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Paraît que c'est une catastrophe l'état des infrastructures routières en Italie.
A quand le ferroutage à grande échelle en Europe ? ...

Plage du Maryland USA -Mai 2020




Plage sud de la France - Mai 2020

On verra à terme la différence, au niveau des "pertes"...

Un village italien construit en Toscane à l’époque médiévale et recouvert depuis par les eaux du lac artificiel de Vagli va refaire surface l’année prochaine
pour la plus grande joie des touristes.
Le lac artificiel de Vagli, qui recouvre le «village fantôme» de Fabbriche di Careggine, pourrait être vidé en 2021, selon Lorenza Giorgi, fille de l’ancien maire de la municipalité
de Vagli Sotto.
Elle a ajouté qu'il avait été vidé pour la dernière fois en 1994, lorsque son père était encore maire et que grâce à l’engagement de ce dernier le village émergé
avait accueilli plus d'un million de visiteurs.

1994







L’information de Lorenza Giorgi a été confirmée par le propriétaire du barrage, la compagnie Enel, qui lie le vidage du lac à la possibilité de promouvoir
le tourisme dans la région.

Un village de forgerons

Fabbriche di Careggine a été fondé par un groupe de forgerons au 13ème siècle et est devenu célèbre pour sa production de fer extrait de Monte Tambura,
dans les Alpes apuanes.





Entre 1947 et 1953, après l'achèvement de la construction d'un barrage de 92 mètres de haut, la zone a été évacuée et submergée.
Depuis, le barrage, propriété de la société italienne d’électricité Enel, a été mis hors service à quatre reprises pour des travaux d'entretien,
à des intervalles de 10 ans. Fabbriche di Careggine refaisait alors surface pour quelques mois. Le lac a été vidé pour la dernière fois en 1994, il a 26 ans.









source
fr.sputniknews.com

Etonnant village fantôme.
Sûr que ça vaut le déplacement...

Blonde qui a couché avec des Blancs-    
Solidaire de l’immense souffrance noire.

Pas bien compris...

Incroyable!
Ou est le racisme la dedans ?

https://www.youtube.com/watch?time_continue=39&v=aceuHUYyNcI&feature=emb_logo

On est parti dans le délire, et pour un certain temps !...
Encore heureux qu'il n'y a plus chez nous la tête du tirailleur Sénégalais sur les paquets de Banania.

Le drapeau confédéré, c'est pas uniquement le symbole de l'esclavagisme...
Il fait certes partie d'une des pages les plus difficiles l'histoire des U.S.A., mais de là à l'interdire ou déboulonner les statues des Lee, Stuart, Pickett..., faut pas exagérer.

Innondations en Chine

Fondations peu solides...

Incendie à la cathédrale de Nantes : ce que l’on sait
L’homme de 39 ans était chargé de fermer la cathédrale vendredi soir. Il a finalement été relâché, sans poursuite à son encontre.





Selon nos informations, il s'agit d'un réfugié rwandais, arrivé en France il y a plusieurs années. Il ferait l'objet depuis plusieurs mois d'une obligation
de quitter le territoire français (OQTF), principale mesure d'éloignement concernant les ressortissants étrangers.
Ce réfugié « a fait quelques démarches pour avoir ses papiers comme des centaines d'autres », rembobine le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois,
qui le connaît « depuis quatre ou cinq ans ». « J'ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs », insiste-t-il.
Un membre de la communauté catholique de Nantes décrit également le Rwandais comme « un homme très pieux et très impliqué dans la paroisse ».
Il assurerait des tâches très variées, qui vont de « l'aide à servir la messe au coup de balai en passant par la préparation des fleurs pour une célébration », précise la même source.

Trois départs de feu avaient été constatés dans l'édifice, l'un au niveau de l'orgue, entièrement détruit dans l'incendie, et deux, de part et d'autre de la nef.
Le parquet avait toutefois fait savoir qu'il n'y avait pas de trace d'effraction. Les policiers de la PJ de Nantes explorent en parallèle la piste criminelle et la piste accidentelle.

Selon nos informations, un compteur électrique serait lié à l'un des trois départs de feu.
Par ailleurs, les enquêteurs vont examiner l'hypothèse d'un court-circuit commun à toutes les installations électriques de la cathédrale, scénario potentiel
qui s'est déjà vu dans des incendies.



source
leparisien.fr


Sinon,quid du nombre d edifices religieux catholiques dont les feux accidentels sont decidement tres frequent

De toute façon, si c'était volontaire, pour tout ou partie de ces incendies, on ne le dirait qu'à 1/2 mot:
Pas de discrimination ou stigmatisation sur telle ou telle communauté, religion (!), éviter l'effet contagion, priorité au vivre ensemble etc...

