| | Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande | |
| | Auteur | Message |
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Gus Kruk Generaloberst
Nombre de messages : 596 Age : 60 Localisation : Lausanne Date d'inscription : 15/04/2015
| Sujet: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Sam 8 Déc - 2:36 | |
| BATAILLE DE KOURSK FRANZ STAUDEGGER DETRUIT PLUSIEURS T-34 Voici une petite anecdote s'étant déroulée lors de la bataille de Koursk, le 8 juillet 1943...: " un Tiger 'contre 50 T 34" "(...) Le SS Unterscharführer Franz Staudegger de la 1. SS. Panzer Division "Leibstandarte" n'a pas pu participer à l'attaque de sa compagnie dans la matinée du 8 juillet, car son tigre était en panne en raison d'un vice technique. Il reste donc pour réparer à Teterewino. Quelques heures plus tard, il aurait entendu qu'une unité blindée russe attaquant du nord-est composée d'environ 50 T-34 devait arriver sur lui. "Je parts seul, je chasse librement", dit-il à Rolf Schamp, autre chef de char dont le tigre est également en réparation à Teterewino... Staudegger n'hésite pas une seconde de plus, et après quelques réparations de fortune, son tigre est prêt à repartir se battre, Le Blindé roule tout seul dans la direction d'où les chars ennemis ont été signalés. Son chauffeur est le SS-Sturmmann Herbert Stellmacher, l'opérateur radio le SS-Panzerschütze, Gerhard Waltersdorf le pointeur et le chargeur, les SS-Panzerschützen Heinz Buchner et Walter Henke. Staudegger étant évidemment le chef de char En chemin, un grenadier lui dit que cinq chars soviétiques ont déjà brisé leurs propres positions. Peu de temps après, Staudegger observe l'élimination de deux T-34 au corps à corps par des Panzer Grenadiers. Il peut abattre les trois autres rapidement. Soudain, deux T-34 apparaissent sur le talus de la voie ferrée, les deux sont détruits par des coups directs. Ensuite, il continue, au-delà de ses propres lignes, dans le no man's land, complètement seul. Un homme contre plusieurs dizaines de chars ennemis. Là, il voit Cinq autres chars émergeant d'un bosquet derrière le talus de la voie ferrée. Staudegger donne ses instructions. Immédiatement, Heinz Buchner a capturé le premier dans son optique et l'a abattu dans la tourelle, après quoi il explose. Maintenant, les autres T 34 ouvrent le feu sur le tigre. Staudegger tire sans interruption et peut abattre les cinq chars soviétiques lors de ce combat très dur. Mais maintenant que de plus en plus de chars jaillissent de la forêt, Staudegger continue le combat. Ses ordres parviennent rapidement au tireur. Juger, tirer et se réunir en est un. Walter Henke fait un travail difficile en tant que chargeur, alimentant constamment les obus de 8,8 cm dans la culasse du canon. Herbert Stellmacher maintient le tigre constamment en mouvement, il reste habilement face à l'adversaire, de sorte que les chars ennemis ne puissent pas glisser sur le côté du tigre. Ce combat solitaire du tigre dure deux heures, Staudegger abat un total de dix-sept chars dans ce combat acharné. Même les coups reçus restent inefficaces. Ensuite, l'adversaire voit qu'il n'y a aucun moyen de passer à ce stade et s'en va. Cependant, Staudegger ne songe nullement à revenir sur les lignes allemande. Il en veut plus. Contrairement à toutes les précautions, il met son tigre en mouvement pour retrouver les blindés ennemis. Une décision téméraire dont les chances de succès sont très faibles, car le risque de tomber dans un piège des Soviétiques est très grand. Mais Staudegger a d'autres pensées. Lentement, le tigre lourd s'avance, avec la plus grande prudence et tous les sens en éveil, il explore le terrain. Un obus perforant est dans le canon et Buchner se tient prêt à l'optique. Soudain il les voit, dans un creux, les chars ennemis viennent de se préparer à nouveau. Avec un moteur rugissant, le tigre accélère, puis s’arrête brusquement et le premier coup part et frappe sa cible. Staudegger tire cinq T-34 coup sur coup. Maintenant que les munitions des chars sont épuisées, chargez des obis explosifs et continuez de tirer immédiatement hurla Staugegger. Quatre autres T 34 sont détruits. À présent, les Soviétiques sont frappés par l'horreur et ce tigre leur semble invincible. Les tanks restants ont paniqué et ont fuit pour éviter une annihilation complète. Staudegger se met maintenant