Rares et vieux trains

British et allemande (la rouge)...

vania a écrit:

British et allemande (la rouge)...

c est bien avec les allemandes c est que c est marque dessus ...une BR 05 001.

Carénage soigné pour,l'avant dernière...

Les dernières locos à vapeur étaient très sophistiquées...

vania a écrit:

Les dernières locos à vapeur étaient très sophistiquées...

C'est logique, c'est comme tout, ça évolue et souvent dans le bon sens. les nouvelles technologies sont arrivées et les locos en ont profitées.

Après quelques dizaines d'années de restauration, ça roule.

Un train chinois ou japonais, ça doit être dépaysant de le prendre. 

Ce ne sont que des locos diesel mais très rapides :

Clase 55 Deltic 201 km/h.

La même.

Une loco allemande à 257 km/h.

Toujours de locos diesel très rapides.

Classe 70 = 270 km/h.

Classe 67 = 267 km/h

Russe. 

Toujours ces locos diesel.

Pioner Zéphyr, 180 km/h.

Mais là au musée.
Une autre ci-dessous assez spéciale, et teutonne ! 
Une Schienenzeppelin qui montait jusqu'à 230 km/h.

Curieux carénages.
La récente prise de conscience de l'importance de l'aérodynamisme...

vania a écrit:

Curieux carénages.  
La récente prise de conscience de l'importance de l'aérodynamisme...

Je sais pas, une recherche peut-être car ces locos sont déjà vieilles.

Au Tibet, de quoi admirer le paysage. 

Citation :

Au Tibet, de quoi admirer le paysage

A l'évidence ...

C'est abandonné, en Belgique.

Une jolie russe mais j'ai que ça, pas son histoire, le reste était en slovaque et la texte n'est plus. 

Je met cet article sans avoir d'opinion réelle, la fait qu'il y ait la guerre est un possible coté politique aussi.
Cauchemar sur les rails: le train russe va mal, très mal, et cela pourrait coûter cher à Moscou

Des lignes ferroviaires de fret sous la neige, à Mourmansk, en Russie occidentale.:copyright: (Andrey Rudakov/Bloomberg via Getty Images)

30 mois après le début de la guerre, le réseau ferroviaire russe se porte très mal, et le nombre de marchandises transportées chute. En cause : des sanctions occidentales qui privent les locomotives d'un élément fondamental à leur entretien.

Au premier jour de Jeux Olympiques contestés en France, des voix se sont élevées pour accuser la Russie d'être responsable de la série de sabotages qui a déstabilisé le réseau ferroviaire SNCF et entraîné retards et annulations durant plusieurs jours.

Si les soupçons pèsent maintenant sur des groupuscules d'ultragauche, une implication russe n'aurait pas choqué les enquêteurs, Moscou s'efforçant depuis 2022 d'interférer dans la logistique ferroviaire du Vieux continent, les pays Baltes et l'Europe de l'Est en première ligne. Au programme des "saboteurs" de l'ombre russes : des systèmes de billetterie hors service, et une panique sur les signaux qui fait craindre un accident grave tel qu'une collision, expliquions-nous en avril.

Un "effondrement" proche ?

Mais selon de très récentes déclarations, la Russie est elle-même enlisée dans un casse-tête ferroviaire. Situation logistique qui pourrait bien lui coûter cher, alors que Moscou refuse de relâcher sa prise sur l'Ukraine. Ainsi l'organe de presse VChK-OGPU, repris par Newsweek, a rapporté lundi de source anonyme que le directeur adjoint du réseau ferroviaire, Sergei Kobzev, avait jugé lors d'une réunion interne "que la situation était critique" :

Citation :

L'effondrement complet de l'ensemble du réseau ferroviaire du pays pourrait se produire (...), nous sommes à quatre jours d'une fermeture complète du réseau [ferroviaire].

"Les chefs des chemins de fer russes ont reçu l'ordre de travailler jusqu'à l'épuisement, indique VChK-OGPU. Ceux qui n'y parviennent pas sont menacés de licenciement et d'exécution. Telle est la motivation." Des informations étayées par Igor Sushko, un blogueur militaire ukrainien et directeur exécutif du groupe de recherche Wind of Change, qui a partagé ce qu'il prétend être un extrait audio divulgué d'une réunion entre Kobzev et ses subordonnés. Le ministère russe de la justice a ajouté début août VChK-OGPU à son registre des "agents étrangers", pour "diffusion de fausses informations visant à créer une image négative de l'armée russe".

