Vues diverses de Hongrie

Je continue, ce matin il a fallut que je sorte.


Faut pas s'aventurer dedans là la photo est prise juste d'une porte, le reste du plafond menace de  s'effondrer.

C'est sale, pas nettoyé et un peu dangereux surtout pou des enfants sans surveillance. Plus personne ne se baigne. Autrefois il y avait du monde.
Des voitures de garées car c'est aussi l'endroit de bala de en forêt, il y a un chemin de grande randonnée.
Des vélos tout terrain aussi.

Des canards en grand nombre, ils ont reprit leur espace, ils ne sont plus dérangés.

Des nénuphars de très belles tailles !
A suivre

Le lac et un frémissement de l'eau dû à ???

Ensuite nous avons quitté le lac mais par un autre chemin. On n'est pas repassé par les 13 kms de semblant de route mais on a continué le chemin. Il mène en Hongrie par la forêt. Par contre il faut mieux avoir un 4 x 4 ou alors une voiture haute sur pattes. Des trous souvent et en hiver c'est pas vraiment carrossable sauf pour des tracteurs. Un poteau qui indique la frontière.
De l'autre coté c'est mieux mais que des cailloux faut pas rouler vite.
En dessous c'est le premier village hongrois après 3 kms.

Il y a une valise ouverte sur le coté gauche qui indique que c'est ouvert. En bref c'est un bar mais aussi un petit musée.

L'entrée du bar et une curiosité, la déco.
A suivre.

Sympa, ça fait un peu penser aux Alpes ...

vania a écrit:

Sympa, ça fait un peu penser aux Alpes ...

Tu as peut-être pas tord.


Une brouette bien mal en point mais de l'âge.   Je suppose que c'est du "maison".
Si on la regarde on voit l'effort qu'on devait faire pour la soulever, la roue se trouve bien trop loin, aujourd'hui non seulement elles sont légères mais toute autre.

En face sur un sembla de place voire plutôt un rond point il y a cette tour, un endroit où l'on peu monter et discuter. Voir le paysage et prendre du bon temps.

Fin de cette ballade, à la suivante, mais quand ?

Citation :

un endroit où l'on peu monter et discuter.

Belle initiative, sous réserve que ce ne soit pas dégradé en quelques jours/semaines...

vania a écrit:

Citation :

un endroit où l'on peu monter et discuter.

Belle initiative, sous réserve que ce ne soit pas dégradé en quelques jours/semaines...

Ici dégradé ?????????????????????????
Le mot n'existe même pas dans le dictionnaire.
Rien n'est jamais dégradé, tout est et reste en bon état.  Les jeunes ne cassent rien. Ils sont fiers de leur village et ce quel que soit l'endroit. De toutes façons il y a des "caméras très anciennes" sur pattes qui veillent.   Il y a encore des fêtes à l'ancienne comme autrefois en France.  Les coutumes restent, le reste aussi.
Je parierais pas à Budapest pour des dégradations.

A Budapest,je n ai pas vu de degradation meme a la fete du chateau en en septembre 2019 ...a part les touristes qui jetaient
leurs gobelets de bierre vides a cote des poubelles..
Il y avait enormement de monde mais quand meme...

Le château c'est sacré personne ne ferait de conneries. Il y a parfois des tags mais en dehors de la ville.

En région parisienne, dès qu'on baisse la garde, c'est squatt, vandalisme...

vania a écrit:

En région parisienne, dès qu'on baisse la garde, c'est squatt, vandalisme...

Alors tu vois encore une raison de notre départ.

Oui, sauf que quand tu es parti on en était pas encore arrivés à ce point ...

vania a écrit:

Oui, sauf que quand tu es parti on en était pas encore arrivés à ce point ...

Oui et ça je comprend pas pourquoi la loi ne bouge pas, le "locataire" (si je peux dire) est protégé, faut pas le foutre dehors le pauvre. T'es envahis de manouches ils ont des droits, toi tu vas te faire m...tre !

Quelques vues d'hier, d'avant hier et un peu avant. C'était pas loin, parfois notre jardin.
Bref en France vous avez la pluie, ce n'est que de la neige fondue, pensez-y.
Soyez pas jaloux.  


La neige du tout du voisin qui glisse chez nous.

C'est tombé mais ça a retombé ! Vous suivez ?

Traces des pattes de la chatte pour ses besoins.

Au fond la Merko à l'abris.

Le "fumoir" enfin le patio et sa déco (toujours pas fini).

La nuit.

Un vrai hiver ...

vania a écrit:

Un vrai hiver ...

Oui j'adore, mais on passe des nuits où dehors il doit faire par endroit - 11° C. Chez nous vers les - 5 / - 6°.
La température peut descendre jusqu'à - 25°. C'est le max. J'ai eu ça en Slovaquie à la chasse, un temps magnifique, du soleil et tu ressens pas le froid.

Pour parler d'hiver voici une bonne comparaison :
   

Souvenirs de cet hiver froid à Budapest en 1987.