en marche arrière avec son char lourd, gardant toujours un œil sur l'adversaire. Il a tiré quasi toutes ses munitions et le moteur commence à avoir des ratés, il est grand temps de rentrer. Les grenadiers du régiment allemand saluent avec enthousiasme Staudegger et son équipage courageux. Ils savent ce qu'ils leur doivent. Staudegger, âgé de vingt ans, a par son acte téméraire empêché un enfoncement des lignes allemandes et l'arrivée de puissantes forces blindées ennemies dont le but était de libérer la piste pour leurs convois. Staudegger abattit au total 22 chars ce jour là. Une équipe de surveillance attachée à la 2e compagnie du régiment allemand confirme plus tard l'exploit de Staudegger. Le lendemain, le commandant SS-Obersturmbannführer Schönberger soumet la demande pour la croix de chevalier. Un jour plus tard, le 10 juillet 1943, le SS Unterscharführer Franz Staudegger reçut la haute distinction. (...) " source: "Michael Wittmann et les tigres de la Leibstandarte" de Walter Lau, ancien tireur du rang de Rottenführer de la 13e (schwarze) Panzer Company ("Compagnie du tigre") du SS Panzer Regiment 1 de la "Leibstandarte" et dernier des 2. Compagnie du schwehr SS-Panzer-Abteilung 101/501, ainsi que de Patrick Agte écrivain et biographe Info ou propagande ??? Difficile à dire, mais il semble que les chiffres aient été gonflé pour embellir l'exploit...Si quelqu'un a des précisions à apporter, je suis curieux de les lire et d'en connaître les sources. Salut à toute et tous... | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 27722 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Sam 8 Déc - 10:59 | |
| Le gars a sûrement fait des cartons ce jour, mais son score doit être certainement minoré. En tout cas jamais lu ou entendu parlé de ce fait d'armes lors de mes discussions ou lectures depuis 40 ans... | |
| | | greg ace Generaloberst
Nombre de messages : 546 Age : 52 Localisation : CALAIS Date d'inscription : 10/02/2007
| Sujet: Re: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Sam 8 Déc - 11:46 | |
| Je l'ai avec 22 revendications mais jamais pu avoir de confirmation sur son palmarès. | |
| | | Gus Kruk Generaloberst
Nombre de messages : 596 Age : 60 Localisation : Lausanne Date d'inscription : 15/04/2015
| Sujet: Re: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Dim 9 Déc - 6:26 | |
| Oui, c'est pour ça que je cherche quelqu'un qui puisse en dire plus sur ce fait d'arme, parce que quand on voit, par exemple, l'ampleur et le bruit qu'a fait l'exploit de Michael Wittmann à Villers-Bocage, on peux légitimement se demander pourquoi la propagande nazie, ou au minimum celle de la Panzer Waffe ne se sont pas emparées immédiatement de cette histoire. Pour Rappel, une année plus tard en Normandie, Michael Wittmann a détruit 3 chars (1 Sherman Firefly et 1 Cromwell à droite, 1 à gauche) avant de prendre la direction de Villers tout en mitraillant sans discontinuer les half-tracks de la "Rifle Brigade". Il a aussi détruit 9 half-tracks, 4 loyd-carriers, 2 carriers, 2 canons anti-chars de 6 livres puis 3 chars légers Stuart (Honey) ainsi qu' 1 autre half-track. A l'entrée de la ville, il a encore détruit 3 des 4 Cromwell en position à hauteur de la ferme Lemonnier... Tout amateur de la 2GM a entendu parler de ce combat extraordinaire. Dans le cas de l'exploit de Franz Staudegger et de son équipage, on parle tout de même de la mise hors de combat de 22 chars soviétiques T-34 probablement flambant neufs, ce qui est tout, sauf anodin (sans vouloir dénigrer le matériel britannique)... Le dicton dit :"Il n'y a pas de fumée sans feu", c'est pour ça que ce récit a piqué ma curiosité et que, même si j'ai quand même de la peine à y croire tel quel, j'aimerais beaucoup connaître le fin mot de cette histoire et vos avis sur ce sujet. Je ne connais pas le biographe et écrivain Patrick Agte et je ne sais donc pas quel crédit lui accorder. Je n'ai encore rien lu de lui et je ne connais donc pas ses propres sources. Quant à Walter Lau il était l'artilleur du char Tigre #214 commandé par le SS-Untersturmführer Helmut Wendorff qui fut détruit le 14 août 1944 à Maizière (Calvados) juste après avoir obtenu sa 84ème victoire dans le cadre de l'opération alliée "Totalize". Contrairement à son commandant, Walter Lau survécu et fut fait prisonnier par les Polonais. Pour revenir à Franz Staudegger, il apparaît sur la liste des récipiendaires de la croix de chevalier de la croix de fer...