Fakes news Israel/USA

Le Hamas a commis d horribles crimes,le 7 octobre 2023 mais certains sont toujours la pour en rajouter comme
si ce n etait pas assez et bien sur c est reprit en boucle sur les medias occidentaux....


Les 40 bebes decapites...vrai ou faux ??

Une série de rapports choquants ont répandu d’horribles allégations de décapitations de bébés par des militants du Hamas dans les médias sociaux et grand public
ces derniers jours, ajoutant un élément particulièrement incendiaire à une guerre déjà violente et amère.
Mais ces informations ne sont toujours pas confirmées et, dans certains cas, ont été rétractées.

L’affirmation la plus médiatisée est survenue mercredi soir lorsque le président Joe Biden a déclaré qu’il avait vu des preuves photographiques de terroristes décapitant des enfants.
La Maison Blanche a précisé plus tard que Biden faisait référence à des reportages sur les décapitations, qui n’ont pas inclus ou fait référence à des preuves photographiques.

Des photos ont été publiées par le Hamas montrant des soldats décapités et le compte X appartenant au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a publié jeudi
des photos de bébés tués et brûlés par le Hamas. Aucune preuve photographique n’avait été rendue publique jeudi matin corroborant les affirmations
selon lesquelles des bébés avaient été décapités.

Les informations non vérifiées se propagent rapidement sur les médias sociaux, en particulier autour des événements d’actualité, atteignant un public encore plus large
lorsqu’elles sont partagées par les médias grand public, les politiciens et les personnes ayant un grand nombre d’abonnés.
Les suivis qui se rétractent ou ajoutent du contexte sont moins susceptibles d’être répétés ou d’atteindre le même public.

La déclaration de Biden fait suite à une série de reportages et de commentaires de responsables israéliens, dont la plupart ont depuis été adoucis ou sont revenus.
Des informations erronées faciles à démystifier, comme les faux communiqués de presse, ont largement circulé depuis le début de la guerre,
mais ces histoires s’éteignent souvent rapidement une fois qu’elles se sont avérées fausses.
Les allégations de décapitations, difficiles à vérifier, ont continué à se répandre, en partie à cause du manque de clarté.

Alexei Abrahams, chercheur en désinformation à l’Université McGill à Montréal, a déclaré que même sans les allégations de bébés décapités,
« les faits eux-mêmes sont suffisamment horribles pour avoir le genre d’effet auquel vous vous attendez ».
« Il se peut que le massacre ait été perpétré d’une manière particulièrement barbare.
Mais d’une manière ou d’une autre, il s’agit d’un événement de violence absolument choquant et sans précédent », a déclaré Abrahams.
« L’inquiétude générale, bien sûr, est que cela va exacerber ce qui est déjà une situation très tendue. »


Les troupes israéliennes fouillent la scène d’une attaque de militants palestiniens dans le kibboutz israélien de Kfar Aza.





Mercredi, un porte-parole du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré à CNN que des bébés et des enfants en bas âge avaient été retrouvés
avec leurs « têtes décapitées » dans le sud d’Israël après l’attaque du Hamas. Jeudi matin, un responsable israélien a déclaré à CNN que le gouvernement n’avait pas confirmé
les allégations de décapitations.
Un haut responsable du département d’État a déclaré jeudi matin que l’agence n’était pas en mesure de confirmer les allégations de décapitation.

De nombreux rapports semblent provenir de soldats israéliens et de personnes affiliées aux Forces de défense israéliennes (FDI).

Un porte-parole de Tsahal a déclaré mardi à Business Insider que des soldats avaient trouvé des bébés décapités, mais a déclaré mercredi qu’il n’enquêterait pas
et ne fournirait pas d’autres preuves concernant cette affirmation. Mercredi soir, un porte-parole de Tsahal a déclaré dans une vidéo sur X que l’armée israélienne
avait une « confiance relative » dans ces allégations.

Jeudi, lors d’un appel avec un groupe de journalistes internationaux, le colonel Golan Vach, chef de l’unité nationale de recherche et de sauvetage de Tsahal,
a déclaré qu’il avait « trouvé un bébé avec la tête coupée ».

