L'escadrille oublier ou presque de tous.

Bien le rebonjour à tous et à toutes.
Hummmmmmm, pour les fin connaisseurs, vous allez sûrement vite de quel Escadrille je vais parler.
Presque oublié, du moins oui, puisque si j'aurais parler ou si je vous aurais montré un des yak de l'Escadrille Normandie-Niemen, alors vous l'aurez vite devinez, sur quel front ils ont combattu.
Mais ici, il vas falloir un peut chercher dans vos têtes.


Donc je vous montre ici le lieu ou se trouvaient leurs piste d'envol et atterrissage.


Et allez, zoubie, voilà l'endroit aujourd'hui.
Oui c'est devenu un musée.

Bon je vais vous traduire une fois la partie texte.

Salut,
C'est du cyrillique mais je connais pas, j'ai envie de dire du russe.
Je ne suis pas un "fin connaisseur" j'en suis désolé.

Bien commençons donc doucement.

Pour ceux qui ne sont pas forcément au courant, le sujet parle bien sûr du "Lend Lease act" Anglo. Signé en Juillet 1941 et les Américains on suivit par la suite en intégrant dans le prêt bail, l'URSS fin du mois de Septembre 1941. Signé le 2 Octobre.
En arrivant à Moscou le 22 juin 1941, ici ils avaient juste une fois discuté et négocier pour le paiement.

Citation :

La question du rôle joué par la fourniture d'équipements aéronautiques de la Grande-Bretagne et des États-Unis à l'URSS pendant la Grande Guerre patriotique a commencé à susciter un grand intérêt en Occident presque immédiatement après la fin des hostilités. Depuis lors, de nombreux livres et articles ont été publiés dans différents pays, où l'on calcule assez scrupuleusement combien et quels avions les alliés ont transférés dans notre pays. Cependant, dès qu'il s'agissait de l'utilisation réelle de cette technologie par l'aviation soviétique, dans la plupart des cas, des informations manquaient ou étaient fortement déformées, ce qui s'expliquait pleinement par la complexité du travail des étrangers dans les archives de l'URSS.

Dans notre pays, ce sujet a été pratiquement étouffé pendant de nombreuses années et les publications se sont limitées à de petits articles de valeur plutôt propagandiste, visant à minimiser l'importance de l'aide des alliés. Mais au cours des dernières années, nous avons également assisté à un regain d'attention orageux sur cette question. Cependant, des travaux fondamentaux analysant systématiquement l'impact de la coopération avec la Grande-Bretagne et les États-Unis pendant les années de guerre sur l'aviation intérieure n'existent pas encore. Cet article vise à clarifier certains aspects de ce problème.
Commençons par le cadre chronologique. A en juger par les dates d'acceptation de l'avion par la partie soviétique, les livraisons ont été effectuées de septembre 1941 à septembre 1945. Le début de ce processus doit être considéré comme l'assemblage sur le site près d'Arkhangelsk de chasseurs livrés par le convoi PQ-0, et la fin - le départ du dernier avion de Fairbanks en Alaska.

Pour le PQ-0 sur le site des convoy de Haag, vous ne le trouverez pas, en raison que il faisait parti d'une opération nom de l'opération "Dervish".



Donc ici, ce sont tout les avions que l'URSS avait reçu, soit un peu plus que 18000. Mais pour les spécialiste en avions, si vous avez reconnu le Hurricane IIB, ben ici moi je pense que le nombre doit avoir été intégré dans le nombre contenu avec les III.
Et des Américains, pas de livraison des P-38.
* = Livraison USA
**= Livraison GB
***= Livraison Total de toutes les pays.
****= Provenant de la Grande Bretagne + le Canada.
? = Ici ils ne connaissent pas le nombre envoyé, suivant les astérix.

Et ici pour cette première livraison, tout les avions on été réellement désassembler et intégré dans des caisses, et les 16 Hurricanes, bien sûr on été réassembler sur le site près d'Arkangelsk. Mais il n'y avait pas que les 16 Hurricanes, les autres avions qui on été livré du PQ-0, non pas été énumérer, puisque c'était des vieux modèles. Mais le Wing Groupe (500 hommes ont été envoyé,dont 30 était les pilotes) qui ont été envoyer, eux les on bien assemblé identiquement comme les hurricanes.

Ici bien sûr, Stalin a très bien réussi son coup de poker, en transférant un très grand nombres d'usine de production dans l'Oural. Et le tout avant que l'Armée Allemande ai le temps et les hommes, qui n'était pas occupé à combattre les poches des dernier défenseurs sur ses fronts, qui eux suivaient systématiquement l'ordre, de ne pas effectuer une retraite, et de mourir jusqu'au dernier homme. Donc tous ses morts, eux on tenu les positions juste pour laisser à Staline le temps pour rapatrier dans l'Oural ses usines de productions.

Da Carbonne 14, bien sûr c'est du Russes, un des mots je l'ai déjà traduit, c'est le mot Musée de l'aviation, (aujourd'hui), Et la raison que je n'ai pas souhaité énumérer des citations provenant des auteurs de l'Ouest, ici chez les Russes, beaucoup de lectures historique ne son pas payantes, tandis que chez nous, "achetez le livre, le magazine etc....".

Donc avoir accès à un ancien livre, style von Manstein, Guderian ou encore du De Gaule, leurs livres on été publier la 1ère fois pour Guderian en 1937, identiquement pour De Gaule, donc ici les maisons d'éditions, sont encore les uniques à vouloir gagner du fric sur le dos des auteurs Morts.

Citation :

Un exemple frappant de la coopération au combat des alliés de la coalition anti-hitlérienne dans la littérature soviétique est généralement appelé l'escadron français "Normandie-Niemen". Mais même dans des publications scientifiques sérieuses, il n'est pas toujours possible de lire sur deux escadrons anglais défendant le ciel de Mourmansk, sur des vols de navette de bombardiers alliés basés près d'Arkhangelsk et de Poltava. On ne trouve qu'une brève mention des navires et sous-marins britanniques opérant à partir de bases soviétiques, généralement en passant, comme d'ailleurs. La coopération navale alliée est une page distincte, extraordinairement intéressante de l'histoire de la guerre, qui mérite sans aucun doute un travail spécial. Cet article se concentrera sur les épisodes les plus significatifs de la coopération militaire entre pilotes britanniques et soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale.

On sait que le début de cette coopération a été posé par le discours de W. Churchill, qui s'est prononcé en faveur de l'Union soviétique quelques heures après que les troupes allemandes ont franchi la frontière à l'est.

La déclaration d'assistance mutuelle fut suivie d'un accord du 12 juillet 1941 sur l'action commune dans la guerre. Le monde entier attendait avec impatience de voir comment cette coopération se manifesterait. L'ambassadeur soviétique I. Maisky à Londres et V. Molotov à Moscou ont rappelé à plusieurs reprises aux alliés nouvellement acquis l'opportunité d'actions actives conjointes. L'ambassadeur britannique en Russie, S. Cripps, non sans influence de conversations avec des dirigeants soviétiques, suggéra au cabinet britannique de mener deux opérations : soit débarquer des troupes en France, ce à quoi l'état-major britannique s'opposa unanimement, jugeant l'opération suicidaire après Dunkerque. , ou une Attaque dans l'Arctique. Le deuxième plan suscita des objections dans l'Amirauté car très risqué dans les conditions du jour polaire, sans le soutien de la Flotte du Nord et de son aviation.

