Israel en guerre

"La Résistance Palestinienne aurait fait sauter un bâtiment où étaient installés des soldats de Tsahal.
On parle du sud de Gaza.
Par ailleurs l''armée israélienne reconnaît l'élimination, au nord de Gaza, de 8 officiers du 13 è bataillon de la brigade Golani.
Ils ont été tués dans l'explosion une maison où ils avaient pénétré. Ce sont certains des soldats qui avaient posé en photo au Parlement de Gaza avant de le faire exploser.

Amos Harrell, analyste militaire chez Haaretz :
« Compte tenu des lourdes pertes subies par l’armée israélienne,il n’y a aucun signe d’un effondrement ou d’une défaite imminente du mouvement Hamas. »

L'armée israélienne a mené des raids sur la ville de Jénine en Cisjordanie toute la journée du 12 décembre.
Netanyahu à déclaré que le déclenchement de la guerre en Cisjordanie était « sur la table ».
Comme si l'armée israélienne n'était pas déjà en guerre depuis plusieurs semaines avec la population palestinienne de Cisjordanie.
L'Association des prisonniers palestiniens a rapporté que depuis le 7 octobre, 3.810 Palestiniens ont été arrêtés par des soldats israéliens dans diverses zones de Cisjordanie.

Le Hezbollah revendique 8 actions ciblees contre des cibles militaires israéliennes.

L'agence de presse officielle libanaise : " Un missile israélien a atterri sur l'école publique de la ville de Yater au sud du pays sans exploser. »
Des avions militaires Israéliens ont effectué une frappe aérienne sur la ville de Kafr Kila.

Le plateau du Golan a été visé par des roquettes.

La Résistance chiite enIrak a visé deux bases américaines près de champs petrolifères.

Les Houthis continuent à bloquer le détroit de Bab El-mandeb.
Suite au blocus l'activité du port d'Eilat à baissé de 80%.
Les navires venus d'Asie et d'Océanie ont à présent 3 semaines de trajet supplémentaires en contournant l'Afrique et en franchissant le détroit de Gibraltar."


source
@GerardBondeau

Le Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine, Philippe Lazzarini, a déclaré à son retour de Gaza :
« Nous sommes presque 70 jours après le début de cette guerre, et chaque fois que j’y retourne, je pense que cela ne peut pas être pire.
Mais à chaque fois, je suis témoin de plus de misère, de plus de chagrin et de tristesse et j’ai le sentiment que Gaza n’est plus vraiment un endroit habitable.





« Lors de cette visite, j’ai séjourné à Rafah, à l’extrême sud de la bande de Gaza, près de la frontière avec l’Égypte », a-t-il déclaré.
« Aujourd’hui, Rafah est l’épicentre du déplacement des Gazaouis. C’est là que plus d’un million de personnes ont fui vers le gouvernorat,
et la plupart d’entre elles ont été déplacées plus d’une fois depuis le début de la guerre.
Rafah a quadruplé son nombre d’habitants du jour au lendemain.


source
thedive.com

L'ignoble dictateur et tueur Netanyahou a dit que la guerre ne s'arrêterait pas, il veut les tuer tous. Maintenant ou plus tard et partout avec l'aide du Mossad. Dans le passé c'est ce qu'ils ont fait, ils continueront. Résumons ces tueurs se permettent tout, donc si mon voisin m'emmerde je le tue et c'est normal non ? Aucune poursuite pour le Mossad, ben voyons !!!!! Tuer au service d'une dite justice, plutôt une vengeance oui.

Dans une tentative de tendre une embuscade à nos troupes, les terroristes du Hamas ont connecté des poupées à des haut-parleurs diffusant des sons de pleurs
et les ont installées dans une zone truffée d’explosifs.
Les poupées et les sacs à dos des enfants ont été intentionnellement placés près d’un puits de tunnel relié à un vaste réseau de tunnels qui s’étend sous les zones civiles voisines,
y compris une école et une clinique médicale.

Nos forces ont mené des recherches approfondies dans la zone et ont mis au jour l’embuscade ainsi que les positions des services de renseignement et antichars du Hamas
dans la région.





source
Forces de défense israéliennes
@IDF

Prit sur le forum russe, un édifice religieux palestinien détruit sous prétexte qu'il y avait des "terroristes" !
Alors ça s'engueule comme touojurs, certains disent que c'est religieux et qu'on doit jamais détruire ça, d'autres non !
Ca s'engueule entre juifs et d'autres intervenants de pays divers. Il serait temps que le staff ferme ce sujet, ça tourne vraiment à l'insulte.
Donc avant et après :

Quand on parle de francais,on parle de franco/israeliens(double-nationalite)...avec une preference pour Israel vu l engagement pour cette guerre...


Plus de 4000 français engagés dans l'armée israélienne qui commet des crimes de guerre à Gaza !

Une enquête réalisée par Europe 1 indique que 4.185 soldats de nationalité française sont actuellement mobilisés au sein de l’armée israélienne sur le front à Gaza.
Il s’agit du contingent le plus important après celui des États-Unis.
Au regard des crimes de guerre commis par l’armée israélienne, aussi bien à Gaza qu’en Cisjordanie, il est inacceptable que des citoyens français y participent.

Alors que l’ONU, par la voix de plusieurs de ses rapporteurs spéciaux, alerte sur les risques génocidaires, que plus de 17.000 personnes Palestiniens ont été tués,
la présence de citoyens de nationalité française déshonore la France.
La France doit condamner avec la plus grande fermeté cette participation à des crimes de guerre.

