmacht. In: Beitrage zur Geschichteder Arbeiterbewegung, Bd.35 (1993), H.4, S.31-42.

(Trad. Poursuite larges sur les recherches: les Camps de concentrations de la Wehrmacht dans : Contributions à l'histoire Les mouvement des travailleurs,)

Klausch, Hans-Peter. Die Bewahrungstruppe 500. Stellung und Funktion der Bewahrungstruppe 500 im System von NS-Wehrrecht, NS-Militarjustiz und Wehrmacht-strafvollzug (DJZ-Schriften, Bd.Cool Bremen: Edition Temmen, 1995.

(Trad.Les Troupes de repentissions 500. Les Positions et la fonction des troupes de repentissions 500 dans le système du droit du national socialisme, dans la justice militaire du national socialisme et dans le pénal de la Wehrmacht).
Citation :

En Novembre 2004, il y’a eu lieu dans les séries de télévision russe "Le bataillon pénal", qui a immédiatement pris la plus haute position dans le classement. Les créateurs de film de série, prouvant que, en la Seconde mondiale URSS "gagné, après avoir couvert la viande adversaire". Qui avait provoqué un débat houleux, non seulement parmi les amateurs de cinéma, mais aussi parmi les historiens.

En automne 2004 est venue la lumière sur le thème des bataillons pénal allemand. Cette question immédiatement envahi, des tas de légendes et de la spéculation. Et rappelle les soldats allemands, enchaînés à une mitrailleuse et punitive étouffé, mais on ne parlait pas un mot sur les campements de la région le long de la rivière Ems (Frontière le long avec la Hollande), à partir de laquelle sont à l'origine des bataillons allemands. Cependant, tout d'abord.

Après la prise du pouvoir par les nazis, qui a eu lieu le 30 Janvier 1933, le nouveau gouvernement impérial, ont utilisé l'incendie du Reichstag comme un prétexte pour repousser l’impérial président Hindenburg, à décrétés d'urgence l'adoption "pour la protection des personnes et de l'Etat", qui a mis effectivement fin aux droits et libertés démocratiques. Maintenant, tous les adversaires politiques des nazis sur des accusations de menace à l'ordre public pourraient être arrêtés pour une période indéterminée. Au cours de Mars et Avril 1933 rien que sur le territoire de la Prussie, avait été arrêté plus de 25 mille personnes. Il ya d'abord les communistes, puis les sociaux-démocrates. Puis ce fut le tour des syndicalistes et d'autres personnes indésirables.

Après les arrestations massives, le gouvernement impérial (Reich = Empire) a été confronté à un problème très important- la surpopulation carcérale. Puis a été commencé la recherche sur les possibilités pour l'organisation d'installations spéciales de détention où les détenus pouvaient «revenir» et «se joindre en tant que membres à part entière dans la communauté nationale." Un exemple à suivre déposé Reichsführer SS Heinrich Himmler, qui comme le chef de la police bavaroise a ordonné 20 Mars, 1933 la mise en place du camp de concentration de Dachau.

En ces jours là, entre Himmler et Hermann Goering, qui a dirigé le ministère de l'Intérieur de la Prussie, il existait une lutte secrète pour l'influence dans l'appareil policier. Goering ne voulait pas faire traîne jusqu’à la fin de Mars, à devoir adressée à la direction de la ville d'Osnabrück des demandes pour allouer des terrains pour la construction de casernes, et qui devait pouvoir accueillir 250-300 prisonniers. Le nouveau camp devait répondre aux exigences suivantes: "Il doit être construit sur un emplacement bien visible, qui devait aussi autant que possible être retiré du centre industriel, mais en même temps, prévoit l'utilisation de prisonniers à un travail socialement utile, tel pour épurer des marais, dessouchage des arbres et ainsi de suite. Et le transport des prisonniers ne doivent pas arrivé à des coûts financiers importants. "

A Osnabrück a été exprimé un vif intérêt dans cette entreprise. Goering a suggéré que, pour créer un plus logique d'utiliser le voisinage du camp Ems, qui en 1924 a commencé à utiliser le travail pénitentiaire. Omettant les vicissitudes du système de camp, nous notons que dans le quartier Ems a surgi un réseau de camps où les dirigeants nazis considérée comme exemplaire. Alors que là, les prisonniers devaient participer à la construction de la région de remise en état de la "Ligne Siegfried", la construction d'un barrage sur l'Elbe, la construction de la route impériale sur le segment Kaiserlautern - Saarabrüken……

Ainsi ici, je vous épargne le passage sur l’histoire médiévale etc…
Et ont arrive ici.
Citation :

Le 9 Novembre 1918, arriva au galop la révolution en Allemagne, ou a été proclamée une république. Mais cela ne signifie pas que le Code pénal militaire en Allemagne impériale a perdu de sa force. Il y avait seulement aboli les tribunaux militaires spéciaux de droit de fonctionner, et que au 17 Août, 1920 ils ont cessé d'exister.

Ainsi, lorsque 30 Janvier, 1933 Adolf Hitler est devenu le nouveau chancelier de l'Allemagne, le Code pénal militaire impériale, a formellement demeuré valide.

1 janvier 1934 le gouvernement nazi, a fait renaître des cendres les lois militaires, qui a été fourni par le Code pénal militaire impériale de l'Allemagne en 1872. Dans la même année, le 23 Novembre, une loi a été adoptée pour modifier le Code pénal militaire, et qui fut le début du système de justice pénale de la nouvelle armée.

Après l'introduction de la procédure de conscription de l'armée du Troisième Reich, il a été achevé le 16 Juillet 1935, une nouvelle loi qui introduit des amendements au Code pénal militaire. Dans ce code militaire se transforme effectivement en une sorte de constitution de l'armée.

Cependant, tous les changements et innovations ne touchent pas la désertion. §69 du nouveau Code pénal militaire, et qui définit la désertion comme suit:

"1. Seront punis comme un déserteur, qui a quitté l'unité militaire ou le lieu du service à long terme à l'intention de se soustraire au service dans la Wehrmacht, ainsi que ceux qui fuit la conscription.

2. Les déserteurs sont égales délinquants qui quittent leur unité militaire ou le lieu de service aux fins de sa cacher pendant la guerre, actes de guerre ou de conflits internes ".

À première vue, la législation nationale socialiste, n'a rien montré sur les nouveaux cas ou cas spéciales de désertion. Dans la plupart des cas de désertion des peines d'emprisonnement et seuls les cas connus, il était punissable par la mort. Toutefois, avec le début de la Seconde Guerre mondiale, la direction national-socialiste a commencé à examiner de telles sanctions était insuffisante. La direction du parti a commencé à accuser la justice de l'armée dans le libéralisme. Il a été souligné que les sanctions sont trop molles contre les déserteurs, qui ont conduit à la défaite de l'Allemagne dans la Première Guerre mondiale.

Comme la preuve incontestée cité dans «Mein Kampf», Hitler:

…….
Compte tenu de la vision "souhait" du Fuhrer, du parti et de l'armée et des fonctionnaires en 1937 a commencé à travailler sur un «droit pénal spécial." Ce travail 17 Août, 1938 a abouti à l'adoption d'une procédure pénale militaire spéciale. Mais cette option a semblé insuffisante pour Hitler. Devrait couvrir toutes les échappatoires possibles pour les traîtres et les déserteurs.

Une nouvelle variante de la procédure pénale militaire spéciale est entrée en vigueur juste avant l'éclatement de la Seconde Guerre mondiale - le 26 Août 1939. En outre, ce document resserré de manière significative la peine encourue pour désertion: "La désertion est punissable de mort ou l'emprisonnement à vie."

Après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, le 10 Octobre 39-40, dans la procédure pénale militaire a été ajouté le concept «cas de désertion particulièrement graves." Il était une innovation, parce que, avant personne n'avait entendu parler d'un tel phénomène. Tous ces "cas très graves", sans exception, était punissables de mort.

Pendant ce temps, et au début dans la Wehrmacht, il n’existait pas de bataillons disciplinaires, ou il y avait uniquement des unités qui ont été engagés dans "l'éducation-formation" des éléments indisciplinés dont le comportement constitue une menace à l'ordre de l'unité, mais ne tombent pas dans la catégorie des infractions.

Par exemple, en 1936, il y avait des bureaux spéciaux. Leur créations a été prévue pour les groupes de soldats suivants:

a) le service militaire, qui, en raison de leur passé, peut être considéré comme une menace à la discipline de l'armée, même si vous ne commettez pas de faute;

b) pour les soldats, dont le séjour en partie en raison de leur mode de pensée et de comportement n’est pas souhaitable;

c) pour les soldats qui judiciairement punis pour les actions, qui font honte à l’armé, mais parce que leur présence continue dans la partie (après avoir purgé une peine de prison) est indésirable, à la fois sur des raisons morales et disciplinaires.