L'opération était prévue pour le 30 juillet. C'est à ce moment-là que les Gebirgsjäger allemands (ou chasseur de montagne ou Alpin) ont lancé une attaque massive sur Mourmansk, et l'aide s'est avérée utile. Outre les deux sous-marins transférés à Polyarny, deux porte-avions Victorious et Furious, accompagnés de huit navires de guerre, se dirigent vers les côtes du nord de la Norvège. Il était évident qu'il était extrêmement difficile de préparer une telle opération dans un délai extrêmement court, sans accord avec les alliés. À bien des égards, on ne pouvait compter que sur la chance. Malheureusement, elle a tourné le dos aux Britanniques au tout début de l'opération. L'escadron a été découvert par un avion de reconnaissance allemand. La surprise était partie.

Malgré le risque accru, 20 Albacore des escadrons 827th. et 18th., couverts par neuf chasseurs, se sont levés du pont du porte-avions Victorious à midi, en direction de Kirkenes. Quelques minutes plus tard, 24 germons, espadons et fulmars ont envoyer du Furious pour attaquer Petsamo. Un quart d'heure plus tard, les avions étaient en route vers la cible. Mais ils étaient déjà là. Plusieurs petits navires qui sont restés dans le port de Kirkenes ont ouvert des tirs de barrage nourris. Tous les avions de chasse ont été lancés dans les airs à partir de deux aérodromes allemands voisins . "C'était l'enfer ", se souvient l'ancien mitrailleur-opérateur radio Frank Smith. —"En nous retournant, nous avons vu comment le troisième avion tombait au sol. Sur les neuf membres des trois équipages, seul l'opérateur radio s'est échappé. Lors de la deuxième approche, six autres personnes sur cinq ont été tuées. Nous avons été attaqués par les 110, deux avions de notre aile se sont détournés vers la frontière russe. ont été abattus. L'un est tombé à la mer, l'autre sur le territoire de la Russie". L'avion survivant a quand même réussi à larguer des torpilles. En conséquence, deux avions ont été endommagés. Trois Messerschmitt et un Ju-87 ont été abattus en combat aérien. Plusieurs avions ennemis ont été gravement endommagés. Les pertes britanniques étaient incommensurables. Sur les 29 avions, seuls 18 ont atteint le pont du Victorious.

A Petsamo, les Allemands opposent une résistance moins sérieuse. Mais les Britanniques n'y ont pas non plus trouvé de cibles valables. Un petit bateau à vapeur a été coulé et plusieurs bateaux à moteur en bois ont été endommagés. Deux Albacores et un Fulmar ont été abattus dans l'attaque . Quelle que soit l'importance des pertes, le bombardement des bases polaires allemandes se justifie pleinement. Par leurs actions, les Britanniques ont non seulement démontré au monde la réalité de la coopération militaire avec le pouvoir communiste, mais ont également fait croire à Hitler à la possibilité d'ouvrir un deuxième front en Norvège. Du point de vue tactique, l'opération britannique dans le nord de la Norvège a permis d'amortir le coup des Gebirgsjäger Allemands à Mourmansk, permettant aux alliées de renforcer la défense de l'Arctique.

Bien oui, c'est réellement bien l'histoire, mais moi même, je suis une personne, qui aime bien lire en plus approfondis les récits historiques.
Alors j'ai trouvé ceci sur Wikipedia.

Citation :

Le 12 juillet 1941, une commission soviétique rencontra des représentants de la Royal Navy et de la RAF à Londres et il fut décidé d'utiliser l'aérodrome de Vaenga pour défendre les navires alliés lors du déchargement dans les ports de Mourmansk, Arkhangelsk et Polyarnoe. La 151e Escadre de la RAF (Neville Ramsbottom-Isherwood) a été créée, comprenant le 81e Escadron et le 134e Escadron, équipés de Hawker Hurricanes. Les pilotes provenaient pour le 81e Escadron, du 504e Escadron ou venaient de terminer leur formation. Le Wing Group devait être transportée dans le nord de la Russie dans le cadre de l' opération Dervish , le premier convoi arctique, pour fonctionner jusqu'à ce que les conditions météorologiques d'octobre ou de novembre immobilisent les avions. Pendant l'accalmie hivernale, les chasseurs devaient être remis aux forces aériennes soviétiques (VVS, Voyenno-Vozdushnye Sily).

Ah j'aime déjà mieux tout ça, mais ce n'est pas encore assez pour moi, donc à demain....

Infos inédites et donc bienvenues.
18000 zincs ça fait beaucoup, les soviets ont quand même été "gâtés"...

Salut mon cher Vania, oui mais ici, tient je vous laisse lire.

Bien, à présent je vais utiliser une nouvelle source russe, qui pour le 80è Anniversaire soit en 2021, à Arkangelsk eux ne les avaient pas oublier.
En premier, voici les listes que l'auteur à utiliser pour ses écrits, vous verrez que les sources utiliser, proviennent autant du côté Américains que Russes. Le titre entre parenthèse, c'est le titre du livre paru au USA.

Citation :

Sherwood, R. Ruzvelt i Gopkins glazami ochevidtsa [Roosevelt and Hopkins: an intimate history].
Moscow, 1958, Vol.1. Pp. 495-496.
2
Sovetsko-amerikanskiye otnosheniya vo vremya Velikoy Otechestvennoy voyny, 1941-1945 [Soviet-
American Relations during the Great Patriotic War, 1941-1945]. Documents and materials, in 2 vols.
Moscow, 1984. Vol. 1. P. 482.
3
Sherwood, R. Opere citato. Vol. 1. P. 527.
4
Ibid. Pp. 547-549.
5
Roosevelt, F., Memorandum for Wayne Coy, August 2, 1941. WAHP. CF. Cont. 160.
6
Radio Broadcast by W.A. Harriman from London over the Columbia Broadcasting System to the United
States, October 13, 1941. US. Library of Congress. Manuscript Division. WAHP. CF. Cont. 160.
7
Pozdeeva, L.V. Lend Lis dlya SSSR [Lend-Lease for the USSR] // Velikaya Otechestvennaya voyna
1941-1945 [Great Patriotic War of 1941-1945]. Illustrated Encyclopedia. Ed. A.O. Chubaryan and
M.Yu. Myagkov. Moscow, 2005. P. 311.
8
Kulkov, E.N., Myagkov, M.Yu., Rzheshevsky, E.N. Voyna 1941-1945. Fakty i dokumenty [War of
1941-1945. Facts and documents]. Moscow, 2001, 2005. P. 274.
9
From the speech of Professor H. Van Tuyll of the University of Augusta, Georgia, during a round table
discussion "Lend-Lease during the Second World War" at the Russian Academy of Sciences Institute of
General History, April 14, 2005.
10
Dean, J.R. The Strange Alliance. Trans. I. Kadetov. Moscow, 2005. Pp. 81-82, 87.

