Prisonniers palestiniens liberes

Difficile d avoir des infos sur les prisonniers palestiniens surtout les enfants....
On parle d enfants de 9 ans emprisonnes depuis plus de 2 mois pour jets de pierres...      
Pourtant les medias occidentaux nous bassinent qu Israel est un pays democratique qui prend soin de ses citoyens....


Israël s’est engagé à libérer 150 prisonniers palestiniens.
Trente-neuf de ces prisonniers étaient en cours de libération aujourd’hui 24 novembre dont 24 femmes et 15 adolescents.
Parmi ces femmes, certaines auraient été condamnées pour tentative de meurtre pour des attaques contre les forces israéliennes, tandis que parmi les adolescentes,
certaines auraient été emprisonnées pour des infractions telles que le jet de pierres.

Un bus de la Croix-Rouge arrive maintenant dans une prison israélienne pour récupérer les 39 prisonniers palestiniens.





Aujourd’hui également, des camions d’aide humanitaire ont commencé à entrer dans la bande de Gaza depuis l’Égypte, transportant des fournitures d’organisations égyptiennes.
Les véhicules sont entrés dans la bande de Gaza environ 90 minutes après le début de la trêve à 7h00 du matin, heure locale.

Environ 150 prisonniers palestiniens et 50 prisonniers civils détenus à Gaza doivent être libérés en quatre jours dans le cadre d’un accord entre Israël et le Hamas.

Des centaines de Palestiniens s’étaient rassemblés vendredi devant la prison d’Ofer, où Israël avait transféré ceux qui devaient être libérés,
tandis que d’autres s’étaient rassemblés dans des villes palestiniennes.

A 8h18 heure locale, deux bus du Comité international de la Croix-Rouge ont été vus quittant Ofer.
Selon l’agence de presse AFP, 28 prisonniers ont été libérés en Cisjordanie occupée et 11 autres ont été emmenés à Jérusalem-Est, selon l’ONG Palestinian Prisoners' Club.

Marah Bakeer, qui faisait partie des personnes libérées à Jérusalem, dit qu’elle a été informée ce matin qu’elle allait quitter la prison.
Elle a déclaré à Al Jazeera que la police avait effectué un test ADN et lui avait dit qu’elle ne serait pas autorisée à célébrer sa libération.
« Je suis un peu nerveuse et abasourdie ; Je n’arrive pas à croire que je suis sortie », a-t-elle déclaré.
« Les années passées en prison ont été difficiles », a déclaré Bakeer.
« Mais j’ai une forte personnalité... et la foi en Dieu. Le soutien continu de sa famille l’a aidée à surmonter des « moments difficiles » pendant ses huit années de détention,
a-t-elle ajouté.

Feride Najeh, qui faisait partie des prisonniers libérés à Beitunia, a déclaré à Al Jazeera qu’elle était « très heureuse » de l’accord.
« Nous n’avons rien mangé depuis ce matin », a déclaré Najeh, qui purgeait une peine de trois ans.
« Ils nous ont emmenés de manière violente et ils ne nous ont pas laissé prendre nos affaires. »
« Je suis très heureuse de cet accord. Je tiens à remercier le peuple de Gaza pour sa résistance.


La prisonnière palestinienne libérée Marah Joudat Moussa Bakeer réagit avec une famille près de chez elle après l’accord d’échange d’otages
et de prisonniers entre le Hamas et Israël, à Jérusalem.




Charles Stratford, d’Al Jazeera, qui faisait un reportage à l’extérieur de la prison d’Ofer, a déclaré que les forces israéliennes avaient tiré des salves de gaz lacrymogènes
sur la foule qui s’était rassemblée.