Je demande au ministre de la Justice que les personnes de nationalité française (y compris les binationaux) coupables de crimes de guerre soient traduites
devant la justice française.
La colonisation constituant un crime contre l’humanité, les citoyens de nationalité française qui y participent dans les territoires palestiniens doivent aussi répondre
de leurs actes devant la justice.


source
Thomas Portes
@Portes_Thomas

Un groupe politique qui refuse d'appeler "terroristes" les auteurs des atrocités commises à l'encontre des civils Israéliens déshonore la France également...

J'adore : "la France doit condamner avec la plus grande fermeté" etc...  phrase très à la mode qui ne veut rien dire mais qui est juste là pour éclabousser la gueule des idiots ! Agir oui, la parlotte non.
A quand un nouveau tribunal de Nürnberg ? Sauf que celui-ci serait pour les juifs. Les nouveaux clients !

La situation continue d’empirer à Gaza :

« Lors d’une conférence de presse à Genève, le commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine
dans le Proche-Orient (UNRWA), Philippe Lazzarini, a décrit comment l’opération terrestre d’Israël à Gaza a poussé plus d’un million de réfugiés vers le sud,
dans la ville de Rafah.

“Rafah est l’épicentre du déplacement”, a déclaré M. Lazzarini.
“Un entrepôt [des Nations unies] transformé en abri abrite 30 000 personnes. Les plus chanceux ont réussi à pénétrer dans nos locaux.
Les autres n’ont absolument nulle part où aller. Ils vivent en plein air, dans le froid, dans la boue et sous la pluie.
Partout où l’on regarde, les abris de fortune s’accumulent. Partout, les gens sont désespérés, affamés et terrifiés”. »

Et Israël semble même prêt à sacrifier les otages détenus par la Hamas pour détruire totalement la bande de Gaza :
« Israël a annulé le voyage prévu au Qatar du chef de son service de renseignement extérieur pour relancer les discussions sur un éventuel deuxième accord
de libération d’otages, a confirmé à CNN une source au fait des négociations.

La chaîne israélienne Channel 13 a d’abord rapporté mercredi que le cabinet de guerre israélien, dirigé par le Premier ministre Benjamin Netanyahu,
avait annulé le voyage et que les hauts fonctionnaires israéliens ne se rendraient pas au Qatar pour relancer les négociations. »

Le carnage ne cessant pas, l’assemblée générale des Nations Unis a finalement voté une résolution ne faisant qu’un simple appel à un cessez-le-feu, sans aucune condamnation.
Qui pourrait voter pour qu’une telle situation dure ?
Et bien 10 pays l’on fait : Israël évidemment mais aussi les Etats-Unis.
Plus surprenant, l’Autriche, la Tchéquie, le Paraguay et le Guatemala, puis des archipels du pacifique et autres petits pays dépendant complètement de la manne étasunienne.
La Hollande, la Grande Bretagne, l’Allemagne et l’Ukraine se sont courageusement abstenus.
La France fait parti des 153 pays qui ont voté pour que ce carnage cesse immédiatement.


Réaction de l’envoyé israélien aux Etats-Unis a la suite de ce vote :
« L’envoyé spécial d’Israël, Gilad Erdan, s’est insurgé contre les appels au cessez-le-feu, qualifiant l’ONU de “tache morale” sur l’humanité.
“Pourquoi ne pas demander des comptes aux violeurs et aux assassins d’enfants ? a-t-il demandé dans un discours avant le vote.
“Le temps est venu de mettre le blâme là où il doit être : sur les épaules des monstres du Hamas. »

Les analystes les plus objectifs, c’est-à-dire les moins idéologisés, disent qu’Israël ne peut pas gagner sa guerre contre la Palestine :

« Il ne peut y avoir de solution militaire à la guerre de Gaza.
Les États-Unis doivent reconnaître que ce conflit ne prendra jamais fin tant que le peuple palestinien ne bénéficiera pas de la justice et de la liberté.
Pendant 75 ans, les gouvernements de l’Occident collectif ont ignoré la souffrance du peuple palestinien, ils n’ont jamais été des pacificateurs objectifs.
La violence engendre la violence et la haine engendre la haine, il n’est pas possible d’assassiner simplement les Palestiniens pour les soumettre.
Même si le groupe Hamas était vaincu, d’autres groupes apparaîtront pour se venger de ceux qui sont tombés et lutteront à l’avenir pour la création d’un État.
Si la communauté internationale s’unissait, ce cycle pourrait être brisé, mais il faudrait un peu de courage. ».

Il est pourtant évident qu’Israël ne veut pas d’un Etat palestinien à ses côtés, même si ses dirigeants ne peuvent l’annoncer ouvertement.
Par contre, l’ambassadrice israélienne au Royaume Uni l’a confirmé publiquement :

« L’ambassadrice d’Israël au Royaume-Uni, Tzipi Hotovely, rejette explicitement l’idée d’un État palestinien, reprenant ainsi les messages du Premier ministre Benjamin Netanyahu
qui, ces dernières semaines, s’est heurté à l’administration Biden en excluant l’idée d’un retour de l’Autorité palestinienne à la tête de la bande de Gaza après la guerre.

