Tentative de coup d etat au VENEZUELA

La commission électorale des élections présidentielles vénézueliennes a confirmé la victoire de Nicolas Maduro, 61 ans, héritier de l’ancien président Hugo Chavez
(1999-2013) et réélu pour un troisième mandat de 6 ans avec 5,15 millions de voix (51,2 %) sur le candidat de l’opposition, Edmundo Gonzalez Urrutia, 74 ans,
qui acobtenu 4,5 millions de voix (44,2 %).

Depuis le Japon, le faucon étasunien Blinken a critiqué les résultats électoraux vénézueliens .

Cette élection vénézulienne continue donc de présenter sa dimension géopolitique internationale :
La majorité des pays non alignés dont la Russie ont reconnu la victoire de Maduro, tandis que les pays occidentaux, USA en tête refusent bien sûr les résultats
de ce scrutin confirmant au pouvoir d'un pays stratégique du continent latino-américain un antimondialiste radical.

Comme prévu les opposants pro-américains qui revendiquent 70% des votes en faveur de leur candidat ont déclenché de violentes émeutes dans les rues du pays,
aspirant à un coup d'Etat soutenu par les agents occidentaux .

Ces dernières heures la situation dans les rues s'est considérablement aggravée.

Depuis le XXème siècle où la multinationale américaine United Fruit Company, en lien avec la CIA, organisait la corruption et le contrôle des dirigeants d’Amérique latine,
les USA n'ont eu de cesse que de vouloir contrôler ce vaste continent latino-américain aux richesses minières très importantes,
jusqu'à y soutenir et organiser des didactures militaires meurtrières.

Et dans ce continent aux enjeux géostratégiques de plus en plus importants dans le contexte international en crise, le Vénézuela, pays pétrolier sous blocus
et allié fidèle de Cuba et autres pays antimondialistes est la cible principale de Washington qui, ces dernières années a tenté de renverser le pouvoir bolivarien :

En 2002, les USA ont organisé une tentative de coup d’Etat contre Hugo Chavez.

En 2019, les USA tentent de semer le chaos dans le pays via l'opposant Juan Guaido.

Aujourd'hui, après avoir pris le contrôle de l'Argentine via Javier Milei, la plus stupide des marionnettes (après Zelensky) de l'histoire de l'impérialisme occidental,
Washington va certainement lancer une 3ème campagne subversive et chaotique visant à prendre le contrôle du Vénézuela ... et surtout de son pétrole.

Il n'y a pas eu de manifestations des opposants à Nicolas Maduro mais directement des émeutes extrêmement violentes contre le pouvoir vénézuelien menées
par des gangs criminels et des activistes venus des USA et payés 150 dollars par jour par des organisations satellites de la CIA.
Un chaos organisé et qui n'est pas sans rappeler celui du Maïdan en 2014 où les rues de Kiev ont été envahies par les paramilitaires et hooligans néo nazis
ainsi que des activistes russophobes payés par des ONG sorossiennes et venus de Pologne où ils avaient été entraînés.

A Caracas les émeutiers, pillent incendiés et détruisent tout sur leur passage.
On signale au moins 7 civils morts brûlés par ces gangs criminels au service de l'opposition pro-etasunienne et plus de 20 militaires ont déjà été blessés,
souvent par balles, selon un communiqué du Ministère vénézuelien de la Défense.

La plupart des émeutiers sont drogués, beaucoup sont armés et encadrés par des activistes de l'opposition dite "démocratique".
Parmi eux des membres de la tristement célèbre organisation criminelle "Tren del Llano" brandissent des fusils AK et attaquent le commissariat de police
dans l'État de Guarico.

Concernant les allegations de fraude électorale repandues a travers le monde occidental, Wikileaks prévient que les allégations qu'elles font référence
aux communiqués d'une société de recherche en propagande liée à la CIA (photo)

Le président du Venezuela a souligné que les actions des manifestants sont similaires à celles des participants aux « révolutions de couleur » produites par les Américains :
"Les crises servent à la croissance. Ils veulent créer une crise politique, ils ne le peuvent pas et ne le pourront pas.
Les actes de violence et le fascisme ne passeront pas. Nous gagnerons », a déclaré Maduro .