Parmi les personnes rassemblées à la prison, une femme avec qui Al Jazeera s’est entretenue a déclaré qu’elle venait de Tulkarem, une ville proche de la frontière avec Israël
à l’ouest.
Sur le chemin, elle a été « arrêtée à un poste de contrôle militaire israélien et lourdement interrogée là-bas », a déclaré Stratford,
« mettant en évidence les difficultés auxquelles les Palestiniens sont confrontés en termes de liberté de mouvement à travers les territoires occupés ».
« Un autre père d’un garçon de 17 ans... a dit qu’il n’allait pas célébrer la libération parce que tant de milliers de personnes ont été, selon ses mots, « martyrisées »
dans la préparation de cet accord », a déclaré Stratford, « ce qui souligne à nouveau les émotions mitigées ici. »

Environ 8 000 Palestiniens sont toujours incarcérés dans les prisons israéliennes, dont 3 000 ont été détenus au cours des sept dernières semaines
dans un contexte de raids israéliens croissants en Cisjordanie.


source
aljazeera.com

Si Israel libère des Palestiniens, c'est qu'ils ont fait de la place dans leurs prisons.
Est-ce qu'on ne pourrait pas leur fourguer quelques milliers de nos délinquants actuellement en taule (seraient pas dépaysés par leurs profils ) pour boucher les trous et ainsi, à notre tour de récupérer des places de prisons ?!...
Savoir qu'en France, la lourdeur des condamnations est souvent en fonction des places carcérales dispos...

vania a écrit:

Si Israel libère des Palestiniens, c'est qu'ils ont fait de la place dans leurs prisons.
Est-ce qu'on ne pourrait pas leur fourguer quelques milliers de nos délinquants actuellement en taule (seraient pas dépaysés par leurs profils ) pour boucher les trous et ainsi, à notre tour de récupérer des places de prisons ?!...
Savoir qu'en France, la lourdeur des condamnations est souvent en fonction des places carcérales dispos...

Bonne idée mais Israël a toujours dit "on ne prend pas de migrant". Curieux de leur part alors qu'ils en sont.

Israël vient de libérer 117 prisonniers palestiniens, dont beaucoup sont des garçons de moins de 18 ans, dont certains n’ont que 14 ans.

Omar Atshan, 17 ans, est étreint par sa mère après avoir été libéré d’une prison israélienne dans la ville de Ramallah, en Cisjordanie, le dimanche 26 novembre 2023 .




L’ambassade royale de Thaïlande à Tel-Aviv a déclaré que les trois otages thaïlandais libérés dimanche soir étaient « arrivés sains et saufs » dans un centre médical
près de Tel-Aviv.
Au total, 17 otages thaïlandais ont été libérés par le Hamas au cours des trois derniers jours.
Il y a encore au moins 15 otages thaïlandais à Gaza, le ministère thaïlandais des Affaires étrangères ayant déclaré hier qu’il y avait deux ressortissants thaïlandais
de plus que ce que l’on savait auparavant.





Le nombre de Palestiniens arrêtés par Israël en Cisjordanie atteint 3 200 depuis le 7 octobre
Un rapport publié par la Commission palestinienne pour les affaires des détenus et des ex-prisonniers indique que sur les 3 200 Palestiniens arrêtés par Israël depuis le 7 octobre
en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-Est occupée, 41 étaient des journalistes, dont 29 sont toujours en détention.

Le nombre de détentions depuis le 7 octobre porte à plus de 7 000 le nombre de Palestiniens arrêtés dans les territoires occupés, selon le rapport publié dimanche.
Cela comprend plus de 200 enfants et environ 78 prisonnières ainsi que des « centaines » de malades et de blessés, dont certains ont besoin
d’une « intervention médicale urgente », ajoute le rapport.

Il a également noté que les récentes arrestations s’accompagnaient de « raids et d’abus généralisés, en plus du vandalisme et de la destruction des maisons des citoyens,
et des passages à tabac sévères des familles des détenus », ainsi que des tirs sur des Palestiniens non armés, entraînant des morts.


source
aljazeera.com

10 otages israéliens relâchés en échange de 30 prisonniers palestiniens, dont Ahed Tamimi
La trêve entre Israël et le Hamas entre dans ses dernières heures ce jeudi à l’aube, les médiateurs accélérant les efforts pour obtenir une nouvelle prolongation.

Un dernier échange avant la reprise des hostilités ? À quelques heures de l’expiration prévue de la trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas, une source proche du Hamas
a indiqué ce mercredi 29 novembre au soir à l’AFP que le mouvement islamiste palestinien avait remis un « sixième groupe » d’otages israéliens
au Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Ceci en échange de 30 prisonniers palestiniens, dont la jeune militante Ahed Tamimi.

