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| Revolution en cours en France | |
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Auteur | Message |
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naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Sam 19 Jan - 14:40 | |
| On peut regarder Russia Today France qui envoye toujours une equipe de cameramen sur place(manifestation a Paris)-a voir en direct sur youtube-
C est ce que je regarde en ce moment pour l acte 10....
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| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Dim 20 Jan - 11:33 | |
| Sûr qu'on a tous les détails. Réponse aux chaines françaises qui noircissent toujours le tableau quand il s'agit de reportages tournés en Russie... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Dim 27 Jan - 15:31 | |
| Oups...ca s est bien envoye! https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/la-russie-lance-une-pique-à-la-france-et-propose-de-parler-des-gilets-jaunes-au-conseil-de-sécurité-de-lonu/ar-BBSMRsc?ocid=spartanntp | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Jeu 21 Mar - 2:21 | |
| «Article 36» : et si les militaires prenaient le pouvoir ? Dans un thriller politique très documenté, notre collaborateur Henri Vernet raconte comment, sur fond de terrorisme et de révolte sociale, l’armée utilise l’instauration de l’état de siège par le chef de l’Etat pour prendre les commandes du pays. La fiction entretient de drôles de rapports avec la réalité. On frissonne à la lecture de ce thriller politique : le scénario est plus vrai que nature. Un jeune président, Marc Cardignac, sorte de jumeau d’Emmanuel Macron, peine à restaurer le calme dans un pays au bord de la crise de nerfs. Les « cocus de la République » manifestent, en jaune, dans les rues de la capitale « contre le monarque et ses impôts ». Une vague d’attentats terroristes sème la mort et la discorde dans le cœur des Français. La colère gronde dans les cités, les forces de sécurité menacent de craquer. Et si une guerre civile ravageait le pays ? Aussi réalistes soient les crises décrites au fil des pages, ceci est un roman. Alors que faire pour ramener l’ordre ? Le président déploie un instrument juridique inédit : l’article 36 de la Constitution. Jamais utilisé sous la Ve République, le dispositif - bien réel - prévoit, pour une durée de douze jours, l’instauration de l’état de siège, c’est-à-dire le transfert du pouvoir à l’armée pour assurer la sécurité des Français sur le territoire national. C’est ce qui survient un jour de décembre, quand l’opération « Mistral » est déclenchée sous la houlette d’un « général courage » issu de l’armée de terre. Plébiscité par l’opinion pour avoir sauvé des Yézidies au Kurdistan en prenant quelques libertés dans cette guerre contre Daech, Maxime Gerfaut est respecté par ses pairs - à l’instar d’un certain… général Pierre de Villiers. Il devient l’homme fort du pays, bientôt rival du président. Notre collaborateur, Henri Vernet, décrit avec finesse les arcanes d’un Etat en péril, les rapports de force entre pouvoirs politique et militaire, les mouvements des médias puis de l’opinion alors que les monstres d’acier se mettent à quadriller le pays et ses cités sensibles. Dans ce récit haletant, on découvre comment se déroulerait la mise en place d’un tel état de siège, un temps envisagé sous le quinquennat de François Hollande après les attentats du 13 novembre 2015. On observe avec sidération les chars entrer dans Paris, les Rafale sillonner le ciel de France. On découvre les tribunaux militaires, les réunions secrètes à l’Elysée ou au Centre de planification et de commandement des opérations (CPCO), dans les sous-sols de Balard, nouveau siège du ministère de la Défense. Si l’ouvrage est un roman, il s’appuie sur une minutieuse enquête réalisée auprès de militaires, de juristes, de sondeurs, de responsables politiques, d’experts en sécurité nationale… Les amateurs de polars goûteront les scènes d’action dignes d’une série à la « Bureau des légendes », s’attacheront aux personnages comme l’énigmatique conseillère spéciale du président, Alice Valbergue, l’attachée de presse élyséenne, Delphine Salgado, avec ses états d’âme, ou l’imperturbable commissaire Belhadji, du Raid. Les férus de politique se régaleront des clins d’œil, façon « Baron noir », entre personnages réels et protagonistes imaginaires, comme ce ministre de l’Intérieur, Brice Léandri, « à l’embonpoint très rad-soc » ou encore Jean-Jacques Chastagnon, le président de la France populaire (LFP), leader de l’opposition, vent debout, évidemment, contre l’état de siège. Le jeu de miroirs entre la réalité et le récit est saisissant, glaçant même lorsque l’intrigue charrie son lot de manipulations, de coups bas et de menaces de putsch… Et si tout cela advenait ? La réalité a désormais l’habitude de dépasser la fiction. source leparisien.fr | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Jeu 21 Mar - 10:19 | |
| L'armée au pouvoir ? Les effectifs sont tels qu'ils pourraient au mieux constituer une brigade opérationnelle... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Sam 27 Avr - 1:40 | |
| Etonnant! non...