Marc Owen Jones, professeur agrégé d’études sur le Moyen-Orient à l’Université Hamad Bin Khalifa au Qatar qui étudie la désinformation, a déclaré à NBC News
qu’il avait découvert que la source des allégations de « 40 bébés décapités » provenait en grande partie d’un clip d’information israélien viral
qui ne faisait pas spécifiquement référence à l’allégation.

Nicole Zedeck, correspondante pour le média israélien privé i24NEWS, a déclaré dans la vidéo que les soldats israéliens lui avaient dit qu’ils avaient trouvé
« des bébés, la tête coupée ». La vidéo a été visionnée plus de 11 millions de fois sur X, selon son compteur de vues.
Dans un autre tweet, Zedeck a écrit que les soldats lui avaient dit qu’ils pensaient que « 40 bébés/enfants avaient été tués ».
« D’une manière ou d’une autre, ces deux éléments d’information étaient liés, l’histoire est devenue '40 bébés ont été décapités', et dans la presse britannique d’aujourd’hui,
environ six ou sept journaux l’ont eu en première page », a déclaré Jones.

Un porte-parole de Tsahal, Doron Spielman, a déclaré mardi à NBC News qu’il ne pouvait pas confirmer l’information d’i24NEWS.

Yossi Landau, le chef des opérations de la région sud de Zaka, l’organisation civile bénévole d’intervention d’urgence d’Israël, a déclaré à CBS News
qu’il avait vu des corps d’enfants et de bébés décapités, de parents et d’enfants qui avaient été torturés et avaient les mains liées,
et « beaucoup d’autres choses qui ne peuvent pas être décrites pour l’instant, car c’est très difficile à décrire ».

Mercredi, les affirmations, bien que toujours controversées, sont devenues virales en ligne – utilisées comme preuve de la dépravation du Hamas.
Mercredi, l’expression « Le Hamas a-t-il tué des bébés ? » a connu la plus forte augmentation de l’intérêt de recherche sur Google pour tout ce qui est lié à la guerre.

La star de « Stranger Things », Noah Schnapp, a posté l’affirmation choquante à ses 25 millions d’abonnés Instagram :
« 40 bébés ont été décapités et brûlés vifs devant leurs parents par le Hamas. » Le sénateur Ted Cruz, R-Texas, a mentionné des bébés décapités dans un post sur X,
et le représentant Mike McCaul, R-Texas, a fait écho aux allégations sur CNN.
Jones a constaté que l’affirmation « 40 bébés décapités » avait plus de 44 millions d’impressions sur X, avec plus de 300 000 likes et plus de 100 000 reposts.
Les principaux comptes propageant ces affirmations étaient i24NEWS et le compte officiel d’Israël, selon les données de Jones.

« Les histoires de bébés sont très émouvantes. Historiquement, ce sont des histoires qui peuvent être utilisées pour rationaliser une réponse très brutale », a déclaré Jones.
« Il s’agit d’un environnement d’information si volatile que de telles affirmations seront inévitablement sorties de leur contexte, à la fois délibérément et accidentellement. »


source
nbcnews.com

Etrange comme cette ambiance de guerre de com ressemble aux massacres de Boucha, Marioupol etc...

Attaques du Hamas : que sait-on de la rumeur selon laquelle un bébé a été retrouvé "brûlé dans un four" ?

Pendant que la guerre fait rage dans la bande de Gaza, les horreurs perpétrées le 7 octobre dans des kibboutz israéliens continuent d’être documentées.
Dans ce flot d'informations, des tweets vus entre 2 et 15 millions de fois, constate TF1info ce mardi, évoquent le meurtre d’un nourrisson, des suites de brulures provoquées
par un four, ce dont s'émeuvent aussi des responsables politiques français, dénonçant un crime.
Pour autant, l'information ne se fonde sur aucune preuve.
Retour sur l’itinéraire d’une rumeur, remise en cause par la presse israélienne.