Le transfert d'un soldat dans un département spécial est arrivé, uniquement après que le commandant du soldat a donné son évaluation négative, ce qui confirme une variété de mesures disciplinaires. Initialement, il était prévu que l'armée, la marine et la Luftwaffe seront créés par un département particulier.

La vie dans des départements spécifiques, comme on pourrait supposer, était différente de la routine militaire ordinaire. En ce qui concerne les délinquants dans les directives spéciales expressions utilisés tels que "bloquant le service", "la surveillance sans relâche."Les coupable non seulement ont reçu une rations alimentaires plus modestes, mais aussi en permanence sous le contrôle des officiers ont été privés de l'indemnité de vacances et ont été contraints de respecter strictement la routine quotidienne.

Peu à peu, le département spécial c’est transformé en unités régulières, qui constamment réapprovisionné «élèves». Si les «étudiants» n’ont pas cédé à la "rééducation", ils n’ont pas montré leurs meilleurs traits de caractère, ils pourraient transférer à la réserve de l'armée, afin de passer entre les mains de la police. Et les plus têtu d’entre eux, la police habituellement les as envoyés dans des camps de concentration d’Ems. Si vous regardez les statistiques allemands, pour la période de 1936 à 3939, dans le département spéciale ont traversé entre 3 à 6 mille personnes, dont 120 sont allés dans les camps de "rééducation". Ce sont les prisonniers des camps de concentration, qui ont été les premiers officiers SAW (unités spéciales de la Wehrmacht - Sonderabteilung Wehrmacht),

Au début de la Seconde Guerre mondiale, un département spécial avait été démantelé. Ou les soldats restant, ont été retournées aux parties du système d'exploitation, ou comme ceux qui était des "parasites incorrigibles qui causait des dommages à leurs activités dans la Wehrmacht" ont été transférés dans des camps de concentration.

Toutefois, en Février 1940, le haut commandement as conclu que les parties impliquées dans les combats, ainsi que les garnisons arrière nécessaires pour rétablir un service spécial. Si, auparavant, le commandement militaire a adhéré au principe de la «carotte et du bâton", mais maintenant, il a été décidé de donner la préférence à fouetter.

Qui cette fois ci devais entrer dans le département spécial? Le document contenait une liste très précise et très court: dans un département spécial allait être envoyé des soldats intraitables. Qui entre dans cette catégorie? Il y avait une très longue liste. Personnalité paresseux, négligent, sale, en colère, têtu, anti-social et personnes anti-sociale, sans âme (!), Méchanceté, faux, les fraudeurs, sans défense, des psychopathes, en d'autres termes, tous ceux qui interfèrent avec les agents des affectations.

Restez soldat dans un département spéciale pourrait durer de trois à six mois. Ensuite, dans le cas de «rééducation réussie", il devait être transféré à l'unité militaire existant ou, dans le cas de "mauvais caractère", envoyé dans un camp de concentration.

En Août 1941, il a été décidé de former une catégorie spéciale d'un bataillon spécial de théâtre opérationel. Pour l'avenir, je vais dire que cette pratique a été maintenue jusqu'à la fin de la guerre. Le premier bataillon spécial de théâtre opérationnel a été créé en Octobre 1941, dans le groupe d'armées «Nord».

Depuis Février 1942, un bataillon spécial en plus des catégories mentionnées ci-dessus de soldats rejoint les officiels qui, pour leurs méfaits devaient être amené devant un tribunal, mais par leur nature même pourrait «transformer» qui a dû prouver leurs commandants. Selon les statistiques, jusqu'à la fin de 1942, plus de 90% des "élèves" provenant des bataillons spécial et qui sont retourné à leurs ancienne unité, était considéré comme «inapte au service militaire."

Ici, nous devons parler de la section « spécial » IX », qui existait dans les unités militaires de réserve jusqu'à Mars 1945. Géographiquement, cette partie «pédagogique» a été située dans schwarzenborn.
Bien je m’arrête ici, en raison, que ici cela continue a parler uniquement des cas dans la Wehrmacht, il parles uniquement de la 500 falschirmjäger Bat. de chez les SS, donc je vais revoir des autres sources….

mais ici, ont as déjà appris grand chose, en raison des modifications du code pénale militaire.
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vania
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeJeu 22 Déc - 9:56

Pratique, les bataillons disciplinaires.
Sans vergogne on leur file tous les sales boulots: reco risquée, déminage en tout genre, enterrement des morts, assauts coûteux etc...
Les soviets avaient la même chose, les "Strafbat", détenus politiques ou de droit commun qui pouvaient se racheter selon leur conduite au feu, de préférence avec une blessure.
Leurs cris, un peu comme les "Akas" au rugby, avant les assauts, les faisaient craindre des allemands, ces derniers sachant qu'ils avaient affaire en face d'eux à des jusqu'au-boutistes...
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeSam 24 Déc - 14:25

ya salut vania, ben en énumérant ta dénomination russe, tu vient en fait, de trouver le nom de la série russe, qui a été diffuser en 2004, et qui dans la série, l'histoire montre bien, que ce n'était pas forcément des droit politique, mais aussi ils incorporait, les soldats et officier, ou ils ont eu des doutes, sur leurs retour à la vie, tandis que le bataillon tout entier a été décimé. Mais attention aux âmes sensible!!! ou aux personnes qui ont le cœur fragile!
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leclerc1944
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeSam 24 Déc - 15:07

Bien, je vous ais mis un petit décorticage sur l'unité des SS Dirlewanger, et maintenant, comme celà a été la première, et comme j'aime bien suivre l'ordre chronologique. veuillez voir une fois, cette photo!

Les unités pénales des Allemands 1381462337_0003-1

Dirlewanger, et son unité, comme ont le sait, était devenu une unité de chasseur de partisan.
Ainsi je pense, que cette photo, démontre le sort réserver aux partisans, et aux villageois, qui se sont rendu.
Donc exécution en masse et fausse commune.
et vous remarquerez, que tous les soldats, ne porte pas de casque.

identiquement comme ici sur cette autre photo!
Les unités pénales des Allemands 1381462139_dirlewanger2btroops2bin2baugust2b1944
que des casquette et des calots.
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeSam 24 Déc - 15:53

Unité SS Oskar Dirlewanger!
Les sources d'information utilisées pour la base de ce Livre sont:

Matériaux provenant du bundesarchiv des Forces armées allemandes, de Fribourg, en Allemagne. (BAMA)

Matériel du Musée Central des Forces armées de l'URSS, Moscou, Russie.

Matériel des archives "Centre Simon Wiesenthal " à Vienne, en Autriche.

Matériel du Musée et archives du ministère de la Défense de la République tchèque,Lešany, République Tchèque.

Matériel du Musée de l'Insurrection de Varsovie, de la ville de Varsovie, Pologne.

Matériel du Musée du Soulèvement national slovaque, Banska, Bystrica, en Slovaquie.

«Les chasseurs cruelles» («Cruel Hunter (titre d'origine)»), auteur French L McLean, de l'édition "Schiffer Publishing", USA, 1988.

Photographies d'archives Pinsk du détachement de partisans de l'exercice biennal 1942-1944.

Photographie du club militaire de Moscou et de l'histoire sur la «ZBV-800" et de ses sites Internet.

Les archives personnelles et les collections de l'auteur, ainsi que de nombreux Journaux et de publications Internet liés au sujet

Et l'auteur est :
Alexej Pishenkov
"Unité pénale" SS. Sonderkommando "Dirlewanger" (Commando Spéciale des SS Dirlewanger)

et sur le livre de F.L. Mclean, ont peut lire:

F.L. Mclean a écrit:

Les Correspondants de propagande allemande et photographes de guerre n'ont pas suivit dans l'action. Et pour une bonne raison. Partout où l'unité Dirlewanger est entré en action- ou elle était sous le commandement d'Oskar Dirlewanger - furent exploité, la corruption et le viol qui faisaient partie de la vie courante de tous les jours et des massacres aveugle, les coups et les pillages étaient monnaie courante.

Donc par qui ont été faites les photos?
Je pense que c'était Oskar Dirlewanger lui même qui as du faire les photos, de certaines actions qu'il a mené.