À Tours, ce 25 avril, les secrétaires d’État Marlène Schiappa et Laurent Nuñez inaugurent un dispositif d’accueil pour les femmes victimes de violences. Néanmoins, selon un journaliste de Ouest-France, une majorité des CRS devant les protéger lors du déplacement seraient en arrêt maladie.
Alors que la secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa, ainsi que le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez, sont à Tours ce jeudi 25 avril pour l’inauguration d’une structure d’accueil de femmes victimes de violences, un message est apparu sur Twitter concernant le dispositif assurant la protection des politiciens.
Selon le journaliste de Ouest-France Jean-François Martin, « il y aurait une cascade d’arrêts maladie chez les CRS qui devaient assurer le déplacement de Marlène Schiappa et Laurent Nuñez à Tours ».
« Selon nos informations, le déplacement de Laurent Nuñez et Marlène Schiappa à Tours risque d’être sacrément perturbé. 48 des 61 CRS de la CRS 51 qui devaient assurer la sécurité des secrétaires d’État seraient en arrêt maladie. »
La secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa sera à Tours (Indre-et-Loire) le 25 avril : tout d’abord au centre LGBT de Touraine puis à l’inauguration de l’Espace d’accueil et d’orientation de femmes victimes de violences. Lors de cette visite ministérielle, elle sera accompagnée par Laurent Nuñez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur. | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Sam 27 Avr - 10:14 | |
| Pour quelle raison se font-ils porter pales ?... Il ont du en voir d'autres dans le genre "grandes gueules incompétentes" ... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Mer 1 Mai - 2:49 | |
| Le crâne d’une jeune femme «enfoncé» par les forces de l’ordre à Marseille (photo choc) Une jeune femme de 19 ans, a été opérée en urgence après avoir été violemment maltraitée par les forces de l’ordre, lors de la manifestation des Gilets jaunes du 8 décembre 2018 à Marseille. Là, elle a été blessée par un tir de LBD à la cuisse, est tombée par terre et a été sévèrement matraquée et frappée à coups de pied dans la tête, a indiqué Mediapart. Son cerveau a été endommagé. David Dufresne Compte certifié @davduf allo @Place_Beauvau – c’est pour un signalement – 733 Maria, rouée de coups de pied et de matraque par des policiers. Cerveau endommagé. Plainte déposée Marseille, #ActeIV Source: @p_pascariello https://www.mediapart.fr/journal/france/300419/marseille-des-policiers-fracassent-le-crane-d-une-jeune-femme-terre?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-67 … Opérée en urgence pour «un traumatisme cranio-facial droit par coup de matraque et embarrure frontale droite en regard avec contusion cérébrale», elle n’a pu reprendre sa vie normale qu’en avril. Vu son «état de stress aigu», elle reste suivie par un psychiatre. L’avocat de la jeune femme, Brice Grazzini, a déposé plainte ce mardi 30 avril auprès du parquet de Marseille pour «tentative d’homicide» contre «personnes non-dénommées, cependant identifiées comme exerçant la fonction de policier». Parmi d’autres chefs d’accusation figurent «violences volontaires aggravées», «non-assistance à personne en danger» et «non-obstacle à la commission d’une infraction». C’est le quatrième week-end des Gilets jaunes que «l’agression» a eu lieu. La rue était en train de se calmer, explique Mediapart, à en juger par les images, et les manifestations semblaient se terminer. Des témoins cités dans le cadre de la plainte ont indiqué que «personne n’avait d’attitudes menaçantes».Contactée par Mediapart, la jeune femme affirme n’avoir «rien compris» lorsque les forces de l’ordre «ont chargé», après quoi elle a été blessée par un tir de LBD. «Je n’ai jamais manifesté et j’ai eu très peur. J’ai couru vers la première rue perpendiculaire, la rue de la Glace, mais j’ai reçu un tir dans la jambe. J’ai crié parce que j’avais très mal à la jambe. Je suis tombée par terre.» Au sol, elle explique s’être vue encerclée par des policiers et les témoins observent «plus de dix agents de police en jean, casqués, matraque à la main et brassard à l’épaule arriver en courant et mettre chacun à leur tour des coups de matraque et de pied à la personne