Pourtant les chiffres sont là. En 2023, les chemins de fer russes ont indiqué que le nombre de trains suspendus pour cause de problèmes avait plus que doublé pour atteindre 42 600, rapportait en mars le site Kommersant. Un porte-parole des chemins de fer russes a précisé au média Vedomosti en février que le problème "est devenu particulièrement aigu" au cours du dernier trimestre de 2023.

Sur X, le compte Prune60, administré par un spécialiste dans l'énergie, s'est basé sur les chiffres officiels de la compagnie ferroviaire russe pour chiffrer la baisse de la quantité de cargaison transportée chaque jour par les trains tricolores. Environ 3,28 millions de tonnes de fret — incluant une large part de charbon, du fer et autres métaux et minéraux, ainsi que du pétrole — ont été transportées quotidiennement en juillet 2024, contre 3,49 millions en juillet 2021. Étalés sur le mois, ces chiffres équivalent à 97,4 millions de tonnes transportées en juillet 2024, contre 104 millions en 2021 sur la même période.

Bilan : la demande est deux fois plus élevée que ce que les voies ferrées peuvent supporter, déclarait en février la chaîne publique Rossiyskaya Gazeta, citant des données gouvernementales.

Bref, le train russe va mal. Un phénomène inquiétant pour un pays dont tous les efforts sont tournés vers la guerre, y compris les transports.

Des locomotives vétustes, et non réparables

Ce cauchemar logistique, la Russie le doit, une fois de plus, aux embargos occidentaux imposés sur son économie depuis 30 mois déjà. Selon les analystes du Center for Strategic and International Studies (CSIS) de Washington, repris par Newsweek, les trains de sanctions ont alimenté en Russie une pénurie de roulements à billes, indispensables à la maintenance des locomotives dans le pays.


La Russie a historiquement importé "la plupart de ses roulements de haute qualité de fabricants occidentaux", déclarent les analystes du CSIS. "En 2020, par exemple, la Russie a importé pour plus de 419 millions de dollars de roulements à billes, dont environ 55 % provenaient d'Europe et d'Amérique du Nord ; l'Allemagne était le plus grand partenaire commercial de la Russie, représentant 17 % de ses importations totales cette année-là."

Mais ces importations ont cessé en réaction à la guerre en Ukraine, et les fabricants étrangers se sont retirés de Russie. Ainsi le groupe suédois SKF Group, présent en Russie depuis 1991, a interrompu toutes ses activités dans le pays en avril 2022, forçant Moscou à remplacer ses roulements à billes par des produits de moindre qualité.

"Pour l'instant, les efforts de Moscou pour remplacer les importations par des produits soutenus par l'État restent largement infructueux", indiquent les experts. Désormais, une "maintenance insuffisante", afflige le parc de locomotive, dont la capacité diminue, selon Kommersant. Or, "chaque locomotive perdue va heurter le PIB", selon le compte X Prune60. Les chemins de fer sont l'épine dorsale de la Russie, et il existe de nombreux endroits où le rail est la seule option."

La Russie regarde à l'Est

Ces problématiques tombent d'autant plus mal que la Russie a de grands projets de rails. Dans un discours prononcé le 29 février devant l'Assemblée fédérale, le président russe Vladimir Poutine a présenté des projets à horizon 2030 visant à porter à 210 millions de tonnes la capacité annuelle de transport des deux plus longues voies ferrées de Russie, le Transsibérien et la ligne principale Baïkal-Amour. Ensemble, elles forment le "Polygone oriental", réseau de transport vital pour le commerce extérieur de la Fédération vers l’océan Pacifique et la Chine.


D'ailleurs, Moscou prévoit la construction de deux nouvelles liaisons ferroviaires vers la Chine d'ici 2030, dans le cadre d’une stratégie gouvernementale pour le développement de la Sibérie, notions-nous en mars à la suite de Bloomberg. À l'heure actuelle, les deux pays, qui partagent 4 208 kilomètres de frontière commune, n'ont que quatre passages frontaliers ferroviaires. La question est : quelles locomotives l'économie ferroviaire en dépression de la Russie pourra-t-elle affréter sur ces rails?

Ca roulait à 412 km / h.

Pour les Russes, il y a toujours des solutions à terme, quel que soit le problème...

C'est une idée pour relancer l'Orient Express, du luxe à foison.  

C'est un vélo train, ça existe encore pour ceux qui ont des muscles aux cuisses.