Bien, alors ici, est indiquer :

Alexej Pishenkov a écrit:

Chapitre I Allemagne - 1940. Contrevenants

Peut-être vous avez besoin pour débuté de connaitre. Que le fait dès le début de son existence, le Sonderkommando avait été conçu comme une formation de pénal. Maintenant, toutes les tentatives pour deviner sur le but initiale, que a été créé cette unité serait pure spéculation, mais quelles armée dans le monde, ne dispose pas de compagnies et bataillons Pénal et depuis la nuit des temps elles ont été créés pour les "missions sensibles" et en plus elles ne vont pas participer aux parades militaire devant les photographes et les cameramen – mais ils resteront dans l’oublie totale et dans la nécessite elle ne demandera pas de confirmation du fait. Ainsi commence l'histoire du Sonderkommando "Dirlewanger." Mais le plus remarquable est le fait que, contrairement à un grand nombre des unités du militaire pénal ont été créé sur la base des régiments ou des divisions, et ils ont aussi, bien sûr, été soumis à la décision sur leurs création de cette unité particulière, directement au "sommet" du Troisième Reich, et tout le temps d'existence le Sonderkommando « Dirlewanger," en fait, est directement subordonné au bureau central des SS, pas au commandants des troupes de la Heer, ou a un GFM dans un théâtre d’opération. Il est déjà possible de conclure que l'utilisation future du Sonderkommando était d'être très précis.

D'après le témoignage du SS-Obergruppenführer Gottlob Berger [1] devant le Tribunal de Nuremberg:

"... La brigade Dirlewanger apparu en raison de la décision que avait prise Adolf Hitler dès 1940 lors de la campagne de l'Ouest. Et ce fut Himmler lui-même qui m'a appelé et m'a dit que Hitler a ordonné de faire une liste et de collecter toutes les personnes qui purgent de la peine pour du braconnage avec l'utilisation d’armes à feu, et avec eux, d'en créer une unité militaire spéciale ... "
C’ était plutôt étrange que Hitler qui était végétarien et il méprisait la chasse et, en général, qu'il était largement connu pour détester les chasseurs, et ici les braconniers armés ont soudainement commencé à l’intéressé, mais Berger l'explique:

"... Peu de temps avant d'avoir reçu une lettre d'une femme dont le mari était un soi-disant" vieux camarade du parti. "[2] Cet homme à braconnés les cerfs dans les forêts nationales et a été pris en flagrant délit. A ce moment là, l'homme était déjà en prison, et sa femme a demandé au Führer de lui donner l'occasion de faire amende honorable, en l’envoyant sur le front ... et Ce fut la poussée ... "
"Le vieux camarade de parti» («alte Parteigenosse») - les soi-disant personnes qui avaient rejoint le parti nazi au début de sa formation et, par conséquent, a eu un maximum de membre, quatre, cinq chiffres sous lui (1000 à 10 000). Une position assez respectable dans le milieu du partie, et qui ouvre souvent la voie à une bonne carrière ou l'accès aux principaux dirigeants du Reich.
Et qu’es ce qui est arrivé ensuite? Là encore, l'Ober- Gruppenfuhrer fit remarqué que pendant les événements il était le Brigadeführer Berger:

"... Selon ces ordres, je suis entré en contact avec le chef de la police criminelle Nebe [3] et nous avons convenu que d'ici la fin de l'été, tous les candidats seront sélectionnés et envoyés à la caserne de Oranienburg ..."
Le premier enregistrement officiel dans les archives, et qui fait mention de la possibilité d'établir une nouvelle unité des forces spéciales, en raison des braconniers qui ont été condamnés semble effectivement être avant le début des hostilités dans l'Ouest.

A la date du 23 mars 1940 l’adjudant du SS Reichsführer Himmler, SS Karl Wolff a téléphoné au ministre de la Justice du Reich et a informer le conseiller Sommer que le Führer a décidé d'accorder l'amnistie à certains détenus, qui ont été emprisonné pour braconnage, et de les envoyer ensuite pour expier leurs culpabilité sur le front, en ajoutant que la lettre, confirmant la décision, était signer personnellement par le Reichsführer, et devait être transmise dès le lendemain. Martin Sommer dans les affaire à régler impérativement, ont retrouve une note de la conversation dans son journal de son cabinet dans le ministère ou furent annoté les informations ci-dessus - à savoir, secrétaire ministériel, a été convaincu par les nazie, dont chaque mot est un ordre du Fuhrer, le Dr Roland Freysler. Ensemble Freysler à travailler si dur, que la recherche et la sélection d'individus reconnus coupables de braconnage, eu effectivement commencé avant même que le ministère a reçu une lettre officielle de Himmler. Celle ci est arrivée une semaine plus tard, le 30 Mars 1940. Le document a souligné l'intérêt personnel du Reichsführer Hitler dans cette action, et de clarifier certains détails spécifiques:
D'abord, en vertu de ce programme l'amnistie ne pouvait amener les gens à faire du braconnage sans l'utilisation des armes à feu, et d'autre part, la préférence a été donnée lors du choix reconnu de la culpabilité par l'Autriche et de la Bavière. Un peu plus tard il y avait aussi un plus de précisions - remarquables seuls véritables «professionnels» -récidiviste, et pas seulement les débutants ou les personnes arrêtées par accident tout en essayant de chasser sans autorisation. À première estimation, de la sélection sur les braconniers, il a été décidé de créer une compagnie de tireurs d'élite spéciale. En fait cet idée provenait du cabinet du Reichsführer, il était tout naturel que la formation de la nouvelle unité elle -même, devrait tomber sous l'égide des SS. À cet égard, il y avait beaucoup de questions à la fois: par exemple, les détenus dans le programme comprennent la sélection des SS, l'élite des élites proclamés pour la nation du IIIème Reich, ou l'opportunité de prendre en compte les phrases de chaque candidat individuel.. Est-il possible d'être considérés comme des candidats pour les braconniers professionnels détenues pour? d'autres infractions, et ainsi de suite.

A la date du 10 avril 1940 Himmler a formulé les derniers préparatifs pour la sélection et des exigences spécifiques à la création de l'unité, et ainsi que pour la sélection des personnes par le ministère de la Justice, et au cours des prochains mois, le premier groupe de 84 personnes a été recueilli dans le camp de concentration de Sachsenhausen, près de Berlin, dans la ville de Oranienburg.

Ici commença également le premier jour de la formation «Wilddiebkommando Oranienburg» - commando des braconniers "Oranienburg". Ou ici cela peut être considéré comme le début de l'existence officielle de cette unité de pénalité unique, avec le temps des petites compagnies qui ont envahies qui ont agrandit a toute une division mécanisée (*), de sorte qu'il n'y avait pas de tels exemples dans les annales de l'histoire militaire. Cette partie est principalement due à son commandant - Dr Oskar Dirlewanger, et donc l'histoire de Sonderkommando peut être objectivement considérée seulement en liaison directe avec l'histoire et la biographie de Dirlewanger.
* * *

Provenant du matériel de la vie personnelle, enregistré lors de son entré au service actif des SS:

SS-Obersturmführer de Reserve Oskar Dirlewanger.

Numéro d'adhésion au NSDAP: 1092492 et Numéro de membre SS: 357267 Entrée au service actif le 1 Juillet, 1940 Date de la promotion du rang 1 Juillet 1940.

Date et lieu de naissance: 26 Septembre 1895 Wuerzburg.

Formation professionnelle: Diplômé en économie.

Position (pour le moment):, commandant SS d’unité moyenne.

Lieu: Oranienburg, caserne SS

Etat civil: Célibataire.

Derniers conjoints avant le mariage: -

Enfants: -

Religion: -

infraction à la loi connu: à la date du 1 Juillet 1940: Néant

Caractéristiques personnelles:

I. Caractéristiques générales:

1) Race: Nordique.

2) Le mode de comportement: très bon.

3) évaluation de l'apparence et le comportement du service / temps libre: excellent / excellent.

4) Position financière: droit.

5) Les relations dans la famille: rien a dire.

Donc cela était le chapitre I.

Pour les parenthèses carrées, contenant des chiffres, ici c'est l'auteur lui-même qui les a intégré.
Ainsi pour le numéro [1]et [2]c'est déjà traduit.
voir sous "Alte parteigenosse".
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeSam 24 Déc - 17:58

Citation :
II. Caractère:

(Cet homme comte, d’après les documents, partie manquante ou n'a pas été en mesure de combler les trous, mais en dessous fut ajouté:. "Je pense qu'il mérite la promotion" SS-Hauptsturmführer ")

Au bas du document dispose la signature manuscrite de Gottlob Berger:

"la promotion de rang, a été décoré de la Croix militaire en or."

