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| La regia Marina et ses missions | |
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Auteur | Message |
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leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: La regia Marina et ses missions Dim 26 Jan - 18:12 | |
| Non vania, ici c'était juste le camp d'entrainement, les plans, c'est l'état major de la marine, qui les concoctes, avec leurs têtes pensif. Et pour l'histoire de ce Centurioni, qui as du démissionné en raison de ses fiançailles avec la duchesse Salviati.
Ben cette presqu'île, elle appartenait jusqu'à 1936, au Duc Salviati, Et les Savlviati, sont des descendants directes des Banquiers florentin Salviati, et de la famille des Médecis, donc ses origines sont hautement soigné. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: La regia Marina et ses missions Dim 26 Jan - 19:57 | |
| Bon, poursuivons encore un peut avec l'histoire sur Borghese! - Citation :
- Formé pour la guerre de l'Atlantique, Valerio Borghese s'attend à être nommé pour commander l'un des plus récents sous-marins océaniques déployés sur la nouvelle base navale italienne à Bordeaux. Mais ses espoirs se sont vite dématérialisés. Il est convoqué par l'amiral De Courten.
«Borghese», lui dit l'amiral, «vous avez participé aux premiers tests de nos torpilles guidées.» Je vous nomme donc commandant de l'un des deux sous-marins destinés à les transporter jusqu'à la cible.
Mais, »proteste le jeune officier,« je viens d'être formé pour mener une guerre sous-marine dans l'Atlantique. »
Peu importe, "l'interrompt brusquement De Courten," tu seras plus utile en Méditerranée. "
Ceci met fin à la conversation.
Borghese quitte le bureau mécontent. Quelle absurdité! Suivez un cours de formation à la guerre dans l'océan puis nagez en Méditerranée! Mais finalement, c'est un soldat et il doit obéir aux ordres. Dans le couloir, il rencontre son ami Elios Toschi.
Êtes-vous satisfait du nouveau rendez-vous? Lui demande Toschi.
Heureux, content », grommelle Borghese,« il y a de quoi être content. » Ils sont allés à proximité. Le désir est silencieux. Toschi n'ose pas dire à un ami que c'est son idée qui est à la base de la décision de la supermarina "Si Borghese est avec nous", il ne se lasse pas de répéter partout ", alors nous aurons toutes les chances de réussir". Valerio Borghese découvre la vérité beaucoup plus tard. Et à ce moment-là, il a été envoyé à La Spezia pour prendre le commandement du "Scire", qui avait subi une rénovation et était prêt pour les mission de combat. C'était un petit sous-marin d'un déplacement de 620 tonnes, le plus moderne des forces sous-marines italiennes. Ce type de bateau a été testé avec succès dans les batailles et était bien connu de Borghese, il a déjà commandé le même type de bateau «Iride».
Brunetti, qui a insisté, après le premier revers, pour être repris dans une opération, espère commander le Gondar.
Seuls ces deux bateaux étaient bien préparés. Trois cylindres métalliques pour le transport des torpilles guidées ont été fixés sur leurs ponts. Avec son6 pédantisme habituel, Valerio Borghese effectue également d'autres modifications afin de rendre les bateaux moins visibles en surface. Après plusieurs essais comparatifs en mer, la couleur verte du bateau a été choisie, ce qui a le mieux caché la coque du bateau dans le ciel nocturne.
Tout est prêt pour une nouvelle tentative. Le 7 septembre, Mussolini ordonne au maréchal Graziani, commandant des forces italiennes en Libye, de lancer une offensive contre l'Égypte. Dès le début, les Italiens ont visé l'important port de Sidi Barani. Mais maintenant, ils ne peuvent pas continuer l'offensive. Des navires britanniques ont coupé le ravitaillement de l’armée par voie maritime et ont attaqué des bases italiennes a Bengali, et à Solum en Barbie et à Sidi Barani, opérant depuis Alexandrie et Gibraltar. Pour repousser cette menace, l'amiral De Courten élabore un plan d'attaque simultanée de ces deux bases britanniques sur la Méditerranée. L'opération est prévue pour le mois de septembre. Bien à présent, revenont à la première source, pour voir ce qu'eux me raconte - Citation :
- La tentative ratée d'août 1940 contre Alexandrie en Egypte avec la perte conséquente du sous-marin "IRIDE", ne découragea pas les hommes des engins d'assaut, en effet le travail se poursuivit rapidement pour mettre en place de nouvelles missions.
