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| coûte que coûte, il nous faut une Enigma | |
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leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Mar 28 Fév 2017, 19:53 | |
| Bien le bonjour aux lecteurs assidus, et souhaitant plus savoir sur l'histoire de la seconde guerre mondiale. Et ici je vous ai retrouvé une histoire, qui a changé la donne, du torpillage des cargos Alliées.
Alors commençons par vous donné l'histoire de base, et ici, si ont ne fouine pas plus profondément, et que ont se castre, en souhaitant uniquement vouloir publier l'histoire suivant une seul et unique source, ben là l'histoire peu être mal interprété.
Bien sans attendre d'avantage, débutons. - Citation :
- la capture de sous-marins allemands par les ALLIES
Pour le codage les radiographies en Allemagne ont utilisé la machine de chiffrement "Enigma" qui ressemble à une machine à écrire ayant un clavier classique. L'opérateur radiogrammes écrivit ses textes dactylographié en clair; et pendant que l'opérateur entrait ses lettres la machine "Enigma" crypta automatiquement et afficha la lettre correspondante cryptée. Sur les sous - marins depuis le début de la guerre a été utilisé l'option "Enigma" avec trois rotors, qui ont été amélioré depuis 1942, en ajoutant un quatrième rotor. Lors du chiffrement du texte, il exista de grandes combinaisons possibles qui rendu extrêmement difficiles à déchiffrer les messages radio.
L'Amirauté britannique a mis un point d'honneur pour s'efforcé d'obtenir à leur disposition la machine de chiffrement "Enigma" et de son journal de codes. Et comment pouvait t'il y accédé?, uniquement lorsque le bateau se trouvait en surface et lui effectuer un abordage, et tout cela avant que le sous-marin allemand a réussis de détruire la machine de chiffrement cryptage et les documents "Enigma". Cependant, pour réussir cette mission, cela n'a pas toujours été possible, par conséquent, les Britanniques ont réussi à capturer la machine "Enigma" en provenance des sous - marin U-110; U-505 et U-559 , et, sans doute, dans le U-744 et U-1024 ou entre les mains des Alliés tombèrent des documents importants "Enigma ».
U-110
Tôt dans la matinée du 9 mai 1941 le U-110 , commandé par le lieutenant-de vaisseau Fritz-Julius Lemp et du U-201 , commandé par le lieutenant Adalbert Schnee ont trouvé le convoi OB-318. Les premiers escorteurs alliés ont attaqué Fritz-Julius Lemp qui a réussi à couler deux cargos britanniques d'un déplacement total de 7585 tonnes, après quoi le sous - marin U-110 a été découvert et les charges de profondeur ont été largué par la corvette britannique " Aubrietia" et destroyers "Bulldog" et "Broadway" . À la suite des dégâts le sous-marin à plongé a une profondeur de 90 mètres, puis a été contraint de faire surface. Lemp se précipita vers la passerelle de navigation et a vu les destroyers "Bulldog" et "Broadway" qui était entrain de foncé sur lui. A L'équipage a été donné l'ordre de quitter immédiatement le bateau et de le saborder, mais, selon le premier officier de quart Dietrich Loewe, le chef mécanicien Hans-Joachim Eichelborn le second ordre il ne pouvait pas l'accomplir. les sous-mariniers allemands quittent précipitamment le sous-marin en feu, et les derniers à quitter sont Lemp, Eichelborn et Loewe. Voyant que l'équipage a abandonné le bateau et maintenu de façon constante sur l'eau, les commandants des destroyers britanniques ont décidé d'abandonner le Bulldog, et de capturer le bateau endommagé. Ils ont ralenti et le commandant du destroyer "Bulldog" Baker-Cresswell a formés et envoyés sur l' U-110 embarquement partie des dix marins britanniques sous le commandement du lieutenant David Balme. A ce moment, il est dans l'eau et Lemp Lowe a vu que les Britanniques ont envoyé un baleinier avec l'équipe, et Lemp nageais désespérément en direction du sous-marin à la dérive. Cependant Lemp est mort quand il a nagé jusqu'au bateau, selon une version, tué par l'un des marins embarqué de l'équipe de récupération, selon une autre version, il c'est délibérément donné sa mort en se noyant.
Quand ils ont atteint le U-110 , Balme a signalé au "Bulldog", que le sous marin n'allais pas couler mais qu'il avait besoin de mécanicien pour vérifier le bateau, qui eux ont été envoyé par les du destroyer "Broadway." Pendant le temps que les mécaniciens ont grimpé à bord de leurs embarcation, entre les mains des britanniques de Balme, tomba la machine de chiffrement "Enigma"; ainsi que le journal de code valable pour les mois d'Avril a Juin 1941 ainsi que un Jeu de cartes marines; et les cartes navale des champs de mines des Allemands dans la mer du Nord et au large des côtes françaises; les dessins et les données technique des différents types de systèmes sur le sous-marins IXB avec le manuels et journal de bord, et les télégramme des messages décryptées. Après que les mécaniciens été arrivée ils ont été incapables d'arrêter la fuite d'eau dans les citernes de ballast arrière et d'arrêter le moteur gauche, après quoi ils ont lattée les écoutilles entre les compartiments du bateau et le reste du bateau. Dans le même temps, le destroyer "Broadway" et la corvette " Aubrietia " ont rapidement commencé à prendre à bord la direction du sous - marin pour sauver dans le secret la capture de l'U-110 , et de l'eau ont été sauvés trente-quatre sous - marinier allemand.
Dans un premier temps, il a été décidé de remorquer le sous-marin à la côte de l'Islande, mais il est probable que cette décision a été abandonnée, ou au matin du 10 Mai ont leur envoya l'ordre de couler le sous marin, a une centaine de miles de la côte. Le commandement allemand a estimé que le U-110 a coulé emmenant avec lui au fond ses secrets, mais les Britanniques a partir de Juin 1941. Il ont commencé à étudier les messages radio cryptés entre l'état major se trouvant à Lorient (France) et les sous - marins. Cela a continué jusqu'en Février 1942, tandis que les Allemands n'eurent pas compliquées d'avantage, "l'Enigma", en ajoutant au trois rotors un quatrième pour le chiffrement. Bien alors ici, c'est approximativement, partout pareil, lorsque la personne s'informe sur la machine enigma et l'histoire de l'U-110. Mais ici, ce récit, provient uniquement d'une seul et unique source, soit celle du journal de bord du U-110 et de quelques paragraphe sur les destroyer.
Et c'est bien ici, que le bas il blaise, lorsque ont souhaite savoir connaitre l'histoire. Alors dieu merci pour la suite.
Ian Fleming's comme je pense se nom vous est familier, bien sûr c'est le fameux auteur des histoires d'espionnage "007", et un peut moins d'entre vous, doivent aussi être au courant, que Ian, pendant la seconde guerre mondiale, il appartenait à un de ses commandos.
- Nicholas_Rankin_"Ian_Fleming's Commandos: l'histoire de la légendaire 30ème Unité d'assaut" a écrit:
Au printemps 1941, les principales attaques majeures des commandos, se sont fait dans le Nord. En Mars 1941 500 commandos ont réussis avec succès d'effectuer un débarquement sur les îles Lofoten, quatre vingt miles à l'Ouest de Narvik, se trouvant à l'intérieur du cercle arctique. Ostensiblement ce raid, "Operation Claymore" a été dirigé par le ministère Economic Warfare's, désireux de vouloir détruire l'usine de pêche norvégienne, en raison que les allemands utilisèrent l'huile de poissons pour la transformer en Glycérine pour les munitions, et en tant que vitamine pour leurs troupes. Pendant l'opération, les allemands ont mené une petite résistance, et de la part des pêcheurs norvégiens, eux ont accueillis cette opération avec enthousiasme. Ou ils se sont rassemblés devant l'usine cod oil. Les commandos ont coupé les lignes de communications, ou les unités du génie de démolition, se sont occupé pour démolir et incendié dix huit usines et réservoir de farine de poissons, contenant un total de 3 000 000 de litre d'huile de poissons, bunker carburant et du pétrole, les photos lugubres démontres une pollution choquante, ou la pollution avançant et recouvrait la neige blanche par une épaisse glue noir sur l'île. Cette opération engloutit 11 navires capturant 216 Prisonniers allemands et 60 agents de quisling, emmenant avec eux les 315 Volontaires norvégiens (huit de ses femmes en sweat et en pantalon de ski) ont secouru le directeur Anglais de l'ancienne Usine "Allen & Handburys cod Liver oil plant" celà est une fois le début.
Dernière édition par leclerc1944 le Mer 01 Mar 2017, 03:26, édité 1 fois (Raison : rectification d'une erreur) | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Mer 01 Mar 2017, 04:14 | |
| Bien continuons - Ian_Fleming…. a écrit:
- Un sergeant chaleureux a réussi à sauvé sa jambe ou il a gagné le surnom de "thirty kroner jack" avec laquelle il a payé les femmes obligeantes. Les commandos pillèrent en général les kit des Allemands – Pistolet, caméras, montre-bracelet, jumelles, lunette de soleil, veston et bottes, etc… - entre autre encore le schnaps pour commémorer. Les observateurs eux ont contrôlé en désespoir de cause, un merveilleux poste radio de la marque Siemens, qui a été détruit.
Mais tout cela n'était que l'histoire de couverture. La raison réel pour le raid Lofoten, concerté entre le NID (*) et le GC&CS (**) d'après Hinsley, c'était uniquement la couverture (ou une diversion) pour "récupérer une machine Enigma avec ses réglages" étant issus du vaisseau de la défense portuaire "Krebs", Euhhhh.. là avant que je pousse l'histoire plus loin. (*) NID = Naval Inteligence Division (**) GC&CS = Ah, ben la en fouinant en profondeur, je trouve que ses initiales sont référencé au centre de déchiffrement de Bletschley park. (une autre source confirme que sur le navire de défense portuaire NN04 "Krebs" lors de l'opération, un des destroyer escortant l'opération "F33 Somali" a réussis a récupérer les codes Enigma. (je vous donnerai le récit complet après avoir terminer cette source.)) Bien poursuivons a nouveau: - Ian_Fleming…. a écrit:
- avec laquelle A.P. Mahon, dans son histoire "Hut Eight called one of the Landmark répertorier dans la section de l'histoire navale" Hugh Alexander le confirme dans ses travaux sur l'histoire de la cryptographie sur la machine Allemande Enigma, qui lors du Raid de Lofoten celle-ci "a été planifié depuis le début de l'opération pour l'avoir entre les mains".