(reçue le 10 juillet 1943). Il fait partie des récipiendaires qui sont énumérés dans l'édition de 1986 du livre de Walther-Peer Fellgiebel , "Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945" (Les porteurs de la croix de chevalier de la croix de fer 1939-1945), cela a été confirmé dans une deuxième édition parue en 1996. Cet ouvrage est considéré comme une référence sur ce sujet. Walther-Peer Fellgiebel était l'ancien président et chef de la commission des ordres de l'AKCR (Association des récipiendaires de la Croix de chevalier). Fellgiebel a servi pendant la Seconde Guerre mondiale au rang de major. Il a lui-même reçu la croix de chevalier de la croix de fer. Son père était le général Erich Fellgiebel, qui, en tant que participant au complot du 20 juillet (Walkyrie), fut condamné à mort et exécuté le 4 septembre 1944. Le contexte semble donc relativement crédible et Franz Staudegger était un bon soldat, reste à confirmer ou infirmer cet exploit précis et hors du commun. Franz Staudegger | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 27722 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Dim 9 Déc - 11:27 | |
| O.K., on va chercher des sources sur cet engagement... | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Mer 18 Mar - 5:16 | |
| Bonjours et Tadaaaaaaaaaa la voilà l'histoire. - Citation :
- Franz Staudegger est né le 12 février 1923 en Carinthie, dans le sud de l'Autriche. Après avoir terminé ses études à Klagenfurt, Franz s'est porté volontaire pour la Leibstandarte SS Adolf Hitler. Il a servi dans la 13e compagnie de chars lourds. Il s'est distingué dans de nombreuses batailles et s'est imposé comme un tankiste intrépide. Un exemple est plusieurs épisodes de sa vie en première ligne.
Le premier jour de l'opération Citadelle touchait à sa fin. Déjà la nuit, Franz Staudegger a essayé de rattraper son retard sur sa compagnie. Il mena lentement son "tigre" le long d'une étroite route forestière. Pour trouver son chemin dans l'obscurité totale, Staudegger ouvrit la trappe de la tour et tenta de distinguer la route. Pendant un certain temps, le char a roulé à travers la forêt. Le silence de la nuit n'était rompu que par le rugissement de son moteur. Soudain, Staudegger a remarqué des étincelles qui scintillaient directement devant son engin. Il a immédiatement ordonné a son chauffeur de s'arrêter. Maintenant, il pouvait distinguer les contours du char. Des étincelles jaillirent de son tuyau d'échappement. Ils n'ont réussi à échapper à la collision que par miracle. Staudegger a sauté de la tourelle pour demander au commandant du char pourquoi il se tenait au milieu de la route dans une obscurité terrible, l'empêchant de passer. Le commandant d'un autre char se tenait également sur la tourelle en fumant une cigarette. Staudegger pouvait clairement voir la lumière du mégot de cigarette. Il devait aussi être assez surpris, puisqu'il n'avait pas entendu l'approche du tigre. Quand il a demandé quelque chose, l'Allemand a été stupéfait - il a entendu le discours russe. Staudegger se tenait presque tout seul devant un char soviétique. Maîtrisant sa peur, il attrapa sa ceinture, sortit une grenade à main et la jeta dans l'écoutille ouverte d'un char soviétique. Se précipitant sur le côté, Staudegger remarqua que derrière le premier char se trouvait un autre. L'explosion a choqué le T-34. Untersturmfuhrer a essayé d'avertir son équipage, mais il n'a pas eu le temps d'en faire plus. Agissant très rapidement, Staudegger s'élança vers le deuxième char. Lorsque l'explosion a retenti, sa trappe s'est ouverte, apparemment les tankiste ont voulu voir ce qui s'était passé dans la nuit. À ce moment, l'Allemand y a lancé une deuxième grenade. Il y a eu une explosion. Il s'est avéré que Staudegger en une minute a réussi à détruire à lui seul deux chars. Dans cette situation, il a été sauvé par le fait qu'en tant qu'ancien fantassin, Staudegger avait l'habitude de garder plusieurs grenades à main avec lui et savait comment les manipuler. Quand il est remonté dans le tank, son équipage a continué son chemin vers la 13e compagnie de chars. Le lendemain, l'Untersturmfuhrer SS Franz Staudegger a été présenté à la Croix de fer de première classe pour son courage et son efficacité.