Deux nouveaux sous-marins ont été mis en place, le Gondar et le Scire pour le transport des S.L.C.; à cet effet, 3 cylindres (un à l'avant et deux côte à côte à l'arrière du pont) ont été construits, construits dans l'usine industrielle OTO de La Spezia, éliminant définitivement les graves inconvénients de la restriction de la navigation du sous-marin jusqu'à une profondeur maximale de 30 mètres. les sous-marins pouvaient pousser, sans endommager le SLC, jusqu'à environ 90 mètres.
Au commandement de Gondar, le lieutenant de vaisseau Francesco Brunetti a été appelé; il avait spécifiquement demandé à être affecté au commandement du sous-marin pour terminer l'opération qui fut tragiquement interrompue avec le sous-marin Iride.
La perte du sous-marin Gondar et la raison de l'interruption de la mission G.A.2. et ce qui en résulte sont relatées par le commandant Brunetti dans son rapport de mission établi le 9 novembre 1944 à MARIASSALTO Taranto.
Le 21 septembre 1940 À 22 heures, je largue les amarres du quai de la caserne sous-marine de La Spezia et me dirige vers Messine. À 22 h 30, je reçois l'ordre de la Supermarina de Rome d'élargir la route pour éviter une éventuelle rencontre avec des sous-marins ennemis opérant au large de Naples.
23 septembre Vers 21 heures, amarrage à la bouée Paradiso à l'extérieur du port de Messine ... J'entre dans le port et je me tiens à côté de la jetée de charbon. Pendant la nuit, je complète l'approvisionnement en eau et en naphte. Je remets, conformément aux ordres, les archives secrètes de l'Unité au capitaine de Fregata Biagi, commandant du groupe des sous-marins de Messine, en gardant à bord les très rares publications prévues par l'ordre des opérations.
24 septembre ... À 7 h 30, Le personnel de la mission monte à bord ... et Je me dirige vers Alexandrie. 24-25-26-27-27 septembre Navigation selon l'itinéraire et les modalités prévues par l'ordre des opérations. Rien à signaler.
28 septembre .. Vers 22 heures, observation à la proue sur la gauche, à environ 1 500 mètres, une Corvette ennemie poursuivant un cap face au mien, avec une vitesse au ralenti. Selon les ordres prévus, je n'effectue pas d'attaque, je plonge, j'approche à 45 ° tribord, j'arrête toutes les machines à l'exception du gyrocompas, ralenti à tours décalés. Avec les hydrophones, je suis l'unité ennemie qui s'éloigne progressivement vers l'arrière et disparaît. Après environ deux heures et demie, croyant m'être suffisamment éloigné, devant terminer de recharger les batteries, j'ai émergé et repris l'itinéraire prévu ...
29 septembre Vers 01h30, je vois un petit arc lumineux à gauche à une distance d'environ 3 000 mètres, des signaux lumineux blancs clignotent. ... D'après les hydrophones, il est établi qu'il existe au moins 3 turbines. ... Vers 0430 les unités ennemies s'éloignent vers le Sud et disparaissent .... Au coucher du soleil, vers 1900 j'émerge. ... Quelques minutes après ma remonté, je reçois un ordre émanent de la Supermarina de Rome pour m'emmener à Tobrouk. ... à une distance d'environ 1500 mètres, une unité ennemie. Je plonge et j'emmène le sous marins à une profondeur de 80 mètres. ... J'arrête les hélices et toutes les machines. Les hydrophones révèlent la présence d'une turbine qui passe à la verticale. Après environ 15 minutes, la première salve de 5 grenade sous marine explose très près de nous. ... Peu après la première salves, les hydrophones révèlent la présence de deux autres unités, détenant une turbine. Les trois unités sont restées dans la zone pendant toute la durée de la chasse.