Le combat dans le Westfjord près de Slovaer se déroula pendant la date du 04 Mars 1941, et a été effectuer rapidement, ou il se termina dans un bain de sang. Le Krebs n'était que un chalutier armé, et qui a bravement tenu tête a un destroyer plus gros et mieux armé, de la royal navy le Destroyer HMS Somali, ou trois obus ont été tirer sur le chalutier tuant le capitaine, et ou le chalutier chavira sur les hauts fonds d'une petite île, et ou les autres membres de l'équipage se sont rendu. La "Boarding Party" (commandos de récupération) ont trouvé du matériel Cryptographique sur le "Krebs", et le plus important fut le codage pour le mois de février 1941 de la machine Enigma, qui en règle théorique aurais du être déjà été détruit au début du mois de Mars. Et l'échec révéla aux Britannique le réglage des rotors pour la machine Enigma, les réglages et les "Steckerverbindung" de la connexion pendant quatre semaines, ou ils ont pu lire les messages interceptés. Et en dernier, il y avait la pince, qui était envisagé dans l'opération "Ruthless" de Ian fleming qui a été annulé. Bien, bien, alors revenons, oui revenons sur l'histoire du Krebs, en raison, que le titre de ce sujet, et de ne pas discuter seulement sur le U-110, mais sur la machine Enigma.
donc voici la carte ou c'est déroulé l'opération. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Mer 01 Mar 2017, 05:24 | |
| Bien alors la seconde source pour lofoten - Chronologie histoire navale de Stuttgart a écrit:
03./04.03.1941
Norvège / Reconnaissance Radio
L'Opération «Claymore». Attaque britannique réussie sur Lofoten, ou lors de l'opération d'importants documents de cryptologie ont été capturé. Les unités participantes: destroyer somali (Capt Caslon.), esquimaux, tartares, Legion et bedouins et les navires de débarquement queen Emma et Princes Beatrix contenant à bord 500 hommes de troupes des commandos. les forces de couverture de l'opération: croiseur léger Edimbourg et le Nigeria. Le sous marin Sunfish sert de "point de contrôle". Les usines de transformation de pêche de Stamsund Henningsvaer, Svolvaer et Brettesnes ont été détruites, les navires cargo Hambourg (5470 TJB), Felix Heumann (2468 TJB), Pasajes (1996 TJB), Eilenau (1404 TJB), Bernhard Schulte (1058 TJB), Gumbinnen (1381 TJB) et Mira (1152 TJB) ont été coulé. Le bateau de pêche Norvegien Myrland (321 TJB) se joint à la force britannique. 213 allemand et 12 Norvégiens sont capturés, 314 Norvégiens vont volontairement suivre après en Angleterre - mais ceci est uniquement l'histoire officielle, et les parties non mentionné de l'histoire, qui couvre une opération beaucoup plus importante:
Le Destroyer somali a réussit pour mettre le navire de défense côtier NN 04 "Krebs" pour le mettre hors combat et pour faire un abordage en y faisant monter à bord une équipe de récupération. Au commando de récupération tombèrent entre leurs mains des documents code importants pour le déchiffrement qui permit au centre de décryptage britannique de Bletchley Park pour la période de 13 au 23.02. et pendant plusieurs jours après le 20.03. à écouter en décodant la radio Allemande avec le code "Heimische Gewässer". Bien alors cela était une source, et demain je vous fait part de la seconde source.
mais pour que vous ne mourrez pas ....
j'ai aussi trouvez cette information subsidiaire.
- Bletschley_park_Code a écrit:
- Les principaux chiffrages d'Enigma utilisés par les U-boats sont énumérés ci-dessous.
Le nom de code de Bletchley pour le chiffrage est donné en premier, avec la dénomination de Kriegsmarine entre parenthèse.
Dolphin (Heimische Gewässer, plus tard Hydra) Dolphin est entré en service au début de la guerre. Il a été utilisé par tous les U-boot (et les navires) dans "les eaux teritoriale" (Une zone qui comprenait l'Atlantique) jusqu'au 5 octobre 1941 (voir Shark). Bletchley a cassé le code Dolphin du 1er août 1941 jusqu'à la fin de la guerre.
Shark (Triton) Utilisé par les sous-marins de l'Atlantique et de la Méditerranée à partir du 5 octobre 1941. Introduit à cause des craintes Sécurité, en particulier de la menace du Service secret britannique, qui a été hautement (mais trop) respectée par les Kriegsmarine. Shark a utilisé l'Enigma à trois rotors (M3) jusqu'au 1er février 1942, lorsqu'il est passé au rotor à quatre rotors Version (M4).
Bletchley a cassé Shark en forme M3. La version M4 n'a été cassé que trois jours avant le 13 décembre 1942. Dès lors, jusqu'à la fin du mois d'août 1943, il était généralement cassé, mais assez souvent tard. À partir de septembre 1943 Le shark était normalement casé en l'espace de 24 heures environ.
Turtle (Medusa) Utilisé par les U-boot en méditerranée de juin 1943 à octobre 1944. La tortue a été cassée à partir de juin 1943 Par la suite.
Narwhal (Niobe) Utilisé par les U-boots du Nord (basé en Norvège) de 25 juin 1944 à la fin de la guerre. Narwhal était cassé À partir de septembre 1944.
[Sans nom britannique] (Thetis) Le chiffrage pour les U-boots sur les exercices d'entraînement tactique dans la Baltique. Thétis n'a jamais été casé.
Grampus (Poseidon) Utilisé par U-boots dans la mer Noire d'octobre 1943 à août 1944. Grampus a été cassé a partir d'octobre 1943.
Sunfish (Tibet) Utilisé par les navires de ravitaillement et les U-boots en Extrême-Orient à partir de septembre 1941. Le Sunfish a été brisé par intermittence Depuis août 1943.
Autres chiffrage de l'Enigma naval Ceux-ci incluent:
Barracuda (Neptun) Le chiffrage pour les opérations de la flotte. Barracuda a été utilisé à partir de mai 1941. Il n'a jamais été brisé.
Bonito (Eichendorff) Utilisé par le commandement de petites unités de bataille (qui a couvert des sous-marins midget, tels que Marder et Seehund) De mars 1944 à la fin de la guerre.
Bonito a d'abord été cassé en mai 1944, et a été généralement résolu à partir de juillet 1944. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Mer 01 Mar 2017, 15:36 | |
| Bien, alors a présent, voyons une seconde source. - Opération_Combinée a écrit:
- Raid sur les îles Lofoten
Opération Claymore -3/4 Mars 1941
L'opération Claymore était le 1er Raid sur les îles Lofoten faisant partie de la côte Norvégienne et se situant juste au nord dans le cercle Arctique. Elle a abouti une bonne mesure de la destruction des navires allemands et de l'usine d'huile de poissons et elle a permis le libre passage au Royaume-Uni à plus de 300 volontaires norvégiens et emmenant encore quelques prisonniers Allemands et de Quislings. Il était cependant le plus notable pour avoir donné un grand coup de pouce à la moralité dans les rangs des Commandos et plus tard dans le pays les nouvelles du raid a été rendue publique.
Contexte
Ce raid réussi a impliqué des forces navales et terrestres - HMS Queen Emma, Princess Beatrix et une escorte navale de 5 destroyers + les commandos n°3 & 4. Les cibles principales étaient les usines norvégiennes d'huile de poisson. Leur destruction serait un coup dur pour la production allemande de glycérine. 11 usines et 5 navires ont été détruits, 225 Allemands et 60 Quislings faits prisonniers et 314 volontaires ont pu rejoindre les forces norvégiennes basées en Angleterre. Il n'y a eu aucune perte.
Planification et Opération Les îles Lofoten se trouvent au large de la côte norvégienne à environ 100 milles au nord du cercle polaire arctique. En apparence et en taille, ils ressemblent extérieurement aux Hébrides au large de la côte nord-ouest de l'Écosse. Ils ont été ciblés par les planificateurs britanniques, non seulement parce qu'ils ont respecté la directive de Churchill de "harceler les forces allemandes le long de la mer du Nord et les côtes atlantiques de l'Europe continentale", mais aussi parce qu'elles ont contribué à l'effort de guerre allemand. On sait que plusieurs usines ont transformé l'huile de hareng en glycérine pour les munitions.
Le 21 février, sous le commandement du brigadier Haydon, une flottille comprenant HMS Queen Emma, Princess Beatrix et une escorte navale de 5 destroyers, a quitté Scapa Flow dans les îles Orkney. La destination était les Îles Féroé pour l'entrainement final. C'est à cet endroit que les Compagnie du bataillon des services spéciaux n° 3 et 4 ont repris respectivement le numéro 4 et le numéro 3 des Commando – créer sous le commandement du lieutenant-colonel Lister et par la suite repris sous le lieutenant-colonel Durnford-Slater. Qui lui réorganisa beaucoup plus large les forces spéciales, qui a été achevée à la mi-mars 1941. Le 1er mars, les 500 commandos, quelques sapeurs de démolition et 50 marins norvégiens, se sont mis en route pour la côte norvégienne. Engagement
Le temps était mauvais pour le voyage de trois jours et les conditions de vie à l'étroit ont rendu le pire par le mal de mer ou tous les membres a bord en ont souffert. A 24 heures avant leur arrivée, un avion allemand les a repérés et a signalé au QG de l'armée de l'air allemande. Mais Il n'y avait, en l'occurrence, aucune réaction de leur part. La flottille est arrivée au large des îles Lofoten dans les premières heures du 4 Mars. Comme ils ont embarqué à bord des embarcations de débarquement, pour quatre destinations distinctes, les lumières pouvaient être vus scintillant au loin. De toute évidence, la notion du raid ne s'était pas présentée à l'esprit du commandement allemand. Le froid intense et le brouillard de mer ont causé la formation de glace sur les vêtements de protection des Commando et les débarquements ont été plus brusques que d'habitude lorsque les engins ont abaissé leurs rampes sur la glace solide.
La surprise fut complète. Même certains locaux vont travailler supposant que l'activité était un exercice d'entrainement allemand! Des soldats, des fonctionnaires et des collaborateurs allemands ont été rassemblés et, auparavant, des usines d'huile de poisson, des établissements militaires et des navires du port ont été systématiquement détruits. Les Norvégiens offraient un café ersatz (remplacement) chaud aux Commandos en position d'accepter.
Même en temps de guerre, il y a de l'humour. Le lieutenant R L Wills envoya un télégramme à un Hitler de Berlin a partir du bureau de télégraphe de Stamsund. - Vous avez dit dans votre dernier discours que les troupes allemandes allaient manger les Britanniques partout où ils débarquaient ... Où sont vos troupes? Tout aussi effronté était un trajet en bus pris par Lord Lovat et certains de ses hommes vers une base d'hydravion à proximité. Le commandant de la base se plaignit plus tard du comportement «non-guerrier» des Commandos et entreprit de faire rapport au Fuhrer!
Résultat
Vers midi, les travaux de démolition étaient terminés et le réembarquement a commencé. Il n'y avait pas eu de résistance significative qui, pour certains Commandos, était une déception compte tenu de leur entraînement et de l'objectif de dénuder les forces allemandes. Cependant, ils avaient détruit 11 usines, 800 000 gallons d'huile et les cinq navires avaient pris à leurs bords 314 volontaires (dont 8 femmes) pour les forces norvégiennes, 60 Quislings, 225 prisonniers allemands et le gestionnaire anglais de MM. Allen & Hanbury, chimistes. Pris dans la guerre, au prix d'une blessure accidentelle infligée à la cuisse d'un officier!
On n'a pas signalé à l'époque la récupération, à partir du chalutier Krebs, d'un ensemble de rotors de réserve pour une machine de codage allemande Enigma. Ils ont été envoyés a Bletchley park où ils ont été d'une grande utilité pour les casseurs de code.
Les mois précédant ce raid avaient été un moment frustrant pour les Commandos / Special Services. Ils se sont portés volontaires pour des tâches dangereuses à un moment d'exaltation de la part des autorités, mais se sont retrouvés avec peu de choses à faire - et il y avait un désaccord sur la façon dont ces forces devaient être utilisées et organisées. Le moral était naturellement à un bas reflux. Bien que ce raid soit pratiquement sans opposition, il a démontré ce qui pourrait être réalisé par une force relativement petite, formée à cet effet et avec l'élément de surprise. Le succès du raid a été un fardeau pour le moral dans certains quartiers, mais, il y avait quelques-uns parmi les Commandos eux-mêmes, qui ont été déçus et désillusionné que les tâches dangereuses qu'ils avaient volontairement été formés pour, avait été utilisé à ces fins. Et ici une troisième version provenant du musée de guerre de Lofoten. - Citation :
- LE RAID LOFOTEN
C'était le premier raid significatif pendant la 2ème guerre mondiale. Elle a vu la participation de 350 soldats britanniques et 52 norvégiens.