L’hiver 1986-87 restera à jamais gravé dans la mémoire de toute la Hongrie et de Budapest. La légendaire chute de neige de janvier a commencé le 1987 janvier 10. En raison des rafales de vent arctiques, des blocs de neige d’un mètre ont été construits, des autoroutes se sont transformées en champs de neige continus, les voitures stationnées dans les rues ont été recouvertes d’une couche de neige d’un demi-mètre d’épaisseur. En début d’après-midi, -15 degrés Celsius ont été enregistrés, et le 12 janvier, 20 à 40 cm de neige ont recouvert le pays. Les vacances scolaires ont été décrétées, plusieurs lieux de travail sont devenus inaccessibles, certains ont paniqué à propos de l’approvisionnement en nourriture, d’autres ont fait de grands voyages en traîneau en famille. Cet hiver pourrait-il se répéter ?

András : « J’avais rendez-vous pour l’un des grands jours de neige avec un correspondant de Moscou, qui est finalement venu à Budapest. Nous avons organisé la rencontre sur la route de la République populaire (aujourd’hui avenue Andrássy), en précisant dans une lettre, que je ne connaissais même pas un numéro de téléphone, et que mon russe était plus confiant à l’écrit. Je ne voulais pas lui avouer que je n’étais pas viril et que je ne partirais pas à cause de la neige, alors je me suis rendu à la réunion en portant plusieurs couches de vêtements. Milena m’attendait dans un set beaucoup plus venteux, et quand je suis arrivé, elle m’a juste dit qu’elle ne s’attendait pas à ce que je commence, parce qu’étrangement tous les Hongrois se plaignent de la neige. Elle n’est pas devenue ma femme, mais nous avons passé quelques semaines très heureuses.



Anita : « Grand-mère était une grande fan d’Isaura. Et cette pauvre fille est venue ici dans cette grande neige, et je me souviens qu’il y avait beaucoup de télévision montrant Lucelia Santos en train d’être emmenée en hélicoptère et elle n’arrivait pas à croire qu’il neigeait autant. Grand-mère craignait seulement que la chère Isaura ne fût venue de si loin et de si chaud, de peur qu’elle ne s’enrhumât !"

Andrea : « J’étais travailleuse de la santé et il n’y avait pas d’exception ou de pause pour nous, bien sûr que nous devions aller travailler. Je travaillais à l’hôpital János et j’habitais sur la route de Rákóczi, alors j’ai pensé que j’allais prendre mon itinéraire habituel. Mais les bus se sont retrouvés coincés dans les blocs de neige incroyablement hauts, et le chauffeur a mobilisé des passagers masculins à presque chaque arrêt pour les aider à monter. En fin de compte, nous, les femmes, ne pouvions pas nous supporter et nous aidions de la même manière, même si les hommes nous repoussaient toujours.

Melinda: « Bien sûr, tout le monde a adoré les vacances par temps extrême, et je pense que j’étais la seule à être triste de voir mes trois enfants assis à la maison pendant des jours. À l’époque, je me préparais à défendre mon diplôme et je ne pouvais étudier que pendant que les enfants étaient à l’école. Ma belle-mère et mes parents habitaient à proximité, dans le district II, et nous avons accepté de m’aider et parfois de venir. Cependant, à cause de la neige abondante, ils ne venaient pas parfois, mais restaient avec nous pendant deux jours, et les mères, qui s’étaient regardées à une distance décente, étaient obligées de passer beaucoup de temps ensemble. C’est pourquoi cet hiver est devenu important pour moi, parce qu’un conflit familial a été résolu.



Kálmán : « Honnêtement, pour moi, les grosses chutes de neige de 87 ont été une thérapie. En tant que musicien, les week-ends étaient toujours remplis de concerts, mais le grand hiver en a gâché quelques-uns. Nous allions donner un concert au centre de loisirs de la place Almássy, mais nous n’avons pas pu nous rendre sur place et avons fait demi-tour. Il n’y avait donc pas de travail, mais ma copine et moi avons passé 4 ou 5 jours dans notre petit studio à Őrmező.

Benő : « Nous sommes rentrés d’une journée de ski en Slovaquie avec ce bon vieux Zsiga dans cette neige agitée. Je pense que le lendemain matin, j’étais le seul animal qui s’est enfui. Disons que j’ai commencé l’hiver à Budapest avec un avantage, parce que les chaînes à neige sont restées en place, alors j’ai roulé entre les blocs de neige de Kőbánya, à moitié étonné, à moitié en me sentant très dur avec le Zsiguli.