Dans une interview accordée à Sky News, Mme Hotovely est interrogée à plusieurs reprises sur la possibilité d’inclure un État palestinien dans un scénario de paix avec Israël.
“La réponse est absolument non”, déclare Mme Hotovely, qui a longtemps été membre du Likoud, le parti de M. Netanyahou, avant que celui-ci ne la nomme ambassadrice.
“Je pense qu’il est temps que le monde réalise que le paradigme d’Oslo a échoué le 7 octobre et que nous devons en construire un nouveau”, déclare l’ambassadrice,
reprenant la même rhétorique que celle employée par Netanyahou quelques jours plus tôt.
“La raison pour laquelle les accords d’Oslo ont échoué est que les Palestiniens n’ont jamais voulu d’un État à côté d’Israël.
Ils veulent un État qui s’étende de la rivière à la mer”, ajoute-t-elle. »

Toujours la tactique du « c’est à cause de l’autre ».

Les réelles intentions du gouvernement israélien sont bien visibles aux yeux des pays voisins :
« Le ministre jordanien des affaires étrangères a déclaré qu’Israël ne pouvait pas remporter de victoire militaire à Gaza et qu’il avait déjà subi une défaite stratégique
en s’aliénant l’ensemble de la région.

S’exprimant dimanche lors du Forum de Doha – un rassemblement annuel de diplomates dans la capitale qatarie – Ayman Safadi a déclaré que l’objectif
de l’opération israélienne contre le Hamas était d’évincer la population palestinienne plutôt que de vaincre le groupe militant.

La destruction de Gaza au cours des deux derniers mois “témoigne d’une politique israélienne qui semble déterminée à expulser les habitants” de l’enclave, a-t-il déclaré,
ajoutant que de hauts responsables israéliens, dont le ministre de la sécurité nationale Itamar Ben-Gvir et le ministre des finances Bezalel Smotrich,
ont fait preuve d’une grande franchise à l’égard de cette intention.
“En clair, Israël défie tout le monde : ses alliés, le droit international et les Nations unies”, a-t-il déclaré.
“Israël a engendré une quantité de haine qui hantera cette région et qui définira les générations futures. Cela nuit à son peuple autant qu’à tous les habitants de la région”.

C’est une guerre qu’Israël ne peut pas gagner. Israël a déjà subi une défaite stratégique. »

Biden lui-même l’a dit, du bout des lèvres :
« Les dissensions entre les États-Unis et Israël ont éclaté au grand jour mardi, lorsque le président Joe Biden a averti qu’Israël perdait le soutien
de la communauté internationale pour sa campagne contre le Hamas et que le Premier ministre Benjamin Netanyahu a publiquement rejeté les plans américains
pour l’après-guerre dans la bande de Gaza.

Ces divergences, qui avaient jusqu’à présent été contenues en coulisses, reflètent les différences croissantes entre les deux alliés indéfectibles,
alors que le nombre de victimes civiles s’alourdit dans la bande de Gaza.

S’adressant à des donateurs démocrates à Washington, M. Biden a critiqué la ligne dure du gouvernement israélien et a déclaré que M. Netanyahu devait modifier son approche.
“Je pense qu’il doit changer, et avec ce gouvernement, ce gouvernement israélien lui rend la tâche très difficile”, a déclaré M. Biden, qualifiant le gouvernement de M. Netanyahu
de “gouvernement le plus conservateur de l’histoire d’Israël”.

Il a averti que le soutien à la campagne militaire du pays s’affaiblissait en raison des bombardements intensifs sur Gaza et a ajouté que le gouvernement israélien
“ne veut pas d’une solution à deux États”. »

Ainsi le gouvernement semble vouloir continuer encore longtemps son carnage et aller jusqu’au bout.
Même un journal israélien l’annonce de manière indirecte :
« La totalité de l’année 2024 sera probablement en “mode guerre” contre le Hamas, selon Tsahal.
Les responsables militaires affirment que l’avancée lente et prudente contre le Hamas à Gaza nécessitera plusieurs mois pour démanteler complètement
les capacités de l’organisation. »

Cette folie furieuse qui envahit la conscience collective israélienne n’a pas l’air de vouloir se calmer.

Pourtant, il n’y a pas que la résistance palestinienne qui va donner du fil à retordre à Israël, le Hezbollah et les Houtis aussi.
Mais là encore, la folie du gouvernement israélien lui fait penser qu’une guerre sur trois fronts ne sera pas un problème pour le pays :
« À la frontière libanaise, les affrontements entre le Hezbollah et Israël franchissent un nouveau cap

La violence à la frontière libano-israélienne, où s’affrontent le Hezbollah et l’armée israélienne depuis le 8 octobre, a atteint un nouveau palier ce dimanche 10 décembre.
Les échanges de tirs sur un front d’une centaine de kilomètres ont fait au moins deux blessés civils au Liban et deux militaires en Israël.
Ce qui porte à 17 le nombre de soldats israéliens blessés en 48 heures. »
« Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu aurait déclaré au président Biden que son pays agirait militairement contre le mouvement houthi du Yémen
si les États-Unis ne le faisaient pas, selon un rapport de la publication israélienne N12News.

Le groupe allié à l’Iran harcèle les forces israéliennes et américaines au Moyen-Orient depuis le début de la guerre d’Israël contre le Hamas.