Parmi les forces norvégiennes était le maintenant célèbre capitaine Linge. Martin Linge et ses hommes ont été les précurseurs de ce qui est plus tard connu comme la célèbre «compagnie Linge».
Les forces alliées ont occupé Henningsvær, Brettesnes, Stamsund et Svolvær pendant environ 6 heures. Beaucoup de navires ont été coulés. Les usines de production d'huile de poisson et de hareng basées en terre ont été radiées.
Même les navires d'usine les plus modernes du monde moderne, le "Hambourg" ont été coulés dans le port. Le Hambourg (environ 9000 tonnes) repose encore au fond du port de Svolvær à 18 m de profondeur.
Une autre tragédie a été le naufrage du paquebot civil, le "Mira", qui ne s'est pas arrêté après avoir reçus une semonce tiré pour avertissement par le destroyer britannique "Bedouin". 7 civils ont perdu la vie.
Plus tard, il a été critiqué qu'un officier allemand a menacé les officiers sur le "Mira" de continuer, mais cela a été nié par le barreur encore vivant. La raison pour laquelle le "Mira" n'a pas cessé, c'est qu'ils ne comprenaient pas ce qui se passait. Ils pensaient que le navire de guerre était des Allemands en manœuvre.
Hitler n'était pas vraiment ravi de la réception amicale que les soldats britanniques ont eut lors de leurs débarquement. Et encore moins que le fait que quelque 300 volontaires ont pu revenir avec les forces britanniques pour les rejoindre en Angleterre. Et cela n'e la pas non plus amusé lorsque Hitler écouta le rapport que 212 Allemands ont été capturés et amenés en Angleterre.
Un "Führer befehl", un ordre provenant directement du quartier général d'Hitler a été publié pour détruire la ville de Svolvær. Des soldats SS très agressifs ont été affectés à Svolvær, Kabelvåg, Stamsund et Henningsvær. Ou Ils répandent la crainte sur toute la population civile. À Svolvær, sept maisons ont été brûlées a raz du sol avant que ces actes de terreur cessent. Des maisons à Henningsvær et à Stamsund ont également été incendiées. Et les premiers prisonniers de guerre norvégiens qui ont été mis dans le camp de concentration norvégien "Grini" (placé à Oslo), sont venus de Svolvær et de Lofoten. Environ 100 dans l'ensemble. Ils ont été surnommés "Les otages Svolvær ".
Une fortification extensive de Svolvær a commencé après le «raid de Lofoten». Des bunkers, des forteresses et des nids de mitrailleuses ont été construits et la construction a duré jusqu'à la capitulation allemande en 1945. Svolvær était en fait la ville la plus fortifiée en Norvège, avec tous ses soutes et structures militaires dans une zone de 2 km.
L'attaque de Lofoten a conduit la Gestapo à établir son état major principal (SD de Heydrich) pour la région (Lofoten & Vesterålen) à Svolvær. La "Wehrmacht" ne se sentait pas en sécurité après le raid des Lofoten, ce qui a entraîné l'affectation de plus de soldats allemands dans les zones nordiques de Norvège. (Environ 100 000)
Le "Lofoten raid" est considéré comme la première victoire totale contre l'Allemagne lors de la guerre 2. Guerre mondiale. (Même compte tenu du fait que les Allemands ont été chassés de Narvik plus tôt, mais les Allemands n'ont pas été défaits.) La presse britannique a fait un grand nombre de «Lofoten raid», et il a eu un énorme coup de pouce moral. De l'autre côté, le «raid Lofoten» a conduit à une énorme fortification de Svolvær.
Après l'invasion de Lofoten, les SS ont incendié sept maisons à Svolvær. La maison de Konrad Tobiassen. Son fils, Kåre Tobiassen est retourné en Angleterre avec les forces britanniques et a rejoint l'armée de l'air norvégienne au Canada, "la Petite Norvège". Le second fils de Tobiassens "Tore", a été capturé par les SS et envoyé à "Grini" Donc ceci était l'après raid. Qui était un peut moins joyeux. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Mer 01 Mar 2017, 19:06 | |
| Pour le moment j'ai vite une fois contrôler, et pour le U-1024 listé au début de ma traduction, celui ci ne figure pas dans ma liste, mais en contrepartie, comme j'ai trouver un jolie livre, celui ci, nous donnera d'autre U-boot ou de navire dont les histoire son intéressante à connaitre.
Et d'autant plus, il faut gardez à l'esprit, que tout les livres; que les auteurs ont écrit et publier avant 1995 (valable uniquement au USA pour les 50 ans), sont uniquement basé soit sur des récits, soit sur des hypothèse, en raison. Que la dé classification des document Top Secret et ultra secret, Classification, ou Bletchley Park en faisait parti, telle le livre ayant pour source "The History of Hut Eight 1939-45 de l'auteur Patrick mahon" les documents des archives national de Washington. Et ou chez les anglais l'accès à la lecture était encore rester classifié. (Bien sûr en raison que la loi du Royaume Uni, et une autre loi que celle des Américains, Dans notre légion étrangère, il existe une loi spéciale secret, qui a seulement être le droit d'être divulguer après 110 ans, et être mentionné aux descendant de nos légionnaires). | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Mer 01 Mar 2017, 22:42 | |
| Bien, mais si vous souhaitez identiquement comme moi, toujours en connaître plus sur l'histoire de l'Enigma, donc il faudra passer de l'histoire à la Préhistoire de l'Enigma. En raison, que si vous, vous posez la question suivante. "Mais comment diable les anglais était au courant de l'Enigma?". Ainsi aussi, si ont connaît ces faits, là oui, ont est apte a raconter et blablaté sur les opération de récupération des Enigma. Ainsi, comme je l'ai mentionné précédemment, j'ai retrouver un livre publier en 1999, ce qui fait, que l'auteur lui, a certainement eu accès aux document déclassé et provenant de l'archive nationale de Washington. - Citation :
- Prologue
Un cimetière dans le sud de la forêt de Berlin - janvier 1999
Je me tenais au milieu d'une clairière à l'extérieur d'une forêt de pin de Berlin quand je me suis rendu compte que je devais avoir trouvé ce que j'avais cherché. Depuis des mois j'étais allez à la chasse pour trouvé une évidence concrète au sujet de "l'Espion d'Enigma", Hans Thilo Schmidt. Était un agent secret en I93I et qui a transmis au service secret français leurs tout premiers indices sur la façon de casser le code d'Enigma. Maintenant j'étais presque sûr que j'avais littéralement trébuché sur son dernier endroit de repos. Mes pieds se trouvaient dans un monticule souple et recouvert de mousse, et la terre où je me tenais était molle et gonfler, comme si le corps caché en dessous avait tenté de desserré la terre tout en essayant de pousser sa sortie. C'était exactement comme cela m'avait été décrit à moi. Derrière le monticule se tenait une pierre tombale solitaire. J'ai dû enlever le sous-bois et Les branches qui l'entourent avant que je ne puisse voir que ce n'était plus d'une couleur Blanc vierge, enguirlander avec des fleurs, et sa tombe avait été en dernier visiter par mon informateur. Et sa tombe commençait déjà à devenir vert, merci À un revêtement de moule. Ou j'ai encore pu lire que le nom qui était inscrit "Johanna Schmidt Geb. Freiin Von Kanitz * 27.12.I857 + 24.IO.I928". C'était La mère aristocratique de Hans Thilo Schmidt, née baronne Allemande, En dépit du fait que sa mère était anglaise. Mais la tombe de Hans Thilo Schmidt elle se trouvait sous le monticule verdoyant et ne portait pas de nom. Avant de retrouver sa fille, Gisela, j'avais eu de sérieux doutes si cet homme, qui aurait joué un rôle aussi important dans la saga de l'Enigma, n'avait jamais existé. On connaissait si peu à propos de lui. Mes soucis ne s'apaisèrent que lorsque sa fille me rapporta au sujet de la tombe, et me montra ses documents, et me raconta son triste récit. Cela impliquait une autre question.
Devrait-on vénéré Hans Thilo Schmidt comme un héros méconnu, ou avait-il juste espionné pour de l'argent? Il N'avait pas donné exactement les documents du chiffrage Enigma aux Alliés. Il l'avait vendu À eux pour beaucoup d'argent, et son acte original de trahison avait pris deux ans avant que les nazis ne prennent le pouvoir. Alors personne ne pourrait dire qu'il avait, en premier lieu du moins, été motivé par un désir pour vaincre le régime du mal. Son désir de détruire les nazis seulement c'est développé plus tard. Cela fait de lui un héros défectueux, le rôle de casseur de code à l'équivalent d'Oscar Schindler, qui, comme Hans Thilo Schmidt, était parfaitement préparé à mettre sa propre vie sur la ligne tant qu'il a fait un beau profit, et il séduisit beaucoup de femmes, et dans le processus. Schmidt fut finalement trahi aux Allemands par un maître espion français. Mais qu'es ce qui s'est passé ensuite et qui enveloppe le mystère. At-il été torturé par la Gestapo après son arrestation en mars 1943? At-il été fusillé? Ou est-ce qu'il s'est donné lui-même la mort?
Même le service secret français qui l'utilisait comme son espion le plus précieux ne savait pas ce qu'il lui était arrivé à la fin. Sa fille a pu combler certaines des lacunes. Elle m'a aussi dit qu'elle n'avait plus vu la tombe dans la Forêt depuis la terrible journée de septembre 1943 où, Les larmes coulant sur ses joues, elle avait regardé le cercueil de son père étant abaissé dans le sol. Et dans son esprit, elle pouvait encore lire les mots qu'il lui avait écrit peu avant de s'être empoisonné avec du cyanure qu'elle avait aidé à lui procurer. Après avoir trouvé la pierre tombale, j'ai cherché la petite maison qui sert de centre administratif pour les tombes dans la forêt. C'est là que j'ai enfin trouvé la preuve écrite dont j'avais besoin Hans Thilo Schmidt avait vraiment été enterré là où sa fille disait. Un clerc m'a remis un document officiel attestant que Hans Thilo Schmidt avait été enterré et de la date de son enterrement, et qui avait payé pour les fleurs qui avait autrefois décoré sa tombe. Le document contenait un rappel poignant qu'il a été abandonné et oublié. Personne ne c'était occupé de la tombe depuis que les fleurs avaient été placées dessus plus tard Il y a cinquante ans de celà. Bien cela c'est la préhistoire de l'histoire, sur le comment les alliées, ont eut fait la connaissance d'Enigma. Et ici ce n'était que le prologue, donc plus tard, je vous traduis l'histoire de Hans Thilo Schmidt. Du moins si elle n'est pas trop longue, mais comme le livre fait uniquement aux alentour de 300 pages, alors je ne pense pas, que avec tous ses histoires, qu'il contient, que le chapitre sur Schmidt vas être trop long.
Bien alors second. - Citation :
- Le cimetière militaire allemand près de Stafford - 12 février 1999
Cinq cents milles à l'ouest de Berlin, dans le cimetière militaire de l'armée allemande à Cannock Chase dans le Staffordshire, sont enterré les tombes de vingt cinq hommes qui sont morts en combattant dans la bataille pour le code.
