Raciste ?

Si on en est aux robots autant rester bien racistes au moins ça affichera la "couleur".
Le délire est sans limite.
Faisons du lait noir, du chocolat jaune, de l'herbe rouge, etc...
Ah m...e j'ai oublié le bleu !
Allez, des femmes bleues.
C'est désolant ce stupide racisme alors que depuis des millénaires les gens vivent comme ça. Comment changer les choses ?
Etre sage et correct c'est en général ce qui se passe. Après qui peut empêcher une personne d'aller contre ceci ou cela ?
Même les animaux le sont et souvent bien plus que les humains.
En bref qui sont les plus racistes ? Comme on dit : c'est celui qui dit qui est !

Bientôt, aux échecs, des pions rouges et bleus, ou jaunes et verts ?!...

Une femme se demande si un chien de la famille est raciste...

Je suis avec mon mari depuis trois ans. Il est blanc et je suis noire. Ses parents sont merveilleux pour moi, et font souvent des choses sur leur chemin pour nous aider.
Ils me traitent comme leur propre fille.
Malheureusement, ils ont un chien, « Danny », qui est « méchant », selon eux.
Il ya cinq autres chiens qui vivent dans cette maison et ils aiment tous et profiter de l’attention que je leur donne, mais Danny a toujours été méfiant avec moi.
J’ai essayé de lui donner des friandises et de s’approcher de lui comme ils l’ont recommandé, mais il m’évite ou m’aboie.
Je n’ai jamais rien fait pour justifier cette attention négative.
Pendant longtemps, j’ai pensé qu’il était juste méchant, jusqu’à ce que je suis allé chercher mon fils, âgé de 4 ans, qui était chez eux. Il est biracial et a la peau claire.
Quand je suis arrivé, mon fils étreignant le chien comme un vieil ami.
Je n’arrive même pas à faire renifler ma main à ce chien !
Le week-end dernier, Danny m’a mordu quand j’ai sorti ma main pour qu’il renifle. Il ne m’a pas cassé la peau, mais il voulait clairement me faire du mal.
Je ne sais pas quoi faire,mes sentiments sont blessés et je ne suis plus à l’aise là-bas. Ce chien est-il raciste ? Comment dois-je gérer cela?


Reponse de Katherine Houpt, Ph.D.: vétérinaire, biologiste comportementale, et professeur émérite de médecine comportementale à l’Université Cornell College
of Veterinary Medicine:
« Les chiens peuvent certainement faire la différence chez les gens par race (après tout, ils peuvent faire la différence entre des jumeaux identiques),
mais ils ne devraient pas mordre les gens en fonction de la race. Danny n’aime probablement pas les visiteurs, et plus « inhabituel » ils se tourner vers lui, plus il sera agressif.
« Votre œur a mentionné qu’il était un chien « méchant », de sorte que vous n’avez pas été la seule victime de Danny. Il a aussi quatre autres chiens dans sa meute,
ce qui le rend encore plus courageux.
« Vous avez été mordu en partie parce que vous avez tendu la main, qu’il peut avoir interprété comme une menace. Vous devriez garder vos mains sur vos côtés
(nous disons aux enfants d'«agir comme un arbre ») et ne regardez pas directement Danny, parce qu’un regard direct est une menace.
Votre belle-famille devrait trouver un bon entraîneur qui utilise des méthodes positives (pas des colliers de choc ou de pincement) pour former le chien ou, mieux encore,
un comportementaliste vétérinaire. Pendant ce temps, vous pouvez raisonnablement demander qu’il soit mis dans une autre pièce (ou sa caisse) lorsque vous arrivez.

Le Dr Houpt est préoccupés par votre fils.
Elle dit: « Les petits enfants sont les victimes les plus fréquentes de morsures de chien, et ces morsures proviennent de chiens qu’ils connaissent.
Étreindre un chien est souvent le déclencheur de l’agression, parce que la plupart des chiens n’aiment pas être étreints.

