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 la force Francaise navale 39-45 + FNFL

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vania
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SDKFZ
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MessageSujet: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeLun 29 Aoû - 23:27

Encore une autre sujet, qui vas devenir passionnant. Ici je vais vous énumérer la liste des navires et leurs historiques ainsi que les chantiers navals que notre patrie disposait, mais ici, bien sûr je ne vais pas y intégrer la liste de nos plus grands bâtiments, mais uniquement vous parler des méconnus, ou tout simplement les oublier, du moins les non connus pour nous les personnes, qui ne sont ni des marins, et n'habitons non plus dans les régions maritimes ou encore pour les personnes, qui était juste subjuguer auparavant par nos gros bâtiments de notre flotte, et n'avons jamais eu la courtoisie de vouloir savoir plus sur les autres navires, Torpilleur, contre torpilleur et autres navires moyens ou de petit ou faible tonnage.

Ainsi ici, en premier lieu, je vais donc vous donné, la liste des chantiers de construction que la France disposait, et y a fait construire nos navires, et qui ont combattu pendant ce temps là.


Citation :
Arsenal de Lorient
Atelier et Chantier de Bretagne (Nantes)
Atelier et Chantier de France (Dunkerque)
Atelier et Chantier de la Loire (Saint-Nazaire)
Atelier et Chantier de la seine Maritime (le trait)
Anciens Chantier Dubigeon (Nantes)
Forges et Chantier de la Girondes (Lormont)
Forges et Chantier de la méditerranée (Seyne sur mer)
Chantier Dyle et Bacalan (Bordeaux)
Chantier Navale Français (Blainville)
Chantier Augustin Normand (Le Havre)

Ainsi tous ces chantiers, seront ultérieurement listé, en tant que site de construction, pour les navires qui vont être énumérer par la suite..


Dernière édition par SDKFZ le Jeu 1 Sep - 16:38, édité 1 fois
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vania
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeMar 30 Aoû - 12:17

Sais-tu lesquels sont encore en activité, civile ou militaire ?
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SDKFZ
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeMar 30 Aoû - 13:54

De la liste des navires suivants, datant de l'aire de la 1ère guerre mondiale, autant ce qui furent construit dans nos chantiers, que ce qui furent commander par le gouvernement à l'étranger.
Aucun d'entre eux, ne participa à la seconde guerre mondiale.

Pendant l'année 1922, la France disposait de cette liste de navire:

2 Torpilleurs d'Escadre Classe "Enseigne Roux" (Enseigne Roux ; Mécanicien Principale Lestin).

4 Contre Torpilleurs Classe "Aventurier" (Aventurier ; Intrépide ; Opiniatre et Téméraire)

12 Torpilleurs Classe "Arabe" Construit au japon en 1917 (Algérien ; Annamite ; Arabe ; Bambara ; Hova ; Kabyle ; Marocain ; Sakalave ; Sénégalais ; Somali ; Tonkinois ; Touareg).

5 Torpilleurs Classe "Bisson" (Bisson ; Commandant Lucas ; Magon ; Mangini ; Protet)

6 Contres Torpilleurs Classes "Commandant Bory" (Capitaine Mehl ; Cimeterre ; Commandant Bory ; Commandant Rivière ; Dehorter ; Francis Gamier).

Puis il y'avait encore les navires "prise de guerre" datant de la première guerre mondiale, et ici aussi leurs sort, se termina entre le milieu des années 20 et la moitié des années 30.
Et ici pour bien comprendre la dénomination de l'abréviation, il faut savoir que entre 1898-1919 sous le règne de l'empire Allemand "Wilhelm II", ici les navires, disposait des lettres suivant le nom de leurs chantier navale, cela n'a rien a voir, avec la dénomination qui as été utiliser pendant le IIIème Reich, ici les Abréviations suivantes furent utiliser pour les torpilleurs allemands.

B = Pour les chantier Navale de Blohm& Voss
G = Germaniawerft (arsenal Germania "Friedrich krupp")
H = Howaldtswerke (chantier naval de Howald)
S = Schichau-Werke (Chantier de Elbin Ouest de la Prussie)
V = AG Vulcan (Hambourg)
Ww = Kaiserliche Werft Wilhelmshaven (Chantier naval impérial de Wilhelmshaven)

2 torpilleurs Allemands classe "H-145" ("H-146" -> "Rageot de la Touche" ; "H-147" -> "Delage").

4 Torpilleurs Allemands classe "S-133" ("S-133" -> "Chastang" ; "S-134"-> "Vesco" ; "S-135" -> "Mazare" ; "S-139"-> Deligni)

1 Torpilleur Allemand Classe "S-113" -> "Amiral Senes"
1 Torpilleur Allemand Classe "V-130" -> "Buino"
1 Torpilleur Allemand Classe "V-79" -> "Pierre Durand"
1 Torpilleur Austro-Hongrois Classe "Dukla" -> "Matelot Leblanc"

Donc tout ses navires furent désarmé et mise à la ferraille entre 1922 et 1938.

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SDKFZ
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeMar 30 Aoû - 16:50

vania a écrit:
Sais-tu lesquels sont encore en activité, civile ou militaire ?

Citation :
Arsenal de lorient créer par Colbert en 1666 et as fermer les portes grâce à Nicolas (2009).

Citation :
En 1909, la société E de la Brosse et Fouché devient les ateliers et chantiers de Bretagne.
En 1987 après 150 Ans, comprenant divers chantiers, le dernier ferme ses portes en cette année. (président mitterand)

Citation :
juillet 1898.- Date officielle de la naissance de la société des Ateliers et Chantiers de France (ACF), fondée par des entreprises de courtage maritime, la chambre de commerce et l'État. Six cales de lancement sont créées à l'est de la ville, sur 11 hectares.
Années 1980 : lente descente aux enfers.- Les deux car-ferries commandés par la Stena, armement plutôt pointilleux, sont l'arbre qui cache la forêt. Dunkerque fusionne en 1983 avec La Ciotat et La Seyne-sur-Mer : la Normed est née.

Les Chantiers manifestent à Dunkerque, à Lille, à Paris. En vain. En 1986, 1 500 salariés partent en congés de reversion alors que l'âge de la « préretraite » est fixé à 53 ans. Le 15 avril 1987, à 14 h 32, le dernier navire construit à Dunkerque quitte son ber de lancement. Le train-ferry Nord-Pas-de-Calais ne quittera définitivement les Chantiers que le 15 janvier 1988, date communément retenue comme le fin de cette aventure dunkerquoise. Suivront la mise en vente, aux enchères de 2 500 lots et la disparition des grues (entre 1987 et 1989), symbole des chantiers navals. •
(président Mitterand et chirac).
Citation :
les constructeurs nantais Jollet et Babin créent en 1881 les Ateliers et chantiers de la Loire à Nantes, puis à Saint-Nazaire à partir de 1882. Ceux-ci vont se développer de manière importante, sans pour autant abandonner les réalisations nantaises de la société.
À Saint-Nazaire, la Compagnie générale transatlantique reprend à son compte les anciennes installations Scott de Penhoët et y aménage, à partir de 1882, un important site industriel, sous le nom de Chantiers de Penhoët.

à partir de 1843. Suite à un mouvement de concentration et sous l'action de trois constructeurs, Jollet et Babin, Dubigeon et Guillet de La Brosse, trois grands chantiers ont la suprématie de la construction navale nantaise à la fin du siècle : les Ateliers et Chantiers de la Loire (1881) et les Ateliers et Chantiers de Bretagne (1909) sur la Prairie-au-Duc, les chantiers Dubigeon à Chantenay (1846).

En septembre et octobre 1985, Nantes est encore le théâtre de violents
affrontements entre ouvriers et C.R.S. La Navale se mobilise dans les rues de Nantes,
proclamant que "Dubigeon survivra" et que "la Navale ne coulera pas"…
Le 14 novembre, le plan de suppression d'emplois est lancé officiellement. Puis
les événements s'enchaînent : le 2 octobre 1986 a lieu le dernier lancement, celui du
Bougainville, et enfin le 3 juillet 1987 intervient la fermeture du site.
Nantes porte alors le deuil de "sa Navale"…
* * *
Aujourd'hui, le bâtiment des "Ateliers et Chantiers de Nantes" a été rénové, et le
Belem prend toujours ses quartiers d'hiver dans le Port de Nantes ; mais pour les gars de
la Navale, plus de dix ans après la fermeture des chantiers, la blessure n'est pas encore
cicatrisée… Yves Rochecongar fait renaître l'espoir en constatant que "l'estuaire
contribue à rapprocher les hommes plutôt qu'à les opposer" .
(président Mitterand)

Citation :
Crées en 1917 par l'industriel Hippolyte Worms les Ateliers et Chantiers de Seine Maritime, situés sur une des boucles de la Seine au Trait, ont construit 200 navires dont une trentaine pour la Marine nationale. Dans les années 50, il était le chantier le plus moderne de France. Il ferma définitivement en 1972.
(Président pompidou)
Citation :
Le premier chantier naval de la famille Dubigeon a été créé en 1760 par Julien Dubigeon. Charpentier de formation, celui-ci s'est formé progressivement dans tous les corps de métier de la construction navale. Il installe son premier chantier naval sur le site de l'ancienne bourse.
En 1910, Dubigeon est racheté par les Chantiers de la Loire parce qu'à cette date, à la suite d'un décès, les héritiers n'ont pas su s'entendre. En 1919, à partir de cette opération, est formée la société des Anciens Chantiers Dubigeon (ACD) avec les deux chantiers de Nantes et un atelier de réparation navale à Brest.
En 1963, a lieu le rapprochement entre Dubigeon et la société Loire-Normandie, qui aboutit à la formation du groupe Dubigeon-Normandie (Dubigeon-Normandie SA en 1969) : chantiers de Nantes, Dieppe, Le Havre, Petit-Quevilly).
En 1983, c'est l'intégration dans une grande entreprise dominée par Alsthom : Alstom-Atlantique-Dubigeon-Normandie, dont l'élément principal est les Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire.
Le chantier de la Prairie-au-Duc, le dernier de Nantes, est fermé en 1987 après le lancement du dernier navire : le Bougainville.
Citation :
La société s'appelait à son origine Usine de construction navale Chaigneau et Bichon, établissement ouvert en 1836 et spécialisé dans la construction navale de guerre.
En 1882 elle est reprise par les établissements Schneider et devient Chantiers et Ateliers de la Gironde SA-Ets Schneider. Puis elle devient Forges et Chantiers de la Gironde.
En 1927 , elle dépose le bilan entraînant des rachats successifs : en 1959, par les Ateliers et Chantiers de Dunkerque et Bordeaux, puis en 1968, par les Constructions industrielles et navales de Bordeaux. Puis le site industriel est désaffecté .
Elle s'appelle aujourd'hui la Construction Navale de Bordeaux (CNB). Cette société, créée en 1987, construit des voiliers de plaisance.

Citation :
La société des Forges et Chantiers de la Méditerranée a été fondée en 1853 par Armand Béhic (1809-1891), et soutenu par Napoléon III. À l'origine, elle se composait d'un chantier de construction naval à La Seyne et d'un atelier de mécanique de forge à Marseille.
En 1856, elle prit le nom de Société Nouvelle des Forges et Chantiers de la Méditerranée. En quelques années, après installation de divers ateliers de blindage, tôlerie et chaudronnerie, elle honore des commandes de navires de guerre à l'exportation (Russie,Italie, Brésil,...).
En 1872, elle acquiert des établissements au Havre comprenant le chantier de construction navale à Graville-Sainte-Honorine et l'usine Mazeline de moteurs et hélices. L'ensemble du groupe participe activement au programme de réarmement de l'artillerie de l'armée française.
Après-guerre un effort de modernisation des sites est entrepris. La crise de la construction navale en France, à partir de 1959, met le secteur en déclin. Des grands chantiers sont fermés. Les Forges et Chantiers de la Méditerranée sont mis en cessation d'activité à partir du 1er juillet 1966. Sa reprise fut effectuée par les CNIM (Constructions navales et industrielles de la Méditerranée).