Ces hommes faisaient autrefois partie d'une force de combat d'élite qui ont servit sur les U-boot allemands pendant la Seconde Guerre mondiale. Leur u-boot était l'U-33, qui a été coulé le 12 février 1940 en essayant de miner dans le Firth of Clyde, un des estuaires les plus fréquentés de Grande-Bretagne,de La côte ouest de l'Ecosse. Chaque année, le 12 février, l'anniversaire de leur mort, des fleurs sont posées à côté de leurs pierres tombales. Les fleurs fournissent un choc éclaboussant de couleurs dans ce lieu sombre et désolé où les groupes des pierres tombales rectangulaires de granit gris identiques sont alignées comme des soldats debout prêt pour le défilé. Personne au cimetière ne sait qui paie pour les fleurs. Même l'administrateur du cimetière ne peut dire plus que l'ordre vient d'ailleurs d'Allemagne. Il existait autrefois une pierre tombale qui commémorait la mort de Max Schiller, vingt-sixième membre de l'équipage, mais rapidement celle-ci a disparu à la fin des années 70, après que Schiller Revenu vivant. Il est maintenant un retraité vivant près d'Annan dans le Dumfriesshire. Il n'oubliera jamais les heures passées dans la mer suite au naufrage du U-33. C'était le pire jour de sa vie. Aucun de ces vigoureux jeunes hommes était préparé à la terreur qu'ils ont expérimentés lorsqu'ils ont été repérés par le HMS Gleaner, un destroyer britannique anti sous marin. Ils avaient entendu le bruit de l'Asdic du navire britannique, sonar faisceau les avait recherchés sous l'eau, comme le gravier étant pulvérisé sur l'enveloppe extérieure du sous-marin. Puis leur sang gelé, alors que les explosions assourdissantes provenant des charges en profondeur, faisait rebondir leurs têtes comme qu'ils étaient accompagnées par ce qui ressemblait à des coups violents d'énorme marteau frappant la coque du sous-marin. Les bangs étaient si bruyants qu'ils laissaient même les hommes les plus courageux se sentir désorientés et sans contrôle. Alors, qui pourrait blâmer un des officiers pour avoir plaidé Max Schiller, qui n'avait que dix-huit ans et le plus jeune membre de l'équipage, de s'asseoir à côté de lui parce qu'il pensait qu'il allait mourir? Et qui aurait pu deviner que la peur d'être tué par les charges de profondeur combinées avec le choc d'être immergé dans les eaux gelé du Firth of Clyde, et après avoir abandonné le U-boot un autre membre de cette force d'élite, qui avait un rotor Enigma dans sa poche, en ayant perdu son esprit temporairement. C'était malheureux, car comme l'Allemagne nazie était concernée, que les rotors de l'Enigma que cette homme avait dans sa poche, avait été ordonné de le jeter dans la mer et qu'il l'avait malencontreusement oublié dans ses vêtements quand il a été sauvé, et ainsi ce rotor a été effectivement remis aux Britanniques sans avoir même avoir besoin d'aller à bord du sous-marin qui était entrain de coulé. Donc ici encore une histoire qui va devenir intéressante à connaître.
Et je vous rassure, non, non et encore non, comme le chiffrement d'Enigma est complexe à comprendre, donc non je n'aborderais pas les maths et autres pour décodé les messages codé Enigma.
juste pour vous faire suer. Enigma = 142 000 000 000 000 de possibilité de combinaison. Ainsi 1 Milliard = 9 zéro derrière le chiffre (1). puisque 1 Milliard = mille Millions. Soit ici cela fait 142 Mille Milliards. Suivant bien sûr le nombre de rotor et de fiche que la machine dispose.
Sinon, pour que vous puissiez mieux le comprendre. 1 Tera octet d'un Disque Dur actuel = Mille Milliard d'octet. et ici cela équivaut a avoir 142 Disque Dur d'un Tera Octet sur son PC.
Donc oui, ici c'est une graine de blé, qui serait à rechercher dans un réel grand entrepôt de stockage de blé. ou en fouinant dans les 141 autres grands entrepôt de stockage, c'est comme vous le sentez. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Jeu 02 Mar 2017, 03:28 | |
| Et pour terminer ce prologue, l'auteur a aussi intégré cet autre exemple, que l'on ne peut pas oublier. - Citation :
- Eglise de Bedrule a la frontière d'Ecossaise, 30 octobre I998
Il n'y a pas de cérémonie spéciale ni d'hommage floral pour marquer la date du 30 octobre, un autre anniversaire important dans l'histoire d'Enigma, dans la petite église de la paroisse de Bedrule, à la frontière écossaise, à environ dix milles de Jedburgh. Mais à l'intérieur de l'église, le chercheur peut trouver un mémorial en métal noir ou sur le côté nord de la nef, portant les mots: à la mémoire aimante de Francis Anthony Blair Fasson, Lieutenant, GC, RN. Tué dans l'action dans un sous-marin ennemi en Méditerranée le 30 octobre 1942. Sous la plaque, une explication plus détaillée peut être trouvé dans un cadre modeste en bois: à 1550 heures, a la date du 30 octobre 1942, le HMS Petardt sur lequel le lieutenant Fasson était lieutenant a commencé à chasser un U-Boot allemand dans la Méditerranée orientale. Vers 2200 heures après une recherche en compagnie d'autres destroyers, le U-559 avait fait surface et était abandonné par son équipage. Dans une galante tentative de récupérer des livres de codes top secret ennemis, le Lieutenant Fasson et le matelot breveté Colin Grazier ont enlevé leurs vêtements et ont nagé Jusqu'à l'U-559. Avec l'aide d'un très jeune assistant NAAFI âgé de 16 ans Tommy Brown, la tentative a été partiellement réussie, mais les vannes de mers avaient été ouvertes. L'U-5 59 a coulé en emportant avec lui le lieutenant Fasson et le matelot breveté Grazier. Les deux ont reçu la Croix de George à titre posthume pour des raisons qui ne pouvaient pas être révélées à l'époque.
Le bref récit prosaïque fait à peine justice à ce qui fut l'un des actes les plus courageux et les plus significatifs de la Seconde Guerre mondiale. Pour déterrer les détails de l'histoire héroïque, il est nécessaire de se rendre à Londres et de rechercher les documents stockés dans le Public Record Office près de Kew Gardens. Là vous pouvez trouver un compte rendu de ce qui s'est passé qui est infiniment plus agité que ce qui est révélé sur le mur de l'église Bedrule. Les livres de codes que Tony Fasson et ses assistants retrouvèrent cette nuit sombre contenait les codes Enigma utilisé par les sous-marins allemands, dans l'Atlantique comme dans la Méditerranée, ou sans ses codes, cela aurais pu devenir une tentative pour mettre à genoux la Grande-Bretagne et son allié américain. Les casseurs de code boffins travaillant à Bletchley Park, près de ce qui est maintenant connu sous le nom de Milton Keynes, ne pouvait pas briser le code en utilisant uniquement la capacité intellectuelle.
Sans le livre de codes, la Grande-Bretagne aurait pu être affamée et être soumisse alors que sa ligne de vie atlantique était coupée par les U-boots allemands. Mais avec les livres de code entre la main de la Grande-Bretagne tout a changé. Tout à coup, ces étranges messages de code morse, qui pendant si longtemps avaient été les signes avant-coureurs des attaques nocturnes contre la marine marchande sans défense de la Grande-Bretagne, sont devenus des indices révélateurs bienvenus permettant aux convois d'éviter les "Wolf pack" «meute de loups» mortels. Le Comité pour les Honneurs et les Récompenses, qui a siégé en 1943, a déclaré que la «galanterie que Fasson et Grazier était à la hauteur de la norme de la Victoria cross». C'est seulement avec réticence que le Comité a ajouté que Fasson et Grazier n'étaient pas admissibles à la Victoria Cross 'parce que l'opération était terminée et le service ne peut pas être tenu pour avoir été effectué dans le visage de l'Ennemi'. Au lieu de cela, ils ont tous deux obtenu la George Cross et Tommy Brown a reçu la médaille de George pour avoir fait un acte d'héroïsme pas en face de l'ennemi. * Derrière toutes ces morts, tombes et médailles se trouve une histoire presque incroyable. C'est l'histoire de comment Enigma a été casé et comment il est resté un livre ouvert aux Alliés pour une partie substantielle de la Seconde Guerre mondiale. Contrairement aux perceptions de beaucoup de gens, ce n'est pas l'histoire d'un génie solitaire qui a brisé le code d'Enigma par la seule puissance intellectuelle, bien que le célèbre mathématicien Alan Thring ait effectivement joué le rôle principal. Les hommes mentionnés dans ce Prologue n'ont pas non plus été les seuls à avoir risqué leur vie dans leur tentative de voir le code brisé. Il s'agit d'une saga de longue haleine impliquant un grand nombre de personnages charismatiques, courageux et excentriques, dont beaucoup n'auraient jamais été autorisés à exécuter les fonctions qu'ils ont accomplies dans le monde d'aujourd'hui Plus conscients de la sécurité. Mais le courage et les cerveaux brillants n'auraient pas suffi à faire en sorte que le code reste cassé sur une si longue période. La chance, et les erreurs des deux côtés dans le conflit, ont également joué un rôle important dans l'histoire. En analysant ces erreurs, des leçons peuvent être apprises qui doivent être rappelées longtemps après que tous les héros et les génies mentionnés dans ce livre soient oubliés. Euhhhhh, ici lors de la dénomination: "Anthony Blair Fasson, Lieutenant, GC, RN" Cet Abréviation GC et identique que celle qui est inscrite auprès de l'abréviation qui a été transmise a Bletschley park. (GC & CS) donc si quelqu'un connait cette abréviation Anglaise de GC merci pour qu'il se manifeste.
Il se peut aussi très bien, que cette distinction GC n'a strictement rien a voir avec l'abréviation GC inscrite pour Bletschley park.
Et ici j'ai les larmes aux yeux rien qu'en relisant les dernières lignes... ont dirait des paroles que Churchill aurait pu énumérer, et qui elles était mémorable, qui ne peuvent pas être oublié. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Jeu 02 Mar 2017, 10:39 | |
| Bien partons à présent à la conquête de l'histoire réel de l'Enigma. - Citation :
- La Trahison
Belgique et Allemagne en 1931
Dimanche le Ier novembre 1931, Hans Thilo Schmidt, un exécutive de quarante-trois ans du bureau du ministère de la défense Allemand à Berlin, a franchi un pas qui ne lui permettais plus de revenir en arrière. Il a réservé dans le Grand Hôtel de Verviers, une petite ville belge à la frontière avec l'Allemagne, pour sa première rencontre avec un agent des services secret français. Schmidt envisageait de faire ce pas depuis des mois. En juin 1931, il avait rendu une visite à l'ambassade de France à Berlin pour savoir qui il devait contacter à Paris s'il voulait vendre des documents secrets au gouvernement français. Trois semaines plus tard, il avait suivi les conseils donnés par Le personnel de l'ambassade et avait écrit une lettre au Deuxième Bureau Français, qui était l'équivalent français du MI-5 et du MI-6. Dans sa lettre, il a expliqué qu'il avait accès à des documents qui pourraient intéresser la France et il a spécifiquement mentionné qu'il était en mesure d'avoir accès au manuel d'une machine a chiffré qui été utilisé en Allemagne depuis juin 1930. Et il a posé la question si le deuxième Bureau était intéressé, ou il mentionna qu'il serait heureux de rencontrer son représentant en Belgique ou en Hollande. C'est suite à cette lettre que la réunion de Verviers avait été arrangée, et que la scène était fixée en tant que premier acte de trahison de Schmidt. Dans des circonstances normales, Schmidt n'aurait probablement jamais considéré devenir un traître. Schmidt était juste un homme moyen issu d'un milieu de la classe moyenne supérieure n'ayant aucun programme politique ou ambition brûlante pour réussir. Bien que sa mère était née baronne, elle n'était pas riche. Elle avait perdu son titre quand elle avait épousé le père de Hans Thilo, Rudolf Schmidt, une histoire d'un professeur universitaire. La situation de Hans Thilo s'était quelque peu améliorée en 1916, quand, à l'âge de vingt-huit ans, il avait épousé Charlotte Speer, la fille d'un chapeleur aisé. L'entreprise familiale de la mère de Charlotte, C.A. Speer, dirigeait une boutique dans la Potsdamerstrasse à Berlin, où les Allemands intelligents allaient acheter leurs ombrelles, leurs bâtons de marche et bien entendu leurs chapeaux. Les bénéfices de cette boutique ont contribué à payer à Hans Thilo et le cadeau de mariage de Charlotte, un terrain et une maison à Ketschendorf, une zone rurale, maintenant faisant partie de Fürstenwalde, juste à l'extérieur de Berlin.
