Vous en pensez quoi ?

Je rajoute aussi car c'est important :
Si tu as une photo en gros plan d'un petit objet, faut faire très attention au moindre détail. Des couleurs qui changent, des peintures qui débordent, des moulages pas bien réussis et là GROS DOUTE. Demi-tour de suite. Ca se voit pas forcément au premier coup d'oeil, mais si les acheteurs se précipitent pas, il y a doute !

Principales choses très évidentes :
Tu achètes sur un site d'enchères !!!!!!!!!! A tes risques et périls. Il se vend de tout et de rien. Style naturabuy etc...
Tu achètes sur un site correcte où il est précisé : "copie" ou "vraie". Là aucun risque.
Le prix donne une indication aussi. Pas cher c'est douteux ou usé, tu fais ou pas.
Très cher faut aussi savoir ce que tu achètes. Une vraie bague SS vaut environ 15.000 €uros, t'as vraiment intérêt à ce qu'elle soit certifiée et garantie. Ca veut dire salle des ventes ou antiquaires obligatoires. Pas comme ça.

Tout un business.

vania a écrit:

Tout un business.

Oui, ça a souvent été et c'est encore pire aujourd'hui. Faut juste se dire "acheter un objet" mais pas tomber dans l'excès. Il y a des collectionneurs de mannequins de différentes armées, ça implique avoir tout l'équipement du soldat. Selon ce que tu veux ça te coute la peau des noisettes. En plus faut la place, à exposer c'est spécial aussi. Des médailles, insignes ou badges ça prend pas de place. Sachant qu'en plus j'ai une épouse qui courre pas après ça, je limite. Les baïonnettes prennent déjà pas mal de place. J'ai connus des gens qui avaient des mitrailleuses neutralisées (certificat à l'appuie), mais beaucoup. Les lois ont changé et je ne sais pas ce que c'est devenu.

Je suis sur un autre coup, je connais pas mais j'ai confiance dans le vendeur :

On dirait que ca a ete fabrique hier....c etait sur le T-shirt de Zelensky

Non mais Zelenski serai beau avec ça. Moi c'est en vitrine. Pas sur la poitrine.

Oui, ça semble bien neuf...

Je ne connais pas la matière donc difficile d'en dire plus. Sauf que ce vendeur est correct. Il est parfois possible de trouver des objets qui sont neufs, c'est rare mais ça existe. J'ai bien une baïonnette "fin de guerre" qui n'a tué personne. Elle est comme sortie d'usine presque mais elle est bien réelle. Vu le prix je ne me ruine pas sur ça. Faire des copies d'objets peu ou pas connus serait aussi un risque pour les revendre. Les copies sont sur ce qui se vend le plus couramment et recherché. Ceci dit je ne dis pas que vous avez tort, je verrais bien.

Une petite récup (juste les frais de port) pour ce billet russe.

Pas de date sur les billets de 10 roubles ?

vania a écrit:

Pas de date sur les billets de 10 roubles ?

Il m'a dit 1962 mais je vois rien, enfin là j'ai que les photos. Pas grave il me plait.

Militarpass du fantassin DERENBACH du J.R.57
Né en 1869 ; de la classe 1891.
Beau livret militaire très bien rempli avec toutes ses affectations.
La dernière indication de date est 1906.
Complet avec tous ses feuillets additionnels.
(pages de couverture séparées sans gravité)
Superbe écriture cursive à la plume!
Nombreux tampons d'unité:
+KOENIGL.PREUSS.INFANT. REGIMENT
HERZOG FERDINAND VON BRAUNSCHWEIG
WESTFALISCHES N.57

+KOENIGL.PREUSSISCHES
BEZIRKS-KOMMANDO
ESSEN
HAUPTMELDEAMT

+KOENIGL.PREUSSISCHES
BEZIRKSKOMMANDO
DUSSELDORF

C'est pas neuf, c'est du vieux papier mais j'aime bien.

Certificats militaires, du temps du Kaiser...

vania a écrit:

Certificats militaires, du temps du Kaiser...

Oui, ça coûte pas cher car c'est pas de la WWII mais ça reste du vieux papier et j'aime bien.
Faut toujours sauver le passé et ce quel qu'il soit.

vania a écrit:

Oui, ça semble bien neuf...