Oskar Paul est né le 26 Septembre 1895, provenant d’une famille d’avocat de Würzburg. Ou il était l'un des quatre enfants de la famille. Avec succès, il a terminé l'école primaire et secondaire et allait continuer ses études après qu’il avait fait le service militaire obligatoire, qui avait inscrit en 1913, mais cela fut avant que débute la Seconde Guerre mondiale. En 1914, à Dirlewavanger fut confié une partie du 123e régiment d'infanterie, qui arrive en premier sur le front. Le 22 août 1914, tandis qu'en Belgique, il a été blessé à deux reprises – a ses hanches et un coup de baïonnette à la poitrine. Mais il ne quitte pas pour autant la ligne de front et fait son devoir, en continuant à être avec son peloton de mitrailleuse sur le front. Le lendemain, il a été de nouveau blessé, cette fois par des éclats d'obus dans la tête, et alors seulement, en étant inconscient il arrive à l'hôpital. Le traitement dure plus de trois mois, ou par la suite il a a été décorée, ou il obtient- la Croix de fer de 2e classe.

14 avril 1915, il a reçu le grade de lieutenant, ou il est devenu un commandant de peloton, et cela commence par une rapide et plus admirable carrière militaire.

En Septembre de la même année, il a de nouveau été blessé deux fois et encore baïonnette et balle dans la jambe et dans la main. 4 octobre a reçu la médaille "pour le courage" en or, puis envoyé pour rétablissement. Le 13 juillet 1916 il lui fut décerné la médaille du mérite militaire qui fut décoré de la Croix de fer de 1re classe et après de multiples blessures il est transférer à l’état major de la 7e division d'infanterie. Mais pour lui personnellement la vie à l’état major, ne lui convenait pas du tout, par nature, et dès les premiers jours de l’année 1917, il a de nouveau été envoyé au front en tant que commandant d’une unité compagnie d’assaut spéciale, puis en tant que commandant de compagnie de mitrailleuses à nouveau dans le 123e régiment d'infanterie. 30 avril 1917 en Ukraine, il a de nouveau reçu une blessure par balle dans son épaule. Dans les dernières étapes de la guerre, à l’âge de 22 ans, a lui, fut confié le commandement d’un bataillon du 121ème régiment d'infanterie. Ou il remarqua lui même. Que les combats et la vie militaire, était son destin. Mais à ce moment la guerre arrive a la fin et même amène la honte pour l'Allemagne. Ou Dirlewanger commence à boire beaucoup.

Dans le chaos de l’après-guerre en Allemagne sont en train d'émerger des groupes de volontaire locale d'auto-défense armé, en essayant par leur propre chef de maintenir l'ordre dans leurs domaines - la soi-disant épine dorsale "Freikorps" dont sont souvent d'anciens membres de l'armée impériale allemande.

Il est tout à fait naturel que le jeune homme agée de 23-ans, Oskar a essayé dès que possible de devenir membre d'une telle organisation. – Ou il tombe à nouveau dans l'environnement familier, est impliqué dans des actions de combat, principalement contre l'aile extrémiste marxiste et d'autres partis «d'extrême gauche», sont répandus dans l'après-guerre en Allemagne. Au cours de la période de service dans les "Freikorps" différentes villes pour prendre part aux nombreuses irrégularités de la rue évitées deux fois arrêté et est courtes peines. Il a également reçu une autre grave blessure à la tête. Un autre fait intéressant est que, à cette époque, il renouvelle également ses études, ou il a passé avec succès les examens dans une école de commerce à Mannheim, ou il a ensuite été transféré à l'Université de Francfort à la Faculté d'économie et a obtenu son doctorat.

Il y’a aussi un événement extraordinaire qui c’est produit dans sa vie - à Pâques 1921, il (c’était au moment où le commandant de l'ensemble du train blindé) joue un rôle clé dans la libération de la petite ville de Sangerhauzen, pour y établir une brutale dictature communiste sur les extrémistes locaux. Ou après 13 ans, qu'il sera décerné le titre de citoyen d'honneur de Sangerhauzen.

En Octobre 1922 Oskar Dirlewanger entre dans la NSDAP, [4], il lui fut attribué le numéro 12 517. Le Parti participe activement à Munich "putsch de la brasserie", mais après que son intérêt dans le mouvement nazi très affaibli, il cesse de payer les droits requis et n’assiste plus à la réunion du parti, ou il sort complètement de l'organisation. Pour une raison quelconque, il réintègre le même parti en 1926, sous le numéro de membre 13566, mais comme il s'est avéré, encore une fois brièvement - l'obtention d'un emploi bien rémunéré dans une entreprise de textile appartenant à une famille juive, il préfère les hauts revenus des intérêts nationalistes et laisse à nouveau des rangs du parti. En 1931, il part de son travail, et ré-entre dans le parti nazi en Mars 1932. Son numéro de membre est déjà beaucoup moins prestigieux - 1098716.

Pendant ce temps il a d'abord travaillé comme comptable, et plus tard en tant que commis dans la ville en Heilbron ou il a eu une bourse du travail, en parallèle devenir un membre ordinaire des SA - brigade d'assaut de la NSDAP. Comme un employé honnête, lorsque le scandale expose l'escroquerie en impliquant des hauts dirigeant et fonctionnaire du Parti - Kreisleiter: avec l'utilisation des subventions publiques à des fins privées, méritant le respect de ses collègues et du public d'une part, de l'autre - gagner un ennemi puissant parmi les autorités locales.

Pendant cette période, la vie du Dr Dirlewanger est stabilisée. Il monte dans le service au poste de directeur adjoint de l’organisation est membre du parti, Sturmführer (analogique grade de lieutenant dans l'armée) SA, un citoyen respecté de la ville. Mais tout cela à nouveau pendant un certain temps.

(*) Ici comme l'auteur est Russe, il la compare à l'effectif dans une Division Mécanisé Russe de 1940 = ~10 000 à 11500 hommes.
Citation :
L'usage chronique de grandes quantités d'alcool, et de sa nature agressive déséquilibrée, l'a conduit en permanence à participer à des bagarres de rue. Plusieurs fois, il a été arrêté par la police pour comportement agressifs et pour les violations des règles de loi.

Et enfin dans la nuit du 14 au 15 Juillet 1934, Oscar Dirlewanger a une nouvelle reprise été arrêté, mais maintenant les charges ont été beaucoup plus graves - les charges portaient sur plusieurs éléments: querelle d'ivrognes, des relations sexuelles avec une mineur, conduite en état d'ébriété, avoir provoqué un accident entre deux voitures dans le district de la rivière Mesta, malgré que cette affaire a été régler entre les deux conducteur accidenté. La jeune fille, avec qui il avait conclu une relation sexuelle, elle était âgé de moins de 14 ans, dans l'un des autres accidents, il a été impliquer d’avoir heurté avec sa voiture une femme piétonne, tandis que tout cela Dirlewanger, se défend a travers l'aide officielle de son emploi de bureau pour les voitures de la ville de Heilbron.

Même avec une bonne position dans la société, l'adhésion au parti et au SA, ainsi que une brillante carrière pendant la guerre, il ne pouvait pas complètement sortir avec toute ses charges. Le 21 septembre 1934 la Haute Cour du Reich de la ville de Heilbronn, condamne et l’inculpe pour purger une peine de deux ans dans une prison de Ludwigsburg. Malgré ses protestations vigoureuses, il a été immédiatement expulsé de chez les SA avec la rétrogradation, et peu de temps après, ce fut l’expulsion du parti. Sur les accusations qui ont été refusé par Dirlewanger, il a indiqué que la jeune fille elle-même quand ils se sont rencontrés, avait énumérer qu'elle sera bientôt 17, et sur l'état d’ébriété avancé il l’a expliqué par le fait que la mort de leur chef vénéré du SA Ernst Röhm, qui était vraiment décédé le 14 Juillet 1934, mais cela ne l'a pas vraiment aidé.