Des faits relatés le 28 octobre à Las Vegas

Tout commence non pas en Israël, mais aux États-Unis.
Du 27 au 29 octobre à Las Vegas, s’est déroulé le sommet annuel du Republican Jewish Coalition, un groupe politique américain cherchant à renforcer les liens
entre la communauté juive et les élus républicains. À cette occasion, plusieurs personnalités politiques de premier plan ont été invitées à la tribune,
comme l’ancien président Donald Trump, ou le nouveau Speaker de la Chambre des représentants, Mike Johnson.
Figure également le corps associatif israélien, venu témoigner de la guerre et des attaques du Hamas.

Eli Beer, président de l’ONG de secouristes United Hatzalah, prend la parole le 28 octobre et raconte avoir "vu les choses les plus horribles que j'ai vues de mes propres yeux".
Il évoque les cadavres d’une jeune femme "enceinte de quatre mois", d’enfants, mais aussi celui d’un nourrisson.
"Nous ne pouvions même pas reconnaître que nous avions vu un petit bébé dans un four. Ces salauds ont mis ces bébés dans un four et l'ont allumé.
Nous avons retrouvé l'enfant quelques heures plus tard", détaille Eli Beer, dans un discours retransmis en direct par la chaine américaine NTD.  


Eli Beer





Une rumeur vue des millions de fois

C’est alors que le journaliste se retrouve cité en tant que source, contribuant à diffuser et amplifier la rumeur.
"Depuis qu'un journaliste du NY Post a déjà publié cela, c'est quelque chose de si maléfique qu'il est difficile de l'écrire.
Ils ont fait cuire un bébé au four", alerte le compte "Mossad Commentary" dans un tweet déjà vu plus de 2,5 millions de fois. Côté français,
des personnalités publiques partagent leur indignation, comme Aurore Bergé ou Raphaël Enthoven.
"Un bébé. Brûlé. Dans un four. C’est ça le Hamas. C’est ça qu’Israël a vécu dans sa chair le 7 octobre", peut-on lire dans un message de la ministre des Solidarités,
effacé depuis. Le philosophe, lui, finit par faire publiquement son mea culpa.

Et pour cause, les journalistes israéliens qui ont enquêté sur cette accusation parviennent tous à la même conclusion :
celle-ci n’est fondée sur aucun élément probant ni aucun témoignage fiable recueilli sur place.
Un journaliste du quotidien Haaretz, Chaim Levinson, explique dès le lendemain avoir "vérifié" la teneur des faits relatés.
Il est affirmatif : cela "ne s’est pas passé".
Comme d’autres confrères locaux mais aussi étrangers, Chaim Levinson a pu assister au visionnage organisé par le gouvernement israélien des images des massacres
du Hamas. Rien de tel n’a été diffusé à cette occasion, raconte-t-il.


L’ensemble des journalistes ayant travaillé sur le sujet sont formels :
cette rumeur se fonde sur un témoignage unique, celui d’un "volontaire" secouriste qui aurait vu un bébé rescapé d’un kibboutz portant des "marques de poêle".

Volontaire secouriste israelien




Des faits dont Mendy Habib, secouriste et chef d'équipe pour l'organisation ZAKA, n'a pas eu connaissance.
"Il y a presque 600 volontaires qui étaient sur place. Mon équipe comptait 30 personnes à peu près, raconte-t-il à TF1info.
Et on n'a pas entendu parler d'une chose pareille. Il y avait tellement de choses qui étaient horribles et affreuses et inhumaines que je n'ai pas entendu parler
d'une chose comme ça.
Je pense que ce n'est même pas la peine d'en rajouter."

Contactée par TF1info, l'armée israélienne ne confirme pas non plus les éléments rapportés plus haut.
La morgue de Shura, où ont été transférés les corps, a déclaré ne pas être "au courant d'un tel événement", d’après le journaliste Yishai Cohen.
Selon lui, "la diffusion d’histoires incorrectes nuirait à la propagande israélienne. Il y a tellement d’histoires et de documentation sur les horreurs qu’il n’est pas nécessaire
d’y ajouter des éléments inexacts"



source
tf1info.fr


Le probleme est que la Fake news a ete publie mais apres qu elle est demontre fausse il y a tres peu d article qui denonce la supercherie...donc elle perdure enore    

Comment se faire sanctionner sur une fake news...
Je reconnais cependant que la blague est de tres mauvais gout...  