M.Yu. Myagkov

PRÊT-BAIL POUR L'URSS ET SA CONTRIBUTION À LA VICTOIRE DES ALLIÉS DANS LA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE
Le prêt-bail du 11 mars 1941 a donné au président américain le droit, lorsque cela est jugé nécessaire, de prêter ou louer du matériel de défense « aux gouvernement de tout pays pour sa défense que le président juge vitale pour la sécurité des États-Unis. » Sur le le jour même où la facture a été signée loi, la politique a été étendue au Royaume-Uni, qui est devenu le principal destinataire de l'aide américaine et à la Grèce. Déjà en juin 1940, Le président Roosevelt a attiré l'attention des États-Unis à fournir une aide matérielle aux pays qui combattent le fascisme. Le 8 décembre 1940, Roosevelt est venu avec l'idée de la politique de prêt-bail. L'équipement et l'armement pourraient être loué à d'autres pays, mais en cas de perte pendant la guerre, il n'aurait pas à être remboursé. Les fournitures conservées après cessation des hostilités et appropriée à usage civil devrait être remboursé sous forme de prêt à long terme.
Roosevelt, désireux de s'assurer de l'approbation du public pour ce plan, à utilisé l'exemple suivant. Imaginer vous avez une maison. Soudain, la maison de votre voisin est en feu. Il y a un possibilité que le feu se propage à votre propre maison. Votre voisin vient courir vers vous pour demander de lui prêter un tuyau d'arrosage pour éteindre le feu. Allez-vous demander à votre voisin de payer le tuyau ? Vous êtes intéressé à éradiquer le feu dès que possible pour protéger votre propre propriété. Alors tu prêtes le tuyau du jardin, et quand le feu a été circonscris votre voisin vous le rend tout simplement.
Après l'attaque de l'URSS par l'Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni souhaitaient entamer une coopération efficace avec l'URSS et apportant à cette dernière une aide matérielle, bien qu'ils ne cachaient pas qu'ils rejetaient les valeurs du système soviétique. On sait qu'au cours de la première période de la Grande Guerre patriotique, de nombreux responsables de haut niveau à Washington et à Londres étaient plutôt sceptiques quant à la capacité de l'Armée rouge à mettre en place une stratégie efficace. résistance à la Wehrmacht. L'armée américaine pensait que l'Allemagne aurait besoin d'au moins un mois, et d'un maximum de 3 mois, pour vaincre l'URSS. Les estimations ont commencé à changer après que l'envoyé de Roosevelt, Harry Hopkins, se soit rendu en URSS fin juillet 1941 pour rencontrer Staline. A Moscou, l'assistant du président vit une volonté de combattre, une « détermination sans borne à vaincre » et appela Roosevelt à apporter l'aide la plus active à l'URSS. S'adressant à Hopkins, Staline a déclaré que l'URSS avait principalement besoin des canons anti-aériens, de l'essence d'aviation et de l'aluminium pour construire des avions. "Donnez-nous des canons anti-aériens et de l'aluminium et nous pouvons nous battre pendant trois à quatre ans." Hopkins, bien sûr, ne s'est pas rendu sur le front en Russie, mais sa conviction que les Russes pouvaient résister à l'ennemi a été influencée, entre autres, par le nature des demandes de Staline elles-mêmes.
Si le dirigeant soviétique avait été sur le point de se rendre, il n'aurait pas demandé des approvisionnements urgents en aluminium nécessaires pour le processus complexe et laborieux de fabrication d'avions militaires. Plus tard, Hopkins écrivit dans The American Magazine à propos de ses entretiens à Moscou : "... Joseph Staline savait ce qu'il voulait, il savait ce que la Russie voulait, et il croyait que vous le saviez aussi... Ses questions étaient claires, concises et directes." Pour sa part, le président, déjà le 1er août 1941, lors d'une réunion avec le Cabinet, les a sévèrement critiqués pour le manque de mesures réelles prises pour soutenir Moscou. Il a dit : « Il a Cela fait presque six semaines après que l'Allemagne a attaqué l'Union soviétique, mais nous n'avons pratiquement rien fait pour assurer la livraison du matériel nécessaire aux Russes via la Sibérie". Il est intéressant de noter que le mémorandum qu'il a préparé à la suite de cette réunion a également abordé la question morale et éthique de la coopération avec l'URSS.
"Dire la vérité", a-t-il noté, "si j'étais russe, j'aurais sûrement l'impression maintenant que les Américains me tordent leur petit doigt" Les États-Unis ont pris la décision d'étendre la politique de prêt-bail à l'URSS le 7 novembre 1941. Cependant, le 30 octobre, F.D. Roosevelt, dans son message à Joseph Staline, a annoncé qu'il avait ordonné de commencer les expéditions vers l'URSS conformément à la loi du 11 mars 1941 et de fournir un prêt de 1 milliard de dollars pour payer les expéditions. Le volume des livraisons et les types d'armes, de matières premières et de denrées alimentaires pour la période du 1er octobre 1941 au 30 juin 1942 ont été déterminés par le premier protocole signé le 1 octobre, 1941 par les représentants soviétiques, américains et britanniques à la conférence de Moscou consacrée aux fournitures de guerre. Plus tard, trois autres protocoles ont été développés. Après la conférence trilatérale de Moscou, A. Harriman, le représentant américain qui y a participé, est intervenu sur CBS Radio où il a tenté d'expliquer aux auditeurs américains la raison d'envoyer de l'aide à l'Union soviétique.
"Les semaines passent", a-t-il dit, "et les Russes continuent de se battre, retenant l'énorme machine de guerre allemande ? Et tout cela malgré les estimations de nos experts militaires, qui ont précédemment soutenu que les Russes seraient vaincus dans le plus court temps possible..." L'envoyé spécial du président américain a expliqué que lui et Beaverbrook avaient parlé directement à Staline et que le dirigeant soviétique avait été franc avec eux. Les négociations devaient commencer les fournitures de guerre à l'URSS ont abouti à une compréhension mutuelle indispensable. De plus, les membres des délégations britannique et américaine ont pu visiter les entreprises qu'ils avaient demandé à visiter. Harriman a souligné que "tous les experts sont unanimes sur le fait que la dernière génération de Russes a donné au monde la première- classe en mécanique. Les usines sont équipés de la dernière technologie La technologie de la découpe des tranchant. C'est le meilleur que j'ai vu... Nous ne savons pas où se trouve la ligne de front à l'heure actuelle. Nous ne savons pas où elles-mêmes sera demain. Mais je suis convaincu que, muni de matériel et de guerre approvisionnements, la Russie se battra.
Rappelons brièvement l'histoire de Le prêt-bail fournit à l'URSS en 1941- 1945. Lors du Premier Protocole, l'aide à l'URSS était relativement faible et n'ont pas atteint les volumes convenus par les Alliés. Ce n'était pas grave l'aide matérielle à la lutte de l'Armée Rouge pendant la bataille de Moscou, bien que certains types de fournitures (cuivre, aluminium, etc.) compensé pour la chute de la production de l'industrie soviétique due à l'évacuation. Il est important cependant de souligner que Le prêt-bail avait un sens différent pour le peuple soviétique à cette époque - il est prouvé que l'URSS n'était pas seule dans la guerre en cours. Sachant cela remonté le moral de notre peuple sur le ligne de front et celles du front intérieur. Pendant cette période, les marchandises vers l'URSS ont été livrés principalement par le Royaume-Uni à Arkhangelsk et Mourmansk. La route de l'Atlantique Nord était extrêmement dangereuse. Dans les dures conditions de l'Arctique, avec des attaques ennemies constantes en hautes mer et depuis les airs, escortant convois de marchandises étaient associés avec un grand nombre de victimes. En vertu du Deuxième Protocole (1er juillet 1942- 30 juillet 1943), fournitures de le Royaume-Uni et les États-Unis étaient répartis à peu près à égalités; obligations en vertu du Protocole n'étaient pas rencontré dans son intégralité non plus. En 1942, les Soviétiques satisfait leurs besoins en camions, chasseurs et des avions de transport, en grande partie grâce aux expéditions alliées. En 1942, quand Les Allemands savaient parfaitement l'importance vitale que la Route du Nord était pour l'Union soviétique, ils renforcèrent leurs groupes de la marine et de l'armée de l'air dans les régions et littéralement on pourchassé chaque convoi se dirigeant vers le Soviet Syndicat.
L'été polaire a commencé. Le soleil presque jamais fixé. C'était assez facile pour les avions, sous-marins et destroyers pour trouver les convois et effectuer des frappe mortelle. En juillet 1942, le convoi PQ 17 a subi de lourdes pertes effectuer par des bombardiers ennemis et sous-marins. Au cours de l'une de ses périodes les plus difficiles de la guerre pour l'URSS, les fournitures à l'URSS étaient suspendu. Cependant, la pénurie de fournitures était due à une autre raison - la priorité pour les Alliés du Théâtre d'opérations méditerranéen en comparaison avec les besoins de l'URSS Syndicat. Les expéditions ont également été retardées par la faute de certains américains et britanniques organisations gouvernementales, qui ont fait ne crois pas que l'URSS puisse contenir l'offensive allemande. Le Président FD Roosevelt et ses collaborateurs (Hopkins, Harriman, etc.) a dû à plusieurs reprises intervenir dans les questions de prêt-bail afin faire avancer l'expédition des marchandises pour l'Armée rouge. La route de l'Atlantique Nord pour le L'aide prêt-bail à l'URSS a été la le plus court. Mais de grosses pertes dans la région les on obligé de chercher d'autres routes. Après l'été 1942, la plupart des approvisionnements est allé en URSS via l'Iran et par l'Extrême Orient. Les ports de Vladivostok et Petropavlovsk-Kamtchatski étaient reconstruit pour permettre les entrée des Navires Liberty et autres navires. Le Pacifique l'itinéraire est devenu particulièrement important dans la seconde période de la guerre, avec environ la moitié des fournitures de guerre allant par cet itinéraire. Pour les envois via l'Iran, un parcours de transit a été organisé à partir du golfe Persique à la mer Caspienne par la route et le rail. Pour subvenir aux besoins du Prêt-Bail, les Alliés occidentaux reconstruit les ports irakiens et iraniens.