Citation :
Sur la rive gauche, après la faillite des Chantiers de l’Océan intervenue en 1869, l’un des administrateurs M. Delahante reprend une partie des installations et crée les Chantiers de Bacalan. En 1879, les chantiers de Bacalan fusionnent avec les Ateliers de la Dyle installés en Belgique et le nouvel ensemble constitue la Société Dyle et Bacalan disposant de deux pôles d’activité, l’un à Bordeaux et l’autre en Belgique.

les derniers chantiers bordelais, malgré diverses tentatives de diversification, doivent cesser toute activité en 1985.
(président Mitterand)

Citation :
En 1816, les Chantiers Augustin Normand, installés à Honfleur, s’implantent au quartier du Perrey. C’est un événement d’importance dans le domaine de la construction navale.
Augustin Normand sera un pionnier de nombreux progrès dans le domaine de la construction navale.

Le Livre Blanc... des années noires...
La crise de la Construction Navale en France remonte pour une part , au fameux “Livre Blanc” sur la construction navale en 1959.
Il vise ni plus ni moins à ramener le nombre de chantiers de construction navale de 8 à 5, et donc à liquider trois chantiers. Les victimes sont
connues: Port de Bouc, Le Trait, Les Forges et Chantiers de la Méditerranée, avec notamment les chantiers de la Seyne.
Il s’agit en somme de ne laisser qu’un seul gros chantier par mer.
C’est là une sourde menace qui pèse sur une industrie essentielle de notre pays, une industrie clé de notre économie nationale, de par le volume de son chiffre d’affaire: 1500 millions de franc en 1964; de par le volume de ses effectifs: 30 000 personnes; de par le volume du chiffre d’affaires consacré à l’exportation; de par la vocation maritime de la France; de par l’importance de cette industrie dans notre indépendance nationale.
Ces menaces inscrites dans le livre blanc se précisent et deviennent des objectifs du Vème plan qui prévoit de limiter la production à 410 000 tx de jauge brute par an et 17 500 travailleurs.
Derrière ces chiffres, se dessine clairement la disparition de certains chantiers ou leur absorption par les plus gros.


La première victime du Livre Blanc: les Chantiers Augustin Normand
En 1962-63, le Chantier Augustin Normand, qui fut une des gloires de la Construction Navale Havraise, qui est aussi le plus ancien, qui a joué un rôle décisif dans le développement de la construction navale au Havre et en France, est à bout de souffle. Il s’est spécialisé pour l’essentiel dans la fabrication de navires militaires: torpilleurs, contre-torpilleurs, sous-marins.
Or le gouvernement décide de réserver cette fabrication à ses arsenaux maritimes. C’est la crise chez Augustin Normand: plus de commandes. Les travailleurs organisent des manifestations, interviennent auprès des pouvoirs publics pour la sauvegarde des chantiers qui ont marqué profondément l’histoire de la construction navale, en essayant d’obtenir de nouvelles commandes.
Rien n’y fait. Leur fermeture a lieu en 1963, laissant le terrain libre à une juteuse spéculation immobilière, avec la construction, quelques années plus tard, de la Résidence de France, sur l’emplacement des chantiers.
Des discussions et des négociations ont lieu à la sous-préfecture entre les patrons de la Navale et les syndicats, en présence du sous-préfet et de l'inspecteur du travail, pour le reclassement du personnel. Celui-ci sera repris pour l’essentiel par les Ateliers Duchesne et Bossière, et par les Forges et Chantiers de la Méditerranée.
Les Ateliers Duchesne et Bossière vont fusionner avec les chantiers Augustin Normand, en 1964, pour former les A.C.H., et plus précisément “Ateliers et Chantiers du Havre Duchesne Bossière et Augustin Normand réunis”.
Mais les conséquences du Livre Blanc ne vont pas s’arrêter là.

Quelques années plus tard, tout est rasé, et à la place de ce chantier, surgit une résidence : la Résidence de France. Belle opération immobilière ! Ainsi va la vie !

donc comme tu peu le voir mon cher, les politiciens s'en foutes royalement de l'histoire de notre patrie, ainsi défendre les usines que notre patrie détenait, non eux ils n'ont qu'une seul vision, celui de faire fabriquer nos navire à l'étranger, pour que les couts soit moindres.

donc notre vie et entièrement gérer par la politique, alors oui, ils faut s'y interessé et même de prêt.

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vania
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeMar 30 Aoû - 19:27

Merci pour toutes ces infos ... Wink
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeMer 31 Aoû - 15:28

Bon commençons donc.
Déjà ici il faut savoir:


Citation :
Officially, the French Navy, there are two classes of torpedo ships: destroyers and counter-destroyers. However, even in official documents such class is not always observed. In the literature, the ships are generally classified into three subclasses:

a) leaders and counter-destroyers (Contre - Torpilleurs);

b) destroyers (Torpilleurs d 'escadre ou Torpilleurs);

c) destroyers (respectivement Torpilleurs et Torpilleurs léger).

Mais ici moi j'ai fais une petite recherche, par rapport à la dénomination des navires de la classe "Leader", et ainsi l'information éclairera plus d'une personne.
Citation :
A flotilla leader was a warship suitable for commanding a flotilla of destroyers or other small warships, typically a small cruiser or a large destroyer (known as a destroyer leader). The flotilla leader provided space, equipment and staff for the flotilla commodore (who typically held the rank of captain), including a wireless room, senior engineering and gunnery officers, and administrative staff to support the officers. They were a feature of navies in the late 19th century and early 20th century. Originally, older light or scout cruisers were often used, but in the early 1900s, the rapidly increasing speed of new destroyer designs meant that such vessels could no longer keep pace with their charges. Accordingly, large destroyer designs were produced for use as leaders.

Donc ici cela nous dénomme bien, la classe.
Contre - Torpilleur lourd. (donc ici, la classification se rapporte au Tonnage des navires)
Mais comme il fus énumérer que les Contres Torpilleurs lourd et les Contre Torpilleurs furent insérer dans la même classe de dénomination (Contre – Torpilleur), ainsi je ne vais plus chipoté sur la dénomination.
Ici j'utiliserais uniquement la dénomination de Contre torpilleur, un point c'est tout.
Ce qui compte aussi pour la dénomination de la classe Torpilleur moyens et Torpilleur d'Escadre (Torpilleurs de classe Moyenne).
Et les Torpilleurs de la classe (Légère).
Donc, moi aimant notre belle langue Française, pourquoi devrais je utiliser la dénomination Anglo - Saxone de Destroyer, alors que en France, ont détient la dénomination de Contre Torpilleur et de Torpilleur.
Et ce n'est uniquement que dans les Années 1970-1980, que as débuté cette frénésie, de vouloir utiliser les dénominations Anglo - Saxone, alors que avant ont avait bel et bien utiliser la dénomination de Contre - Torpilleur et de Torpilleur.
Enfin Bref passons.

Bien, et comme moi, je ne vais pas effectuer du copiage, provenant d'un autre forum, ou une personne a déjà effectuer un travail. Je vais uniquement vous donné le lien, mais ici, sur les énumérations, là il faudra que j'interviennent a de multiple de reprise, du simple fait, que l'auteur du sujet, il as travailler a la vas vite, et ainsi il ne s'est pas préoccuper le moins du monde, si tout cela fus réellement le cas.
Ici les fautes que il a commisse, sont pardonnable du fait, que en ce temps là, il était étudiant, et ainsi que il ne pouvait nullement, approfondir des recherches sur ce qu'il a inscrit dans son sujet.
Ainsi, moi je vais à chaque fois intervenir, lorsque je trouverais des différences.

Donc ici le lien.
http://forummarine.forumactif.com/t5496-france-contre-torpilleurs-classe-jaguar

Ainsi aussi ici, les navires, qui seront listé ici dans cette "classe", seront les premiers pour approfondir le sujet.

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SDKFZ
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeMer 31 Aoû - 21:39

En ce qui concerne les schéma de construction, malgré que je les ais sectionner en trois parties, néanmoins, il faut avoir un peu de patience, pour que mon site d'envoi affiche les images, du fait que ils reste encore a une haute résolution.
et ici cela prend du temps d'afficher ~ 5000 pixel de large par section.
j'ai fais les tests, les images sont bel et bien afficher, ~ 20 secondes d'attente.

Donc, ici comme j'ai trouver le plan du contre torpilleur Chacal de 1926, ainsi ont vas le comparer avec ses autres copains, et a ce que l'auteur énumèrent, que tous les contre torpilleurs qu'il a listé, des félidés, sont des soit disant "sister ship" navire construit identiquement.
Mais là, de suite je met un feu Rouge.
ou plutôt comme c'est agaçant, cette dénomination Anglo Saxone de "sister ship", je suis plutôt d'accord de l'énumérer avec le mot "jumeau"
Puisque, si le "Chacal", le "Jaguar + Panthère" et le "Léopard + Lynx" et le "Tigre" aurais été des "jumeaux", ainsi il existerais que un unique plan de construction, pour tous les six contre – torpilleurs, ce qui est logique, et même cela si, les navires ont été construit dans divers chantiers.
Mais ici, moi je suis d'accord, que les Contre - Torpilleur le "Jaguar" et la "Panthère", eux sont des "vraie jumeaux", tandis que les autres de la liste, sont des "faux jumeaux".
Parce que ici, en terme de vraie jumeaux, ont retrouveras le "Léopard" et le "Lynx", tandis que le "Tigre" et le "Chacal", eux sont des navires uniques.
Ce qui fait, que ont as:
2 contre torpilleurs ("jaguar" et "panthère")
2 contre torpilleurs ("léopard" et "lynx")
1 contre torpilleur "tigre"
1 contre torpilleur "chacal"
Puisque pour ses quatre type de contre – torpilleurs, ils existe des plans de construction différents, ce qui fait que ils appartiennent a la classe identique, suivant leurs tonnages, mais en terme de construction, comme ils sont différents, ont ne peut nullement les nommés que ils sont des "jumeaux".

Donc ici, pour soigné l'hémorragie, je vais rendre plein de marin maquettiste heureux.
Ici, en premier les plans originaux de 1926 du "Chacal".
Mais ici, il as fallut que je le divise en 3 sections, du fait, de la très hautes résolution, que détiennent les plans.
la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_385083Contretorpilleurchacalar13 puis la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_682563Contretorpilleurchacalmilieu23 et l'avant la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_766901Contretorpilleurchacalavant33
Je suppose que ici, il n'y a plus de doute possible.
mise à part, que ici, ont peut aussi utiliser la dénomination "classe identique", du fait, que ses 6 contre - torpilleurs, faisait partie de la première commande de construction d'après guerre, là oui, ils appartiennent dans la classe identique des contre torpilleurs de 2400 tonnes.



Dernière édition par SDKFZ le Jeu 1 Sep - 11:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeMer 31 Aoû - 22:13

Donc ici maintenant j'ai fais la même chose avec le jaguar, et ici, vous pouvez remarquer, que sur le plan, il a bien été énumérer les deux noms, donc, ici, ce sont des jumeaux.
la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_667831contretorpilleurjaguarar13 puis la section du milieu la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_494619contretorpilleurjaguarmillieu23 et l'avant la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_738961contretorpilleurjaguarav33
Donc, ici maintenant, vous pouvez déjà, comparé sagement, avec le contre – torpilleur "Chacal" et vous verrez, que il existes des ressemblances, mais néanmoins, ils sont différents.

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 1 Sep - 0:31

Bon, voici le dernier plan que je dispose, du fait, que pour le contre torpilleur "Tigre" ici pour le moment, je ne l'ais pas trouvé, et ici ce plan est l'original du contre torpilleur "Léopard" et de son jumeau le "Lynx".

la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_419553contretorpilleurleopardar12et l'avant du navire. la force Francaise navale 39-45 + FNFL Mini_796666contretorpilleurleopardav22

Donc ici, une nouvelle fois des différences apparaîtrons, et ses différences ne sont ni égale au plan du "chacal" ni au plan de construction du "Jaguar", ce qui fait, que leurs unique liens qu'ils disposent, c'est d'appartenir à la 1ère série de contre – torpilleurs contenant un tonnage environs identique, et commandé par notre Marine Nationale juste après la fin de la grande guerre.

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 1 Sep - 5:52

Bon à présent, comme personne n'en avait jusque là parler, je vais donc vous énumérer les avantages et les inconvénients, que ils eurent trouvé sur cette première série de contre torpilleur. Ce qui est entièrement normale, du fait, que sur tout engin fonctionnant sur air, mer et terre, a besoin d'être tester, et les tests, eux servirons a améliorer les modèles du futures, n'oublions pas, que à cette instant précis, nous, nous trouvions juste après la fin de la 1ère guerre mondiale, et ici, ils auscultèrent très soigneusement les prises de guerres comme l'est énumérer dans le sujet du forum.