N12News a publié sur X samedi que Tzachi Hanegbi, le chef d’état-major de la sécurité nationale israélienne, a déclaré aux journalistes Amit Segal et Ben Caspit
son intention de répondre au groupe qui a attaqué et saisi plusieurs navires liés à Israël en mer Rouge et dans le détroit de Bab al-Mandab,
une voie maritime par laquelle une grande partie du pétrole mondial est expédiée. »
« La menace des Houthis en mer Rouge, véritable casse-tête pour les Occidentaux », comme l’annonce RFI

Le problème des houthis est plus « un casse-tête pour les occidentaux » que le Hezbollah ou les autres groupes de résistance car ils menacent un point létal
pour l’économie mondial, le passage Golfe d’Aden, Mer Rouge, Canal de Suez qui est un corridor essentiel pour le commerce mondial.
Ils pourraient donc mettre l’économie mondiale à mal si les Etats-Unis s’attaquaient à eux.
Or, l’éventuelle réélection de Biden est soumise à une économie qui ne s’enfoncerait pas trop :
« Biden, qui avait commencé l’année avec un taux d’approbation de 45 %, a vu ses chiffres s’éroder encore davantage.
Dans les sondages réalisés entre mars et début novembre, environ 4 personnes sur 10 l’approuvaient. Dans le dernier sondage, son taux d’approbation s’élève à 37 %,
avec 63 % de désapprobation, un recul qui lui vaut son plus mauvais score depuis son entrée en fonction, d’un point de pourcentage. »

Les houthis sont donc surtout un casse-tête pour le gouvernement Biden.


source
lesakerfrancophone.fr

C'est a se demander si les nazis (je parle bien de nazi et pas d'allemand) n'avaient pas raison !

Israel en passe de reussir son pari ? vire les palestiniens de Gaza...


Israël serait déjà en contact avec plusieurs pays pour y expulser les Gazaouis.

Un éventuel plan d’expulsion des Palestiniens de Gaza semble se préciser chaque jour un peu plus, rapporte la presse internationale.
Outre les bombardements, qui ont redoublé d’intensité et ont déplacé, depuis octobre, 85 % de la population vers le sud, jusqu’à la frontière avec l’Égypte,
les déclarations des responsables israéliens sur le sujet sont de plus en plus explicites.
Ainsi, lors d’une réunion à huis clos le 25 décembre avec son parti à la Knesset [Parlement israélien], le Premier ministre, Benyamin Nétanyahou,
a pour la première fois évoqué ouvertement un plan de “migration volontaire”.
“Notre problème, ce sont les pays qui sont prêts à les accueillir, et nous y travaillons”, aurait-il déclaré, cité par plusieurs médias, dont The Palestinian Chronicle.

Le jour même, un député membre du Likoud, Danny Danon, a été encore plus loin, révélant, lors d’un entretien avec la radio locale Kan Reshet Bet,
qu’Israël était déjà en contact avec plusieurs pays afin d’explorer les diverses possibilités d’accueil des Gazaouis.
“J’ai reçu des demandes de divers pays […] prêts à accueillir des réfugiés […], ce sont des pays d’Amérique du Sud et d’Afrique”, a-t-il indiqué, relayé par Ha’Aretz.
Il a ajouté que certains pays ont réclamé, en contrepartie, une “compensation financière” tandis que d’autres “ont demandé autre chose”.


“Cela arrive dans chaque guerre”

Sans préciser les noms des pays avec lesquels l’État hébreu est en contact, le député du Likoud s’est contenté d’évoquer le cas du Canada, dont le ministre de l’Immigration
a annoncé, le 21 décembre, la volonté de son pays d’accueillir les familles élargies des Gazaouis ayant la citoyenneté canadienne,
rapporte le site Jewish Press.
“Nous resterons en contact d’abord avec les pays de la région [Moyen-Orient] et avec les pays du monde […].
Même si chaque pays reçoit dix mille ou vingt mille Gazaouis, cela est significatif”, a souligné Danny Danon, selon lequel il s’agirait d’une “migration volontaire de Palestiniens
qui souhaitent partir”.


source
fr.yahoo.com

Les juifs le paieront très cher plus tard. Ca commence déjà, les gens comment beaucoup sur ce qui se passe et désapprouvent largement.

Cette honteuse épuration ethnique en cours, ça sera des soucis de moins pour les Israéliens, mais à court terme seulement...

vania a écrit:

Cette honteuse épuration ethnique en cours, ça sera des soucis de moins pour les Israéliens, mais à court terme seulement...

Il y a une monté de ce qui s'appelle "l'extrême droite", ça fera du dégât, déjà des tagues antijuifs, le reste suivra. En regardant un reportage à la télé hongroise et j'en ai compris une partie durant (plutôt avant) la WWII les juifs étaient un peu partout, du "vase clos". Leurs écoles, leur livres etc... Tout était cloisonné et rien d'ouvert pour les autres. Ils se sont fait partiellement rayés de la carte, ça reviendra, tu verras. Les enfants palestiniens sont révoltés et comprennent pas "pourquoi eux". une fois grands ils reviendront, et feront tout pour reprendre leur pays. Dans l'immédiat tu as des pays autour qui rêvent de détruire Israël. A la moindre étincelle ce sera bon.
La manière de manifester est simple : il y a des produits israéliens, ne plus les acheter c'est déjà beaucoup.
La gaze (c'est Gaza) et bien juif, Jafaden (jus de fruit), etc... Tu changes de marque tout simplement. Si t'es tireur tu pends une autre marque de munitions de 9 mm parabellum.

Moi,je vais boycotter la bombe de 250kg...

Voici ce qui traine sur le forum russe, posté par des juifs vivant joyeusement en Israël :
C'est assez lamentable, un père Noël "juif", façon militaire, avec une arme à la main et un enfant de l'autre.
La gamine est heureuse, "papa" tue ! Aux couleur du drapeau juif bien sûr.

Article du 20 decembre 2023


Les chercheurs ont cartographié les dégâts à Gaza, et plus d’un tiers des bâtiments ont été détruits alors que la guerre se déplace vers le sud.