Bien je m'arrête ici, en raison que le sujet, n'aborde pas le matérielle du prêt bail, mais uniquement un Wing group Anglais, qui s'en son servit.
Mais ici vous l'aurez compris, pour Franklin Delanoe, ou pour tout autre président, il ne suffit pas simplement de faire sortir un article de loi, mais bien sûr, il faut que le peuple suit aussi en ayant la vision identique.

Et aussi pour toi Vania, ici dans les récits, tu pourra lire"l'effet de surprise a été annihilé". Mais moi je pense, lorsque les Allemands de la Luftflotte 5 on vue arrivé les avions du PQ-0, ils ont du être réellement surpris. Parce que devoir se battre contre des avions I-16 et I-153, c'est une chose, mais devoir se battre contre des avions plus maniables, et ayant plus de puissances dans leurs moteurs, cela est une autre chose.
Ce n'est pas pour rien, que le JG 5 "Eismeer" a été créer et expédier en urgence en Finlande en Mars-Avril 1942.

Parce que le tout, bien sûr que Staline il disposait déjà des Yak, des Mig et des Lavochin et des Autres chasseurs, mais ils étaient encore sous la chaîne de production à grande échelle.

Et puis même pour la Bataille de Rzhev en 1942, c'était bien énumérer, l'aviation Russe comme les blindés, eux ne disposait pas encore de Radio, et le commandement n'était pas encore ce qu'il allait devenir.

Merci pour ce sujet très pointu mais particulièrement intéressant, je connaissais pas du tout.

De rien mon cher Carbonne14!

Bien allons faire un petit tour chez les English, pour approfondir!

Citation :

Le commandant d'escadre Henry Neville Gynes Ramsbottom-Isherwood DFC AFC (13 juillet 1905 - 24 avril 1950) était un pilote d'essai et commandant de la Royal Air Force né en Nouvelle-Zélande pendant la Seconde Guerre mondiale et l'après-guerre. Il était l'un des quatre seuls récipiendaires de l'Ordre de Lénine du Commonwealth britannique en temps de guerre, après avoir dirigé une escadre de chasse de la RAF pour aider à défendre le nord de la Russie et présenter des avions britanniques au personnel de l'armée de l'air soviétique. Il a été tué dans un accident d'avion en 1950.

Le voici, après qu'il avait reçu l'ordre de Lenin.
Les français de l'escadrille Normandie Niemen, eux ils avaient aussi été décerner d'un ordre, je me rappelle plus si c'était celui de Lenin, ou d'un autre.
Chez les Anglais de la RAF, de cette Escadre n°151 Wing. il y'en as eu 4, a qui on été décerner cet ordre. Dont Isherwood qui était le commandant de l'escadre, en était un de ses 4.

et juste encore comme interlude, quelques chiffres.

Citation :

En raison de la retraite forcé de l'Armée rouge en 1941-1942, le total des culture semé, superficie de l'URSS a diminué de 41,9 %, tandis que le nombre de fermes ont chuté de près de 40 %. Le Premier vice-président du Conseil soviétique des
ministres, le président du Comité de planification de l'État, Nikolay Voznesenskiy, dans son livre «L'économie de guerre de l'URSS pendant la Seconde Guerre mondiale» a écrit: «Sur le territoire soviétique, sous l'occupation, 7 millions des 11,6 millions de chevaux qui occupait ces zones avant l'occupation ont été exterminées ou volées par des envahisseurs ;17 millions de têtes de bétail sur un total de 31 millions ont été exterminées ; 20 millions de porcs sur un total de 23,6 millions ; 27 millions d'ovins et de caprins du nombre total de 43 millions.
......."