Néanmoins, immédiatement après la sortie de prison (avec une période de probation de trois ans) en Octobre 1936 Dirlewanger, a immédiatement commencé à chercher une nouvelle ouverture pour ré-ouvrir une enquête sur son cas, pour ré-examiner les accusations et la sentence et lui redonner les rangs dans le NSDAP et chez les SA, ou Il a de nouveau voulu activement servir. Je suis sûr que sans la durée de la vie, cela n'aurais jouer aucun rôle. Apparemment, il a cherché si activement, que il fut a nouveau impliquer dans un scandale bruyant, le Gauleiter locale a une nouvelle fois obtenu la mise derrière les barreaux pour la durée d'un mois en Février et Mars 1937. La situation a empiré encore plus et la malchance a commencé a s’en allé- Le Gauleiter (fonctionnaire du parti au niveau régional) Wurtemberg-Hohenzollern, Willhelm Murr, qui cette fois est entré en friction avec Dirlewanger et par une coïncidence malheureuse, Dirlewanger découvre en démasquant Drauz le Kreisleiter de Heilbronn, qui aurait été celui, qui a jeté dans les bras de Dirlewanger la jeune fille mineur de Heilbronn, et pour qui il avait purger 2 années de prison. Ainsi, le nombre des ennemis de haut rang augmenta de un. Déjà au mois de mai, est clairement pas sans intervention des supérieurs, le conseil de l'université radie à Dirlewanger son titre de doctorat. Puis il a été exclu des officiers de réserve, le cas va à une rétrogradation complète. Murr a déjà énoncée sa sentence pour traiter complètement ses ennuie avec le nerveux Dirlewanger, mais sur les conseils de son ancien camarade de l'armée Berger, Dirlewanger a demandé à l'époque l'admission pour aider les frankistes de la légion "Condor". Étant donné le mérite et l'expérience dans la Première guerre Mondiale, Oskar Dirlewanger a été pris et bientôt il "échappa" aux griffes des représailles colérique d’un Gauleiter, et va participer à la guerre civile qui a éclaté en Espagne. Murr, cependant, a fait des tentatives pour le faire sortir de là, mais au front, comme avant, Dirlewanger a montré son meilleur côté et était un officier si indispensable qu'il se tenait activement au coté du commandant de la légion "Condor" du colonel Ritter von Tom. En Juin 1939, Dirlewanger revient en Allemagne avec la dernière partie de la Légion, en apportant avec lui trois nouvelles médaille de combat: une médaille de la Légion "pour la campagne espagnole", la "Croix pour le service" par le généralissime Franco et la "Croix militaire espagnole en argent". Et en Europe en ce moment là, exista de nouvelle tension croissante - l'Allemagne de Hitler se prépare à une nouvelle guerre.

Un mois après son arrivée à la maison le 4 Juillet 1939, Dirlewanger, envoie une lettre au Reichsführer SS Heinrich Himmler avec la demande d'admission aux forces armées des SS. Cependant, la réponse de Berlin, en date du 19 Août 1939, contenait un refus poli, fondée sur des accusations graves de 1934 et l'expulsion connexes du Parti et des SA. Bien que, compte tenu de ses réalisations militaires dans le Premier Mondiale et la participation dans les actions de la Légion "Condor", la décision de refus a été dénommé "peu éloquents" mais "... peut être sujet à révision dans le futur", en fonction de nouveaux développements. Aussi a Dirlewanger ont lui recommande de refaire son offre de sa candidature pour le recrutement dans la police de l’armée régulière allemande - la Wehrmacht, qui, contrairement aux critères élitistes d'admission Waffen-SS politiques serait plus approprié pour lui.

Parallèlement à cela Dirlewanger à continué activement à remplir une variété de documents aux autorités de l'Etat et au parti, il faisait appels et exigeait un ré-examen de son cas, en obtenant le soutien complet de son vieil ami Gottlob Berger, qui a occupé en ce moment-là, une position hiérarchique élevée chez les SS.

Sa persévérance et avec la communication de Gottlob Berger dans les cercles les plus élevés a rapidement porté ses fruits - le tribunal de Wurtemberg-Hohenzollern, à la fin a décidé de ré-ouvrir l'enquête sur Oscar Dirlewanger. Au printemps 1940 son procès a été révisée et les matériaux de l'enquête de 1934 de la ville de Heilbron, et a lancé un nouveau procès sur cette affaire déjà à Stuttgart. A la fin du mois du mois de mai 1940 Dirlewanger, a finalement remporté l'affaire, ou il a été réhabilité, et l'accusation la plus grave du point de vue du parti et de chez les SS - la maltraitance sur enfants – fut invalidé. À cet égard, le jugement avait immédiatement remis en question la légitimité d'exceptions des faits qui l’on reconnu coupable, et de sa radiation illégale de chez les SA et du parti nazi, ainsi que sa dégradation et de sa privation du titre universitaire.

Depuis lors, les événements ont gagner rapidement de l'ampleur: En vue des preuves, le tribunal de Stuttgart acquitte, et demande que Dirlewanger soit soigneusement rétabli ses positions dans la société et dans le parti, Le Obergruppenführer Berger a envoyé personnellement une seconde lettre pour l'admission dans son "service" de chez les SS, ou il était prêt immédiatement à offrir sa candidature pour le poste vacant de commandant, pour formé à cette époque sous sa propre hiérarchie (Berger) pour la supervision du département spécial de la "rééducation" des braconniers condamnés; et a travers son expérience aux combat et, selon Berger, il est le mieux adapté précisément pour cette unité.

Aha!, maintenant, cela devient clair comme l'eau de roche, sur les raisons, que le poste de commandement fut transmis à Oskar Dirlewanger, et pas à un autre commandant.
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeSam 24 Déc - 18:14

Aha!, maintenant, cela devient clair comme l'eau de roche, sur les raisons, que le poste de commandement fut transmis à Oskar Dirlewanger, et pas à un autre commandant.
Bien, continuons.
Mais ici, nous avons eu juste a présent, des maigres informations, sur la formations.
Oui, bien sûr, l’auteur avait intégré ses recherches historiques sur Dirlewanger, qui était le commandant de l’unité.
Mais , ici cela nous parle pas encore assez.
Ainsi, comme moi, j’aime bien connaître les détails croustillants, qui font que ont arrive au mieux à comprendre l’histoire de l’unité.
Ainsi je me suis mis à la recherche d’un autre auteur, et j’ai trouvé un livre de l’année 2013. Dont les auteurs sont : D.A. Zhukov et I.I. Kovtun. Qui eux ne sont pas à leurs premiers livres sur les unités SS. (Autant les Russes sous les uniformes SS etc…), apparemment depuis 2009 il publient des livres ensembles.

Et ce livre s’intitule en russe «OKHOTNIKI ZA PARTIZANAMI Brigada Dirlevangera » soit traduit (Chasseur de partisan Brigade Dirlewanger).


Citation :

CHAPITRE II FORMATION DU SS Sonderkommando et son application dans le Gouvernement Général (pologne)
Commando braconnier "D’Oranienburg"

La petite ville d’Oranienburg est située au cœur de l’état de Brandebourg, à environ 30 km au nord de Berlin. Depuis les temps anciens dans cette région ont vécus des tribus slaves, et la première colonie allemande dans ce qui est maintenant Oranienburg est arrivé dans le XII siècle et jusqu'au milieu du XVII siècle.

Après qu’Hitler est arrivé au pouvoir, Oranienburg est rapidement devenu la ville des opposants au régime, et ainsi pour prendre une sinistre réputation. 21 mars 1933 sur le terrain de l'ancienne brasserie, situé sur la rue de Berlin, la direction des troupes d'assaut (SA) ont organisé un «camp de détention préventif» (Schutzhaftlager, qui devenu - un camp de concentration des 208 autres des SA), qui ont été dirigés principalement par des communistes et des social -démocrate. Il était typique de la période de «sauvage» (c.-à- dire : pas officiellement sanctionné) le camp: les prisonniers ont été placés ici, sans aucun jugement. Le premier commandant d’Oranienburg était un SA Sturmbannführer, Werner Schafer, le deuxième – SA Sturmbannführer Gernig.

Après les événements de "Nuit des longs couteaux» et la défaite de l'ancien, beaucoup trop radicale, la direction du camp SA a été transféré à la SS. Dans le même temps a eu la liquidation des «camps sauvages" et le 14 juillet 1934 le camp Oranienburg a été fermé. Et pendant cette période à travers ce camps ont passé environ trois mille ennemi du national-socialisme. Dans l'ancien camp ont été logé dans le bâtiment principal, la direction administrative de l '"Ordre Noir", et un peu plus tard, il se trouvait une base pour les gardes de la Waffen SS (SS-Wachtruppen).

Au début de 1935, l'inspecteur des camps de concentration et le commandant des unités des gardes de la Waffen SS était le SS Gruppenfuhrer Theodor Eike, qui faits construire a travers l'administration locale, et met à la disposition des services subordonnés, le palais d’Oranienburg. En Avril, dans les locaux du palais sont arrivées les premières unités SS. En Mars 1936, à Oranienburg a été stationné un bataillon du régiment V "Brandenburg" qui fit parties des SS «Tête de mort». En Juillet de la même année, à 3 km du palais du camp de concentration de prisonniers Esterwegen, Lichtenburg et de celui de Berlin (KZ Columbia-Haus) a commencé la construction celui de Sachsenhausen.

En Décembre 1936, ont été prêtes 18 baraques construit dans le camp en demi-cercle interne. À la fin de l'année d’après, il fut construit 53 baraques, 42 d'entre eux ont été occupés, ou les autres détenus furent logés dans les autres buanderies, cuisine, infirmerie, entrepôts, la direction du camp, sauna et de production. En 1938, le camp est en forme d'un triangle, qui a été entouré par un mur de pierre et entouré de miradors. Sur le côté intérieur, il a abrité la zone d'exclusion, qui fut entouré d’une clôture de barbelés à travers laquelle un courant électrique passa.