Et maintenant, ici après avoir lu brièvement la première partie de son sujet, comme l'auteur parlait du projet de création, avec les amendements etc…
D'après moi, la suite aurais été que il parle des essais, mais là non rien.
Donc un petit point négatif sur la chose, et c'est aussi une des raisons, qui fait, que l'édition de mon dossier, lui il rame sur une mer déchaîné, parce que trouvé des informations, autre que d'être obligé d'acheter des livres, c'est vraiment ramer sur une mer déchaîner.
Mais pas une mission impossible, du moins si ont as la patience de chercher et de trouver aussi les bons mots clé, qui ouvres les portes du paradie.

Donc les Avantages et les inconvénients de la construction de la première série de contre - torpilleurs d'après la grande guerre.

Citation :
En premier lieu, il y'avait la structure du contre – torpilleur, qui s'est avérer être trop légère. Peu après l'entrer en service, il fus été exprimé des inquiétudes, que au cours de vague importante, que son volume imposant, favoriserais la déformation de la structure du navire.
Ont avait aussi noté que le navire ne possédait pas de double fond, et même dans les parties principale qui furent les cinq salles de machines, ou des sections de chaufferie. Ultérieurement dans le service, il s'est avérer que les craintes, que les concepteurs avait émise, ces craintes se sont avérer vaines. Le "Jaguar" démontra qu'il fus suffisamment costaud, malgré que il fus révéler certaines faiblesse.

Le comportement en mer, était excellent, mais il possédait une silhouette haute et imposante. L'étrave se trouvait à 6 mètres au dessus du niveau de l'eau, et 12 mètre du pont supérieur.
La hauteur de bord était créer d'après un grand voilier, qui pouvait même faire apparaître le vent obliquement, et quand ce fus le cas, ce fus uniquement faiblement. En outre la faible hauteur de la poussé, a conduit à un paisible et silencieux bercement, mais parfois, le tangage a atteint de grande amplitude.
et voilà pour ce soir, ou plutôt comme je regarde l'heure, et qu'il est 4h 41 du matin, pour ce début de matinée c'est tout.

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 1 Sep - 18:06

Bon la suite.
Citation :
Les canons et les tubes lances torpilles, eux ils furent identique a la 1ere série de torpilleurs de "1500 tonnes". Le canon de 130 mm modèle 1919, était considérer en tant que armement tout a fait moderne. Cependant, il ne pouvait prouvé sa supériorité purement théorique que réellement. L'obus du canon de 130, pesait 32 Kg, contre 22.5 Kg pour les Anglais et leurs canons de 120 mm, et comparer au Italiens avec un poids de 13.5 Kg pour leurs canons de 100-120 mm. La porté du canon était encore plus impressionnante, 18500 Pieds = 5638 mètres. Cependant il convient à noter que cette porté du canon, a pu être réaliser au coût de l'augmentation de l'angle de couverture du canon. Et ce pour arrivé à un angle de tir du canon de 36°. Ceci réduisis considérablement la cadence de tir pour arrivé entre 4-5 tir à la minutes, et dans les conditions les plus propices, avec un équipage bien entraîner cela augmenta jusqu'à 10-12 tir à la minutes, du coté des Anglais et des Italiens avec leurs canons de 120mm, la cadence de tir se trouvait entre 6-10 tir à la minute. Il ne fait aucun doute, que il fus possible de réduire la porté de tir, du fait que effectuer un bon réglage de tir sur une si longue distance, était vraiment imprécis. Cette cadence de tir était considérer comme nettement insuffisante pour le navire, ou le calcule était basé sur l'effet de surprise, et que ici ils était obligé de tiré le plus de tir possible et ce pendant un laps de temps assez court.
Il fus aussi noté que malgré le tonnage important du déplacement (1100 à 1200 tonnes de plus que les torpilleurs qui était issus du même programme de construction)les contre torpilleurs, disposait d'un canon de 130mm et d'un 75mm en plus, par rapport aux torpilleurs qui était issus du même programme. Il fus convenu entre autre, que les contre torpilleurs allait disposer d'une vitesse de 4 nœuds supérieur, mais en général ces avantages furent considérer en tant que, ces avantages furent été payé trop chères.

Bon ici ce termine les avantages et les inconvénients, et le prochain paragraphe aborderas les résultat des test moteurs et puissance.

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeVen 2 Sep - 3:42

ah ben là, moi je suis vraiment fier de ma patrie, la preuve, que nous les français, ont avait de la très bonne mécanique.
Cocoricoooo

Citation :
RESULTATS et TEST des chaudières Vapeur et de la transmission.
Les contre torpilleurs ont eu une turbine à vapeur avec une transmission du type "Rateau" (pour "Leopard" et "Lynx"), ou le système "Breguet" (pour les autres navires).

L'emplacement général de l'installation de la machine et de la chaudière, l'installation et la conception des chaudières ont été conçues (et construites), par les ateliers et chantiers navals "Chantiers et Ateliers de la Gironde" à Bordeaux, qui a acheté les célèbres ateliers du "Temple" à Cherbourg. A cette époque là, ils étaient déjà en développement et testèrent certaines chaudières à vapeur à pression élevée, en promettant un grand potentiel, mais les concepteurs n'ont pas voulu prendre de risques, et des contre-torpilleurs reçurent en cette période cinq chaudières normale, la pression de fonctionnement était de 18 kg / cm ². Surface chaudière de chauffage est égal à 1 000 mètres carrés, le volume du four était de 36,41 mètres cubes.
L'utilisation ultérieure des navires ont montré que les chaudières et turbines du "Jaguar" ce trouvait être entièrement fonctionnel et fiable. En temps de paix, lors de leurs "jeunesse" pendant le déplacement effectif des 3.500 tonnes, le navires, a pu facilement démontrer pour maintenir une vitesse de 34 noeuds. Ce résultat était bien meilleur que les test effectuer sur les destroyers modernes étrangers - dans les mêmes conditions qui eux ne pouvait guère tenir une vitesse de plus de 31 noeuds pendant un court laps de temps.

Pour les essais de la conduite de ces navires en mer, il fus préparé un programme spécial, qui avait pour but de fournir un test fiable. Parce que la flotte française n'ont pas passé les tests à haute vitesse des navires, elle avait quelque peu oublié cette expérience. D'après les tests qui furent effectuer quinze ans plutôt - les torpilleurs de "700 tonnes" "Boucher" et "Casque" - aucun torpilleur français ne dépassa les 34 nœuds (la puissance grimpas pas plus haut que 20 000 SHP "Puissance Chevaux Vapeur"), jusqu'en 1925, le premier test du "Jaguar". Néanmoins, le programme de test fourni des résultats très satisfaisants, et plus encore avec les données des échantillons recueillis sur le "Tigre" qui lui a effectuer du sensationnelle .

Le 3 octobre 1925, avec un déplacement moyen de 2380 tonnes (2540 tonnes à vide) le "Tigre" a atteint la vitesse exceptionnel de 35,93 nœuds, en utilisant pendant huit heures, la puissance moyenne de 55 200 SHP. Dans ce cas ci, il y'avait une vitesse de rotation de 355,20 T/mn. Pendant la neuvième heure, il a fait grimper la vitesse de déplacement de 36,7 noeud pour 2237 Tonnes pour monter la puissance à 57.200 SHP. Consommation de carburant par miles marins était uniquement de 758 kg.

Les autres navires tels que le "Jaguar" n'était pas en mesure d'atteindre des vitesses supérieures à 35,7 nœuds (force de la traction). Le nombre de tours par minute à pleine vitesse était à peu près égale de 350,29 pour le "Lynx" et de 355,78 ("Chacal"), la puissance de la mécanique ne différait pas si bien que cela - de 52.192 SHP pour le "Chacal" à 56.000 SHP pour la "Panthere". Pour les chiffres de consommation ont été parmi les meilleurs du contre-torpilleur "Tigre" – avec une moyenne de 27,6 tonnes par heure sur un test de huit heures.


Ainsi ici, plus personne ne peut énumérer que les navires était des jumeaux.
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeVen 2 Sep - 19:26

depuis hier je suis entrain de récolter les récits historiques des navires, et ici une nouvelle fois, je tombe sur pas mal de petit portion de récit, qui ne m'apprennent pas grand chose.
mais j'ai tout de même déjà trouvé quelques piste intéressante, piste ou les mots clé que j'utilise font des ravages.

donc un peu de patience.....
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeSam 3 Sep - 1:24

mais en attendant, donc ici, je vous met une fois d'autres informations.

Citation :
Armement de base et Modification

Armement de base des 6 navires de la classe des 2400 Tonnes, consistait:
5 canons de 130/40 mm modèle 1919(130 obus en stock par canons)
2 canons Anti-aérien de 75mm modèle 1927 (300 obus en stock par canons)
2 Triples lance torpille 550 mm
4 mortiers "Thornycroft" pour charges de 125 Kg (30 charges commune en stock)
2 glissières pour le largage de 16 grenades sous marine de 250 Kg
Composition de l'équipage:
8 Officiers
22 sous –officiers
165 membres d'équipage.

Déjà 5 ans après leurs entrer en service, il fus clair que leurs armements anti-aérien était devenu inefficace. En septembre 1939, il fus décidé de retirer un canon longue porté et les 2 canons anti-aérien de 75mm pour les remplacer avec huit 13.2mm Hotchkiss, par quatre affût double par emplacement.
Les deux premier affût furent installer sur le coté des ponts, et les deux autres furent installer en remplacement du canon central N°3.
le Tonnage à augmenter de 200 Tonnes, tandis que sa vitesse elle a chuté entre 29 à 31 nœuds, et comme en ce temps là, il fus considérer que la plus probable des menaces ennemies provenant de la mer, était l'Italie, uniquement le "Léopard" le "Chacal" et le "Jaguar" furent déplacé du golf de Gascogne vers la manche, et lorsque l'offensive Allemande vers la France commença, l'efficacité de la défense anti-aérienne des navires français, comme chez les britannique, était totalement insuffisante. Et lors du déclanchement de la campagne Française, om a été clairement remarqué, un autre inconvénient, la médiocre maniabilité surtout à vive allure. Le haut niveau de circulation n'as pas permis au contre torpilleur de manœuvrer efficacement, ce qui entraîna un nouveau problème à résoudre, celui, de l'utilisation des contre-torpilleurs dans la manche, lors d'une attaque a grande échelle provenant de la luftwaffe et des Schnellboote (vedette) Allemands.

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vania
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeSam 3 Sep - 10:42

Retrouve t-on la même chose dans les autres marines, à savoir tonnage similaire mais différences dans les détails, même s'il s'agit de "sister ships" ?
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeSam 3 Sep - 13:47

bien, dans un premier temps, je te laisse une fois lire les détails pour les différences entre le "Bismarck" et son faux jumeau le "Tirpitz".

http://www.bismarck-class.dk/technicallayout/bismarck_vs_tirpitz/bismarck_vs_tirpitz.html

ici aussi, il fus toujours énumérer que le "Tirpitz" était le jumeau du "Bismarck"
mais ici, c'est aussi la même chose, le "Bismarck" a été construit par le chantier naval de Blohm et Voss à Hambourg, tandis que le Tirpitz lui as été construit par le Kriegsmarine Werf de Wilhelmhaffen (chantier de la marine de guerre de Wilhemshaffen) qui lui était l'ancien "Kaiserliche Werft Wilhelmshaven" (chantier naval impérial de wilhelmhaffen pendant l'aire impérial de la première guerre mondiale (1854 année de création du chantier)).

Donc ici identiquement, deux chantiers navaux ont construit les deux navires de guerre, ce qui fait, que à nouveau, il existe 2 plans de construction, l'un provenant du "Bismarck" et l'autre provenant de la construction du "Tirpitz".

mais malgré cela, ont a tout de même utiliser la dénomination de "Sister ship", mais ici la dénomination de la classe jumeau du bismarck, est uniquement utiliser parce que les deux était des super cuirassé de guerre et rien d'autre.