La source: https://histrf.ru/uploads/media/default/0001/12/df78d3da0fe55d965333035cd9d4ee2770550653.pdf?ysclid=lbqohnx5ka622414527

Ainsi oui bien sûr, que Staline il riait en recevant de l'aide, pas uniquement des armes, mais aussi pour la nourriture.
Parce que la guerre, bien sûr que privée de nourriture l'ennemi, en fessait partie de la stratégie. Et pour Hitler, les Russes et Slaves était des sous-hommes.
Leningrad elle c'était plus de 900 jours, qu'ils ont du tenir, en recevant uniquement en hiver, par voie des lacs gelé, leurs unique approvisionnement.
Et sans compté les prisonniers de guerre Russes, qui eux qui pensait en se rendant à l'envahisseur, ils auraient à nouveau de la nourriture.
La marche de la mort de Bataan n'était rien, en comparaison de la marche, que les prisonniers de guerre de l'armée Rouge, on du pratiquer. Et ici je ne pense pas, que la Wehrmacht avait réquisitionné des trains, pour le transferts des prisonniers.
Et qui eux, après déjà ce qu'ils avaient subi chez les Allemands pendant leurs internements, rebelote à leurs retour en URSS, Staline leurs avait réserver le Goulag en dessert.

Décoré par Lénine ! on peut pas dire que c'est le meilleur personnage, Staline non plus.
Triste période où les vengeances ont été bien trop stupides, tuer, torturer etc... Il y a eu un "début" et une continuité pas franchement meilleure.
Une époque de dictateurs qui commence à revenir lentement.

Salut Carbone14!

Ce n'est pas décoré par lénine, puisque Staline à pris le pouvoir en 1923 lors de la mort de Lenine.
Mais ici c'est l'ordre de Lenine.
Donc juste pour que vous ayez une meilleur vision.

1:Le plus haut titre honorifique et le degré suprême de distinction de l'Union soviétique. Il incluait l'ordre de Lénine et, comme signe d'excellence, la médaille de l'Étoile d'or avec le certificat de l'accomplissement héroïque.

Cela = Héro de L'union Soviétique.
12 755 (101 double décorés, 3 triples et 2 quadruples).
Ben tient!
Marcel Albert un des pilotes français du Normandie Niemen.

   Héros de l'Union soviétique
   Ordre de Lénine
   Ordre du Drapeau rouge
   Ordre de la Guerre patriotique 1° Classe
   Croix de guerre 1939-1945 (Tchécoslovaquie)

Et pour Roland de la Poype


   Croix de guerre 1939-1945 (Tchécoslovaquie)
   Héros de l'Union soviétique (URSS)
   Barrette de la décoration soviétique de l'Ordre de la Bannière Rouge" Ordre du Drapeau Rouge (URSS)
   Barrette de la décoration soviétique de l'Ordre de Lénine" Ordre de Lénine (URSS)
   Médaille de la Prise de Königsberg (URSS)
   Médaille de la Victoire (URSS)

Mais tous ces Soldats, ne pouvaient pas recevoir quelques Ordres spéciale, qui eux ont été uniquement décerné au Généraux et Maréchaux ou les officiers telle l'Ordre de Souvorov (1ère classe), l'ordre de la Victoire, l'ordre Alexandre Nievski.

Pour l'ordre de Lénine:
Décerné aux civils pour services exceptionnels rendus à l'État, aux travailleurs pour des réussites majeures dans leur activité, aux membres des forces armées pour services exemplaires, à ceux qui recevaient les titres de Héros de l'Union soviétique ou de Héros du travail socialiste, à ceux qui faisaient la promotion de l'amitié et la coopération entre les peuples et renforçaient la paix, et autres services méritoires à l'État et à la société soviétiques. Il était aussi décerné aux usines, sociétés, villes, régions et républiques.

Donc ici il y'a uniquement 462184 a qui l'on été décerné. Oui uniquement et déjà l'ordre existe depuis 1930, et aussi puisque telle l'ordre du Drapeau rouge à 760 000 environs avait été décerner, c'est comme pour la médaille pour la prise de Königsberg, aussi environs 760 000 soldat ont été décerné.
Et la médaille décerné à plus de 14 933 000, était la médaille pour la libération.

Salut, merci pour m'avoir reprit et surtout éclaircé.  mon épouse étant d'ex Tchécoslovaquie des souvenirs me reviennent en mémoire (certes différents), j'y reviendrais.

Citation :

de prêter ou louer du matériel de défense « aux gouvernement de tout pays pour sa défense que le président juge vitale pour la sécurité des États-Unis. »

"Vitale pour la sécurité des States !!"
Arlésienne qu'on entend même quand les amerloques sont pas en guerre, mais doivent justifier leurs livraisons de matos militaire...

Bien approfondissons:

Citation :

Le 134e Escadron a été formé pour emmener les Hurricanes en Union soviétique pour aider à défendre Mourmansk, avant de servir en Irlande du Nord, en Afrique du Nord et en Birmanie.

L'escadrille de chasse n°134 est formé à Leconfield le 31 juillet 1941 autour du personnel de vol emprunté au No.17 Squadron. C'était l'un des deux escadrons qui formaient l'escadre Wing n ° 151, créée pour aider l'Union soviétique dans la défense aérienne de Mourmansk. Les avions était destiné aux deux escadrons et avec leurs Hurricanes pour se rendre en Union soviétique, faire fonctionner les avions jusqu'au début de l'hiver, puis les remettre aux mains des nouveaux pilotes soviétiques.

Donc c'était cela la première aide destiné à l'URSS, provenant de l'opération Dervish PQ-0.
Ainsi ici c'était juste l'énumération de l'aide militaire et de l'armement, que la Grande-Bretagne à envoyer lors du PQ-0. Parce que ici le PQ-0 était formé de 8 navires de transports et de 2 porte-avions.
15 Hurricanes oui eux on été désassembler en Caisses, tandis que d'autres se trouvait sur le second porte-avions, "Argus", et qui eux c'était envolé du porte avions pour rejoindre leurs bases.

Mais pour approfondir plus encore. Moi j'ai d’abord en premier lieu lu ceci en tant qu'information.
Pour les dates, ici comme il existe un grand nombre de publications à ce sujet, bien sûr que certains auteurs, non pas fait leurs travail d'historien comme ils se doit, et que ils on juste intégré une date. Telle pour la date du 22 juin 1941.