Le bombardement continu d’Israël sur la bande de Gaza en réponse aux attaques terroristes du Hamas du 7 octobre a endommagé plus d’un tiers de tous les bâtiments
qui y existaient avant le début de la guerre il y a plus de deux mois, selon l’analyse de deux chercheurs de données satellitaires.
L’ampleur de la destruction souligne l’intensité des combats terrestres et de la campagne aérienne, qui a vu Israël larguer des dizaines de milliers de munitions
– un mélange d’armes de précision mortelles et d’armes non guidées – sur l’enclave côtière depuis le massacre de début octobre.

Depuis ce jour, Jamon Van Den Hoek et Corey Scher, deux chercheurs qui travaillent avec des données satellitaires pour examiner l’impact des conflits armés,
surveillent et cartographient les dommages structurels dans la bande de Gaza. Ils ont récemment partagé leurs découvertes et leurs images avec Business Insider.


Tous les dégâts probables à travers Gaza entre le 5 octobre et le 16 décembre.
Source : Analyse des dommages causés par les données du satellite Copernicus Sentinel-1 par Corey Scher du CUNY Graduate Center et Jamon Van Den Hoek
de l’Université d’État de l’Oregon.




Au 16 décembre, les chercheurs estiment qu’entre 102 000 et 129 000 bâtiments de l’enclave ont été endommagés sur un total de près de 288 000 structures avant le conflit.
À l’extrémité inférieure de leur estimation, cela représente un peu moins de 36 % de tous les bâtiments, et à l’extrémité supérieure, ce chiffre grimpe à près de 45 %.

Le nord de Gaza a subi le plus de destructions globales pendant le conflit, ont constaté les chercheurs, ce qui est cohérent avec l’endroit où l’armée israélienne
a concentré ses efforts pendant la première moitié du conflit.
Après ses bombardements aériens incessants de Gaza, l’armée israélienne a commencé son invasion terrestre dans la partie nord de la bande de Gaza
et a fini par contrôler une grande partie du territoire alors que d’intenses batailles urbaines avec le Hamas se poursuivaient.
Les combats ont brièvement interrompu pendant une trêve d’une semaine avec le groupe militant qui a vu le Hamas libérer plus de 100 des plus de 200 otages qu’il détenait,
mais après la reprise des hostilités début décembre, l’armée israélienne a commencé à opérer plus fréquemment dans le sud.

Le déplacement vers le sud peut être observé dans les données analysées par Van Den Hoek et Scher, qui ont constaté que la zone autour de la ville méridionale de Khan Younis
a subi plus de dommages que toute autre zone de Gaza – y compris le nord de Gaza, Gaza, Deir Al-Balah et Rafah – entre le 11 et le 16 décembre.

En plus des frappes aériennes dans et autour de Khan Younis, les Forces de défense israéliennes (FDI) ont également opéré sur le terrain dans cette zone.
« Nous avons vu au début de la guerre un bombardement intense à Gaza, principalement, ainsi que dans le nord de Gaza », a déclaré Van Den Hoek, professeur agrégé
de géographie à l’Oregon State, à Business Insider.
« Après le cessez-le-feu, il y a eu un petit virage vers le sud, en particulier à Khan Younis. »

Pour obtenir leurs données, les chercheurs utilisent des données radar satellitaires open source du réseau Copernicus de l’Agence spatiale européenne
et analysent les changements dans la façon dont les ondes radar résonnent dans les zones urbaines.
Il s’agit de comparer les zones stables avant un conflit à ces mêmes zones pendant un conflit, et de rechercher des signes de déstabilisation.
Ces signes sont détectés par leurs algorithmes et signalés comme des zones endommagées.

Les chercheurs éliminent également les faux positifs, nettoient la carte, la comparent aux bâtiments connus de Gaza avant le début de la guerre
et décomposent la quantité de dommages aériens estimés dans une zone.
Scher, doctorant à la City University de New York, a déclaré que même s’il y a eu relativement peu de dégâts dans le sud de Gaza au cours des premières semaines du conflit,
le nombre de bâtiments endommagés ou détruits est toujours d’un « ordre de grandeur » supérieur au dernier affrontement entre Israël et le Hamas, qui a eu lieu en 2021.
« Ce qui semble maintenant petit - par rapport à ce qui se passe dans le nord - est encore assez sans précédent pour les campagnes aériennes au-dessus de Gaza
au cours des 10 dernières années au moins », a-t-il déclaré à Business Insider.


Enorme cratere a Rafah





La campagne aérienne d’Israël a tué près de 20 000 Palestiniens à Gaza, selon le ministère de la Santé dirigé par le Hamas, et près de 85 % de la population a été forcée
de fuir ses foyers.

L’intensité des opérations aériennes a suscité des comparaisons avec d’autres bombardements majeurs de ce siècle, notamment la lutte de la coalition dirigée
par les États-Unis contre l’État islamique, la guerre en Afghanistan, l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Il y a également eu des comparaisons avec les campagnes de bombardement pendant la guerre du Vietnam et la Seconde Guerre mondiale.

Van Den Hoek et Scher ont déclaré que ce type de collecte de données radar par satellite n’a permis aux chercheurs que récemment de comparer les dommages
entre les conflits, mais ils ont déjà remarqué que le rythme et l’ampleur de la destruction à Gaza ne ressemblent à rien de ce qu’ils ont vu auparavant dans leur travail.
« Nous parlons de l’une des campagnes de bombardement aérien les plus rapides, sinon la plus rapide, de l’histoire moderne », a déclaré Van Den Hoek.
« Comment réagit-on à ce genre d’intensité, à ce genre de dynamisme ? »


source
businessinsider.com

4 pays s'en mêleront et Israël va être rayé de la carte dans peu de temps. Ils ont largement dépassé les limites.