Pendant l'aire impérial Allemande, là, comme au départ je te l'avais énumérer, les navires allemands, possédait les Lettres suivant leurs chantiers naval de constructions, "B" pour Blohm et Voss et pour le dernier "Ww" pour les chantiers naval impérial.
donc ici, ont pouvait de suite connaitre la différence, du fait, que un navire de guerre "B" et "Ww" = construction de chantier différent.
mais sous l'aire du IIIème Reich, tout changea, ou même plutôt déjà juste à la fin de la 1ère guerre mondiale, ou fus érradiqué toute dénomination impérial (1918 après la fin de la guerre = (Reichsmarine werf wilhelmhaffen "Marine du Reich" puis sous l'aire hitleriène en 1935 Kriegsmarine werf Wilhelmhaffen).

en clair, si pendant l'aire hitlérienne il aurais continuer a utiliser l'ancienne dénomination "B" et "Ww" pour identifier les navires, ici pour le "Bismarck" il aurais été codé "B-01" ou un autre numéros, et le "Tirpitz" aurais eu peut être "Ww-01", et là, plus personne n'aurais énumérer "sister ship" pour les deux navires.

bon j'ai demandé à Marc, si il souhaitas te répondre, pour un éclaircissement plus détaillé ou plus pointilleux, parce que ici c'est Marc le vraie spécialiste.

mais ici je te donne deux autres liens encore, pour comparer les supers cuirassé de bataille Yamato et Musashi
pour le "yamato"
http://ww2db.com/ship_spec.php?ship_id=1
et pour le "musashi"
http://ww2db.com/ship_spec.php?ship_id=3

donc identiquement deux chantier naval de constructions, Kure Naval Yard, Japan pour le "yamato"
et Mitsubishi Nagasaki Shipyard pour le "musahi"
mais ici c'est presque des vraie jumeau

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeDim 4 Sep - 16:19

bon commençont donc avec le premier navire des six contre torpilleurs de la classe "jaguar"

Commandant contre torpilleur "Léopard"
-1925 Cpt. de frégate Jules, Joseph, Guillaume LE BIGOT
- janvier 1939 Cpt. de frégate Duroché
- 23 Septembre 1939 Cpt. de vaisseau Defforges
- 10 Octobre 1939- 03 Juillet 1940 Cpt. de frégate Loisel
Période FNFL
Période intérimaire
- 03 Septembre 1940 – 07/1941-07/1942-05/1943 Lieutenant de vaisseau Jules Evenou

Mise à jours de l'historique du "Léopard" avant mai 1940, de septembre 39 à Mai 40, mise à part, là ou il est encore signaler dans les autres notes ou il fis équipe avec le "Jaguar" ou avec la "panthère" .
Attention aussi ici avec le "léopard" identiquement comme pour le "jaguar" Allemand, les Allemands disposait aussi du destroyer dénommé "Leopard" et qui lui aussi ont le retrouve pendant avril-mai 1940 dans la campagne norvégiènne. Tandis que le "Léopard" Français lui n'as nullement participer à la campagne de norvège.

Mais ici après octobre 1939, il ne se trouve plus dans les notes des convois….
Donc un trou entre octobre 1939 et mai 1940.

Octobre 1939:
Le 13 Octobre
1ère Escorte:

Le convoi HG-3 formant 25 navires au départ de Gibraltar, était escorter par le destroyer "Keppel" et "Wishart", après l'attaque sous marine du 17, ils se trouvèrent sous la protection aérienne, les destroyers "Elektra" ainsi que "Escort" joignirent le convoi le 18 octobre, il provenait du convoi OA-19, ou ils quittèrent la formation le lendemain le 19, à la hauteur du secteur de la manche, après qu'ils furent relayer par le destroyer "Keith"et qui les escorta la formation du 19 au 21, avant cela les contre torpilleur français "Léopard" et "Trionphant" furent parti de l'escorte entre le 17, et ou ils rentrèrent à Brest le 20. et le reste du trajet, le destroyer "Wren" qui rejoignit la formation les escorta jusqu'à leurs arrivé à Liverpool le 21.

L'attaque du convoi HG-3:
U-37; U-46; U-48:

Le "U-37" Sous marin du type IX sous le commandement Allemand du capitaine de corvette Werner Hartmann. Le 17 Octobre 1939 à coulé le paquebot "Yorkshire" (10183 Tonnes).

A 16h31 le 17 Octobre 1939, le "Yorkshire" du convoi HG-3 a été touché par 2 torpilles tiré des tubes arrières du U-37, ou il coula à 160 miles Ouest-Nord Ouest du cap Finistère (Pos: 44,52° N. 14,31° O. le commandant ainsi que 24 membre d'équipage et 33 passagers perdirent leur vies. 105 autres membre d'équipage et ainsi que 118 passagers ont été repêcher par le navire marchand américain "Indépendance hall" et débarquer à Bordeaux le 20 Octobre.

LE "U-46" sous marin du Type VII B sous le commandement Allemand du capitaine de corvette Herber Sohler. Le 17 Octobre 1939 à coulé le paquebot "City of Madalay" (7028 Tonne).

Le 17 octobre 1939 à 8h00 du matin, le U-46 attaqua le paquebot "Yorkshire" se trouvant en dehors du convoi HG-3, en tirant 4 salves d'obus avec son canon de 8.8 cm. Aucune de ses 4 salves ne toucha le paquebot, et lorsque le vaisseau répondit à son tour en faisant feu sur son U-boot, le sous marin plongea.
Plus tard, à 16h30 le U-46 entendis une explosion, celle-ci fus effectuer par les tirs des deux torpilles effectuer par le U-37 sur le "yorkshire". 20 minutes après le U-46 tira une topille sur le "city of mandalay", ou le capitaine pouvait observer le coup au but, qui avait touché la partie centrale du navire. A 17h00 il ordonna de tirer une seconde torpille, mais celle-ci détonna prématurément.
Le "City of Mandalay" coula quelques instant après, au large de 360 miles Ouest Nord Ouest du cap Finistère (pos: 44,57° N, 13,36° O.). Deux membres d'équipage perdirent la vie, le commandant et 76 membres d'équipage et les passager furent repêcher par le navire américain "Indépencence Hall" qui les débarqua à bordeaux.

Le U-48 Sous marins de Type VII B sous le commandement Allemand du lieutenant de vaisseau Herbert Schultze le 17 octobre 1939 à coulé le navire marchand "Clan Chisholm" (7256 tonne).

A 20h35 le 17 octobre, le "Clan Chisholm" appartenant au convoi HG-3 a été touché par une torpille tiré des tubes arrières du U-48. il coula a 150 miles au Nord Ouest du cap Finistère (pos: 44,57° N 13,40° O.). Le navire fus auparavant touché par une première torpille qui n'explosa pas a 20h32, mais la seconde torpille 3 minutes plus tard le coula.
Le commandant ainsi que 41 membre d'équipage furent repêcher par le navire marchant suédois "Bardaland" qui débarqua lui les personnes sauvé à Kirkwall. Les 17 autres membres d'équipage furent repêcher par un second navire, un baleinier Norvégien "Skudd", et 15 autres furent repêcher par le "Warwick Castle".

Historique du Léopard:
Le 21 mai 1940, la deuxième division de contre-torpilleurs (2° D.C.T) composée du Jaguar, du Léopard et du Chacal, mise à disposition de l’Amiral Nord, arrive à Cherbourg dans la nuit. Chaque navire reçoit la mission d’acheminer du matériel et des équipes de démolition, le Jaguar pour Dunkerque, le Chacal pour Calais et le Léopard pour Boulogne. Ces équipes ont pour objectif la démolition des installations portuaires avant l’arrivée des Allemands dont l’offensive est imminente.

Le 23 mai 1940, après avoir déchargé son matériel à Calais, le Chacal reçoit l'ordre de faire route et de rallier le Léopard qui vient aussi d'accomplir sa mission à Boulogne sous les bombardements. Les deux contre-torpilleurs reçoivent l'ordre de tirer sur les colonnes allemandes qui investissent les positions françaises dont le fort d'Alprech, la tour d'Odre et le fort de la Crèche.

Le 24 mai 1940, le Chacal et le Léopard sont attaqués par des bombardiers devant le cap d'Alprech (au sud de Boulogne). Le Chacal est touché et l'équipage abandonne le navire. Le Léopard est obligé de s'éloigner. Le Messidor récupère 167 hommes, l'Arras 26 et 27 hommes évacuent sur des radeaux de fortune, 22 d'entre eux toucheront terre près du Gris-Nez, 5 épuisés lâcheront leur radeau. Le Léopard rallie Cherbourg.

Le 23 novembre 1940. Le contre-torpilleur Léopard, réarmé par les Forces navales françaises libres, quitte Portsmouth pour le groupe d’escorte de la Clyde à Greenock.

Le 24 février 1941. Le contre-torpilleur Le Léopard coule un U-Boot dans l’Atlantique : c’est la première victoire des Forces navales françaises libres contre la marine allemande.

En Décembre 1940 Pierre de Morsier est nommé commandant en second du cuirassé Courbet à Portsmouth puis en avril 1941, on lui confie ensuite le commandement en second du contre-torpilleur Léopard avec lequel il mène des opérations de convois dans l'Atlantique Nord


En juillet 1941, promu capitaine de corvette, et alors que le Léopard est entré en grand carénage, Jules Evenou exerce les fonctions de sous-chef d'Etat-major des FNFL jusqu'en mars 1942.

Timonier sur le léopard Roger, Jean, Pierre, Auguste Ruel a écrit:
Le 18 février 1942, je rejoins le contre-torpilleur LEOPARD (CDT Jules EVENOU dit Richard) en convois au milieu de l’atlantique. J’ai embarqué d’office sur le contre torpilleur afin de remplacer la désertion de deux timoniers de bord (refus de partir en campagne) après mon arrivée pendant un convoi au milieu de l'Atlantique nous coulions un sous marin allemand. Le 11 Juillet 1942, nous faisions parti de l'escorte du convoi OS33 à destination de Freetown, un deuxième destroyer repère un sous marin qui étais en plongée. Les charges anti sous-marine avaient causé une avarie, ce qui a réduit sa vitesse à 3 nœuds. Le léopard à rejoint la position et d’un seul chapelet de charge coule le sous marin. C’était le U-136.

10 juillet 1942. Le contre torpilleur des Forces navales françaises libres, le Léopard, quitte son port d'attache de Greenock en Ecosse. Son commandant est, Jules Evenou, engagé dès juillet 1940 dans les Forces Navales Françaises Libres sous le pseudonyme de Jacques Richard. Après une escale à Douala (Cameroun), le léopard s'arrêta à Pointe Noire (Congo français) pour y embarquer M. Capagorry, futur gouverneur de La Réunion, qui était officiellement désigné pour effectuer une mission d'inspection en Nouvelle Calédonie où le Léopard devait le transporter après un court séjour à Capetown et Simunstown en Afrique du Sud.

l'U-136 coulé, par le contre-torpilleur Léopard (11 juillet 1942).

Rembarqué à nouveau en juillet 1942 comme commandant du Léopard, il dirige, le 11 juillet, l’attaque à la grenade d’un sous marin allemand, le U 136, qui sera coulé au large de Madère, avec l’aide de deux bâtiments anglais, le Pelican et le Spry.

Mi-novembre 1942, le contre torpilleur, le Léopard, quitte l'Afrique du Sud pour rejoindre l'île Maurice, Il devait être accompagné de deux escorteurs de la France libre le " Commandant Duboc " et " La Moqueuse " mais après un grave incendie le Duboc était hors d'état de naviguer, et La Moqueuse absente du rendez-vous. C'est donc seul que le Léopard doit effectuer l'opération qui lui a été confié, le ralliement de la Réunion à la France libre. A maurice le Léopard ravitaille, le commandant Jules Evenou réuni alors son état-major ainsi que M. Capagorry et leur révéle la vérité sur la mission, puis donne les instructions aux six officiers désignés pour le commandement des six groupes de marins qui devaient simultanément conquérir et défendre au besoin, les points sensibles importants de la capitale de la Réunion.