Citation :

En réponse à l'invasion nazie de l'URSS le 22 juin 1941, le Premier ministre britannique
Winston Churchill, un vétéran anti-bolchevique, a déclaré son soutien à l'URSS. Cela au soir même
Churchill a diffusé sur la radio BBC, déclarant que « Tout homme ou État qui se bat contre
Le nazisme aura notre aide ». De plus, « l'invasion de la Russie par Hitler n'est rien de plus qu'un prélude.
à une tentative d'invasion des îles britanniques » et que « le danger russe est donc notre
danger et le danger des États-Unis tout comme la cause de tout combat russe pour son
le foyer et la maison sont la cause des hommes libres et des peuples libres dans tous les coins du globe
[8].’ Le 12 juillet 1941, les ministres des Affaires étrangères britannique et soviétique Sir Stafford Cripps et
Vyacheslav Molotov, a signé un accord anglo-soviétique à Moscou. Une actualité Pathé du
signature montrée dans les cinémas britanniques, a qualifié l'accord de "bon sens" [14].

Donc le 22 juin, Winston avait prononcé son discourt à la Radio.
Et le 12 juillet Sir stafford Cripps, avait signé l'accord d'aide avec Mr. Molotov.

Et bien sûr aussi, Sir stafford Cripps, lui même avait auparavant déjà, lors d'une entrevue secrète prévenu par l'intermédiaire de Mr. Molotov, Staline, que à la date du 22 juin, Hitler allait attaqué l'URSS. (Donc ici Staline, pas uniquement de son maître espion, a été révélé l'invasion imminente, mais aussi par la Grande Bretagne).
Mais ici Staline, d'un côté il avait encore les mains liée, avec le protocole de non agression signé en 1939. et du second côté, Staline avait encore une très grande et mauvaise organisation et ainsi que des modèles anciens, depuis la purge de 1937. Dans son Armée, que des milliers d'unités de Bataillon et d'unité de brigade, rare était des unités de Divisions.

Bien sûr que Staline il disposait du KV-1 depuis 1939 et du KV-2 1940, ainsi du T-34, mais leurs nombres incorporé dans les unités, et en plus éparpillé dans toutes les unités, était encore en nombre insuffisant.
Identique avec les YAK, et les Lavochin, et pour le Mig-1 lui il avait encore tout ses défauts à corrigé.
Ce qui en fait pour l'Aviation, que il détenait en grand nombres des unités, étant uniquement équipé de I-16 Rata ou des anciens I-153 Chaika.
Alors oui, lorsque au mois de Septembre 1941, le convoy PQ-0 était arrivé à Mourmansk, ici le Général d'aviation à du avoir un sourire mémorable, en les voyants arrivé.

Et le 30 Aout 1941, oui bien sûr; Les Gebirgsjägers on lancé un assaut.
Déjà les Finlandais avait déclarer la prolongation de la guerre à l'URSS, non le 22 juin, mais le 27 juin, date mémorable, ou les nouvelles frontières de Mars 1940, on été attaqué. telle que SALLA qui as été attaqué.

Bien alors on à la date de la signature pour l'aide à L'URSS.
Mais ce qui me chiffonne,c'est que à cette même date du 12 juillet à Londre, une réunion s'effectuait avec la RAF et la RN.
Et ou un des conseillés russes, était en pleine discussion avec l'Amirauté et l'Armée de l'Air.

Citation :

Le 12 juillet 1941, une commission soviétique rencontra des représentants de la Royal Navy et de la RAF à Londres et il fut décidé d'utiliser l'aérodrome de Vaenga-1 pour défendre les navires alliés lors du déchargement dans les ports de Mourmansk, Arkhangelsk et Polyarnoe. La 151e Escadre de la RAF (Neville Ramsbottom-Isherwood) a été créée, comprenant le 81e Escadron et le 134e Escadron, équipés de Hawker Hurricanes. Les pilotes de la 81e Escadrille, provenait du 504e Escadron ou venaient de terminer leur formation. Le wing Group devait être transportée dans le nord de la Russie dans le cadre de l'opération Dervish , le premier convoi arctique, pour fonctionner jusqu'à ce que les conditions météorologiques d'octobre ou de novembre immobilisent les avions. Pendant l'accalmie hivernale, les chasseurs devaient être remis aux forces aériennes soviétiques (VVS, Voyenno-Vozdushnye Sily).[3]

Donc ça c'est la première variante de l'histoire, et là la seconde variante.

Citation :

Le 12 juillet 1941, une commission britannique rencontre des représentants de la Royal Navy (RN) et de la RAF à Mourmansk pour faire le point sur les circonstances sur le terrain. Sur leur recommandation, il a été décidé d'utiliser l'aérodrome de Vaenga pour l'opération. Le contingent devait à l'origine se composer de deux escadrons de Hawker Hurricanes et d'un escadron chacun de Bristol Blenheims bimoteurs et de Bristol Beaufighters. Finalement, le commandant en chef de la RAF Charles Portal décide le 25 juillet de n'envoyer que les escadrons Hurricane; Le 81 Squadron RAF (81 Sqn) et le No 134 Squadron RAF (134 Sqn) ont été déployés les 29 et 31 juillet et regroupés dans le No 151 Wing RAF (151 Wing), équipé d'un total de 39 avions et 550 hommes, pilotes et personnel au sol. Neville Ramsbottom-Isherwood a été nommé leur commandant. Les pilotes étaient issus du 81 Sqn et du No. 504 Squadron RAF (504 Sqn) ou venaient de terminer leur formation.

Ainsi ici il y'a eu déjà une seconde entrevue, et ou

Citation :

Le 25 octobre 1940, Portal est nommé chef d'état-major de l'air avec le grade temporaire de maréchal en chef de l'air[21] (rendu permanent en avril 1942).[22] Il a continué dans cette capacité pour le reste de la guerre. Le premier problème qu'il a dû résoudre était une tentative de la Royal Navy de prendre le contrôle du commandement côtier de la RAF ainsi qu'une tentative de l'armée britannique d'établir sa propre armée de l'air[23]. Portal a persuadé avec succès à la fois l'armée et la marine que la RAF pouvait répondre adéquatement à leurs besoins. Le deuxième problème que Portal devait résoudre était la nécessité d'une nouvelle offensive de bombardement stratégique.

Donc le chef d'état major de la RAF, à modifier le nombre et les types d'avions qui avaient été sélectionner pour l'envoi en URSS.

Mais le tout, ici aussi en premier lieu, j'avais lu, que Staline avait demander au Anglais d'ouvrir un second front en France, mais que l'Amirauté, s'y était opposé en raison de la vue, qu'ils avaient encore de Dunkerque en 1940.
Et en second, Staline leurs avaient aussi parler, d'effectuer un blocage aux Allemand dans l'Artique. Mais ici une nouvelle fois, l'Amirauté à jugé que c'était impossible à réaliser.
Les Allemands, eux ont été arrivé en ne touchant surtout pas à la neutralité de la Suède, ainsi par le territoire de la Norvège, en longeant les côtes, et en passant par la mer jusqu'en Finlande. Port de Turku, si je me rappelle bien, Et les Gebirgsjägers eux ils avait un train en longeant la côte Norvégienne, et à la fin, ils on marché pour arrivé à Kirkeness, et même déjà avait pris possession de la mine de Petchenga en 1940.

De plus en plus palpitant mais quel sac de nœuds ! ça donne l'impressions que tous étaient au courant mais laissaient faire. Au moins ils se doutaient que ...

