La chine vs Inde

Ladakh : La Chine utilise une vieille tactique de guerre psychologique pour déstabiliser les soldats indiens

Depuis le mois de mai, l’Armée populaire de libération [APL] et les forces armées indiennes se font face le long de la Ligne de contrôle effectif [LAC],
notamment dans la vallée de Galwan, située dans la région du Ladakh. Et cela à cause d’un différend territorial qui n’a jamais pu être tranché depuis 1947.





Plusieurs incidents ont eu lieu entre les deux parties, malgré des accords de « désescalade ».
L’un d’eux a été particulièrement sérieux puisque 20 soldats indiens, appartenant au Bihar Regiment ainsi qu’au Mahar Regiment, y ont laissé la vie, en juin dernier,
au cours d’un affrontement à coups de bâtons et d’armes blanches.
L’APL aurait également subi des pertes, ce qu’elle a toujours nié. Et chaque camp s’accuse mutuellement de provoquer l’autre.
Comme cela s’est encore produit le 8 septembre dernier.
Ainsi, la Chine a accusé l’armée indienne d’avoir franchi illégalement la frontière au niveau du Ladakh et d’avoir effectué des « tirs de sommations » contre ses soldats.
« Les troupes chinoises de défense des frontières ont été forcées de prendre des contre-mesures appropriées pour stabiliser la situation sur le terrain », a alors expliqué Pékin.
Ce que New Delhi a réfuté, affirmant dans un communiqué que des soldats chinois avaient tiré des « coups en l’air » pour intimider ses troupes
qui, « malgré cette grave provocation, ont exercé une grande retenue et se sont comportées de manière mature et responsable. »

Normalement, en vertu d’un accord signé en 1996, les armes à feu sont prohibées le long de la frontière entre la Chine et l’Inde…
Mais, visiblement, a récemment rapporté Forbes, l’APL, qui communique volontiers sur la qualité [présumée] les systèmes d’armes qu’elle a déployés près de la frontière,
a remis au goût du jour une arme ancienne, à savoir le guandao, une hallebarde qui fit son apparition sur les champs de bataille médiévaux.





En effet, des photographies montrant des soldats chinois dotés de cette arme blanche sont apparues sur les réseaux sociaux.
« Le poids important de cette arme (mini 2.5kg ) rend très difficile son maniement. Il faut des années d’exercices pour parvenir à le maîtriser complètement.
Sa maîtrise demande donc de l’adresse, de la dextérité et de la force », explique le site Chine Informations.

Armee chinoise avant l attaque




Outre le guandao, les militaires chinois ont également recours à des expédients très anciens.
Ainsi, en 206 av. J.C, le royaume du Chu occidental, gouverné par Xiang Yu et le royaume de Han, dirigé par Liu Bang, se firent la guerre.
Et le conflit se termina à l’avantage du second, quatre ans plus tard, lors de la bataille de Gaixia.
Ayant finie assiégée, l’armée du Chu eut le moral brisé quand le chef de sa rivale, Han Xin, eut l’idée de faire chanter à des prisonniers les chants traditionnels de leur province.
Ce qui, raconte l’histoire, aurait affaibli la volonté des soldats à se battre. Cette ruse, connue sous le nom de « Chansons du Chu venant des Quatre Côtés » a été reprise,
certes sous une forme différente, par l’APL face aux soldats indiens déployés dans la région du Ladakh.

En effet, a rapporté l’agence de presse indienne ANI, des soldats installés dans un poste d’observation dans le secteur de Pangong Tso, entendent des chansons en punjabi diffusés
par des hauts parleurs installés par leurs homologues chinois.

« Il est possible que le Chinois cherchent à distraire nos troupes ou peut-être simplement à réduire la pression », écrit [naïvement?] l’agence ANI.

Mais le Global Times, quotidien qui suit la ligne du Parti communiste chinois, a confirmé qu’il s’agissait bien de reproduire la ruse utilisée par Han Xin il y a plus de 2.000 ans.
Et de souligner que, en Chine, « entendre les chants Chu sur quatre côtés » est une « métaphore pour désigner une personne attaquée de toutes parts, isolée et impuissante. »


source
opex360.com

Tant que ça reste à ce niveau, il n'y pas lieu d'être trop inquiet.
Maintenant, ce sont deux puissances nucléaires...

La Chine « a utilisé l’arme secrète d’impulsion de micro-ondes pour cuire des soldats indiens vivants » et les forcent à battre en retraite dans la bataille
de frontière himalayenne.
Des armes électromagnétiques auraient été utilisées sans violer l’interdiction des coups de feu après que les soldats se sont battus avec des caillous! et des batons
dans une bagarre mortelle au mois d aout.

Des armes électromagnétiques qui "cuisent" le tissu humain des troupes ennemies « et ont fait vomir les soldats indiens, a expliqué l’expert en études internationales Jin Canrong
à ses étudiants à Pékin.


Soldats indiens malades




Les armes à micro-ondes chauffent les molécules d’eau de la même manière que l’appareil de cuisine, ciblant l’eau sous la peau et causant des quantités croissantes de douleur
allant jusqu’à 9 km de distance.
Jin a salué les forces chinoises pour la« magnifique » exécution qui a dégagé de la zone les troupes indiennes sans violer l’interdiction des coups de feu
le long de la frontière contestée.
C’est la première utilisation connue d’armes à micro-ondes sur un champ de bataille.