C'est à ce moment là qu'arrivas l'inflation galopante et le ralentissement économique qui a forcé les Speers à fermer leur boutique. Tout à coup, les perspectives de Hans Thilo étaient loin d'être roses. Il était chanceux que son père et son frère, un autre Rudolf, étaient prêts à l'aider avec ses dépenses domestiques. Hans Thilo et Charlotte avaient deux enfants au moment où la dépression économique a commencé à mordre, bien qu'il ait eu son travail dans le Bureau de chiffrement grâce à une introduction organisée par son frère, son salaire servait juste assez pour pouvoir se nourrir lui seul, sans parler de sa jeune famille.
Son premier acte de trahison n'avait rien à voir avec les questions d'état. C'était une affaire avec sa bonne. Peut-être Hans Thilo aurait-il dû espérer que sa femme ne découvrirait jamais ce qui se passait quand elle était sortie de la maison. Mais s'il voulait être discret, il s'en allait sans détour. Ses enfants, Hans-Thilo le plus jeune et Gisela, savait exactement ce qui se passait. Ils se sont rapidement rendu compte qu'ils devaient se promener autour de leur petite maison de Ketschendorf au cas où ils tomberaient sur quelque chose que leur père aurait pu trouver extrêmement embarrassant. Parfois ils pouvaient entendre le bruit de leur père et de la femme de ménage faisant l'amour dans la pièce de ménage quand leur mère était dehors faisant des emplettes. Cela devait être le premier de beaucoup de telles affaires. Au début, ses enfants n'avaient aucune idée de savoir si leur mère connaissait la folie de son mari. Ils soupçonnaient qu'elle n'était pas au courant. Mais ils ont remarqué que de temps en temps une femme de chambre disparaissait seulement pour être remplacée par une nouvelle femme de chambre. Ou leur père recommença un autre rituel de séduction jusqu'à ce que la prochaine servante parti à son tour.
Les affaires extraconjugales de Hans Thilo ne se limitaient pas uniquement à ses servantes. Il a également eu des rencontres sexuelles quand il est resté pendant la nuit à Berlin, ou il a affirmé a sa femme qu'il devait travailler tard dans le bureau. Sa sœur Martha essayait de couvrir ses traces quand Charlotte, sa femme, a essayé de sonner à l'appartement de Martha où il était censé rester dormir pendant la nuit. - Il vient juste de partir pour faire ses courses, disait Martha à Charlotte. Mais pour Martha Les excuses devenaient de plus en plus minces, et Charlotte avait vite comprise qu'elle ne pouvait pas croire un mot de ce que Martha lui donna en termes de réponse. La relation entre les deux belles-sœurs a pris une tournure pour le pire après ils sont tombés sur les vêtements que Martha a donné à Charlotte pour Noël. …………. De temps en temps, elle menaçait de le quitter pour qu'elle puisse prendre un nouveau départ avec quelqu'un qui l'aimerait vraiment. Après une telle menace, Hans Thilo a décidé de quitter sa maison de Ketschendorf afin qu'il puisse vivre en permanence à Berlin. Sa sœur Martha est même allée jusqu'à lui trouver une petite amie, quelqu'un avec qui, dit-elle, s'occuperait de lui correctement. Cependant, même cette crise a passé après Gisela et le jeune HansThilo les a exhortés à ne pas se séparer. C'est l'incapacité de Hans Thilo à résister à la tentation au travail qui l'a transformé en traître. Dans le bureau de Chiffrement où il travaillait, le chiffrement étaient pour les forces armées allemandes. Et ils ont été gardés dans un coffre-fort verrouillé. Cependant, grâce à son frère Rudolf, qui avait été chef du bureau de chiffrement entre 1925-8, et Hans Thilo était devenu l'assistant de confiance du major Oschmann, successeur de son frère. En conséquence, il avait souvent accès au coffre-fort où les chiffres étaient stockés. Il n'a pas fallu être un génie pour se rendre compte que ces chiffres valaient beaucoup d'argent s'ils étaient offerts à un autre pays, et Schmidt a finalement décidé d'exploiter sa chance de gagner de l'argent. C'est ainsi qu'il a pris contact avec le Service secret français. L'agent secret du Deuxième Bureau qui avait été chargé d'embaucher Schmidt dans une vie d'espion était un personnage plus grand que la moyenne et qui utilisa le nom de Rodolphe Lemoine. En fait Lemoine n'était pas son vrai nom de famille. Comme beaucoup d'espions, il aimait avoir autant d'alias que possible. Son vrai nom de famille était Stallmann. Lemoine était le nom de famille de sa femme française. Il l'avait épousée en 1918 après avoir déménagé en France de son Allemagne natale. Cependant, quand il travaillait sous la couverture pour le deuxième Bureau, il a utilisé le nom de code Rex. Celui qui était responsable de l'attribution des âmes codé et qui devait avoir eu un sens d'humour, peut-être en apercevant que Lemoine a vécu comme un roi - habituellement aux frais du deuxième Bureau. Lorsqu'il sortait pour une mission, il descendait au meilleur hôtel de la ville et réserva la suite la plus chère. Ses informateurs étaient invariablement adoucis avec du champagne et encouragés à fumer les grands cigares que Lemoine lui-même favorisait. Ou peut-être parce qu'il avait l'air d'un roi ou du moins d'un pape médiéval. Lemoine était un énorme ours. Quand il a rencontré Schmidt et il avait pour la première fois soixante et un ans et sa puissante personnalité charismatique était accentuée par sa grosse tête rasée et ses yeux bleus perçants qui regardaient par derrière des lunettes rondes. Une fois que vous avez été pris dans leur regard hypnotique, il était difficile même de penser à s'échapper. Dès que à Hans Thilo Schmidt lui fut montré la somptueuse suite hôtelière de Lemonine à Verviers en novembre 1931, Lemoine commença à mettre en pratique la procédure qui avait été affinée par des rencontres similaires au cours des années. À toutes ces réunions, une forme subtile de bousculade pour la position doit avoir lieu avant que les deux parties commencent à parler de l'affaire sérieusement et pour signer un accord. Afin de «prendre le contrôle de la Situation, Lemoine voulait effrayer Schmidt juste un peu avant de devenir son ami. On lui demanda donc ce qu'il aurait fait si le fonctionnaire à qui il avait parlé à l'ambassade de France à Berlin l'avait pris pour un agent provocateur et l'avait remis à la police. Cette suggestion eut l'effet désiré et Schmidt, qui était évidemment très tendue, a répondu que si Lemoine allait parler comme ça, il ne servirait à rien de poursuivre la réunion. He ben, qu'elle début pour une histoire. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Jeu 02 Mar 2017, 12:38 | |
| Ainsi ici, ont remarque bien les séquelles, que le crash de la bourse de 1928 a créer mondialement, et que après ce crash, pour rétablir la situation, cela ne s'est pas fait du jour au lendemain, mais en années. Es ce que l'arrivé au pouvoir de Hitler a changer la donne? Cela il faudrait encore que je le compare statistiquement avec les chiffres d'avant et après qu'il est monté sur son trone. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Jeu 02 Mar 2017, 13:14 | |
| - Citation :
- le 13 octobre 1931, le Chancelier du Reich, Heinrich Brüning mène une politique d’austérité drastique. Il augmente les impôts et réduit les dépenses de l’Etat, il préconise une réduction des salaires et des traitements.
Donc ici c'est bien le cas de Hans Thilo, puisque il était un fonctionaire. Donc la déflation de Bruenig. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Jeu 02 Mar 2017, 16:53 | |
| - Citation :
- Mais Lemoine ne pouvait pas laisser l'affaire se reposer comme celà. Il a dû faire comprendre à Schmidt que le Service secret français ne pouvait pas s'occuper d'une nouvelle recrût s'il n'était pas convaincu, de ce qu'il allait apporter était authentique. Et Lemoine voulait aussi savoir pourquoi Schmidt serait prêt à devenir un traître. C'est alors que Schmidt a raconté à Lemoine ses difficultés financières et de son sentiment que son pays ne pouvait pas s'attendre à ce qu'il soit loyal s'il ne s'occupait pas de lui. Il aurait pu ajouter qu'il s'était formé à la base de chimiste; Il aurait donc été facile pour lui de trouver un emploi bien rémunéré si le gouvernement avait géré correctement l'économie.
Une fois que Lemoine a entendu cela, il savait exactement comment faire face à Schmidt. Il lui offrirait des sommes d'argent fabuleuses pour tous les documents de valeur qu'il pourrait rapporter. Bref, il jouerait Mephisto et que Schmidt lui sera attribuer le rôle du Dr. Faust. A la fin de leur première rencontre, Lemoine et Schmidt s'entendirent. Schmidt devait une fois lui rapporter les meilleurs documents sur lesquels il pourrait poser sa main dessus et lors de leur prochaine réunion Lemoine lui dirait alors quelles serait leurs valeurs.
Lemoine na pas été déçu. Le dimanche 8 novembre 1931, les deux hommes se retrouvèrent au même hôtel. Au cours de la seconde entrevue, Schmidt a sortie deux documents qu'il tira de son porte document et qui ont fait croire à Gustave Bertrand, l'expert en code âgé de 34 ans accompagnant Lemoine. Que ce n'étaient rien de plus que le manuel expliquant comment faire fonctionner la machine Enigma top secret utilisée par l'armée allemande. Quand Bertrand entendit Schmidt s'excuser de n'avoir pas apporté la liste des paramètres de réglage de l'Enigma, il savait qu'il était tombé sur une mine d'or potentielle pour autant que la sécurité de la France - et sa propre carrière - fût concernée.
Dès qu'il fut seul avec Lemoine, Bertrand suggéra de payer Schmidt 5000 Reichsmarks pour les documents qu'il avait apportés. Il était difficile pour Bertrand, lorsqu'il fut interrogé sur cette réunion plusieurs années plus tard, de se rappeler exactement ce que Lemoine lui avait alors répondu. Mais en règle générale c'était quelque chose de ce genre: «Nous devons l'appâté une fois pour toutes maintenant. Permettez-moi de lui offrir deux fois plus que vous suggérez, c'est-à-dire IO, OOO marks (Approximativement £ 20,000 dans l'argent d'aujourd'hui). Et je voudrais lui offrir encore la même chose s'il continue à nous aider. Bertrand, qui se frottait métaphoriquement les mains de joie, accepta rapidement ce que Lemoine disait. Alors, alors que Bertrand a emmené les manuels de l'Enigma jusqu'à sa chambre d'hôtel afin qu'ils puissent être photographiés, Schmidt s'enrôla dans le deuxieme Bureau en tant qu'espion. L'accord qu'il a accepté était à la fois passionnant et terrifiant. Cela lui permettrait de gagner beaucoup d'argent. Mais comme Lemoine lui a dit, une fois qu'il était dedans, il n'y avait aucune issue. Le Deuxième Bureau français ne le laisserait jamais partir.