On voit également que les Britishs, s'ils étaient disposés à aider les Soviets, gardaient quand même pour eux leurs précieux "Spitfire", car il n'en est pas fait mention dans ces textes...

Un peu le délire : les anglais aider les soviets ! De la pure politique politicienne.

vania a écrit:

On voit également que les Britishs, s'ils étaient disposés à aider les Soviets, gardaient quand même pour eux leurs précieux "Spitfire", car il n'en est pas fait mention dans ces textes...

Sur la liste plus haut,on voit 1341 Spitfire quand meme !

Salutation a tous, hummmmm, hurricane, spitfire....

Bien alors ici j'ai eu l'idée, de lire juste en vitesse une fois, le résumé du Régiment de chasse, qui avait reçus ses Hurricane!

Citation :

78e régiment d'aviation de chasse de l'armée de l'air de la flotte du Nord

Dans l'armée active : 14/10/41 - 09/05/45.

Formé en octobre 1941. Le noyau du régiment était composé de pilotes expérimentés du 72nd Sap SF .

Il faisait partie de l' armée de l'air de la flotte du Nord .

Il comptait à l'origine 27 Hurricanes en service, qui furent transférés en URSS après le départ des pilotes britanniques de la 151e aile de la RAF (81e et 134e escadrilles) fin septembre 1941. À la suggestion de Safonov, les 12 mitrailleuses de 7,69 mm montées sur le chasseur britannique ont été remplacées par une paire de canons ShVAK. Plus tard, le régiment a reçu 65 autres de ces avions.

Jusqu'à la fin de 1941, les pilotes du régiment abattent une dizaine d'avions allemands.

En 1942, le régiment reçut des P-40 Kittyhawks, mais les Hurricanes restèrent en service jusqu'à l'automne 1943.

En janvier 1943, le régiment est intégré au 6 IAB SF -> 6 IAD SF .

Déjà ici on comprend, la raison du changement des mitrailleuses, ben oui si ils auraient gardé  les 7,69mm, ici ils aurait surement fonctionné avec les munitions pour les calibres Anglais, Et leurs régiments, pouvaient plus facilement recevoir et détenir des munitions russes.

Pour les P40, ici il ne faut pas oublier, que en Décembre 1941, à Pearl harbor, les Américains, avait encore de ses avions là. Alors obsolète, pas si vite tout de même.

Et ici était encore énumérer, que le régiment eut encore par la suite d'autre Hawker hurricanes.
Ceci est aussi exacte, Avec le PQ-1, soit le convoi le premier de la grande liste juste après le Pq-0 Dervish, avec ce premier convoi, furent chargé 193 Hurricanes dans des caisses.
Ainsi on peut déduire des 193-x, puisque ce n'est pas sûr que ils ont de suite eu 65 autres; mais peut être juste 5-10 pour remplacer les avions qui se son crashé ou on été abattu.
Parce que détenir un tel nombre dans les hangars ou au sol, imaginez vous, juste la vision que cela eu, lors d'un bombardement de la Luftwaffe. Le carnage identique comme à Kiev, ou comme à Pearl Harbor, ou uniquement un petit nombre d'avion on réussis à décollé, et faire la chasse. Les avions restants, tous détruits.

Et ici, pour les assignations des appareils arrivants dans le port, je suis sûr aussi, que le Capitaine Safonov, n'avait pas son mot à dire, pour garder un nombre d'appareil pour son unité, ici c'est comme partout pareil, pour les assignations, les responsables ou les ordres arriverons du Grand quartier Général (pour les russes = Stavka et ici = Staline et les autres commissaires de la défenses), qui eux avaient déjà auparavant planifié à quel unité il fallait livré le nouvel arrivage.  

Bien sûr ce sujet n'abordera pas les tanks, puisque on se trouve dans la section Aviation, mais ici avec le PQ-1 furent aussi livré les premiers tanks. Sûrement des Tank Mathilda ou des Cruisers.

Bien et en ce qui concerne les Spitfires.
Spitfire Mk VB EP210 (numéro de série de l'appareil), 57 GvIAP, Front du Caucase du Nord, avril 1943.
Donc ce modèle de Spitfire a été attribué au 57ème Regiment d'aviation de chasse de la Garde.

http://ava.org.ru/iap/26g.htm

ici d'autre Spitfire en photo, une nouvelle fois un régiment de la garde, ici c'est le 26è.
ont peut uniquement retenir, que en 1943, ils ont eu des MArk VC, pour les Mark IXC et E, c'est en 1944.

Ainsi juste pour continuer sur ses spitfires.

Citation :

   22/06/41 - 22/11/42 (26 IAP)
   22/11/42 - 15/10/44 (26 GIAP)

Le régiment a participé à la guerre d'hiver contre la Finlande sur des avions I-153.

En juin 1941, il fait partie de la 54th IAD .

Avant le début de la guerre, le régiment était basé à Uglovo (Manushkino).

Au 22/06/41, il était armé de 52 avions I-16, I-153 (dont 9 hors d'usage).

A partir du 07/07/41 il fait partie du 7th Air Defence Iak -> 2nd Air Defence Giak de Leningrad.

En septembre 1941, il reçoit les avions MiG-3 et Yak-1.

Au 11/06/42, le régiment avait 20 Hurricanes, ainsi que trois I-16 et six MiG-3.

Transformé par ordre du commissaire du peuple à la défense de l'URSS No. 374 du 22/11/42 renommé en 26 GIAP (Soit unité de la garde).

Le 26/04/43 a reçu huit "Hurricanes" supplémentaires avec des armes soviétiques, et le 06/05/43 a reçu dix autres chasseurs de ce type équipés de radars SON-2 et Redut. À partir de ce jour, le régiment est entièrement équipé de hurricanes, mais déjà en juin 1943, il commence à recevoir des Mk V Spitfire.

Depuis mars 1944, Yak-9 armé, et en février 1945 il reçoit des Spitfire Mk IX.

Les PVO = Unité attribuer à la défense d'une Grande ville ici PVO de léningrad.
Donc tout au début de l'entrée en guerre, ben on lis bien que l'unité était équipé des Vieux I-16Rata et I-153Chaika.

Et pour les Hurricanes,même en 1943 il volait encore, mais étant équipé cette fois ci, de Radar, et d'autre comme vous pouvez le voir sur les photos, les Russes leurs avait même monté des Roquettes.
Les roquettes chez les russes, eux les avais déjà monté sur des I-153.

Sans vouloir te reprendre mais les munitions de 7,69 n'existent pas ce sont des 7,62. Simple faute de frappe. Par contre le 7,63 existe mais c'est pour pistolet.
Merci encore pour ton sujet.

Citation :

Sur la liste plus haut,on voit 1341 Spitfire quand meme !

Ah oui j'avais pas vu...