Selon le Times, les armes auraient été déployées à la fin du mois d’août, quelques semaines après une bagarre meurtrière impliquant les 2 camps
qui a tué au moins 20 soldats indiens et rapproché les deux puissances nucléaires de la guerre qu’elles ne l’ont été en 53 ans
sur l’un des champs de bataille les plus élevés du monde.

Jin a dit à ses élèves que dans les 15 minutes suivant le déploiement des armes, « ceux qui occupaient les sommets des collines ont tous commencé à vomir ».
« ls ne pouvaient pas se lever, alors ils ont fui. C’est ainsi que nous avons repris le terrain », a-t-il expliqué.

Les forces chinoises ont décidé d’utiliser ces armes parce que l’altitude était trop élevée pour lutter contre une équipe de spécialistes tibétains de l’alpinisme, a déclaré Jin.
Les coups de feu sont interdits en vertu d’un vieil accord, bien qu’il y ait eu des coups de semonce en septembre dans un échange de tirs que les deux parties se sont imputés.
Alors que les États-Unis ont également développé des armes de type micro-ondes, l’utilisation présumée de la Chine peut être une premiere contre des troupes ennemies
dans le monde.

La sensation de brulure a été une fois décrite dans un journal médical comme équivalent à toucher une ampoule chaude.
La surexposition aux radiations peut également causer des maux de tête, des nausées et des vomissements.

Le soi-disant vehicule Poly WB-1 de la Chine a été exposé pour la première fois lors d’un salon aérien en 2014 et aurait été fourni aux forces chinoises.




Vu la petitesse de la coupole,il semblerait qu il faille viser individu par individu pour avoir une efficacite correcte.

Certains soupçonnent que des armes similaires ont été utilisées contre des membres de la diplomatie américaine qui sont mystérieusement tombés malades en Chine
et à Cuba dans une série d’incidents à partir de 2016.
L’équivalent américain du « rayon de chaleur », le système de déni actif, a été dévoilé en 2007 et déployé en Afghanistan, mais apparemment jamais utilisé
contre des troupes hostiles.
Le Pentagone l’a présenté comme « le premier système de contre-personnel non létal, dirigé-énergie, avec une portée étendue supérieure à celle actuellement sur le terrain
des armes non létales ».








Les craintes d’une réaction politique auraient contribué à son retrait d’Afghanistan, bien que le gouvernement américain ait déclaré qu’il respectait le droit international.

La nouvelle de l’utilisation présumée de l’arme dans l’Himalaya survient alors que la Chine et l’Inde discutent des moyens de désamorcer les tensions
à la frontière montagneuse accidentée.
Les voisins dotés de l’arme nucléaire ont déployé des dizaines de milliers de soldats depuis que les tensions ont éclaté dans l’affrontement meurtrier de style médiéval en juin.

Les deux parties discutent actuellement d’un désengagement échelonné de la zone frontalière où les températures ont chuté à -18C, ont indiqué des responsables indiens.
« Nous avons un plan ferme pour le désengagement , il est discuté à l’interne des deux côtés », a déclaré l’un des fonctionnaires.

Selon le plan qui a été partagé lors d’une réunion des commandants supérieurs vendredi dernier, les deux parties se retireront de la zone contestée du lac Pangong Tso
et établiront une zone tampon.
Les soldats chinois vont démanteler les structures de défense sur plusieurs éperons vallonnés surplombant le lac et se retirer, ont indiqué des responsables informés des discussions.
L’Inde, qui a occupé des hauteurs sur la rive sud du lac, se retirera également. Les deux parties cesseront de patrouiller sur certaines sections.

Les deux pays ont mené une guerre à grande échelle en 1962 et les deux continuent de revendiquer des milliers de kilomètres carrés de territoire.



source
dailymail.co.uk

Etonnant et flippant, ces armes à micro-ondes !...

18 Novembre 2020

L’Inde rejette l’affirmation d’un professeur chinois selon laquelle la Chine utilise des « armes à micro-ondes » contre les forces indiennes

L’Inde a rejeté mardi les allégations d’un professeur chinois affirmant que la Chine utilisait des armes à micro-ondes pour vaincre les forces indiennes
lors d’un affrontement frontalier présumé dans la région contestée du Ladakh.
Selon des responsables indiens, la Chine a lance une « fake news » sur l’utilisation d’armes à micro-ondes, se référant à l’affirmation d’un professeur basé à Pékin
que les forces chinoises auraient « transformé les sommets de montagne en un four à micro-ondes » lors d’un récent affrontement avec l’Inde
qui a permis à Pékin de reprendre deux sommets clés dans la région frontalière contestée, a rapporté Washington Examiner.

L’armée indienne a démenti mardi et a noté qu’elle restait aux commandes des hauteurs. « Les allégations citées par ces médias sont fausses », peut-on lire
dans un graphique tweeté par l’armée indienne. « Aucun incident de ce genre n’a eu lieu au Ladakh. »

Le professeur a affirmé que l’attaque avait eu lieu le 29 août, mais le responsable indien a déclaré que cela ne s’était jamais produit.
« S’ils nous ont sortis des hauteurs, pourquoi la Chine demande-t-elle encore à l’Inde de se retirer de ces hauteurs? », a répondu cette source.
« Nos soldats et nos chars/équipements sont toujours là, et nous n’avons pas descendu des hauteurs. »

Il n’est pas clair pourquoi le professeur chinois a fait une telle declaration. « Ca pourrait être juste boutade ou de la propagande communiste pour exciter le peuple chinois »,
a déclaré le responsable indien.



source
thehansindia.com

Propagande tout ça.
Ca nous rappelle une autre époque, celle qui concerne ce forum ...