8 juillet 1943. Teterevino a été le point de départ de l'attaque du groupe de chars, dans lequel, au début de la journée, il y avait plusieurs "tigres". Tôt le matin, le régiment panzergrenadier «Deutschland» de la division SS «das Reich» y a pris position. À cette époque, la ligne de bataille s'étendait à l'est de Teterevino. La frontière entre les parties combattantes était la ligne de chemin de fer, qui passait par Prokhorovka. Ce jour-là, l'équipage de Franz Staudegger n'a pas pu participer aux combats, car le char s'est à nouveau cassé. En conséquence, le 8 juillet, Staudegger et son équipage sont restés à Teterevino. Comme Staudegger lui-même a décrit les événements, quelques heures plus tard, un grand groupe de chars soviétiques a commencé à s'approcher du village. Il avait au moins cinquante véhicules militaires. "Comme je ne suis pas allé avec la compagnie, je vais aller les chasser", a alors lancé Staudegger à Rolf Shampu, dont le char avait également échoué. Sans hésiter une seconde, Staudegger a fait tout son possible pour que son "tigre" puisse à nouveau bouger. Son char se précipita immédiatement vers le T-34. À cette époque, l'équipage de Staudegger était composé du navigateur Herbert Stellmacher (conducteur), panzer-Schützer Gerhardt Waltersdorf (opérateur radio), Heinz Buchner (tireur), Walter Henke (en charge).
En chemin, les grenadiers ont informé Staudegger que cinq chars soviétiques avaient déjà pénétré dans des positions allemandes. Presque immédiatement après, il a vu comment les fantassins ont réussi à faire tomber deux T-34. Soudain, deux chars soviétiques sont apparus au remblai du chemin de fer. Deux coups directs, et ils sont tous deux détruits. Staudegger a continué d'avancer dans des positions où les soldats allemands n'étaient plus là. Il a été le premier à remarquer l'approche des chars soviétiques. Cinq d'entre eux sont apparus de la forêt près du chemin de fer. Heinz Büchner a précisément visé le premier d'entre eux et a envoyé un obus sur sa tourelle. Explosion, le T-34 est en feu. Remarquant le «tigre», les chars soviétiques restants ont ouvert le feu sur lui. Le char Staudegger a tiré obus après obus. En conséquence, dans cette bataille de feu incroyablement complexe, les cinq T-34 ont été abattus. Lorsque le reste des chars soviétiques est sorti de la forêt, Staudegger était prêt à tirer sur eux. Dans cette situation, le travail le plus difficile était de charger Walter Henke, qui était censé recharger l'arme extrêmement rapidement. Toute seconde de retard pourrait entraîner la mort de tout l'équipage. Dans le même temps, le mécanicien conducteur Herbert Stellmacher a essayé de garder le tigre en mouvement tout le temps. Il a habilement changé de position pour que l'armada de chars soviétiques ne puisse pas ouvrir le feu sur lui à partir de tous les canons à la fois. T-34, il a été décidé d'en détruire un à la fois. La bataille d'un "tigre" contre cinquante (au fil du temps leur nombre a diminué) de chars soviétiques a duré près de deux heures! À ce moment-là, l'équipage de Staudegger a réussi à faire tomber dix-sept T-34.