He ben!, et un second sous marin perdu pendant la seconde mission. Ce fut aussi la dernière mission pour Ellios Toschi, qui lui et les autres membres, ont été fait prisonnier. Mais ça ont vas le découvrir par la suite. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: La regia Marina et ses missions Lun 27 Jan - 1:23 | |
| aha! tient donc! le bâtiment, sur la photo, lui comme vous allez le découvrir, il as été construit en Août 1940. Ainsi en 1936, les expériences pour les préparatif du SLC. ils ont été effectuer dans une grange. Puisque même les premiers membres, ont coupé des pins, pour se faire un terrain de volley ball. Donc en 1936, moi je pense, que c'était ni plus ni moins qu'un terrain, contenant une forêt de pinède, et de broussaille. Peut être aussi contenant une vielle cabane de pêcheur.
Mais là, ont vas plutôt décortiquer l'histoire que Borghese nous à laisser pour cette mission G.A.2. | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: La regia Marina et ses missions Lun 27 Jan - 11:17 | |
| - Citation :
- J'arrête les hélices et toutes les machines. Les hydrophones révèlent la présence d'une turbine qui passe à la verticale. Après environ 15 minutes, la première salve de 5 grenade sous marine explose très près de nous. ... Peu après la première salves, les hydrophones révèlent la présence de deux autres unités, détenant une turbine. Les trois unités sont restées dans la zone pendant toute la durée de la chasse.
Une situation où il faut savoir maitriser ses nerfs... | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: La regia Marina et ses missions Lun 27 Jan - 19:15 | |
| Donc la suite sous Borghese! - Citation :
- Chapitre 4
Un matin, fin du mois de septembre, le commandant de la 1ère flottille M.A.S., Giorgini, convoque une réunion. Au rez-de-chaussée d'un immeuble moderne, construit il y a un mois et disposant d'un camouflage naturel de pins sur les rives du Serchio, et qui a été transformé en salle de conférence. Un à un, Borghese, Brunetti, les inséparables Tései et Toschi, le Médecin Major du détachement Falcomata, entrent dans la salle. Lorsque Giorgini a commencé à parler, les visages des personnes présentes se sont figés et leur regard a erré à travers les fenêtres et les portes:
«Nous devons essayer de frapper en même temps, le jour identique et l'heure, contre Alexandrie et Gibraltar.» Un groupe sera commandé par Tései, l'autre par Toschi. Qui ira à Gibraltar, qui à Alexandrie - ce sera le sort qui en décidera.
Toschi et Tesei tiennent leurs casquettes. Borghese et Brunetti déposent les petites feuilles contenant leurs noms dans l'une des casquette, Tései et Toschi mettent leurs noms. Falcomata tire au sort. Le destin a montré à Borghese et Tései la route de Gibraltar, tandis que Brunetti et Toschi furent désigné pour la mission d'Alexandrie.
Borghese, se trouvant un instant devant Tései, lui demande:
- Des précautions particulières seront-elles prises? La perspective de partager le sort d'Iride ne me plaît pas. Et le renseignement britannique ne dort pas.
Giorgini fronça les sourcils. Autour de la villa de Serchio, toutes les mesures de sécurité nécessaires ont été prises depuis longtemps. Des chiffres suspects étaient parfois relevés dans les rapports de police, mais le commandant pouvait compter sur la prudence et la retenue de ses subordonnés. Ils étaient de bons Italiens et savaient se taire. Mais à la Supermarina il y'avait trop de monde, et personne ne peut garantir la sécurité, sur un long trajet qu'emprunte les documents de bureau en bureau à n'importe quelle commandement, même se trouvant dans une enveloppe scellée. En outre, la préparation de l'opération a nécessité la connexion d'autres corps d'armés militaires. D'une part, l'aviation doit effectuer des reconnaissances, d'autre part, il faudra ajouter à la mission un sous-marin livrant des torpilles guidées jusqu'à la cible, tous les navires pouvant effectuer des missions spéciaux, devront être avertit de la route qu'il empruntera. Giorgini ne savait pas comment surmonter tous les obstacles, mais, ne voulant pas que la psychose de la folie des espions capture les hommes, il se force à hausser les épaules calmement:
"Ne t'inquiète pas, Borghese." Je renforcerai les mesures de sécurité. Les équipages partiront de Serchio en train, comme si'l partait en permission à Rome. Le Gondar viendra les chercher dans la baie de Messine. Quant au Scire, lui attendra dans la baie de La Spezia un bateau que Tései et son équipage, auront emprunter comme s'ils partaient faire une promenade en bateau.