Le Camp de Sachsenhausen peut à juste titre être appelé, être le fruit de Theodor Eike. Au 2 août 1938, il a complètement été transféré à partir du commandement de Berlin, près d’Oranienburg, où les états major des camps de concentration sont restés jusqu'en 1945. De 1938 à Sachsenhausen ont été entrepris diverse entreprise dans l'intérêt des SS. Sous Oranienburg avait commencé l’usines de briques de klinker qui fut incluse dans la "société allemande de terres et des carrières» (Deutsche Erd- und Steinwerke; DEST); petits ateliers placés sous le contrôle de la société "entreprise d'équipement allemand» (Deutsche Ausrüstungswerke; DAW). En 1939, le camp de concentration transformé en un complexe industriel impressionnant, qui en 1945, comprend 11 camps affiliés, 126 équipes de travail et les entités externes. Parmi eux on peut citer l'entreprise (Heikel-Werke), (Kommando Speer), (Dreilinden Maschinenbau GmbH), et d'autres.

A Sachsenhausen fut éffectuer la formation des officiers et sous-officiers des unités de formation SS «Tête de mort». En Juillet 1938, il y a été créé la «société éducative» (Erziehungs sturm), composée de deux unités (pelotons). La première unité («éducatif» - Erziehungsabteilung), en règle générale, a obtenu les SS qui ont commis des infractions mineures. Dans la deuxième unité ("pour améliorer le personnel» - Besserungsabteilung), qui ont dirigée les personnes qui ont été expulsées de la SS pour des infractions graves. Ils ont été transférés à la catégorie de prisonniers, mais offre une opportunité pour la réhabilitation et la reconstruction dans les détachements de sécurité. En Septembre 1939, dans la compagnie, il y avait 73 personnes. Ils ont été autorisés à porter le bouton et des os croisés, de sorte que les prisonniers de Sachsenhausen les méprisent comme une petite unité de "bataillon de briseur d’os» («Knochen sturm»).

Dans l'hiver 1938-1939. Le régiment "Brandenburg" (à la fin de l’année 1939. A été rebaptisé en tant que 5e régiment SS "Totenkopf") ou ont servis 2050 soldats et officiers. En Août 1940, le numéro du régiment a été réduit à 1134 hommes (dans les rangs étaient 23 officiers, 294 officiers et 1244 sous-officiers), qui a été associé au transfert de personnes à la division SS "Totenkopf". A cette époque, dans le camp de Sachsenhausen contenait environ 12.000 prisonniers.

22 juin 1940 la direction des troupes SS, a été signée a travers un décret pour le transfert de SS Dr Oskar Dirlewanger. Dirlewanger a été autorise de former des personnes reconnues coupables de braconnage avec des armes, une compagnie spéciale fut créer. Lieu de rassemblement "chasseur noir" ou a été définie le lieu du 5e Régiment des SS "Tête de mort" - dans le camp de concentration de Sachsenhausen, près de Oranienburg.

En Juin 1940, ont été portées à Sachsenhausen reconnu coupable de braconnage armé. Comme vous le savez, tous les originaux "chasseurs noirs" (mais en réalité ici cela n'est que la dénomination russe, puisque ici, la dénomination exact serait les "Gardes noirs" soit Schwarzen Garde) qui ont eut un dossier. Les autorités pénitentiaires et les employés du RSHA eurent précédemment examiné leurs dossiers personnels afin de sélectionner contingent approprié. Le processus de sélection a commencé après le 29 Mars, 1940 ou le Reichsführer SS Heinrich Himmler a envoyé une lettre au ministre de la Justice du Reich Franz Gurtner, dans lequel, entre autres, il a déclaré: «Le Führer a ordonné que tous les braconniers, en particulier originaire de Bavière et de l'état de Brandebourg Est qui n'as pas chassées au moyen de collets, mais avec des fusils et qui a enfreint la loi, été amnistié pour le passage pendant le service de guerre dans la compagnie spéciale des tireurs d'élite SS, pour être corriger, et pourrait être gracié pour bonne conduite ».

La procédure de sélection a été approfondie. Selon les mémoires de l'un des anciens membres de l'équipe "Dirlewanger", il a été convoqué par le directeur de la prison, où l'attendirent déjà quatre autres personnes - deux hommes en civil et deux portants l'uniforme des SS. Le directeur dit: "Vous avez été condamné à deux ans de prison pour braconnage dont vous avez déjà purgé un an. Si vous allez volontairement au service militaire, vous serez en mesure d'être libéré maintenant. Le Führer a émis une ordonnance qu'une personne reconnue coupable de braconnage avec une arme a feu, peut être réhabilitée dans une unité spéciale ".

Puis, selon un vétéran de chez les SS, il a été approché par un homme en civil (de la police criminelle probablement), qui a posé que trois questions: quelles connaissances avez-vous sur le tir? Comment tiriez-vous auparavant? Et comment vous étiez avant la condamnation? Le prisonnier a répondu laconiquement - «oui» ou «non». L'officier était satisfait des réponses. En conséquence, un braconnier a déclaré: «Prenez!" Néanmoins, vous resterez à Oranienburg détenu pendant plusieurs semaines: ou pendant ce temps la vie privée a été étudiée par la police criminelle. Seulement à la fin de Juin 1940, l'auteur a été transféré de la prison.
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeDim 25 Déc - 14:15

Et pour les certains qui se pose la question, sur la dénomination russe "Chasseur Noirs" il faut comprendre, c'était des Chasseurs, et le Noir c'est pour la couleur de leurs uniforme SS.

bien poursuivons.


Citation :

Bien sûr, aucun des braconniers n'était au courant de ce que ont leurs enseignera en tant que affaires militaires, dans le camp de concentration de Sachsenhausen. Des représentants de la police criminelle, qui eux était responsables de la livraison des prisonniers, les eurent accompagnés pour les faires passer aux divers point de contrôle, ou par la suite ils rapportèrent leurs arrivé a la direction du camp, et ou ils eurent remis les documents et leurs ont laissé la garde. Ensuite, les candidats furent emmenés par un officier SS, qui a emporté les criminels dans le bloc 36, bloc d'isolement où furent subordonnés aux hommes de l'unité Dirlewanger.

En Juin 1940, à Sachsenhausen ont été transféré 80 personnes. Tous ont passé une inspection approfondie. À la suite de l'examen médical le médecin SS avait reconnus aptes 55 personnes, et plus tard ils furent inscrits dans le 5e régiment SS «Tête de mort». Les strictes exigences pour la sélection, qui existaient dans les premiers jours, ont été abandonnées par la suite, car il ya eut un problème de pénurie de personnel. La situation s'améliorera rapidement: en Août 1940, dans la compagnie pénal ont servit environ 90 détenus.

Cela fit presque immédiatement l'objet d'une formation spéciale du conflit. Un des braconniers a écrit une lettre à la maison. D'une certaine manière cette lettre arriva entre les mains d'un responsable du parti de la ville de Hettstedt qui, avait pris une position de principe, il était très fortement opposés, que des éléments criminels servirent dans "l'Ordre d'élite," des SS, et encore moins a ce que des criminels indignes ont le droit de porter des armes, et d'être enrôlé dans le service militaire. L'idée d'utiliser des criminels pour la protection du Reich, la version officiel, énumèrent que le ressentiment "dans les milieux politiques et dans la SS», il existe une tendance malsaine à recruter "les rebuts de la société" dans les forces de sécurité a apparemment pris racine.

Les critiques provenaient de la bouche d'un membre du parti vigilant, ou au plus haut sommet SS, a immédiatement réagi. Avant tout ceux qui furent impliqués dans cette histoire, il leurs fut informé que la formation ne fait pas partie de la Waffen SS, que c'était une unité spéciale sous le contrôle "de l'Ordre Noir". En outre, le commandant de l'unité sera détaché des SS, et les braconniers ne seront pas considérés en tant que SS, tant qu'ils ne montreront pas leurs talents sur les champs de bataille.

Le conflit a été éteint, mais le statut juridique de l'unité est resté incertain. Le démarrage avait débuté un peu en avance, nous notons que seulement que avec l'ordonnance du Reichsführer SS daté du 29 Janvier 1942, l'unité Dirlewanger a été considéré comme un bataillon de volontaires SS, identiquement à d'autres formations de volontaire, ainsi que l'organisme qui transfert les hommes est principalement déterminée par la direction des opérations des SS. En fait, le Sonderkommando était subordonnée à Gottlob Berger, en raison que chez les SS il arriva des frictions interministériel à de multiple reprise.

En Juillet 1940, s'acheva et fut équiper l'unité des volontaires, organisé avec le concours direct de l'Administration centrale des SS. La formation spéciale reçu le nom de braconniers "Oranienburg". Dans ses rangs ont été recueillis, des personnes provenant des terres du sud, et qui ont été condamné par le Reich Ostmark (Autriche),de la région des Sudètes et de la Prusse orientale. Et bien sûr tous les bénéfices allèrent à son commandant - Oscar Dirlewanger.

