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| Les Ovitz, famille juive de nains | |
| | Auteur | Message |
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carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Les Ovitz, famille juive de nains Lun 29 Jan - 18:15 | |
| juste quelques photos pour situer cette famille : La famille Ovitz est une famille juive hongroise d'artistes itinérants, célèbre pour le nanisme qui affectait la majorité de ses membres. Elle fut déportée par les nazis et victime d'expérimentations durant la Seconde Guerre mondiale. C'est la famille dont le plus grand nombre de membres déportés ont survécu au camp de concentration d'Auschwitz. Origine :Les Ovitz sont originaires de la commune de Rozavlea dans le județ de Maramureș (aujourd'hui Roumanie). Le père, Shimson Eizik Ovitz (1868-1923)3 est un badchen (artiste spécialisé dans les mariages juifs) et un rabbin itinérant2. Il a dix enfants dont sept étaient atteints de nanisme, plus précisément de dysplasie spondyloépiphysaire4. Il meurt d'une intoxication alimentaire au poisson en 19235. Les enfants issus de son premier mariage avec Brana Fruchter (qui était de taille normale), Rozika et Franzika, étaient tous deux nains. La seconde femme de Shimon Eizik Ovitz elle aussi de taille normale mit au monde Avram (nain), Freida (naine), Sarah (taille normale), Micki (nain), Leah (taille normale), Elizabeth (naine), Arie (taille normale), et Piroska, aussi connue sous le pseudonyme de Pearla (naine) Troupe Lilliput :Les enfants fondent leur propre ensemble, la troupe lilliput. Ils chantaient et jouaient de la musique sur de petits instruments de musique, voyageant en tournée dans toute la Roumanie, en Hongrie et en Tchécoslovaquie au cours des années 1930 et 19406. Ceux de taille normale aidaient dans les coulisses. Les Ovitz chantaient en yiddish, en hongrois, en roumain, en russe et en allemand. Quand ils n'étaient pas en tournée, ils vivaient tous dans la même maison avec leurs conjoints. Ils rencontrent la réussite et sont les premiers à posséder une voiture dans leur village. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la famille était composée de douze membres dont sept nains. Les nouvelles lois raciales mises en place après que la Hongrie a annexé la Transylvanie du Nord en septembre 1940 interdisaient aux Juifs de faire des représentations devant un public non-juif. Néanmoins les Ovitz parvinrent à se faire établir des faux-papiers n'indiquant pas leur confession et continuèrent à monter sur scène jusqu'en 1944. Lorsque l’Allemagne nazie envahit la Hongrie, ils se réfugient à Sighet dans le berceau familial du județ de Maramureș où ils se font recenser. Le 15 avril la gendarmerie rassemble tous les juifs dans la synagogue du village8. Ils parviennent à retarder leur transfert de quelques semaines car ils tiennent des spectacles qui amusent leurs gardiens. Le 12 mai 2, ils sont déportés à Auschwitz où ils arrivent le 19 mai. L'un des frères de grande taille parvint à échapper à la rafle, mais fut plus tard arrêté et exécuté. A suivre. | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28637 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Mar 30 Jan - 10:21 | |
| Famille dont le moins qu'on puisse dire, pour sa malchance, c'est qu'elle n'a pas le profil "aryen". Z'ont l'air pourtant bien sympathiques. | |
| | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Mar 30 Jan - 12:35 | |
| Dans les camps :
À leur arrivée à Auschwitz, la famille Ovitz est remarquée par Josef Mengele, le médecin du camp alias l'« ange de la mort » qui établit une collection de déportés présentant des particularités physiques afin de mener à bien ses expérimentations sur l'hérédité. Il prend la décision de séparer les Ovitz du reste des prisonniers afin de les inclure dans sa collection de sujets-test6. La famille Ovitz demande que les Slomowitz restent également avec eux en prétextant qu'ils sont parents ce qui permet de sauver le chauffeur de la famille Ovitz et sa famille.