Il ne fallait pas croire que le «tigre» n'était pas tombé. Mais les obus soviétiques ne lui ont pas causé de dégâts importants. En conséquence, le commandant du groupe de chars soviétiques s'est rendu compte que la rupture de la ligne de front dans ce secteur lui coûtait trop cher et a donné l'ordre de battre en retraite. Cependant, Staudegger ne voulait pas que ce groupe de chars frappe ailleurs. Il n'avait pas l'intention de se retirer dans une position sûre. Il en voulait plus. Il s'est avancé pour retrouver lui-même les chars soviétiques! C'était une décision très audacieuse et les chances de succès de Staudegger étaient minces. Mais la plus grande possibilité était qu'il pouvait être pris en embuscade par des chars soviétiques. Mais à ce moment, Staudegger s'en fichait beaucoup.
L'énorme "tigre" roula lentement en avant. L'attention du commandant d'équipage était focalisée sur le paysage. L'obus perforant était déjà chargé, et Buchner cherchait une cible à travers un viseur télescopique. Elle est apparue aussi soudainement que le "tigre" lui-même. Les chars soviétiques se sont regroupés dans un ravin. Le moteur du "tigre" grogna, le char se précipita en avant, s'arrêta brusquement et l'obus fut envoyé droit sur la cible. Le tigre a tiré obus après obus sur un groupe de chars soviétiques. En conséquence, cinq autres T-34 ont été abattus. À la fin des obus perforants, Staudegger a donné l'ordre de tirer des obus incendiaires. Comme l'a souligné le tireur, plusieurs autres chars soviétiques ont été touchés. Il semblait que les équipages du T-34 étaient déconcertés. Le «tigre» leur semblait «indomptable». Les chars soviétiques restants ont choisi de s'échapper à la hâte. Lorsque le char de Staudegger est revenu, les grenadiers du régiment «Deutschland» l'ont accueilli avec une ovation debout. Ils savaient à qui ils devaient leur salut.
Les actions audacieuses du natif de Carinthie, âgé de vingt ans, ont conduit à un succès tactique important. Il a réussi à empêcher la percée des chars soviétiques dans la direction sud-ouest, qui visait à réduire l'approvisionnement en munitions pour certaines parties de l'Armée rouge. Il s'est avéré qu'au cours de cette bataille, Staudegger a détruit vingt-deux T-34. La patrouille, envoyée plus tard par le commandant de la 2e compagnie du régiment Panzergrenadier "Deutschland", a confirmé cette information. Le lendemain, le commandant du régiment de chars «Leibstandarte» lui présente la Croix de chevalier. Un jour plus tard, le 10 juillet, une version écrite de la présentation du prix était prête.
L'attribution de la Croix de chevalier Staudegger a été une surprise pour la plupart des panzerführer de la Leibstandarte 13. Schwere Kompanie, car le 8 juillet, ils ont combattu dans un autre endroit et ne savaient pas que leur collègue devait se battre seul. Franz Staudegger est devenu non seulement le premier Autrichien à se retrouver dans les rangs de la Leibstandarte, mais aussi le premier Panzerführer d'une companie de chars lourds, a qui a été présentée pour la remise de la Croix de chevalier.
Presque immédiatement après cela, l'acte de Staudegger a été écrit dans presque tous les journaux allemands, nous donnons des extraits de certains articles de journaux.
