Envois de materiels militaires en Ukraine

Systeme D
On ne peut pas enlever ca aux ukrainiens!

Les équipes d’artillerie ukrainiennes utiliseraient des obus de mortier américains M1101 HE de 120 mm avec des mortiers russes Nona-SVK et Nona-K de 120 mm capturés
en service ukrainien.

A voir si ces montages sont efficaces...

vania a écrit:

A voir si ces montages sont efficaces...

Efficaces oui à condition de savoir s'en servir.

naga a écrit:

L’armée ukrainienne s’est entraînée sur des canons automoteurs britanniques AS-90.

Challenger 2

Tous ces beaux matériels, payés avec les impôts du citoyen occidental...

Helicoptere Blackhawk polonais pour l ukraine.

Les hélicos ne brillent pas par leur efficacité semble t-il...

L’Union européenne veut fournir 250000 obus de 155 mm à l’Ukraine pour un milliard d’euros.

Dotée initialement de 5,7 milliards d’euros pour la période 2021-27, la Facilité européenne pour la paix [FEP] est un « instrument extrabudgétaire qui a pour objectifs d’améliorer
la capacité de l’Union à prévenir les conflits, à consolider la paix et à renforcer la sécurité internationale, en permettant le financement d’actions opérationnelles
relevant de la politique étrangère et de sécurité commune [PESC] et ayant des implications militaires ou dans le domaine de la défense ».

Seulement, les circonstances ont fait que cette FEP a surtout servi à financer l’aide militaire accordé à l’Ukraine, à hauteur de 3,5 milliards d’euros.
Et ce n’est sans doute pas terminé.
En effet, selon un document évoqué par l’AFP, Josep Borrell, le Haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité,
préconise de prélever un milliard de la dotation de la FEP afin de livrer 250’000 obus de 155 mm à l’armée ukrainienne.
À noter que cette recommandation est beaucoup moins ambitieuse que celle faite par l’Estonie… qui, la semaine passée, a demandé de solliciter la FEP
à hauteur de 4 milliards d’euros pour livrer un million d’obus à l’Ukraine.

D’après l’AFP, les ministres de la Défense des 27 États membres discuteront de la proposition de M. Borrell lors d’une réunion informelle, prévue le 7 mars, à Stockholm.

Reste que passer une commande est une chose… Et produire en est une autre.
Or, comme M. Borrell l’a dit le 21 février, « il y a urgence » et « nous devons mobiliser rapidement les moyens dont nous disposons et agir avec ce que nous avons ».
Aussi appelle-t-il les États membres à puiser dans leur « stocks stratégiques ».
Et, dans le document en question, il propose d’accorder « un taux de remboursement favorable, jusqu’à 90%, si les munitions sont livrées avant une certaine date ».

Pour rappel, la FEP est abondée par les États membres en fonction de leur PIB, ce qui fait que l’Allemagne, la France et l’Italien sont les trois plus importants contributeurs.
À noter que trois pays – Autriche, Malte et Irlande – ne participent pas au financement des livraisons d’armes.


source
Opex360.com

Des "va t-en guerre du bureau"...

Le Pentagone a annoncé aujourd’hui son 33e programme d’aide de l’Autorité présidentielle de retrait à l’Ukraine.
D’une valeur pouvant atteindre 400 millions de dollars, le paquet comprend davantage de munitions et d’équipements de soutien pour les opérations de tir de précision,
d’artillerie et de véhicules blindés de l’Ukraine.

Munitions supplémentaires pour les systèmes de roquettes d’artillerie à haute mobilité (HIMARS);
obus d’artillerie supplémentaires de 155 mm;
obus d’artillerie supplémentaires de 105 mm;
Munitions supplémentaires de 25 mm;
ponts lancés par des véhicules blindés;
Munitions et matériel de démolition pour le déblocage des obstacles;
Équipement d’essai et de diagnostic pour soutenir l’entretien et la réparation des véhicules;
Pièces de rechange et autres équipements de terrain.


Après une rencontre avec le président estonien Egils Levits à Lviv, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réitéré vendredi son appel fréquent à davantage d’armes.
« L’artillerie est numéro un. C’est ce dont nous avons besoin. Des munitions, des roquettes à longue portée pour arrêter la Russie.
Pas pour tirer sur le territoire de la Russie, mais pour les chasser de notre territoire, ce qui est juste », a déclaré Zelensky aux journalistes.