Il est intrigué par le fait que la famille comporte à la fois des membres de petite taille et d'autres de taille normale. Onze autres détenus déclarèrent être des proches des Ovitz et les rejoignirent dans le zoo humain de Mengele.
Mengele conscient de la rareté des cas de nanisme chercha à ménager ses sujets d'étude. Il leur fit construire des bâtiments spéciaux afin de bien pouvoir les contrôler et s'arrangea pour qu'ils jouissent de bonnes conditions d'hygiène, de nourriture en quantité et en qualité suffisante. Il les autorisa à conserver leurs propres vêtements et obligea les personnes de taille normale du groupe à porter les plus petits durant les déplacements vers les sites d'expérimentation.
Les Ovitz furent soumis à différentes expériences. Les membres de l'équipe de Mengele firent des prélèvements de moelle osseuse, de dents et de cheveux afin de trouver des indicateurs de maladies génétiques. Ils versèrent de l'eau alternativement chaude et froide dans leurs oreilles et les aveuglèrent en versant des produits chimiques dans leurs yeux. Les femmes sont forcées à avoir des relations sexuelles. Le petit Shinshon Ovitz âgé de 18 mois subit le pire traitement car il était né prématuré de parents de taille normale. Mengele préleva du sang des veines situées derrière ses oreilles et de ses doigts. Les Ovitz ont rapporté qu'à cette époque, deux nains extérieurs à leur famille avaient été tués et ébouillantés afin que leurs os puissent être exhibés dans un musée. À l'occasion d'une visite de dignitaires nazis Mengele leur demanda de se présenter nus devant eux ; il fit aussi un film de la famille afin de distraire le Führer. Craignant pour leur vie, les Ovitz tâchaient de distraire le docteur et chantaient des chants allemands quand il le leur demandait.
Ils pensaient être éliminés une fois que Mengele a fini ses expériences mais survécurent jusqu'à la libération d'Auschwitz, le 27 janvier 1945. L'Armée rouge les transféra en Union soviétique où ils vécurent dans un camp de réfugiés durant un certain temps, avant d'être laissés libres de leurs mouvements
Après guerre :
Les Ovitz marchèrent pendant sept mois pour rejoindre leur village natal. Là, ils constatèrent que leur maison avait été pillée, prirent la direction de Sighet puis se rendirent en Belgique2. En mai 1949, ils firent leur alya en Israël, s'installèrent à Haïfa et recommencèrent avec succès leurs tournées. En 1955, ils se retirent de la scène et achètent un cinéma.
Les descendants des hommes nains de la famille sont nés plus grands, les femmes n'ont pu avoir d'enfants à cause de l'étroitesse de leur bassin. L’aînée, Rozika Ovitz est morte en 1984 à 98 ans. La cadette, Perla est décédée en 2001 | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38910 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| | | | carbone14 Feldmarshall
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| | | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Mar 30 Jan - 15:20 | |
| Le 27 juin 1945, l'Armée rouge libère environ 7 000 survivants du camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Parmi les rescapés, les membres de la famille Ovitz, atteints de nanisme. Sept personnes qui ont fait de leur handicap une force et qui, avec un courage exemplaire, ont tenu tête au redoutable Dr Mengele pour sauver d'autres vies. je bloque, impossible de copier, je reviendrais plus tard ou demain. | |
| | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Mer 31 Jan - 12:44 | |
| Un petit retour en arrière :