La réunion se termine. Une préparation d'entrainement intensif est en cours jusqu'à la fin de la semaine, puis toute l'activité cesse subitement et le silence règne à Serchio.
Le Gondar est ancré dans la soirée du 21 septembre, transportant trois Maïalis dans ses cylindres de pont. Des équipages des torpilles montent à bord à la Villa San Giovani, dans la baie de Messine. Il est nécessaire de minimiser le temps passé par les nageurs dans un sous-marin dont l'atmosphère exiguë et étouffante ne contribue pas à une bonne condition physique. En plus de Mario Giorgini, le commandant en chef de cette campagne, à bord se trouve: le lieutenant de vaisseau Franzini, l'enseigne de vaisseau Gasioppo, le capitaine, spécialiste de l'armement Stefanini, le sergeant plongeur Scapino, le lieutenant de vaisseau Elios Tosci, le Sergeant plongeur Runati, le lieutenant de vaisseau Calcagno et le-sergent Plongeur Lazaroni .
Ils sont arrivés à Alexandrie sans incident. Le 29 septembre, à 7 heures du soir, le Gondar a fait surface à quelques kilomètres du phare de Ras al-Tin, qui domine l'entrée de la baie, avant d'obtenir les dernières indications du quartier général de la flotte avant d'envoyer les torpilles. Les équipages sont en pleine préparation. Dans les espaces confinés de la salle radio, Toschi, Brunetti et Georgini, accrochés l'un à l'autre, attendent. Soudain, la radio a pris vie. À travers le bruit crépitant, un grincement caractéristique d'un code morse a été entendu. Le message a été reçu et, comme tout le monde le décrypte, tout le monde ici lisent: «La flotte anglaise est partie en mer. Retournez à Tobrouk.
Le "Gondar" a effectuer un demi tour de 180 degrés, et pour emprunté le chemin identique aussi précisément que possible, la route que ils ont utiliser pour venir, et le danger qui les attends en devant traversé un champs de mines et qu'ils eurent traversés avec succès au cours des deux derniers jours de navigation. Quelques minutes après la manœuvre, les cloches se mirent à rententir annoncent une plongée en catastrophe. Pour se cacher sous l'eau, il faut quelques secondes après la fermeture de la seule trappe ouverte lors de l'immersion. Brunetti apparaît dans le carré central: "un navire ennemi à 800 mètres!", Annonce-t-il.
Ont t'il été repéré? Pourront t'il être détecté? - Les sous-marins se posent la question, tandis que le Gondar plonge rapidement à la profondeur maximale autorisée afin de ne pas endommagé les maiali (environ 100 mètres).
En surface se trouvent trois deux navires britanniques Le HMAS Stuart et le H-22 et un Hydravion Sunderland, récemment arrivés par les derniers chasseurs en mer de la mer du Nord, équipés de la dernière invention britannique pour détecté des sous-marins avec un sonar. Les hydrophones du sous-marin captent clairement son bruit caractéristique. Cela n'augure rien de bon. En effet, au bout de peu de temps, cinq puissantes explosions ont choqué le petit sous-marin, qui a été balayé comme un drap déchiré par le vent lors d'un ouragan. Les lumières se sont éteintes. L'équipage conserve un sang-froid bien nécessaire. La lumière d'urgence s'allume. Chaque marin se tient à son poste de combat. Le Gondar continue à couler et s'enfonce à une profondeur de 125 mètres. Brunetti arrête la plonger et demande un silence complet à bord. Il y a une longue attente. Chaque personne retient son souffle et se déplace sur la pointe des pieds si nécessaire. Le calme et le silence sont désormais les seuls atouts à la disposition du Gondar dans un jeu mortel avec l'ennemi, pour ne pas être découvert et repartir vivant. He ben, c'est la faute à pas de chance! Et dire que les Italiens, ils avaient déjà planifié l'attaque du port d'Alexandrie entre 1938-1939. Et que ils ont attendu jusqu'en 1940, pour valider le plan. Alors oui, ici il y'a risque que les Anglais, avec leurs agents, ont prit connaissance de la possibilité d'attaque sur Alexandrie. Mais là entre en compte en plus, "le Quand?" | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: La regia Marina et ses missions Mar 28 Jan - 10:43 | |
| Aie! Ca chauffe !!... | |
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| Sujet: Re: La regia Marina et ses missions | |
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