Il a de nouveau souligné que l’Ukraine avait besoin d’avions militaires et de formation pour les équipages ukrainiens.
« Aujourd’hui, nous avons discuté des domaines dans lesquels nos partenaires de Lettonie, de Lituanie et d’Estonie peuvent nous aider dans les missions de formation.
Nous avons besoin d’avions », a déclaré Zelensky.

Avec seulement une fraction des obus d’artillerie de 155 mm promis à l’Ukraine effectivement fournis, le ministre estonien des Affaires étrangères, Urmas Reinsalu,
a appelé à l’accélération immédiate de la fourniture de munitions d’artillerie à l’Ukraine, selon Europeyska Pravda.
« Aujourd’hui, nous avons discuté du besoin de projectiles de l’Ukraine », a déclaré Reinsalu aux journalistes à Lviv vendredi.
« Nous sommes très reconnaissants à tous les pays qui ont promis de fournir des projectiles, mais la situation est telle que lorsque nous parlons de projectiles de 155 mm,
l’Ukraine n’a jusqu’à présent reçu qu’un sixième de ce qui avait été promis », a déclaré Reinsalu.

Lundi, les ministres de la Défense de plusieurs pays discuteront de la création d’un mécanisme d’approvisionnement conjoint pour la fourniture d’un million de cartouches
de munitions de 155 mm.
« Et la clé dans tout cela, ce sont les actions les plus intenses possibles », a-t-il ajouté.



L’Allemagne a demandé à la Suisse de lui vendre certains de ses chars Leopard 2, ont annoncé vendredi les gouvernements suisse et allemand, selon Reuters.
Un tel accord pourrait permettre aux pays occidentaux d’augmenter leur aide militaire à l’Ukraine.
« L’Allemagne veut que la Suisse revend une partie des chars au fabricant d’armes Rheinmetall, ce qui permettrait à l’entreprise de combler les lacunes dans les armements
des membres de l’Union européenne et de l’OTAN », selon Reuters.

La Suisse compte 230 chars Leopard 2 des années 1980, dont seulement 134 sont en service, selon Die Welt.
Les 96 autres sont mis en veilleuse. L’Allemagne veut maintenant racheter une partie de ceux qui sont stockés et les mettre à la disposition de l’Ukraine.

Les quatre premiers des 14 chars Leopard 2 promis par la Pologne sont arrivés en Ukraine la semaine dernière.
Des dizaines d’autres ont été promis par plusieurs autres nations.


source
thedive.com

Le philanthrope ukrainien (et futur candidat potentiel à la présidence) Serhiy Prytula a annoncé que 101 véhicules blindés de transport de troupes
ont été achetés grâce à un effort de crowdsourcing.
Ils comprennent des Spartans, des Samaritains, des Sultans, des Stormers, des Shielders, des Samsons, des FV432 et des FV434 autrefois utilisés par l’armée britannique
mais maintenant hors service.

Prytula a déclaré que les 24 premiers de ces véhicules ont déjà été livrés.

Les allemands, déjà mis à mal économiquement avec le coût du gaz, rachètent leurs propres engins pour un pays tiers...
Rationalité quand tu nous tiens !...

vania a écrit:

Les allemands, déjà mis à mal économiquement avec le coût du gaz, rachètent leurs propres engins pour un pays tiers...
Rationalité quand tu nous tiens !...

Ce sont des blindes des annees 70/80,ca n a pas du lui couter cher car invendable sur le marche de l occasion
ne serait ce que pour les pieces detachees (made in UK).

Une autre série d’aide militaire américaine à l’Ukraine inclura, pour la première fois, des ponts lancés par des véhicules blindés, ou AVLB.
Ce véhicule, dérivé du char M60 Patton de l’époque de la guerre froide, peut déployer un pont pliant pour aider les forces amies, y compris les chars et autres blindés lourds,
à traverser les voies navigables et d’autres obstacles tels que les lignes de tranchées.
L’annonce que l’armée ukrainienne est maintenant prête à obtenir des AVLB intervient alors que ses partenaires occidentaux ont déjà travaillé au transfert de chars occidentaux
plus modernes et d’autres véhicules blindés lourds.





Le Pentagone a annoncé la nouvelle tranche d’aide contenant les AVLB, ainsi que des roquettes d’artillerie de 227 mm, des obus d’artillerie de 155 mm et 105 mm,
des munitions de canon automatique de 25 mm, des munitions de démolition et d’autres articles, plus tôt aujourd’hui.
L’ensemble du paquet est évalué à environ 400 millions de dollars et est ce qu’on appelle un « retrait », ce qui signifie que son contenu proviendra directement des propres stocks
de l’armée américaine.