Guerre Hamas-Israël :
une femme compare un bébé juif brûlé dans un four à une recette de cuisine, Darmanin saisit la justice...

Samedi 28 octobre se déroulait le sommet annuel de la Republican Jewish Coalition aux États-Unis.
À cette occasion, le président d’United Hatzalah of Israel, Eli Beer, a raconté les nombreux crimes commis par le Hamas depuis l’attaque du 7 octobre dont il aurait été témoin.
Parmi ces scènes d’horreur évoquées, le dirigeant de l’ONG de secouristes a notamment affirmé qu’un bébé avait été retrouvé dans un four «
cuit à mort par les terroristes du Hamas »

L’affirmation a rapidement été reprise et commentée sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes se disant choqués par un tel acte.
En France, une jeune femme utilisant le pseudonyme « Haneia Nakei » n’a pas hésité à ironiser sur le sort qu’aurait subi ce bébé, le comparant à une recette de cuisine.
« Sur l’histoire du bébé qui a été mis dans le four, je me pose la question de savoir s’ils ont mis du sel, du poivre, s’ils ont mis du thym… » pouvait-on l’entendre dire
dans une vidéo publiée sur Instagram, jeudi.

De tels propos n’ont pas manqué de susciter la controverse, et la polémique est remontée jusque sur le bureau du ministre de l’Intérieur.
Selon les informations du Figaro, Gérald Darmanin a saisi le procureur de la République de Paris « au titre de l’article 40 du Code de procédure pénale ».
Révulsé par cette vidéo, le député apparenté LR Meyer Habib a, de son côté, annoncé avoir déposé une plainte pour « apologie du terrorisme »
auprès du procureur national antiterroriste.

L’ambassade d’Israël en France n’a également pas tardé à réagir.
« Dans une immonde story, cette femme ironise, de façon totalement décomplexée et inhumaine, des conditions ignobles dans lesquelles un bébé aurait été placé dans un four
par les terroristes », a fustigé l’ambassade sur le réseau social X (anciennement Twitter).


source
lejdd.fr

Un bébé mort à Gaza ou une poupée ?
Pourquoi les accusations d Israel de mise en scène sont fausses..

Le 1er décembre, une mère et un grand-père ont été filmés à Gaza tenant un bébé mort dans leurs bras, à la suite des nouveaux bombardements israéliens.
Mais de nombreux internautes et le journal israélien The Jerusalem Post ont ensuite affirmé que le bébé était une poupée.
Cette victime est pourtant bien réelle : l'agence de presse Anadolu a donné des détails sur son identité, et des médecins légistes interrogés par la rédaction
des Observateurs de France 24 ont confirmé qu'il s'agissait bien d'un corps humain.





La vérification en bref :

Le 1er décembre, le média israélien The Jerusalem Post a prétendu que les vidéos d'une mère et d'un grand-père portant le corps d'un bébé mort à Gaza le jour-même
étaient une mise en scène.

De nombreux comptes pro-israéliens sur X et Instagram ont aussi affirmé que l'enfant mort dans la vidéo était une poupée, reprenant le hashtag "Pallywood"
(contraction de "Palestine" et "Hollywood") pour dénoncer de supposées mises en scène.

Mais les nombreuses photos de la scène indiquent qu'il s'agit bien d'un corps humain, soulignent deux médecins légistes contactés par la rédaction des Observateurs de France 24.

L'agence de presse turque Anadolu a aussi donné des informations sur l'identité du bébé décédé, un enfant de cinq mois appelé Muhammad Hani al-Zahar.

The Jerusalem Post a supprimé l'article et présenté ses excuses sur X le 2 décembre, indiquant avoir "publié un article basé sur des sources erronées"
qui "ne répondait pas à nos normes éditoriales".


Outre les deux reporters indépendants qui ont publié leurs vidéos sur Instagram, l'agence de presse turque Anadolu était aussi présente sur place et a donné plus d'informations
sur le contexte et l'identité de la victime.

