A l'armée, une femme est un homme comme les autres

La corruption des elites,ca vous dit quelque chose.
Une bonne partie des pays africains ont des matieres premieres (petrole,cobalt,nickel, uranium etc...)qu ils vendent aux etrangers et les benefices ne sont jamais redistribues
a la population comme le president du Cameroun qui a des villas en Suisse...

C'est vrai mais à notre niveau on pense jamais à ça.
On n'est pas dans ce jeu. J'ai bien profité parfois dans des boites de quelques cadeaux vers les fêtes de fin d'années mais une ou deux bouteilles, un resto en gros comme pas mal de gens mais là c'est légal, rien d'autre.
Personne ne m'a offert de compte en Suisse.
Ceux qui dirigent des pays comme ça sont pas du même monde si on peut dire. Même lorsqu'ils prennent leur douche l'eau descend et ne monte pas.

A 24 ans, elle devient la première femme pilote de chasse en Zambie.

Le sous-lieutenant Thokozile Muwamba, âgée de 24 ans, est devenue la première femme pilote de chasse de la Zambie après avoir terminé sa formation
avec l’armée de l’air du pays.
Muwamba a rejoint l’armée en 2012, et a poursuivi sa carrière de rêve qui est d’être pilote après sa sortie, en tant qu’étudiante de première année
à l’Université Copperbelt (CBU). «Etre avec les hommes n’est pas une compétition, mais des contreparties avec lesquelles il faut travailler, et donc les femmes devraient commencer
à participer et à réaliser leurs aptitudes», a-t-elle déclaré à Times of Zambia, la semaine dernière .





« Quand je regarde le fait que je sois dans l’avion, je constate que l’avion ne connaît pas le sexe car il dépend de ma competence même si je suis une femme,
je peux aussi lui donner la bonne direction pour qu’il réagisse correctement », a ajouté Muwamba.

Le général de brigade Kapungwe, qui est le commandant de la base ZAF à Mumbwa, a déclaré que la deuxième lieutenante Muwamba en tant que première pilote de chasse
du pays est une illustration claire que les femmes progressent.
« Nous voulons voir plus de femmes dans le pays devenir des pilotes de chasse à l’avenir », a t-il dit.

Muwanba doit son succès au travail acharné, à la détermination et à l’inspiration de sa famille et de ses instructeurs.
« Les Impossibilités peuvent être rendues possibles tant que l’on est déterminé à atteindre son but », a t-elle conseillé aux femmes.





L’Afrique ne compte que quelques femmes pilotes, en particulier dans l’armée de l’air.
Le Nigeria a décoré sa première pilote, l’Officier d’aviation Blessing Liman, en 2012.
Liman était apparemment la première femme pilote militaire en Afrique de l’Ouest à l’époque.


source
afrikmag.com

Je déco...., il y a toujours une armée de l'air, ne serait-ce que pour mater d'en haut les éventuelles rebellions de ces "enf...... de pauvres", comme disait Coluche.

Blessing Liman, 33 ans, est entre dans l’histoire en tant que première femme pilote militaire de l’armée de l’air nigériane.
Elle a été enrôlé dans l’armée de l’air nigériane en juillet 2011 et a été mise en service le 9 décembre 2011.

Après avoir suivi divers programmes de formation qui auraient coûté des milliards de nairas (650 000 dollars chacun) dans le pays et à l’étranger dans des pays tels que
les États-Unis, le Royaume-Uni, la Grèce, le Pakistan et l’Égypte, dont 14 pilotes d’avions de chasse, le lieutenant d’aviation Blessing Liman et 29 autres officiers de combat
ont été décorés hier lors d’une cérémonie élaborée à Abuja.






Extraits de reportages dans les médias :

Le lieutenant d’aviation Blessing Liman, un indigène de Zango Kataf, dans l’État de Kaduna, est née le 13 mars 1984. Elle s’est enrôlé dans l’armée de l’air nigériane en juillet 2011
et a été mis en service le 9 décembre 2011. Ses performances exceptionnelles l’ont aidée à atteindre le sommet historique.


La jeune femme avant d entrer dans l armee




Étaient présents à la cérémonie, pour ajouter de la couleur à l’exploit accompli par Liman, le ministre d’État à la Défense, Erelu (Dr) Olusola Agbeja Obada,
la direction du Conseil national pour la société nigériane (NCNS), le conseiller présidentiel du président sur l’éthique et les valeurs, le Dr (Mme) Sarah Jubril,
Mme Appolonia Petirin, Mme Ihejirika et Mme Dikko Umar.

Dans son discours, elle a révélé sa conscience de l’énorme responsabilité qui repose sur son épaule en tant que pilote, mais était optimiste que Dieu l’aiderait à répondre
aux attentes de la société et de l’armée de l’air nigériane. Selon elle, « je vais travailler, avec des prières, du dévouement et du travail acharné, je sais que je vais réussir. »
Voir une femme réaliser un tel exploit au milieu de tant d’hommes est vraiment inspirant.
Sa réussite montre en grande place que rien n’est impossible avec de la détermination et du travail acharné.