La NASA cessera d’utiliser des noms péjoratifs pour les "objets spatiaux".

À quelque 5 000 années-lumière de la Terre, il y a une étoile pittoresque et mourante qui excréte ses puissantes couches gazeux. Jusqu’à récemment, la NASA faisait référence
à cet objet spatial profond, connu sous le nom de nébuleuse planétaire, sous le nom de « nébuleuse esquimau ».
Plus maintenant.

L’agence spatiale a annoncé mercredi qu’elle scrutait et examinait les surnoms d’objets cosmiques aux noms désobligeants.
Cette décision intervient alors que les sciences et la société sont confrontées à l’utilisation enracinée de noms ouvertement racistes, nuisibles ou historiquement répugnants.
Le mouvement de la NASA fait suite à la poursuite, retombées importantes de protestations contre les policiers qui ont injustement ou horriblement tué des Noirs,
tels que (mais pas presque limité à) Breonna Taylor, Elijah McClain, et George Floyd.
« Alors que la communauté scientifique s’efforce d’identifier et de lutter contre la discrimination systémique et l’inégalité dans tous les aspects du domaine,
il est devenu clair que certains surnoms cosmiques ne sont pas seulement insensibles, mais peuvent être activement nuisibles », a écrit la NASA.

La NASA commencera par deux objets cosmiques :

La nébuleuse esquimau : la NASA cessera d’utiliser ce nom pour la nébuleuse planétaire NGC 2392.
« Les Esquimaux sont largement considérés comme un terme colonial à l’histoire raciste, imposé aux peuples autochtones des régions arctiques », explique la NASA.

NGC 2392 , anciennement connu sous le nom de « nébuleuse esquimau ».




La « Galaxie jumelle siamoise »: la NASA va maintenant se référer à cette paire de galaxies spirales avec leurs noms astronomiques officiels, NGC 4567 et NGC 4568.
(Chang et Eng Bunker étaient des jumeaux siamois-américains unis qui ont été exposés publiquement dans les années 1800.
Le terme a ensuite été utilisé d’une manière raciste dans le film de Disney Lady and the Tramp.)

Pour d’autres galaxies, nébuleuses et objets cosmiques aux noms racistes ou nuisibles, la NASA affirme qu’elle n’utilisera désormais
que les désignations officielles de l’Union astronomique internationale dans les cas où les surnoms sont inappropriés.

Lorsqu’ils sont inoffensifs, les surnoms pour les objets cosmiques jargony sont utiles et faciles à digérer.
« Mais souvent, les surnoms apparemment inoffensifs peuvent être nuisibles et nuire à la science », a expliqué la NASA.

« Ces surnoms et termes peuvent avoir des connotations historiques ou culturelles qui sont répréhensibles ou importunes, et la NASA est fermement engagée à y répondre »,
a déclaré l’administrateur associé de la NASA pour la diversité et l’égalité des chances, Stephen T. Shih, dans un communiqué.


source
sea.mashable.com

Après, si ces racialistes continuent à faire ch..., ils vont avoir un retour de feu dans la tronche.
Des thèses d'extrême droite risquent de réapparaître sur la supériorité de la race blanche, à qui on devrait toutes les avancées notables depuis 2000 ans.
L'unité nationale risque d'en prendre un coup sévère...

vania a écrit:

Après, si ces racialistes continuent à faire ch..., ils vont avoir un retour de feu dans la tronche.
Des thèses d'extrême droite risquent de réapparaître sur la supériorité de la race blanche, à qui on devrait toutes les avancées notables depuis 2000 ans.
L'unité nationale risque d'en prendre un coup sévère...

C'est déjà ce qui se passe !

Oups!  un montage video sur le racisme des annees 90 qui fait flop

Explication

https://www.youtube.com/watch?v=sOWuFu-ge_c

Excellente réaction de la personne concernée, qui refuse d'être instrumentalisée..