Soudain, dans la lumière des projecteurs, les gardes les voient descendre du train. Sept petites personnes. Cinq femmes, à peine plus grandes que des fillettes de 5 ans. Et deux garçons tout aussi petits, qu’un homme doit porter dans ses bras, l’un après l’autre, pour les aider à sauter en bas du wagon. Au milieu des déportés effarés, tremblant face aux chiens loups qui aboient en tirant sur leurs laisses, ils se blottissent les uns contre les autres. Un officier SS s’approche d’eux, les détaille un instant puis ordonne à un soldat : "Réveillez le docteur Face à Josef Mengele, médecin chef à Auschwitz-Birkenau Il est minuit passé ce vendredi 19 mai 1944. Tandis que les nains sont priés de rester sur place, les nouveaux arrivants sont partagés en deux longues files après un examen sommaire. L'une prend la direction des baraquements. La seconde cohorte est dirigée vers les cheminées que l’on distingue au loin. Comme elle racontera des dizaines d’années plus tard, en apercevant la fumée qui monte dans le ciel, Perla Ovitz, alors âgée de 23 ans, croit voir les volutes prendre des formes d’êtres humains, des silhouettes qui flottent dans l’air avant de se dissoudre dans le néant. Puis elle songe au mystérieux individu que l’officier a appelé "docteur". Ni soin ni secours à attendre de ce "docteur". Il s’appelle Josef Mengele. Il a alors 34 ans. Lors de ses études à l’université de Bavière, il a réalisé une thèse sur les facteurs héréditaires responsables de la fente labio-faciale (le bec de lièvre) et de la fossette au menton, et décroché un doctorat en 1938. Cinq ans plus tard, début 1943, il est nommé médecin chef à Auschwitz-Birkenau, le plus grand centre concentrationnaire du IIIe Reich. Les travaux qu’il y mène, espère-t-il, feront un jour de lui un chercheur de renommée mondiale. Pour arriver à ses fins, Mengele n’hésite pas à mutiler et torturer jusqu'à la mort des cobayes humains qu’il peut se procurer en quantités illimités. "Maintenant, j’ai du travail pour vingt ans !" Cette nuit de mai 1944, en découvrant les Ovitz, sept petites personnes issues de la même famille, il s'exclame : "Maintenant, j’ai du travail pour vingt ans !" Les journalistes israéliens Yehuda Koren et Eilat Negev ont mené une longue enquête pour reconstituer le destin de la famille Ovitz. Ils en ont tiré un livre bouleversant : Nous étions des géants (Editions Payot, 2007). Dans l'introduction de leur ouvrage, les auteurs avertissent leur lecteur : "l’histoire vraie des sept nains d'Auschwitz n’est pas un conte, c’est un récit qui conduit dans les recoins les plus sombres de l’enfer." | |
| | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Mer 31 Jan - 12:49 | |
| Les expériences de Mengele ! Les atroces expériences du Docteur Mengele À Auschwitz, les membres de la troupe Lilliput n'ont pas le crâne rasé, et ne sont pas obligés de porter la tenue des déportés. Mengele leur procure même des pots de chambres pour leur éviter les latrines collectives. Mais ils découvrent aussi le "pavillon médical" de leur protecteur, un bâtiment situé dans le bloc 32 du camp tzigane, semblable à n’importe quelle clinique de l’époque, avec du personnel en blouse blanche. C’est là que le médecin SS se livre à ses expériences. Les nains de la famille Ovitz y sont radiographiés sous toutes les coutures, soumis à d’innombrables prises de sang. "Il nous prenait d'énormes quantités de sang, a témoigné Perla. Comme nous étions sous-alimentés, nous nous évanouissions souvent. Mais cela n’arrêtait jamais Mengele." Que cherche Mengele dans le sang et à travers les séances de rayons X ? Il se pourrait qu’il ne le sache pas lui-même. La paperasse retrouvée dans le camp après sa libération ne montre qu’une routine de tests sans queue ni tête et douloureux pour les sujets. Par exemple, on leur verse alternativement de l’eau bouillante et de l’eau glacée dans les oreilles. Mengele leur arrache des dents saines et leur épile les cils. Les Ovitz sont également soumis à des questionnaires et des évaluations d’intelligence. Dora, la femme de taille normale d’Avraham, l’ainé