Divers insolite

Statue du Général William O. Darby, originaire de Fort Smith, sur une motocyclette Harley-Davidson a Cisterna Plaza au centre-ville de Fort Smith

C'est une belle statue et originale dans son genre.

Superbe!
La légende du clocher qui émerge du lac de Resia

Situé dans le Tyrol italien, à proximité de l'Autriche et du canton suisse des Grisons, le lac de Resia se distingue par son clocher qui émerge des flots.
Quelle histoire se cache derrière ce décor insolite ? Que s'est-il passé, un cataclysme ? Explications.





Suite à la construction d'un grand barrage hydraulique en juillet 1950, c'est tout un village qui a été englouti :
seul le clocher roman émerge des flots, ce qui donne un décor insolite, notamment en hiver quand le lac est gelé et accessible à pied en marchant sur les eaux glacées !





Il ne reste plus rien de l'ancien village de Graun (également appelé Curon) dans la région de Trentin-Haut Adige :
170 maisons, 120 exploitations agricoles, 523 hectares de vergers, écoles, granges, tout a été englouti sous les 120 millions de m3 d'eau du lac de Resia,
qui mesure 6 km de long pour seulement 1 de large.
Désespérés par la perte de leurs maisons, de leur histoire et de leurs vergers, les habitants du village avaient sollicité en vain l'aide au Pape Pie XII.


Le village de Graun

1900




1949.Montee des eaux

1950 destruction des derniers batiments




1960




Les plans d’un lac artificiel plus petit (5 m de profondeur) datent de 1920.
En juillet 1939, la compagnie Montecatini (aujourd’hui Edison Energia)a présenté un nouveau plan pour un lac de 22 m de profondeur, qui unifierait deux lacs naturels
(Reschensee et Mittersee) et submergerait plusieurs villages, y compris Graun et une partie de Reschen.
La création du barrage a commencé en avril 1940 conformément à ce deuxième plan, mais, en raison de la guerre et de la résistance locale, n’a pris fin qu’en juillet 1950.
Si la structure de la tour date de 1357, l'église qui lui était accolée en revanche fut construite en 1832-1838.

Difference de niveau entre certains ete/hiver

C'est un peu dommage même si on comprend le progrès.

Reparation et renovation en 2009
On remarque l ensablement de la zone





2019,controle et entretien du barrage
Affaissement des berges

Lac à niveau variable.
Marrant, ou peu encore monter dans le clocher...

Massacre!

San Romà de Sau est un village roman vieux de 1000 ans, aujourd’hui submergé sous l eau suite a la construction d un barrage dans les annees 1960,
dans la municipalité de Vilanova de Sau, catalogne, Espagne.

À partir du Xe siècle, la vallée de Sau se caractérise par une colonie dispersée, avec cinq centres de population autour des paroisses de Santa Maria, Sant Romà,
Sant Pere de Castanyadell, Sant Andreu de Bancells et Sant Martí de Querós, et un bon nombre de fermes dispersées sur tout le territoire.
Le noyau le plus important de la population s’est formé autour de l’église de Sant Romà de Sau, qui au milieu du XXe siècle avait près de trois cents habitants.
Ceux-ci vivaient essentiellement de l’agriculture (cultures de blé et d’orge), du bétail (moutons, chèvres et vaches) et de la foresterie (bois et charbon de bois).
La construction du réservoir a conduit à l’expropriation des domaines et à la disparition du village sous l’eau.


1950







Le barrage de Sau a été inauguré en 1963.
Le premier projet date de la Deuxième République (1931), mais les travaux n’ont commencé qu’au début des années 1940 et ont duré plus de vingt ans.
Au cours de cette période, la population de Sant Romà a triplé, puisque la construction du barrage a également signifié l’arrivée de nouveaux habitants,
la plupart d’entre eux du sud de l’Espagne et qui étaient situés dans le nouveau village. Le nouveau Sant Romà, situé au-dessus du barrage, avait une colonie de maisons
pour les travailleurs, chalets pour les ingénieurs, cimetière, église, école et une caserne de la Garde civile.