De retour à Paris, Bertrand a montré ses photographies aux spécialistes de la cryptographie. Bien qu'il fût chargé de la section des chiffres du deuxième Bureau, il n'était pas lui-même un cryptographe praticien. Les cryptographes devaient croire que Bertrand et Lemoine avaient été pris en charge, parce qu'ils estimaient que les documents fourni par Schmidt ne leur permettrait pas de briser le code Enigma; Les manuels expliquent comment chiffrer un message, mais ils n'ont pas permis à un cryptographe de lire des messages Enigma. Bertrand a été très déçu, mais lui et ses supérieurs ont convenu qu'ils devraient obtenir une seconde opinion des experts cryptographiques de la Grande Bretagne.
C'est a se moment là, qu'entra en jeu, Wilfred "Biffy" Dunderdale, l'homme qui dirigeait dans les années 1930 la section française de la station française du service Secret Britannique, et qui lui devait être l'intermédiaire. Comme Lemoine, il était un homme cosmopolite de moyens indépendants. L'argent de Lemoine vint de son père, un bijoutier à Berlin; Le père de Dunderdale était un magnat de l'expédition. Billy Dunderdale, était seulement âgé de trente et un ans lorsqu'il a été approché par Bertrand, et qui lui jouera plus tard un rôle important pour s'assurer que les secrets d'Enigma de Bertrand se retrouveront en Grande-Bretagne sans que les Allemands ne le découvrent. Mais c'était plus tard. En 1931, même lui il était impuissant à pouvoir l'aider. Tout ce qu'il pouvait faire était d'envoyer les photos de copie à Londres et de relayer ensuite le verdict des des cryptographes Britannique vers Bertrand. Ils ont convenu avec leurs homologues français que les documents de Schmidt ne leur permettraient pas de briser l'énigma.
La réponse de Bertrand était de demander au chef du Deuxième Bureau s'il pouvait montrer les documents à son homologue en Pologne qui, bien avant Bertrand avait rencontré Hans Thilo Schmidt, et avait mentionné l'incapacité des Polonais de lire le code impénétrable utilisé par L'armée allemande. Quand la réponse revint avec l'affirmation qu'il le pourraient, Bertrand a réservé son billet pour Varsovie. | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28699 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Ven 03 Mar 2017, 09:04 | |
| [quote C'est l'histoire de comment Enigma a été casé et comment il est resté un livre ouvert aux Alliés pour une partie substantielle de la Seconde Guerre mondiale. Contrairement aux perceptions de beaucoup de gens, ce n'est pas l'histoire d'un génie solitaire qui a brisé le code d'Enigma par la seule puissance intellectuelle, bien que le célèbre mathématicien Alan Thring ait effectivement joué le rôle principal. Les hommes mentionnés dans ce Prologue n'ont pas non plus été les seuls à avoir risqué leur vie dans leur tentative de voir le code brisé. Il s'agit d'une saga de longue haleine impliquant un grand nombre de personnages charismatiques, courageux et excentriques, dont beaucoup n'auraient jamais été autorisés à exécuter les fonctions qu'ils ont accomplies dans le monde d'aujourd'hui Plus conscients de la sécurité. Mais le courage et les cerveaux brillants n'auraient pas suffi à faire en sorte que le code reste cassé sur une si longue période. La chance, et les erreurs des deux côtés dans le conflit, ont également joué un rôle important dans l'histoire. En analysant ces erreurs, des leçons peuvent être apprises qui doivent être rappelées longtemps après que tous les héros et les génies mentionnés dans ce livre soient oubliés.quote] Un des plus heureux épisodes de la guerre: les "gentils" qui lisent dans les intentions ennemies. Simplement génial ... | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Ven 03 Mar 2017, 13:42 | |
| Salut Vania, et tu devrait à présent me connaitre, que je déterre uniquement des livres qui sont géniaux! Et puis aussi, il vas de soit, l'Espionnage était et est toujours des histoires d'acte militaire, qui en dise beaucoup plus, ou uniquement quelques uns, mettent leurs vies en danger, et qui eux, sont les véritables héros, puisque a travers leurs actes, ils transmette des informations qui peuvent sauvé la vie de millions de gens. Et la ont vois aussi, que les fautifs, n'était pas simplement le III reich d'hitler, mais que bien avant, les politiciens, eux, en souhaitant suivre leurs politique, ont créer la brèche des Espions qui revende la technologie pour mieux pouvoir vivre.
Bien, bien donc la suite!!! Et ont remarque bien, que les conneries, de certaine personnes, peuvent mener parfois vraiment a une affaire international. Ainsi, il suffit juste que un jour, une personne travaillant et qui a mal dormis, ou n'a pas sa tête a ce qu'il fait, et il a ses pensez autre part, boumm et cela peut mener a une connerie magistrale, et il suffit juste encore que il ou elle travaille dans un département sensible. Mais ici ont se trouve encore, au début des années 1930, ainsi a cette époque, nos Grand parents, avait eux un tout autre rituel dans leurs vie. Ben là c'est comme vous allez le lire. - Citation :
- Chapitre II "La fuite"
Pologne, Belgique et Allemagne 1929-38
Deux ans avant que Bertrand est allé à Varsovie avec ses manuels Enigma, le service secret polonais s'est retrouvé pris dans son propre drame relatif à une machine de chiffrement Enigma. Le dernier samedi du mois de janvier 1929, un douanier alerter et travaillant à Varsovie était sur le point de Traiter une lourde boîte quand ses soupçons ont été suscités par une demande provenant de l'ambassade d'Allemagne. Apparemment, la boîte avait été envoyée en Pologne par erreur et qui elle devait être renvoyé immédiatement en Allemagne. Lorsque la boîte a été ouverte, une machine Enigma a été trouvée à l'intérieur. Le bureau de chiffrement de l'état-major polonais a rapidement envoyé des Ingénieurs pour l'examiner. Ce furent Ludomir Danilewicz et Antoni Palluth, deux des propriétaires de la société AVA, une Société de communication qui a établi des liens étroits avec le Bureau de chiffrement. L'examen de ce qui s'est avéré être une machine Enigma de chiffrement commercial, et l'examen a continué tout au long de la nuit de samedi et le dimanche, ou les deux hommes sont uniquement rentré chez eux pendant la journée de Lundi. A cette époque, l'Enigma avait été a nouveau emballée et fut renvoyer à la compagnie allemande en Allemagne. Pour autant qu'on sache, personne n'avait soupçonné qu'elle a été ouverte.
Il n'existe aucun document officiel disponible a la lecture du public qui confirme que un examen de l'Enigma dans l'entrepôt douanier a renforcé l'intérêt du service secret polonais, pour la Machines utilisées par les forces armées allemandes à la fin des années I920 et le début des années I930. Mais un compte rendu privé écrit par Leonard Danilewicz, un autre propriétaire d'AVA, suggère que les trouvailles faites par son frère Ludomir et Antoni Palluth a effectivement conduit a une tentative de lire certains messages de la machine Enigma de l'Armée. "Selon Leonard Danilewicz, la tentative de déchiffrer les messages a été réalisée à l'aide de bandes de celluloïd blanc carrés dans lesquels ont été inscrites les lettres de l'alphabet. En utilisant ces bandes, il a été possible de retracer le chemin parcouru par le courant à travers les roues à l'intérieur de la machine Enigma. Cependant, cette tentative de déchiffrement des messages secrets de l'armée a mener à rien, ce qui n'était pas surprenant puisque, comme les Polonais l'ont découvert Plus tard, les roues Enigma utilisées par les forces de l'armées comprenaient un câblage interne à celui utilisé à l'intérieur des roues commerciales Enigma. Pendant le même mois, de janvier 1929, le lieutenant Maksymilian Ciezki, le chef de 30 ans de la section allemande du service de Chiffrement, a été invité à l'Institut de mathématiques de l'Université de Poznan, une petite ville à l'ouest de Varsovie, pour mettre en place un cours de cryptologie. Tandis que Il se trouvait à l'université, il a interviewé par certains de ses étudiants les plus habiles et a invité vingt d'entre eux à participer à une série de conférences sur comment cassé le code. Le chiffrage Enigma n'a jamais été mentionné, mais Marian Rejewski, Henryk Zygalski et Jerzy Rozycki, les trois étudiants qui ont finalement été employés par le Bureau de chiffrement, ont découvert plus tard que tous les deux Ciezki et Palluth, ont également enseigné sur la méthode sans succès de lire quelques messages Enigma.
En décembre 1931, Bertrand se présente à Varsovie avec ses Photographies des manuels de la machine Enigma, les meilleurs étudiants du cours de cryptologie travaillaient déjà sur le chiffrage simple dans un poste de commandement de l'armée de Poznan qui avait été réquisitionné par le Bureau de chiffrement. Il était connu sous le nom de "Chambre noire", un surnom plutôt prétentieux aux yeux des étudiants. On ne leur a pas parlé de la réunion secrète de Bertrand en décembre 1931 avec le Major Gwido Langer, qui à 37 ans était le chef du bureau de chiffrement à Varsovie. Au cours de la réunion, Bertrand a fait voir ses photos des manuels de la machine Enigma à Langer. Après une consultation rapide avec ses experts en chiffrement, Langer répondit à Bertrand que les manuels contenaient des informations très importantes qui aideront les Polonais. Les manuels ont révélé que l'armée allemande avait adapté la machine commerciale Enigma que les Polonais avaient déjà inspectée. Mais les photographies fournies par Bertrand n'étaient pas suffisante pour permettre aux cryptographes de lire les messages de l'énigma. Langer demanda à Bertrand si sa source pouvait obtenir une copie des réglages de l'Enigma qui étaient actuellement utilisé.
Peu de temps après la visite de Bertrand à Varsovie, ce que Langer avait demandé, ont été remis à Bertrand lors d'une autre réunion avec Hans Thilo Schmidt en Belgique. Les documents ont rapidement été envoyés à Varsovie dans une valise diplomatique et remis à Langer. D'autres réglages ont été remis aux Polonais au mois de mai et Septembre 1932. Mais même par la suite Bertrand ne reçut aucune confirmation de la Pologne si il y avait eu une perspective des cryptographes polonais pour briser le code. Au moment où Bertrand s'était rendu à Varsovie au mois de Septembre 1932, il a dû faire face à une crise croissante qui brassait dans le service de renseignement de son propre pays. Bertrand et Lemoine ont du faire face qu'ils ne furent pas les seuls agents secrets à rencontrer Hans Thilo Schmidt. Après les premières réunions, ils ont été Accompagné d'André Perruche, qui a travaillé pour le bureau du Service de Renseignements du 2ème Bureau Équivalent de MI-6). Contrairement à Bertrand, il n'était pas seulement intéressé par le chiffrage. Il a dû se tourner vers le tableau plus large qui traitait des relations franco-allemandes. Perruche croyait que les informations que Schmidt avait données sur l'Allemagne point de vue Plans de réarmement était bien plus importants que la documentation et qui pourrait ou non conduire à la lecture de certains Messages de l'enigma. Ben voyons, voilà ici ont a la fin, un troisième luron, qui lui n'était pas foutu de trouvé son propre espion, et qui veut utiliser la source d'un autre, pour son propre département, ça c'est vieux comme le monde, cette technique de prendre le poisson du premier pêcheur. Et après c'est lui qui vas tirer les lauriers.
Et ici, comme l'avait énumérer au début Lemoine, "lorsque ont y entre, ont ne peut plus y sortir", et cela arrive toujours, après dans les histoires d'Espion. Et ces personnes, sont aussi des personnes, si ont leurs donne plus d'information valable, alors ils deviennent méchant et sont encore foutu, de livrer la source à la partie adverse. Donc ça c'est la mise à mort de la source. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Ven 03 Mar 2017, 14:02 | |
| donc juste pour la bref bio provenant de wikipedia. ou certain nom reviennent. - Citation :
- Dans les années 1920, Ciężki est officier de l'armée de terre polonaise. En 1932, il est nommé chef de la Section allemande (BS-4) du bureau du chiffre, sous la direction de Gwido Langer dont il est l'adjoint. De plus, Ciezki supervise les stations d'interception de Starogard (Corridor de Danzig), de Poznań (Pologne occidentale) et de Krzesławice, près de Cracovie.