Le communiqué officiel ne précise pas le type exact d’AVLB ni le nombre d’Ukraine qui pourraient maintenant être en ligne pour l’obtenir.
Le Pentagone a depuis confirmé à The War Zone qu’il s’agissait de couches de ponts basées sur le M60, mais le nombre total de véhicules dans le paquet d’aide
n’est toujours pas clair.

On ne sait pas d’où viennent les véhicules au sein de l’armée américaine.
Le Corps des Marines des États-Unis, qui a été un utilisateur des types AVLB basés sur M60, est au milieu d’une restructuration majeure des forces qui a vu, entre autres,
le service se départir de tous ses chars M1 Abrams et divers véhicules de soutien lourd associés.
L’armée américaine a également été en train de remplacer ses derniers AVLB M60 par des conceptions basées sur des chars M1 ces dernières années.

Les Marines ont commencé à utiliser des AVLB basés sur la série M60 dans les années 1980, mais la conception de base est nettement plus ancienne que cela.
L’armée américaine les a mis en service pour la première fois au début des années 1960.
La variante de base du char M60, sur laquelle les versions initiales étaient basées, avait commencé à entrer en service dans l’armée en 1957.
Ces AVLB ont finalement été fabriqués en utilisant des coques de plusieurs variantes de M60.





La différence la plus immédiate entre le M60 AVLB, qui est exploité par un équipage de seulement deux personnes, et un char M60 est le retrait de la tourelle
et son remplacement par un mécanisme hydraulique de lancement de pont. Moins évidents sont les changements substantiels dans la configuration interne du véhicule de pose
de ponts par rapport à son réservoir parent.
L’extrémité avant de la coque, où le conducteur est assis dans un char M60, est maintenant pleine d’hydraulique.
En conséquence, le conducteur de l’ALVB est assis avec le commandant du véhicule dans une nouvelle position au centre de la coque où se trouvait auparavant l’anneau de la tourelle.

Le pont lui-même est stocké plié en deux pendant que le véhicule est en mouvement, puis est déplié par le mécanisme de lancement du pont lorsqu’il est déployé.
La conception originale du pont mesure environ 60 pieds de long et environ 12 pieds et demi de large.
Des conceptions améliorées ont été introduites au fil des ans, définies principalement par des cotes de poids accrues.

Le poids exact que le pont peut supporter dépend de la façon dont il est placé, car il est capable de supporter des équipements plus lourds si une plus grande partie
est sur un sol stable. Par exemple, les versions du pont utilisées avec le M60 AVLB peuvent supporter le poids d’un char M1A2 SEPv3 de génération actuelle,
qui fait pencher la balance à environ 72 tonnes, mais seulement lorsqu’il est positionné sur un espace ne dépassant pas 48 pieds de large, selon un manuel de l’armée non classifié.

Il faut généralement entre deux et cinq minutes à l’équipage de l’ALVB pour mettre en place le pont et environ 10 minutes pour le recharger sur le véhicule.

Pour les forces ukrainiennes, même un nombre relativement restreint de M60 AVLB pourrait fournir une mobilité et une flexibilité supplémentaires utiles sur le champ de bataille.
Cela pourrait être utile à la fois pour soutenir les opérations offensives, ainsi que pour ouvrir de nouvelles voies permettant aux unités de se retirer stratégiquement
ou de se repositionner sur la défensive.

L’envoi des AVLB M60 en Ukraine est également logique en raison de la nature plus spécifique du conflit là-bas.
Bien que les couches de pont blindées soient le plus souvent associées à la traversée de voies navigables étroites, comme les canaux et les petites rivières,
elles peuvent également être utilisées pour aider à transporter de l’équipement lourd dans des zones pleines d’autres obstacles, y compris des tranchées,
de grands cratères et un sol mou et boueux.
L’est de l’Ukraine, où les combats les plus intenses se déroulent actuellement, regorge de voies navigables et de lignes de tranchées.
Des parties importantes de la campagne sont maintenant fortement marquées et jonchées de débris de plus d’un an de combats d’artillerie.