Le réservoir de Sau a été construit pour réguler les avenues de la rivière Ter et stocker son eau. Le but de ces travaux était double :
l’approvisionnement en eau potable et la production d’hydroélectricité.
En 1958, la dérivation de 8m3/sec de la rivière Ter a été approuvée en raison de l’approvisionnement de Barcelone et de sa zone d’influence.
Les travaux de conduction de l’eau vers la région métropolitaine ont commencé en 1960 et ont duré trois ans.
L’hydroélectricité, quant à elle, a commencé à être produite à l’automne 1963. L’usine dispose de deux turbines Francis à axe vertical de 39 000 ch chacune.





Enfin, le 13 août 1963, le réservoir a commencé à être rempli. Le paysage et la vie des voisins de Sau avaient définitivement changé.
La municipalité compte actuellement 330 habitants, vilanova de Sau étant son noyau principal.

Les exploitations hydrauliques impliquent des modifications notables de l’aspect géographique, et le cas du Ter en est un bon exemple.
La construction du réservoir de Sau (1942-1966), mais aussi du Pasteral (1962) et de Susqueda (1968), a représenté la transformation la plus importante de ce paysage.
Sur le plan environnemental, les conséquences ont été multiples, les écluses étant des barrières majeures qui empêchent les migrations de poissons
et de graves problèmes de pollution, en particulier dans les années 1980.









En 1989, il y a eu une mortalité massive de poissons, mais à partir de ce moment, coïncidant avec l’inauguration de la usine de traitement de Vic (1991),
la récupération de la qualité du réservoir a été considérable.
Ce fait a facilité une plus grande présence de certains oiseaux piscivores, comme le martin-pêcheur et le cormoran, et même la prolifération d’une espèce d’éponge d’eau douce.
Quand il s’agit de poissons, le poisson, la bêtise et surtout la carpe prédominent. Au total, 15 espèces différentes, dont 11 ont été introduites.






La création du réservoir de Sau ne signifie pas seulement la transformation du paysage de la vallée. Elle a également entraîné un changement dans les activités économiques.
Le réservoir est devenu une attraction touristique qui attire chaque année des milliers de visiteurs dans la vallée, qui profitent également de l’occasion
pour profiter des valeurs naturelles de l’Espace Naturel des Guilleries-Savassona.
Ainsi, là où la terre avait été cultivée, aujourd’hui, des activités nautiques telles que la voile, l’aviron ou le ski sont pratiquées.
De temps en temps, en 1979, pour la première fois, la vieille ville de Sant Romà a émergé parmi les eaux pour voir comment les activités économiques traditionnelles
ont cédé la place à de nouvelles.


La variation du niveau d eau du barrage est tres impressionante
A la saison seche,l eglise est interdite d acces par une rangee de barbeles.














source
folgueroles.com

Il y a des villages entiers disparus en Chine pour les mêmes raisons.
Dommage ce sont (ou c'était) des paysages fantastiques.

Sdkfz 251 de prise modifie Calliop

Ce montage semble bien laborieux...

Motards

Je reconnais ces photos elles sont sur l'énorme lien que j'ai mis.

Ben pour la dernière, le gars aime les choses compliquées.
Il n'a qu'à prendre la bâche arrimée à l'arrière, la pose à terre et fait sa sieste dessus, sans risque de se casser la g..... !...

carbone14 a écrit:

Je reconnais ces photos elles sont sur l'énorme lien que j'ai mis.  

Oui c est ca.
J ai decide d en mettre quelques unes originales moins connues mais pas in-interressantes

M3 Half-track capture par les allemands puis recapture par les americains...

naga a écrit:

carbone14 a écrit:

Je reconnais ces photos elles sont sur l'énorme lien que j'ai mis.  

Oui c est ca.
J ai decide d en mettre quelques unes originales moins connues mais pas in-interressantes

C'est tout à ton honneur, j'ai mis ce lien pour qu'il soit vu et exploité.

Connue cette photo de h.track U.S. qui change de main...

Extra chargement

Dans un tout autre style de "divers insolite" voici une construction toute en cure dents !
C'est fait par un slovaque de Kosice mais j'en sais pas plus.
Remarquable travail de patience tout de même.

Ca me fait penser au film "le dinner de cons"

Oui c'est un peu ça.

Les gourdes allemandes accrochées à la moto, mais sans la gamelle qui y est normalement jointe.
Le gros h.track allemand, déjà vu, on est lors de la retraite vers la Tunisie après El-Alamein...

Essai Sdkfz 251