En septembre 1939, Ciezki, avec Langer et treize camarades, se réfugie en France. À PC Bruno, puis au centre Cadix, il continue sa mission. En outre, il est responsable de la Station Rygor des services spéciaux polonais, en Algérie. Dans la nuit du 10 au 11 mars 1943, le commandant Ciężki, le lieutenant-colonel Langer, le lieutenant de réserve Antoni Palluth et deux décrypteurs civils, Edward Fokczyński et Kazimierz Gaca, sont capturés dans les Pyrénées alors qu'ils tentent de rejoindre la Grande-Bretagne, via l'Espagne.
Ciezki et Langer sont déportés le 31 août 1943 de Paris, gare de l'Est vers le château d'Eisenberg Jezeří (Zámek) (au SS-Sonderlager de Schloss Eisenberg) , satellite du KL Flossenburg. Palluth, Fokczyński et Gaca, au camp de Sachsenhausen. Palluth est tué par un bombardement. Fokczyński meurt d'épuisement.
En mars 1944, Langer et Ciezki interrogés par des officiers de l'Abwehr expliquent qu'avant-guerre, ils ont pu décrypter certains trafics, mais que le décryptage est devenu impossible, dès l'ouverture des hostilités. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
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| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Sam 04 Mar 2017, 03:22 | |
| et pour les personnes qui ne sont pas au courant! - Citation :
- 1918: Arthur Scherbius
- 1918: Gewerkschaft Securitas
- 1920: Scherbius und Ritter
- 1920: Chiffriermaschinen Aktiengesellschaft
- 1933: Heimsoeth und Rinke
Donc officiellement, l'Enigma et le Bébé de Arthur Scherbius. Donc elle était née en 1918, (Scherbius, avait en premier en 1915 inventé son rotor, mais le rotor, n'était pas l'invention type, puisque dans le monde d'autre les ont aussi inventé), mais réellement elle vue le jours en 1923. Ainsi elle a été développé par la société Scherbius & Ritter de Berlin-Wansee, mais elle a été produite par Gewerkschaft Securitas, et plus tard l'entreprise a été renommé en tant que Chiffriermaschinen AG de berlin.
Ainsi ici ont parle encore de la version préhistorique, soit de la version "A", de cette version, aucune machine n'a survécus. Cette première version, elle c'était une copie parfaite d'une machine a écrire, ou les codes ont été imprimer sur du papier. en raison que la variante "A" avait différent problème, un ans après, en 1924, elle fut remplacer par la "B" Plus important encore, l'Enigma A et B étaient très chers à construire et ne seraient adaptés au marché haut de gamme.
Pour cette raison, Scherbius a développé une machine qui produisait sa sortie sur un panneau de lampe plutôt que sur du papier. Le premier modèle a été l'Enigma "C" qui a été introduit en 1924. Il était aussi connu comme Gluhlampenmaschine (lampe à incandescence).
La machine était disponible pour environ 1/8 du prix de l'Enigma "A" et a coûté 1000 RM à l'époque. La machine est logée dans une caisse en bois et ressemble à peu près aux modèles Enigma plus récents, sauf que les touche du clavier sont disposées dans l'ordre séquentiel (ABCDE ...) plutôt que l'ordre de machine à écrire le plus courant (QWERTZ ...).
L'Enigma Standart "C" possède 26 touches (A-Z) pour entrée les charactère de l'alphabet et 26 lampes (A-Z) pour la sortie. Le texte est brouillé au moyen de trois rotor de chiffrement qui dépassent de son couvercle supérieur. Chaque roue de chiffrement a 26 contacts de chaque côté. Plusieurs variantes de l'Enigma "C" ont été produites, telles que la Funkschlüssel "C" (= Transmission codé pour la marine allemande) et une variante Suedoise, qui a été construite avec 28 touches.
L'Enigma commercial (1926)
Contrairement à l'Enigma à impression, les machines à lampe à incandescence avaient un réflecteur (UKW) qui a fait une machine réciproque (symétrique). En conséquence, les paramètres de la machine pour le codage et le décodage étaient identiques, ce qui a grandement amélioré sa facilité d'utilisation. L'UKW avait deux ou quatre positions fixes. L'idée du réflecteur est venue du collègue de Scherbius, Willy Korn, qui allait plus tard diriger l'entreprise. En 1926, la conception de la lampe à incandescence Enigma a été considérablement améliorée. Un nouveau châssis a été développé et la disposition de clavier standard (allemand) (QWERTZ ...) a été introduite. De plus, le réflecteur (UKW) pouvait être réglé sur 26 positions différentes. Il a été monté à gauche des trois roues de chiffre, c'est pourquoi cette machine est parfois pensée pour être une Enigma à 4 rotors.
La machine a été connue en interne en tant que modèle A26 et est devenu connu sous le nom de l'Enigme "D". Comme l'Enigma "C" il a été logé dans une caisse de transport en bois avec un couvercle à charnière. Il a eu plusieurs améliorations.
Et ont pouvait accédé plus facilement au rotor (c'est-à-dire le couvercle supérieur pourrait être ouvert), en option il existait un filtre solaire pour le panneau de la lampe, et il avait un sélecteur de puissance qui a été monté à droite des roues de chiffrement. L'Enigma "D" est devenu la base pour la plupart des machine ultérieure
L'énigma Zählwerk (1928) (L'enigma à comptabilisation)
En 1927, une série de nouveaux développements ont été lancés, tous basés sur le châssis de l'Enigma "D". Tout d'abord il y avait l'Enigma Commercial, qui plus tard est devenu connu sous le nom de l'Enigma "K" (La lettre K pourrait être pour "Kommerzial"). Il y avait plusieurs variantes de cette machine, "K" suisse qui a été construit pour l'armée suisse. Toutes les machines commerciales Enigma avaient un mécanisme simple de rotation de roue qui est comparable à l'odomètre d'une voiture. La molette la plus à droite fait un pas unique à chaque pression de touche. Après que la roue la plus à droite a accompli une révolution complète, la roue du milieu fait un pas unique et ainsi de suite. (comme sur un bandit manchot dans un casino, pour gagner le jackpot).
Dans le même temps (1927) le développement d'une gamme plus avancée des machines a été commencé. Cette gamme est connue sous le nom de Zählwerk Enigma (Enigma à comptabilisation) ou Zählwerksmaschine (Machine à comptabilisation), probablement parce qu'il a un compteur qui montre la longueur d'un message.
En outre, l'Enigma Zählwerk dispose d'un mécanisme de roulement de roue beaucoup plus avancé qui a été entraîné par des roues dentées plutôt que par des cliquets et des leviers. Cela a permis au mécanisme de fonctionner à l'inverse ainsi, ce qui était utile pour corriger les erreurs. La Zählwerk Enigma introduit également le concept de plusieurs crans de roulement, ce qui provoque un roulement plus fréquent (irrégulier) des roues. Les trois roues de chiffrement ont respectivement 11, 15 et 17 dents de roulement, dont chacune est des amorces relatives de 26, ce qui augmente la période de la machine (c'est-à-dire le nombre d'étapes avant que la séquence ne soit répétée). De plus, le réflecteur (UKW) fait maintenant partie du mécanisme de marche et est entraîné par les autres roues.
La première énigma Zählwerk était le modèle A28. Il a été introduit en 1928 et a été construit sur le châssis de l'Enigma "D". Quelques années plus tard, une variante de conception de l'A28 a été développée. Il était légèrement plus petit et avait des roues de chiffre plus petites.
Bien que le nombre et la position des encoches de rotation soient identiques (11, 15 et 17), le diamètre des roues était plus petit et le mécanisme entraîné par la roue dentée était légèrement simplifié. Cette machine a été introduite en 1931 et était connue sous le nom de modèle G31 (plus tard: Abwehr Enigma).
Enigma militaire (1932)
En dehors de l'Enigma Zählwerk, il existe aussi une version moins connue de la machine qui ne convient qu'aux numéros. Il est introduit en 1930 et est connu sous le nom Enigma Z ou Z30. Deux variantes de cette machine sont connues: l'une avec un mécanisme d'un simple fonctionnement et l'autre avec le pas de Zählwerk. La machine a été de courte durée et seulement construites en quelques unités (± 50). En 1926, l'armée allemande (Reichswehr, plus tard: Wehrmacht) commença à s'intéresser à la machine. A leur demande une variante spéciale de l'Enigma commercial "D" est développée. Il a trois roues de chiffre et un réflecteur fixe (UKW).
En outre, la nouvelle machine dispose d'un panneau (Steckerbrett) (a enficher) à l'avant qui ajoute une couche supplémentaire au chiffrement. Le Steckerbrett peut être configuré sur le terrain et est utilisé exclusivement pour la Reichswehr. Le premier prototype est prêt en 1927 et dispose d'un seul enfichage. Il est connu sous le nom de Reichwehr Enigma D.
La version finale est prête en 1932 et a un Steckerbrett double-terminé amélioré. Cette version est connue par la Reichswehr (maintenant: Wehrmacht) comme l'Enigma-I et est seulement disponible à l'Armée de terre. Jusqu'à cette date, tous les modèles commerciaux d'Enigma étaient disponibles gratuitement sur le marché (international). Cela change quand en 1932 l'armée allemande revendique les droits exclusifs à la machine. Dès lors, toutes les ventes commerciales et internationales devaient être approuvées par l'armée allemande. En dehors de l'Enigma-I, le fabricant, maintenant sous le nom de Heimsoeth & Rincke, développe également une nouvelle version de l'impression Enigma. Il est le successeur de l'Enigme B et est prêt en 1929. La machine s'appelle Enigma H (modèle H29) et est connue par l'Armée comme Enigma-II.
L'Enigma H est également vendu à l'armée hongroise, mais n'a jamais été très populaire en raison de son prix élevé. En dehors de l'armée hongroise, les Allemands vendaient aussi des machines Enigma à la Suisse et à l'armée hollandaise. Ce dernier a également acheté Enigma G31 modèles aussi tard que 1938.
Au milieu des années 1930, l'armée allemande se prépare clairement à la guerre et commence à commander des machines Enigma-I en grandes quantités pour la Wehrmacht et la Luftwaffe. L'Enigma G est utilisé par l'Abwehr allemand (service secret). Pour la Kriegsmarine (Marine allemande) un modèle similaire et compatible avec l'Enigma-I est développé. Elle devient connue sous le nom d'Enigma M1 (1934), suivie par l'Enigma M2 (1938) et enfin l'Enigma M3 (1940). Et celà c'est encore compréhensible, donc je n'irais pas me plonger plus profondément à l'intérieur. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Sam 04 Mar 2017, 03:27 | |
| Euhhhhhhhhh, mais oui, comme ont a aussi notre chère copains Suisse, Dit moi, si dans les musées ou autres, si en suisse, il existerai encore de ses machines "K"? | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Lun 06 Mar 2017, 16:50 | |
| Bien, mais là il faut que je vous avoue, que comme les prochains chapitres, ils vont continuer à discuter sur Schmidt, alors je vais une fois abréger, et que retenir les sections, des chapitres, ou il y aura des changements majeurs.
Donc je termine juste ce paragraphe, avant de me lançer à la poursuite. - Citation :
- Les renseignements sur le réarmement pouvaient en tant normale, être envoyé dans une lettre standard ou le contenu, avait été écrit en encre invisible, et les renseignements pouvait être envoyé sans que Schmidt ait à traverser des frontières internationales avec des documents incriminants dans sa mallette. En d'autres mots les renseignements pouvait être obtenu avec plus de sécurité que le chiffrement de documents.