clouée au sol». Elle a eu alors «le crâne enfoncé et ensanglanté», des traces de sang étaient partout. «Tout est allé très vite. Des policiers ont surgi sur moi et j’ai reçu des coups dans la tête puis j’ai senti de la chaleur. J’étais tellement choquée. Les coups ont continué. Puis je me suis sentie partir lorsque des gens sont venus m’aider.» La victime a de son côté reconnu «avoir bêtement fait péter des pétards sur le sol. […] Mais si c’est ça le problème, je ne comprends pas, parce que sur le moment on ne nous a rien dit.» L’IGPN, plus connue sous le nom de la «police des polices», saisie le 19 décembre , ne l’a toujours pas auditionnée depuis, a affirmé Brice Grazzini. | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Mer 1 Mai - 9:40 | |
| Qui commence les provocations, cherche à "taper du flic" ? beaucoup de casseurs et de bran..... à ces manifs. La pauvre a pris cher à cause d'eux, car les flics sont sur les nerfs... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Jeu 2 Mai - 14:31 | |
| Info ou intox ?La bavure de trop...
Des témoignages sur l’intox de la préfecture à propos de l’intrusion à la Pitié-Salpetrière…
Toute la classe politique est unanime : des manifestants ont tenté d’entrer en force dans une unité de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière pendant la manifestation du premier mai. Pour Castaner et compagnie, il ne fait aucun doute qu’il s’agissait d’un acte prémédité et d’une tentative de nuire au service hospitalier.
Témoignage 1 De ce que j’ai pu voir, mais il s’agit peut être d’un autre épisode de répression policière (????) J’y étais et ai protégé une grand-mère. Deux autres copains parisiens ont été piégés dans cet endroit avec moi. L’un des deux se faisant matraquer, ce sont plusieurs soignants qui, respectant le code de déontologie, ont entrouvert les grilles des jardins de l’hôpital aux manifestants en danger. Ils ont été chaleureusement remerciés par des applaudissements et des mercis. La situation a été tranquille quelques minutes…
Ensuite, honte au gouvernement et à ses sbires, 2 compagnies de CRS et un groupe de bacqueux se sont introduits dans l’enceinte de l’hôpital et ont poursuivi et tabassé des manifestants… La belle affaire a duré entre 3 et 5 minutes de très nombreux photographes de presse ont couvert la sortie de cette nasse...
Témoignage 2 1. Tête de cortège bloquée avenue de l’Hôpital par un cordon de CRS, en face de la Pitié-Salpêtrière. En effet, des affrontements ont lieu, plus haut sur l’avenue, en remontant vers Place d’Italie.
2. Une foule importante de manifestants pacifiques s’agglutine devant le cordon de CRS sans comprendre le blocage alors qu’ils sont, eux aussi, sur le tracé déclaré officiellement. Des discussions s’engagent entre forces de l’ordre et manifestants pacifiques.
3. Après une dizaine de minutes d’attente, un Black Block se forme rapidement au contact des CRS. Des jets de projectiles et une bousculade pour forcer le cordon de CRS provoquent de leur part une riposte : au minimum lacrymogène et grenades de désencerclement (d’où une blessure à la jambe). L’air est saturé par l’utilisation massive de lacrymogène, visibilité extrêmement réduite pendant 2 à 3 minutes, air irrespirable. Les gens suffoquent et se mettent à courir dans tous les sens.
4. Mouvement de foule et de panique, les gens cherchant à échapper à l’asphyxie générale et à la charge violente de la police qui fonce alors dans le tas.
5. Une partie des manifestants fuit alors en franchissant l’enceinte de l’hôpital (ils ne sont pas dans les locaux même, mais à l’extérieur, sur la propriété). [L’auteur·e entend ensuite des gens se faire taper et crier depuis la cour adjacente où iel s’est réfugié·e]
Témoignage 3 Arrivés à hauteur de l’église Saint-Marcel, un important cordon de CRS bloquait la route. Nous sommes arrivés dans les premiers. Ils nous ont expliqué qu’ils nous laisseraient passer, le temps que des échauffourées, advenues plus haut, avec ceux ayant emprunté la rue Jeanne d’Arc, se calment. Nous attendions tranquillement. Petit à petit, les manifestants sont arrivés en masse. Nous étions proches d’un garage souterrain, au contact du cordon de CRS. Il me semblait évident qu’ils nous laisseraient passer.
