Excellent.!
Les americains semblent incapable de retourner sur la lune alors que la technique a foait un bond innemaginable depuis
les annees 60...
Alors qu’on nous avait saoulés avec une célébration débile et digne de nos siècles hypnotiseurs (René Guénon), je trouve,
sur ce sujet lunaire que j’ai plusieurs fois abordé, intelligents et tempérés les propos suivants (source Strategika51.blog) :
« Le programme Apollo a été l’un des programmes les plus ambitieux de l’histoire et a été mené de 1961 jusqu’en 1975.
Il aurait permis officiellement l’envoi pour la première fois de l’histoire connue d’hommes sur la surface lunaire.
À en croire l’histoire officielle, ce programme a abouti le 21 juillet 1969 : deux hommes, Neil Armstrong et Buzz Aldrin, marchaient sur la surface lunaire,
tandis qu’un autre les attendait sur un module orbital autour de la lune.
Ainsi, l’homme parvint à se poser sur la lune vingt-quatre ans après l’explosion des premières bombes atomiques marquant la fin de la seconde guerre mondiale
de 1939-1945.
Ceci est ce que l’on enseigne dans toutes les écoles de la planète.
Qu’en est-il réellement ?
Exit l’aspect technique.
Des questions de simple bon sens nous interpellent ici.
Nonobstant la contradiction avec la flèche linéaire évolutive de l’histoire des techniques, laquelle nous a été imposée comme un dogme sacré dès le 19ème siècle,
comment expliquer qu’il y a 50 ans, l’homme est parvenu à se poser sur la lune et qu’un demi-siècle plus tard, non seulement cette aventure solitaire
ne s’est pas répétée, mais n’a donné lieu à aucune évolution ultérieure consécutive à ce premier pas ?
Si l’on suit la logique épistémologique positiviste, le premier pas de l’homme sur la lune aurait dû fonder un processus visant à une installation humaine
plus ou moins durable sur la face claire de la lune dans le but d’une exploitation durable des ressources minières disponibles de notre satellite naturel.
Il n’en fut rien. Il n’y a jamais eu de suite à ce programme :
Ni les États-Unis ni aucun autre pays sur terre ne purent envoyer des humains sur la lune, il n’y a jamais eu de base sur la lune, aucun survol habité de la lune,
pas de mission habitée vers Mars et encore moins vers Venus.
La fusée Saturn fut tout juste utilisée pour mettre Skylab en orbite basse et l’ensemble de l’astronautique habitée s’est repliée en haute atmosphère terrestre
ou en orbite basse. C’était la régression consacrée par le programme des navettes spatiales orbitales.
La conquête spatiale était terminée. Les auteurs de science-fiction et d’anticipation ayant survécu à cette période perdirent tout espoir. »
Sauf que les auteurs de SF, presque tous agents-fonctionnaires du Deep State ou de l’US Air farce, faisaient partie de la combine (seul un génie comme Dick nous parlait
de l’hypnotisation ici-bas).
On conclut : « Cinquante ans après, les États-Unis n’ont même pas de lanceur fiable et si le retour sur la lune ou une éventuelle mission habitée sur Mars
sont souvent évoqués par des politiciens US, c’est plus par populisme et par politique de prestige. Dans les faits, c’est l’impasse. »
Puis on évacue le complot mais on écrit quand même :
« En évacuant le débat technique et en prenant nos distances avec les théories du complot, nous avons la logique.
Et cette logique nous dicte que si l’homme achève un progrès dans un domaine, il entame un processus d’évolution dans ce domaine.
Or, si on croit aux petit pas de Neil Armstrong, cela fait un demi-siècle que les hommes sont allés sur la lune.
Un demi-siècle plus tard, les hommes ne peuvent même pas se hasarder à quitter l’orbite basse de la terre.
Le progrès scientifique et technique s’est-il inversé en ce qui concerne l’espace ?
La réponse à cette question est positive dans tous les cas de figure et quels que soient les arguments présentés ou défendus.
Les ordinateurs de bord d’Apollo 11 n’égalaient même pas en puissance de calcul et de traitement le vingtième de ceux du plus petit téléphone bas de gamme
destiné aux populations des régions les plus défavorisés sur terre.
Un demi-siècle et deux révolutions technologiques plus tard, les hommes se retrouvent dans l’incapacité d’envoyer des humains au-delà de l’orbite basse de la terre,
se contentant d’exploiter commercialement ce qu’ils désignent l’espace en y envoyant des satellites et des sondes d’exploration automatiques. »
Le rédacteur anonyme souligne aussi ceci à propos de l’aviation moderne :
« Tout ceci est plus qu’aberrant et il y a bien plusieurs anguilles sous roche.
Prenons le cas de l’aviation.
Entre 1914 et 1964, les progrès de l’aviation furent époustouflants. En cinquante années, on est passé de petits avions en bois et papier équipés de moteurs primitifs
et à très faible rendement énergétique ne dépassant pas les 170 km/h maximum à des super jets pouvant voler à des dizaines de milliers de mètres
à des vitesses supersoniques jusqu’à Mach 3 dans les années 60.
Comment se fait-il dès lors que l’inverse se produisit en astronautique habitée ? »
Sur ce sujet notre anonyme manifeste une petite incohérence : le Concorde englouti par qui l’on sait, nous sommes placés pour savoir qu’il n’y eut plus de réels progrès
dans l’aviation civile et même militaire, et ce depuis les années soixante-soixante-dix.
Notre seul progrès est celui de la réalisation de ce camp de concentration électronique mondial, auquel participe tout le monde,
communauté anti-système y compris. Désolés, mais c’est l’enfer de Dante : « laissez tomber tout espérance, vous qui entrez. »
Les déboires actuels de Boeing et de l’aviation américaine (737, JSF), le cataclysme énergétique (fracking, éoliennes, etc.), la crapulerie automobile devraient réveiller
les plus distraits.
Je lisais dans Bloomberg/Zerohedge.com que les robots ne nous tueront pas tous, et que les africains remplaceront tantôt les chinois pour fabriquer les gadgets
dont nous ricains raffolons…
On croit rêver, mais passons. Il ne reste au système que l’hypnose/simulacre : la télé en bandeau, la hausse algorithmique des marchés, l’imprécation nucléaire.