L-39 albatros-chasseur d entrainement




Elle aurait pu suivre sa formation en tant que seule femme du groupe et sans autre femme pilote de combat dans l’armée de l’air nigériane pour regarder,
sûrement, ce qu’elle a accompli est totalement admirable. Maintenant, elle sert de modèle à toutes les femme qui veulent suivre un chemin similaire.

Bravo bénédiction. Puissiez-vous continuer à vous envoler encore plus haut !

Source: Vanguard

Je sais pas comment elle pilote mais elle a une certaine classe.
(Ce n'est pas une remarque sexiste mais un compliment).
Aujourd'hui tu regardes une femme c'est 20 ans de prison pour agression sexuelle !

Oui mais ca c est pour les occidentaux!
Les africaines comme les asiatiques sont plutot flattees d etre regarder a condition d etre courtois.
Elles peuvent meme retourner un sourire...

naga a écrit:

Oui mais ca c est pour les occidentaux!
Les africaines comme les asiatiques sont plutot flattees d etre regarder a condition d etre courtois.
Elles peuvent meme retourner un sourire...

Au moins c'est sympa.

L'avait l'air moins c.... en civil !?...

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un groupe restreint de jeunes femmes pilotes sont devenues des pionnières, des héroïnes et des modèles...
Il s’agissait des Women Airforce Service Pilots, WASP, les premières femmes de l’histoire formées pour piloter des avions militaires américains.

En 1942, les États-Unis ont été confrontés à une grave pénurie de pilotes, et les dirigeants ont parié sur un programme expérimental pour aider à combler le vide:
former des femmes à piloter des avions militaires afin que les pilotes masculins puissent être libérés pour le service de combat à l’étranger.

Le groupe de femmes pilotes s’appelait les Women Airforce Service Pilots - WASP en abrégé.
En 1944, lors de la cérémonie de remise des diplômes de la dernière classe d’entraînement WASP, le général commandant de l’armée de l’air américaine,
Henry « Hap » Arnold, a déclaré que lorsque le programme a commencé, il n’était pas sûr « si une fille pouvait combattre les commandes d’un B-17 par gros temps ».
« Maintenant, en 1944, il est enregistré que les femmes peuvent voler aussi bien que les hommes », a déclaré Arnold.

Un peu plus de 1 100 jeunes femmes, toutes des volontaires civils, ont piloté presque tous les types d’avions militaires – y compris les bombardiers B-26 et B-29 –
dans le cadre du programme WASP.
Ils ont transporté de nouveaux avions sur de longues distances des usines aux bases militaires et aux points de départ à travers le pays.
Ils ont testé des avions nouvellement révisés. Et ils ont remorqué des cibles pour donner aux artilleurs terrestres et aériens un entraînement au tir – avec des balles réelles.
Le WASP s’attendait à faire partie de l’armée pendant son service. Au lieu de cela, le programme a été annulé après seulement deux ans.


Les cadets Leonora Anderson et Mildred Axton montrent les combinaisons surdimensionnées et mal ajustées fournies au programme WASP,a Avenger Field, Sweetwater,
Texas, États-Unis, mai 1943




Anne Armstrong McClellan exhibant la blouse d'uniforme blanc de la robe WASP et l'épingle montrant la mascotte WASP, Fifinella
(conçue par Walt Disney et utilisée par les WASP avec permission), 1944




Lillian Yonally, pilote WASP, assise dans le cockpit d’un A-25A Shrike sur la piste d’atterrissage de Camp Irwin, Californie, États-Unis, 1944.

Betty Gillies




Catherine Vail Bridge et son P-38 Lightning a convoyer.




Cornelia Fort devant un PT-19




Hazel Lee posant avec un biplan, vers les années 1930.

Israël :

Celia Hunter dans le cockpit d’un chasseur P-47.




Jackie Cochran dans le cockpit du chasseur P-40 Warhawk,en 1942.




Deanie (Bishop) Parrish devant son avion P-47 Thunderbolt, vers le début des années 1944.




Nancy Harkness Love posant devant un avion d’entraînement PT-19A, 1942-43. Notez le patch WAFS sur sa veste (précurseur des WASP).

Elizabeth L. Gardnerau commande d un bombardier B-26 Marauder, Harlingen Army Air Field, Texas, États-Unis, vers 1942.




Florene Watson avec un AT-6 Texan, Love Field, Dallas, Texas, États-Unis, février 1943.




Nancy Harkness Love dans le cockpit du bombardier B-17 Flying Fortress 'Queen Bee', vers septembre 1943.

Oui, comme les soviets, convoyer les zincs vers les zones de combats, mais sans y prendre part.
Ca libère des paquets d'heures aux "vrais" pilotes de chasse.