des lilliputiens, est régulièrement interrogée par Mengele. Le médecin semble obsédé par sa vie sexuelle avec son mari et s’excite en la bombardant de questions. Des corps bouillis, pour séparer les chairs des os Trois mois après leur arrivée à Auschwitz, les Ovitz voient arriver deux autres nains – un bossu et son fils. Les malheureux ne survivent hélas pas aux traitements inhumains que leur inflige le savant nazi. Voulant expédier leurs squelettes au musée de Berlin, Mengele ordonne que l’on fasse bouillir les corps pour séparer les chairs des os. "Aucun de nous n’imaginait que l’on sortirait vivant du camp, témoigne Perla dans le livre de Yehuda Koren et Eilat Negev, mais l’idée que nos squelettes seraient exposés était pour nous insupportable. Horrible au-delà des mots." Elle témoigne aussi du charisme de Mengele. "Il était aussi beau qu’une star de cinéma, confie-t-elle. Personne l’ayant vu, n’aurait pu imaginer que derrière sa beauté, se cachait un monstre." Malgré la terreur que leur inspire le médecin démoniaque, les nains de la Troupe Lilliput prennent toujours garde de lui présenter un visage aimable. Ils s’adressent toujours à lui en l’appelant "Votre Excellence", ne manquent jamais d’interpréter ses chansons favorites. De son côté, Mengele est toujours aimable avec ses prisonniers nains et leur apporte parfois des présents, des bonbons, du maquillage, ou encore des jouets – sans doute récupérés au cours d’une sélection sur la rampe – pour Shimshon, le bébé de Leah, une des sœurs de taille normale. | |
| | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Mer 31 Jan - 12:52 | |
| Une démonstration absurde et une humiliation publique Le matin du Vendredi 1er septembre 1944, une camionnette vient chercher les Ovitz dans leur baraquement. La veille, Mengele a apporté du maquillage et du parfum pour les femmes, leur recommandant de se préparer pour le lendemain. Les sept lilliputiens, leurs sœurs de taille normale, le petit Shimshon dans les bras de sa mère, et d'autres personnes de leur entourage, au total vingt personnes, sont conduits jusqu’à un bâtiment du quartier des SS. Dans une salle bourrée d’officiers, Mengele fait s'aligner ses cobayes sur une estrade et leur ordonne : "Déshabillez-vous !" Terrorisées, les prisonniers obéissent. Tremblantes, les femmes défont les boutons de leurs robes. Une fois nues, les yeux baissés, elles tentent de dissimuler leurs sexes et leurs poitrines avec leurs mains. "Redressez-vous ! Ecartez les bras !" aboie le médecin. Ce que les membres de la famille Ovitz ignorent, c’est que Mengele vient de donner une conférence et une lecture publique de son travail intitulé Exemples de travaux anthropologiques et en biologie héréditaire dans le camp de concentration. Et ils sont humiliés sur cette scène pour illustrer sa démonstration qu'un militaire, au premier rang du public, filme avec une caméra. S’emparant d’une queue de billard, Mengele désigne telle ou telle partie du corps de ses sujets. Son propos est de démontrer que la soi-disant race juive dégénère vers le nanisme. L’exposé terminé, le public applaudit et un essaim d’officiers SS grimpent sur la scène pour mieux observer la troupe dévêtue. La libération En janvier 1945, une rumeur se répand dans le camp : l’armée soviétique approche. Comme tous les cadres du camp, Mengele prend la fuite. Le 27 janvier, les portes d’Auschwitz s’ouvrent enfin. La famille Ovitz n’est pas pour autant libre. Transférés dans un camp soviétique, Perla et les siens ne regagnent – à pied ! – leur village que sept mois plus tard. Sur les 650 juifs raflés à Rozavlea, une cinquantaine seulement a survécu… La maison des Ovitz a été saccagée. Ils partent alors s’installer à Anvers, en Belgique, où ils reprennent leur carrière d’artistes de music-hall. En 1949, ils