Citation :

Après l'appel direct de Staline à Churchill en octobre 1942, le Spitfire Vb (la lettre "b" était utilisée pour désigner une aile de type "b" emportant 4 mitrailleuses Browning et 2 canons Hispano) fut fourni à l'URSS à partir des réserves pour le Moyen-Orient . En mars 1943, 143 machines transportés par voie aérienne sont immédiatement mis en service. Certains d'entre eux opéraient le long de la côte de la mer Noire du Caucase, d'autres défendaient Moscou. Fin 1943, certains pilotes de la Luftwaffe de l'escadrille de chasse JG 52 furent quelque peu surpris de rencontrer 25 Spitfire lors des batailles d'Orel, à trois cents kilomètres au sud de Moscou.

Jusqu'en septembre 1941, le Bf 109E était l'ennemi principal du Spitfire. Bien que cet avion ait un léger avantage en performances de vol à 6100 m et que son armement soit plus léger, globalement le Spitfire V était le meilleur des deux appareils. Puis, en septembre, les premiers Fw 190 les plus récents participent aux batailles de France. À l'exception du rayon de braquage plus petit du Spitfire, le Fw 190 était préférable à tous autres égards - il ne fait aucun doute que le Spitfire était nettement inférieur au nouveau chasseur-bombardier de la Luftwaffe. La réponse fut le Spitfire Mk créé à la hâte. IX, en utilisant l'aile de type Vc avec un moteur Merlin 61 plus puissant.

Et pour le MK IX

À partir de février 1944, le Spitfire IX a commencé à arrivé en Union soviétique. Les six premiers neuf sont arrivés à Bassorah par la ville d'Eastbourne. C'étaient de vieilles machines réparées. Ils sont passés par l'Irak et l'Iran et par nos ports du nord. Puis de nouveaux avions ont commencé à arriver, directement des usines. Les livraisons des Spitfire prennent fin après la fin de la guerre en Europe : le Sannitian (navire)entre le 12 juin 1945 à Molotovsk (Severodvinsk) avec 53 neuf à bord.

Au total, 1185 Spitfire IX ont été importés dans notre pays, dont 1183 du type LF IX (version basse altitude) et deux HF IX (haute altitude). Le HF et le LF différaient par leurs moteurs, qui étaient des modifications différentes du Merlin 60. Le LF avait généralement 66 moteurs et le HF - 70. L'opinion répandue selon laquelle le signe extérieur des machines à basse altitude était le bout des ailes coupé est erronée. Tous les Spitfire LF IX n'avaient pas de fins courtes. De plus, même les combattants avec des ailes "coupées" ont été fournis avec des ensembles de bouts d'ailes normaux. Plus tard, les "neuf" avaient un gouvernail supérieur plus large et affûté et un réservoir d'essence supplémentaire dans le fuselage. Le filtre à poussière Aero-Vi, situé sur le tuyau d'admission du carburateur, est devenu la norme. Parmi les LF IX au printemps 1945, neuf avions extérieurement indiscernables de la modification LF XVI avec des moteurs américains Merlin 266 sont arrivés. Ces moteurs ont été produits aux États-Unis sous licence Rolls-Royce par Packard et différaient quelque peu du prototype britannique, tout d'abord, par la configuration des autres unités ...

Spitfire IX de différentes variantes ont été soigneusement étudiés à l'Air Force Research Institute (Anciennement sous Lenine et Staline c'était l'OSA ou l'institut Lazarev actuellement le MAI de Moscou). Le premier d'entre eux, le type LF IX, y fut testé en septembre 1944. Les tests ont montré que le neuf avec son moteur puissant et à haute altitude a un plafond de service bien plus élevé que tous les chasseurs de production nationale. Même le LF a grimpé en toute confiance à 12 500 m, tandis que le HF a grimpé à 13 100 m, soit 2 450 m de plus que le Yak-9U et 2 350 m de plus que le La-7. Le Spitfire IX a surpassé ces avions à la fois en taux de montée et en armement. L'équipement dont disposait l'avion anglais le distinguait également pour le mieux.

Mais à basse et moyenne altitude, le "neuf" était sérieusement inférieur aux combattants nationaux. Par exemple, le La-7 a perdu jusqu'à 100 km/h de vitesse au sol. Par conséquent, l'utilisation de "Spitfires" sur le front a été jugée inappropriée. La plupart d'entre eux ont été envoyés dans des régiments de défense aérienne.

Depuis l'été 1944, les LF IX C et LF IX E reçoivent les 26e et 27e régiments de la Garde près de Leningrad, les 16e et 177e régiments dans la région de Moscou, le 767e près de Mourmansk et bien d'autres. À la fin de 1944, il y avait déjà 297 neuf dans notre système de défense aérienne. Il n'y a pratiquement aucune information sur l'utilisation au combat des IX Spitfire en Union soviétique. Un seul épisode de combat est connu. Le 8 mars 1945, près de Leningrad, les pilotes V. Rybin et A. Fedotov (des 11e et 102e Régiments de la Garde) sur Spitfire LF IX interceptent et abattent un avion de reconnaissance allemand Ju88 marchant à haute altitude. L'avion abattu appartenait à l'une des dernières modifications (S ou T), qui avait des dispositifs d'amplification de puissance sur les moteurs. Pour les autres types de combattants, ce Junkers était invulnérable.

L'un des inconvénients du Spitfire IX en tant qu'intercepteur était son manque de capacités de navigation et d'acquisition de cibles dans de mauvaises conditions de visibilité. À la fin de la guerre, dans le 26th Guards Air Defence Aviation Regiment, le système de télévision RD-1 a été installé sur deux machines. Sur son écran dans le cockpit du chasseur, une image était transmise depuis le tube d'une station radar au sol, avec une carte du terrain. Le commandant du régiment, le lieutenant-colonel V. Matsievich et le capitaine N. Shcherbina, ont volé à bord de ces avions, mais ils n'ont eu aucun cas d'interception et d'attaque possibles.

En raison de la présence d'un grand nombre de chasseurs Spitfire près de Leningrad, l'un des dépôts d'avions y a fabriqué une version à double entraînement de cette machine - le Spitfire IX UTI. Le Spitfire IXV a également été fabriqué par des ateliers à Tbilissi. Un certain nombre de «neuf» se sont retrouvés dans l'aviation navale, en particulier dans l'armée de l'air de la flotte de la mer Noire.

Bien que le Spitfire n'ait pas laissé de marque notable sur les fronts de la Grande Guerre patriotique, cependant, à la fin de celle-ci et dans les premières années d'après-guerre, il est devenu indispensable en tant qu'intercepteur de défense aérienne à haute altitude.

Et là une nouvelle fois on peut lire, que ses spitfires IX on été intégré en premier dans les régiments de la garde, avant que d'autre régiment de chasse en bénéficie.
C'était identique avec l'armée de terre, les batteries de katyusha, eux ont été uniquement transmit aux unités de la garde.

Donc ici pas d'autre spitfire que pour les premiers modèles qui ont été des Spitfire V, et qui provenait des réserves destinée aux force d'Afrique du Nord pour combattre encore Rommel et son Afrika korps, et la luftwaffe qui s’envolait d’Italie.