Momo et Youyou, vont sûrement pas le payer très cher...

   


A l'endroit où se situait le hangar qui contenait 2700 tonnes de nitrate d'ammonium, un immense cratère.
Mardi 4 août 2020, deux explosions au port de Beyrouth ont ravagé la ville.
Dans tous les foyers, les vitres ont été soufflées et la capitale du Liban compte aujourd’hui 300 000 personnes sans domicile.
On dénombre pour le moment 137 morts et des milliers de blessés.










Capturées par les satellites Pléiades et SkySat des sociétés Airbus Defence and space Space et Planet Labs, les images du port de Beyrouth révèlent l'étendue des dégâts.
Ce qui était, jusqu'aux deux explosions du mardi 4 août 2020, le plus grand port du Liban, n'est plus qu'un champ de ruines.




Avant/apres




L’explosion, qui s’est produite le mercredi 4 août vers 18 heures (heure locale), semble avoir été alimentée par 2 750 tonnes de nitrate d’ammonium,
un produit chimique hautement réactif.
Il s’agissait de la cargaison d’un navire, le MV Rhosus, entré dans le port de Beyrouth en 2013 en raison d’un manque de navigabilité ;
ce navire avait alors été interdit de navigation. Peu après, le propriétaire avait abandonné le navire et le nitrate d’ammonium s’est retrouvé stocké dans un entrepôt du port.
Si la catastrophe en elle-même est exceptionnelle, les événements qui l’ont précédée ne le sont malheureusement pas.
Des matières dangereuses sont en effet transportées quotidiennement à travers les océans du monde entier. Elles sont souvent mal gérées et commercialisées illégalement.
Des conteneurs de marchandises dangereuses abandonnés sont régulièrement trouvés dans les ports.

Alors que les services de sécurité maritime tendent à se concentrer sur la prévention d’événements très médiatisés – tels que la piraterie, le terrorisme ou les cyberattaques –,
c’est trop souvent la mauvaise gestion au quotidien qui rend les catastrophes possibles.
Or, la prévention efficace d’événements, comme celui qui vient d’endeuiller Beyrouth, nécessite le renforcement de la gestion des ports et la lutte contre les délits,
de contrebande et de corruption tout particulièrement.

Depuis 2017, l’Organisation maritime internationale (OMI) a enregistré 97 cas de navires et d’équipages abandonnés.
De tels abandons se produisent généralement en raison d’entretien devenu trop coûteux, d’arrestation du navire par les autorités ou encore d’amendes.
De même, la situation des marins à bord de ces navires se révèle souvent tragique : ils ne reçoivent souvent qu’une faible rémunération et peuvent même manquer de nourriture
des mois durant ; quant à ce qu’il advient du chargement des navires, c’est plus que confus.
À noter que ces chiffres concernent seulement des navires ; nous n’avons à ce jour pas de données exactes sur le nombre de conteneurs abandonnés
dans les ports du monde entier…
Un rapport de l’ONU de 2015 laisse à penser que ces chiffres pourraient être très importants.
Les conteneurs sont souvent abandonnés dans les ports, parfois même à dessein, en raison d’activités criminelles (contrebande de déchets, corruption).
Malgré des efforts pour lutter contre ce phénomène, il s’agit d’une situation très répandue et difficile à combattre.


source
usinenouvelle.com

J'm'en foutisme, corruption, incompétence, j'en passe...

Cantine Ecole Thailande




L un des plus grand aeroport du monde vide depuis 5 mois -Suvanaphum Bangkok

Il y a une curieuse ambiance à Roissy également...

Sur le Critérium du Dauphiné, un violent orage de grêle sème le chaos

”À un moment, l’accumulation de grêle a créé une inondation et Tony Martin a dû trouver un nouvel abri...
Notre propre coureur Guy Niv a dit: ’ça m’a fait tellement mal... Je n’avais jamais vécu quelque chose comme ça. Je voulais juste passer la ligne d’arrivée
et filer dans le bus... Fou!”
Les coureurs qui n’ont pas pu s’abriter ont payé le prix cher. Le Belge Tim Declercq, de la Deceunink-Quickstep, a partagé sur Instagram une image impressionnante
de son dos recouvert de rougeurs provoquées par les impacts de grêle.
“Comme si le Dauphiné n’était pas assez douloureux pour les jambes”, a-t-il écrit en commentaire.
Il a plus tard posté une autre photo montrant que les rougeurs s’étaient atténuées.





source
fr.yahoo.com/news

Aie !!...

Superbe phenomene a Tampa en Floride

Mieux vaut éviter d'être à proximité...