Il est important de noter que les ponts lancés par les AVLB M60 ne sont pas capables de traverser les grands fleuves ou d’autres grandes étendues d’eau.
Franchir ce genre d’obstacles naturels, en particulier sous le feu, présente des défis importants, comme l’armée russe l’a découvert à de nombreuses reprises
au cours du conflit jusqu’à présent.


source
thedive.com

On a quand même l'impression que les occidentaux, derrière leurs largesses, en profitent pour se débarrasser de leurs vieux matos...

vania a écrit:

On a quand même l'impression que les occidentaux, derrière leurs largesses, en profitent pour se débarrasser de leurs vieux matos...

Ca,c est sur et va trouver des pieces pour ces M60....je dis ca mais en Thailande,il y en a toujours en service !

Char principal M60A3, 5e bataillon de cavalerie, de la Garde Royale.

La Pologne se dit prête à assurer la maintenance des chars Leopard 2 livrés à l’armée ukrainienne.

Au 26 février, l’Ukraine avait reçu la promesse de recevoir un total de 67 chars Leopard 2 [sous différentes versions], avec des cessions annoncées par
l’Allemagne [18 exemplaires],
la Pologne [14],
LaSuède [10],
le Canada [8],
le Portugal [3],
l’Espagne [6] et
la Norvège [8].
Cela étant, la question est désormais de savoir quand l’armée ukrainienne pourra se les approprier…

Déjà, la Pologne a indiqué avoir livré à Kiev les quatre premiers Leopard 2 sur les 14 qu’elle a promis.
Et les dix autres devraient suivre dans les prochains jours. C’est en effet ce qu’a annoncé Mariusz Blaszczak, le ministre polonais de la Défense, peu avant de s’envoler
vers la Suède où il doit participer à une réunion avec ses homologues de l’Union européenne [UE], ce 7 mars.

Cela étant, ces promesses de dons ne règlent pas tout… dans la mesure où la question du maintien en condition opérationnelle [MCO] de ces chars Leopard 2 n’a,
pour le moment, pas obtenu de réponse. Or, sur ce point, et comme l’avait souligné le président polonais, Andrzej Duda, lors d’un entretien accordé à la chaîne de télévision CNN,
l’approvisionnement en pièces détachées auprès de l’industrie allemande, pose encore de « sérieux problèmes ».
Les « Allemands peinent à fournir des pièces de rechanges. Nous ne comprenons pas cette situation, mais c’est ainsi », avait-il dit.

Avant de retrouver ses homologues européens en Suède, M. Blaszczak a remis ce sujet sur la table.
« La question fondamentale que nous allons aborder est la faible dispobibilité des pièces détachées pour les chars Leopard », a-t-il dit. Et d’ajouter :
« Je compte sur le ministre [allemand de la Défense] Pistorius pour qu’il use de son influence sur l’industrie allemanda afin que les pièces détachées pour les Leopard soient livrées ».


Une solution que M. Blaszczak entend proposer de confier à l’industrie polonaise le soin de produire de telles pièces… ainsi que l’entretien des chars livrés à l’armée ukrainienne.
« Le plus important est de sortir de l’impasse », a-t-il insisté, évoquant l’installation, en Pologne, d’un « centre de services dédié uniquement à l’entretien des Leopard 2
livrés à l’armée ukrainienne.
Centre qui pourrait voir le jour dans une usine de l’industriel Bumar-Łabędy [filiale du groupe PGZ], en Haute-Silésie.
Par le passé, celui-ci s’était occupé de la modernisation des Leopard 2 des forces polonaises.



source
opex360.com

Tout ça pour une poignée d'engins, alors qu'en même temps c'est des trains entiers de T90 qui arrivent de l'Oural...

La Pologne et la Slovaquie feront don d’avions de guerre de l’ère soviétique à Kiev, ont annoncé des responsables des deux pays

La Pologne et la Slovaquie ont convenu de remettre à l’Ukraine des avions de combat MiG-29 de fabrication soviétique, a déclaré jeudi le ministre slovaque de la Défense, Jaro Nad.
La veille, le président polonais Andrzej Duda avait déclaré que son pays ferait don de toute sa flotte de MiG-29.

Dans un message sur Facebook, Nad a déclaré qu’un responsable polonais l’avait approché lors d’une réunion des ministres de la défense de l’UE en Suède mercredi,
confirmant que Varsovie accepterait la fourniture conjointe des jets à l’Ukraine.

