Des occidentaux qui n ont honte de rien!

 
La decadence...

Promenez-vous dans la rue Khao San à Bangkok et vous verrez des gens qui rentrent dans la rue demander de l’argent.
Seulement, ce ne sont pas des locaux sans-abri qui luttent pour nourrir leur famille; Ce sont des backpackers de "gap yah" qui ont dépensé trop d’alcool dans la semaine au bar de l’auberge !!
Il y a une augmentation récente du nombre de «mendiants» dans certains des pays les plus pauvres du monde.
Leurs tentatives de financer leurs voyages en mendiant, en vendant occasionnellement leurs photos de vacances ont été partagées sur les réseaux sociaux
par des voyageurs plus conscients de la société - et des locaux dégoûtés.







La plupart des voyageurs occasionnels ont été aperçus en Asie du Sud-Est, le long de la piste très fréquentée des voyageurs Thaïlande-Cambodge-Laos-Vietnam
et jusqu'en Malaisie.
Maisarah Abu Samah, une femme de Singapour, a été choquée de voir deux couples blancs vendant des cartes postales et jouant de la musique pour de l'argent.
«Nous trouvons extrêmement étrange de demander de l’argent à d’autres personnes pour vous aider à voyager», a-t-elle déclaré à The Observers lors de France 24.

«Vendre dans la rue ou mendier, ce n’est pas considéré comme respectable. Ceux qui le font ont vraiment besoin d'aide: ils mendient pour acheter de la nourriture,
pour payer les frais de scolarité de leurs enfants ou pour payer leurs dettes.
Mais pas pour faire quelque chose considéré comme un luxe. ”







Voyager à travers le monde - même s’il s’agit d’une auberge bon marché avec un budget de 5 £ par jour - n’est pas un droit donné par Dieu;
c’est un luxe que des millions de personnes n’auront jamais.
Les routards pourraient peut-être justifier leur comportement en disant qu'ils n'obligent personne à leur donner / qu'ils ne peuvent vraiment pas se permettre leur prochain vol
/ qu'ils ne mendient pas, mais au fond, ils savent sûrement ce qu'ils font est mauvais.

Vous ne pouvez pas passer du temps dans certaines des régions les plus défavorisées du monde et ne pas voir qu’il ya une différence entre le fait de se faire voler son smartphone et de ne pas pouvoir manger.
Même si vous voyagez uniquement pour pouvoir utiliser le hashtag #wanderlust et assister à une soirée Full Moon, il est impossible d’ignorer la réalité de la pauvreté.
Les routards ne peuvent pas - et ne devraient pas - jamais se sentir en droit d’obtenir de l’argent de rechange alors qu’ils sont près de quelqu'un qui n'a pas mangé
de bon repas depuis des jours.

Les personnes qui ne le reconnaissent pas sont la quintessence du privilège des Blancs.
Ils pensent que vendre des cartes postales pour quelques livres est «hilarant» et une belle histoire de voyage,
alors qu’ils peuvent potentiellement retirer les clients d’un local qui a besoin de ces livres plus qu’ils ne pourraient jamais l’imaginer.
Un ami, actuellement en voyage en Asie du Sud-Est, me dit:
«Les gens choisissent de gaspiller de l’argent pour boire et  avoir des repas et des activités coûteuses, puis se demandent pourquoi ils sont à court.
Les voyageurs d’année sabbatique peuvent dépenser le salaire mensuel d’un local en une journée.
Ils n'ont pas le droit de se plaindre et de mendier. C’est dégoûtant et déconnecté. S'ils n'ont vraiment plus d'argent, je suis sûr qu'ils peuvent vendre leurs iPads. "








Il existe de nombreuses alternatives pour les routards qui manquent d’argent, de travailler dans des auberges de jeunesse ou de participer à des programmes
où ils peuvent travailler en échange d’un hébergement gratuit. Ils n'ont vraiment pas besoin de s'asseoir avec leurs pantalons Birkenstocks et faire du  yoga avec des pancartes
en carton sur lesquels on peut lire: «Je voyage en Asie sans argent. S'il vous plaît soutenir mon voyage "-

Ces dernières années, il y a eu également une augmentation du nombre de personnes participant au financement participatif de leurs voyages.
Ce n’est plus choquant pour un couple de demander des dons pour leur lune de miel au lieu de cadeaux de mariage, ou à des personnes qui s’adressent à Kickstarter
pour demander à d’autres d’aider à financer un programme de volontariat à l’étranger.

C’est l’équivalent moderne de personnes qui implorent avec vos amis de signer votre formulaire de parrainage à l’école - et cela échappe à tout contrôle.
Les routards sont tellement convaincus qu’ils «redonnent» ou «vivent une expérience culturelle digne» qu’ils perdent de vue ce qu’ils font vraiment:
demander aux gens de donner à leurs vacances une injection d’argent.
C’est déjà assez grave que les touristes partent en «tournée des taudis» dans des pays sous-développés et prennent des photos de mendiants,
mais quand ils les rejoignent pour pouvoir payer le rafting, ils vont un peu trop loin de leur décision.


source
telegraph.co.uk

Pas banal.
Les renvoyer chez eux à coup de pied dans le c.. avec interdiction de revenir.
Rien de mieux pour décourager ce genre de pratique...