Les bombardements de Gaza ont endommagé ou détruit plus de 100 sites patrimoniaux, révèle un rapport d’ONG.

On pense qu’une église byzantine et une mosquée du VIIe siècle ont été détruites, tandis que des dizaines d’autres sites culturels ont été touchés.

Le coût humain du bombardement de la bande de Gaza dans la guerre avec Israël est bien documenté.
Ce que l’on sait moins, c’est combien de bâtiments et de sites historiques ont également été détruits.

Les frappes militaires israéliennes sur Gaza ont commencé le 7 octobre après que le groupe militant Hamas a mené une attaque sans précédent contre Israël,
tuant environ 1 200 personnes et prenant environ 240 otages, dont des femmes et des enfants, selon les autorités israéliennes.
Depuis l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu temporaire vendredi 24 novembre, un total de 69 otages ont été libérés par le Hamas et 150 Palestiniens
ont été libérés des prisons israéliennes.

Le bombardement de Gaza, qui mesure environ 41 km de long et 10 km de large, soit environ un quart de la taille de l’agglomération de Londres,
a conduit à une immense catastrophe humanitaire. On estime qu’au moins 45 % des habitations ont été détruites ou endommagées,
que les habitants n’ont pas accès aux produits de première nécessité et que la grande majorité d’entre eux ne sont pas autorisés à quitter la bande.
Au moment de la publication, plus de 14 500 Palestiniens avaient été tués, dont 4 600 enfants, selon le ministère de la Santé de la bande de Gaza contrôlée par le Hamas.

Gaza a été successivement sous domination égyptienne (début du XVe siècle av. J.-C.), puis philistine (XIIe siècle av. J.-C.), puis babylonienne (vers 601 av. J.-C.),
jusqu’à ce que, après la conquête d’Alexandre le Grand (332 av. J.-C.), elle devienne un centre d’apprentissage grec.
Les Romains ont conquis la région en 63 av. J.-C. et c’était une ville commerciale florissante, particulièrement favorisée par l’empereur Hadrien,
à l’époque duquel de nombreux temples ont été construits.
Elle a ensuite fait partie de l’empire byzantin, suivi par diverses dynasties islamiques après le VIIe siècle, jusqu’à ce que les Mongols en prennent le contrôle au XIIIe siècle.
L’Empire ottoman a régné du 16ème siècle jusqu’à l’occupation britannique en 1917.

Le quartier de Shuja’iyya a été gravement endommagé.
C’est là que la mosquée Ibn Uthman, datant du XVe siècle et considérée comme le lieu de sépulture de l’arrière-grand-père du prophète Mahomet,
aurait été touchée lors d’une frappe.

Avant




Apres





Gaza est donc un palimpseste de cultures, dont une grande partie n’a pas encore été fouillée.
Un rapport préliminaire d’une ONG basée en Espagne et axée sur la sauvegarde du patrimoine culturel répertorie 104 sites endommagés ou complètement détruits.
Les données de Heritage for Peace, publiées le 7 novembre, comprennent des sites religieux historiques, des maisons, des musées et des sites archéologiques.
« Le rapport montre l’importance du patrimoine de Gaza », déclare Isber Sabrine, archéologue syrien et président de Heritage for Peace.
« C’est une petite région, mais avec beaucoup de patrimoine. » Cet héritage ne sera peut-être jamais connu aujourd’hui, car les bombardements auront détruit à la fois
ce qui se trouve sous terre et au-dessus du sol.

De nombreuses mosquées historiques ont été endommagées par les frappes aériennes en cours.
L’une des victimes notables de Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza, est la mosquée Omari, une structure dont les origines remontent au VIIe siècle
et qui a été complètement détruite peu après le bombardement de l’église Saint-Porphyre, considérée comme la troisième plus ancienne église du monde.
Heritage for Peace signale également des dommages à la mosquée Ibn Uthman, datant du XVe siècle, et à la mosquée Sayed Hashem,
où l’arrière-grand-père du prophète Mahomet serait enterré.
The Art Newspaper n’a pas été en mesure de vérifier ces informations de manière indépendante.
Jabaliya a fait l’objet d’intenses bombardements, notamment de frappes sur son camp de réfugiés et sur une école gérée par l’ONU qui a tué des centaines de personnes,
selon le ministère de la Santé dirigé par le Hamas.


Mosquee Omari a Gaza

Avant

image avatar gratuits


Apres

Le ministère palestinien du Tourisme et des Antiquités a déclaré qu’il était en mesure de recueillir des informations, mais qu’il n’était pas en mesure de procéder
à une évaluation complète compte tenu des conditions sur le terrain.
« Nous ne pouvons pas demander [au personnel de Gaza] de vérifier les sites pendant cette période », a déclaré Jehad Yasin, directeur des musées et des fouilles du ministère,
à The Art Newspaper.

Yasin confirme, cependant, que le cimetière romain vieux de 2 000 ans découvert l’année dernière dans le nord de Gaza, contenant des dizaines de tombes anciennes
et deux rares sarcophages en plomb, a été « presque complètement détruit » par les bombardements.
Il dit que le ministère n’a aucune information sur l’état des artefacts ou de l’un des cercueils qui ont été transférés dans des entrepôts à Gaza.
Le deuxième cercueil était toujours sur place. « Nous ne savons pas si [le magasin] est toujours sûr ou s’il a été bombardé », dit Yasin.
« Si nous perdons ce matériel, je pense que nous perdons une page de notre histoire. »

Plusieurs musées de Gaza ont également été détruits ou endommagés. Le musée de Rafah, situé dans le sud de Gaza, a publié deux vidéos sur sa page Facebook
montrant que le bâtiment s’est partiellement effondré. Yasin a déclaré que les responsables palestiniens avaient également reçu des informations faisant état
de dommages importants causés au musée culturel d’Al Qarara et au musée de Deir Al Balah.