Petit à petit, d’autres CRS sont arrivés de l’arrière et ont formé un second cordon, juste derrière leurs collègues. J’ai naïvement pensé qu’ils nous feraient avancer par paliers. Nous avons vu le véhicule équipé des canons à eau manœuvrer et se positionner face à la foule, au centre du boulevard, qui commençait à s’impatienter. Sans sommation, les palets de lacrymo ont volé dans la foule.
Avec mon ami, nous n’étions pas équipés, comme beaucoup d’autres autour de nous et nous suffoquions. Nous nous sommes retranchés quelques secondes derrière le muret du parking souterrain. Une dame a crié de nous mettre à terre, ce que nous avons fait. C’était effectivement plus respirable [a priori non, ça marche pour la fumée, mais le gaz lacrymo descend (NdPLI)]. Un homme s’est écroulé près de moi, il peinait à respirer. Mes yeux brûlaient, je ne voyais plus rien.
Mon ami m’a dit de le suivre, qu’il fallait que l’on aille plus loin. En me retournant, j’ai aperçu le cordon de CRS ainsi que le camion avec les canons à eau, qui avançaient, à une allure assez rapide, dans une sorte de no man’s land de fumée. La scène était chaotique. Nous avions reculé d’une centaine de mètres. Des Street Medics pulvérisaient du sérum physiologique dans les yeux des manifestants. Ces moments sont pour moi très confus. Nous sommes passés devant un portail, ouvert, un homme, je pense qu’il était Medics, nous a dit de rentrer nous mettre à l’abri ici. Mon ami n’a pas voulu, et nous sommes partis plus loin.
Avec le recul, après avoir vérifié sur Google Earth, je suis quasi certain que ce portail était celui de l’hôpital de la Salpêtrière. Avec tout ce qui a été dit, l’emballement médiatique, sans preuves et sans images, j’ai décidé de témoigner. Car si c’est cet incident qu’ils qualifient d’intrusion dans l’hôpital, je peux vous garantir que nous fuyions les lacrymos, sans réellement voir ni comprendre où nous allions. Ces moments étaient chaotiques, et il est plus que probable que ces individus se soient retrouvés pris au piège lorsque les forces de l’ordre ont continué leur route, remontant le boulevard de l’Hôpital en direction du boulevard Saint-Michel et sont allés interpeller ces « assaillants ».
Si cette intrusion a été faite aux alentours de 16h30, je suis en mesure d’affirmer que la confusion la plus totale régnait. Je peux aisément comprendre que le personnel de l’hôpital ait pris peur de voir ces gens déboussolés pénétrer dans l’enceinte de l’hôpital, tout comme ils sont allés se réfugier dans plusieurs cours du boulevard, mais je ne comprendrais pas une action délibérée. Je cherche juste à comprendre ce qu’il s’est passé, pour que l’on rétablisse la réalité des faits. C’est assez facile de parler à chaud et sans preuves, sans avoir eu les preuves vidéos, des caméras de surveillance de l’établissement, ce qui pourrait confirmer, ou non, tout ce qui a été avancé. Quant à moi, qui étais sur les lieux, je reste très prudent. Je ne vois pas comment et surtout pourquoi, la plupart des personnes qui étaient autour de moi, qui manifestaient simplement, s’en seraient pris à cet hôpital…
De plus, certains avancent que cette « horde de sauvages » voulait s’en prendre au CRS grièvement blessé. Or, je suivais le déroulé de la manifestation sur Twitter, et cette information est parue beaucoup plus tard. De plus, les Medics ont été les premiers à aller à son chevet.