Vingt-deux T-34 détruits par un "tigre"
D'après le taux du rapport Fuhrer. Le 10 juillet 1943, le Fuhrer décerna au SS Unterscharführer Franz Staudegger, commandant du régiment de chars Leibstandarte, la Croix de chevalier. Staudegger, qui, pour des raisons techniques, n'a pas pu participer à l'offensive avec son régiment, a été informé qu'un convoi de 50-60 T-34 avançait derrière nos forces. Malgré la grande supériorité des forces ennemies, Staudegger décida de sa propre initiative d'attaquer la colonne de chars de l'ennemi. Au cours d'une bataille qui a duré deux heures, il a pu, en utilisant correctement les positions tenues par son char, détruire dix-sept T-34. Lorsque les chars ennemis se sont retirés, Staudegger les a suivis. N'ayant pas d'appui-feu, il a réussi à éliminer cinq autres T-34. Le reste des bolcheviks a disparu dans la panique. Grâce à son courage, Staudegger a non seulement empêché l'ennemi de pénétrer à l'arrière, mais a également causé d'importants dégâts à ses chars.
"Aus der Schwarze kompanie." Unterscharfuhrer SS Staudegger Une compagnie de propagande SS rapporte une puissante formation soviétique de chars. Franz Staudegger, un grand carinien à la voix rauque, monte sur la tourelle de son «tigre». Le char se précipite vers l'avant avec un rugissement. En chemin, le grenadier l'informe que cinq chars soviétiques ont déjà franchi la ligne de défense. Il en voit déjà deux qui sont touchés de près par des soldats. En quelques secondes, le canon de son char se déplie vers les trois T-34 restants. Staudegger jette son char en avant. Les deux T-34 suivants apparaissent au remblai ferroviaire. En une minute, ils se transforment en tas de fer fumants. Cinq chars ennemis supplémentaires apparaissent de la forêt. Lors d'une bataille acharnée, ils sont également détruits. Continuant d'avancer, Staudegger remarque une partie du char, qui s'est réfugiée dans un ravin. Un rapide comme un tireur de foudre, en utilisant la position avantageuse du char, envoie un obus dedans. Après la destruction de vingt-deux chars, les obus perforants ont pris fin. Le tir sur les chars ennemis restants est effectué par des obus incendiaires, qui leur infligent également beaucoup de dégâts. Lorsque Staudegger fait demi-tour, il ne néglige pas l'ennemi restant. Mais à ce moment-là, les munitions étaient presque terminées et le carburant était presque à zéro. Il voit les grenadiers jubilatoires courir vers lui avec joie. Le commandant du régiment, de sa propre initiative, accroche la croix de fer de première classe sur la poitrine d'un tankiste courageux. Pour le courage et la fidélité à son devoir militaire, le Führer lui a décerné la Croix de chevalier. Correspondant de guerre SS Vondrach.
C'était cet Autrichien. Plus tard, Franz Staudegger a fait un rapport au siège du Fuhrer sur cette bataille de chars. Staudegger a mis fin à la guerre dans le cadre de la 101. SS Schwerre Panzer Abteilung, qui a participé à la bataille de Normandie sous le commandement de Michael Wittmann, ainsi qu'à l'offensive ardennaise. Franz Staudegger a survécu à la guerre et est décédé le 16 mars 1991 à Francfort. Cela vous vas? | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 27722 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Mer 18 Mar - 11:50 | |
| Impressionnant !... | |
| | | leclerc1944 Feldmarshall
Nombre de messages : 840 Age : 60 Localisation : Wesserling Date d'inscription : 13/10/2016
| Sujet: Re: Le Tigre de Franz Staudegger à Koursk info ou propagande Mer 18 Mar - 19:50 | |
| Ma source pour le récit: https://urb-a.livejournal.com/157499.html
Utiliser traducteur, et lisez le tout. Cela ne change pas, toutes mes recherches, sur le côté Russe, son histoire et partout la même. Sauf, que certain, eux ne mentionne pas les deux chars de la soirée d'avant, détruit avec des grenades. normale, quelques uns, ont uniquement suivit les rapports issue des journaux, et ces comme cela qu'ils ont pondu leurs oeuf. Tandis que ici, c'est bien l'histoire raconter par lui même, et d'après les document du Führer, pour sa croix de chevalier.
Donc certaines sources énumèrent juste, qu'il a reçus une haute distinction, mais n'énumère en rien, de la date ou autre.
Et ici lors de cette journée d'attaque, le nom de Rolph Shampu, est sorti, ainsi, celui qui as écrit le récit, c'est comme il a vue combattre et pourchasser les T-34. | |
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