Elle a publié une quarantaine de photos de la scène sur son site, a indiqué que l'enfant était un bébé de cinq mois du nom de Muhammed Hani al-Zahar.
Anadolu précise que ces photos ont été prises à Deir al-Balah quelques heures après la reprise des bombardements le 1er décembre.
Le corps de l'enfant allait être porté à l'hôpital des martyrs d'Al-Aqsa par sa mère, Asmahan Attia al-Zahar, et son grand-père, Attia Abu Amra.


source
fr.yahoo.com

Ce n'est pas la première fois que de fausses accusations de mise en scène à Gaza circulent.

Mi-octobre, le compte officiel de l'État d'Israël et l'ambassade d'Israël en France sur X avaient accusé à tort des civils palestiniens d'avoir utilisé une poupée
pour faire croire à la mort d'un enfant à l'hôpital, s'appuyant sur une vidéo publiée par un reporter palestinien montrant un corps avec le même teint cireux
que Muhammad Hani al-Zahar.

Un photographe de l'Agence France-Presse avait à l'époque pu confirmer à l'AFP Factuel que le corps visible dans la séquence était bien celui d'un enfant mort.

La rédaction des Observateurs de France 24 a aussi vérifié à plusieurs reprises de fausses affirmations de mise en scène, reprises sous le hashtag #Pallywood,
une théorie qui a refait surface à la faveur de la nouvelle guerre entre le Hamas et Israël.

Depuis le début de la guerre, un internaute gazaoui, Saleh al-Jafarawi, est notamment accusé à tort par de nombreux internautes pro-israéliens sur X d'être un "acteur du Hamas".

Début novembre, la rédaction des Observateurs de France 24 avait aussi enquêté sur la manière dont ces fausses accusations étaient portées notamment
par des comptes indiens antipalestiniens et en faveur du parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi, régulièrement accusé de stigmatiser les musulmans.

Dernier exemple en date : l'un des tweets les plus relayés sur ces fausses accusations de mise en scène du 1er décembre est issu du compte "Mr Sinha",
un compte indien aux 140 000 abonnés qui se décrit comme journaliste et prohindou.


source
observers.france24.com

Fake sur les soit-disants soldats du Hamas qui se rendent...

De nombreuses photos ont été publiées, et plusieurs vidéos, montrant des groupes de Gazaouis nus, avec juste un slip, souvent les yeux bandés, soit en file,
soit assis les uns contre les autres éventuellement devant une fosse, soit à genoux avec des soldats qui les tiennent en joue, soit entassés dans des remorques de camion.
En tout des centaines d’hommes de tous âges, humiliés, victimes de traitements dégradants.

Dans un premier temps, l’armée israélienne a affirmé qu’il s’agissait de combattants du Hamas qui s’étaient rendus.
Mais on a repéré parmi eux des gens qui ne sont pas du tout du Hamas.
Alors l’armée israélienne a insisté, en publiant une vidéo où l’on voit l’un de ces groupes d’hommes, avec l’un d’entre eux qui se détache du lot,
marchant très lentement en portant une arme au-dessus de sa tête, allant la déposer à un endroit où il y en a beaucoup d’autres alignées, et repartant les mains en l’air...
C’est bien la preuve que ce sont des combattants…





Parce que bien sûr les soldats israéliens déshabillent les combattants mais dans un premier temps leur laissent leurs armes…
Il y a même une de ces vidéos où l’on voit le même homme nu rendre son arme trois fois de suite : la répétition de la scène, qui a malencontreusement fuité.

Ces images ayant fait le tour du monde, des responsables de l’armée ont fini par bredouiller que ce n’est pas la hiérarchie qui les a diffusées,
qu’elles n’étaient « pas nécessaires et sont offensantes », et qu’on n’en verrait plus de semblables…


source
yvesdaoudal.hautetfort.com

OK, je me doutais bien que cette photo était un peu douteuse mais je ne voyais que l'arme "rapportée", t'as été plus loin dans l'analyse.

"L’armée la plus morale du monde", suite.

L’armée israélienne a organisé une séquence répugnante.
Elle a raflé des civils, les a déshabillés, filmés et prétendu qu’il s’agissait de combattants du Hamas qui s’étaient rendus.
Les différentes séquences ont été débunkées par la presse occidentale.
Face à cette mise en scène dégradante (qui constitue également un crime de guerre), les fanatiques de réseau chez nous(en France) ont affiché en ricanant leur plaisir
« de voir les terroristes du Hamas en slip ».
Sans mesurer que le mantra de « l’armée la plus morale du monde de la seule démocratie du Proche-Orient qui a le droit de se défendre » est déjà en lambeaux.