27 novembre 1942, le Léopard contre torpilleur de la série Jaguar, 2 126 tonneaux, 126 mètres de long, armé de 3 canons de 130 mm, de 6 lance-torpilles et différents pièces anti-aériennes appareille et fait route à l'ouest à une vitesse de 30 nœuds. à 3 h 15 il se trouve à 4 milles de la Réunion, réduisant sa vitesse à 8 nœuds il stoppe à 500 mètres de la pointe du cimetière ( Saint-Denis ).
28 novembre 1942
A 4 h 20, deux pirogues débarquent un second maître radio, un timonier (Roger, Jean, Pierre, Auguste Ruel )et deux matelots dont la mission est de reconnaître le terrain et de prévenir le commandant s'ils trouvent des postes de garde.
A 4 h 30, le timonier signale, qu'il ny a pas de troupes à Saint-Denis, qu'il n'y a aucun poste de garde, le débarquement commence immédiatement.
La première vague comprend 3 officiers et 40 fusiliers marins, elle est transportée rapidement au débarcadère du Barachois.
La seconde vague groupant 40 marins des spécialités de canonniers, de fourriers, de timoniers et de mécaniciens, débarque à son tour menée par quatre officiers.
A 5 h 00, le débarquement est terminé, chacun des six groupes commandés par un officier, sont partis vers l'objectif désigné.
A 5 h 35, le capitaine de corvette Barraquin qui commande l'ensemble des troupes, rend compte par signal optique que tous les objectifs désignés sont pris.
Le Palais du gouverneur.
La gendarmerie où les 200 gendarmes étaient désarmés (armes saisies par des partisans).
Le poste de "Radio la Réunion".
La banque.
La gare dont les rails avaient été démontés jusqu'à la sortie du tunnel.
De plus tous les accès à Saint-Denis étaient solidement gardés. Il s'agissait de la route de l'ouest, de la route de l'est et du tunnel de chemin de fer.
Rapidement le commandant Jules Evenou est informé que toutes les troupes de l'île sont retirées sur Hell-Bourg où le gouverneur est retranché avec la plus grande partie de ses subordonnés civils et militaires et un grand nombre des notables de l'île. Le commandant d'armes, le chef de bataillon d 'Artignan et ses 400 hommes sont aussi à Hell-Bourg à l'exception de quelques petits postes jalonnant la route de Hell-Bourg à Saint-Denis. Le pont de l'Escalier qui commande la route de Hell-Bourg, était strictement tenu par un groupe renforcé.
A 7 H 00, par une emission de radio, La Réunion apprend que " Les marins de la France libre avaient débarqué et après avoir investi Saint-Denis progressaient rapidement vers Sainte-Suzanne et Sainte-Rose. " De suite un grand nombre de partisans du général de Gaulle viennent offrir leurs services au commandant Barraquin qui les utilisa pour renforcer les postes de garde.
Dés la nouvelle du débarquement réussi de Saint-Denis, la population du Port, sous la direction des Communistes, s'empare de la mairie du Port, fait prisonnier le maire M. Coaquette et crée un Comité de Salut Public avec Léon de Lepervanche.
A 7 h 30, le capitaine de corvette Barraquin demande que M. le gouverneur Capagorry prenne ses fonctions au Palais où tout était prêt pour le recevoir.
8 h 45, M. Capagorry débarque mais il fait remarquer solennellement au commandant que le gouverneur Aubert ne s'était pas rendu.
9 h 00, la batterie de canons de la Pointe des Galets se met à tirer sur des embarcations à sa portée qui essayent de rejoindre le Léopard. la batterie de 95 du port est commandée par un enfant du pays, le Lieutenant Hugot qui ne fait qu'exécuter les ordres du gouverneur Aubert. Le commandant de Léopard fait prévenir que si la batterie ne cessait pas le feu immédiatement, il serait dans l'obligation de la détruire.
14 h 00, la batterie recommençe à tirer. Le commandant lui envoye un signal l'avertissant que le bombardement de la batterie commencerait à 16 heures. Le directeur des Travaux Publics Raymond Decugis, ami du lieutenent Hugot est envoyé avec l'enseigne de vaisseau Moreau du Léopard par la route de la Montagne pour parlementer avec lui. La voiture est bloquée au cours de la descente vers La Possesion, une cariole mise en travers de la route empêchant le passage. Les deux occupant de l'automobile descendent pour dégager le passage, à ce moment un feu nourri éclate, M. Décugis est tué net et un groupe de soldats commandé par un lieutenant arrête l'enseigne de vaisseau Moreau, celui-ci est amené par des sentiers de montagne vers Hell-Bourg.
16 h 00, après avoir fait route vers le port, le Léopard bombarde la batterie du Port. Après la troisième salve les veilleurs aperçoivent les canonniers qui s'enfuient. Un obus perdu a fait deux victimes civils, M. Michel Saidou et Julein Rebella. Peu après, les artilleurs du Port fuyant leur batterie, se heurtent aux partisans de Léon Lepervanche. L'escarmouche fait un mort, M. Odon et un blessé grave, le lieutenant Hugot.
Le Léopard mouille l'ancre à proximité de l'entrée du chenal d'accès au Port, Léon de Lepervanche qui a pris le titre de commissaire du peuple se rend à bord du navire et se met à la disposition de la France Libre. Le commandement de la zone du Port et de la Possession est confié à l'Enseigne de Vaisseau Olivier qui débarque avec un sous-officier et deux marins du Léopard. Le bateau reprend la mer direction Saint-Denis.
L'opération militaire est pratiquement terminée. Le corps de débarquement contrôle 70 kilomètres de côte de part et d'autre de Saint-Denis, et le gouverneur Capagorry peut engager une négociation avec le gouverneur Aubert. Bilan quatre morts et un blessé. En fin de journée, le lieutenant Hugot, gravement blessé se rend.
Problème immédiat pour le nouveau gouverneur : le ravitaillement de la colonie au bord de la famine. Quelques rotations du Léopard sur Maurice et Madagascar ont un impact psychologique capital : les Réunionnais retrouvent le goût du riz et Capagorry devient "Papa de riz".
10 décembre 1942. Retour du Léopard en provenance de Port-Louis, transportant divers produits alimentaires et 50 000 mètres de tissus offerts à la Réunion par le gouverneur de Maurice.

Timonier sur le léopard Roger, Jean, Pierre, Auguste Ruel a écrit:
Le 4 Janvier 1943, Le léopard prit la destination de Tamatave, où il est arrivé le 7. De là, il se rendit à Diego Suarez, arrivant le jour suivant. Le 9, il repart pour la Réunion, où il est arrivé le 11. Le 9 Février, le Léopard quitte l'île Maurice, à destination de la Réunion et Tamatave, mais il a dû revenir le lendemain avec une panne de moteur. Après avoir été réparé, le Léopard a navigué à nouveau le 11 et est arrivé à Tamatave le jour suivant. Il est retourné à Maurice à nouveau le 18, arrivant le 21, et le lendemain, a navigué pour Diego Suarez. Le 25, il était à nouveau à Maurice, Le 24 avril 1943, nous mettions le cap à destination de Djibouti.

Jules Evenou est promu capitaine de frégate en avril 1943. Le 27 mai, le Léopard s’échoue au large de Benghazi (Libye) et ne peut-être récupéré.

Timoniersur le léopard Roger, Jean, Pierre, Auguste Ruel a écrit:
Mai 1943 j’escortais des convois sur les côtes est de l’Afrique. Un jour, c’était à peine au lever du jour, la côte était très basse entre DERNA et BENGHAZI (LIBYE) « mauvaise visibilité » pourtant j’ai prévenu l’officier de service (le lieutenant OLLIVIER) que je croyais apercevoir la côte, il n’a pas voulu me croire et nous nous sommes jetés droit sur une dune de sable près de Tobrouk et malgré tous les efforts, il fallut l’abandonner. C’était le 27 mai 1943 et on revenait d’une escorte de convois de l’île de Malte et de Sicile. J’étais timonier de service du côté de la côte puisque que nous allions à Alexandrie.


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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeLun 5 Sep - 6:46

Citation :
U-136
Type de sous marin: VIIC
Ordonner: 7 Août 1939
Chantier de construction: Bremer Vulkan-Vegesacker Werft, werk15 (chantier naval 15)
Commissionner: 30. Août 1941

Commandement: Kptlt. Heinrich Zimmermann (Kapitän Leutnant = Lieutenant de vaisseau "capitaine")

30 Août 41 – 31 Décembre 41 Entraînement 6. Flottille
Nombre de patrouille de guerre: 3

1ere patrouille de guerre: 22 Janvier 42 – Départ base sous marine de "Kiel" 1 Mars 1942 Arrivé Base sous marine de St. Nazaire. 39 jours de patrouille

Entre Le 1er Février – et le 12 Février forme la meute de loup "Schlei" (Tanche) contenant le U-213 et le U-591 Position 60.27N, 07.36O
coule la corvette HMS "Arbutus" (K86) Pos. 55.05N, 18.43O Convoi ON-63, puis coule le "Heina" et la corvette HMCS "Spikenard" (K 198) pos. 56.10N, 21.07O Convoi SC-67
Entre le 13 Février – 1 Mars continue sa route tout seul.
Le 17 Février coule le "empire comet" 58.15N, 17.10W Convoi HX-174
à coulé un tonnage de 12792 Tonnes

2ème patrouille de guerre: 24 Mars 1942 départ base sous marine de St. Nazaire arrivé le 20 Mai 1942 à St. Nazaire. 58 Jours de patrouille.

Aucun rattachement à une meute de loup, destination côte Est des état unis.

Le 19 Avril endommage le "Axtell J. Byles" pos. 35.32N, 75.19O.
Le 24 Avril coule le "Empire Drum" pos. 37.00N, 69.15O.
Le 28 Avril coule le "Arundo" pos. 40.10N, 73.44O.
Le 8 mai coule le "Mildred Pauline" Pos. 39.45N, 54.06O.
A coulé un tonnage de 21662 Tonnes.

3ème Patrouille de guerre: 29 Juin 1942 départ base sous marine de St. Nazaire. 13 Jours de Patrouilles.

Le 2 juillet le U-136 se trouve à la Position. 46.57N, 09.15O.
Le 3 juillet le U-136 forme la meute de loup "Hai" (Requin) 44.15N, 02.30O. contenant le U-116 Werner von Schmidt, U-201 Adalbert Schnee, U-572 Heinz Hirsacker, U-582 Werner Schulte et le U-752 Karl-Ernst Schroeter

Attaque du convoi OS-33

Le 11 juillet 1942 près de Madeire, Portugal, pos. 33.30N, 22.52O le U-136 est coulé par les charges de profondeur du contre torpilleur "Léopard", de la frégate Anglaise HMS "Spey" et du Sloop Anglais HMS "Pelican". 45 Morts (tout l'équipage eu disparu).

Le 12 juillet à 0h30 le U-116 (Schmidt) endommage le cargo "Cortona" (7,093 Tonne Brut)
Trois minute plus tard, le cargo "Cortona" reçois une seconde torpille par le U-201 (Kptlt. Adalbert Schnee), coule le navire 32.45N, 24.45O.

12 Juillet 1942. à 01h42 le U-582 (Schulte) coule le "Port Hunter"pos. 31N, 24O.

Le 12 Juillet 1942. à 04h13 le U-201 (Schnee) coule le "Siris" pos. 31.20N, 24.48O

Le 12 Juillet 1942. à 09h45 Après que le "Shaftesbury" avait été endommagé le 11 Juillet par le U-116 (Schmidt), ou le navire s'était dispersé du convoi, le U-116 coule le navire à la pos. 31.42N, 25.30O.

à 02h21 le 13 Juillet, 1942, le "Sithonia" qui a été dispercé du convoy OS-33, à été torpiller et couler par le U-201 29N, 25O.

à 03h30 le 15 Juillet, 1942, le "Empire Attendant", dispercé du convoy OS-33, a été torpillé et coulé par le U-582. Pos. 23.48N, 21.51O.

6 navires coulé formant une totalité de 39692 Tonnes brut.
Ici je ne connaît pas le nombre de navire que comportait le convoi OS-33, mais ici la meute de loup à torpillé 6 navires.

Peut être que ici, les escorteurs alliées ne disposait plus de charge pour contrer les attaques des autres sous marins.

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 8 Sep - 10:39

Bon continuons!

Commandant contre torpilleur "Jaguar"
- 1925 Cpt. de frégate Dumont.
- 1938-1940 Cpt. de frégate Adam (jusqu'à la fin le 23 Mai)

mise à jour du jaguar, pour les informations entre septembre 39 et le 23 mai 40.
Pour les missions du "jaguar", pour le mois de septembre 1939, veuillez vous référez à l'historique reliant celui de la "panthère" pendant le même temps.
(et attention aussi, les British avait aussi un Destroyer se prénommant "HMS-Jaguar" (F-34), mais celui-ci, pour le moment, se trouvait uniquement dans la zone Anglaise, pas Française, et ainsi aussi les Allemand disposait d'un destroyer portant le nom de "Jaguar" et qui eux l'ont utiliser dans la campagne contre la Norvège en avril-mai 1940, alors méfiance, si vous lisez jaguar dans un texte se rapportant a la bataille de norvège.).