Mohammad Abulehia, qui a créé le musée Al Qarara en 2016, confirme que le bâtiment et la collection ont subi d’importants dommages lorsqu’un missile a frappé
une maison adjacente le 12 octobre.
La collection comprenait des antiquités de la période byzantine, tandis que le musée à entrée libre servait également de centre communautaire.
« J’ai créé le musée pour protéger et préserver le patrimoine culturel matériel et immatériel de Gaza. J’ai collecté des biens culturels menacés de vol et de destruction
en raison de l’occupation, et j’ai déployé des efforts considérables en matière de recherche, d’exploration et de documentation », explique Abulehia.
« Ce qui reste de la collection est maintenant menacé par les grèves en cours. Il n’y a pas d’endroit sûr à Gaza.

Le port d’Anhedon, le premier port maritime connu de Gaza, habité de 800 av. J.-C. à 1100 apr. J.-C., a également été considérablement touché par le bombardement,
selon Yasin. C’est l’un des trois sites de Gaza inscrits sur la liste indicative du patrimoine mondial de l’Unesco.
Un porte-parole de l’Unesco a déclaré à The Art Newspaper qu’elle surveillait les sites de Gaza « à distance, en utilisant les données satellitaires
et les informations qui nous sont envoyées, en raison de l’impossibilité d’effectuer des vérifications sur place ».
Cela signifie qu’il est « trop tôt pour donner une estimation claire des dommages causés au patrimoine culturel ».






Même avant la guerre, l’Unesco s’inquiétait de l’état de conservation des sites de Gaza « en raison de l’absence de politiques publiques locales en matière de patrimoine
et de culture », a déclaré le porte-parole.
« L’Unesco est profondément préoccupée par l’impact négatif que ce conflit pourrait avoir sur le patrimoine culturel en Palestine et en Israël,
et appelle tous les acteurs à respecter scrupuleusement le droit international », ont-ils conclu.

Yasin explique que la préservation des sites patrimoniaux et des collections d’artefacts à Gaza est depuis longtemps confrontée à des défis considérables.
Opérer dans une zone soumise à des restrictions strictes provoque non seulement une crise démographique, mais peut également limiter des tâches simples telles que
l’importation de matériel de conservation, qui nécessite l’autorisation d’Israël pour entrer dans Gaza.

Israël a occupé la bande de Gaza après la guerre de 1967 et y est resté jusqu’en 2005, date à laquelle il a retiré ses colonies.
En 2007, le Hamas a pris le contrôle de Gaza après avoir remporté les élections palestiniennes de l’année précédente. Israël, invoquant des problèmes de sécurité,
a mis en place un blocus qui restreint les déplacements de la population de Gaza, la laissant dépendante d’Israël pour les besoins de base tels que l’électricité,
la nourriture et même l’eau potable. L’ONU considère Gaza comme faisant partie du territoire palestinien occupé.

En 2018, le British Council a contribué financièrement à la préservation de l’église byzantine du Ve siècle située dans le camp de réfugiés de Jabaliya.
Une source proche du projet a déclaré à The Art Newspaper qu’il y avait des rapports de dommages substantiels à l’église, mais qu’ils n’étaient pas en mesure de les vérifier
de manière indépendante. Selon le rapport de Heritage for Peace, le site est presque entièrement détruit.

Le British Council a également soutenu la préservation du monastère Saint-Hilarion, près de Deir al Balah, à 14 km au sud de la ville de Gaza
et dans la zone d’évacuation du nord de Gaza. Connu sous le nom de Tell Umm Ammer, c’est l’un des plus anciens et des plus grands monastères
avec des vestiges importants au Moyen-Orient et figure sur la liste indicative du patrimoine mondial de l’Unesco.
Des dégâts ont été signalés, mais la destruction des zones environnantes et des routes en a bloqué l’accès.

En 2020, Aliph, l’alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones de conflit, a mené un projet au monastère.
Sandra Bialystok, directrice de la communication et des partenariats d’Aliph, affirme qu’Aliph entretient une communication régulière avec ses opérateurs sur le terrain,
Première Urgence Internationale et Riwaq, et que leurs équipes sont en sécurité, mais qu’il est très difficile d’obtenir des informations précises.
« D’abord et avant tout, Aliph exprime sa profonde tristesse face à la perte tragique de toutes les vies civiles en Israël et en Palestine », dit-elle.
« Des dommages ont été signalés dans le quartier environnant et, potentiellement, dans le monastère lui-même ; Mais cela reste à confirmer. Une source proche du projet
a confirmé la même chose.

Des projets impliquant les sites archéologiques maritimes de Gaza ont également été affectés.
L’une des initiatives les plus récentes est le Projet d’archéologie maritime de Gaza (Gazamap), qui fait partie du Projet d’archéologie maritime en danger
au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MarEA) dirigé par l’Université de Southampton et l’Université d’Ulster en partenariat avec l’Université d’Oxford.
Gazamap, qui a été lancé en 2022, a entrepris d’examiner et d’étudier les sites côtiers de Gaza, qui contiennent d’importantes données archéologiques
mais qui s’érodent rapidement, en mettant l’accent sur Tell Ruqaish, un site de l’âge du fer (1200 av. J.-C.-500 av. J.-C.) dans le sud, et Tell es-Sakan,
le plus grand site archéologique de la bande, situé à 5 km au sud de la ville de Gaza.
En outre, son objectif était de créer des solutions rentables pour les étudiants en archéologie palestiniens qui n’ont pas accès à des outils de travail essentiels
tels que les appareils GPS. Tell es-Sakan et Tell Ruqiash ont toutes deux été touchées par les bombardements. Cependant, l’étendue des dégâts n’est pas encore claire.