Un vétéran de la SS, dont ses paroles nous les avions déjà cité auparavant, se rappelle: «c'était le matin. Nous sommes, comme d'habitude, alignés, puis il arrivé accompagné de plusieurs hommes de la SS. Je pense qu'il avait le rang de Hauptsturmführer [ce titre fut décerné à Dirlewanger le 1 août 1940 – (note de l'auteur). Il était d'une figure extrêmement mince et grand, le visage ridé. Probablement, sa croissance taille était presque de 1,90 mètres et dans un dialecte souabe, qui n'in tonnais pas si fortement, il nous a fait son discours:... "Vous tous les braconniers Le Führer a décidé que vous pouvez vous justifier, Si vous passez le test, alors a vous les gars vous serez tous pardonné! Si non, alors vous repartirez droit à l'endroit d'où vous êtes venu".

La direction de l'unité Sturm (Compagnie) et du Trupp (peloton) et ainsi que des Schar (section), en compagnie des braconniers ont été mis des sous-officiers, provenant du 5e régiment SS «Tête de mort», qui ont sérieusement secoué les condamnés pour les convaincre. Le cours est en grande partie basé sur le système de formation adoptée dans certaines unités des gardes SS, et la formation est calculée sur l'entrainement d'un soldat recru, les combattants professionnels ont été idéologiquement motivés, prêts à suivre aveuglément les ordres de leurs supérieurs pour combattre impitoyablement les ennemis du national-socialisme. Dans le cadre de l'étude de la discipline militaire beaucoup d'attention ont été accordée à la formation au feu du combat. Pour tester la capacité des recrues au feu a été réalisée des tirs à balle réel, permettant aux enseignants d'identifier les forces et les faiblesses des élèves. Chaque point de pénalité, fut donné suivant des instructions détaillées comment tiré avec un fusil Mauser 98k. Les activités comprenaient ces choses importantes comment la réarmer des armes bloquées et ainsi leur réparation sur le terrain et dans les conditions de combat.

He ben, la je suis aux anges, la raison, n'étant pas que je suis un sanguinaire, mais ici ce livre, raconte l'entrainement de l'unité, et aussi comme ont peut encore lire la suite, il dévoile même, la vie avec les détenue, ou des sanctions qui furent donné, a ceux qui ont tenté de s'échappé.

Citation :

Les instructeurs SS, ont également enseigné les tactiques militaires en générales. Le personnel de l'équipe a enseignées, en agissant dans le commandement du peloton et de la compagnie, en enseignant telle, les combats à mains nues et ceux à la baïonnette. Bien sûr, les sorties avec de la pratique sur le terrain, les marches forcées avec l’équipement complet et sans. À la base, tout ce processus ressemblait à un entraînement militaire standard. Mais il y avait aussi leurs différences. Beaucoup moins de temps a été consacré aux études des techniques de combattants. Les braconniers ont été engagés dans la formation de combat et ont chanté des chansons de marche, pendant le soir avant d'aller dîner à la cabane alloué pour les repas. Et les gardes du SS bataillon, ont surveillé que le travail dans le camp de concentration a été effectué.

Avec les prisonniers détenus à Sachsenhausen, ce de la classe politique, et avec la participation du personnelle de "Dirlewanger", leurs connaissances et leurs compétences étaient suffisante, pour faire des conférences à leurs subordonnés, qui contenaient pleins de d'esprit du national-socialiste. Et il ne fait aucun doute, que cela entraîna un impact énorme sur le commandant et à état major de l'unité. Et en temps que officier avec une expérience de combat impressionnante, il a évitée, en restant bien conscient, que les missions de combat succès qu'il devra effectuer, il devra rallier son personnel à mener à bien la formation de la coordination de combat. Il ordonna à ses soldats de ne pas utiliser seulement des casiers pour les objets personnels, mais aussi de les garder ouvertes à tous. Toutefois, cette pratique n'a pas été tout à fait unique. Contrairement à la Wehrmacht, chez la Waffen SS, le cassier contenant les effets personnel n'était jamais verrouillé. Dans l'une des brochures de SS c'est expliqué comme suit: "Dans les Baraquement, il n'y a pas de verrou (les honnêtes gens d'une manière différente le font aussi), et il n'y a pas de barrières artificielles à la promotion de rang pour accédé à la hiérarchie, parce que les hommes ont un front idéologiquement commun, et un sens naturel de la discipline et de l'autorité ".

Les condamnés étaient généralement satisfaits qu'ils furent sortis de la prison, et certains ont même demandé à l'armée de partager, la joie de la victoire sur la France. Dans le même temps, sur l'endroit même où ils ont reçu leurs connaissances militaires, ils non pas pu lui accorder d'une manière positive. Pour la moindre violation elle fut suivie par sa sanction. Les braconniers ne devait pas justement voir les prisonniers de Sachsenhausen, y compris ceux qui ce sont fait reprendre après avoir échappé. Les fugitifs, marginaux, eurent dénommé le camp "des grands piétineurs" contraint à devoir passer des jours enfermés et de recevoir des coups de chaussures militaires. Les prisonniers eux ils marchèrent sur une route spéciale de gravier et de pierres pointues, tenant sur leurs épaules, des sacs de sable rempli et pesant jusqu'à 25 kg. Bien sûr, en se regardant en temps que pénale, ils devaient clairement essayer de suivre les ordres et de ne pas violer la discipline.

Au mois d'Août 1940, pour renforcer la compagnie, l'état major de "Dirlewanger", a expérimenté en demandant d'inclure dans la compagnie quelques officiers subalternes. Cette demande a été accordée: par l'ordre du chef d'état-major du commandement des SS (plus tard – par la Direction des opérations principal des troupes de sécurité (S.D. de Heydrich), le bataillon de réserve SS "Deutschland" a alloué quatre SS unterführer, qui sont arrivé dans la compagnie spéciale à la date du 4 Septembre 1940, et bientôt il fut ordonné à la compagnie "Dirlewanger" de quitter Sachsenhausen. Ou les commandants subalternes instructeurs, qui ont été isolés du 5e régiment SS «Tête de mort», ont dû retourner à leurs ancien régiment, et les braconniers ont suivi leurs transfert vers leurs nouveaux lieux de déploiement permanent.

A la date du 1er septembre 1940, l'unité pénale a été rebaptisé " SS-Sonderbataillon Dirlewanger " (bataillon SS spécial "Dirlewanger). La compagnie des Braconniers, où eurent servi plus de 100 personnes, a été ordonné d'aller rejoindre le Gouvernement général sous l'autorité du chef des SS et de la police du district, de «Lublin" SS Brigadeführer Odilo Globocnik.


Ah oui!, avant que j'oublie.
les auteurs pour leurs livre, ont utilisé plus de 700 références "soit d'ancien livres, ou lié aux documents des archives), et ici ils ont utilisé plus de la moitié, avec des références sur les occidentaux, les autres, proviennent principalement, des archives des ministères Russes-Polonais et Tchèques. Etc...
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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeDim 25 Déc - 16:17

Bien continuons, avec ce que je n'avait pas encore traduit.