Mois d'octobre 1939:

Le 4 Octobre, le sous marin Français "Bévéziers" au départ de Cherbourg pour Brest, est escorter par le contre torpilleur "Jaguar".

Mois de Décembre:

1ère Escorte:

Le 10 Décembre le convoi OA-50G au départ de Southend formant 36 navires, est escorter par le destroyer "Viscount" et "Antelope", le 11, le convoi s'assemble avec le convoi OB-50G pour ne former qu'un seul convoi (OG-10), l'OB-50G était escorter par le destroyer "Witheringthon" et "Vimy", qui eux accompagnèrent le convoi du 11 au 13 Décembre, ou a cette date les destroyer "Viscount" et "Antelope" furent détaché pour escorter le convoi HG-10. Les contre torpilleurs Français "Jaguar" et "Léopard", qui ont appareiller de Brest le 12, ont escorter le convoi du 13 au 18 date ou le convoi arriva à Gibraltar.
Le jour d'avant, le destroyer "Wishart" fus arrivé a Gibraltar.

Escorte 2:

Le 24 Décembre, le convoi HG-12 formant un total de 48 navires au départ de Gibraltar, est escorter par les contre torpilleurs français "Jaguar" et "Léopard" et ce jusqu'à leur arrivé le 1er Janvier à Brest, ou ils furent relevé par le destroyer "Keppel" ou le convoi arriva à Liverpool le 2 janvier.

Janvier 1940:

Le convoi HG-15F formant un totale de 30 navires appareillant de Gibraltar le 13 janvier, est escorter du destroyer "Broke" ,"Keppel", "Walpole" et Walker depuis Gibraltar, et le sloop "Enchantress" provenant du convoi OG-14F les escorta le même jour.
Le 15 janvier le "Broke" fus détaché du convoi.
Le 17 janvier, le destroyer "Amazon" rejoignit l'escorte quant au "Keppel" il a subi des dommages en étant entrer en collision avec le contre torpilleur Français "Jaguar".
Le 19 janvier le "Walpole" et le "Walker" furent détaché du convoi, le 20 janvier ce fus "l'Enchantress" qui fus a son tour détaché du convoi, laissant jusqu'au 22 le destroyer "Amazon" terminer l'escorte.

Escorte 3:
Le 16 janvier 1940.
Le croiseur léger Français "Duguay Trouin" accompagné du torpilleur "Railleuse" au départ de Casablanca avec le paquebot français "De la Salle" pour Lorient, ainsi que du Paquebot "Brazza" qui appareilla de Casablanca en même temps, ils furent en premier temps escorter par le torpilleur "Basque" jusqu'à Bordeaux. Et a cette hauteur, il fus remplacer le 17 Décembre par le contre torpilleur "Jaguar" qui venait d'appareiller le 15 de Brest. Ainsi que du "Bouclier" qui arriva lui de "Lorient".

Le 17 Janvier:
Le Contre torpilleur Français "Jaguar" était entrer en collision avec le destroyer Anglais "Keppel" a 04h35, à 100 miles au Sud Ouest de Vigo. Le "keppel" était entrain d'escorter le convoi HG-15F jusqu'à 19h00 le 16 janvier, lorsque il effectua sa manœuvre en contournant le convoi par le sloop "Enchantress". Celui-ci fus gravement endommagé par le contre torpilleur francais "Jaguar"et fus escorter jusqu'à Gibraltar par le torpilleur français "Railleuse" ainsi que du destroyer Anglais "Vortigern", qui furent prêter par le croiseur léger français "Duguay Trouin". Le Keppel arriva à Gibraltar le 20, et repris la mer le 10 février pour arrivé dans les chantiers de malte le 14 février, et qui du rester pour être réparer jusqu'au 5 Avril. Il est revenu à Gibraltar le 19 Avril. Quant au contre torpilleur français "Jaguar", celui-ci fus réparer à Brest.

Mai 1940:
Le 05 Mai:
Escorte 4:

Le convoi OG-28 a été assemblé par le convoi OA-140G qui est parti du Southend le 2, et qui fus escorter par le destroyer "Withehall" et qui lui parti de Liverpool le 2 formant l'escorte avec le sloop "Rochester" formant un totale de 44 navires.
Les destroyers "Withehall" et le sloop "Rochester" les escortèrent jusqu'au 5 Mai. Ou il furent détaché du convoi pour rejoindre le HG-28.
La seconde escorte fus celle du contre torpilleur Français "Jaguar" et du vaisseau auxiliaire français "Minerve" qui escorta le convoi jusqu'à la fin le 10 Mai lorsqu'il arrivèrent à Gibraltar.

Voilà, le reste vous êtes au courant.



Citation :
Mardi 21 mai 1940. Les allemands ont envahi depuis onze jours, les Pays-bas, la Belgique, le Luxembourg. Depuis la veille, ils sont à Abbeville.
La 2ème DCT s'engouffre à 25 nœuds dans le goulet de Brest, en ligne de file, le Jaguar , le "Chacal" et le "Léopard". A 1h du matin la division mouille dans la rade de Cherbourg. Quelques heures plus tard, un ordre tombe: la 2ème DCT a été désignée pour transporter dans les trois ports de Boulogne, Calais, Dunkerque, le matériel et les équipes de démolition nécessaires pour détruire ces ports si l'avancement ennemi l'impose.
Le Jaguar a été désigné pour Dunkerque : il rappelle aux postes d'appareillage vers 15h30 le 22 mai. A ce moment un télégramme arrive : il faut prévenir l'Amiral de l'arrivée du navire et demander des remorqueurs pour le transport des équipes de démolition et de matériel.
Le Jaguar a 200 milles à parcourir à la vitesse de 27 nœuds ; Il sera à Dunkerque vers 23h30.
On craint l'aviation ennemie, personne ne songe aux Schnell-Boats. Un avion ennemi passe vers 22h15 dans le détroit du pas de Calais: un fracas de verre brisé, une odeur de poudre, deux morts, des blessés : le contre torpilleur poursuit néanmoins sa route. Peu après minuit, le navire arrive en rade de Dunkerque. Sur le travers tribord le pétrolier "Niger" en feu depuis 48 heures à la hauteur de la bouée 2 ouest.
Les allemands attendaient le Jaguar, l'Amiral Saalwächter détache deux vedettes lance torpille "S21 (Von Mirbach)" et "S 23 (Schnell Boot)".
Le commandant va rappeler aux postes de mouillage. Vers 0h45 une torpille du Schnellboot ("S 23 (Schnell Boot)" du Lieutenant allemand Christiansen) vient de touché le bâbord, à hauteur de la passerelle. Tout à coup une explosion formidable, le navire a son compte. Il prend de plus en plus de gîte. A bord des morts et des blessés. Un dragueur qui se trouve non loin de là : la "Monique Camille" (Enseigne de Vaisseau de réserve Mariotti) prend à son bord tout l'équipage vivant à l'exception d'une vingtaine d'hommes et d'officiers mariniers restant à bord avec les officiers. Un deuxième patrouilleur : Le Matelot (enseigne de vaisseau Cojean) tente de remorquer le navire touché à mort.
Quatre heures du matin : le Jaguar n'a pas fait un demi mille. Le Commandant Adam donne l'ordre d'évacuer.
Le Matelot réussit tant bien que mal à démarrer. Un remorqueur de Dunkerque arrive, la gîte n'a pas augmentée. Le Commandant Adam et quatre volontaires se font ramener à bord pour aller tourner la remorque.
Le médecin de Première Classe Hervé Cras est appelé au poste d'équipage du chalutier pour soigner quelques rescapés. Tant bien que mal le Jaguar est amené à la plage de Malo les Bains ou il gît encore.
Les blessés sont débarqués dans l'avant-port et conduits dans une clinique de Malo ainsi qu'à la Caserne Ronarch.
L'équipage, dont fait partie le médecin de la marine Hervé Cras, est expédié à l'ouvrage Ouest. L'épave, comme toutes celles qui sont échouées sur les plages, recevra encore plusieurs bombes. Le 31 mai, le capitaine de frégate Adam retourne une dernière fois à bord pour la faire sauter afin de ne rien laisser à l'ennemi. Les flancs contiennent encore des grenades sous-marines, des munitions et 20 tonnes de tolite. Quinze ans plus tard, l'épave sera encore là.


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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 8 Sep - 11:41

Donc ici le dernier des trois qui ont formé la seconde division de contre torpilleur.

Mise à jours du chacal, historique septembre 1939- mai 1940 + mise à jour du commandant d'avant 40. Ce qui rectifie aussi le premier historique, ici la période ou le canon de 130 du milieu du navire à été retirer, se trouve être soit pendant le mois de Septembre 39, soit pendant les laps de temps entre une des 4 première Escortes de 1939. ou le contre torpilleur "Chacal" resta dans la rade de Brest. Ou alors, le canon as été retirer dans les mois précédent septembre 39.

Historique 1939:

Octobre 1939.
1ère Escorte 26 Octobre:

Le convoi OG-4 totalisant 40 navires à été assemblé à partir du convoi OA-24G et du convoi OB-24G.
Le convoi OA-24G était escorter du destroyer "Elektra" et du "Escort", et le convoi OB-24G qui avait appareiller de Liverpool, était escorter par le destroyer "Warwick" et "Vanoc". Le convoi sont arrivé à Gibraltar le 1er Novembre sans perte, sous l'escorte du Contres torpilleur Français "Chacal" et du torpilleur "Mistral", qui eux ont pris la relève en appareillant de Brest le 26 Octobre, et ont rejoint le convoi le 27 octobre.

Novembre:
Escorte 2:

Le 6 Novembre, le convoi HG6 formant un totale de 34 navires, et ayant appareiller à Gibraltar, était escorter des Destroyer "Watchman", "Vortigern" ainsi que du contre torpilleur français "Chacal" et du torpilleur "Mistral". Les navires français ont escorter le convoi du 6, en patrouillant dans le secteur 43-30 N. et 12-30 O. au 10, le 13 les français sont rentrer à Brest. Le Destroyer "Isis", après avoir rejoint le convoi avec leur capture du navire Allemand cargo "Leander" il as escorter le convoi du 12 au 14, jusqu'à ce qu'il arriva au dépôt de la base sous marine cyclops, ou il as escorter le convoi jusque dans les eaux territorial Anglaise , ou le 14 novembre, le convoi arriva au port de Liverpool.

Escorte 3:

Le convoi OB-36G ou se trouvèrent des chalutiers anti sous marin "Artic Ranger", Kingston Cornelian", "Lord Lotham" et "Leyland", pour leurs travaux local anti-sous marin dans le secteur du passage de Gibraltar, qui se trouvait intégré dans le convoi entre le 17 et le 24. L'OA-36G avait rendez vous le 19 novembre avec le second convoi OB-36G qui fus dénommé par la suite OG-7, formant un totale de 43 navire. Le convoi fus escorter par le contre torpilleur "Chacal" et du torpilleur "Mistral". Le 20 le Destroyer "Keppel" intégra l'escorte. Le 24 le convoi arriva à Gibraltar.

Chasse de sous marin:

Le 19 Novembre, le convoi HG-7 sous l'escorte française des contre torpilleurs "Tartu" et "Vauquelin", ont signaler que un sous marin allemand, était entrain de suivre le convoi.

Le contre torpilleur français "Chacal" et le torpilleur "Mistral" qui était disponible, se sont lancé à la recherche du contact à 120 miles 315° du cap Finistère, les destroyers "Gallant", "Walker", "Vanoc","Wolverine" et "Verity" ont été envoyé en renfort sur place.
Aucun sous marin n'a pu être retrouver.

Escorte 4:
Le convoi HG-9 qui était parti de Port Saïd le 19, après leurs arrêts à Gibraltar formant un total de 53 navire, le convoi est parti sous escorte des destroyers "Vortigern" et "Wishart" ainsi que du contre torpilleur Français "Chacal"et du torpilleur "Mistral" ou les Français les ont escorter entre le 30 novembre jusqu'au 8 décembre à leurs arrivé à Brest. Par la suite le Chalutier "Vulcan" provenant de la 1ère Motor Torpedo Flotilla a remplacer l'escorte jusqu'à leur arrivé à Liverpool le 10 décembre.