Le Qatar a annoncé dans la soirée que parmi les dix otages, cinq sont binationaux :
un Néerlandais, trois Allemands, un Américain. Deux citoyens russes et quatre citoyens thaïlandais ont également été libérés en dehors de l’accord.
Vers 23h, heure de Paris, la télévision égyptienne a annoncé que les otages étaient bien arrivés en Égypte.
Ceci alors qu’aucun accord n’a encore été trouvé ce jeudi au petit matin pour prolonger la trêve entre les deux camps.


La militante Ahed Tamimi parmi les prisonniers libérés

En échange, 30 Palestiniens, dont 16 mineurs et 14 femmes, ont été libérés par Israël.
Parmi eux figure Ahed Tamimi, une militante de 22 ans devenue une figure-clé pour les Palestiniens défiant l’occupation israélienne.
Elle avait été arrêtée pour une publication sur Instagram, que selon sa famille elle n’a jamais effectuée, et qui selon des sources israéliennes appelait au massacre des Israéliens
et faisait référence à Hitler.

Ahed Tamimi, une militante de 22 ans devenue une figure-clé pour les Palestiniens défiant l’occupation israélienne, fait partie des prisonniers palestiniens libérés par Israël.




Sa mère Narimane, dont le mari a également été arrêté, a affirmé qu’Ahed n’était pas à l’origine de cette publication et qu’elle n’était même pas la possibilité
d’ouvrir un compte sur les réseaux sociaux.
Chaque soir depuis vendredi, une dizaine d’otages israéliens, tous des femmes et des enfants, sont relâchés par le Hamas dans la bande de Gaza.
En contrepartie, trois fois plus de détenus palestiniens, également des femmes et des jeunes de moins de 19 ans, sont libérés de prisons israéliennes.


Le Hamas pas « satisfait » des propositions d’Israël pour poursuivre la trêve

Entrée en vigueur le 24 novembre pour initialement quatre jours, la trêve a été prolongée ensuite jusqu’à jeudi 05H00 GMT.
Une source proche du Hamas a indiqué mercredi que le mouvement islamiste était « d’accord » pour la prolonger « de quatre jours » supplémentaires et de libérer de nouveaux otages israéliens.
Mais en soirée, une source au sein du Hamas a affirmé que le mouvement palestinien jugeait « insatisfaisantes » les propositions israéliennes pour une prolongation de la trêve.

Arrivé dans la nuit de mercredi à jeudi à Tel Aviv, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken doit avoir des entretiens jeudi en Israël et en Cisjordanie,
territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967 et où siège l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, rival du Hamas.
« Nous souhaiterions voir la pause (dans les combats) prolongée », a affirmé Antony Blinken à Bruxelles. Cette prolongation « signifie plus d’otages qui rentrent chez eux,
plus d’aide ».


source
fr.news.yahoo.com

Des palestiniens libérés mais ils étaient en prison depuis 75 ans ! Juste libérés de murs pour retourner dans d'autres.

Guerre Israël-Hamas : les prisonniers palestiniens libérés témoignent de tortures et humiliations
Des détenus palestiniens racontent un quotidien de privations et des conditions de détention qui se sont radicalement dégradées après l’attaque du Hamas le 7 octobre.

Sortis des prisons israéliennes à la faveur d’un accord d’échange avec le Hamas, des détenus palestiniens racontent un quotidien de privations et des conditions de détention
qui se sont radicalement dégradées après l’attaque inédite du mouvement islamiste le 7 octobre.
Depuis cette date, les autorités pénitentiaires israéliennes « ont tout retiré » aux détenus palestiniens, a affirmé Rouba Assi, 23 ans dont plus de deux en prison,
au moment de sa libération il y a une semaine dans le cadre d’échange de prisonniers palestiniens contre la libération d’otages emmenés par le Hamas à Gaza durant l’attaque.
Le 7 octobre, les autorités pénitentiaires ont annoncé dans un communiqué « l’état d’urgence en prison » : pour les détenus palestiniens, plus de sortie de cellule
donc de parloirs-, plus d’achat à la cantine ni d’alimentation des prises électriques dans les cellules, et des fouilles surprises plus fréquentes.