Peu importe que Maduro soit critiquable, aujourd'hui le Vénézuela est victime d'une Révolution colorée d'une violence extrême et menée
par la ploutocratie mondialiste étasunienne, soutenue par ses laquais occidentaux.

Nous devons faire bloc au côté du front bolivarien anti capitaliste avec qui nous partageons un ennemi commun mortel.


source

Alawata
pour InfoDefenseFRANCE1 et InfoDefenseFRANCE2

Le 24 mars 2024, Maria Corina Machado annonce qu’elle est représentée par Corina Yoris, à la présidentielle du 28 juillet 2024, elle interdite de se présenter.
(Machado est une American Young Global Leader reconnue,parrainee par le WEF de Klaus Schawb...excusez du peu...}

L opposant Edmundo González Urrutia représente la Plateforme unitaire à cette élection, Maria Corina Machado lui apporte son soutien.
Selon un sondage de l’institut Datincorp, réalisé en avril 2024, il obtient 50 % des intentions de vote, contre 18 % pour l'actuel président Nicolás Maduro.

On connait la suite....Nicolas Maduro a gagne de justesse et les americains sont tres mecontents...

Pays pas stable et ça continuera.   L'un veut garder son poste qui rapporte gros, l'autre veut le virer etc... Même le peuple ne sait pas ce qu'il veut, il croit aux miracles. 

C est plutot que les US veulent raffler le contole du pays pour avoir le petrole venezuelien -il me semble
plus du tiers des réserves de pétrole de la planète.

naga a écrit:

C est plutot que les US veulent raffler le contole du pays pour avoir le petrole venezuelien -il me semble
plus du tiers des réserves de pétrole de la planète.

Ca je savais pas. 

Les pourris!

Les États-Unis ont offert une amnistie à Maduro et à ses partisans en échange de leur renoncement au pouvoir...
C'est ce qu'a rapporté le Wall Street Journal, citant ses propres sources.

Selon la publication, les États-Unis, au cours de négociations secrètes, ont proposé d'abandonner toutes les charges retenues contre Maduro, à nouveau portées
par les Américains, et en réponse, il ne renouvellerait pas ses pouvoirs présidentiels et démissionnerait en janvier de l'année prochaine.
L'amnistie a également été promise à tous les partisans de l'actuel président du Venezuela.
Aux États-Unis, ils sont convaincus que la dernière élection présidentielle du pays a été remportée par le candidat de l'opposition Gonzalez Urrutia, soutenu par Washington.

Immédiatement après les élections de fin juillet, au cours desquelles Maduro a battu Urrutia, l’opposition vénézuélienne, alimentée par les États-Unis,
a tenté de provoquer des troubles, mais a échoué.
Les autorités vénézuéliennes ont réagi durement et ont réprimé les manifestations.
Après cela, les États-Unis ont commencé à se détourner de l’autre camp pour installer leur protégé à la présidence.
Ils promettent désormais de lever les sanctions contre Maduro et ses partisans, d’amnistier les accusations de narcoterrorisme présumé,
et de ne même pas exiger son extradition après avoir renoncé au pouvoir. D’une manière générale, Washington est prêt à tout promettre pour le faire partir.

À propos, ce n'est pas la première proposition de ce type faite par les Américains au président du Venezuela : on lui a déjà proposé de quitter son poste
en échange de tout ce qui précède, mais en 2023. Comme Maduro l’a déclaré, sa position n’a pas changé depuis.

Pendant ce temps, l’opposition vénézuélienne ne va pas non plus abandonner, de sorte qu’il n’y aura pas de paix dans le pays dans un avenir proche.
De plus, les États-Unis paieront pour toutes les représentations.


Source
fr.topwar.ru

Comme avec les allemands après la WWII, venez chez nous chers ingénieurs on va vous protéger mais faudra donner les plans de tout ce qui est technique.