Des sites côtiers menacés

D’autres études sous-marines étaient prévues en octobre et une formation à l’étranger l’année prochaine.
Mais les conditions actuelles à Gaza ont mis en péril l’avenir du projet. L’un des étudiants et deux collaborateurs des médias, dont Rushdi Sarraj (un photojournaliste reconnu),
qui prenaient des images aériennes et les formaient à la photographie par drone, ont été tués dans les frappes aériennes. Plusieurs autres étudiants ont été déplacés.

Georgia Andreou, directrice de Gazamap et chercheuse principale à l’Université de Southampton, se dit « extrêmement inquiète »
pour la sécurité des étudiants du projet à Gaza. Elle fait l’éloge d’eux comme « les étudiants les plus assidus avec lesquels j’ai jamais travaillé »,
notant qu’ils « travaillent dans les conditions les plus impossibles et qu’ils ont obtenu d’excellents résultats ».

« Le besoin urgent en ce moment est d’arrêter cette guerre et ensuite nous pourrons trouver un moyen de résoudre les problèmes avec l’aide de la communauté internationale »,
a déclaré Yasin. « Il existe de nombreuses façons de résoudre les problèmes qui se sont produits à Gaza.
Au minimum, selon le droit international, nous devons préserver ce patrimoine culturel parce qu’il ne s’agit pas seulement du patrimoine culturel palestinien ;
c’est le patrimoine de l’humanité.



source
theartnewspaper.com

J'aimerai bien voir le jour ou la Syrie, la Lybie, l'Iran, l'Egypte et l'Irak se réveilleront et en finiront avec Israël.
Ecraser des pauvres gens, femmes, enfants et vieillards aussi ce n'est pas une victoire, c'est de l'assassinat. Ils reverront ça de très prêt, sauf que ce ne sera pas la WWII et les camps d'Hitler mais l'anéantissement de leur politique financière dans le monde aussi. Ils se feront raser. Tuer sans raison, la vengeance vient au galop.  Dommage pour ceux qui sont corrects et de payer pour les débiles. Netanyahou devrait finir pendu, ce type est pire que plusieurs dictateurs réunis.
Hitler s'est prit pour le maitre du monde, erreur, celui-ci fait de même voire pire.

Info sur MSN :

Guerre Israël-Hamas : en Cisjordanie, un record de violences de colons sur des Palestiniens en 2023.

Les actes de violences de colons israéliens contre des Palestiniens en Cisjordanie occupée ont enregistré un record en 2023, a annoncé lundi l’ONG israélienne de défense des droits humains Yesh Din. « La violence des colons est la politique du gouvernement israélien », a dénoncé l’organisation dans un communiqué, précisant que le nombre d’incidents, leur gravité, « le nombre d’Israéliens impliqués et le bilan » des violences ont battu des records en 2023, surtout depuis le 7 octobre.
« Les deux mois passés » depuis cette date « ont été particulièrement violents », a rapporté Yesh Din qui a recensé 242 actes de violence. Des dizaines d’habitations et de véhicules appartenant à des Palestiniens ont été endommagés par des colons en 2023, selon cette organisation qui comptabilise ces violences depuis 2006.
L’agence des Nations unies chargée de la coordination humanitaire (Ocha) a recensé 1225 attaques de colons sur des Palestiniens en 2023. Parmi ces attaques, Yesh Din évoque deux épisodes particulièrement violents, perpétrées par « un grand nombre de colons israéliens » : le premier à Huwara en février, et le second à Turmus Ayya en juin, deux villes palestiniennes entre Naplouse (nord) et Ramallah (centre).
« Des centaines d’Israéliens ont attaqué des villages palestiniens, mettant le feu à des dizaines de maisons et de véhicules », a détaillé Yesh Din. En Cisjordanie, territoire occupé depuis 1967 par Israël, 490 000 colons vivent au milieu de trois millions de Palestiniens. Ces colonies sont considérées comme illégales au regard du droit international.
« Une politique constante d’indulgence »
Yesh Din a aussi exprimé son scepticisme concernant les dernières données publiées par la police israélienne, qui affirme que ces violences sont en baisse en 2023 par rapport à 2022. Pour l’ONG, la police ne compte que le nombre de plaintes déposées, en baisse à cause du manque de confiance des Palestiniens dans les autorités israéliennes, surtout depuis la formation, par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu en décembre 2022, d’un gouvernement allié avec des partis d’extrême droite pro-colons.
Ce manque de confiance « résulte probablement d’une politique constante d’indulgence » envers les colons et le classement de nombreuses affaires criminelles « à caractère idéologiques commis par des Israéliens contre des Palestiniens en Cisjordanie, puisque seulement 3 % des enquêtes ouvertes aboutissent à des inculpations », a relevé l’organisation.
Deux enfants de 9 et 15 ans tués par l’armée israélienne en Cisjordanie
La Cisjordanie connaît une intensification des violences depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza le 7 octobre. Au moins 317 Palestiniens ont été tués par l’armée, mais aussi par des colons, selon un bilan de l’Autorité palestinienne.