Suite de cet objet, il est bien réel, pas une copie, des détails très fins affirment l'authenticité. Quelques recherches aussi. C'était pas cher et une copie n'aurait pas valut le coup, il aurait fallut inonder le marché et pour si peu ça vaut pas le coup. J'avoue que je n'étais pas si sûr au début.

Je viens de recevoir mon achat : ce Militarpass, mais en plus j'ai eu une photo / carte postale avec 3 militaires. Je ferais une photo, c'est bien vieux.

Je vais essayer de récupérer ce livre que j'aimerais bien lire. Si toutefois le personne veut bien me le vendre mais surtout l'envoyer en Hongrie, le prix est vraiment faible, j'airais plus de frais de port que du prix du livre.

Voilà le "parcourt" de  cette femme :
Edith Hahn Beer (24 janvier 1914 – 17 mars 2009) était une juive autrichienne qui a survécu à l' Holocauste en cachant son identité juive et en épousant un officier nazi.
enfance
Hahn était l'une des trois filles nées de Klothilde et Léopold Hahn. Ses parents possédaient et dirigeaient un restaurant. En juin 1936, Léopold mourut alors qu'il travaillait comme directeur de restaurant dans un hôtel des Alpes.
Bien qu'il soit rare qu'une fille de cette époque fréquente le lycée, le professeur de Hahn a persuadé Léopold d'y envoyer sa fille. Après avoir obtenu son diplôme, Hahn a poursuivi ses études à l'université et étudiait le droit au moment de l' Anschluss , lorsqu'elle a été forcée de quitter l'université parce qu'elle était juive.
Seconde Guerre mondiale
En 1939, Hahn et sa mère furent envoyées dans le ghetto juif de Vienne. Ils furent séparés en avril 1941, lorsque Hahn fut envoyé dans une plantation d'asperges à Osterburg , en Allemagne , puis à la papeterie Bestehorn à Aschersleben . Sa mère avait été déportée vers la Pologne occupée par l'Allemagne nazie deux semaines avant que Hahn puisse retourner à Vienne, en 1942. Avec des copies des papiers d'identité d'une amie chrétienne, Christa Denner , Hahn se rendit à Munich.
À Munich , Hahn s'est portée volontaire comme infirmière de la Croix-Rouge allemande. Là, elle a rencontré Werner Vetter, un membre du parti nazi qui cherchait à la marier même après lui avoir dit qu'elle était juive. [4] Ils vivaient ensemble à Brandebourg-sur-la-Havel , se marièrent et eurent une fille, Angelika, née en 1944.
Vetter, dont la cécité d'un œil l'avait initialement exempté du service militaire, fut finalement enrôlé comme officier nazi. Il fut capturé par les Russes et envoyé dans un camp de travail sibérien en mars 1945.
Plus tard dans la vie.
Après la guerre, Hahn a utilisé sa carte d’identité juive longtemps cachée pour récupérer sa véritable identité. L' administration militaire soviétique en Allemagne , ayant besoin d'avocats qualifiés, l'a nommée juge au tribunal de district de Brandebourg . Hahn a supplié les autorités d'occupation soviétiques de libérer Vetter, et il a été libéré en 1947, mais leur mariage a pris fin peu de temps après. Vetter est décédé en 2002.
Alors qu'il était juge, Hahn subit la pression des dirigeants soviétiques pour qu'il agisse comme informateur du KGB . Rejeter ouvertement cette suggestion l’aurait mise en grave danger. Hahn décide alors de fuir avec sa fille à Londres, où ses sœurs s'étaient installées après avoir cherché refuge dans le mandat britannique de Palestine au début de la guerre. À Londres, Hahn a travaillé comme femme de ménage et créatrice de corsets.
En 1957, elle épousa Fred Beer, un marchand de bijoux juif, et ils restèrent mariés jusqu'à sa mort en 1984. Après la mort de Beer, Hahn émigra en Israël et vécut à Netanya jusqu'à son retour à Londres, où elle vécut les dernières années. Années de sa vie. Elle est décédée à Londres en 2009.

Je pense que ça devrait être intéressant à lire.

Quel feuilleton.

vania a écrit:

Quel feuilleton.

C'est pour ça que ça me tente beaucoup.

Je peux pas faire, enfin je recule = le port est de 17,40 €uros le livre vaut 4 €uros. Bien trop cher.