Il n’est pas besoin d’être extralucide pour voir que la pandémie covidienne et la pandémie russophobe sont de même nature :
ce sont les mêmes dirigeants et les mêmes donneurs de leçons politico-médiatiques qui sont à l’œuvre pour justifier la dictature soi-disant sanitaire et la haine implacable
contre la Russie, pour acquiescer aux mensonges les plus éhontés des clients et courtisans de Big Pharma comme à la propagande ukrainienne la plus folle.
Mais il est un homme qui personnifie les deux, un homme qui a les deux casquettes de la dictature vaccinale et du combat anti-russe.
Il s’appelle Jens Stoltenberg.
On sait que Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN, est l’homme qui vient d’introduire dans le document stratégique de l’OTAN la haine de la Russie
comme valeur de l’organisation, qui garantit que l’OTAN livrera illégalement à l’Ukraine des armes létales jusqu’à la mort du dernier Ukrainien,
et qui menace maintenant carrément le monde d’une guerre nucléaire.
On sait moins que Stoltenberg, grand ami de Bill Gates, fut l’organisateur de « GAVI Alliance », fondée pour aider les laboratoires à développer les « vaccins »
(officiellement pour aider le tiers monde et sauver les enfants, bien sûr).
GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunizations) a été fondée le 30 janvier 2000 à… Davos.
Sous l’égide de Klaus Schwab. Davos 2000, c’était le 30e anniversaire du Forum économique mondial. Avec Bill Clinton et Tony Blair.
Et le grand événement, outre le fait qu’un président américain y participait pour la première fois, fut le lancement de GAVI.
Avec l’appui Capture d’écran 2022-07-02 à 15.16.19.pngfinancier de Bill Gates, lequel (et non Clinton) annonçait immédiatement que le gouvernement américain
allait donner 50 millions de dollars.
Cette année-là, Jens Stoltenberg, ministre des finances de Norvège et vice-président du parti travailliste, devient Premier ministre.
Il démissionnera l’année suivante à la suite d’élections catastrophiques pour son parti.
Et alors il devient… directeur de GAVI. C’est lui qui va organiser l’« Alliance » vaccinale internationale, son bureau, ses réseaux, et garantir ses financements.
La Norvège est dès le début un important contributeur.
En 2005 Stoltenberg retrouve son poste de Premier ministre, tout en restant membre éminent du conseil d’administration de GAVI.
Grâce à lui la Norvège devient de loin le premier contributeur de GAVI proportionnellement à son nombre d’habitants, toutefois derrière Bill Gates.
Par exemple en 2015 GAVI recevra 3,7 milliards de dollars de la Norvège, du Royaume-Uni et de Bill Gates, dont un milliard de ce dernier.
La photo montre Jens Stoltenberg s'exprimant à la conférence de GAVI à Londres en 2011 alors qu'il est Premier ministre de Norvège.
Jens Stoltenberg devient secrétaire général de l’OTAN en 2014.
C’est l’année de la révolution « ukrainienne » pilotée par les Etats-Unis pour que l’Ukraine devienne un membre de l’OTAN.
C’est le moment où le Pentagone développe des laboratoires biologiques en Ukraine, installés (ou du moins financés) dès 2012.
Laboratoires qui par un contrat du 12 novembre 2019 devront faire des recherches sur le « COVID-19 », dont personne n’a encore parlé, dans le cadre
d’un « programme de réduction des menaces biologiques en Ukraine »… (L’OMS appellera le virus COVID-19 le 11 mars 2020.)
L’an prochain, Jens Stoltenberg deviendra président de la Banque centrale de Norvège.
Ce qui lui permettra, via les gigantesques fonds de pension norvégiens, de continuer d’avoir son rôle dans la dictature vaccinale comme dans le combat
contre les autres récalcitrants du nouvel ordre mondial.
source
yvesdaoudal.hautetfort.com