Ici ne fus pas énumérer d'attaque de U-boot, ou il y'a eu perte de navire, mais le convoi à tout de même perdu un navire, ou le tonnage du navire a été crédité sur le compte de l'U-20:

A 16h00 le 10 décembre 1939, le cargo Willowpool, transportant du minerai de Fer, et qui a été dispersé du convoi HG-9, a percuté une mine, que le U-20 avait posé le 20 novembre, à 3 miles à l'est de Newarp le cargo coula à la position; 52°52'48" N. 01°51'12" E. Le commandant et les 35 membres d'équipages ont été repêcher par le navire de secours en mer "Gorleston".
LE U-20 était un sous marin du type IIB, qui était pendant cette période sous le commandement du lieutenant de vaisseau Karl-Heinz Moehle.

Janvier 1940:
Escorte 5:

Le convoi, OA-75G qui était parti de Southend le 19 janvier, et qui s'est assemblé avec le convoi OB-75G pour former le 21 le convoi OG-15 contenait un total de 49 navires.
L'escorte fus des destroyer "Whirlwind" et "Witheringthon" provenant de l'escorte de l'ancien convoi OB-75G et du "Keith" qui lui a été intégré avec le convoi OG-15 entre le 21 et le 22. l'escorte française du contre torpilleur "Chacal" et du vaisseau auxiliaire "Capitaine Armand" eux ont fait l'escorte entre le 22 et le 27 janvier. Deux destroyer provenant de Gibraltar, se sont joint à l'escorte le 27 lors de l'arrivé du convoi à Gibraltar.

Fevrier 1940:
Escorte 6:

Le convoi HG-17 qui a appareiller de Gibraltar le 1er Février. Le convoi formait 20 navires, il fus escorter par le destroyer "Vidette" du contre torpilleur français "Chacal" et du vaisseau auxiliaire "Capitaine Armand". Le chacal par la suite à été détaché du convoi, pour entrer dans la rade de Brest le 9 Février. Et le Vaisseau auxiliaire "Capitaine Armand", quand à lui, il est rentrer à Brest 1 jour plus tard le 10 février. Pendant le 8 Février et pour le reste du trajet, le convoi fus escorter par le destroyer "Vimy" jusque dans les eau territorial Anglaise, ou le convoi arriva le 11 Février.

Escorte 7:

Le convoi OA-95G qui est parti de Southend le 20, et le convoi OB-95G qui lui est parti de Liverpool le 21 février, contenant un totale de 34 navires, c'est assemblé pour former le convoi OG-19 le 25 février. Aucune escorte n'a pu être trouvé pendant cette période, mais à leurs arrivé à Gibraltar, le 29. le convoi fus escorter par le destroyer "Douglas" du contre torpilleur Français "Chacal" et du vaisseau auxiliaire "Capitaine Armand" qui eux les ont escorter à partir du 23, ainsi aussi du vaisseau d'embarquement "Rosaura"

Mars 1940:
Escorte 8:

Le convoi HG-21F est parti de Gibraltar avec 36 Navires le 1er Mars. Le contre torpilleur Français "Chacal" et le vaisseau auxiliaire "Capitaine Armand" ont effectuer l'escorte entre le 1er et le 6 Mars, et du 7 Mars, respectivement ce fus le destroyer "Whirlwind" provenant du convoi OG-21F qui escorta le convoi entre le 7 et le 10, ou a cette dernière date, le convoi arriva à Liverpool.

Escorte 9:

Le convoi OG-22 formait un total de 49 navires, celui-ci fus assemblé par le convoi OA-110G, qui était parti de Southend le 15, est qui était escorter par le destroyer "Windsor" le 15 et 16 mars. Le destroyer "Wild Swan" joignit l'escorte le 26, le destroyer "Broke" joigna l'escorte le 17, l'OB-110G qui lui était parti de Liverpool le 15, était escorter par le destroyer "Vanquisher" et du navire sloop "Folkestone". Le convoi a entre autre été escorter par le contre torpilleur français "Chacal" et du vaisseau auxiliaire "Capitaine Armand"qui eux firent l'escorte entre le 18 et 24 mars. Le destroyer "Wishart" rejoint l'escorte le 21 et le destroyer "Wrestler" le 23 et qui ont continuer jusqu'à l'arrivé du convoi à Gibraltar.
Le convoi arriva à Gibraltar le 24.

Escorte 10:

Le convoi HG-24F qui a appareiller de Gibraltar le 25 formant une totalité de 27 navires, a été escorter par le contre torpilleur français "Chacal" et du vaisseau auxiliaire "Capitaine Armand", qui ont effectuer l'escorte entre le 25 et le 31 mars. Les destroyer "Broke" et "Vansittart" ont escorter le convoi entre le 31 et le 3 avril ou le convoi arriva à Liverpool.

Avril 1940:
Escorte 11:

Le convoi OG-25 a été former à partir du convoi OA-125G qui est parti de Southend escorter du destroyer "Wakefull" et "Broke" entre le 8 et le 10 avril. L'OB-125G quand à lui est parti de Liverpool le 8, escorter par le destroyer "Verity". A partir du 10, lorsque les deux convois se son assemblé, l'escorte se composa du destroyer "Wakefull", "Broke" et "Verity", mais dans la même journée le "Wakefull" a été détaché au convoi HG-25 dans le même convoi le destroyer "Broke" fus détaché le 11. le destroyer "Verity" fus aussi détaché dans la même journée, et a partir du 11 jusqu'au 14 ce fus le tour du contre torpilleur "Chacal" de prendre la relève d'escorte. Le torpilleur Français "Batailleuse" escorta le convoi du 11 jusqu'à l'arrivé le 16 Avril. Le destroyer "Vortigern" lui remplaça le "chacal" pendant le reste du trajet, entre le 14 et le 16 Avril, jusqu'à leurs arrivé à Gibraltar.

Escorte 12:

Le convoi HG-27F contenant un totale de 26 navires a appareiller de Gibraltar le 18, étant escorter par le destroyer "Velox" du contre torpilleur français "Chacal" et du torpilleur "Batailleuse" entre le 18 et le 24 avril. Puis les sloops "Scarborough" et "Leith" prirent la relève des Français en escortant le convoi du 24 au 27. Le "Scarborough" arriva a la tombé de la nuit du 26 avec la section du convoi qui était destiné pour la tamise, tandis que la section principale du convoi arriva le 27 à Liverpool.

22 Mai 1940.

La 2ème Division de contre torpilleur, à reçus l'ordre de faire mouvement de Brest vers Cherbourg.
A Cherbourg, le contre torpilleur "Chacal" a embarqué une équipe de démolition, destiné pour faire sauté le port de calais. Le "Léopard" pour Boulogne et le "Jaguar" pour Dunkerque.

23 Mai

Additionnellement en partant de Boulogne, se trouvèrent la 2ème flottilles de torpilleur (capitaine de vaisseau urgoy de portzamparc sur le torpilleur "Cyclone") avec les contres torpilleurs "Léopard" et "Chacal" et les torpilleurs "Cyclone", "Fougueux" ,"Bourrasque", "Orage", "Mistral", "Frondeur", "Sirocco" et "Foudroyant".

Le torpilleur "Ouragan" de cette flottille, a été réparer à Brest, tandis que les torpilleurs "Boulonnais" et "Brestois", après leurs opérations en Norvège ont pris la route pour la méditerranée.

La flottille basé à Brest, lors des derniers jours venait de perdre le contre torpilleur "Jaguar" et le torpilleur "L'adroit".

24 Mai

Le contre torpilleur "Chacal" (capitaine de frégate J.E.N. Estienne), après avoir déchargé son équipe de démolition à Calais, à la hauteur de Boulogne il fus bombardé et coulé au cap d'Alprecht.

Le chasseur de sous marin 5 ainsi que le chasseur de sous marin 42, ont repêcher les 21 survivants du contre torpilleur "Chacal".

Les torpilleurs restant et faisant partie de la 2ème Flottille ont été ordonné de revenir de Calais vers Cherbourg.


Commandant du contre torpilleur "Chacal"
Capitaine de frégate BROHAN - 1925
Capitaine de Frégate Roger Roques Du 3 septembre 1938 au 13 avril 1940, Commandant du contre-torpilleur "CHACAL".
Capitaine de frégate Jean Émile Noël ESTIENNE, Commandant du contre-torpilleur "CHACAL" du 13 avril au 24 mai 1940.

fin 1939, le Chacal est affecté à l'Ecole Navale où la tourelle de 130 mm du milieu est débarquée. Début mai 1940 il est reversé aux escortes des convois atlantiques. Le 23 mai 1940, il participe à des opérations de bombardements côtiers sur les positions allemandes (fort de la Crèche). Le 24 mai 1940 aprés avoir été touché par quatre bombes d'avions au Cap d'Alprecht près de Boulogne, il est obligé de réduire sa vitesse. Il s'échoue le lendemain, 6 km plus au nord. La veille il avait participé a des opérations de bombardements côtiers sur les positions allemandes.
Le 23 mai 1940, après avoir déchargé son matériel à Calais, le Chacal reçoit l'ordre de faire route et de rallier le Léopard qui vient aussi d'accomplir sa mission à Boulogne sous les bombardements. Les deux contre-torpilleurs reçoivent l'ordre de tirer sur les colonnes allemandes qui investissent les positions françaises dont le fort d'Alprech, la tour d'Odre et le fort de la Crèche.

« Le contre-torpilleur CHACAL, sous le commandement du Capitaine de frégate ESTIENNE (J.E.N.), a exécuté le 23 mai un grand nombre de tirs particulièrement efficaces sur les colonnes ennemies. A été coulé glorieusement le 24 mai. Le capitaine de frégate ESTIENNE (J.E.N.), blessé grièvement à plusieurs reprises le 24 mai, a, malgré ses blessures, continués à donner des ordres jusqu'à ce qu'il perde connaissance. »

Le 24 mai 1940, le Chacal et le Léopard sont attaqués par des bombardiers devant le cap d'Alprech (au sud de Boulogne). Le Chacal est touché et l'équipage abandonne le navire. Le Léopard est obligé de s'éloigner. Le Messidor récupère 167 hommes, l'Arras 26 et 27 hommes évacuent sur des radeaux de fortune, 22 d'entre eux toucheront terre près du Gris-Nez, 5 épuisés lâcheront leur radeau. Le Léopard rallie Cherbourg.

L'épave du Chacal s'échoue devant les dunes de Slack où durant une trentaine d'année, on pourra appercevoir ses superstructures à marée basse. L'épave a été démantellée dans les années 70. Un de ses canons a séjourné sur un quai du port de Boulogne jusqu'en 2004. L'AFLC l'a alors récupéré pour le sauver du ferraillage.



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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 8 Sep - 16:56

Bon, continuons avec la "Panthère"

Commandant contre torpilleur "Panthère"
Capitaine de vaisseau Laborde -1925
Capitaine de Frégate Mando novembre/1938 – Octobre/1940

1939:
Septembre 1939:

5 septembre:
Côte française de la manche – Les contres torpilleurs français "Jaguar", "Léopard" et "Panthère" formant la 2ème DCT, sont parti de Brest pour une mission à Cherbourg, ils sont arrivé à Dunkerque le 7, et deux d'entre eux, ont commencé les opérations de dépose de mine dans le pas de calais. "Panthère" lui est arrivé avec 3 heures de retard, en ayant des problèmes avec une hélice.

Octobre 1939:

9 Octobre:
Boulogne – le contre torpilleur Français "Panthère" est entré en collision avec le chalutier Belge "Van Eyck", le navire à rejoint Cherbourg, et a la fin du mois d'octobre a été réparer.

17 Octobre:
Le contre torpilleur français "Léopard", qui était en mission de dépose de mine dans le pas de calais, et rentrer à Brest le 17, le contre torpilleur "Jaguar", qui lui se trouvait à Dunkerque, et rentrer le 1er novembre en compagnie du contre torpilleur "Panthère", qui lui se trouvait en chantier de réparation à Cherbourg, mais qui lui ne rentra dans la rade que le 2 novembre.

Novembre 1939:
Escorte 1:
11 Novembre:

Le convoi OA-32G, qui est parti de la Tamise le 8, ainsi que le convoi OB-32G qui lui est parti de Liverpool, a été assemblé pour n'en former qu'un seul convoi (OG-6), formant un totale de 43 navires. Entre le 8 et le 11 Novembre le convoi fus sous escorte des destroyer "Mackay", "Vimy", "Whirlwind", "Wren" et "Wakefull" et entre le 11 et le 16 novembre, ou le convoi arriva à Gibraltar, il fus escorter par les contres torpilleurs français "Panthère" et "Tigre", ainsi que des chalutier anti-sous marin "Spaniard", "Turcoman" et "Kelt"

Escorte 2:
16 Novembre:
Les contres torpilleurs Français "Panthère" et "Tigre" arrivèrent le 16 Novembre à Gibraltar ou il furent une nouvelle fois utiliser en tant que bâtiment d'Escorte de Convoi.