Entraînement des pilotes du WASP

Les pilotes du WASP sont organisées en 19 groupes. Chacune d'entre elles, avec environ 1 400 heures de vol à son actif et une formation de pilote commerciale,
reçoit un entraînement de 30 jours pour apprendre à voler selon les règlementations militaires.
Le manque de ressources financières (déjà présent alors qu'il y avait deux escadrons) entraîne pour l'unité des défauts de personnel administratif, de soins médicaux, de matériel
et d'avions (seulement 23 servent à l'entraînement).
Le 7 mars 1943, Margaret Oldenburg et son instructeur, Norris G. Morgan, s'écrasent à une dizaine de kilomètres au sud de Houston.
La météo désastreuse qui secoue la région de Houston achève le moral des engagées, ce qui amène les autorités à leur créer une vraie identité.
Un personnage, Fifinella , conçu par Roald Dahl et dessiné par Walt Disney devient ainsi la mascotte de l'unité et orne leur écusson d'épaule.

Trois entraînements ont lieu. Le premier rassemble 38 femmes et les forme à un minimum de 200 heures de vol.
Vingt-trois sont diplômées le 24 avril 1943.
La deuxième promotion est diplômée le 28 mai et la troisième le 3 juillet. Les entraînements ont essentiellement lieu à l'aéroport de Sweetwater (Texas).

Les membres du WASP sont des employées de la fonction publique et ne reçoivent pas à ce titre d'avantages militaires, contrairement à leurs homologues masculins.
D'autre part, elles ne sont alors pas administrativement liées à l'Armée de l'air et peuvent donc démissionner à tout moment après la fin de leur formation,
bien que peu l'aient fait.


Jaqueline Cochran dans un cockpit  de P-40




Le 30 septembre 1943, la militarisation du WASP est commencée. Jacqueline Cochran et le général Arnold souhaitent alors un corps distinct, dirigé par un colonel femme
(similaire aux chefs WAC, WAVES, SPAR, et Marine heads). Le département de la Guerre, cependant, s'oppose à une telle décision.
Au lieu de cela, il préfère que les femmes soient intégrées au sein de la WAC (Women's Army Corps) et donc ajoutées aux quelque 2 000 agents déjà affectées.

Le 21 juin 1944, le projet de loi de la Chambre des représentants de donner le statut militaire au WASP est enterré après la fermeture de certaines écoles de formation
de vol civiles et d'un puissant lobbying. La commission de la Chambre sur la fonction publique avait en outre signalé le 5 juin 1944, qu'il considérait le WASP comme inutile,
excessivement coûteux et recommandé que le recrutement et la formation des pilotes féminins devait être interrompu.
Malgré le militantisme de Jacqueline Cochran, le général Arnold, qui avait été un promoteur de la militarisation dissout le WASP le 20 décembre 1944.
Il prononce un discours à l'aéroport de Sweetwater, le 7 décembre 1944 :
« Le WASP a rempli sa mission. Son travail a été une réussite. Mais, comme c'est habituel en temps de guerre, le coût a été lourd.
Trente-huit WASP sont mortes en contribuant à ce que leur pays se dirige vers la victoire finale.
Les forces aériennes se souviendront longtemps de leur service et leur sacrifice. »

À l'issue du programme WASP, 916 femmes deviennent pilotes de service pour la AAF, dont 620 affectées aux centres de formation, 141 pour le transport aérien,
133 pour les forces aériennes continentales des États-Unis, 11 à l'escadre météorologique, 9 pour les commandes techniques et les autres pour le Troop Carrier Command.


Dorothy Olsen sur l aile d un P-38L Lightning




Margaret Phelan Taylor, Avenger Field, Sweetwater, Texas, United States, Jun 1944

Aucune idée sur ces femmes ni c'est elles sont vraies ou si c'est un fake.


Un peu trop mignon pour l'armée non ?

Un mannequin sous uniforme n'est pas forcément un soldat...

vania a écrit:

Un mannequin sous uniforme n'est pas forcément un soldat...

Je plussoie.

Dawn Seymour aux commandes d un B-17 Fortress, circa 1944




Ellen Wimberly Campbell, sur un Beech AT-10 Wichita trainer, 1944. Columbus Army Air Field, Mississippi, United States.




Nancy Nesbit dans le cockpit d un AT-6 Texan a Love Field, Dallas, Texas, United States, 1944.

Des gonzesse impliquées dans l'effort de guerre du pays.
Normal, et respect à toutes ces dames...
Hitler voulait pas pour les femmes allemandes...

Ruth Dailey pret a voler sur son P-38 Lightning , 28 Nov 1944




Nancy Love dans un Fairchild PT-19 trainer, circa 1944




Susie Winston Bain, Avenger Field, Sweetwater, Texas, United States, Mai 1944




Vivian Eddy sur un P-39 Airacobra, 1945.

vania a écrit:

Des gonzesse impliquées dans l'effort de guerre du pays.
Normal, et respect à toutes ces dames...
Hitler voulait pas pour les femmes allemandes...

Si il y a eu une femme pilote d'essai sur les V2 si je ne me trompe pas.
Je sais plus son nom mais elle en est morte.

Sur un V2, c'est une fusée !?...

vania a écrit:

Sur un V2, c'est une fusée !?...

Un proto, et il y avait la place !
Non t'as raison il me semble que c'était sur les premiers avions à réaction.
Bon je sais plus.