Enfin la verite sur un media francais...







source
Régis de Castelnau
@R_DeCastelnau

Des tueurs mais en plus des vicieux, bravo !

Fake sur les soins a Gaza d une otage Franco-israelienne

Christophe Oberlin, chirurgien mondialement connu : « L’otage Mia Shem a bénéficié à Gaza des techniques chirurgicales de haut niveau »

Christophe Oberlin conteste les allégations sur les soins à Gaza. Son engagement humanitaire et son expertise en microchirurgie font la différence.




Le 21 novembre 2023, le chirurgien mondialement connu, spécialisé dans la microchirurgie et la chirurgie de la main, Christophe Oberlin,
était invité dans "La matinale de Radio Courtoisie", où il a abordé des points cruciaux concernant les soins médicaux prodigués à l'hôpital Chifa à Gaza.
Christophe Oberlin, intervenant régulièrement à Gaza, opère trois fois par an sur des handicapés victimes de blessures de guerre et l’homme a aussi un rôle crucial
dans la formation des chirurgiens palestiniens.
Son expertise dans la microchirurgie et la chirurgie réparatrice, notamment l’« Oberlin procédure » pour les paralysies, lui a valu une reconnaissance internationale.

Contredisant le témoignage de la tante de Mia Shem, repris par les médias français, Christophe Oberlin affirme que l’otage franco-israélienne
a bénéficié des techniques chirurgicales les plus récentes.
Il révèle avoir reconnu la signature d’un chirurgien de haut niveau qu’il a formé, démentant ainsi les allégations selon lesquelles elle aurait été opérée par un « vétérinaire ».
« Je peux le démontrer, car j’enseigne des techniques spécialisées aux chirurgiens de Gaza depuis 20 ans, en particulier dans le domaine de la chirurgie orthopédique. »

Il dévoile qu’elle a été traitée pour une fracture de l’humérus avec un fixateur externe de haute technologie « d’une valeur de 2500 € ».
La qualité de l’intervention, y compris une exploration chirurgicale du nerf radial, démontre les meilleurs standards de la chirurgie orthopédique à l’hôpital Chifa.



source
lemediaen442.fr

C est reparti dans les mensonges
Bien entendu,on va etoufer l affaire sur les medias francais...


Une militante français s’excuse d’avoir faussement prétendu avoir trouvé 67 échantillons de sperme sur un otage libéré par le Hamas...

Sandra Ifrah, porte-parole de Femmes unies pour la paix, a précédemment déclaré que 67 échantillons de sperme différents avaient été trouvés sur un otage retenu captif
par le Hamas.
La déclaration a été faite par la célèbre militante féministe, connue pour son soutien à Israël, lors de son passage dans l’émission « 180MinutesInfo » sur la chaîne française CNEWS
le 7 février. Cela s’est produit à la suite de sa participation à une cérémonie commémorative à laquelle assistait le président français Emmanuel Macron,
commémorant les victimes françaises des événements du 7 octobre de l’année dernière.





Lien

https://twitter.com/BreakNewsFrance/status/1755980045456195963?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1755980045456195963%7Ctwgr%5E3702dfa29259b40ead7f92aac4e8280a07a6cd07%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fegaliteetreconciliation.fr%2FUne-semaine-sur-Twitter-S02E06-74954.html


Il a été annoncé que 42 citoyens français ont été tués dans l’opération Al-Aqsa Flood.
Le président Macron a déclaré que la France travaillait à la « libération » des trois Français qui sont toujours retenus en otage par la résistance palestinienne.
Au cours de la cérémonie, il a également souligné l’engagement de la France en faveur de l’égalité pour toutes les vies, indiquant que l’Elysée a l’intention d’ériger
un « monument commémoratif » en l’honneur des victimes françaises des frappes aériennes israéliennes sur Gaza.