Opéra : fini le Lac des Cygnes raciste

L’actualité est fabuleuse, c’est la fin du privilège de l’homme blanc tant décrié par Macron.
007, terminé le James Bond machiste, raciste, sexiste, violent, alcoolique, la franchise a décidé que le héros sera une héroïne issue de la diversité opprimée.
Un humoriste Norman a cru bon de faire une blague sur ce changement ; devant le tollé il a mis les deux genoux à terre et a demandé pardon aux nouveaux maîtres.
Pour l’instant, Thuram le grand intellectuel antillais par ses lunettes n’a pas donné son avis, entre deux postillons familiaux ça ne saurait tarder.

Maintenant c’est l’Opéra de Paris qui fait repentance. Le répertoire va être changé car il est foncièrement raciste, discriminatoire, c’est une honte qui rappelle les heures
les plus sombres ...
Bien entendu la direction de l’Opéra, via Alexander Neef, un nom qui fleure bon le Gross Paris, obéissant, a tout de suite pris conscience du problème.
Le Lac des cygnes, Casse-Noisette vont être supprimés du répertoire. En plus, c’est qui l’auteur ?
Un certain Tchakofski, Chavkoski, un truc en ski, un nom à être entraîneur du PSG. En tout cas un privilégié blanc raciste (un pléonasme).
Cette période détestable est terminée, l’heure est à l’ouverture sur l’autre et sa sous-culture.

Alexander Neef a bien précisé que ce n’était qu’un début :
« Mais ça ne suffira pas. Supprimer ne sert à rien si on ne tire pas les leçons de l’histoire ».
« Pour réussir une rénovation profonde, pour que dans dix ans les minorités soient mieux représentées à l’Opéra, il fallait une vraie réflexion, confiée
à des personnalités extérieures dans un souci d’objectivité accrue, d’une plus grande liberté de parole. »…

Ma proposition est simple et révolutionnaire. Il faut quitter le Palais Garnier, horrible bâtiment, je ne parle même pas de l’œuvre à détruire de Mitterrand l’escroc,
symbole de la bourgeoisie colonialiste blanche qu’il faudra affecter avec l’accord d’Hidalgo au logement des clandestins qui rénovent la civilisation occidentale décadente
et désormais produire les spectacles Porte de la Chapelle. Ainsi les artistes seront au contact de leur public naturel, ils ne vivront plus au crochet du mâle blanc privilégié.

Au fait, le Blanc privilégié va rarement à l’Opéra, il n’en a pas les moyens.


source
ripostelaique.com

Dommage que le ridicule ne tue pas, on serait rapidement débarrassés de tout un tas de c....... !...

vania a écrit:

Dommage que le ridicule ne tue pas, on serait rapidement débarrassés de tout un tas de c....... !...

Laissons les choses faire, ces **** ne sont pas éternels.

Un peu d humour

Excellent !!...

Le saviez vous ?
Les couleurs des drapeaux à damier vont changer !
Le noir deviendra blanc foncé et le blanc noir clair !
De plus le carreau commençant en haut à gauche du drapeau se trouvera en bas à droite et inversement mais aussi pour tous les carreaux !
C'est pas tout, ce drapeau sera agité dans le sens contraire, si le commissaire l'agitait de haut en bas il le fera de bas en haut et inversement pour un autre commissaire. A l'heure actuelle il n'est pas prévu de gauche à droite mais le gouvernement y pense. (Il n'y a bien sûr aucune connotation politique).

Une autre serie

Que d'évidences, mais n'allons pas trop loin pour éviter les problèmes...

Quelqu’un a shooté le présentoir antiraciste à la FNAC.
On remarque que ça ne part pas beaucoup. Soit les antiracistes ne savent pas lire, soit ces livres sont chiants. Ou les deux.