rejoignent la Palestine où un État juif vient de se créer. Les Ovitz se produiront encore sur les scènes israéliennes tant que leur santé le leur permettra, avant de prendre leur retraite à Haïfa. Lorsque Perla raconta l’incroyable histoire des sept nains d’Auschwitz à Yehuda Koren et à Eilat Negev, le reste de sa famille était déjà décédé. La dernière survivante de la Troupe Lilliput, elle, s’est éteinte paisiblement le 9 septembre 2001, à l’âge de 80 ans. Elle a tout de même su que leur bourreau, Josef Mengele, était mort et inhumé au Brésil (Mengele, ayant échappé à toutes les recherches, s’est noyé sur une plage de Sao Paulo. Enterré sous un faux nom, il ne fut identifié qu’en 1985). Lorsque Yehuda Koren et à Eilat Negev lui demandèrent si elle regrettait que "l’ange de la mort d’Auschwitz" n’ait pas été jugé, elle répondit qu'elle pensait que le médecin exterminateur ne se serait jamais excusé pour les tortures infligées à sa famille et à toutes les autres victimes. Cette seconde partie vient de GEO, à lire aussi. Fin. | |
| | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| | | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28637 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Jeu 1 Fév - 10:44 | |
| - Citation :
- Elle a tout de même su que leur bourreau, Josef Mengele, était mort et inhumé au Brésil (Mengele, ayant échappé à toutes les recherches, s’est noyé sur une plage de Sao Paulo.
S'en est bien sorti, comme beaucoup d'autres, peut-être moins connus mais tout aussi criminels. | |
| | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Jeu 1 Fév - 11:12 | |
| - vania a écrit:
-
- Citation :
- Elle a tout de même su que leur bourreau, Josef Mengele, était mort et inhumé au Brésil (Mengele, ayant échappé à toutes les recherches, s’est noyé sur une plage de Sao Paulo.
S'en est bien sorti, comme beaucoup d'autres, peut-être moins connus mais tout aussi criminels. Il s'en est très bien sorti, prit ça aurait été la catastrophe pour lui. Il n'a fait aucune expériences valables, aucune. Le seul point positif est que des gens plongés dans de l'eau glacée vivaient quelques minutes, une sorte de bouée où la nuque hors de l'eau a permit de survivre parfois jusqu'à 6 heures. C'est tout, rien d'autre. Absolument rien. Du sadisme pur. Des piqures pour ceci ou cela, des essais totalement stupides pour rien. | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38910 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Jeu 1 Fév - 12:15 | |
| - carbone14 a écrit:
- vania a écrit:
-
- Citation :
- Elle a tout de même su que leur bourreau, Josef Mengele, était mort et inhumé au Brésil (Mengele, ayant échappé à toutes les recherches, s’est noyé sur une plage de Sao Paulo.
S'en est bien sorti, comme beaucoup d'autres, peut-être moins connus mais tout aussi criminels. Il s'en est très bien sorti, prit ça aurait été la catastrophe pour lui. Il n'a fait aucune expériences valables, aucune. Le seul point positif est que des gens plongés dans de l'eau glacée vivaient quelques minutes, une sorte de bouée où la nuque hors de l'eau a permit de survivre parfois jusqu'à 6 heures. C'est tout, rien d'autre. Absolument rien. Du sadisme pur. Des piqures pour ceci ou cela, des essais totalement stupides pour rien. On a les memes chez les japonais de l unite 731 en Chine | |
| | | carbone14 Feldmarshall
Nombre de messages : 26888 Age : 71 Localisation : Magyarország Date d'inscription : 04/03/2016
| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains Jeu 1 Fév - 12:28 | |
| Oui, c'est vrai. | |
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| Sujet: Re: Les Ovitz, famille juive de nains | |
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| | | | Les Ovitz, famille juive de nains | |
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