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| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Jeu 2 Mai - 14:34 | |
| Témoignage 4 J’étais sur le boulevard de l’Hôpital à ce moment et je confirme ce qui a été précédemment décrit. Comme j’avais des lunettes de plongée et un masque, je n’ai pas subi le choc des gaz et peux donc précisément rapporter ce dont j’ai été témoin. Les flics bloquent le boulevard de l’Hôpital juste avant le croisement avec la rue Jeanne d’Arc. Une ligne de CRS nous fait face, derrière eux, des camionnettes et un canon à eau nous tournent le dos. Nous apprendrons plus tard que des affrontements avaient lieu plus haut, au niveau du commissariat. La foule est très compacte : les dizaines de milliers de personnes du cortège continuent d’avancer, et comme il est impossible de voir ce qu’il se passe, tout le monde s’agglutine. Plusieurs lignes de CRS qui remontent le cortège se font copieusement huer et insulter. La situation stagne quelques dizaines de minutes, quand le canon à eau fait demi-tour et commence à arroser le cortège, et les flics se mettent à balancer des rafales continues de grenades lacrymogènes sur la foule. Bien que l’on soit dans le cortège de tête, les personnes présentes là sont en majorité des personnes qui n’ont aucune velléité offensive. La plupart n’ont aucun moyen de protection. Le brouillard de lacrymo est très dense, la panique est complète. Les personnes suffoquent, vomissent, s’évanouissent. Tout le monde pousse pour essayer d’échapper aux gaz, mais il est quasiment impossible de se replier tellement le cortège est dense, et les trottoirs encombrés de jardinières, de mobilier et de vélos. Des medics, au niveau de la terrasse du café L’Intermède, aspergent de Maalox le plus de personnes possible. Juste après ce café, une grille mène à la résidence du CROUS de la Pitié. Elle est fermée, mais elle est forcée pour permettre de se disperser un peu. Il est possible par là de rejoindre le bâtiment d’entrée de l’hôpital. Les manifestant·e·s continuent de redescendre le boulevard de l’Hôpital, paniqué·e·s. Plusieurs se sont réfugié·e·s devant l’entrée de l’hôpital, mais les flics tirent aussi des grenades sur l’hôpital. Plusieurs palets ricochent contre la façade du bâtiment. Étant trop loin pour le vérifier, je ne peux que supposer que c’est à ce moment-là que des personnes sont entrées dans l’hôpital pour se protéger d’une violence absolument arbitraire. Coup de gueule d'une #infirmière des #urgences après le manque de reconnaissance de @CCastaner @MartinHirsch et la direction de l'@HopPitieSalpe après une rude journée de travail tandis que ces messieurs dame font le jeu de la comm en leur sens seulement | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Ven 3 Mai - 9:45 | |
| Relents de Mai 68 tout ça. Jusqu'où ça va aller ? ... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Dim 5 Mai - 2:47 | |
| Arrestation des 32 "Terroristes" de " l attaque" de l hopital le la Pitie-salpetriere. Editer par le journaliste independent Gaspard Glanz celui la meme qui a ete arrete quelques jours plutot par la police sous de fausse accusation puis relache. Avec de telles methodes et humiliations de nos jours en France,il ne faut plus s etonner de voir surgir des reactions en relation avec la seconde guerre mondiale sur Twitter et Facebook... Bien sur,nous savons tous ici que l on ne peut pas comparer mais il faut avouer que le gouvernement francais est en train de prendre la meme voie qu une dictature que je connais bien ici en Thailande...on y vient doucement pas a pas. | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Dim 5 Mai - 10:19 | |
| Faut peut-être pas exagérer, ici on aime bien provoquer et casser... | |
| | | naga Feldmarshall
Nombre de messages : 38955 Age : 59 Localisation : Bangkok(Thailande) Date d'inscription : 02/02/2009
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Lun 6 Mai - 2:31 | |
| Idem en Thailande...sauf que ce n est pas la Democratie et qu ils n ont pas besoin de montrer l exemple comme la France "Patrie des droits de l homme et de la Liberte"
La credibilite de ces valeurs universelles en prend un sacre coup vu des pays emmergents a qui le gouvernement francais fait la morale en permanence depuis des decennies... | |
| | | vania Modo-Felfgendarme
Nombre de messages : 28661 Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Revolution en cours en France Lun 6 Mai - 9:52 | |
| Oui, enfin c'est pas parce qu'on est en démocratie qu'on a le droit de tout péter (bagnoles, vitrines et mobilier urbain sur les Champs Elysées et alentours, sous-sol de l'Arc de triomphe,...). Au delà des revendications, justes et légitimes des G.Jaunes, il y a plein de mecs qui se glissent dans les cortèges juste pour foutre la m.... Ils vont même jusqu'à changer de fringues pour ne pas être repérés. Sûrement pas simple pour les keufs de faire le tri entre "bons" et "méchants"... | |
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