Le convoi HG-8, qui a quitté port Saïd le 11 novembre, poursuit sa route en passant par Gibraltar le 22 Novembre, ou il est Escorter par les Destroyers "Keppel", "Vidette" et des Contres torpilleurs Français "Tigre" et Panthère. Les navires Français effectue l'escorte jusqu'à Brest, ou ils entre dans le port le 29 Novembre.
A cette hauteur, le Navire Poseur de câble téléphonie sous marinier le "Mirror" joint le convoi, escorter du destroyer "Vidette" pour effectuer des réparations de câblage à la position 36,16° N. et 07,24° O. Le convoi est arrivé à Liverpool le 30 sans avoir subi de perte.

Décembre 1939:
Escorte 3:

Le 05 Décembre 1939, le Convoi OA-45G ainsi que le OB-45G, contenant un totale de 44 navire, à été assemblé pour ne former qu'un seul convoi (OG-9), ou dans un premier temps, le Sloop "Deptford" as escorter le convoi puis au 5 décembre, les destroyer "Amazon" et "Antelope" et entre le 5 et le 6, les contre torpilleurs français "Tigre" et "Panthère" qui furent parti le 4 décembre de Brest, se joignirent à eux et qui les eurent escorter entre le 6 et le 11 décembre, et entre le 5 et le 9 décembre, le destroyer "Volunteer" forma encore l'escorte. Le convoi arriva le 11 décembre à Gibraltar étant escorté des contre torpilleurs français "Tigre" et "Panthère" ainsi que des destroyer "Havock" et "Watchman" qui avait rejoint l'escorte le 10.
Pas d'attaque de sous marin pendant l'escorte.

Escorte 4:

Le convoi HG-11 qui est parti de Gibraltar le 16 décembre contenant 52 navires pour la grande Bretagne et deux de plus pour Porto, a été escorter par le destroyer "Douglas" et des contre torpilleurs "Panthère" et "Tigre", le "Douglas" quand à lui, fus détaché du convoi, pour patrouiller de Cadiz-Huelva-cap Santa Maria, et du 16 jusqu'à leurs arrivé le 24 à Liverpool, le convoi fus encore escorter par le sloop "Sandwich".
Aucune perte.

1940:
Janvier 1940:
Escorte 5:

Convoi HG-16 formant 42 navires, est parti de Gibraltar le 24 sous escorte:
Le 24: chalutier anti-sous marin "Leyland" en tant que escorte locale.
Contre torpilleur Français "Panthère" et "Tigre".
A partir du 31. les destroyers "Wolwerine" et son navire jumeau le "Walpole" provenant du convoi OG-16, ont continuer à former l'escorte.
Le 1er Février, les contres torpilleurs français sont rentrer à Brest.

Février 1940:
Escorte 6:

Le convoi OA-90G appareilla de Southend le 12, escorter du destroyer "Viscount" et du "Vanquisher", et le convoi OB-90G appareilla de Liverpool formant 45 navires, le 12 ils furent escorté par les sloop "Deptford" et "Scarborough" a la date du 15, les deux convois s'assemblèrent pour ne former qu'un seul convoi (OG-18), escorter par le contre torpilleur français "Panthère" et du vaisseau auxiliaire Français "Mercedita", et ce jusqu'à la date du 21 ils sont arrivé à Gibraltar. le 22 les destroyer "Velox"et "Active" ont suivit en escortant le cargo Anglais "Maclaren", qui lui se brisa en deux le même jour.

Le 17 février le U-37 (KrvKpt. Werner Hartmann "Capitaine de corvette") Allemand de la 2ème Flottilles sous marin de Wilhelmshaven qui était entrain de rejoindre le U-53 pour coordonné leurs attaques dans le secteur du Portugal sur les convois français 10-RS, qui était en route de Gibraltar vers Brest, et du 65-KS qui lui était en route d'Oran via Casablanca pour Brest-St. Nazaire. A la hauteur du cap Finistère, le U-37 attaqua le convoi Britannique OG-18, qui fus escorter par le contre torpilleur français Panthère et du vaisseau auxiliaire Français "Mercedita", torpilla le cargos Britanique "Pyrrhus" (7418 tonne brut) 44,02° N et 10,18° O.
Le navire se cassa en deux, la section arrière coula immédiatement, tandis que la partie de l'avant, elle resta encore à flot pendant 2 journée. Huit membre d'équipage chinois perdirent leurs vies, et les survivants, incluant le vice commodore du convoi, le vice amiral A.E. Evans, et son état major, a été secouru par les navires Anglais "Ukside" et du "Sinnington court". Dans le convoi OG-18 se trouvèrent aussi le "Agapenor" ,"Promotheus" et du "Gleniffer".

Escorte 7:

Le convoi HG-20F qui est parti le 22 de Gibraltar formant 30 navires était escorter:
Le 22 à son départ du Destroyer "Velox", du contre torpilleur français "Panthère", et du vaisseau auxiliaire Français "Mercedita".
A partir du 28 les destroyer "Whirlwind" et "Vanoc" provenant de l'escorte du convoi OG-20F formèrent la seconde escorte, mais plus tard dans la journée, le "Velox" fus détaché a l'escorte du convoi HG-21.
Le convoi et arrivé en étant escorter du Sandwich à Liverpool le 3 Mars.

après cette dernière escorte je n'ai pas d'autre information sur la "Panthère" mais ici il faut juste que je retrouve quelques nouveau mot clé....
donc patience.
Mais aussi ici, ont retrouve les informations sur le "Jaguar" et du "Léopard" dans l'aire de septembre 1939.

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 8 Sep - 17:39

c'est bon, je l'ai retrouver, du fait, que ils avait écrit "panthere" au lieu de "panthère" donc pas d'accent.
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 8 Sep - 18:08

Instructif tout celà. Cool
Les combats de notre flotte sont souvent méconnus, on ne retient souvent de cette période que Mers el Kébir et Toulon... Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeJeu 8 Sep - 18:50

La suite avec le Mois de Mars 1940

Escorte 8:
Le convoi OG-21 a été former à partir de deux convois, l'OA-105G et du second convoi l'OB-105G. le convoi OA-105G avait appareiller le 7 Mars en étant escorter du sloop "Aberdeen", et le OB-105G, quand à lui a appareiller le 8 de Liverpool et était escorter du destroyer "Vimy" et "Chelsea" formant un totale de 38 navires. L'OB-105G, a dans un premier temps été retardé a cause du brouillard et détourné sur Milford Haven ou ils arrivèrent le 9. le "Winchelsea" escorta le convoi à partir de Milford Haven, et les destroyers "Broke" et "Wild Swan" escortèrent le convoi à partir de la section du passage entre l'île "Wight" le 9. Le destroyer "Vimy" provenant de l'escorte HG-21 rejoignis l'escorte le 11. les deux navires français, ont rejoint le convoi le 10, il s'agissait du Contre torpilleur "Panthère" et du vaisseau auxiliaire Français "Mercedita", le destroyer "Wishart" rejoignit l'escorte le 14, et le convoi arriva à Gibraltar le 17 mars.

Escorte 9:
Le convoi HG-23F appareilla de Gibraltar le 17 Mars, formant un total de 30 navires.
Son escorte au départ, fus localement par le destroyer "Bulldog". Le Contre torpilleur français "Panthère" et le vaisseau auxiliaire "Minerve" escortèrent le convoi entre le 17 et le 23 mars. Les destroyer "Chelsea" et "Wakeful" provenant du convoi OG-23F escortèrent le convoi entre le 23 et le 26 mars. Le destroyer "Withehall" à rejoint l'escorte le 23, et a terminer l'escorte jusqu'à leurs arrivé à Liverpool.

Mois d'Avril:

Escorte 10:
Le porte avion Français "Bearn" escorter par le contre torpilleur "Panthère" sont passé à Gibraltar le 16 Avril, provenant de Brest et en direction de Toulon. Le contre torpilleur "Panthère" était obligé de refaire le plein à Gibraltar, ou par la suite les deux navires arrivèrent au port de Toulon dans la journée du 18, ou le contre torpilleur, commença a effectuer des réparations.

Mois de Mai:

Le 1er Mai le torpilleur "Forbin" a pris le remplacement pour les missions qui furent alloué au contre torpilleur "Panthère", qui lui se trouvait actuellement encore en réparation à Toulon.

Mois de Juin:

Le Contre torpilleur "Panthère" sous le commandement du capitaine de Frégate E.J.G. Mando, se trouve intégré sous la 4ème Division contre torpilleur basé à Toulon, en attente de pouvoir avoir fini les réparations pas avant le 7 juillet.

A partir de cette date, il resta dans la rade de Toulon, jusqu'à son sabordage en 1942, son commandant ne faisait pas partie des Gaulistes.
Je vais encore tenter de vous rechercher le reste des informations.


attention, au personne, qui ont lu, un destroyer "panthère" pendant la campagne de norvège:
ici il ne s'agit nullement du Français, mais de ce capturer par les allemands, dans la campagne de norvège, chez les contre torpilleurs français, il y'avait le "Bison" pour les autres, il faut attendre, que j'ai terminer chaque classe, et cela risque d'etre assez long..., parce que lorsque j'aurais terminer avec cette classe, je vais faire une pause, en attaquant à nouveau les autres sujets que j'ai ouvert.

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MessageSujet: Re: la force Francaise navale 39-45 + FNFL   la force Francaise navale 39-45 + FNFL Icon_minitimeSam 10 Sep - 16:06

Ici, pour clarifié certaine petite lacune, sur les mouvements et les détachements des navires pendant que ils furent attaché à d'autre division navale, ici donc je vous donne pour information, la liste des navires qui furent attaché a l'Amirauté Ouest, et celle de l'amirauté Sud, ainsi que les raisons qui furent dénommé à l'époque.

Septembre 1939:

Amirauté Ouest : Vice Amiral Jean J.J. de Laborde QG à Brest.
2ème Région Navale: Vice Amiral M.E.F. Traub

Commandement de la seconde Division de Contre torpilleur: Capitaine de vaisseau de réserve Defforges.
Disposant:
Contre torpilleur "Chacal" (Capitaine de frégate R.Roques) Sous réparation jusqu'au 20 octobre.
Contre torpilleur "Jaguar" (capitaine de frégate M.J. Adam).
Contre torpilleur "Léopard" (Capitaine de frégate J.H. Duroché)
Contre torpilleur "Panthère" (Capitaine de frégate E.J.G. Mando), qui lui a été attaché provisoirement en remplacement du "Chacal" qui lui se trouve en réparation.

Amirauté Sud: Amiral Jean-Pierre Estava QG à Toulon
3ème Région Navale: Vice Amiral E.L. Ollive.

4ème Division de contre torpilleur:
Composant:
Contre torpilleur "Lynx" (Capitaine de frégate A.M. de Gouyon Matignon de Pontouraude)
Contre torpilleur "Panthère"( qui as été provisoirement détaché en remplacement du "Chacal")
Contre torpilleur "Tigre" (Capitaine de vaisseau C.G. de Vedrines, et a partir du 2 Décembre, par le Capitaine de vaisseau M.de la Forest Divonne). Sous réparation jusqu'au 15 Octobre.

Et ici, je vous ai juste inscrit les deux divisions se rapportant a ses navires, je ne vais tout de meme pas lister toute la panoplie des navires, qui était sous chaque amirauté.

Ainsi ici je suppose, que le "Chacal", qui se trouvait en chantier de réparation, comme le "Tigre", ce fus pendant cette période, que ils profitèrent pour soustraire le canon longue portée n°3 et le remplacer par les affuts hotchkiss 13mm ainsi aussi pour le montage de L'Asdic pour la détection des sous marins

Et pour le nom du commandant du Lynx, celui ci dispose vraiment d'un grand nom, pour moi, cela à l'air de ressemblé à un ancien titre ou dénomination issue d'un sang bleu (royaliste), mais bon, peu être, que il y'a eu faute d'écriture par les personnes, qui ont éditer les noms, et les reliant aux navires.

oui c'est bien ce que je pensait, le nom se réfère à une très ancienne famille de royaliste

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