Un défilé de mode ou l on met en valeur la femme noire,la blanche etant l esclave a moins que ca soit l inverse car c est la noire
qui porte la blanche...on ne sait pas  






Livre d ecole anti-raciste

On peut aller dans tous les sens qu'on veut, mais il y a une réalité: les prisons.
C'est pas des gaulois qui y sont en majorité, et la première religion représentée est l'Islam, c'est officiel.

Une campagne de timbres contre le racisme fait polémique

Les timbres mis en vente par la poste espagnole à l’occasion du premier anniversaire de l’assassinat de George Floyd ont créé la polémique.
La série imaginée pour véhiculer un message anti- raciste a en fait exprimé des valeurs inverses, ont dénoncé certains activistes.
Ces derniers ont reproché aux quatre vignettes leurs couleurs différentes en fonction du tarif, explique Capital.

Les teintes représentent différentes colorations de peau. Plus le timbre est clair, plus sa valeur faciale est élevée, ont regretté les détracteurs de l’opération développée
avec la collaboration de SOS Racismo.
La vignette noire vaut 70 centimes d’euros, la marron 80 centimes, la beige 1,50 euro et celle qui évoque la peau blanche est la plus chère, avec un prix de 1,60 euro.
Ces différences de valeur en fonction des types de peau étaient voulues et faisaient justement partie de ce que la campagne dénonçait, a expliqué la poste espagnole.


Il n y a pas en fait de timbre blanc mais plutot creme...jusqu au noir.
Si les prix avaient ete inverse,il n y aurait pas eu de polemique...?




La démarche avait pour vocation de « mettre en lumière les inégalités raciales et promouvoir la diversité, l’inclusion et l’égalité des droits », a assuré l’entreprise postale sur Twitter.
Le projet a été lancé dans le cadre du mois européen de la diversité. Dans une vidéo présentant les timbres, Correos, la poste espagnole, a évoqué
« la représentation d’une réalité injuste et douloureuse qui ne devrait jamais exister ».

Les différences de valeur des timbres rendront les lettres et les colis « symboliques de l’inégalité générée par le racisme », a estimé l’organisme.
Tout en saluant la démarche, le militant anti-racisme Moha Gerehou a déploré « un problème de fond insurmontable ».
Il a en effet estimé que la campagne montrait que « les timbres noirs ont moins de valeur que les blancs ».



source
20minutes.fr

Le connerie devient sans limite !
Faut vraiment chercher l'éventuel mal là où il n'est pas.
On va vraiment finir par devenir raciste si ça continue comme ça, mais très raciste.

Ils nous font ch... !
Et en effet, on va vraiment le devenir, racistes...

Par contre la France n aura aucune remarque ....en 2030,il n y aura plus un blanc ?

Regarderai pas cette coupe d'Europe, déjà bien trop politisée à mon goût !...

Les variantes du coronavirus ont de nouveaux noms : on peut enfin arrêter de stigmatiser les pays...

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé un nouveau système de dénomination pour le coronavirus qui utilise des lettres grecques pour désigner
les différentes variantes. Pour les variantes préoccupantes:

B117 (la variante du Royaume-Uni ou du Kent) sera désormais connue sous le nom d’alpha,
B1351 (Afrique du Sud) sera bêta,
P1 (Brésil) sera gamma et
B16172 (Inde) delta.

Pour les variantes d’intérêt,
B1427/B1429 (US) est epsilon,
P2 (Brésil) est zêta,
B1525 est eta,
P3 (Philippines) est thêta,
B1526 (US) est iota et
B16171 (Inde) est kappa.

L’espoir est que ce nouveau système mettra fin à la pratique stigmatisante consistant à nommer les variantes d’après l’endroit où elles ont été identifiées,
des expressions telles que la « variante indienne » étant abandonnées au profit de la « variante delta ».