Dormir à même le sol
Le Club des prisonniers, une ONG palestinienne qui recense les détenus de Cisjordanie et de Jérusalem-Est occupées par Israël, assure que les visites de délégués
du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ont également cessé.
Le CICR ne commente pas.

Rouba Assi peut comparer.
Entre 2020 et 2022, elle a été incarcérée 21 mois pour « appartenance à une organisation illégale », son mouvement étudiant marxiste qui appelle à
« la libération de la Palestine », et « jets de pierres ».
Puis, elle est sortie.
En pleine guerre à Gaza, elle a été de nouveau arrêtée, aux côtés de plus de 3 580 autres Palestiniens selon le Club des prisonniers.
Les prisons israéliennes comptent aujourd’hui quelque 7 800 détenus palestiniens, d’après la même source.
Là, dit-elle, elle a trouvé des conditions de détention bien différentes :
« dans la prison de Damon », dans le nord-est d’Israël, « on dormait à sept dans des cellules prévues pour trois détenues, à même le sol, sans matelas et sans couverture
malgré le froid et ce, peu importe l’âge ».
« On se couchait souvent sans avoir mangé et les portions qu’on recevait étaient maigres », poursuit Rouba Assi.
« Tous les acquis des années de lutte des prisonniers palestiniens ont été effacés d’un coup ».

Amnesty International affirme avoir « des témoignages et des preuves vidéos de tortures et de mauvais traitements de détenus palestiniens violemment passés à tabac,
humiliés, notamment forcés à garder la tête baissée, à s’agenouiller au sol pour l’appel et à chanter des chants israéliens dans d’horribles conditions de détention ».
L’AFP a pu visionner ces images.

Ramzi Abbassi, militant palestinien de 36 ans de Jérusalem-Est, très suivi sur les réseaux sociaux, a aussi été libéré en échange d’otages israéliens,
de la prison Ketziot, dans le désert du Néguev, réputée pour être la plus dure.
« Ils nous tabassaient matin et soir », accuse-t-il.
« Des prisonniers ont eu des jambes ou des bras cassés après le 7 octobre et ils n’ont reçu aucun soin. »
Cette prison, dit-il à l’AFP, est « un cimetière pour les vivants, les détenus y vivent sans nourriture, sans habits propres, ils sont laissés à l’abandon ».

Contactées à plusieurs reprises par l’AFP, les autorités pénitentiaires n’ont pas souhaité commenter ces accusations. Amnesty évoque aussi des images largement diffusées en ligne
de « soldats israéliens frappant et humiliant des Palestiniens détenus, les yeux bandés, déshabillés et les poignets entravés ».

Selon le témoignage d’un Palestinien de Jérusalem-Est recueilli par l’ONG, des détenus étaient contraints « de faire l’éloge d’Israël et d’insulter le Hamas ».
« Mais même quand un détenu le faisait, ils n’arrêtaient pas de le frapper ».
Dans une lettre sortie de prison par l’un des Palestiniens libérés récemment, adressée notamment au CICR et rendue publique, des prisonniers dénoncent
« une vengeance » des autorités israéliennes.
Cette missive rappelle que six prisonniers sont morts dans des prisons israéliennes depuis le 7 octobre.
L’administration pénitentiaire répond qu’ils ont été autopsiés et sont morts pour des raisons de santé indépendantes des conditions de détention.

La question des prisonniers, lancinante dans les Territoires occupés, est revenue sur le devant de la scène avec la prise d’environ 240 otages par le Hamas le 7 octobre.

Le Hamas et ses alliés, surtout le Jihad islamique, qui comptent des centaines de membres dans les prisons israéliennes, ne cessent de répéter que les otages
-civils et militaires israéliens- serviront de monnaie d’échange pour « vider » les prisons israéliennes des détenus palestiniens.

En une semaine de trêve, du 24 novembre au 1er décembre, 240 prisonniers palestiniens sont sortis en échange de 80 otages israéliens.
Mais, note le Club des prisonniers, dans le même temps, des centaines d’autres Palestiniens sont entrés en prison.


source
fr.yahoo.com

Rien de surprenant ...