Bien dans le chapitre III est énnumérer: - Citation :
- En 1938, lorsque la plupart de l'état major du 2ème Bureau, connaissait Hans Thilo Smidt, et son arrivé à la conclusion, que les documents qu'il avait transmis, non jamais aidé à cassé le code de l'Enigma.
Et maintenant pour 1939, est énumérer cela: - Citation :
- la fuite
Allemagne, Pologne, France et Angleterre 1939-40
Dans les premières heures du 1er septembre 1939, la scène qui se déroula sur le pont de la frontière reliant Kehl au sud de l'Allemagne et Strasbourg en France ressemblait à quelque chose de l'espion qui venait du froid de John Ie Carré. A une extrémité du pont se dressait une longue file de soldats allemands, tous armés de fusils. Face à eux, à l'autre extrémité, se dressait une ligne de soldats français, tous équipés d'armes à feu également menaçantes. Harry Hinsley, un étudiant de vingt ans du St John's College de Cambridge, marchait lentement entre les deux lignes de soldats vers la France. Il tentait de s'échapper de l'Allemagne nazie, et il espérait qu'il n'était pas trop tard pour traverser la frontière. Alors qu'il traversait le pont, les soldats allemands eurent envahit la Pologne, l'alliée de la France et de la Grande-Bretagne, et ce n'était qu'une question de temps avant que les Français et les Britanniques déclarèrent la guerre à l'Allemagne. Si les soldats allemands s'étaient aperçus que des dégâts infligés par Hinsley à leur pays et à leurs camarades au cours des deux prochaines années, ils l'auraient sûrement retenu à la frontière. Le grand-père d'Hinsley avait été maître serrurier qui a fait les serrures et les clés pour les grandes portes d'entrée de certains des musées et des galeries à Berlin, mais le jeune Harry était destiné à la reproduction de clé, qui lui fut infiniment plus précieux: la clef de chiffrement Enigma utilisé par la marine allemande. Cependant, les soldats allemands ne savaient rien à ce sujet. Ils se contentaient de regarder avec désinvolture que le bureau de douane allemand lui confisqua tout les Reichmark allemandes que Hinsley avait sur lui. Après qu'on lui a dit qu'il ne recevrait pas de Monnaie française en échange, il a été envoyé, sans argent, sur son chemin. Il Passa la nuit suivante sur un banc d'un parc en France. Au moment de cette heureuse évasion, Hinsley n'avait pas encore été recruté par les services secrets britanniques. Pendant l'été 1939, il était juste un étudiant qui essayait d'apprendre un peu l'allemand en passant ses vacances en Allemagne. Bien qu'il soit conscient de la montée des tensions entre la Grande-Bretagne et l'Allemagne, il a décidé de risquer en allant vers le devant avec son voyage. Après tout, ce n'était pas la première fois qu'il existait une tension entre les deux pays. Il avait visité l'Allemagne pendant la Crise de Munich l'année précédente, et rien ne s'était passé puis. Quand, en août 1939, il était arrivé chez sa petite amie À Koblenz, dans le sud-ouest de l'Allemagne, il avait été accueilli avec autant d'hospitalité que jamais. Le seul inconvénient était que Il a été forcé de se présenter au poste de police local chaque jour, pour que la police puisse garder un œil sur lui. Mais même cela a été abandonné après l'annonce, le 23 août, du pacte nazi-soviétique. Soudainement tout le monde a rencontré Hinsley à Coblence Convaincu qu'il n'y aurait pas de guerre après tout. La police a dit a Hinsley qu'ils le contacteraient si des problèmes allait se produire. Une semaine plus tard, l'un des policiers est entré en contact, avec les Parents de sa petite amie. «Je Sorterais-de ce pays d'ici demain, si j'étais vous », lui avait énumérer le policier. Cela explique comment Hinsley a été averti en temps, et comment il a réussi à traverser la frontière française avant sa fermeture. Il a ensuite fait de l'auto-stop en Suisse et de là il retourna en Angleterre. Peu de temps avant le ministre Neville Chamberlain a annoncé que la Grande-Bretagne était en guerre avec l'Allemagne. Hinsley a trouvé difficile pour pouvoir se concentrer sur son cours d'histoire à l'université de Cambridge, où il entreprenait sa troisième année comme Premier cycle. On lui avait dit que les étudiants de troisième année leurs était donné la possibilité de terminer leurs études, ou d'être enrôlés. Mais ses difficultés ont été quelque peu atténuées par Hugh Gatty, son tuteur en histoire moderne. Hinsley lui trouva un délicieux compagnon, mais un professeur désespéré. Gatty demanderait à Hinsley de lui lire quelques lignes de son dernier essai, puis il a dit: «C'est très bien. Maintenant, voulez-vous m'entendre jouer de la musique sur mon clavecin? Il aurait été impoli de ne pas l'écouter, alors Hinsley pris place et essaya d'oublier la guerre qui faisait rage dans l'Europe, une guerre qui menaçait de détruire sa vie idyllique de Cambridge.
Pour Hinsley a ce moment là, il n'était pas au courant que son avenir était déjà tracé. Alastair Denniston, le chef in facto Code Gouvernemental et école du Chiffre (CG et CS Ben le voilà notre fameuse abréviation, rien a voir avec l'autre) avait demander à un de ses amis du Kings Collège à Cambridge, pour le mettre en relation avec des diplômés de haut rang et les étudiants de premier cycles. En raison que le personnel était manquant pour dirigé la nouvelle école de Bletchley park dans le Buckinghamshire. Hinsley, qui avait terminer son premier cycle, en étant premier de son histoire tripos, a été réputé être un candidat approprié, et deux semaines après le début de son univers il a été convoqué par le Foreign Office pour une entrevue Dans les salles de Martin Charlesworth, le président de St John's Université. Durant l'entrevue, Denniston et son collègue n'ont pas expliqué Pourquoi ils voulaient Hinsley. Ils ont passé par son CV avec lui, Notant qu'il était bon à filtrer les documents anciens tels que le Livre Domesday. Bien ici a nouveau cela vas s'éterniser.
Ainsi je vais de suite me lancer au chapitre de la première capture. | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Lun 06 Mar 2017, 17:21 | |
| Bien ici l'histoire de la première capture. - Citation :
- La première capture
Écosse I940
La première percée dans la tentative britannique pour lire le code de l'Enigma navale a eu lieu en Février 1940. Et cela n'avait rien à voir avec le travail effectué par les cryptographes de Bletchley Park. Elle est née grâce à la vigilance d'un marin sur un navire de guerre britannique en patrouille, et à cause d'une attaque bâclé effectué par une force d'élite envoyée de l'Allemagne en Ecosse en U-boot. Les attaquants du U-boot ont été dirigés par HansWilhelm Von Dresky, un grand et beau capitaine de trente et un ans, qui tenait à garder sa barbe de chèvre bien coupée malgré les difficultés pour se raser en mer. Dresky avait reçu l'ordre pour prendre son U-boot, l'U-33, et de se rendre dans le Firth of Clyde, au large de la côte ouest de l'Ecosse, de jeter quelques mines. C'était une mission particulièrement dangereuse, puisque Dresky devait naviguer son U-boot derrière les lignes ennemies et opérer à seulement cinq miles au large des plages écossaises.
Le fait que la mission ait été considérée comme si dangereuse explique peut-être le pourquoi le 4 février 1940, Karl Donitz, le chef de la section des sous-marins de la Marine allemande, est apparu dans le port de Wilhelmshaven pour voir les hommes partir. Et en criant à Dresky "Bonne chance, Hans. Prends soin de toi". Cela peut aussi expliquer la raison que l'équipage faisait tant de bruit avant leur départ. Ils avaient été invités par certains hauts fonctionnaires nazis dans le nord de l'Allemagne à assister à un banquet en leur honneur. Elle se tenait dans une cabane en bois au milieu d'une forêt, et de la nourriture, de la boisson et une foule de filles joyeuse ont été déposées, probablement dans une tentative de renforcer leur esprit. Certains des membres des officier d'équipage ont été invités à rejoindre leurs hôtes nazis a leurs tables pour les chefs, mais leurs manières de table à laissé quelque peu à désirer. Il y eut un moment de silence embarrassant quand l'un des membres les moins sophistiqués de l'équipage ramassa une jambe de poulet, et commença à déchirer la chair succulente de l'os avec ses dents, comme un loup vorace. Le silence n'a été rompu que lorsque le plus vieux fonctionnaire nazi assis à la table a ramassé aussi son propre pied de poulet et a suivi la coutume. Quelqu'un éclata de rire, et bientôt tous les nazis présents ont jeté leurs couteaux et leurs fourchettes et ont commencé à ronger les os de leur poulet. Tout pour mettre les héros de l'U-boot à leur aise. Bien cela est donc le début du récit. ce soit je vais poursuivre ma traduction. | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28699 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: coûte que coûte, il nous faut une Enigma Mar 07 Mar 2017, 09:43 | |
| [quoteEnigma militaire (1932) En dehors de l'Enigma Zählwerk, il existe aussi une version moins connue de la machine qui ne convient qu'aux numéros. Il est introduit en 1930 et est connu sous le nom Enigma Z ou Z30. Deux variantes de cette machine sont connues: l'une avec un mécanisme d'un simple fonctionnement et l'autre avec le pas de Zählwerk. La machine a été de courte durée et seulement construites en quelques unités (± 50). En 1926, l'armée allemande (Reichswehr, plus tard: Wehrmacht) commença à s'intéresser à la machine. A leur demande une variante spéciale de l'Enigma commercial "D" est développée. Il a trois roues de chiffre et un réflecteur fixe (UKW). En outre, la nouvelle machine dispose d'un panneau (Steckerbrett) (a enficher) à l'avant qui ajoute une couche supplémentaire au chiffrement. Le Steckerbrett peut être configuré sur le terrain et est utilisé exclusivement pour la Reichswehr. Le premier prototype est prêt en 1927 et dispose d'un seul enfichage. Il est connu sous le nom de Reichwehr Enigma D. La version finale est prête en 1932 et a un Steckerbrett double-terminé amélioré. Cette version est connue par la Reichswehr (maintenant: Wehrmacht) comme l'Enigma-I et est seulement disponible à l'Armée de terre. Jusqu'à cette date, tous les modèles commerciaux d'Enigma étaient disponibles gratuitement sur le marché (international). Cela change quand en 1932 l'armée allemande revendique les droits exclusifs à la machine. Dès lors, toutes les ventes commerciales et internationales devaient être approuvées par l'armée allemande. En dehors de l'Enigma-I, le fabricant, maintenant sous le nom de Heimsoeth & Rincke, développe également une nouvelle version de l'impression Enigma. Il est le successeur de l'Enigme B et est prêt en 1929. La machine s'appelle Enigma H (modèle H29) et est connue par l'Armée comme Enigma-II. L'Enigma H est également vendu à l'armée hongroise, mais n'a jamais été très populaire en raison de son prix élevé. En dehors de l'armée hongroise, les Allemands vendaient aussi des machines Enigma à la Suisse et à l'armée hollandaise. Ce dernier a également acheté Enigma G31 modèles aussi tard que 1938. Au milieu des années 1930, l'armée allemande se prépare clairement à la guerre et commence à commander des machines Enigma-I en grandes quantités pour la Wehrmacht et la Luftwaffe. L'Enigma G est utilisé par l'Abwehr allemand (service secret). Pour la Kriegsmarine (Marine allemande) un modèle similaire et compatible avec l'Enigma-I est développé. Elle devient conquote] Vraiment étonnant, et inédit ... | |
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