Il s’agit d’une étape importante. L’utilisation de noms géographiques peut attiser le racisme et la xénophobie.
Cela pourrait également dissuader les pays de chasser de nouvelles variantes, car les trouver pourrait nuire à leur image nationale, comme l’Inde l’a constaté
avec les variantes B1617.
Il n’y a pas non plus de garantie que ces noms géographiques soient exacts, car les variantes peuvent facilement se propager avant d’être découvertes.

Nommer une maladie d’après l’endroit d’où elle est censée provenir a une longue tradition.
Au cours des siècles précédents, les Italiens, les Allemands et les Britanniques appelaient la syphilis « la maladie la Français ».
Le Français, à son tour, l’a appelé « la maladie napolitaine ».
Pour les Russes, c’était la « maladie polonaise », tandis que les Polonais l’appelaient « la maladie allemande ».
Et les Danois et les Portugais l’appelaient « la maladie espagnole ».

Les noms officiels des maladies ont souvent inclus les pays ou les régions dans lesquelles elles ont été identifiées pour la première fois:
rougeole allemande, virus du Nil occidental, syndrome respiratoire du Moyen-Orient (Mers), Ebola (nommé d’après une rivière en République démocratique du Congo),
encéphalite japonaise, Zika (une forêt en Ouganda) et la maladie de Lyme (du nom d’une ville du Connecticut).

Bien sûr, personne ne veut que la stigmatisation de son pays, de sa ville, de sa rivière ou de sa forêt soit associée à une maladie infectieuse.
Dans le cas de la pandémie de 1918 « grippe espagnole », le surnom était particulièrement exaspérant car l’épidémie provenait presque certainement d’ailleurs,
l’Espagne obtenant le rap simplement parce qu’elle était plus ouverte sur ses rapports.

Par conséquent, il y a maintenant une tendance ferme en médecine à s’éloigner de nommer les maladies après l’endroit où elles ont été identifiées pour la première fois.
Lorsque l’OMS a mis au point un nom pour la maladie causée par le SARS-CoV-2, elle l’a appelée COVID-19, une contraction de la « maladie à coronavirus 2019 ».
Cependant, cela n’a pas empêché l’ancien président américain Donald Trump de qualifier le SARS-CoV-2 de « virus chinois ».
Les actes de racisme contre les Américains d’origine asiatique ont ensuite augmenté à travers les États-Unis, devenant un tel problème que l’administration Biden
a adopté une loi spécifique ce printemps pour tenter d’endiguer le problème.
Des vagues similaires de racisme anti-asiatique ont également été observées dans d’autres pays occidentaux.

Malgré cela, jusqu’à présent, les variantes du coronavirus étaient encore communément désignées par l’endroit où elles ont été identifiées pour la première fois
- du moins par les journalistes et le public. Nous parlons de la variante sud-africaine, de la variante brésilienne, de la variante indienne, qui attise les feux du racisme
contre les habitants de ces pays.
Le monde connaît également la variante britannique hautement transmissible, qui au Royaume-Uni s’appelle la variante Kent.
Et dans le Kent, c’est probablement connu sous le nom de variante de l’île de Sheppey - il y a toujours quelqu’un d’autre à blâmer.

Bien sûr, il existe des noms scientifiques pour ces variantes, mais même elles sont «un gâchis sanglant», selon la revue Nature.
Par exemple, la variante britannique porte deux surnoms officiels - en fonction du système que vous utilisez.
Il s’appelle B117 sous le système Pango, mais 20I / 501Y. V1 sous le système Nexstrain. Avec des noms scientifiques aussi imprononçables que celui-ci,
il est facile de voir pourquoi les médias ont opté pour la variante britannique et autres.

Mais ce sont des noms stigmatisants, et alors que les journalistes tentent souvent d’aller avec le légèrement moins stigmatisant « la variante d’abord identifiée au Royaume-Uni
/ Brésil / Afrique du Sud », c’est une telle bouchée que la politesse dure rarement un segment d’information entier.
Heureusement, le système de dénomination de l’OMS, comme il le note, est « facile à prononcer et à rappeler » et ne pointe pas du doigt.
Espérons qu’il s’accroche, et nous pourrons enfin mettre fin au système de jeu du pays.


source
theconversation.com

La France ne protege t elle plus ses citoyens au nom des droits de l homme?
Peut etre Mila devrait elle se refugier en Russie coome Edward Snowden?