Citation :
En Pologne occupée
Sur le territoire de la République de la Pologne occupés, ou a été envoyé le Sonder bataillon Dirlewanger, Du temps présent la direction SS a montrer un intérêt accru. Himmler, qui est devenu a la date du 7 Octobre, 1939 le commissaire du Reich pour le renforcement de la nation allemande, a vu la tâche principale de l'Ostpolitik (politique de l'Est) avec le démembrement de l'ancienne Pologne, un nombre accru de possibilité de domaines individuels, la sélection des personnes aptes a la race, et en éliminant les individus indésirables. la mise en œuvre d'un programme solide et cohérent, le chef des SS croyait, pouvoir permettre aux Allemands pendant 10 ans de déplacer la population locale [135].
À l'automne 1939, Himmler ordonna au professeur titulaire et directeur de l'Institut d'Agronomie et de l'Université Politique agricole de Berlin Konrad Meyer de préparer un document sur la relocalisation et le développement de la population allemande des régions de l'Ouest de la Pologne occupée. Un travail similaire a été réalisé par le contrôle de la politique des races du NSDAP. A sa tête, le professeur Walter Gross en Novembre 1940 a envoyé un document secret aux SS, consacré à la façon de traiter avec la population indigène du Gouvernement général. Ainsi Gross a écrit: "Pour le traitement des personnes non ressortissants allemands à l'Est, nous devons poursuivre une politique qui consiste dans le fait que, autant que possible les voir en tant que des peuples distincts» [136].
Pour la mise en œuvre de ces critères pour les projets raciale, a répondu directement, en particulier, Odilo Globocnik qui a été nommé le 9 Novembre 1939, en tant que chef des SS et de la police (SSPHF= SS Polizei Hoch Führer)dans le district de Lublin.
Il faut dire que Globocnik ne détenait pas le type pathologique qui était recommandé. Le chercheur américain Roger Manvell la décrit comme "un alcoolique, ou même Himmler, a finalement été contraint de le réaffecter du bureau des affaires criminelles» [137]. Né en 1904 a partir d'une famille slovène (ses parents détenaient des noms slaves) Globocnik a été élevé dès son enfance dans le spirituel allemand (Le père d'Odilo était un haut fonctionnaire de la poste avec une loyauté à l'Empire austro-hongrois). L'historien P. Black note que "Globocnik pourrait au moins partiellement se qualifier pour détenir des origines allemande, puisque ses deux grands-mères portaient des noms allemands". Dans tous les cas, tout au long de sa carrière nazie, il a été contraint de «prouver à lui-même et aux autres de sa loyauté à la cause» [138].
Globocnik a rejoint les troupes d'assaut du parti nazi (SA)déjà en 1920 (dans les rangs du NSDAP lui-même - en 1922, et dans la SS - en 1932). Après l'interdiction du mouvement dans l'Autriche nazie (en Juin 1933) et jusqu'à ce que le Anschluss (Mars 1938), lui et ses associés ont agi dans l'ombre. En Août 1935, Globocnik a été condamné à un an de prison pour l'assassina d'un bijoutier juif [139]. Il s'est imposé comme un champion fanatique et l'un des leaders les plus actifs loyal aux nazis autrichiens, au mois de mai 1938 Globocnik a été nommé gauleiter de Vienne. Cependant, au cours des six prochains mois, il pratique l'antagonisme sur presque tous ses anciens alliés. Radicalité excessive, d'une arrogance extrême, l'incompétence et diverses machinations financières sur la propriété juive (surtout après les événements de la "Kristallnacht" (nuit de cristal) en Novembre 1938) l'ont conduit que a la date du 30 Janvier 1939, il a perdu son emploi. Pour sa nomination dans le district de Lublin qui la rendu heureux et a encouragé Globocnik. Il a immédiatement envoyé un télégramme de remerciement à Himmler, assurant le Reichsführer que la direction et le personnel des SS et de la police de Lublin" mettront tout en place pour vous aider autant que possible". [140]
En premier Globocnik s'engagea dans la construction de structures défensives, appelée ligne "Otto", qui est en cours de construction le long de la nouvelle frontière avec l'Union soviétique. Globocnik a été attirés par ces œuvres et les juifs. Ainsi, dans le rapport de «Lublin» le gouverneur du district (du 6 Novembre, 1940) a déclaré: «Au cours du mois de référence, le nombre de Juifs nécessaires pour le travail forcé, nous avons donc dû les prendre d'autres régions. Du camp juif de Belzec 4431 Juifs ont été envoyés au travail forcé, en particulier pour la construction de routes et de la construction dans le cadre du programme «Otto» [141].

Jusqu'au point du district de "Lublin" ont pouvait voir dans les échelons supérieurs du Troisième Reich, en tant que une région, dans laquelle une réserve juive avait été créée. Selon le plan original, il était censé de placer les juifs dans le village de Nisko près de Lublin. En hiver 1939-1940. ici ont déjà été envoyé une partie des Juifs provenant du Protectorat de Bohême et de Moravie, dans les régions occidentales du Gouvernement général, et de l'Allemagne elle-même [142].
Mais ce plan rapidement détenait de nombreux obstacles administratifs. Enfin le 12 mars 1941 Hitler lui-même a déclaré que «la création d'un Etat juif à Lublin et la région environnante ne résoudront jamais le problème» [143].
La population juive d'abord attiré par le travail, mais la mesure était temporaire. Himmler a ordonné de procéder à l'élimination des Juifs, ou, en 1941, dans le plus grand secret, commença la construction de camps d'extermination où plusieurs millions de personnes ont été assassinées. Globocnik avait activement aidé à résoudre la «question juive». Conformément à ses ordres, il avait été lié à «Opération Reinhard» (pas la peine de rechercher je suppose que c'est en relation avec Heydrich), la déportation des Juifs a été réalisée en provenance de Belzec, Sobibor et Treblinka [144].
Toutefois, l'élimination des représentants du «peuple élu» par la méthode industrielle devait avoir lieu en parallèle avec la mise en œuvre d'autres tâches. Lorsque, dans le Sud du district de Lublin de traces d'anciennes colonies germaniques ont été découvertes, Globocnik a introduit l'idée de la renaissance des terres locales de l'esprit allemand, ou il a proposé d'organiser dans les villes de Zamosc, Tomaszów et Hrubishuv des colonies sous le contrôle des forces de sécurité. Himmler a appuyé l'idée de nommer le chef du district de Lublin, mais a autorisé la mise en place des points de référence SS et de la police dans les nouveaux Etats de l'Est [145].
Globocnik a également suggéré que la ville de Lublin et le comté de Zamosc formeront une ceinture autour des colonies allemandes. Compact situé dans des endroits stratégiques, ces bases SS avait de faire équipe avec des points forts dans les pays baltes et en Transylvanie (Siebenbürgen en Allemand). Et a partir de ce cercle résultant, prévoir d'expulser la population locale, et de les remplacer ici par des colons paysans allemands (environ 50 milles. personnes dans la première phase du programme). Dans le même temps les points forts devaient devenir les barrières pour contrer la «menace de l'Est" pour servir " un mur indestructible sécurisant le Reich de l'influence des races inférieures» [146]. Tout cela est tout à fait conforme à l'opinion d'Himmler, qui a dit: «Notre tâche et de germaniser l'Orient, mais pas dans le sens de la vieille idée d'infuser la langue allemande et les lois dans ces domaines, mais dans le sens que ici devront vivre uniquement des Allemands pour que le sang teuton continuera à couler dans les veines»[147].
L'organisation du gouvernement générale a effectivement reçu le pouvoir presque absolu. Le régime établi dans les régions Polonaises était assez stricte. Les dirigeants locaux des SS et de la police ont eu recours à des mesures les plus radicales pour atteindre leurs objectifs. Selon leurs indications de l'ordre transmit à la police et aux troupes SS. De ne faire aucune exception dans ce sens le bataillon Dirlewanger.

Et je trouve que ici, ont obtient une meilleur vue, sur la politique et les ordres qui provenait du haut commandement, ainsi aucun militaire ou une unité, ne pouvait aller contre.

Alors moi, je me trouve à chaque fois aux anges, quand j'arrive à trouver un livre, qui parle en plus des ordres et autres, qui ne sont pas énumérer dans les autres sujets faisant références à une unité.
Mais tout les militaires, n'avait pas le choix, ils ont eut leurs ordres, et ils ont du le suivre.

Ont est bien d'accord, parfois les ordres émanent des politiciens, son vraiment con!!!!
juste parce que que eux, dans leurs visions ou celle d'un partie politique,cela serait bien...

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MessageSujet: Re: Les unités pénales des Allemands   Les unités pénales des Allemands Icon_minitimeLun 16 Mar - 20:26

Bien cela n'a jamais été énumérer, la mort de Dirlenwanger!
Ici j'ai retrouver un paragraphe, énnumérant, que Oskar Dirlenwanger, est mort le 7 Juin 1945, battu à mort par ses gardes Polonais.

Tu m'étonne, est en plus, dans l'unité d'Oskar Dirlenwanger, uniquement 36 hommes ont été les derniers de l'unités en 1945 a avoir survécus.
D'autre ont réussis à déserter et d'autre sont mort.

Et Kathyn en Bielorussie, c'était l'unité de Oskar Dirlenwanger, qui avait fait rentrer 149 civiles dans une grange en Mars 1943, et en représailles, de l'attentat des partisans, qui avait attaqué le convoi ou le capitaine de police Hans Wölke, le champion du lancer du poids aux Jeux olympiques de 1936 et le favori d'Adolf Hitler, a été tué. La grange a été entièrement recouverte de paille, et l'unité la incendier.

Ainsi, je suis sur aussi, que tout les 36 autres membre de l'unités, du moins un grand nombre d'entre eux, ont du avoir le châtiment identique, que Dirlenwanger à eu.

Et il as été encore spécifier, que comme l'unités était une unité spécial pénale, que pour retrouver les journaux de l'unités, c'est quasi impossible, et que il y'a eu beaucoup trop de nouveau arrivant et de mort, ainsi que d'ancien de l'unité Dirlenwanger ont aussi été rapatrier dans leurs ancienne unités.
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