Dans la vidéo partagée par la chaîne CNEWS, Sandra Ifrah a abordé la situation des otages israéliens à Gaza, qui a été vue plus de deux millions de fois.
Elle a affirmé que des femmes avaient été enfermées dans des tunnels pendant quatre mois, soumises à des viols, à des tortures, à des humiliations et à des assassinats.
Elle a ajouté qu’il y avait un otage de 13 ans et demi qui avait besoin d’être avorté.
Elle a en outre affirmé qu’un autre otage avait trouvé sur elle 67 échantillons de sperme différents.

À la suite d’une enquête menée par Misbar, il a été révélé que les déclarations de l’activiste français n’étaient pas fondées et manquaient de sources fiables.
Ni les médias occidentaux ni les médias hébreux n’ont fait état des agressions présumées mentionnées par le militant.
De plus, il n’y a pas eu de cas documentés de grossesses résultant de viols parmi les 120 otages qui sont revenus de captivité à la fin du mois de novembre.
De plus, il n’y a aucune preuve à l’appui de l’affirmation selon laquelle 67 échantillons de sperme ont été trouvés chez les otages libérés.

Néanmoins, depuis janvier dernier, les médias israéliens ont fait état de préparatifs à Tel-Aviv en vue de la possibilité que les otages encore détenues
par le Hamas soient enceintes. Cependant, cette possibilité n’est fondée sur aucun indicateur concret ni aucune preuve que des incidents de viol se sont produits en captivité.
Jusqu’à présent, aucune source fiable n’a confirmé de cas de viol pendant l’opération Al-Aqsa Flood.

Misbar avait précédemment réfuté les allégations selon lesquelles la captive Maya Regev avait été violée pendant sa détention par le Hamas.

Sandra Ifrah présente ses excuses pour ses déclarations

À la suite de la polémique suscitée par ses propos, Sandra a déclaré :
« Je reçois régulièrement des dizaines de témoignages et d’informations. » Elle a ensuite déclaré sur son compte X :
« Sous l’influence de l’émotion, lorsque j’ai quitté la cérémonie, j’ai transmis des ouï-dire au micro. C’était une erreur, et je m’en excuse.
Elle a poursuivi : « Nous serons plus vigilants à l’avenir. »

Malgré ses excuses, au moment de la rédaction de ce rapport, CNEWS continue de partager ces déclarations, qui manquent de preuves étayées.
Il convient de noter que la chaîne française, réputée pour ses cotes d’écoute importantes, continue de faire l’objet de critiques constantes pour son parti pris de droite en France
et sa promotion d’une rhétorique anti-immigrés.

Cependant, ses publications partagées sur son site web et ses comptes de médias sociaux se concentrent principalement sur la question des otages israéliens détenus
par le Hamas. Il partage également des appels à l’achat de bougies dans le cadre d’une campagne de dons, dont les bénéfices seront reversés au kibboutz Erez,
situé dans l’enveloppe de Gaza. Notamment, l’association n’a pas pris position en faveur d’un cessez-le-feu ou de la fin de la guerre,
et elle n’a mentionné aucune victime palestinienne dans aucune de ses différentes publications.


source
misbar.com

Dans le flot de désinformation du gouvernement israélien, la propagande sur l’aide humanitaire apportée à Gaza, qui « sauve des vies », est particulièrement écœurante.
Et celle-ci a attiré l’attention ; le gouvernement se vante notamment d’avoir fourni 23.000 tonnes de tentes et d’équipements pour abris.
Avec une brève vidéo montrant une partie de cette aide.





Or il suffit de prendre une image et de la mettre sur Google Image pour voir immédiatement qu’elle a été achetée à iStock,
et qu’il s’agit de tentes de réfugiés ukrainiens en Moldavie en mars 2022…

Le gouvernement a bien été obligé de le reconnaître, mais il a dit que c’était seulement une « image d’illustration » et qu’il avait omis de le préciser,
et qu’il veillera à la « transparence » à l’avenir…


source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Même, tu tues et tu mets les survivants sous des tentes, t'es gentil !!!

carbone14 a écrit:

Même, tu tues et tu mets les survivants sous des tentes, t'es un mec gentil !!!

Hitler a fait pareil, il a tué beaucoup de juifs et les autres il les a mis dans des camps, bien à l'abri.