Lili : « Nous passions les week-ends chez ma mère à Lawrence avec mes cousins. Quand la neige est arrivée, c’était le week-end et environ cinq d’entre nous se sont rassemblés dans la maison de banlieue. J’avais 11 ans et j’ai vu comment construire un igloo dans un film d’aventure. C’était à tout prix notre mission : construire un igloo pour les mamans, si le chauffage s’éteignait, elles n’auraient pas froid si nous sortions quelques tapis et couvertures. Ils pouvaient à peine prier pour nous et heureusement nous sommes restés tout le week-end parce qu’il n’y avait pas d’école. Malheureusement, il n’y a pas eu assez de jours pour terminer le bunker, mais je n’oublierai jamais la lutte contre les éléments avec les gants à un doigt et la planification de l’évacuation des mamans.


Laci : « C’est à ce moment-là que mon frère cadet est né, et comme il était impossible de se déplacer, ma mère a pris une ambulance pour l’emmener à l’hôpital. Petit enfant, grand fantasme, alors j’ai fait passer le mot que ma mère avait été emmenée par une voiture de police. Mon père a eu des conversations intéressantes par la suite.

Jutka : « Nous vivions dans la rue Practice et mon fils de troisième année allait à l’école avec la fille d’à côté. J’ai regardé par la fenêtre pour voir qu’il neigeait et qu’il n’y avait pas autant de circulation, mais mon plus jeune enfant avait à peine 1 an et je n’étais pas occupé avec les nouvelles de la télévision, de la radio. Au bout de deux heures, ils sonnèrent : c’étaient les enfants, d’une voix tremblante. J’avais peur de ce qu’ils faisaient ici et je les attendais à la porte : comme deux bonhommes de neige, ils regardaient et leurs visages rougissaient. Ils étaient si petits insectes que, bien qu’ils n’aient vu aucun trolleybus circuler, ils ont attendu avec insistance leur vol à l’arrêt pendant deux heures.



Ère: « Cet hiver-là a été si mémorable pour moi quand j’étais enfant que j’ai encore l’humeur en moi. Évidemment, cela a dû être beaucoup plus ennuyeux pour les adultes, c’était difficile de se rendre au travail, c’était difficile d’aller faire du shopping, d’aller n’importe où en voiture, mais nous avons vraiment apprécié. Nous vivions dans une petite rue de Zugló, les voisins pelletaient de la neige ensemble pour nous amener à l’école. Je me souviens que la neige nous arrivait aux épaules, alors nous marchions dans les petits passages. Ma mère faisait du pain à la maison parce que c’était plus facile que d’aller à l’épicerie, et toute la ville ralentissait un peu.

Pour être très franc il y a eu des endroits où ça a ressemblé à ça. Les tas de neige dans mes rues = oui. Les voitures = presque pareil.

Le lac Balaton en ce moment et proche, enfin la planète se réchauffe !

Il a neigé cette nuit en région parisienne.
Assez rare pour être signalé...

vania a écrit:

Il a neigé cette nuit en région parisienne.
Assez rare pour être signalé...

Non mais ce qui est rare c'est de mettre du sel en région parisienne !
Hier soir aux infos pas mal d'endroits en France où il n'y a rien de prévu, pas de sel rien alors qu'ils savaient. Ca je comprend pas du tout. Les transports scolaires s'arrêtent, les camions ne roulent plus etc... Bref 1 flocon et c'est cuit.
Il y a longtemps tout le monde roulait, calmement mais ça roulait, pas forcément bien mais ... Là tout s'arrête. Comme si les gens étaient des gamins. Quelle belle liberté ! Les gamins deviennent bêtes, on peur de tout plus tard, bravo.

Petite promenade en voiture ce matin, départ vers 10:00 et direction "la liberté". Un vieux château qu'on connait mais malheureusement pas du tout en bien. Il y a une grotte ou assimilé dans une pénombre où il y a un resto.  Dans ce bordel (je pèse mes mots) il est possible d'avaler des produits soi-disant digestes !  Le truc pour touristes débiles, on l'a été !
Le bu est de se vêtir de "tissus" ressemblant à ceux du moyen âge. De manger avec ses mains.  Il y a environ 10 ans mon épouse a poussé une énorme gueulante car on l'escroquait d'environ 10 €uros en payant ! Enfin c'est pas tout : les vêtements qu'on devait mettre en théorie lavés puaient donc pas question de mettre cette bêtise. Surtout que de ressembler à un clown non merci.  La bouffe était pire que tout, on voit rien, le gout n'a aucun rapport avec ce qu'on est supposé manger et l'eau à boire à le gout d'eau de vaisselle !  La fin s'est très mal passée.
Je sais pas si ça existe toujours mais on fait toujours une "bonne pub" pour cette merde !
Des photos du haut et du château. Plus des vignes en bas. Là au moins c'est propre.

On connait pas l'histoire de ce château, désolé, ni son nom.

Finalement c'est pas des vigne sen bas mais des arbres fruitiers.

Légèrement en bas sur la gauche il a été construit on pense un nouveau restaurant, le style détonne lourdement avec le reste !



Sans quoi on a vu de nombreux chevreuils, plusieurs hordes de 20 voire 30 ou plus. Des "isolés" seulement 4 ou 5. Bref vraiment beaucoup.