Mila s’estime «abandonnée par une nation fragile et lâche»

Mila, la jeune femme victime de cyberharcèlement pour ses propos polémiques sur l’islam, s’est livrée dans l’émission Sept à Huit.
Elle y évoque son quotidien marqué par la protection et la surveillance, mais aussi son avenir dans lequel elle a du mal à se projeter.

En janvier 2020, Mila subissait un torrent d’insultes et de menaces de mort en ligne pour ses critiques très virulentes envers l’islam sur son compte Instagram.
Depuis, la jeune femme de 18 ans continue d’être harcelée, à une semaine du procès lors duquel 13 de ses détracteurs seront jugés.
Dans l’émission Sept à Huit diffusée dimanche 13 juin sur TF1, elle déplore un manque de liberté et de confiance en l’avenir.

«Même quand je suis dehors, je suis en prison», lance-t-elle, affirmant qu’elle est obligée de se «camoufler» à l’aide de vêtements et d’accessoires à chaque sortie.
Dans un entretien au Journal du dimanche (JDD) du samedi 12 juin, elle précise que certains de ses amis ne voulaient plus la voir par crainte d’être surveillés.

Outre un quotidien «très difficile», Mila ne s’estime «pas capable de voir [s]on avenir comme les autres».
«Peut-être que je serai morte dans cinq ans. Je ne vais forcément pas rester en vie», poursuit-elle dans Sept à Huit. Mila a en effet reçu quelque 100.000 messages haineux,
parmi lesquels des promesses de se faire «ligoter, découper, écarteler, lapider, décapiter», avait détaillé son avocat Richard Malka.

Dans son livre «Je suis le prix de votre liberté» à paraître mercredi 16 juin, elle se considère «abandonnée par une nation fragile et lâche».
Des propos qu’elle réaffirme face à la caméra de TF1:
«J’étais persuadée que mon pays n’était pas comme ça». Reconnaissante envers ses soutiens, elle constate pourtant de «la lâcheté» autour d’elle, «personne ne fait rien».

Mila et ses parents avaient déjà dénoncé la «lâcheté» et la «démission» de l’État en décembre dernier lorsqu’elle avait dû quitter le lycée militaire
dans lequel elle avait été placée, ayant révélé le nom de l’établissement.
Depuis, elle est forcée de suivre ses cours à distance, mais s’avoue «perdue dans les études». Elle ne passera d’ailleurs pas son bac cette année.

Le procès de 13 personnes qui l’ont cyberharcelée ou menacée de mort devait se tenir le 3 juin, renvoyé au 21 après l’examen de questions de procédures.
Un nombre qui peut paraître faible au vu de la quantité de messages que Mila a reçus.

D’autres personnes ont été condamnées avant, parmi lesquelles l’auteur d’une vidéo où il mime l’égorgement de la jeune femme, ce qui lui a valu 18 mois de prison ferme.
Ceux qui seront jugés lundi prochain risquent deux à trois ans de prison et jusqu’à 45.000 euros d’amende, pour harcèlement en ligne ou menaces de mort.

De l’autre côté, Me Juan Branco, avocat de l’un des accusés, estimait face à BFM TV le 3 juin que l’affaire Mila avait pris une ampleur trop importante,
affirmant que son client était jugé pour un commentaire sur Twitter «inoffensif» et sans «aucune forme de menace».
Il a également critiqué le gouvernement «qui n’a que faire des réalités mais tout des apparences» et qui n’hésite pas à «instrumentaliser le parquet et les forces de police».


source
fr.sputniknews.com