Dans une interview accordée à CNN mercredi, Duda a déclaré que son pays « se tient prêt à fournir ces avions ».


source
rt.com


La Bulgarie a vendu des milliards de dollars d’armes à Kiev, payées et livrées par des pays tiers, a rapporté EURACTIV

Les fabricants d’armes bulgares ont exporté des produits d’une valeur de plusieurs milliards de dollars vers l’Ukraine en utilisant des pays tiers comme intermédiaires,
a révélé EURACTIV dans une enquête publiée lundi.
Il avait déjà été signalé que l’ancien Premier ministre Kiril Petkov avait revendiqué le stratagème, qui contournait les opposants à de telles transactions
au sein du gouvernement bulgare.

Les conclusions du média indiquent que la pratique des livraisons indirectes d’armes est antérieure au déclenchement des hostilités russo-ukrainiennes.
Cependant, une fois le conflit aggravé en février 2022, les fabricants bulgares ont connu une augmentation rapide de leurs bénéfices, doublant leurs ventes l’année dernière.

La Bulgarie est un important producteur de munitions compatibles avec les armes de conception soviétique, que l’Ukraine a largement utilisées avant que les États-Unis
et ses alliés ne lui fournissent des alternatives produites en Occident.
Rien que l’année dernière, au moins 1 milliard de dollars d’armes ont été transférés de la Bulgarie vers l’Ukraine, principalement via la Pologne et la Roumanie,
ont indiqué des sources à EURACTIV. Aucun contrat d’armement direct n’a été signé, a ajouté le média.

Selon Velizar Chalamanov, ancien ministre de la Défense par intérim et fervent partisan de l’expédition d’armes vers l’Ukraine, l’acheminement des armes s’est fait par le biais
de stratagèmes étrangers et a été financé par des fonds étrangers.
« Il existe un programme bien financé en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Pologne.
Grâce à ce programme, les armements nécessaires à l’Ukraine sont achetés, c’est-à-dire que l’argent n’est pas ukrainien mais britannique, américain, polonais ou européen.
C’est pourquoi il est acheté par l’intermédiaire d’autres sociétés », a-t-il déclaré à EURACTIV.


source
rt.com

La Bulgarie a dû envoyer des armes légères : Kalashnikov et les munitions qui vont avec, ils en produisent beaucoup. Les Kalash sont fabriquées dans différents pays. Les munitions ce sont des surplus militaires, ça arrose mais ça touche aussi. Armes dites lourdes je sais pas.

Ces zincs d'un certain age risquent d'avoir une carrière plutôt courte...

La Suisse se rebelle...

La Suisse préfère détruire des missiles Rapier plutôt qu'ils soient utilisés par l'Ukraine.

La Suisse ne veut pas prendre part au conflit en Ukraine qui oppose Kiev à Moscou.
Non seulement directement mais aussi de manière indirecte. La Confédération helvétique a montré sa neutralité dans le conflit en démontant tout un arsenal encore utilisable
et performant plutôt qu’en l’envoyant à Kiev. D’après une information du journal NZZ am Sonntag, relayée par Le Monde, le pays va se débarrasser prochainement
de 60 systèmes de défense sol-air Rapier, une batterie antiaérienne développée par la British Aircraft Corporation dans les années 1960.





Berne en avait acquis 60 unités en 1980 et les avait modernisés à plusieurs reprises. Mais elles avaient été déclassées et déclarées inaptes au service fin 2022.
"Ces missiles sont certes vieux, mais ils ne sont pas non plus complètement obsolètes", explique Peter Schneider l’ancien directeur de la Revue militaire suisse
dans les colonnes du Monde.
Ces missiles auraient donc pu servir à protéger le ciel ukrainien des attaques aériennes russes, notamment sur les cibles civiles.
D’autres destructions sont par ailleurs prévues dans les prochaines années : 248 chars d’infanterie M113 et plus de 100 canons d’artillerie de type M109.

Une neutralité déjà affirmée
"Les armes suisses ne doivent pas être utilisées dans des guerres", a justifié le président de la Confédération suisse, Alain Berset, dans un entretien à NZZ am Sonntag.
Ce n’est pas la première fois que le pays helvétique affirme sa non-coopération dans le conflit qui oppose l’Ukraine à la Russie depuis plus d’un an.
À plusieurs reprises, il avait interdit à ses partenaires européens qui souhaitaient transférer des munitions à l’armée ukrainiennes, de le faire.
Celles-ci ayant été vendues par la Suisse, le pays pouvait décider d’interdire ou d’autoriser cette aide.


source
capital.fr

Très bonne initiative, en plus comme tu le dis la Suisse est neutre.

Pays fidèle à lui-même, neutre, sage, et qui est depuis toujours une plate-forme de négociations...